Impacter le monde avec Karine Champagne

118. Et si comprendre tes finances commençait par un dessin avec Joanie Nolet

Karine Champagne

Tu peux directement me texter tes commentaires!

Nous recevons Joanie Nolet, fiscaliste et fondatrice de Signé N, qui humanise la fiscalité avec créativité et empathie. On parle d’audace, de deuil, d’outils visuels et de stratégies concrètes pour salariés et entrepreneurs.

Pour rejoindre Joanie Nolet clique ici https://joanie-nolet.mykajabi.com/
Sur instagram: https://www.instagram.com/fiscalitesigneen/

« Les stratégies fiscales mentionnées dans ce podcast sont évidemment de l’ordre général et il est important pour l’auditeur de ce podcast de vérifier avec son spécialiste si les stratégies énoncées sont possibles selon sa situation réelle. Par exemple, la stratégie d’effet de levier ne convient pas à tous et que tous les cabinets n’acceptent pas d’offrir cette stratégie à cause du risque supplémentaire qu’elle implique ».

• fiscalité autrement, simple, claire et humaine
• quitter le cabinet pour se rapprocher des clients
• opportunités COVID et lancement à son compte
• deuil de sa fille et reconstruction intérieure
• exercices créatifs pour décisions financières
• outils concrets pour salariés et entrepreneurs
• planification pour 50 ans et plus, décaissement
• éducation financière des jeunes au secondaire
• CELI, REER, CELIAPP et base d’imposition
• petites contributions automatiques et régularité
• espace sécuritaire pour femmes et coaching
• appels à poser des questions et poursuivre l’échange

Si jamais vous avez envie d’aller peut-être outrepasser vos peurs de parler de finances, de fiscalité, que vous dites peut-être qu’il y a quelqu’un qui peut m’aider finalement à me comprendre, je ne serai pas jugée ou je vais peut-être même ajouter une touche d’or. 

Je vous invite sincèrement à contacter Joannie, son équipe. Tous les liens sont dans la description. 

Posez vos questions!


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Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
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Pour explorer l'univers de la question:
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Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

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Speaker 1:

Allô, allô, je te souhaite la bienvenue à un autre épisode du podcast Impacter le monde. Ça fait quelques minutes que je réfléchis et je me dis mais de quelle façon puis-je présenter cet invité absolument extraordinaire? Les mots me manquent pour vous parler de ce que vous allez entendre aujourd'hui. Il va y avoir, oui, un côté très artistique, il va y avoir un côté très humain. On va parler de chiffres et si d'ailleurs'as déjà payé un dollar d'impôt, ça risque de t'intéresser. Mais on va te parler aussi de ce mouvement qui s'est mis à l'intérieur d'elle de faire les choses autrement après un événement qui est très, très marquant. Donc, on va aller dans tous les sens Et mon invité est habillé d'une façon qui nous révèle que, oui, on va aller peut-être dans le côté plus noir, plus sombre, mais aussi beaucoup vers la lumière. Je suis tellement honorée de vous présenter Joannie Nollet, qui est comptable, fiscaliste et fondatrice de Signé N. Allô, Joannie, Bonjour. Qu'est-ce que ça veut dire pour toi impacter le monde?

Speaker 2:

Impacter le monde, c'est d'emmener ma couleur, d'emmener évidemment mon domaine, que je fais en étant fiscaliste, mais de façon autrement, justement la fiscalité. Autrement Donc, de l'emmener dans la lumière, dans la créativité, de faire en sorte, en fait, que les gens veulent en apprendre encore plus dans un sujet que, malheureusement, la société ne nous apprend pas Exact.

Speaker 1:

Et Non, c'est pas ça qu'on veut créer aujourd'hui. On veut vraiment créer de la curiosité, créer peut-être un désir, un intérêt d'en apprendre davantage.

Speaker 2:

Exactement. Puis, peu importe le niveau que tu es en fait, c fois sont gênés de dire Je ne connais vraiment rien. Donc, une fiscaliste, qu'est-ce que je vois, donc, c'est vraiment d'avoir un intérêt, simplement, et de se laisser guider.

Speaker 1:

Pourquoi je consulterais une fiscaliste quand je fais X milliers de dollars par année?

Speaker 2:

Bien oui, je paye un petit peu d'impôts mais c'est comme trop grand, C'est comme trop élitiste. Oui, oui, puis grosse stratégie, puis en même temps, tu sais, comme quand je rencontre des clients, souvent on reparle des mêmes sujets, c'est les mêmes questions qui me sont posées.

Speaker 1:

Donc, tu sais, ça part d'une base, tout ça. Donc, c' fait un choix de changer, pas de vocation, mais de changer de façon de faire les choses. Exact, parce qu'il y a eu un grand déclencheur.

Speaker 2:

Oui, effectivement, en fait, si on recule quand même de plusieurs années, ça fait cinq ans que j'étais à mon compte, mais j'ai été au-dessus de 10 ans de temps en cabinet. J'ai été aussi, au travers ça, en entreprise, comme comptable dans une entreprise. Mais ce qui redevenait souvent lourd pour moi, c'était, bien évidemment, je ne voyais plus les clients. Moi, j'étais quelqu'un que, tout le long de mes études, j'étais en restauration, donc, tu sais, le côté clientèle était très important quand même. Donc, je ne voyais plus les clients, je faisais des dossiers par-dessus dossiers. Puis, même s'il il y avait quand même de la créativité En étant fiscaliste, c'est de réorganiser en quelque sorte l'entreprise, mais avec un côté financier, avantages fiscaux et tout. Donc, il y a quand même de la création au travers des stratégies, puis au travers, et on a chacun notre vision de la création.

Speaker 1:

Là, je me disais est-ce qu'elle a vraiment dit qu'il y a de la créativité dans un fichier Excel? oui, pour toi.

Speaker 2:

Oui, effectivement, en même temps, c'est mon côté justement de mon code très créatif que j'amène beaucoup de couleurs, de créativité, de façon de faire, de penser, de voir la fiscalité, ce qu'évidemment un fiscaliste très rationnel aura peut-être plus de difficultés à faire. Il va faire les choses très bien, mais à sa façon. Donc, c'est vraiment ça que j'ai voulu ramener. Puis, c'est ça, je pense que je commençais à m'ennuyer, j'avais vraiment vu tout ce qui pouvait se faire. Puis, là, j'avais le goût de me rapprocher de l'humain, d'apporter ma façon de voir les choses à l'humain.

Speaker 1:

Puis, c'est ça, c'embrasser ça. Puis il y a plein de gens qui ont dû dire ben voyons, tu ne peux pas faire ça. Tu es en cabinet, tu as probablement le gros salaire, peu importe que ce soit donner sa démission de n'importe quel job à TVA, moi ou toi. Il y a tout le temps des gens qui ne comprennent pas.

Speaker 2:

Totalement, totalement.

Speaker 2:

Puis, tu sais, j'allais déjà avoir une bonne augmentation, parce que c'est des bonnes augmentations par année à chaque fois que tu t'échalonnais. Donc, tu sais, mais puis, oui, tu sais, j'ai eu, écoute, j'ai eu une notaire qui était proche de moi qui m'a dit bien, voyons un fiscaliste à travail en cabinet, qu'est-ce que tu vas faire conjoints? c'est sûr que c'est de l'insécurité, mais moi, même si je travaille beaucoup dans les chiffres, ça n'a jamais été ma première référence, justement, le côté monétaire. J'ai toujours pris mes décisions parce qu'il brûlait en dedans de moi ce que j'avais le goût de faire. Je ne suis pas quelqu'un qui a peur de foncer dans la vie. On m'a toujours dit que j'embarque. Puis je me dis au pire, je prendrai le chemin à côté si celui-là ne fonctionne plus. Mais tu sais, il a fallu qu'effectivement, que je débatte un peu mon point de dire bien, je pars à mon compte, je ne sais pas encore qui je vais desservir, mais je vais trouver. Puis, tu sais aussitôt que je l'ai annoncé, bien évidemment, à mes employeurs à ce moment-là, c'est en 2020 que j'ai commencé.

Speaker 2:

Puis, j'ai eu pas l'opportunité, j'allais dire, j'ai eu comme le flash de vouloir aider les cabinets avec les subventions, parce qu'ils étaient débordés par toutes les mesures administratives au niveau des subventions pour la COVID. Donc, là, j'ai vu une opportunité. J'ai dit bien, colin, je vais aider. Les cabinets sont débordés, fait que moi, je vais être à mon compte, mais je vais leur simplifier la tâche de tout. Dans le fond, faire les demandes de subvention, avec toutes les règles qui changeaient à tous les jours, à ce moment-là, c'était vraiment rendu Mon travail à temps plein.

Speaker 2:

Dans la dernière année, c'était ça que je faisais depuis des mois, à 70 % de mon temps. J'ai vraiment fait je vais me partir à mon compte. Puis, c'est ça qui va être mon départ. De là, j'ai eu une amie qui était en cabinet, qui m'a tranquillement, qui m'a renvoyé 75 entreprises à faire leurs subventions. Fait que moi, dès le départ, encore là, j'étais une fonceuse. Moi, tout de suite, quand j'ai parti à mon compte, j'ai dit je vais prendre une adjointe. Fait que j'ai dit moi, je veux faire la fiscalité. Fait que j'ai tout de suite délégué tout le côté administratif. Mais encore là, c'est la première chose. C'est normal. Mais ça a toujours été en dedans de moi d'y aller vraiment avec ce qui vibrait en moi, ce que j'avais le goût de faire. Fait que j'ai foncé. Puis, j'ai jamais repensé, en retournant au cabinet. Qu'est-ce qui te fascine?

Speaker 1:

tant à propos de la fiscalité.

Speaker 2:

Bien, en fait, je pense que ça part de vouloir aider les gens Déjà là. Pour moi, ça, c'est Oui, c'est sûr que j'ai un côté très rationnel quand même. Évidemment, pour être dans ce métier-là, J'aime trouver les stratégies et sauver le plus possible d'argent. C'est sûr, c'est ça, Moi je suis. Souvent, On est l'avocat de la loi de l'impôt. Parce qu'on a vraiment une loi, ça dépasse pour, On est vraiment basé sur des lois. Moi, je suis l'avocat de la loi de l'impôt. Il y a un côté très rationnel en moi d'aimer regarder les lois, trouver comment on pourrait fonctionner, mais surtout d'aider l'entrepreneur, la personne, à avoir plus de liquidités dans ses poches pour réaliser ses rêves. Si j'ai un côté très vouloir aider, j'ai toujours été comme ça Je pense que c'est les deux côtés. C'est ce qui me manquait un peu à la cabinet de ne pas rencontrer les clients. J'étais peut-être rendue là à devenir associée, puis rencontrer des clients, mais j'avais le goût de faire à ma façon, pas dans un cadre nécessairement.

Speaker 1:

C'est vraiment le mélange des deux je dirais Tu me parles de 2020, où tu grande transition, puis en 2022, il s'est produit quelque chose.

Speaker 2:

Oui, effectivement, il y a eu le décès de ma cocotte, ma dernière. J'ai trois enfants, donc, à ce moment-là, ma plus vieille, elle avait cinq ans, celui du milieu, l'hélio, avait quatre ans Et Sueva, elle est décédée à trois ans, donc en février 2022.

Speaker 1:

Elle est décédée d'une mort subite, oui Inexplicable.

Speaker 2:

Effectivement, les médecins n'ont jamais rien trouvé. Elle n'avait pas de COVID. C'était le temps de la COVID encore. Il n'y avait pas de COVID, il n'y avait pas de virus, ses organes étaient intacts. Ils nous ont appris le 10 février, puis c'est allé en septembre, avant qu'ils nous disent malheureusement rien à vous dire concernant son décès. Puis, on ne peut pas parler d'une mort subite qui m'expliquait, puisque c'est 18 mois et moins qu'on peut vivre la mort subite. Elle était rendue à pratiquement 3 ans, 2 mois ans. Donc, c'est un cas inexplicable. Donc, elle est décédée subitement dans son sommeil. Comment tu as?

Speaker 1:

réussi à remonter la pente ou recommencer à travailler. Dans quel état on se retrouve? On peine à imaginer dans quel état on se retrouve.

Speaker 2:

C'est sûr que les premières journées, semaines qui suivent, ça, tu es sur une adrénaline, 'es sur une adrénaline, t'es sur une adrénaline de dire là, il faut organiser les funérailles, il faut organiser Un enfant qui décède tôt, comme ça, évidemment, il n'y a pas de paperasse, il n'y a rien Au niveau de l'impôt, peu importe, moi j'en fais des'est vraiment l'émotion qui est à gérer à ce moment-là. Les premières semaines ont été difficiles. Puis, c'est tout à fait normal, c'était juste de se retrouver en famille et de le vivre, de le pleurer, de le vivre, puis de laisser aller le temps. On s'est toujours fait dire qu'on était très forts, qu'on avait une grande résilience parce que, dès les premières journées, on était là pour les autres qui avaient de la peine autour de nous, on prenait soin de nous, on nous disait qu'on faisait les bonnes choses, même si on ne savait pas nécessairement quoi faire, on faisait simplement le vivre.

Speaker 2:

Mais moi, j'ai eu comme réflexe puis c'est différent pour chacun, parce que j'ai des connaissances qui ont perdu leur enfant dernièrement Pour eux, c'était d'arrêter sur du long terme, puis, c'est très correct, mais moi, en étant évidemment période d'impôt, décédant en février, donc période réère, après ça période d'impôt, pour moi, le réflexe a été pas de m'étourdir dans le travail, mais de recommencer de juste comme faire. Je vais faire ce que je suis capable, puis j'arrêterai quand le mental et le corps me le demandera. Donc, ça a été vraiment mon premier réflexe Fait que j'ai recommencé fin février à travailler, donc trois semaines après environ.

Speaker 2:

Oui, exactement Même. Je pense que c'est le 28 février. Je me rappelle d'avoir pris la décision de dire à mon chum regarde, les enfants sont retournés à l'école. On voulait eux aussi les remettre dans leur système, avec leurs amis et tout. Donc, on voulait qu'ils retrouvent un semblant de vie pour l'instant, pour se faire entourer et se faire changer les idées. Bref, oui, j'ai recommencé quand même rapidement. Mon conjoint, lui, évidemment. Il était arrêté parce qu'il est sur le paysagement, il était en arrêt de toute façon jusqu'en avril. Il m'a soutenue. Je ne veux pas traverser ça, dans ma grosse période aussi. Mais tu sais, j'ai la chance, je travaille de la maison. C'est une belle chance. Puis, j'ai eu la chance aussi de quand j'allais dans mon bureau, je travaill demande comment j'ai fait.

Speaker 2:

Mais j'étais productif, je faisais ce que j'avais à faire. Les clients, ils avaient des fois un peu de malaise, justement, à dire Voyons, joanie». Ils ne me le disaient pas, mais tu te voyais dans leur visage. Tu as perdu un enfant et tu es super joyeuse. Mais tu sais, ce n'était pas, je me laisse aller, puis ça revient. Mais c'est une chance que je dis en même temps, parce que tu sais, en étant à la maison, veux, veux pas. Tu sais, j'aurais pu ne plus être capable de travailler, à travailler vite. Non, parce que ça tu le vis, puis il faut que tu le vives à ta façon. Ça a été.

Speaker 1:

Tu as été en mesure de travailler comme ça jusqu'au mois de septembre, où tout était correct. Puis, à un moment donné, tu as décidé juste qu'il fallait que tu arrêtes.

Speaker 2:

Moi, il y a eu un ing nouveau aussi qui s'est ajouté dans ta business, un peu grâce à ça. Oui, effectivement, en fait, c'est en juillet que j'ai arrêté parce que mon garçon n'était plus capable d'aller à la garderie. Il y a eu vraiment un déclenchement. Puis, je m'étais dit, comme je vous ai dit juste auparavant, le moment où je vais sentir qu'il faut arrêter, je vais arrêter. Donc, en juill, mon garçon pas capable de sortir de l'auto. On était à la garderie, je jouais au chat et à la souris, je courais après, il s'en allait dans la valise.

Speaker 1:

On est six mois après le décès de Swim.

Speaker 2:

Exactement, il s'en allait dans la valise, il revenait en avant, puis là, moi, je courais pour essayer de l'attraper, de le sortir. Puis je me suis vue, comme faire Hey, que là on est rendu, là On est rendu au moment où il faut arrêter. Puis, j'ai complètement arrêté jusqu'au mois de septembre. Donc, oui, c'est sûr qu'il y a eu énormément de peine, de besoin d'être ensemble, de besoin de se parler, de besoin de dessiner Demain les enfants, c'est par le dessin, par l'écriture, le chant, peu importe. On a eu besoin vraiment de se retrouver. Mais ça a été pour moi un moment qui m'a fait réaliser beaucoup de choses. Un, d'avoir perdu un enfant, puis de se dire demain matin, la vie peut arrêter n'importe quand, évidemment, parce que nous, c'était pas quelque chose qui était prévu, c'était pas une maladie, c'était pas rien, fait que tu sais, de dire demain matin, il peut arriver n'importe quoi.

Speaker 2:

Bien, pour moi, ça a été il faut que je la vis à deux, cette vie-là», il faut que je la vis pour deux, cette vie-là», il faut que je la vis pour moi, il faut que je la vis pour elle qui n'a pas pu le vivre. Puis aussi, d'arrêter de prendre ce moment-là d'espace. C'est là que ça m'a permis de réaliser aussi dans ma vie personnellement, au-delà du décès et tout ça. Je suis quelqu'un de très créatif. Oui, je le disais au tout début.

Speaker 1:

Il y a de la créativité dans le fichier Excel, mais pas que.

Speaker 2:

C'est ça, Moi, je trouvais ma créativité au travers de ça.

Speaker 2:

mais évidemment, il n'y a pas de couleur, il n'y a pas rien si tu n'en mets pas. dire bien, moi, je vais faire la fiscalité autrement. Ça a été vraiment comme ma phrase future de dire moi, je m'en vais vers là, je veux qu'il y ait de la couleur, je veux que les gens aiment la fiscalité, je veux faire vivre autre chose aux gens qui veulent apprendre, qui ont le goût de mieux gérer leur entreprise sainement et tout. mais comment faire ça? C'est de là, C'est cet espace-là, autant de prendre soin de moi, de mon deuil, de ma famille, mais en même temps, de m'arrêter de faire comme comment que je veux voir ça pour l'avenir, Qu'est-ce que je veux réaliser? Je veux-tu voir plein de possibilités ou je veux en rester à? je fais des stratégies organigrammes et je continue avec ma loi et mes choses. Donc, Je continue avec ma loi et mes choses.

Speaker 2:

Ça a été pour moi un espace qui m'a permis Je dis souvent que Sueva, c'est ma force de tout ce que je réalise aujourd'hui, C'est la petite cocotte en haut. Aussitôt que je dis que je devrais faire ça, Sueva était dans la joie, dans le jeu, dans le bonheur. Sueva n'avait pas de stress. Elle prenait son yogourt avec ses fraises le matin et elle fermait ses yeux pour le déguster. C'était comme la légèreté. Je me dis OK, c'est ce qu'il faut. pour mes clients aussi, Il faut de la légèreté, de la joie, du bonheur, de la création, de la couleur. j'aime, si on prend mon coaching Souveraineté financière, qui est des exercices d'art pour les femmes au travers les finances, moi je m'amuse, j'adore, je crée à tous les jours.

Speaker 1:

Mais comment tu as réussi à rajouter l'art? Parce que quand on regarde ton profil, tu as des photos qui sont absolument sublimes, où tu as de la peinture dans le visage, c'est très coloré, tu as les pinceaux, Puis on peine à croire même que tu vas nous parler de finance, parce que c'est un moteur pour toi la création, la créativité. Puis de quelle façon on peut jumeler les deux dans ton univers quand tu le partages à tes clientes?

Speaker 2:

Bien, en fait, c'est sûr qu'il va toujours. J'intègre évidemment la théorie, mais ça doit être vraiment à partir d'exercices, de visions, puis de créations, puis de possibilités. Fait que souvent, je pars d'un exercice. Si on prend l'arbre des possibilités que j'ai fait, bien, l'arbre, évidemment, tu la dessines, l'arbre, tu y mets de la couleur, tu y les branches, ça va être les possibilités de services que vous pouvez offrir, de produits.

Speaker 2:

On va rajouter la notion financière de dire, bien, si je veux avoir tant de résultats de plus au niveau du chiffre d'affaires, bon, bien, ma feuille, comment que je veux de plus, fait que tu sais, on y va vraiment pour rajouter des chiffres, puis des notions financières. C'est sûr qu'au niveau du coaching en soi, je vais avoir peut-être un 30-40 minutes, qui est un peu plus, comme je t'explique telle méthode, telle chose, ou je t'explique mon fichier Excel que je t'ai conçu pour ton budget, je te l'explique et je t'explique quelques notions à faire attention. Mais après ça, on tombe tout de suite dans la création pour venir dupliquer en fait toutes ces notions-là au travers de la création, l'appliquer, le dupliquer.

Speaker 1:

Tu as employé le mot pour les entrepreneurs, mais il faut bien le dire, si tu nous écoutes et que tu es encore là avec nous en ce moment, tu te dis que tu n'es pas entrepreneur, ce n'est pas pour toi, c'est faux, parce que tu amènes aussi cette créativité, ce regard très lumineux sur les finances pour n'importe quel homme, femme, humain qui travaille aussi à salaire.

Speaker 2:

Oui, on me dit souvent que j'ai la façon aussi d'expliquer clairement et facilement les finances. C'est sûr que les gens qui viennent me rencontrer, que ce soit un particulier qui est salarié, ou que ce soit un particulier qui a de la gestion immobilière à faire ou quoi que ce soit, je fais aussi du placement. C'est sûr que je peux vraiment travailler avec toutes sortes de façons de gagner vos revenus. Donc, les gens, moi, je dis souvent puis, je te l'ai déjà dit, la fiscalité, en fait, aussitôt que tu gagnes un dollar, tu payes des impôts.

Speaker 2:

Les gens me disent souvent je ne suis pas rendue là à avoir un fiscaliste, je ne gagne pas assez. Ah bien, moi, je suis salarié, fait qu'il n'y a pas grand-chose à faire. Mais ce n'est pas vrai, parce que moi, tous les clients qui s'assiedent à ma table, que tu sois salarié, que tu es entrepreneur, que tu sois en gestion immobilière, que peu importe tu f soit de bien gérer tes finances, ta liquidité, il y a quelque chose à faire. Assurément, oui, la fiscalité, ça peut être à un niveau très poussé, mais on peut revenir à la base aussi et parler de fiscalité financière de base.

Speaker 1:

Tantôt, tu disais moi, je ne gagne peut-être pas assez, je n'irai pas chercher un fiscaliste. Puis, je me posais la question avec l'âge, est-ce qu'il y a aussi, par exemple, une femme qui a 50, 55, 60 ans? humain est-ce qu'il dit? il est trop tard de toute façon. Est-ce que tu l'entends?

Speaker 2:

par exemple, Il est bien trop tard, oui, je l'entends, mais je dirais en placement, entre autres, moi, ce à quel point j'ai vraiment gravé les échelons très rapidement. Mais c'est entre autres parce qu'il y a des gens rendus justement à la cinquantaine, qui avaient besoin vraiment d'un plan de décaissement et de stratégie à prévoir en vue de bientôt, peut-être, sortir les sous, parce que, de plus en plus, les gens aussi veulent en profiter. On le voit au niveau des jeunes qui veulent apprendre pour profiter de leur liquidité tout de suite. Mais on le voit beaucoup au niveau, justement, un peu plus vieux, à 50 ans, de dire peut-être que je n'arrêterai pas à 65. Je vais peut-être arrêter avant, je vais peut-être faire une semi-retraite. Évidemment, il y a beaucoup de stratégies à avoir aussi au niveau du plan de décaissement, même si tu n'es pas rendu au décaissement, de le stratégie, ne serait-ce qu'une que je pourrais dire.

Speaker 2:

Les gens, des fois, ils n'ont pas encore rempli leur CELI. Puis, souvent, qu'est-ce qu'on va faire? C'est qu'on va prendre la valeur de la maison, parce qu'à 50 ans, souvent, elle est pratiquement payée ou il n'en reste pas beaucoup, puis on va remplir les CELI avec la valeur de la maison. Puis, moi, j'appelle ça vivre de la maison, de remplir nos placements et d'en vivre, c'est que tu places ta maison et tu le ressors pour en vivre, mais tu vis dans ta maison quand même.

Speaker 2:

Mais ça, autrefois, si je peux dire, il y a beaucoup d'années, ce n'était pas bien vu, parce que ce n'était pas normal d'être rendu à la retraite et d'avoir encore un emprunt. Mais il faut faire la différence entre des mauvaises dettes et des bonnes dettes. Si tu rythes peut-être ta maison à 50 ans et que tu as encore la valeur de la maison, tu n'es pas endetté, mais tu vis de ta maison dans ta maison. Ça, c'est très différent. Il y a des stratégies à avoir. Ça, c'est quelqu'un qui est salarié, c'est quelqu'un qui est proche de la retraite, un entrepreneur. Il y a beaucoup de stratégies à avoir, que ce soit moi, que ce soit n'importe qui, mais d'aller voir un courtier, d'aller voir quelqu'un qui peut donner des stratégies, mais surtout d'être coaché pour vraiment prendre les bonnes décisions.

Speaker 1:

As-tu la perception encore? puis, je l'ai déjà entendu. je me demande si je n'ai pas fait un reportage là-dessus, Si tu aser mieux de parler de ta vie sexuelle que de tes finances. Est-ce que tu as déjà entendu ça? Non, je n'ai pas.

Speaker 2:

Je ne l'ai jamais entendu, mais je comprends. Ça fait du sens, parce que les gens sont très gênés de parler de leurs finances parce qu'ils manquent de connaissances. Je l'ai dit tantôt, la société, malheureusement, elle ne nous apprend pas à gérer nos finances. Tu sors avec un bac à l'université, mais tu n'as pas eu tant de cours de gestion des finances. C'est peut-être basic, mais pas grand-chose encore présent. Pire, si tu sors évidemment du secondaire du cégep, bien, tu sais encore moins. Là, tu as moins eu accès à ça. Si tu viens d'une famille bien, qui évidemment n'a pas eu cet apprentissage-là, bien, c'est dur à redonner à l'enfant. Donc, fait que tu sais. Moi, c'est mon plus grand défi, c'est de faire en sorte que la société soit de mieux en mieux instruite au niveau de ses finances. Pas d'en faire des comptables, pas d'en faire des fiscalistes, de juste mieux gérer sa liquidité pour pouvoir en profiter, puis en vivre.

Speaker 1:

Il y avait quelque chose d'intéressant que tu m'as dit. tantôt, On va parler des jeunes, puis on va voir la différence entre la génération, par exemple, de mes enfants et des jeunes qui sont au secondaire et la génération qui est un petit peu plus adulte. T'es allée donner une conférence, entre autres, au secondaire, pour dire aux jeunes est-ce que vous savez comment lire votre chèque de paye? Puis, je suis comme mon Dieu, il n'y a jamais personne qui m'a montré ça. Tu l'apprends à un moment donné parce que tu t'intéresses.

Speaker 2:

Parce que tu demandes à ton parent.

Speaker 1:

Ou tu ne regardes pas, puis tu fais semblant de rien. La paie est déposée automatiquement, tu pognes le slip de paie.

Speaker 2:

Tu as une retraite que tu sais comment. Tu as des RRQ de rentre du Québec. Exact, c'est ça.

Speaker 1:

C'est en plein sommeil, toi, tu as décidé de donner aussi, puis de dire OK, moi je vais aller éduquer les jeunes.

Speaker 2:

Bien, en fait, je me suis faite approcher par un de mes anciens professeurs qui, dans ce cours-là, entre autres, ils allaient apprendre à mettre une roue sur leur auto, si jamais il arrivait quelque chose, fait que, tu sais, il éduquait l'enfant. Il éduquait pas qu'il manquait d'éducation avec les parents, mais tu comprends, il sortait du cadre, puis il avait eu le droit, évidemment par l'école, parce que c'est sûr qu'il voyait les REER, les CELIAC, les étudiants. Puis là, il avait dit ben, tu sais, j'aimerais ça des fois. Tu sais que les étudiants, C'était parti de là de dire la différence entre un comptable et un fiscaliste, si jamais il veut s'en aller vers ce domaine-là, c'était parti de là. Puis, là, moi, quand que j'ai su ce qu'ils aillent à payer des choses sur leur talon de paye, qu'est-ce qu'ils cumulent, si elle tombe enceinte, la cocotte, qu'est-ce qu'elle va avoir le droit, comment elle va cumuler son RQAP, qu'elle paye, fait, que tu sais, plein de choses comme ça.

Speaker 2:

Puis, écoute, ça a été Les étudiants. Là, j'en revenais pas De un, il n'y avait pas accès. Non, mais sans blague, tu sais, il m'a regardée, puis il posait des questions. Puis, même quand je suis sortie, bien, quand les étudiants sont sortis, le professeur a dit ils ont posé beaucoup de questions C'est incroyable comme qu'il était intéressé. Puis, c'est là que je C'est à ce moment-là, tu sais, ça fait déjà deux ans et demi vraiment apprendre. Ils veulent vraiment comprendre et ils veulent surtout profiter de leur argent dès maintenant.

Speaker 1:

Oui, C'était peut-être une des surprises aussi de gens qui s'intéressent à leur finance ou qui vont choisir d'être coaché par toi ou embarqué dans tes coachings de groupe. Ce n'est pas nécessairement des gens, C'est ouvert à tous. Je ne suis pas en train de faire si vous avez en haut de 50, il est trop tard. Ça n'a rien à voir, c'est pas ça. Mais il y en a beaucoup qui sont jeunes et qui veulent déjà apprendre à bien placer leur argent. On le voit même avec nos garçons. Ils sont beaucoup plus intéressés à placer leur argent que moi je pouvais l'être à leur âge Parce qu'ils veulent vivre autrement. Puis il y a la crypto-monnaie, puis il y a les NFT, puis il y a toutes sortes d'autres term. On voit l'intérêt, Tu le vois, toi aussi Totalement, surtout au niveau du placement.

Speaker 2:

Souvent, les parents vont dire Mon garçon, j'aimerais ça qu'il vienne te voir, mais il place par lui-même. Il s'amuse là-dessus. On le voit beaucoup, beaucoup. C'est sûr qu'en même temps, quand tu n'as pas aucune dette, tu n'as pas de famille, rien, tu peux jouer un peu risqué. Je comprends qu'ils ont le goût de s'amuser, puis c'est correct. Mais oui, je le vois beaucoup l'intérêt de. Je vais essayer, je vais faire des transactions, justement, je vais voir qu'est-ce que ça donne, fait que tu sais, je le vois beaucoup plus. C'est sûr qu'ils ont accès beaucoup à tout ce qui est intelligence artificielle de venir justement dire bien, tu sais, tu te dis mettons, bien 50 ans des fois.

Speaker 1:

Tu sais, les gens sont peut-être.

Speaker 2:

Puis, non, c'est ouvert à tous, mais c'est aussi ouvert à Bien. Je vais payer un coaching à mon garçon, je vais lui donner ce cadeau-là». Ou, tu sais que ce serait mon portail physical qui a au son téléphone les capsules. Fait, que tu sais de donner ce cadeau-là, qui est peut-être un 600, quelques dollars par année pour le portail. C'est un super beau cadeau à offrir et à dire regarde, écoute-le, écoute-le si tu veux pas, mais c'est une belle façon de t'instruire au niveau financier, d'avoir des bonnes bases, d'avoir des fich. Je le vois beaucoup comme ça, à ce temps, oui, j'ai beaucoup de gens qui m'ont mis en placement avec moi, qui ont 50 ans et plus, mais je le vois beaucoup comme ça, que ça fait deux qui disent moi, je vais l'acheter pour mon garçon, moi, je vais l'acheter pour ma belle-fille. J'ai une cliente qui me dit moi, mon garçon et ma fille ont décidé de se partir en entreprise, en ménage. Je faisais des ménages dans les résidences.

Speaker 1:

C'est ça exactement.

Speaker 2:

Puis elle dit je veux qu'ils partent comme il faut, en tant qu'entrepreneurs ensemble. Puis elle dit je veux qu'ils aient les bonnes bases. Elle dit j'aimerais ça comme leur payer un de tes forfaits que tu offres. Donc, tu sais, je le vois beaucoup comme ça pour la génération qui n'a peut-être pas eu la coût de la vie.

Speaker 1:

On fait juste regarder nos enfants encore là Quand c'est le temps de partir en appart. je réfléchis aux 30 ans derrière, quand j'ai eu mon premier appart. On parlait de 450 $ par mois On avait quand même des bons salaires à l'époque.

Speaker 1:

Je me rappelle 22-23 ans, j'ai déroulé le 80 000 par année. C'était rien, Ma possibilité d'acheter et mon pouvoir d'acheter, puis mon pouvoir d'achat était gigantesque. Puis là, je les regarde, je me dis mais comment ils vont faire? Est-ce que toi, tu te poses la question ou est-ce que tu as déjà une stratégie pour qu'on ait, au-delà de? Parce que moi, ma réflexion, en fait, Joannie, c'est comment ils vont faire pour acheter une maison.

Speaker 2:

Bien, tu vas y arriver d'une façon ou d'une autre. On dirait que je me dis c'est plus dans, parce qu'à ce temps-là, si on parle juste du CELI app, les jeunes qui sortent, ils peuvent avoir accès au CELI non-imposable pour l'achat d'une première propri. C'est un 40 000 dans, celui-là, plus le rap qu'on parlait autrefois, qui est encore là de 60 000 aujourd'hui.

Speaker 2:

On peut combiner les deux, ce qui donne un 100 000 de mise de fonds. Oui, les maisons valent plus cher. En même temps, aujourd'hui, tu engages les personnes à l'université. Moi, j'ai commencé à 17 piastres de l'heure. Aujourd'hui, un comptable, c'est peut-être Peut-être que je parle au travail, mais ça doit être un 20-22 facile. Oui, ça ne grandit pas au même rythme que le coût de la vie, ça, je suis tout à fait d'accord. Mais il reste quand même que, de plus en plus, il y a des mesures pour venir aider, parce que le gouvernement ne voudra jamais qu'on était dans le temps de la pandémie et que tout a un peu crashé pendant un certain temps. Ne soyez pas inquiets De un moi.

Speaker 2:

Les placements, c'est du placement à long terme. On n'est pas ici à court terme, on ne fait pas de trading, on est dans du long terme. Le gouvernement, tôt ou tard, bientôt, va vouloir que le monde recommence à sortir, puis à dépenser. Il y a toujours des mesures, selon moi, qui vont venir pallier quand même au coût de la vie pour venir diminuer l'impact. Mais c'est sûr que, oui, aujourd'hui, une maison en bas de 400 000, il y a beaucoup de rénovation.

Speaker 2:

Oui, c'est ça. Tu n'as pas grand-chose. Un jumelé va partir à ça. Moi, je suis en région.

Speaker 1:

Tu ne regardes pas ça avec inquiétude. L'inquiétude que moi j'ai sur la vie de mes fils, la vie future de mes fils, tu ne l'as pas toi.

Speaker 2:

Je ne sais pas. J'ai jamais posé la question à ma grand-mère. Je devrais y poser. Elle est encore là aujourd'hui. Je me dis sûrement qu'elle avait la même inquiétude pour ma mère et pour ses enfants. Ça, l'inquiétude de ceux qui me disent souvent j'ai rencontré aucun rapport, je me le dis pareil. Mais j'ai rencontré un monsieur en allant faire mes vaccins, il y a quelques semaines, puis il me dit, mon Dieu, il dit t'en penses quoi? des réseaux sociaux, puis des enfants. Je me dis bien, tu sais, tout est dans l'éducation. J'ai dit, moi, mon enfant, dès le bas âge, il y avait accès à notre téléphone si elle voulait jouer. Par contre, mes enfants passent la journée dehors. Mais quand, comme moi, qui arrivent de leur journée, qui sont fatigués, ben, allez-y sur la tablette, c'est normal. Moi aussi, je me situe dans ma TV et j'écoute mes émissions. Fait que tu sais. Je trouve que les inquiétudes, on s'est créé'aura même pas l'inquiétude. L'enfant va embarquer et va dire aujourd'hui, ça coûte ça une maison. Qu'est-ce que je fasse?

Speaker 1:

Je vais emprunter et je vais travailler pour le payer. C'est comme si, moi, plus je le dis, plus je vais peut-être leur créer de l'inquiétude, Comme mon Dieu on ne sera jamais capable.

Speaker 2:

nous non plus Tandis trouver des façons de faire Exactement, puis, au pire, justement, il va y avoir des personnes qui vont t'aider à trouver les solutions pour y arriver. Oui, exact.

Speaker 1:

Quel est le meilleur conseil peut-être qu'on t'a donné au niveau de tes finances, ou que tu as découvert, ou le conseil que toi, tu appliques en numéro un pour tes finances?

Speaker 2:

Bien, c'est sûr que d'épargner le plus tôt possible que ne serait-ce que 10 $. Des fois, il y en a qui vont dire, justement, ils viennent chez nous, puis ils me disent bien là, moi, c'est parce que je n'ai pas grand-chose à placer Tes fiscalistes. Moi, je dis pas grave, mets 10 $ par semaine, moi je vais être super contente. Tu commences par ça. Puis même que c'est sûr que plus tu commences jeune, bien évidemment, plus que tu accumules des montants exorbitants parfois, mais je te dirais de la régularité, de bien gérer tes choses, dans le sens que tu t'attends toujours à la fin de l'année pour regarder comment tu vas payer. Tu sais, souvent, on parle d'impôts, les gens vont être stressés au moment des impôts.

Speaker 2:

Pourquoi? Parce qu'ils n'ont aucune idée de comment ils vont payer d'impôts. Ils sont juste stressés de dire va falloir que je débourse. Comment Ça arrive souvent? C'est sûr, je travaille beaucoup les dossiers de mes clients. Je vais chercher tout ce que je peux, Mais des fois, les gens reçoivent, ils font comme. Je pense que l'anxiété vient du repoussement, de vouloir voir s'éduquer, étudier, apprendre, poser des questions.

Speaker 2:

En même temps, comme je dis, ce n'est pas de devenir un comptable, ce n'est pas de devenir un fiscaliste, mais c'est juste d'avoir la base de dire j'ai mon taux d'imposition pour un tel salaire, c'est environ tant durant l'année sur ma paye. Je suis capable de regarder mon tarot paye, J'ai payé tant d'impôts. Ça veut dire qu'il me manquerait peut-être tant moins les crédits. Juste d'avoir une base de pouvoir le calculer vraiment simplement. déjà là, ça va enlever beaucoup de stress.

Speaker 1:

On dirait que tu me parles de Mais regarde ta feuille, ta liste d'épicerie, fais des petits, c'est pas compliqué.

Speaker 2:

Du tout, du tout, c'est vraiment pas compliqué. Pis, c'est de partir de la base, pis c'est de s'enlever. Le fait que c'est compliqué, fait, que tu sais, c'est juste de vouloir, de dire bien, je vais m'asseoir, je vais me le faire apprendre, me le faire apprendre peut-être par la bonne personne, parce que c'est pas tout le monde non plus, tu sais, il y en a souvent qui pied, puis ça finit là. Puis je dis ouais, bien, là, c'est pour ça que moi, je suis là. Je suis l'extension de ton comptable. Je ne la ferai pas ta comptabilité, je ne le ferai pas ton état financier de fin d'année, je ne ferai pas tes déclarations d'impôt d'entreprise. Je vais te les expliquer, fait, que tu sais, c'est là, c'est de trouver la bonne.

Speaker 1:

Il n'y a pas de salaire annuel, que tu fasses 20 000, 30 000 ou 3 millions, un fiscaliste comme toi, tu es à portée de main, tu es là pour éduquer et aider.

Speaker 2:

Exact. Oui, tu fais bien de dire comme moi, parce qu'il y a peut-être des fiscalistes aujourd'hui qui nous écoutent et qui vont dire Voyons, il n'y a rien à faire avec un salarié, Ça se pourrait, parce que tu sais, c'est vraiment de trouver la bonne personne pour toi, selon tes besoins, effectivement. Mais oui, aussi que tu payes un dollar d'impôt, tu as besoin d'un fiscaliste pour ne serait-ce que sauver 30 dollars.

Speaker 1:

Oui, c'est ça. Imagine, tu peux même faire ça en faisant des dessins, en utilisant des crayons de couleur, en appliquant différentes stratégies, en les visualisant. On s'amuse tellement.

Speaker 2:

Oui, on s'amuse tellement. J'ai vraiment des beaux commentaires. Le coaching souveraineté financière a commencé en novembre 2024. Puis, j'ai vraiment des beaux commentaires, des femmes qui disent bien, en tant que femme, parce que là j'ai un coaching structure qui est vraiment pour tout le monde, peu importe homme, femme, tout le monde, peu importe, hommes, femmes, peu importe. Mais souveraineté financière, j'ai voulu le conserver pour les femmes, pour avoir vraiment un endroit sécuritaire de ne pas aller de ses finances sans jugement. Tu sais, de c'est ça, tu sais. Mais tu sais, les femmes, ils me donnent des super beaux commentaires de dire tu sais, c'est des notions de femme s'inscrit à mon coaching.

Speaker 2:

Je leur envoie un sac avec dedans un livre de dessin que j'ai tout fait, à l'effigie, d'évidemment, de psychiatrie signienne et tout, avec des crayons de couleur, avec des pinceaux, avec la peinture, et tout. Je lui fais un petit kit de départ. Moi, ce que je veux, ce que je veux que ton livre de dessin, que tu vas faire au fur et à mesure des sessions, je veux que tu aies le goût d'y regarder, Parce que le but de ça aussi, c'est que ton exercice, qu'on a fait en janvier, possiblement, que si tu le refais en mars, tu vas déjà avoir des différences dedans à mettre. Si tu le refais au bout de six mois, peu importe.

Speaker 2:

Donc, tu sais, j'ai parlé avec quelqu'un qui travaille beaucoup au niveau du cerveau pour, tu sais un peu, voir comment je pouvais emmener ça. Puis, les images c'est ce qui fait intégrer les notions le plus rapidement et le plus facilement possible, parce qu'une image crée des idées, puis crée une façon de se rappeler de la notion qui était peut-être compliquée au départ. Donc, c'est vraiment de là que je pars pour créer toutes sortes d'exercices qui sortent de ma tête et que je peaufine.

Speaker 1:

T'es une beauté inside out.

Speaker 2:

Joannie, t'es lumineuse, t'es radieuse, puis je pourrais dire que t'es même fluorescente, c'est gentil, c'est sûr que mes belles allergies aujourd'hui, mon, c'est sûr que mes belles allergies aujourd'hui, mon nez enrhumé. c'est super. On n'a rien vu, rien entendu.

Speaker 1:

On a juste été omnibilés par toi.

Speaker 2:

Merci infiniment d'avoir été là.

Speaker 1:

Ça a été un charme de te rencontrer. Si jamais vous avez envie d'aller peut-être outrepasser vos peurs de parler de finances, de fiscalité, que vous dites peut-être qu'il y a quelqu'un qui peut m'aider finalement à me comprendre, je ne serai pas jugée ou je vais peut-être même ajouter une touche d'or. Je vous invite sincèrement à contacter Joannie, son équipe. Tous les liens sont dans la description. Posez vos questions Si vous en avez aussi. On pourrait faire aussi un live un peu plus tard, à la suite de la diffusion de notre premier épisode Pour à toi. Alors, je termine avec la plus belle des prières, parce qu'elle est si importante pour moi. Merci, gratitude. Encore plus de ceci, s'il vous plaît. Bye.