Impacter le monde avec Karine Champagne

121. Ce n’est pas normal! Reprends ta santé en main avec Marie-Christine Morin

Karine Champagne

Tu peux directement me texter tes commentaires!

Nous bousculons l’idée que “c’est l’âge” explique douleurs, fatigue et baisse de libido, et nous posons une question simple qui change tout: que veux‑tu vraiment pour ta santé et ta vitalité. 

Avec Marie‑Christine Morin, nous relions stress, glycémie, minéraux et gènes pour reprendre le volant sans céder aux “solutions miracles”.

Pour rejoindre Marie-Christine:

https://www.mariechristinemorin.com/
https://www.instagram.com/mariecmorin/
https://www.gorendezvous.com/mariecmorin

Ce que tu découvriras dans notre épisode!

Comment: 

• remettre la personne au centre de sa santé
• déconstruire les croyances sur l’âge et les hormones
• chercher les causes profondes plutôt que masquer les symptômes
• comprendre le stress via les ratios minéraux du test capillaire
• stabiliser la glycémie par les protéines et les repas ancrés
• réduire sucre caché et huiles raffinées dans l’assiette
• adopter des micro‑changements durables au quotidien
• utiliser l’épigénétique pour adapter nutrition et entraînement
• relier les données avec un accompagnement clair et humain
• transformer énergie, sommeil et douleur par la cohérence

Prenez-vous en charge. 

J’espère que ça vous a donné envie d’être un peu plus responsable, d’être un peu plus curieux, de vous éduquer, de lire plus en profondeur, pas juste un scroll comme Achetez ceci pour obtenir cela


Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
www.karinechampagne.ca/impact

Pour explorer l'univers de la question:
www.karinechampagne.ca 

Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

www.karinechampagne.ca
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Speaker 1:

Allô, allô. Je te souhaite la bienvenue à un autre épisode du podcast.

Speaker 2:

Impacter le monde? Là, il va falloir qu'on se parle entre quatre yeux, toi et moi. Impacté le monde? Là, il va falloir qu'on se parle entre quatre yeux, toi et moi. C'est pas normal, en haut de 35 ans, d'avoir mal aux articulations. C'est pas normal de prendre beaucoup de poids. C'est pas normal de constamment dire ouais, mais c'est à cause des hormones. Non, non, on va relativiser ce discours-là et j'espère sincèrement qu'à la fin de cet épisode-là, vous allez vous rendre compte à quel point vous avez de la puissance et que vous avez des connaissances à acquérir pour transformer votre vie. Ça va être une conversation exceptionnelle avec Marie-Christine Morin, qui est coach en santé intégrative. Marie-christine, t'es-tu prête à impacter le monde?

Speaker 1:

Oui, ton intro était fabuleuse.

Speaker 2:

Oui, parce que c'est ça le message Là. Arrêtons de mettre notre santé dans les mains d'une autre personne, Tout à fait, ce n'est pas normal.

Speaker 1:

non, de vieillir avec tous ces symptômes-là, sous le prétexte que c'est l'âge, tout ça, ce n'est pas normal. Oui, on va passer au travers des phases qui sont indéniables, on va y aller, eniménopause, mais il faut se demander qu'est-ce qu'on veut pour soi maintenant. Ça part des croyances. Et si on vieillit, l'âge est un privilège. Dans un sens, l'âge est un privilège. Quand on vieillit, vous vous demandez mais qu'est-ce que je veux? mieux dormir, est-ce que je veux être capable de bouger avec plus d'amplitude? tout part des croyances. Puis, si on se répète que, parce qu'on vieillit, on va indéniablement être misérable à cause de nos hormones, on va mal dormir, on va avoir mal parce que notre mère a eu mal, notre soeur a mal, etc. Bien, le corps, lui, va trouver de la cohérence et tout ce qu'il va faire, c'est de te projeter, de t'exprimer via ton corps, tes croyances.

Speaker 2:

Puis qu'est-ce qui est intéressant? puis, on en avait aussi cette discussion-là. tantôt, c'est comme un cycle à briser, parce que le fait de prendre du poids, d'avoir mal, puis on a acheté ces croyances, moment donné, c'était vrai, c'était ça qui se passait. Maintenant, il y a d'autres possibilités. Il y a d'autres possibilités de vieillir. On le voit de plus en plus. Merci aux réseaux sociaux de nous montrer des femmes de 99 ans qui font du yoga, encore avec la patte juste à côté des oreilles.

Speaker 2:

Et là on est exposé à des nouvelles avenues. Mais quand on parle de vieillissement chez la femme particulièrement, par où on commence à chercher de l'information pour se dire quoi d'autre est possible.

Speaker 1:

Par où on commence. En fait, il faut tout de suite se placer dans une position où on va être au centre de notre démarche et non pas remettre les réponses à nos questions dans les mains de quelqu'un d'autre, pas parce que ces quelqu'un d'autre-là ne sont pas compétents ou absolument pas, mais parce que si on ne choisit pas de se mettre en plein centre de notre propre démarche, qui le fera? Alors, il y a plein d'avenues possibles, sauf qu'on sait très bien qu'avec la médecine allopathique, c'est la, en 7 minutes de consultation, qu'on va aller aux causes profondes, parce que le corps, peu importe l'âge qu'on a, s'exprime via des déséquilibres. Déséquilibre, c'est les symptômes. Donc, si on ne va pas chercher à la cause profonde, quelle est cette cause-là qui est en dessous? C'est comme si on avait un arbre, et l'arbre, il y a plein de racines dans la terre. Il faut aller voir là, parce que le corps va s'exprimer, parce qu'il y a quelque chose là qui tourne pas rond. Donc, il faut se placer au centre de cette démarche-là, puis choisir d'aller voir à la cause profonde.

Speaker 1:

Souvent, c'est pas en une consultation rapide qu'on va aller voir quelle est la cause profonde. Puis, ici, je ne me place vraiment pas à côté de tout ce qui est médecine d'urgence. Mais on comprend bien mon discours ici. C'est juste que lorsqu'on est dans une démarche pour comprendre ce qui se passe avec nous, il faut se placer au centre. Puis c'est notre responsabilité. Ensuite, c'est notre responsabilité de s'informer et de savoir qu'est-ce qui se passe avec nous.

Speaker 2:

Je porte un chandail, si vous ne le voyez pas parce que vous êtes en ondule. C'est marqué Wisdom is Beautiful, comme la sagesse, c'est magnifique. Ou encore les connaissances. Je vais extrapoler un peu. Je pense qu'il y a bien des femmes qui s'en sont remises aux stats, qui s'en sont remises aux qui leur a dit c'est normal, c'est normal, c'est les hormones. On l'a entendu vraiment beaucoup.

Speaker 2:

Et là, ce qu'on veut flaguer, marie-christine et moi, c'est la curiosité, toi particulièrement dans ton message, moi, c'est juste que je le vis. donc, je deviens de plus en plus curieuse. Mais quoi d'autre est possible Et comment je peux aborder ce passage l'aborder autrement.

Speaker 1:

En fait, c'est qu'on découvre que, premièrement, on découvre que tout est relié dans notre corps. On n'est pas juste un paquet de morceaux, on n'est pas juste en chair et en os, on est relié à nos émotions, on est corps, tête, esprit, cœur, émotion, environnement. Tout ça, ça a un lien avec l'état présent dans lequel on va être. Le corps va garder des traumas sur lui, ça, on le sait. Le corps va s'exprimer parce qu'il y a des émotions de refoulée. Quand on le comprend, on peut tout relier. Et c'est ça qui est extrêmement. Ça donne du pouvoir à la personne, parce qu'à partir de ce moment-là, elle peut choisir de faire un travail sur ses émotions, elle peut choisir de libérer son environnement, de se choisir d'autres relations, est-ce?

Speaker 2:

qu'on pourrait par exemple proposer aux femmes qui nous écoutent en ce moment de se poser des questions sur Juste, pour ouvrir la conversation, juste pour dire où est-ce que j'en suis en ce moment, qu'est-ce que je crois. Puis, je t'invite aussi, si jamais tu as des idées. C'est Qu'est-ce que je crois d'irrévocable à propos de ma santé? Tellement, oui, c'est juste, exactement, c'est ça qu'on veut pas gratter, mais je dirais décoller.

Speaker 1:

Je suis convaincue que Tantôt, tu m'as dit quelque chose, c'est Ah, j'approche là, parce que les fondations, c'est non seulement tout ce qui est attrait à l'alimentation, à ce que tu mets au bout de ta fourchette, mais aussi, je veux dire, c'est le cerveau qui est à la base de tout, dans le sens où ce qu'on croit pour nous-mêmes, je l'ai dit tantôt notre qu'est-ce qu'on souhaite vraiment. Ça se peut que tu sois rendu à 45 ans, à mon âge, et que tu te dises non, mais moi, j'accepte le fait que je dors moins bien et je ne suis pas tant sportive, c'est correct si je bouge moins. Mais que veux-tu? C'est là que la santé intégrative est intéressante, c'est que ça place la personne au centre de sa propre démarche et elle ne se fait pas dire quoi faire ni penser. Mais avant de commencer la démarche, elle doit vraiment décider pour elle.

Speaker 2:

La question que tu dis, que tu viens juste de dire, qui m'a donné des frissons, c'est que veux-tu? Que veux-tu Puis? on ne peut nécessairement Puis, peut-être qu'aujourd'hui. Alors, vous écoutez cette émission-là. Vous n'avez peut-être aucune idée de ce que vous voulez, Mais je pense que c'est une question qui mérite qu'on s'y attende. Qu'est-ce que je veux pour ma vie, pour ma santé, pour ma vitalité, pour mes émotions, pour mes énergies, pour tout Exact? Qu'est-ce qui t'a amenée à pivoter et à t' à la santé intégrative?

Speaker 1:

J'ai toujours été intéressée par la santé comprendre comment je fonctionnais. Je n'ai pas nécessairement travaillé comme ça au début de ma carrière, je faisais autre chose, mais je me suis toujours intéressée à ça Et ça faisait comme un sept ans que j'étais dans le même domaine de la santé naturelle et j'ai eu envie d'avoir un plus grand impact, de comprendre à un autre niveau, mais aussi d'aller chercher des outils qui vont pouvoir faire comprendre aux gens là où ils sont, parce que l'accès à ces outils-là, on va dire au Québec, est plus rare, peut-être plus difficile, challengeant. Alors, c'est ce qui m'a donné envie de, mais c'est surtout d'avoir un plus grand impact, puis de vouloir accompagner les gens pour qu'ils comprennent, parce que lorsqu'on comprend, tout change à partir du moment où on comprend. Mais se faire dire que tout est beau, puis ressortir avec une prescription, ça ne nous rend pas super puissante, au contraire, ça l'enfonce le clou, encore qu'il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. Alors, que sais-tu quoi? Non, tu es déjà dans ton processus d'évf, tu comprends. Il y a beaucoup de choses à dire.

Speaker 2:

Tu accompagnes des femmes, entre autres, de différentes façons, justement pour la reprise en charge. Il y a beaucoup d'éducation dans ce que tu fais, mais ça part aussi d'une histoire, ta propre histoire, où il y a quelqu'un qui t'a tendu la main à un moment donné pour que tu apprennes un peu plus sur toi-même, et il y a eu un test sur tes cheveux. Depuis que tu m'as parlé de ce test-là, j'ai très hâte que je puisse travailler avec toi pour voir ce que je peux apprendre, parce qu'il y a plein de choses qu'on peut apprendre. Oui, effectivement, qu'est-ce que tu as découvert sur le stress avec tes cheveux?

Speaker 1:

En fait, c'est que Je vais te dire ça, je vais te dire ça, c'est que j'étais dans une phase de vie où puis, tu sais, c'est pas une histoire qui va arracher des larmes à quelqu'un, c'est une histoire très banale. Mais au contraire, c'est dans cet exemple-là, je pense, que plusieurs femmes vont se reconnaître. Mon enfant a traversé une passe qui était plutôt challengeante. J'étais retournée sur les bancs d'école, j'avais en charge de mon autre entreprise, je m'entraînais pour mes triathlons, mais, tu sais, go, go, go, tout le temps, à chaque jour, j'en exigeais un petit peu plus de moi, toujours un petit peu plus. Mais tu sais, je dormais pas bien. Je me réveillais pour une lumière qui s'allumait en bas, ma libido était partie, sans me donner une certaine préavis. Mon système digest. Ce défi n'était pas super. J'étais tout le temps tendue, je pleurais, j'étais très émotive, mais je pensais que c'était normal. Tu comprends, c'est pour ça que je dis non, ce n'est pas normal. Je pensais que c'était normal parce que je suis entrepreneur, je suis mère de famille, j'ai beaucoup de chapeaux à porter, comme on a tous plusieurs chapeaux à porter.

Speaker 1:

Puis, à un moment donné, j'ai fait ces tests-là justement, ce test-là en particulier, qui, grâce à des mèches de cheveux, va révéler les relations des minéraux entre eux dans le corps, donc comment le corps utilise certains minéraux face au stress. Je veux dire, les minéraux sont l'essence. C'est un langage caché dans notre corps. On oublie tellement trop souvent les minéraux, on les met à côté, mais ils ont tellement un langage particulier à eux-mêmes. Puis, ce test-là m'a révélé. Puis, en passant, je pensais que je n'étais pas stressée, et j'ai demandé à mon mari Antoine, il est 10.

Speaker 2:

Tu me vois comment par rapport à mon niveau de stress.

Speaker 1:

Moi, dans ma tête, je pensais que j'étais à 4.

Speaker 1:

Il a éclaté et il a dit Toi, tu es à 22 sur 10, ça n'a pas de sens». Puis, là, on a commencé à avoir une discussion. Ma perception était très erronée. Pourquoi tu me perçois comme ça? Voilà, voilà, voilà, voilà, voilà, Ça m'a vraiment. Mais ça, c'était avant que je fasse le test. C'est là que j'ai fait le test et j'ai eu mes résultats. Et là, back, j'ai été vraiment frappée par les résultats, parce que ce qui est intéressant dans ce test-là, c'est, entre autres, les ratios. Donc, c'est pas la comparaison des minéraux, mais c'est la relation des minéraux ensemble qui vont exprimer certaines choses. Donc, j'avais un ratio calcium-magnésium qui était tellement haut, c'était incroyable. Alors ça, ça exprimait de l'irritabilité. Puis, tu sais tous les mots que je vais dire. si vous ressentez ça, ça ne veut pas dire que on s'entend, mais ça exprimait que mon corps allait puiser dans mes tissus au lieu de construire quelque chose. C'est une réponse au stress très, stress chronique, très présent. J'avais mon ratio de sodium-potassium qui était ça, c'est le ratio du stress, oublie ça. il était aussi très. j'avais deux autres ratios qui exprimaient un sur mon équilibre hormonal tellement haut. En fait, ça exprimait un déséquilibre hormonal aussi.

Speaker 1:

Donc, on appelle ça un pattern. Quand on apprend à analyser les tests. c'est un pattern spécifique. Et là, j'ai vu ça, j'ai fait OK, parfait, j'ai compris que le stress nous vidait par en dedans, vraiment, vraiment.

Speaker 1:

Puis, c'était la cause sous-jacente de tellement de symptômes, de tellement de symptômes. mais c'est juste qu'on s'en rend pas compte parce qu'on vit dans un stress chronique au quotidien. Puis, on est rendu qu'on le banalise, parce que c'est ça la vie. Mais c'est pas nécessairement ça tout le temps la vie, non. Alors moi, ce test-là m'a permis. à partir de ce moment-là, j'ai commencé à être, je te l'avais dit, la détective de ma propre santé, parce que qui allait le faire, sinon moi? Donc là, à partir de là, j'ai pu commencer à m'éduquer davantage sur le rôle du système nerveux, à réduire mon stress, à faire ce qu'il fallait pour que je puisse mieux dormir Est-ce que c'est encore parfait? Non, mais c'est mieux qu'avant Et surtout, de prendre conscience que le stress bousillait complètement mon équilibre hormonal. Le stress est à la cause de bien des déséquilibres du système digestif. Le stress, c'est une cause profonde, tellement importante, mais on le banalise, puis on glorifie. surtout, je suis occupée, je suis stressée.

Speaker 2:

Puis ça, c'est trois mèches de cheveux qu'on fait analyser qui donnent toutes ces données-là.

Speaker 1:

Oui, et on va voir aussi la quantité de métaux lourds que tu portes dans ton sang, parce qu'on a tous été exposés à l'aluminium, au plomb, etc. Donc, on va voir aussi cette donnée-là.

Speaker 2:

Puis, du moment où toi, tu reçois avec les gens qui vont choisir de jouer avec toi puis d'en apprendre davantage avec toi, tu vas les accompagner, puis tu vas leur expliquer clairement qu'est-ce qu'on doit mettre en place pour réduire.

Speaker 1:

Oui, parce que la personne a ses résultats. Elle ne sera pas capable d'interpréter ce qu'elle va voir. Donc, moi, c'est ce que je te disais au début, c'est qu'on a tous besoin de quelqu'un qui relie les points. Moi, j'aime beaucoup cette image-là, parce que c'est vrai, parce que moi aussi, j'ai eu besoin de quelqu'un d'autre qui a relié le point A à B. On a tous besoin de quelqu'un. Donc, moi, ma force, c'est l'une de mes forces, c'est d'être capable de te vulgar, parce que c'est le mode de vie. C'est le mode de vie qui est tellement important. Ce n'est pas d'aller chercher le prochain supplément, ce n'est pas d'aller chercher le dernier livre de BOH King. Oui, c'est super bon. Mais revenons au mode de vie. Il faut aller à la base. Il faut aller voir, dans ton quotidien, comment tu fonctionnes, quelles sont tes habitudes. Puis, en fait, c'est ça mon rôle.

Speaker 2:

J'aime ça que tu martèles sur le mode de vie. Parce que j'avais la réflexion, je pense il y a deux ou trois jours, en me disant mais comment je vais faire pour finalement me prendre en charge quand il y a toujours une nouvelle étude, une nouvelle méthode, une nouvelle façon de faire, une nouvelle routine, un nouveau produit? Je me dis que c'est impossible. J'en étais presque même irritée de me dire voyons, c'est donc bien compliqué d'être humain.

Speaker 1:

Oui, c'est compliqué. Ça devient super anxiogène de juste essayer d'être en bonne santé quand on consomme les réseaux sociaux. Oui, tellement, parce qu'on voit la nouvelle tendance. On voit un peu, puis tout ça, ça se passe en microsecondes là, et dans le fond, notre conscient enregistre ça. Puis là, on finit par se dire Mais oui, mais C'est impossible, ça, ça me prend un doctorat en expérience de non, ta santé, c'est pas une option et c'est pas la prochaine publicité du supplément ou la nouvelle tendance qui va la dicter. C'est toi qui dois te placer au centre de tes besoins. Tu dois t'informer pour savoir ce qui est bon pour toi. Tu dois savoir mettre stop. Tu sais Faire un bilan, prendre le temps de faire un bilan. Qu'est-ce que je veux réellement pour moi? Puis lâcher les tendances, parce que ça ira pas en s'arrêtant, on va continuer à être dans La sphère de la santé et du bien-être explose Et tout le monde est expert, expert de quelque chose. Tout le monde a le fameux produit miracle. Il y en a pas de produit miracle.

Speaker 2:

Il y a que c'est presque de la musique à mes oreilles, puis apaisant. Qu'est-ce que les gens qui vont aller te voir, tu vas leur?

Speaker 1:

proposer quoi? On va regarder d'abord ta fondation, ta fondation principale. Souvent, oui, j'ai des clientes qui viennent pour les fameuses hormones. La question des hormones, bien sûr. Mais les hormones, c'est comme le toit de ta maison. Moi, je dois aller voir à la base.

Speaker 1:

Est-ce que ta fondation est solide? Est-ce que tu as les bonnes vitamines minéraux, est-ce que tu as les bons cofacteurs de production d'hormones? Comment tu t'alimentes, le mode de vie, c'est l'alimentation, parce que, qu'on le veuille ou qu'on ne le veuille pas, reste dans notre santé. Et puis, ce n'est pas un paquet de chips de temps en temps qui va faire la différence, mais on mange trois fois par jour. Que manges-tu? Oui, oui, je mange bien, super, parfait. On va aller voir les protéines. Est-ce que tu manges assez de protéines? OK, si tu pèses 140 livres, c'est 140 grammes de protéines par jour. Il faut que tu divises ça sur, donc, tes fruits et légumes. Ton alimentation est-elle variée? As-tu des produits transformés? On va parler de sucre. On va parler beaucoup, beaucoup de l'importance des protéines pour stabiliser la glycémie. Il y a toute une éducation à faire à ce sujet-là, parce qu'on a tous passé une phase où, moi-même, je disais oui, oui, mais je mange bien. Il m'en manquait des trucs.

Speaker 2:

Puis, est-ce que le ratio de protéines, quand tu me dis OK, je dis OK, 125 grammes de protéines, je dois être loin de ça. Moi, je dois être loin de ça. Est-ce que puis ça me tente de l'améliorer? ça, c'est clair, parce que j'ai déjà appliqué un des astuces que tu m'as partagé le café.

Speaker 1:

Jamais à jeun Oui, yes, j'.

Speaker 2:

Tu parles de micro-changements.

Speaker 1:

Oui, très important, parce que quand on s'est parlé pour préparer l'entrevue, tu as vu mon vélo en arrière. tu as dit Ah, qu'est-ce que tu fais? Je fais du triathlon, tout ça». Tu as déjà fait aussi des courses, comme moi. On sait bien qu'on ne commence pas à faire notre première course avec 20 km un lundi matin. Non, on commence par quoi?

Speaker 2:

3, 4, 5 kilomètres, même une minute de course, une minute de marche, une minute de course, on va commencer par nager un kilomètre avant d'en ajouter d'autres.

Speaker 1:

Alors, dans le quotidien, l'idée, karine, c'est parce qu'on est tellement surstimulé, on est surchargé, on est sous-alimenté, mais au contraire, on vit dans un grand paradoxe parce qu'on a accès à tellement d' Il ne faut pas s'en rajouter plus. C'est exactement ça. Il faut aller à l'essentiel, il faut revenir à l'essentiel. Je suis une fan des petits changements dans le quotidien.

Speaker 2:

C'est comme ça que les grands impacts arrivent 132 grammes ou 125 grammes de protéines, par exemple. Pour les gens qui nous écoutent en ce moment, ils vont peut-être calculer leur poids, regarder et dire Je sais que ça fait paniquer, mais ce n'est pas grave, on découpe ça en morceaux. Mais quelle est la valeur de manger l'équivalent de notre poids en grammes de protéines? Qu'est-ce que ça va changer si j'augmente à 125 ou 130. Pas 130 livres, 125 ou 130 grammes de protéines.

Speaker 1:

Ça va tellement changer au niveau de ta glycémie Parce qu'il y a tellement de soucis des équilibres, de symptômes qui proviennent d'une dérégulation, dysrégulation, non dérégulation merci, de ton taux de sucre dans le sang, de ta glycémie, et ça, c'est un sujet super important, facile à aller chercher de l'information au sujet de ça.

Speaker 1:

C'est pas simplement réservé aux diabétiques. Ça va changer dans ta glycémie parce que les protéines vont stabiliser ta glycémie. Les protéines vont t'aider à produire sainement des hormones. Les protéines vont t'aider à construire ta masse musculaire, tellement importante quand tu vieillis. Les protéines vont t'aider à avoir un meilleur sommeil, etc. Ça ne veut pas dire de se boire des shakes toujours, mais ça veut dire de changer certaines habitudes. T'es habituée de manger. Par exemple, le matin, ta collation, c'est je sais pas, moi, une tarte sur bord de pinot, disons ça. Ok, bon, bien parfait. Alors tu vas me rajouter quelque chose à côté, un oeuf cuit dur, par exemple, ok. Lors de ton repas du midi, une salade, c'est bien cute là, avec des fruits dedans, mais il y a ensuite il va descendre rapidement. Alors tout a un lien avec la glycémie. C'est super important, c'est tellement important. Ça change tout. Ah, oui, plus encore quand on vieillit. Oui, tellement, parce que ta masse musculaire est ultra importante. Quand tu vieillis, tu as besoin des protéines aussi. Oui, tu vas avoir moins, mais ça ne veut pas dire de manger plus, ça veut juste dire de mieux choisir. Ça veut dire de s'assurer qu'à chaque repas, tu as une protéine, qu'elle soit végétale, animale, peu importe tes convictions, mais oui.

Speaker 1:

Puis, la grande erreur aussi que je vois souvent, c'est oui, mais je n'ai pas faim. Le matin, je ne mange pas. Ça, c'est un signe, ton corps s'ex. Le fait que tu n'aies pas d'appétit, c'est un signe, c'est qu'il y a quelque chose peut-être au niveau de ton cortisol. Mais le matin, si tu n'as pas faim, non, je ne t'obligerai pas à manger deux oeufs brouillés avec du fromage et des tomates à côté, mais on va commencer par des petites bouchées de quelque chose quand tu vas prendre ton café, parce que ça aussi pas être en déficit. Puis, à un moment donné, au dîner, tu vas manger, puis youhou, puis là, on va y aller en montagne russe, puis là, ça va jouer comme ça, puis ça, ça use le métabolisme, ça crée du stress.

Speaker 2:

La santé est au bout de notre fourchette. Oui, quand tu dis ça, je trouve ça tellement brillant. Qu'est-ce qu'il y a au bout de votre fourchette? C'est juste de notre alimentation dans une journée. Puis on regarde ça fait-tu du sens? Ça n'a pas de sens. Puis, est-ce que j'ai besoin d'aide pour y voir plus clair Afin de maximiser mes chances de vieillir joyeusement?

Speaker 1:

Oui, c'est beau ça, Parce qu'on devrait vieillir dans la vitalité, on devrait être heureux de d'avoir la sagesse de vieillir. La chance de vieillir, c'est une chance. Ok, donc, oui, qu'est-ce que tu mets au bout de ta fourchette? Bien, premièrement, regarde. Commence par regarder Est-ce que tu consommes beaucoup de sauce. Le sucre est caché dans les sauces. Regarde le sucre. Fais juste regarder le sucre. Le sucre est partout, partout, partout, partout. Il est caché sous plein de formes. Il est partout, est-ce?

Speaker 2:

que je regarde les ingrédients, c'est-tu dans le glucide, c'est dans le sucre, dans le sucre Sucre.

Speaker 1:

Oui, ah oui. Ok, tes glucides aussi sont importants, mais le sucre, le sucre est extrêmement inflammatoire, le sucre est mauvais. Il faut éliminer le sucre le plus possible. Ensuite, toutes les huiles raffinées. Tu peux les faire, les v marinade. Pourquoi est-ce que moi, ma marinade? elle me prend quatre ingrédients, mais quand on va à l'épicerie et qu'on lit l'étiquette, il y en a 42.

Speaker 2:

Fait qu'il faut retourner un peu à l'exploration dans la cuisine aussi. Qu'est-ce que je peux faire de différent? Oui, puis prendre le temps.

Speaker 1:

C'est prendre le temps. Je sais qu'on ne l'a pas toujours, mais mais il faut prendre le temps.

Speaker 2:

Puis, en même temps, prendre le temps. Tu as raison, mais ce n'est pas si long que ça. Si tu me dis que c'est quand tu as un irrédient, enfin ma recette, c'est bien plus long pour moi d'aller chercher ma vinaigrette au supermarché parce que je n'en ai pas.

Speaker 1:

Oui, je sais, C'est des habitudes, C'est pour ça, C'est des. Je me fais ma vinaigrette, je bois plus d'eau, puis j'essaie de manger deux bouchées de quelque chose au déjeuner avant de boire mon café. Puis là, je vois comment je me sens. J'observe mon énergie, j'observe mon appétit, j'observe parfait, un coup que ça c'est ancré. Moi, je le buvais, mon café à jeun. Je ne suis pas meilleure que quelqu'un d'autre. Je le buvais mon café à jeun Des fois deux. Alors, il n'y avait rien de bon là-dedans. Je ne déjeunais pas beaucoup non plus. Tout ça, ça a changé.

Speaker 2:

Puis la différence était grande quand tu as commencé à manger avant de prendre ton café, par exemple.

Speaker 1:

Dans ma journée, absolument. J'ai tellement moins de fringales, entre autres, ah oui, ah oui. J'ai moins de fringales, juste de déjeuner, avant de prendre son café, juste de déjeuner, café ou pas, mais juste de déjeuner le matin, ça fait tellement de différence. Oui, il y a des gens qui vont nous écouter, ils vont dire oui, mais je n'ai jamais eu faim le matin. Je veux dire peut-être, c'est OK, mais mon conseil général pour maintenir une glycémie qui est stable, pour maintenir une énergie qui est stable, aussi, pour éviter d'avoir des fringales parce que lorsqu'on a des fringales, on ne va pas toujours chercher le fromage cottage et la poire, mettons, bon, c'est ça Pour éviter d'avoir des fringales sucrées, salées, d'avoir accès à des aliments qui sont plus croust, parce que je ne me peux plus, c'est que je sais que j'ai manqué quelque chose dans ma journée.

Speaker 2:

Je n'ai pas répondu, je ne me suis pas assurée de bien m'alimenter, puis là, je suis hors contrôle. Puis je vois le fond du sac familial en deux temps trois mouvements, mais je suis responsable de ne pas avoir alimenté mon corps comme il faut avant.

Speaker 1:

Oui, c'est ça, ça fait partie de l'expérience, tu l'as dit, il ne faut pas virer faux pour une poignée de chips.

Speaker 2:

Tantôt, tu as parlé du test des cheveux, que je trouve vraiment intéressant parce que, oui, il y a énormément d'informations Et, c'est sûr, moi j'ai les cheveux blancs. Je peux le faire à n'importe quel moment. Si vous faites encore semaines après la teinture, oui, exactement, puis on peut faire affaire avec toi et te consulter, te contacter Ton site Internet. Ça va être dans la description, mais est-ce que c'est mariechristinemorincom? Oui, Voilà.

Speaker 2:

D'accord. Puis, un autre test dont on parle, parce que Fred et moi on l'a vécu aussi, c'est l'épigénétique. Non, ce n'est pas un test. Le test génétique, ah, oui, c'est un test OK, parce qu'on peut découvrir bien des choses. Oui, je t'ai posé des questions d'ailleurs. Puis, ça aussi, ça m'intéresse parce qu'il y a dans notre famille immédiate, des problèmes de dégénérescence cognitive, de dém. Je disais est-ce que je pourrais le savoir maintenant, si je suis potentiellement à risque d'avoir une maladie qu'on pourrait appeler l'Alzheimer? Et tu m'as dit oui, on peut le savoir. No-transcript, je pourrais découvrir mes zones rouges, mais c'est pas Mon inquiétude. Quand je t'ai demandé ça, c'est Ouais, mais moi, je vais capoter Si je sais que je suis à risque pour avoir l'Alzheimer. ça va me déranger.

Speaker 1:

Tu me l'as amené autrement, oui, J'ai dit non, au contraire, ça va t'amener beaucoup plus de Karine qu'on verrait. Oui, concernant tes besoins nutritionnels, concernant ta capacité de métaboliser tes estrogènes, tes hormones. On voit aussi même ton type d'exercice qui est préférable selon tes gènes. Voyons, on voit des trucs au niveau des neurotransmetteurs aussi, dans le cerveau. On voit plein de trucs. Parfait, on regarde ça. On a des zones rouges à surveiller, on a des zones vertes. Ah oui, on voit aussi concernant gluten, caféine, tout ça, c'est super intéressant.

Speaker 1:

Alcool, nicotine, donc nos prédispositions, où sont les gènes, quels gènes on porte? Puis, moi, ce que c'est ta fondation, grâce à ton mode de vie, comment tu peux faire afin que ce gène-là ne s'exprime pas? Parce que c'est là l'épigénétique, c'est qu'on peut être porteur, porteuse de certaines variations génétiques de certains gènes et que ceux-ci ne s'expriment jamais parce que notre mode de vie est sain, parce qu'on gère notre stress, parce qu'on mange bien, parce qu'on bouge, parce qu'on a un environnement social qui est positif, parce qu'on fait travailler notre cerveau. Donc, on est loin d'être dans une fatalité. quand on porte certains gènes, tu vas le voir, probablement que tu vas avoir un code rouge, je les appelle comme ça. Mais ensuite, à toi de travailler via ton alimentation, via peut-être certaines supplémentations, tu vas savoir quoi faire avec ton mode de vie afin que ce gène-là ne s'exprime jamais. C'est ça la beauté de l'épigénétique.

Speaker 2:

Ça, c'est un test qui se fait comment. C'est un test de salive, oui, salive.

Speaker 1:

En fait on prend comme un petit Q-tip et on gratte l'intérieur de notre joue.

Speaker 2:

Puis, après ça, c'est envoyé dans un laboratoire, c'est analysé, tu reçois les résultats. Combien de temps, à peu près, que ça prend avant d'avoir les résultats?

Speaker 1:

Deux à trois semaines.

Speaker 2:

Et tu es en mesure parce que tu as dit quelque chose qui m'a vraiment surpris. À travers ce test-là, je pourrais savoir que le yoga, par exemple, c'est sporteur. Je veux dire, ce ne sera pas marqué yoga dans mes gènes, mais un sport doux, je ne sais pas comment le nommer, serait meilleur que de la course à pied, c'est ça?

Speaker 1:

Oui, tout à fait, on voit ça. J'essaie de me souvenir de la catégorie. je l'ai dans ma tête, je l'ai dans le rapport, mais c'est oui. Est-ce que tu es prédisposé à des activités qui sont plus comme des activités comme du HIIT, des entraînements? Ou encore sur de la longue distance. C'est super intéressant, cet aspect-là.

Speaker 2:

Puis, il y a le gluten, parce qu'il y a plein de gens qui disent comment on fait pour savoir. On pourrait voir les intolérances, non les intolérances, c'est autre chose.

Speaker 1:

Les intolérances vont vraiment être l'expression concrète dans ton corps qu'il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. Ça se peut que Moi, j'ai plusieurs personnes qui l'ont fait. Puis ils avaient, par exemple, un code vert pour le gluten et les produits laitiers. Puis ils disaient mais je ne comprends pas, parce que j'ai de la difficulté, à chaque fois que j'en mange, j'ai des ballonnements. Donc oui, on voit ça, Mais on ne voit pas que C'est pas écrit. Karine Champagne a une intolérance. Tu comprends? Le test des intolérances alimentaires, c'est autre chose. Ça, c'est par le sang.

Speaker 2:

Je pense que tu me disais qu'il n'y a jamais de test en tant qu'on ne sait pas parler. Toi et moi, juste faire le test et décoder par toi-même.

Speaker 1:

L'accompagnement est requis. Oui, requis tout à fait, Parce que tu ne peux pas faire cette démarche-là toute seule L'impact que ça a eu sur les gens que tu as accompagnés.

Speaker 2:

Qu'est-ce qui se passe avant et après? le fait de comprendre davantage, peut-être d'avoir des résultats de tests qui sont plutôt inusités, parce que ce n'est pas le genre de choses qui vont nous être proposées par la médecine allopathique, puis c'est bien correct, Mais je trouve ça tellement intéressant de voir tout ce que je peux savoir sur le corps d'une autre façon. Fait que les gens qui ont choisi encore d'explorer leur santé avec toi? quelles sont les transformations?

Speaker 1:

C'est qu'ils arrivent avec leur déséquilibre. Je ne comprends pas ce qui se passe avec moi. Je ne comprends pas pourquoi Je me sens comme ça. Voyons, ce n'est pas normal. Ils font le test La première rencontre.

Speaker 1:

On fait le tour ensemble. Je pose des questions, je veux comprendre. On fait le tour, ensuite elles font le test, ensuite, quand arrive la période où je reçois les résultats, puis elles les ont aussi moi, c'est ma paye à ce moment-là, parce que quand j'arrive à expliquer, pour que la personne comprenne, par exemple, karine, tu comprends-tu ce qui se passe avec toi? Ta courbe de cortisol est complètement à l'envers. Par exemple, ça, ça a un impact sur ta production hormonale, ça, ça a un impact sur la thyroïde, tu comprends. Donc, quand j'arrive à ce moment-là, là, les gens sont comme Tu sais, tu comprends. Merci, je ne sais pas comment. J'aurais pu le savoir autrement. Merci de me l'expliquer. Donc, la transformation, elle est là. C'est qu'après, comme je t'ai dit au début, quand tu sais, tu sais. Donc, après, c'est à toi de choisir. Elles chois, elles choisissent ce qu'elles veulent implanter dans leur quotidien. Moi, je les accompagne à partir de ce moment-là. Mais les transformations sont là, c'est qu'elles savent, et tout réside dans la connaissance.

Speaker 2:

Donc, il n'y a pas de supplémentation, il n'y a pas rien tant qu'on n'a pas de résultat de test parce qu'on ne peut pas inventer ou aller à la veugle.

Speaker 1:

Non ce n'est ça exactement?

Speaker 2:

Est-ce que les femmes se sont trouvées avec plus d'énergie Une fois qu'elles ont la connaissance, ou elles avaient pris du poids, par exemple, parce que le poids, les hormones, c'est un enjeu quand même assez important. Est-ce que c'est des femmes-là qui se sont retrouvées peut-être plus confortables dans leur corps? Ont-elles délesté du poids?

Speaker 1:

no-transcript très chronique. Le corps va se protéger pour rester en survie. Donc, cette question du poids, je n'ai pas eu des clientes avec des transformations de perte de 50 livres, par exemple, mais elles sont dans une démarche où elles sont déjà beaucoup mieux avec leur corps, avec qui elles sont. Donc, ça va venir. C'est ce que j'explique, parce que je ne vais pas non plus les mettre sur un type d'exercice. La plupart, je veux dire, ils arrivent, puis ils se sentent déconnectés. Moi, mon rôle, c'est d'arriver avec elles, à les reconnecter, à relier les points, mais définitivement. Une plus grande compréhension amène beaucoup plus d'énergie, amène un sommeil meilleur.

Speaker 2:

Parce que, la plupart du temps, on est juste rempli de bonnes intentions, puis on pense qu'on fait tout bien, puis on est juste recadré, puis ça nous donne plus de possibilités. Exactement, est-ce qu'il y a des femmes qui, par exemple, ont vu leur vieillissement autrement ou qui se sont rendues compte que, finalement, elles avaient réussi à réduire les douleurs parce que c'est ça qu'on veut on veut faire des belles petites vieilles.

Speaker 1:

Oui, vraiment, oui, oui, vraiment. Je pense à une en particulier. Récemment, c'était tellement beau. Elle ne cessait de me dire mais Marie-Christine, mais merci, mais merci, merci, pourquoi. Alors là, elle m'a expliqué pourquoi. Parce que je suis venue à toi avec ce baluchon de symptômes-là. Je ne comprenais pas trop ce qui m'arrivait. Grâce aux résultats que j'ai eus, j'ai compris. Maintenant, je ne me suis jamais sentie aussi mieux. Je veux dire ça, c'est le plus beau des cadeaux qu'on puisse me faire. Donc, je te le dis, à chaque fois qu'on commence, qu'on comprend, on touche à quelque chose plus, on a envie de s'investir pour nous-mêmes et notre bien-être. C'est qu'on a envie. On le fait pour nous.

Speaker 2:

On n'attend pas que quelqu'un d'autre nous dise C'est comme si le corps, en fait, il contient énormément d'informations, puis ces informations-là, par un type de médecine, vont être traitées par. Il y a un problème. Voici la corps te parle et voici ce qu'il te dit, et voici ce qui est possible de faire pour une meilleure compréhension ou une meilleure collaboration entre les deux.

Speaker 1:

Oui, c'est ça. Puis, c'est surtout l'idée de placer la personne au centre de sa démarche, qui est complètement, comme on le dit, à l'inverse de ce qu'on est habitué de faire, et aussi d'aller à la cause profonde. Parce que si on reparle juste brièvement des hormones, c'est que les hormones, on leur lance les pierres, mais les hormones ne sont que les messagères. Les hormones envoient des signaux. Il ne faut pas lancer les pierres aux hormones. Les déséquilibres hormonaux, en passant, on est constamment en déséquilibre, nous, les femmes, depuis qu'on a des cycles. Les déséquilibres hormon, oui, il y a une cause en dessous de ça, mais il faut aller voir au niveau du foie Pourquoi je m'en allais là. Parfait, si j'ai besoin de quelqu'un d'autre pour m'accompagner, je vais y aller. C'est aussi ça, c'est de se servir de plein d'approches. Puis, moi, j'ai été formée, pas juste, je veux dire, j'ai appris plein de trucs en médecine ayurvédique, on apprend tu comprend l'un d'approche, parce qu'on est un être entier, connecté, complexe. Donc, c'est ça.

Speaker 2:

T'as-tu la perception d'être en train de briser un cycle au niveau de la santé chez la femme, de prise en charge, de relâcher les croyances? Notre début de conversation était sur les croyances. On a acheté des choses qui étaient vraies, peut-être en 1940, en 1950, 1970, peut-être 1980, peut-être 2000 aussi. Mais ça évolue tellement vite. Il y a tellement plus de possibilités qu'il faut passer le message.

Speaker 1:

Oui, je crois que je suis en train de porter un message qui est absolument important, qui est fort. En fait. Des fois, comme je te disais, j'ai l'impression d'être peut-être de le crier trop fort, mais en même temps, non, je veux que chaque femme l'entende. Je veux que chaque femme entende que ce n'est pas une fatalité de vieillir et qu'on peut se sentir tellement bien en énergie, qu'on peut être au règne de notre santé et qu'on le mérite aussi aussi. Alors, oui, j'ai l'impression que je suis en train de porter un message que, de plus en plus, on va entendre aussi que les autres vont acheter. Dans le fond, ce serait ça mon souhait. Tu comprends que les autres m'entendent et qu'ils commencent à répéter ce que je répète aussi, parce que non, c'est non, on a une vie, on est ici pour la vivre de façon avec tellement de joie, d'attitude, de liberté.

Speaker 2:

On s'entend pour être bien les deux pieds dans la cinquantaine. Il y a quelque chose de très, très chouette, du wisdom, de la sagesse, de se dire OK, là, je relâche beaucoup de croyances, beaucoup de pensées, puis tu veux que le corps suive ça, parce que cette énergie-là, on l'a. Quand ma mère me disait, non, non, mais je ne le sens pas, que j'ai 50, 60, ou 70, c'est quand on se voit dans le miroir. Ok, oui, c'est clair. Mais intérieurement, tu veux que tout fitte comme ça, avec cette énergie-là, et cette vibe-là.

Speaker 1:

Oui, puis, on a juste à se répéter qu'on a l'énergie de la vingtaine. Ça suffit, c'est tout. On se le répète, le corps va l'entendre. Tu sais, c'est un Non, mais c'est un choix, c'est vrai.

Speaker 2:

OK, fait que là, quand je dis Ouais, mais ça paraît que j'ai plus 20 ans, ça paraît que j'ai plus 20 ans le corps va me donner raison que ça paraît, que j'ai plus 20 ans, Mais oui aussi avec.

Speaker 1:

Ah bien, c'est normal d'avoir mal aux genoux, hein? Puis, après les genoux, ça va être, Mais non, moi j'ai plus de libido, ça fait longtemps. Alors, avec ça va venir autre chose. Alors tout s'enchaîne Et là t'es en train de construire une grosse pelote de laine remplie de. Tu comprends, Parce que t'arrêtes pas juste à J'ai, C'est tout ce qu'on se dit tout le temps.

Speaker 2:

Au début de l'émission, on a dit quelles sont les croyances que vous traînez. On pourrait faire vraiment une session coaching du mardi ensemble sur toutes ces croyances-là. On pourrait peut-être en répertorier juste pour te dire c'est insidieux, tu ne le sais même pas, que tu dis ça Effectivement Par rapport à la libido, que c'est normal, c'est normal. Ça fait longtemps qu'on est ensemble, c'est normal. J'ai plus de libido. C'est pas normal.

Speaker 1:

Exactement, bravo, c'est ça. Non, mais c'est vrai, c'est pas normal, non.

Speaker 2:

Ça réaligne les chakras, ça fait du bien. Ça donne la petite joue rouge il brille, Oui bien oui, que j'ai sûrement depuis le début. C'est ça Pas grave, non, non, mais c'est ça, oui, c'est pas normal. Vous pouvez pas, vous, je veux dire vous pouvez pas vous asseoir sur votre libido, vous pouvez pas vous dire que c'est correct de ne plus en avoir.

Speaker 1:

C'est pas correct. Non, c'est correct. Mais on ne doit pas prendre pour acquis toutes les croyances qui circulent au sujet de cette phase et les enregistrer, parce que c'est ce qu'on fait inconsciemment. C'est pour ça que ce n'est pas évident de se placer au centre de sa démarche, parce qu'on va se prendre aux pièges, parce qu'on va se confronter, On va être challengé face à nos croyances, On va devoir faire des choix. Ça va être inconfortable, C'est sûr que c'est plus facile de rentrer puis de ressortir avec une prescription. Mais est-ce qu'on se sent plus en vitalité? Parce que si on se fait dire qu'on a tel diagnostic, ça renfonce le clou sur je suis malade, je ne suis pas en forme. Non, moi, je crois vraiment qu'il y a tellement de choses qui se passent entre les deux oreilles. C'est le cerveau et notre moteur le plus puissant.

Speaker 1:

Donc, oui, il faut se dire des choses qui, parfois, sont complètement ridicules, parce que, non, je n'ai pas 20 ans, mais je me sens comme si j'ai 20 ans. Merci mon corps de me permettre de Moi. Quand je m'entraînais, c'est ce que je disais constamment Je viens de courir 18 kil de kilomètres. Wow, merci. Merci à mes jambes. Elles ne sont pas neuves, mais elles sont fortes. Alors, c'est comme ça qu'on se bâtit une estime aussi, puis qu'on arrive à passer au travers ces phases-là en s'aimant au lieu de se dévaloriser Ça, ça veut dire qu'il faut être tellement curieux avec nous-mêmes.

Speaker 2:

Quand tu dis qu'il faut qu'on se place au de là, puis on est la clé de notre vie. On peut être en fermeture, puis on peut être en grande ouverture. Mais est-ce que je prête à être curieuse par rapport à chacune des pensées que je peux avoir à propos de ma vie, de mon corps, de ma libido, de ma santé physique, mentale? Si je commence à être curieux, c'est un grand pas vers plus de légèreté.

Speaker 1:

Oui, Puis, c'est ça, la vie, c'est d'évoluer, c'est de libérer des trucs, d'avancer. Puis ça, on n'est pas obligé de choisir, on n'est pas obligé d'adresser tout en même temps, c'est ça. Mais la curiosité amène tellement de pouvoir, je trouve. Quand on est prêt, c'est merveilleux.

Speaker 2:

Je peux juste te dire que je suis hyper. Jouer avec toi, marie-christine. J'ai envie de savoir qu'est-ce que mes cheveux révèlent. J'ai envie de trouver un poil ou deux sur Fred pour savoir qu'est-ce que son poil va révéler, parce que ses cheveux, il n'y en a plus. Mais surtout les tests génétiques pour l'épigénétique. Qu'est-ce que je mets en place?

Speaker 2:

Ça ne veut pas dire qu'il ça va peut-être retarder, ça va peut-être éliminer, ça va peut-être se produire quand même, sauf que je sais, et je saurais, que j'aurais tout mis en place pour faire le mieux que je peux?

Speaker 1:

Oui, absolument, parce que tu sais que tout réside dans tes choix de vie, la gestion de ton stress, ton alimentation, tes pensées, tout réside là-dedans.

Speaker 2:

Alors, voilà, prenez-vous en charge. J'espère que ça vous a donné envie d'être un peu plus responsable, d'être un peu plus curieux, de vous éduquer, de lire plus en profondeur, pas juste un scroll comme Achetez ceci pour obtenir cela. la promesse miracle, peut-être, de vous entourer de gens comme Marie-Christine qui sont prêts à vous. é tellement, tellement, c'est super le fun Et à vous la plus belle des prières. Merci, Et encore plus de ceci.