
Impacter le monde avec Karine Champagne
Découvre mon nouveau podcast "Impacter le monde "
Un podcast dédié à ceux qui souhaitent laisser une empreinte positive sur notre planète.
Chaque épisode est une invitation à explorer les histoires inspirantes de personnes qui change le monde à leur manière.
Karine Champagne, avec sa voix chaleureuse et son approche empathique, vous guide à travers des conversations captivantes avec des invités exceptionnels.
Ce podcast offre une dose d'inspiration et des leçons pratiques pour ceux qui aspirent à faire une différence.
Rejoins-moi pour un voyage inspirant vers le changement et la découverte de comment, ensemble, nous pouvons impacter le monde.
Impacter le monde avec Karine Champagne
111. Ménopause après 45 ans : ce que personne ne dit avec Stéphanie Dubé
Tu peux directement me texter tes commentaires!
Et si les symptômes de la ménopause étaient en fait des messages précieux de ton corps?
Dans cette session gratuite avec Stéphanie Dubé, fondatrice de l'école Satnam on explore la ménopause à travers le décodage biologique et l’intelligence émotionnelle du corps.
🔥 Bouffées de chaleur
⚖️ Prise de poids
🥀 Sécheresse
😠 Irritabilité et colère
💔 Sexualité en transformation
👤 Crise d’identité
Tout ça peut sembler inconfortable…
Mais quand on apprend à écouter, le corps devient un guide, pas un ennemi.
✨ Un moment pour ralentir, comprendre et se reconnecter.
✨ Une invitation à se poser des questions!
Tu ne regarderas plus ton corps de la même façon.
👉 Rejoins Stéphanie ici
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Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
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Pour explorer l'univers de la question:
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Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.
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C'est clairement un sujet qui vous fait palpiter, mesdames, particulièrement si vous avez en haut de 45, 50 ans, peut-être même 35. On parle de ménopause aujourd'hui et le nombre de courriels que j'ai reçus depuis que j'ai envoyé l'invitation, j'étais ébahie. Donc, oui, ça demeure un sujet chaud Et on va commencer tout de suite avec le courriel de Lynn qui me dit Oh my God, chère Karine, quel sujet puissant. On parle de la ménopause toujours«. J'ai lu récemment que dans la vie des orientaux, la ménopause est appelée le nouveau printemps des femmes, que c'est beau, mais table de cuque, de pute de sapristi, que mon mental a de la difficulté à accepter et à aider mes hormones dans le physique. Donc, est-ce qu'il y aurait d'autres façons alimentaires, autres que des édamanes, que par leur croisement, qui seraient aidantes pour ne pas prendre autant de poids? Parce que j'ai pris plus de poids en ménopause que pendant ma grossesse. Donc, ça fait partie d'un des angles qu'on va aborder, mais il va y en avoir d'autres, comme le poids, la sécheresse, les chaleurs, l'irritation, la colère, la sexualité, l'identité. Et qui d'autre mieux placé que mon invité, qui est une amie que j'adore, qui est d'une intelligence incroyable et c'est toujours agréable de discuter avec toi. Je te la présente avant qu'elle ouvre la bouche.
Speaker 1:Stéphanie Dubé, bachelière en psychoéducation, spécialisée en médecine complémentaire et fondatrice du Centre de formation et santé holistique SatNam. Stéphanie, salut, salut. Karine, t'as entendu le printemps, le troisième printemps selon les Orientaux. Est-ce que t'es d'accord que c'est un troisième printemps?
Speaker 2:C'est plus positif de le voir comme un printemps que peut-être, de la façon accidentale qui est l'automne de la vie, là où les feuilles tombent et où on se dénude. Donc, j'aime bien l'idée d'un troisième printemps. Ça fait plus joyeux, ça fait plus festif.
Speaker 1:On n'est pas fanés, même si il y a différentes manifestations du printemps dans notre visage. La ménopause, vraiment, j'ai vu que c'était un sujet qui percutait mon audience, la tienne aussi, des femmes qui vont nous écouter en direct ou en différé. Toi, tu fais du décodage émotionnel du corps Et là on va jumeler les deux. Oui, c'est ça. Je ne sais pas par où on peut commencer. N'hésitez pas dans les commentaires. Dès que vous êtes prêtes, vous avez des idées, s'il vous plaît, envoyez vos commentaires, vos questions.
Speaker 2:Qu'est-ce qu'il y a des gens qui sont là. Ils ont été nombreux à réagir au sujet de ton côté, du mien. On veut être là, on veut le lien. Alors, je vous salue et je salue ceux qui vont nous regarder en rediffusion, parce que, peu importe à quel moment tu vas regarder cet enseignement-là, si tu es dans cette période de ta vie, ça va te servir. Donc, voilà, Donc c'est dit. Aujourd'hui, Karine, dans le fond, elle avait envie que je vienne vous parler d'intelligence émotionnelle du corps, de décodage biologique en lien avec ce sujet-là. Mais juste avant, je vais quand même faire un genre de petite introduction, parce que là, on présume que tout le monde sait ce qu'est l'intelligence émotionnelle du corps, mais il y en a peut-être qui n'en ont pas jamais vraiment entendu parler, peut-être qui sont nouveaux dans mon univers ou dans le tien. Alors, je vais commencer par ça, puis après je vais aller rapidement dans le sujet, parce que je veux de toute façon nourrir les femmes qui sont là. S'il y a des hommes, je vous salue. Peut-être que vous êtes là pour mieux comprendre votre problème. No-transcript émotionnel spécifique, un conflit intérieur spécifique selon les maladies, les symptômes Ici. On ne va pas dire que la ménopause est une maladie, mais certaines femmes le ressentent comme ça, parce qu'elles se sentent, j'ai envie de dire, presque handicapée, parfois pas bien malade. Alors c'est un état dans notre cycle de vie. Mais je vais quand même l'aborder sous l'angle des maladies, même si, pour ma part, ce n'est pas une maladie. Je dois le dire, Karine, parce qu'on est au Québec, il y a des lois au Québec sur tout ce qui est santé. Je ne suis pas médecin. Donc, c'est dit, je ne suis pas un médecin, je ne suis pas spécialisée en hormones, ce n'est pas moi qui va vous diagnostiquer quoi que ce soit. Puis, si vous n'allez pas bien, consultez votre médecin. Moi, ce que je vais vous amener, c'est vraiment des pistes de réflexion sur votre propre vie à vous, pour que vous puissiez aller vous occuper de vos stress spécifiques, de vos conflits émotionnels intérieurs, et observez-vous. Observez-vous, parce que je vous donne des pistes qui sont reliées au sujet de la ménopause. Alors, tout ça peut être fait en collaboration avec ce qui sera proposé par votre médecin traitant. C'est assez clair, Parfait. Alors voilà, ce bout-là est fait. Maintenant, j'imagine que tout le monde sait ce qu'est une ménopause. Mais la ménopause, pour ceux qui n'en auraient pas encore la définition, c'est habituellement un changement dans nos hormones qui fait qu'on ne pourra plus se reproduire.
Speaker 2:On pourra encore vivre de l'intimité, de la sexualité, mais création d'un bébé, c'est terminé. Alors ça, ça ne marche plus, ce machine-là, à ce niveau-là, Alors ça, c'est dit de façon poétique, C'est ça. Mais en gros, notre rôle biologique de procréatrice, là, on partira pas un débat sur le féminisme, là, hein, d'accord, mais notre rôle biologique est terminé en termes de faire des enfants, On est tous d'accord avec ça. Ok.
Speaker 2:Alors aujourd'hui, moi, où je vais vous amener, c'est vraiment dans l'aspect de qu'est-ce qui est là sur le plan des stress et de nos conflits intérieurs, qui fait qu'on se retrouve avec des symptômes. Et là, ça ne veut pas dire que ce que vous avez lu en termes biomédicals, qui est des débalancements hormonaux, vous avez assez de littérature à aller lire ça. Vous allez avoir d'autres belles réponses qui sont plus sur le sens de votre biologie. Moi, je vais vous donner d'autres réponses que vous pourrez compléter ou vous occuper à un autre niveau. Ça aussi, c'est très clair pour tout le monde. Je ne suis pas en train de dire que tout ce qu'on vous a dit, c'est faux. Je suis en train de vous dire et quoi d'autre encore?
Speaker 1:Exactement, c'est ça qu'on veut voir. Qu'est-ce qu'on n'a pas vu? On le voit d'une façon très scientifique et c'est correct, c'est requis. Mais toi et moi, on est d bagage de 40 ans à 50 ans. On ne peut plus se mentir. Pour moi, c'est ça que j'avais décodé quand je l'avais reçu. J'avais posé des questions. Tu ne peux plus juste faire semblant, tu ne peux plus te mentir.
Speaker 2:Exact, je suis super d'accord avec toi, karine. Puis, moi, je vais vraiment débuter en disant la ménopause, c'est le wake-up call de la vie, c'est l'espèce d'alarme qui sonne pour te dire que tu es à la mi-temps. Puis, oui, oui, je le sais qu'on n'a pas encore de date officielle de départ. Il y en a qui vont décéder à 75, il y en a qui sont à 100, il y en a qui se rendent même à 100. Je ne sais plus, c'est quoi, le plus vieux qu' On est en haut de 100 ans. Mais pour aujourd'hui, je vais parler bon, on est 75 à 100 ans En moyenne. Les gens vont être là-dedans. Il y en a qui quittent plutôt, malheureusement, mais c'est à peu près ça notre temps de vie actuellement sur notre planète. Et donc, quand la ménopause arrive, c'est une mi-temps, je veux dire c'est quelque part dans la cinquantaine, qu'en termes.
Speaker 1:Pour certains, c'est un peu plus dans la quarantaine que ça commence.
Speaker 2:Il y en a malheureusement qui ont des ménopause précoces, donc qui ont des problématiques avant même 40, mais en gros, habituellement, pour la majorité des femmes, c'est du mi-temps de la vie. Si on se réfère au sport, je donne cet exemple-là alors que je ne regarde pas tant le sport. quand il arrive l'espèce de de mi-temps, c'est comme le moment où tout le monde fait Ouais, vas-y là, tu sais, n'en laisse pas de gros, lâche pas reprends-toi Super Bowl.
Speaker 1:c'est un spectacle qui est le plus regardé quasiment sur la planète. Fait que voyons ça comme étant le Super Bowl de notre vie.
Speaker 2:Puis tu sais, c'est vraiment le mi-temps qui donne une pause. C'est aussi le moment pour faire. Soit on donne tout ce qu'on a parce qu'on est déjà gagnant, ou si on est en train de rentrer dans les perdants, on donne tout ce qu'on a pour rattraper ça. Pour moi, la ménopause, c'est exactement la même chose. C'est un moment de pause pour faire un wake-up call du reste de ta vie, et la crise de la ménopause va être aussi intense que notre niveau de conscience qu'on a eu jusque-là. Les femmes que j'ai rencontrées qui ont le plus de symptômes de ménopause encore là, je n'ai pas de données scientifiques là-dessus de façon générale, quand on jase, que j'entends et que j'écoute les histoires, celles qui sont le plus dans des symptômes sont celles qui ont le plus à regarder des choses dans leur vie, sur des inconforts, des irritants, des trucs que là, ça va faire, parce que c'est le wake-up call, c'est la mi-temps.
Speaker 1:Je veux savoir, déjà, avant que tu continues, si ça résonne pour vous. Merci, cathy, pour le cœur, tellement plus. Merci, cathy, pour le cœur, tellement plus Joanne aussi nous écrit avec un petit cœur mauve, tellement plus. Est-ce que ça résonne quand on vous dit si c'était une période de mi-temps, ou bien pour vous régénérer, puis repartir, puis redonner, pas nécessairement pas forcer, pas fighter, ça n'a rien à voir, mais se mettre en priorité puis aller en ligne dans sa vie, oui puis, tu sais, karine, vie, oui.
Speaker 2:Puis, tu sais, karine, même dans les maladies, même au-delà de la ménopause, dans toutes les maladies, quand le corps se met à nous faire souffrir, c'est comme la deuxième fonction pour faire à s'occuper d'elle, parce que, sur plein de motifs, elle ne le faisait pas. Dans ses stress, elle ne le faisait pas, dans ses irritants, elle ne le faisait pas. Mais là, quand personne, elle s'occupe d'elle, C'est un peu la même chose. Le symptôme, les symptômes qui vont te visiter dans la ménopause, ils sont là pour faire.
Speaker 2:Tu te vois-tu? Parce que si je ne t'envoie pas ces bouffées de chaleur-là, cette cesserèche vaginale, tes insomnies, ton poids, vas-tu vraiment profiter du mi-temps de ta vie pour t'assurer que tu finisses en grand? Donc, plus fort est le symptôme, plus fort ça crie en dedans Peu importe ton symptôme à toi, wow. C'est politique, oui, mais c'est symbolique. En fait, c'est très fort, parce que les femmes qui se permettent de faire le chemin vont au moins j'ai envie de dire, au moins avoir une réponse qui a du sens et surtout une piste, une piste de j'en fais quoi de ça, maintenant que je me comprends. Puis, c'est ça qu'on va aller voir aujourd'hui, ensemble, on va aller décortiquer les symptômes.
Speaker 1:Ok, on va commencer avec les différents symptômes. Écoute, juste pour voir les gens qui sont là en direct. Y a-t-il un symptôme que vous aimeriez qu'on commence? Est-ce qu'il y en a un dans votre tête? Juste nous écrire. On vous laisse quelques secondes. Est-ce que c'est le poids, la sécheresse, les chaleurs, l'irritation, la colère, l'intimité, la sexualité, l'identité ou autre chose? Oh, calvaire, nous dit Lynn. Attends l'insomnie, j'ai chaud, ok, on commençait avec j'ai chaud. Moi, je pense que On va aller avec j'ai chaud, ok.
Speaker 2:Ok, super. Puis là, je me suis préparé plein de vos documents ce matin, j'ai travaillé pour vous autres. Je voulais avoir mon stock pour être sûre que je vous en donne assez pour que vous partiez avec des prises de conscience. Après ça, ça vous appartient de occuper de ça. Alors, on va commencer avec la chaleur, les chaleurs, les bouffées de chaleur, cette espèce de feu qui monte de l'intérieur, comme si vous étiez une bouilloire ou un grand feu de joie, ou je ne sais pas quoi?
Speaker 1:C'est ça là Un grand feu de joie. Vas-y, parle-moi du grand feu de joie.
Speaker 2:Pour toutes celles qui se reconnaissent dans ce symptôme-là, on est dans un conflit de dualité intérieure. Et là, je vais vous donner différentes options, des réflexions, puis à vous de voir où est-ce que ça vous parle davantage Et ne restez pas fixés à un moment précis. Exemple si je vous lis ce que je m'en vais vous lire là, sur le conflit des bouffées de chaleur, ne restez pas jamais à aujourd'hui, à matin, je suis en train de vivre ça. Regardez-le Généralement dans votre vie, c'est quoi votre état le plus souvent que vous visitez en lien avec ce que j'ai nommé? Si c'est là, c'est régulièrement, ça explique des choses. Alors, dans le conflit intérieur, la dualité intérieure, on parle d'une dualité intérieure possible avec un homme ou certains hommes. L'homme, ça peut être ton homme, mais ça pourrait être d'autres hommes aussi, et ce sont des comportements chez cet homme qui vous dérangent, qui vous déclenchent, qui vous irritent.
Speaker 2:Puis, on est en relation. Sachez que les femmes, quand la ménopause arrive, pour certaines, on est dans des relations. Donc, que ce soit relation de couple, que ce soit autre relation, à chacun de se voir dans ce que j'exprime, mais ici, je vais quand même parler aussi du couple. C'est une réalité possible. Puis, pour les femmes qui sont avec des femmes, transposez-le. avez-vous un irritant avec votre femme? Faites les liens par vous-même.
Speaker 2:Alors, est-ce qu'il y a des comportements chez cet homme qui me dérangent et me déclenchche et me met hors de moi. Et on peut le regarder sous l'angle des menstruations, parce qu'avant de ne plus avoir nos règles ici, peut-être qu'il y a des femmes qui se reconnaissent dans les fameuses SPM où on dirait qu'on se transforme. Et je vais me prendre en exemple, je m'assume totalement là-dedans. Mon chum, ça me fait rire parce qu'il raconte ça parfois la blague, malgré que ce soit une blague. Mais moi, je suis une femme très zen dans la vie, je suis celle qui t'empare, tu sais qui est tout le temps, celle qui vient calmer les choses. J'ai des bonnes habiletés de communication, puis en psychologie. Donc, habituellement, ça vire bien nos affaires. Mais dans dans cette période-là, il dit on dirait qu'il te transforme et que tu cherches les problèmes. C'est sa façon de le dire.
Speaker 2:Au début de notre relation ça fait 20 ans qu'on est ensemble il dit je me demandais pourquoi, une fois par mois, j'avais envie de divorcer, mais on n'était pas mariés, jusqu'au jour où il a saisi ben oui, c'est ça. Puis, à ce jour, 20 ans plus tard, à chaque fois que je suis dans ces états-là, puis qu'il allume, il fait comme Ah, c'est ça. Alors, pourquoi je parle de ça? C'est que quand on n'a plus nos règles, puis qu'on se retrouve en ménopause, dans ces bouffées de chaleur-là, on a des espaces d'irritation qui peuvent amener à la colère, qui peuvent amener à ce qui nous dérange. Comment on est parfois à bout, le sentiment d'être à bout, dans les deux cas, c'est souvent qu'on a dépassé nos limites.
Speaker 2:Dans le mois, sur-responsabilité, surcharge, trop de choses sur nos épaules, on gère plein, plein de patentes, et quand arrive le cycle qui nous met en SPM, ou lorsqu'on est ménopausé, avec l'arrêt des règles dans des irritants, c'est la même chose. C'est comme si c'est là où ça fait, ça suffit, et là où on était capable de tolérer, c'est comme si on ne peut plus, ça explose. Donc, le presto, il saute Dans la bouffée de chaleur. Vous allez me dire oui, mais là, c'est pas ça, c'est pas de l'irritation, c'est chaud, oui, mais la chaleur envoie quand même au feu Et le feu envoie à la puissance et à la colère. Donc, il y a quelque chose de l'ordre de l'irritant et de cette puissance à. Je suis tannée, il y a des choses qui me dérangent, ça suffit Et ça peut parler de vos relations, mais ça peut parler de vos sur-responsabilités, parce qu'on en gère beaucoup aussi, les femmes entre travail et famille. Pour plusieurs, on a double rôle. Donc, c'est vraiment ce qu'il faut aller voir. Alors, ça déjà ce que ça vous parle.
Speaker 1:Quand je vous parle de ça, je vais aller plus loin mais, karine, je te vois t'identifier à ce qu'elle dit, mais je trouve ça tellement chouette comment tu l'amènes. puis, c'est léger, et tu vois, c'est ce que j'aime déjà. tu me racontes ça de façon poétique. moi, je viens de penser si jamais j'ai des, j'aiai, des bouffées de chaleur, je suis un véritable grand feu de joie. Je trouve que c'est Merci pour cette légèreté-là que tu amènes dans la conversation.
Speaker 2:Puis c'est une image Quand la bouffée de chaleur monte. Puis vous savez que, dans cette chaleur-là, c'est comme Oh, c'est chaud. Là, s'il y a de la colère, c'est que j'ai dépassé mes limites, je ne me suis pas assez occupée de moi, je n'ai pas pris soin de moi, je n'ai pas mis ce qui me fait du plaisir dans la vie, et je suis responsable de ça. On est tous responsables de nos choix de vie et de ce qu'on assume. Ou est-ce qu'on se suradapte? peu import, c'est un peu la question qu'on peut se poser. Génial. Mais je reste dans le bouffé de chaleur, parce que j'ai un autre élément qui est différent à apporter.
Speaker 2:Dans les bouffés de chaleur, on va aussi aller visiter la chaleur humaine et là, on rentre dans l'affection, la tendresse, l'intimité relationnelle, se sentir aimé, se sentir désiré, tout tout ce qui est. Je ressens que je suis en contact, en relation avec quelqu'un pour qui je compte Et ici, c'est vraiment tendresse, amour et sexualité. On va mettre aussi la sexualité là-dedans. Alors, est-ce qu'il y a un conflit dans cette histoire-là? Est-ce que je suis dans une relation où l'ambiance est froide, où la personne avec qui je partage ma vie est froide? est-ce qu'il y a un désert affectif? Si tu as un désert, c'est assez serre. On peut aller aussi vers la sécheresse vaginale éventuellement. Mais est-ce que je me sens serre? est-ce que je sens que ça manque de doux, que ça manque de doux, que ça manque de bon, que ça manque d'amour, et donc ici, c'est quelque chose que tu peux regarder pour l'angle bouffé de chaleur.
Speaker 1:Wow, on est ailleurs c'est plus la colère, mais c'est le même symptôme. Wow, si jamais ça résonne en vous. Puis, vous êtes aussi scotché à votre écran que je peux l'être à ce que Stéphanie dit ça. Vous tente de partager cet épisode là, pour que on puisse toucher le plus grand nombre de femmes qui ont envie, peut-être, d'entendre parler de la ménopause autrement, qu'on puisse aller peut-être au-delà du symptôme qu'on connaît, au-delà du oui, je prends du poids, c'est dur. Puis voici tel régime Oui, non, il n'y a pas de bon, il n'y a pas de mauvais là-dedans.
Speaker 2:Mais au-delà de ça, qu'est-ce qui se à un prochain symptôme Lorsqu'on a chaud? je ne sais pas si ça vous est arrivé, Moi je vais le nommer, j'assume, Je ne suis pas encore ménopausée. J'ai touché à quelques états de pré-ménopause, mais j'ai encore. Je suis au début de la quarantaine, donc presque rendue à la mi Début. C'est bon, Je me prépare, j'ai des amis qui sont dedans, ils ont chaud. Mais bref, ce que je veux dire ici, c'est que ça m'est arrivé de me réveiller en eau. C'est un lac, Ce genre de symptômes-là, je l'ai déjà eu. Puis, quand ça arrive, on se déveillit, On enlève tout De toute façon, on est tout trempe. Vraiment, comme il faut se changer. C'est vraiment comme si on avait fait une immersion dans un lac. Alors, ceux qui ont déjà eu ce symptôme, Alors, lorsqu'on se déveillit parce qu'on a trop chaud, symboliquement, ça nous ramène à notre rapport à la séduction.
Speaker 2:Là, ce n'est pas de rendre ça pornographique, ce n'est pas ça l'idée. Mais si on y va quand même en image, la femme souhaite, dans son élément, femme, être désirée, désirable, séduisante. Ça fait partie de nous. Oui, il y a des femmes qui sont plus coquettes que d'autres, mais d'emblée, on veut tous se trouver un jour, partager notre vie avec quelqu'un. Puis, il y a quand même un jeu de séduction là-dedans et tout ça. Alors, dans ce dévêtir, on a l'attirance du partenaire. Alors, on peut aussi se poser la question est-ce que j'ai des enjeux sur le plan d'intimité, ma sexualité, reliés à mon vieillissement, reliés à comment moi je me perçois dans ce vieillissement-là, ou peut-être même dans le regard de cette personne-là qui me regarde autrement? mais parfois, ce n'est pas l'acceptation de ces phases-là de la vie et tout ça.
Speaker 1:Donc, vous pouvez aller voir l'aspect de la séduction et de ce besoin de relation, mais juste me préciser, quand on se dévêtit, c'est ça que ça veut dire, c'est d'aller se questionner. Fait que si je suis tout tremble en dessous de mes couvertes, juste pour que ça soit plus clair pour moi.
Speaker 2:C'est comme une image, Mais, Karine, ça ne veut pas dire que ça s'est passé Là dans la seconde, cette espèce de prise de réflexion sur ton niveau de séduction. mais tu peux le regarder dans. Est-ce que ça m'habite habituellement dans mes pensées depuis quelques temps? Est-ce que c'est quelque chose avec quoi je dois faire un certain travail d'acceptation? que mon corps change, que je vieillis, que notre façon de vivre, notre sexualité, notre intimité va se transformer? Qui des deux le vit le plus difficilement? Est-ce que c'est ton partenaire qui a un changement de regard sur toi ou qui se met à se tourner la tête sur tout ce qui est jeune?
Speaker 1:Est-ce que c'est plutôt toi qui se juge sévèrement? mais est-ce que ça te parle? Ça ne veut pas dire que ça te parle à deux heures et quart du matin, quand tu t'es réveillée, dans un lap. Je comprends très bien. Alors, c'est ça. J'aime beaucoup la question. puis, je pense que c'est super complémentaire sur tout ce que tu dis. Je me disais si je n'avais aucun point de vue sur ce que c'est avoir 50 ans, vue sur ce que c'est avoir 50 ans, si je n'avais aucun point de vue sur ce que c'est la sexualité après 50 ans, si je n'avais aucun point de vue sur mon corps à partir de maintenant, comment je vivrais mon intimité ou ma cinquantaine? Pour moi, c'est un grand reset, parce que je trouve qu'on a beaucoup acheté. on a beaucoup parlé de la ménopause, mais on a beaucoup.
Speaker 2:je regarde juste les publicités sur saggy skin, puis avoir l'air plus jeune Fait qu'on a acheté énormément de stocks sur qu'est-ce que c'est la vieillir, puis à quel point c'est pas supposé d'être beau vieillir, oui, puis, en fait, j'aime ça que tu amènes, ça, parce que ça, c'est tout le changement de regard, et ça va être d'aller dans une image de la femme qui est différente, mais aussi d'accepter qu'on a de la sagesse, qu'il y a d'autres forces à cette femme-heure-là. On va aller là, mais je garde ça pour la fin, parce que je veux que dans les symptômes, mais on y revient, je te promets Génial. Donc, voilà pour bouffer de chaleur. Et déjà, je vous résume la dualité, l'autre qui me dérange, les comportements qui me mettent en colère, tout ce que je ne peux plus tolérer, que j'ai peut-être hyper accepté pendant longtemps parce que c'est trop Des fois, le trop, ça peut être les responsabilités, ça peut être la surcharge, la chaleur qui renvoie à la colère, les irritations, sinon la chaleur humaine, l'amour, la tendresse, et on voit aussi l'aspect séduction. Ça résume bouffer de chaleur.
Speaker 1:Ça, c'est bon Je pourrais maintenant.
Speaker 2:C'est le bon suivi. Oui, Alors je vais repartir avec l'idée du désert affectif.
Speaker 1:d'un terrain aride, On a comme l'image des des bottes de poing, on voit une espèce de cactus, un cactus piquant seul au vent.
Speaker 2:Alors, dans cette réalité, c'est pas drôle pour celle qui le vit. Je suis pleine d'empathie.
Speaker 1:On rigole parce que l'image est forte, mais on est de tout cœur avec vous. Mais on a le droit d'en parler avec la légèreté aussi.
Speaker 2:Oui, exact pour dédramatiser le truc et plutôt le voir dans à quoi ça me renvoie dans ma propre vie, donc pour tout ce qui touche le vagin. de toute façon, même si on parle de sécheresse, vous êtes dans des thématiques de couple, vous êtes dans des thématiques de sexualité, d'intimité, et l'intimité relationnelle va avec l'intimité sexuelle. Donc, comment ça va, toi, ta sexualité? Puis là, karim, je parle à tout le monde Tu Je connais tout le monde.
Speaker 1:Tu trouvais.
Speaker 2:je pensais que tu étais raide avec moi, Mais c'est ça, Comment ça va, toi, ta sexualité, en termes de qualité relationnelle, de qualité de ce que tu partages comme expérience avec l'autre? Et la sexualité, ce n'est pas que génital. La sexualité, c'est un ensemble d'un tout beaucoup plus grand que ça, qui est toute la qualité de la communication, la proximité, le partage de moments précieux, le prendre soin à deux, la capacité de vieillir ensemble, d'avoir créé des choses, construit, puis construire quoi encore. Puis, plus la relation, elle est belle, elle est profonde, elle est nourrissante, plus la sexualité va bien.
Speaker 2:Habituellement, Et encore une fois, mi-temps de la vie, il se peut qu'il y ait un wake-up call sur les dérangements de couple, les dérangements d'intimité, les dérangements de sexualité, nos attentes face à cette relation-là. Il y a peut-être des choses qu'on a acceptées longtemps, on s'est comme installé là-dedans en disant c'est normal, c'est comme ça. Puis, un jour, le wake-up call arrive ça ne me nourrit pas, il y a quelque chose qui ne marche pas, je veux plus, ou je veux mieux, ou je veux autrement. Et la sécheresse va vous ramener vraiment dans votre couple. Alors, sécheresse vaginale, Alors il faut redécouvrir sa sexualité autrement. Mais pour la redécouvrir autrement, ou juste la redécouvrir, point, ou juste s'autoriser à la vivre.
Speaker 2:Peut-être que vous ne l'avez jamais vraiment expérimenté, parce qu'il y en a qui ont des blocages, qui ont des histoires. Il faut ouvrir l'intimité du couple, il faut ouvrir la communication, il faut avoir envie de liens réels et profonds avec l'autre. Alors, ici, on vraiment dans tout ce qui est relationnel Et ça demande que les deux partenaires veulent bien créer ce chemin l'un vers l'autre, parce que c'est sûr que si c'est unidirectionnel, la problématique va rester dans le chemin. Ça se vit à deux l'intimité. Mais c'est certain que vous êtes dans des histoires de vie où vous avez à questionner cette sphère du couple, à la revisiter en tout cas, sphère du couple, à la revisiter en tout cas, ou à discuter de certaines choses pour faire autrement.
Speaker 1:Super intéressant. Est-ce que ça résonne un peu beaucoup passionnément à la folie avec vous qui nous écoutez en ce moment? C'est vraiment très hot. Stéphanie, t'es tellement exceptionnelle. Là, juste avant, on va parler de l'école Satnam, puis on va passer à l'autre aussi, t'es toujours. Est-ce que tu offres encore un open house ou?
Speaker 2:un port de l'hiver, oui, cette année, je ne sais pas s'il va y en avoir cet été, mais parfois, en fait, ça dépend toujours de nos réalités du moment. Pour le moment, on est par contre en période d'inscription pour nos formations, qui débutent à chaque année à la fin d'été, pour un an, puis ça, c'est là. Donc, si les gens ont de l'intérêt à se former, par exemple dans le programme Intelligence émotionnelle du corps, ils peuvent nous contacter avec plaisir. Puis, même si je n'ai pas de porte ouverte officielle peut-être qu'il y en aura au mois d'août, mais on n'est pas encore certain On a beaucoup de contenu gratuit, comme si je ne suis pas en porte ouverte officiellement, dans le sens où il n'y a pas une semaine avec plein de cours d'établis en ce moment, au mois d'août D'habitude. C'est le cas par contre. Donc, sur le groupe Facebook.
Speaker 1:SatNam, c'est ça.
Speaker 2:Oui, c'est la communauté privée de mon école qui est le groupe SatNam. Je te donnerai les liens, karine, ça va me faire plaisir. Les gens peuvent nous trouver aussi avec mon site Internet de l'école, wwwcentre-de-formation satnamcom.
Speaker 1:Tout est là, ça va nous faire plaisir Parce que là on est dedans. Puis là, je suis convaincue que les gens disent OK, mais attends, à propos du poids, à propos du vieillissement, à propos de ci, à propos de ça, vouloir avoir une vision différente. Donc, je t'encourage sincèrement à aller sur le groupe Facebook de l'école SatNam Geneviève. Demande si les chaleurs et la sécheresse vaginale sont liées au couple. Qu'en est-il des personnes?
Speaker 2:célibataires, oui, mais en même temps, tu peux être célibataire et ne pas être bien avec cette réalité-là. Si tu es célib, heureuse, tu t'auto-satisfais, même sexuellement, parce que ça se peut, ça aussi, peu importe où, t'es tellement bien d'être seule. Tu seras pas dans ça. Mais si t'es célibataire puis que t'es dans la peine de ce que t'as pas réalisé sur le plan du couple, que tu sens une perte affective ou un vide affectif, un sentiment de solitude qui n'est pas joyeux pour toi, parce que ce que tu souhaites, ton rêve ultime, c'est de partager ta vie avec quelqu'un, tu peux tout à fait être dans ces symptômes-là, même si c'est le battant, parce que c'est ce qui se passe dans notre ressenti intérieur qui compte. Ok, super, est-ce que je?
Speaker 1:réponds bien Oui, sûrement, pour Geneviève, tu pourras revenir. Ok, est-ce qu'on avait? On avait fait le tour de la sécheresse. Oui, pour moi oui.
Speaker 2:Ensuite, je voulais parler des sauts d'humeur. Je l'ai dit un peu tantôt avec la chaleur, mais je veux quand même l'aborder tout seul, parce qu'il y en a qui n'ont pas les chaleurs, ou très peu, mais ils ont les sauts d'humeur Et je vais quand même.
Speaker 1:Je me considère dans cette braquette-là. On braquettes-là, on a de la misère à t'imaginer de même. Et pourtant, il y a une couple de fois, je me rends compte, mais c'est, j'ai pas eu beaucoup, moi, de syndrome prémenstruel, je l'ai pas vécu. Mais je me suis rendue compte que, des fois, j'avais comme envie de me séparer. Mais c'est pas supposé, parce que la veille, j'est-ce qui?
Speaker 2:se passe-t-il? Oui, bon, alors on y va. Alors, dans les sauts d'humeur, je vais mettre tout ce qui est variation soudaine, Oui, Transformation de la personnalité, Et je vais ajouter à ça les états de déprime, parce que parfois, ce ne sont pas des sauts d'humeur, mais c'est comme un état d'énergie. On dirait qu'il n'y a plus rien qui me tente. Alors, on va rentrer aussi ça dans l'humeur. Évidemment, hormonalement parlant, tout le monde a de la lecture biomédicale, mais on va aller en décodage Tout ce qui est irritation et colère. Donc, si votre changement d'humeur, ça touche vraiment l l'air, vous avez à mettre vraiment clairement devant vous vos irritations. Mettez des mots là-dessus. Qu'est-ce qui vous irrite? C'est pas vrai qu'on se réveille un matin en faisant Voyons d'où ça me vient. Je suis comme pas contente aujourd'hui.
Speaker 2:Puis, ça n'a pas rapport à cette émotion-là. Tu sais, si on est vraiment honnête, c'est des responsabilités qui ne nous tentent pas, c'est des comportements qu'on tolérait chez quelqu'un autour de nous. Puis là, ça fait, là, j'ai mon voyage. Il y a toujours quelque chose réellement de très concret à définir dans notre irritation Et ceux qui vont me dire ben pour moi, introspecte-toi plus Creuse encore. Soyons honnêtes, il y a des éléments déclenchants. Moi, je n'ai jamais rencontré quelqu'un me dire c'est-tu drôle, je suis heureuse, tout va bien, j'ai zéro stress, je ne suis que dans du beau, du good, il n'y a pas de surcharge, c'est un partout. Mais un matin, j'ai le goût de péter une coche. Non, Non, non, non, J'ai jamais vu ça. Ok, donc, on va aller voir ces insatisfactions-là Et allez voir votre surcharge, votre manque d'espace. Est-ce qu'il y a un manque d'espace dans votre tête, dans votre cœur, dans votre environnement?
Speaker 1:Ça se passe essentiellement quand je suis en VR. Clairement qu'il manque une pièce.
Speaker 2:C'est ça.
Speaker 2:Mais tu sais exemple, karine, si toi tu te connais dans ton identité ou tu vis bien dans ta vie de couple à deux, parce que vous êtes plus fusionnelle et il y a ça dans vos personnalités, mais qu'il reste que tu es une personne qui a besoin d'air, de solitude pour créer, je ne sais pas. Est-ce que c pour créer? je ne sais pas. C'est certain que ton environnement va éventuellement t'amener dans ça, parce qu'effectivement, un VR, ce n'est pas très grand. Alors ça fait la job. Mais si tu as un besoin d'air, ça se peut que tu ailles ouvrir la porte pour aller dans le parc À l'intérieur, ça ne le fera pas. Donc, manque d'espace, c'est quoi? le tête dans ton cœur, dans ton environnement, manque de liberté? Peut-être il y a quoi en trop dans ma vie Ou peut-être il n'y a pas assez. De quoi Je suis fâchée? pourquoi? Quels sont les besoins dont tu ne prends pas soin? Quels sont les aspects de toi que tu n'honores pas? c'est des questions que tu peux te poser. Quels sont les rêves, projets que tu as mis de côté ou que tu ne priorises jamais et qui, là, quelque part, t'indique que ça serait peut-être le temps de te choisir ici, parce qu'il y a trop de. Tout qu'il faut faire, c'est des pistes de réflexion. Wow, évidemment, je vais vous poser des questions, puis là, à vous d'y répondre de votre façon, puis de voir si ça fait du sens pour vous.
Speaker 2:La vie vous indique fort, par ses variations, que c'est assez. Alors, qu'est-ce qui est assez? Ou, au contraire, qu'est-ce que je veux, que j'attends, que je souhaite qui n'est pas encore là dans ma vie? Puis, n'oubliez pas que vous êtes responsable de vous occuper de faire en sorte que ça arrive, sinon, on reste frustré dans l'impuissance et victime de sa vie, victime des circonstances.
Speaker 2:Il n'y a personne qui va réaliser votre vie à votre place. Arrêtez d'attendre ça. Ça ne se passe pas comme ça. La vie, c'est chacun qui est responsable d'atteindre ses objectifs, ses buts et de mettre du sens dans sa vie ou de corriger l'angle. Si tu n'en vas pas à la bonne place par rapport à ton identité, ça ne vous donne rien de regarder ce qu'elle fait, parce que vous n'êtes pas elle.
Speaker 2:Alors, ses valeurs à elle, sa quête de sens, son identité, ce n'est pas la vôtre. Alors n'essayez pas de copier Le travail, c'est un travail de connaissance de soi. N'oubliez pas, c'est un wake-up call, le mi-temps de la vie. Si vous ne vous connaissez pas, c'est mes valeurs. Puis je suis consciente que je dois communiquer et m'affirmer. puis je suis consciente que je dois m'assumer et être responsable de ce qui est en trop, pour en enlever ou faire autrement si c'est vide et que je me nourris de rien. Tu sais, je vous ramène beaucoup aux valeurs avec ça, karine.
Speaker 2:Puis il y a des gens qui vont dire ouais, mais c'est flou, c'est quoi des valeurs? il y a plusieurs familles de valeurs. Je vais y aller simplement, malgré qu'on pourrait lister 80 valeurs. Mais on a des valeurs d'ambition, on a des valeurs de réussite, on a certaines valeurs qui sont plus reliées au domaine des relations intimes, tout ce qui est proximité, relationnel, la profondeur des liens. On a des valeurs spirituelles.
Speaker 2:Il y a des gens qui ont des valeurs de contribution, d'autres ont des valeurs de plaisir, tout ce qui est le jeu, c'est léger la vie. Donc, ça, c'est juste des catégories. Bien, vous en êtes où, à 40 ans ou à 50 ans, parce que nos valeurs vont changer. Ça ne veut pas dire que ça va disparaître, mais selon l'âge qu'on a et où on en est dans notre cycle de vie, il y a des valeurs qui vont changer de place. Puis ça me ramène à la ménopause, là, on s'entend. On ne se retraite pas parce qu'on est ménopausé, mais quelque part dans la ménopause, il y a une invitation biologique à la pause, au ralentissement. Quand on est dans la fleur de l'âge, on va dire 20-40, mais ça pourrait être un peu avant, un peu après.
Speaker 2:On est dans l'âge de l'action, on est dans l'âge du yang, on est dans l'âge du j'appelle ça le côté masculin, même si c'est la femme qui est dans son masculin. On est dans le faire, la performance, la construction, donc les valeurs de réussite et d'ambition. Rien ne va par là. Si tu te sens toi, c'est l'âge où on va créer une famille, on va créer un couple, on construit, on construit, on bâtit, on ne lâche pas.
Speaker 2:On arrive à Languedoc le samedi, on repart le lundi, mais c'est go, go, go. Là, c'est une imageâge de l'action. La ménopause, pause nous invite à la pause de se déposer, ralentir, doucement, parce que c'est pas vrai qu'on va se réveiller un matin en disant c'est la retraite. Tu sais, il se passe de quoi, pour qu'un jour tu aies envie de dire je m'en vais vers le repos, la détente, la retraite. Et ça n'arrive pas la veille, ça se passe sur des années, mais c'est quand même un switch qui se passe dans l'énergie et ça commence là, parce que déjà, ton corps, il t'invite à faire.
Speaker 2:Qu'est-ce qui se passe? Je ne vais pas bien. Des fois, il faut que je ralentisse, des fois, il faut que je ralentisse, des fois il faut que je sois plus à l'écoute, on est d'accord. Alors, je vous ramène aux valeurs, je vous ramène au sens que vous voulez donner à votre vie. Quand la ménopause arrive, c'est l'invitation au féminin, j'ai envie de dire le féminin sacré, c'est encore plus cute. Le yin, c'est le cycle dans la vie qui nous invite à l'introspection. La douceur, l'intériorisation, tout ce qui est créatif. Le féminin créateur, peut-être pas procréateur, mais on peut encore créer. On peut amener du beau, du doux, on peut amener des éléments plus féminins à notre vie. Et c'est là où, doucement, on lâche le faire. On n'est pas en train de lâcher nos jobs à 40-50 ans. On lâche le faire dans le sens où on sort de cette espèce de performance, où on se questionne sur est-ce que c'est vraiment encore ce que je veux être, dans le fond, à accomplir? des Kilimanjaro à chaque mois, c'est une image, le Kilimanjaro.
Speaker 1:Non, je l'ai fait et je ne le referai pas. ne le ferait pas, c'est clair.
Speaker 2:Voilà. Alors, c'est des fois le moment où on va requestionner notre façon de travailler, les ambitions qu'on a eues. Notre famille, elle est faite. Peut-être que c'est des enfants adolescents, peut-être que c'est des adultes adolescents, quand on arrive à la ménopause, pour ceux qui ont eu des enfants. Mais on est en train de revisiter le couple. Je sais, karine, que tu es, je suis là-dedans.
Speaker 2:Nos enfants n'ont pas le même âge, mais c'est commencé. Nos enfants ne sont plus en train de nous tirer sur le pantalon, non, avoir besoin de papa et maman. Donc, le couple, il est en redéfinition, il est en renouveau. Qu'est-ce qu'on fait, qu'est-ce qu'on crée, comment on va être deux alors qu'on a été cinq ou qu'on a combien d'enfants vous avez eus. C'est un temps où, vraiment, on va aller explorer. Alors, si on n'est pas en conscience, tout ça peut se mettre à aller bien mal dans notre vie, parce que c'est comme si tout s'écroule, mais tout ne s'écroule pas. C'est juste comme un bilan Qu'est-ce que je garde, qu'est-ce que je transforme? no-transcript qui va vers ce féminin, ce yin, cette douceur, un aspect plus créatif, mais avec moins de faire, faire, faire, créer, créer, créer, ouais, wow. Donc, vous avez à redéfinir des choses. Une phrase pour résumer no-transcript.
Speaker 1:Ok, est-ce que c'est pas le temps de faire les choses autrement, puis de me permettre d'être ce que j'ai envie d'être maintenant? Je trouve ça vraiment fascinant. Puis, en même temps, c'est très déstabil. Puis il y a une autre partie qui dit moi, ça me tente juste plus d'être là.
Speaker 2:Oui, Puis, peut-être qu'il y a des gens qui nous écoutent, karine, puis qui font moi, je suis pas rendue. Prends tout à commencer à transformer ce qui est là. Je suis encore dans le faire. J'ai plein d'ambition. C'est correct, c'est bien correct. Des bilans, c'est le temps de t'asseoir avec toi-même pour voir ce qui a fonctionné, c'est célébrer tout ce que tu as pu accomplir et créer de cette façon-là. Faire un bilan, repositionner tes valeurs dans un ordre qui fonctionne avec où tu en es dans ton cycle actuel de vie Et ensuite mettre en place les nouveaux choix. Ça demande une relation à soi, ça demande d'entrer en communication avec soi-même, puis souvent avec l'autre. Si on partage notre vie avec quelqu'un, il y a quelqu'un d'autre d'impliqué là-dedans.
Speaker 2:Donc, il faut de la communication, puis il faut une envie commune de pouvoir se créer un espace pour se définir soi avec soi, et un espace pour se définir dans le travail, et un espace pour se redéfinir aussi dans le couple. Wow, c'est pas. Ça a l'air simple dit de même, mais ça demande du temps de pause avec soi.
Speaker 1:Oui, mais nos pauses. c'est ça que ça demande, c'est ça que ça dit Le mot. Il est clair. Tu prêtes à te poser pour te requestionner, revalider, revoir, recréer, reconstruire, déconstruire, peu importe les mots que vous allez mettre après Te poser.
Speaker 2:Te déposer. Poser des questions. Te poser des questions.
Speaker 1:Exact poser des questions. Wow, Toi t'es la queen, exactement.
Speaker 2:Voilà pour les sauts d'humeur. Oui, je terminerai avec le poids avant d'aller dans les apprentissages, les défis, les solutions, parce que ça, je me souviens que tu as gagné un bout d'entendre ça Absolument.
Speaker 1:Qui a envie de parler de poids, d'entendre parler de poids?
Speaker 2:Tu vois, tu les vois, les commentaires, hein, Karine? Oui, Ah, tu les vois pas. toi Non, pas en ce moment. Bien, je pourrais attends, attends, attends.
Speaker 1:Ah, là, je les vois. Ah, c'est génial, C'est génial. Fait qu'à garder une idée, je suis vraiment rendue là dans la pause même si je suis en pré-ménopause, j'ai beaucoup de sourds.
Speaker 2:peux-tu juste accepter que je ne le sais pas? J'ai juste le goût de rien faire. Oui, c'est correct de prendre un temps pour juste accepter que j'ai le goût de rien faire, puis éventuellement de se donner le droit d'aller explorer, dans une phase de renouveau, des choses à ton rythme, à ta manière, à toi, en fonction de flamèches de bonheur, des petits oufs qui vont te donner une direction. Mais il faut se donner le temps d'explorer, aller et continuer d'essayer des choses qui font sens aux introspections qu'on aura fait en soi.
Speaker 1:Parfait. Alors la foule est en délire quand il est question de poids. Geneviève aussi nous envoie une idée. Qui? pour quelle raison? la prise de poids se situe principalement au niveau de l'abdomen? Je ne sais pas s'il y a un lien avec le décodage émotionnel du corps.
Speaker 2:Bien, c'est certain, je vais aller dans le poids. Je vais quand même répondre tout de suite à sa question d'un point de vue plus bio, ce qu'on sait en science actuellement Puis, il doit y avoir d'autres théories là-dessus Mais le ventre, en raison de ce cortisol, c'est un fait biologique. Là, d'un point de vue des codages, c'est sûr que le poids, selon ici, ça peut parler de différentes choses. Le ventre, c'est le lieu avec quoi on se nourrit. Alors, la nourriture, elle n'est pas qu'alimentaire d'un point de vue, j'ai besoin de me nourrir pour vivre. C'est tes passions, tes plaisirs. Tu te nourris de quoi? Le ventre, c'est le lieu de l'alimentation. Le ventre, c'est aussi l'endroit où on a eu nos bébés, notre famille. Donc, est-ce que tu as le sentiment d'univide, maintenant que tu es en ménopause, par exemple, et que, probablement, que ta famille se transforme parce que les enfants vieillissent ou que tu es en deuil parce que tu n'as pas eu d'enfant, le ventre est quand même le lieu de la procréation, qui est là où on fait le nid.
Speaker 2:Alors, est-ce qu'il y a quelque chose à regarder dans ce sentiment de vide? Alors, je fais du plein. C'est des pistes de réflexion. Encore une fois, je pourrais aller plus loin, mais aujourd'hui, avec le sujet, je vais devoir faire plus général pour que tout le monde trouve un petit peu des réponses à travers les différentes tonalités du poids. Je pense que c'est Geneviève.
Speaker 2:Alors, pour le poids, premièrement, je veux que vous sachiez, ménopause ou pas ménopause, le poids, c'est les mêmes tonalités que ce que je vais dire là. Alors, si, par exemple, tu as 20 ans, tu écoutes, tu n'es pas en ménopause du tout, du tout. Puis que tu as une problématique avec ton poids. C'est les mêmes réponses. Alors, prenez-le pour la mén au sens large, lorsqu'on fait du poids, et là, encore une fois, c'est à chacun de voir votre tolérance à ça Il y a des gens qui ont un 20 livres peut-être de trop pour le médecin, mais qu'ils sont bien dedans, donc, là, on ne commencera pas à faire des bouts.
Speaker 2:C'est pas un bon poids. À chacun de voir toi, tu ressens-tu que tu, je vais revenir? l'abandon, le sentiment de solitude, d'être seul, l'abandon. Il y a le conflit d'identité, donc être vu, avoir une place, prendre sa place, donc être important, reconnu dans nos relations, que ce soit familial, social, au travail affectif. Il y a quelque chose dans être vu prendre sa place, ça touche l'identité. Il y a la peur du manque. Alors, moi, pour ma part, pour avoir parlé avec des femmes qui sont, par exemple, dans des pré-retraites on va mixer ça à la ménopause il y a souvent ce discours de je ne peux pas m'arrêter, je suis brûlée, j'aimerais relâcher, j'aimerais en faire moins, j'aimerais travailler beaucoup moins ou même peut-être officiellement m'arrêter, prendre une retraite complète, mais j'ai peur de manquer d'argent.
Speaker 2:J'ai peur sur le plan financier, donc la peur du manque. J'ai peur sur le plan financier, donc la peur du manque. Alors ça aussi, la peur du manque dans le poids, c'est là. Mais là, le manque, il n'est pas juste au niveau financier, ça pourrait être. J'ai peur de manquer d'amour, j'ai peur de manquer d'espace, j'ai peur de manquer ma vie j'ai peur de manquer d'argent, j'ai peur de manquer des projets.
Speaker 2:Le manque fait faire du plein, comme le vide fait faire du plein. Ok, parce qu'il y a quelque chose que le corps m'indique. Alors, ça aussi, c'est une réalité. Du poids, la protection. Alors, il y a des personnes qui ont vécu des situations d'abus, d'humiliation, d'atteinte à l'intégrité, peu importe l'abus abus sexuels, abus financiers, abus psychologiques, peu importe l'abus abus sexuels, abus financiers, abus psychologiques, verbales, intimidation, il y en a plein de sortes d'abus. Mon corps peut avoir appris à se protéger en faisant du poids, parce que plus je suis dans le poids, plus je suis fort, plus je suis fort, plus je suis imposant, plus je peux me défendre. C'est symbolique, parce que, dans les faits, il peut y avoir une personne très, très, très en bon point, puis, ce n'est pas vrai qu'elle pourrait plus se défendre, mais biologiquement parlant, symboliquement parlant, le corps est plus imposant. Alors je peux plus faire peur, je pourrais être plus en mesure de repousser l'expression ou de me protéger. Alors, le poids nous renvoie aussi à ce phénomène de protection. Alors, si je suis en ménopause et je reprends ces concepts-là d'abandon, de solitude, d'identité, de manque de prendre sa place il y en a d'autres, mais je vais avec les grands marqueurs.
Speaker 2:On peut le voir avec des histoires comme Quelle est mon identité de femme maintenant que j'ai des rides, que mes cheveux deviennent peut-être gris, que mes seins tombent, que j'ai peut-être un peu de poids autour des hanches, un petit peu plus de ventre? Comment je me sens dans ma relation intime avec mon partenaire, dans son regard, dans le regard des autres, dans mon regard à moi, qui doit accepter ce corps qui change? C'est identitaire, même si c'est physique. Mais là, si on y va plus profond dans l'identité, qui suis-je maintenant que je ne suis plus la mère d'eux, que mon enfant n'a plus besoin de moi au quotidien? Qui suis-je si, au travail, je suis en train de déléguer ma place à la jeunesse et que moi, je m'en vais vers la sortie?
Speaker 2:Et les gens qui n'ont pas entretenu dans leur vie leur sphère de vie, qui ont mis toutes leurs énergies dans la maman ou l'ambition du travail? quand t'enlèves un de ces morceaux-là, il n'y a plus d'identité. Je le sers à quoi? Je suis qui, moi? Alors, c'est pas grave. Je veux dire, je suis en train de dire aux gens tu payes pour c'est pas ça.
Speaker 1:Non, non, non.
Speaker 2:Mais si je me rends compte que j'ai fait ça dans ma vie, le wake-up de la mi-temps t'indique que tu vas apprendre à te connaître et tu vas réinvestir tes sphères de vie, donc ton identité personnelle, parce que tout ne passe pas par ta séduction, ton employabilité avec tes défis ambitieux de travail ou ton rôle de mère. La vie t'invite à explorer d'autres rôles Celui de la femme, celui de l'amie, celui de la voyageuse, de l'exploratrice, peut-être la musicienne en toi, peut-être l'athlète, peut-être même pas que tu es une future athlète, peut-être l'amoureuse, peut-être. C'est quoi? les rêves que t'as mis de côté? Parce qu'on peut pas tout faire et tout être à tout moment de notre vie.
Speaker 2:Et il y a des périodes de notre vie où on a investi le travail, où la femme est un peu des deux, puis on a mis de côté certaines choses. Hey, t'as des plages horaires qui se libèrent, où tu pleures, et là tu refuses de faire, mais qui, de toute façon, de faire? mais qui, de toute façon, l'automne arrive, dans le sens où, même si on se battait contre les saisons qui arrivent, je veux pas que l'été finisse, je veux pas que l'automne arrive. C'est plate, c'est gris, moi, c'est humide. Il y a plus de soleil. Tu sais, mettons Ben, oui, tu peux bien chialer deux jours, mais sorte que j'aime l'automne. Oui, il y a un processus de détachement, de deuil, de choses qui sont terminées Pour chacune.
Speaker 2:Ça va être différent dans la façon qu'on va le faire, puis le temps qu'on va prendre pour faire ces deuils-là se détacher, accepter les changements. Mais plus rapidement on comprend qu'on a juste à réorienter aussi vers qui je peux être maintenant. C'est quoi, tous ces rêves-là nouveaux? Je te regarde, toi, karine. Tu as commencé à voyager avec Fred. C'est quand même unique comme expérience. Il y en a d'autres qui le font, mais ce n'est pas tout le monde qui fait ça. Vous vous êtes créé du petit humain, de la nouveauté. Je ne dis pas à tout le monde, achetez-vous un Wannabago, c'est ça.
Speaker 1:C'est au couple, nous autres. C'est comment on veut vivre ces 25 dernières années. Mettons, on peut vraiment voyager facilement pendant 25 ans. Qu'est-ce qu'on veut faire? Qu'est-ce qu'on veut faire dans nos 25 prochaines années? C'est la question qu'on s'est posée, ma, c'est la question qu'on s'est posée. Ma mère est morte à 75. Ça veut dire que là, moi, j'ai 52. Ça veut dire que si je me base sur son âge, ce n'est pas triste quand tu dis ça, il me reste 23 ans. Quand tu le prends, de même, tu es comme attends, s'il me reste 23 ans, c'est comme ça. On fait quoi à partir de maintenant? C'est ça.
Speaker 2:Puis, tu sais, karine, tout ça se prépare. Tant mieux s'il y a des gens qui m'écoutent, qui ne vous êtes même pas encore en ménopause. Oui, occupez-vous de ça maintenant. Je vais donner un exemple. Actuellement, je ne suis pas, moi, en ménopause, ni même en pré-ménopause, même pour moi aussi, je suis une femme, comme toutes les femmes. Et actuellement, moi, j'ai le nid qui se vide, mais il ne se vide pas pour vrai, parce qu'ils sont à la maison et ils sont loin d'être partis, mais ils sont autonomes.
Speaker 1:Oui, mais ils sont moins là, Ils sont autonomes.
Speaker 2:donc ils ont besoin de papa, maman, pour avoir du plaisir, je vais travailler, j'ai mes études, j'ai mes amis. Puis, c'est normal, j'étais là aussi, au même âge, j'avais envie d'être avec mon job, j'avais envie d'être avec mes amis. Donc, on s'est retrouvés doucement, dans la dernière année, à réaliser parce qu'il y avait trop de monde tout le temps. Puis là, il n'y a comme rien. Et on fait quoi? On ne peut pas juste aller au resto. Je veux dire ça ne peut pas être juste, ça. On va va aller au resto. On va aller au resto. On va aller au resto, on va regarder du Netflix. Ça n'a pas de sens. Et longtemps, comme toi, comme tous ceux qui ont des enfants, la vie tournait de qu'est-ce qu'on fait samedi. Puis, on va aller en rade de vélo, là, après ça, on va aller au cascade d'eau, on va aller en faire baby-soul.
Speaker 2:Les cours de danse, les cours de chant, les cours de psy, plaindre, c'était merveilleux. Mais là, il n'y en a plus de cours, ils vont tout seuls à leur course. Exact, on l'a fait, l'exercice de se transformer Comment? On s'est procuré des vélos, on a décidé de se faire des itinéraires, j'ai décidé de me remettre en forme en me disant qu'on a du temps parce que là, au lieu, irait en rond dans un quartier avec des enfants. Puis, comme à l'époque des vélos, que tu attaches en arrière de ton vélo, avec le banc de bébé en avant, en arrière, c'est juste, nous puis nos vélos. Fait qu'on peut faire d'autres types de routes.
Speaker 2:Des ados, ça ne trippe pas toujours le paysage, ils ne sont pas nécessairement là. Fait que là, eu ça. Après ça, on s'est dit on va faire des cours de plongée sous-marine. On a le goût d'aller faire de la plongée. On n'avait pas les finances ou le temps, puis il fallait s'occuper des enfants. On fait ça. Est-ce que je vais tout aimer ça? Je ne sais pas, karine, je suis en phase d'exploration avec qu'est-ce qui pourrait être, comment. puis on essaie des choses, puis on se donne le temps de les expérimenter assez pour faire est-ce que c'est pour moi, est-ce que c'est pas pour moi, mais quoi d'autre? Faites-le, attendez pas d'être dans votre crise identitaire. Commencez dès que vous êtes conscients qu'il y a des changements.
Speaker 1:En tout cas, c'est-ce qu'on a joué en fin de semaine passée Au pickleball. Oui, ça y est, t'es rendu ailleurs. Quand tu joues au pickleball, t'es dans une autre ligue. Mais en même temps, on est allé avec notre plus vieux et sa blonde, puis on a eu vraiment du fun. C'est pas du racquet de balle, le pickleball, la balle, la balle lentement. Puis on avait du fun, puis on riait. Je suis comme oh my God, c'est tellement le fun de s'autoriser, pas de dire que c'est un sport de vieux qu'on pourrait avoir comme idée, c'est pas ça, c'est qu'est-ce qu'on peut faire maintenant, qui va nous plaire à tous les deux? puis on a du fun. Fred me donne des petits coups de raquettes sur les fesses.
Speaker 2:puis en tu as raison de dire pourquoi venir coller une étiquette? fort de vieux. Je vais donner un exemple. Quand j'étais jeune, je faisais de la planche à neige. Quand j'étais jeune, j'en fais encore de la planche à neige, mais pas de la même façon. Je faisais de la planche à neige, Je faisais du ski-node, je faisais du ski-alpin, Bon, puis si ma mère m'avait dit on s'en va, qui te font?
Speaker 2:c'est agréable, mais je ne suis pas obligée d'aller coller l'étiquette pour les vieux. Non, Dans le sens où. non, c'est que notre réalité change. et si c'était juste ce qui est aligné, pourquoi il faut avoir un jugement sur ces changements-là? Pourquoi ne pas juste le voir comme de la joie Exact, Comme de la joie de? c'est pour moi, en ce moment, moment dans ma vie, C'est ça dont j'ai envie.
Speaker 1:Exact, moi, je suis passée du Ironman, du marathon pour Kilimanjaro à du yoga show, puis du pickleball, voilà.
Speaker 2:Si tu n'aimes pas le sport, ça peut être l'art, ça peut être la musique, ça peut être de s'ouvrir à la culture, ça peut être de voyager, ça peut être tellement de choses. Donc voilà pour ça. Alors là, voyager, ça peut être tellement de choses. Donc voilà pour ça. Alors là, je parlais du poids, puis je suis allée ailleurs. Mais, en gros, ce que je veux vous dire, c'est que le symptôme du poids, si tu te sens seule, abandonnée, à toi de voir est-ce que tu es rendu à une étape où tu dois recréer de la relation avec ton partenaire ou juste ouvrir à une nouvelle relation sociale qui va plus te nourrir avec qui tu es aujourd'hui, si tu es dans un conflit d'identité, de te donner le temps, la pause nécessaire pour t'être respecté, à revoir tes valeurs et tes choix et tes buts et tous ces rêves que tu avais mis sur une liste, comme un jour Oui, mais là c'est la mi-temps. Ça serait le temps de sortir ta liste. Si c'est le manque, peut-être revoir ton budget, discuter avec des gens sur le plan financier, parce que c'est ça qui fait que tu repousses des décisions, des changements. Si c'est un autre type de manque, t'occuper de ça aussi. Si le conflit, c'est des problématiques d'agression, de protection, de quoi on est en train de parler, encore une fois, c'est de l'adresser, d'aller chercher de l'aide ou de faire des changements dans ta vie si t'es pas bien avec ça. Je me rappelle, il y a plusieurs années c'est une personne qui est décédée aujourd'hui, mais c'était une femme qui avait des énormes bouffées de chaleur, mais, c'est incroyable, elle venait rouge comme une tomate, problématique de poids aussi, qui était là, elle était toute rante. C'était énorme. Cette femme-là vivait de la violence conjugale. Et avec la ménopause, la retraite, on se retrouve encore plus à temps plein avec la personne qui partage sa vie et elle vivait de ça. Des fois, c'est aussi ce genre de thème-là qu'il faut aborder. Puis, ça a été toléré, toléré, toléré, toléré. C'est un exemple, mais je veux le nommer. Oui, donc je vais arriver avec les solutions, karine. Oui, j'en ai quand même parlé un peu tout le long, des solutions, mais on va se faire comme un petit résumé, ok, alors rappelez-vous toujours en décodage, en intelligence émotionnelle, score, ménopause ou tout autre symptôme, peu importe l'important. À partir du moment où on a identifié notre conflit, notre stress émotionnel précis, ce qu'il faut, c'est le solutionner. Ce n'est pas la prise de conscience qui va nous libérer, c'est j'ai pris conscience et donc je sais de quoi je dois m'occuper». Mais si je ne fais rien avec ça, tu vas rester près de ton symptôme. Ce n'est pas de la magie, cette affaire-là. Si c'était facile, tout le monde le ferait. Ça demande vraiment de se remettre dans son pouvoir personnel, de se responsabiliser, puis d'oser des actions qui nous font parfois peur, qui nous insécurisent, parce que c'est pas naturel, parce qu'on l'a jamais fait. Alors d'avoir le courage de ces choix-là, puis de dépasser nos peurs, d'y aller un petit pas à la fois, mais d'avancer. C'est vraiment ça qui est important. Alors, je vous résume Soyez dans la création de votre vie, voyez positivement la sagesse de cette fameuse qui arrive, qui se développe, qui prend place. Mettez du sens dans votre vie. Donc, identifiez vos valeurs, vos buts, pour que ça donne du sens. Le sens, ça donne de l'énergie. Si j'ai pas de sens à ma vie, je suis à terre. Alors, les valeurs donnent de l'énergie, le sens donne de l'énergie. Si je t'en perds d'énergie, ça en perd de sens.
Speaker 2:Accepter le cycle du changement Il y a une période pour le printemps dans la vie, il y a une période pour l'été. Il y a une période pour le printemps dans la vie, il y a une période pour l'été, il y a une période pour l'automne, puis il y a une période pour l'hiver, qui est vraiment à la fin, fin de votre vie. C'est une image, c'est le cycle des saisons, mais la nature, elle, nous parle constamment. On ne vit pas l'automne comme on vit l'été. La ménopause, c'est l'aut.
Speaker 2:Les troisièmes printemps, oui, oui, ou le troisième printemps Exact. Voilà. Ensuite, de ça, réglez vos irritants. Arrêtez de mettre ça en dessous du tapis. C'est le temps là.
Speaker 2:Ok, assumez vos nouveaux choix, plus alignés, osez les conversations, puis osez vos choix, puis avancez avec vous-même ou à deux si vous partagez votre vie, mais ayez ces, c'est important, c'est pas mal ça. Et vous avez un processus de deuil et de détachement sur ce qui a été et qui se transforme. Donc, il y a un deuil là-dessus, un deuil de la jeunesse. Le deuil, ce n'est pas quelque chose sur quoi on peut tirer. On ne peut pas souffler là-dessus comme sur un nuage ou tirer là-dessus pour que ça veuille aller. Ça va y aller plus vite. Alors, on peut tout à fait être dans la conscience de la transformation, en étant en connexion avec cette sagesse intérieure, cette femme mûre, et avoir des moments où on pleure dans la journée parce qu'on est en deuil, mais le faire en conscience, ça change tout.
Speaker 2:Moi, des fois, ça me pogne. Je donne un exemple, karine. Je pense qu'il y a un mois, je m'en vais voir ma fille qui joue, qui fait du flag football. On s'entend, c'est des adolescentes qui jouent sur un terrain de foot. Je suis super contente d'aller voir ma fille qui joue au flag.
Speaker 2:Puis, là, dans les estrades, il y a un papa avec sa petite d'à peu près 4 ans, devant moi. Puis moi, lâchement, parce que mes ados, si je veux y voir, il faut que j'aille la voir sur le terrain de flag football. Là, je vois sa petite main, sa petite fille, la main de son père, et ça part comme une champleuse, mon chum. Pardon, t'es pas sérieuse. Là, je regarde mon chum, je lui dis il faudrait vraiment qu'elle change de place. J'étais incapable de. Il faudrait que la petite change de place. Oui, ils n'ont pas entendu, mais ils n'ont vraiment changé de place.
Speaker 2:À un moment donné, j'étais juste dans mon deuil de cette enfance-là. Ce n'est pas de dire qu'il ne faut pas avoir d'émotion ou qu'il ne faut plus rien ressentir, mais j'étais en conscience, dans les estrades, que j'étais dans mon nid qui se vide, mes enfants qui ont de moins en moins besoin de moi. Éventuellement, c'est la main d'un petit enfant que je vais tenir, au lieu de la main de mon enfant qui prend la main de son chum ou de sa blanche. Tout ça, c'est un processus pis, c'est sur toutes nos sphères de vie. Autorisez-vous le deuil, autorisez-vous le deuil, autorisez-vous le détachement. Soyez doux avec vous, soyez en conscience, trouvez-vous belle dans cette transformation. Faites de l'automne une fête. C'est ça mes recommandations. Des codages.
Speaker 1:Standing ovation pour toi. C'était cool.
Speaker 2:Si ça peut expirer, je suis super contenteente. En attendant, on s'éponge.
Speaker 1:On s'éponge. Comment vous avez trouvé cette session-là. Je vous invite encore à aller rejoindre Stéphanie sur son groupe Facebook, école Satnam. Si vous tapez Satnam, vous allez le trouver probablement super facilement. Vous allez pouvoir poser des questions. Il y a des gens qui sont formés aussi par toi, qui sont sur la page. Donc, si jamais ça vous intéresse parce qu'il y a des sessions en décodage émotionnel du corps, c'est ça que je vais vivre au mois d'août Avec moi, avec toi exact, pour voir ton approche, puis la percevoir. Quand on en parle, on en parle de façon générale. Là, tu vas rentrer dans mes épaules, dans mes douleurs, dans mon ventre dans tout le reste, exact, oui.
Speaker 2:Puis, pour ceux qui arrivent dans l'univers, venez consommer de tout ça, venez vous nourrir. C'est tellement extraordinaire, en tout cas, si vous êtes aussi passionnés que moi je suis tombée dans l'armée de Dobélix il y a presque 20 ans avec ces connaissances-là. C'est extraordinaire, c'est fou comment ça nous permet de mieux se comprendre à tous les niveaux, et je vous invite vraiment à vous intéresser à ça. Si vous voulez, par contre, faire du suivi individuel, moi j'en fais plus parce que j'enseigne maintenant le métier et je forme des thérapeutes en relations d'aide, des gens du milieu des services de santé, services sociaux, des gens en médecine douce qui veulent accompagner différemment, de façon plus globale et holistique, alors ça, vous pouvez contacter l'école.
Speaker 2:Ça nous fait grand plaisir de répondre à vos questions pour vous enseigner un jour Et pour les suivis individuels, j'ai une super belle équipe au niveau des thérapeutes de l'école qui font de l'accompagnement. Donc, ils peuvent tout à fait demander la liste et se choisir une thérapeute qui va accompagner avec cette réalité du décodage et tout ce qu'on enseigne chez Satenam, qui n'est pas seulement ça, il y a d'autres choses, mais à chacun de venir nous visiter s'il y a un appel.
Speaker 1:Puis j'ai une personne très près de moi aussi, qui est en consultation privée et qui trouve la transformation extraordinaire et qui adore Ce n'est pas le type de personne qu'on pourrait imaginer qui irait et qui s'ouvrirait à ceci Fait que je trouve ça extraordinaire. Puis c'est important pour moi de te le mentionner, parce que c'est vraiment hot, qu'est-ce que tu fais?
Speaker 2:Ah, merci, C'était vraiment, vraiment le fun. J'adore travailler avec toi. Puis de, C'est ça qu'on se voient à travers des histoires. On partage quand même beaucoup, autant toi que moi, dans nos trucs personnels. Puis ça permet à tout le monde de faire, mais on a tous un arrière scène. Puis, quand on partage ces histoires-là, on se voit. Des fois, on se voit mieux en se disant ça, c'est moi, moi aussi, je vis ça. Ça devient plus concret que des concepts abstraits qu'on essaie de mettre dans notre vie. En tout cas, je vous invite à ne pas vous lâcher. Voyez-le comme l'entraque d'un mi-temps.
Speaker 1:Le super ball, le super ball de notre vie, exact. On a fait déjà un atelier ensemble dans le même genre. C'est gratuit, c'est sur mon YouTube, c'est sur le décodage émotionnel du corps et le poids, et on a aussi deux podcasts qu'on a enregistrés à Impacter le monde. Si vous tapez Stéphanie Dubé dans mon YouTube, vous allez probablement trouver. Ça explique aussi ton histoire en lien avec ceci. Peut-être que ça peut vous intéresser, vous ouvrir encore plus Et honnêtement, stéphanie, au mois d'août, t'es la bienvenue. On va refaire un mardi sur n'importe quel sujet. C'est trop trippant, cet échange-là et cette rigolade-là. Je trouvais qu'on était comme deux petites copines de 8 ans qui étaient pour faire des mauvais coups. On était pour employer des mots drôles pour une conversation. Je trouvais ça juste tellement magique de parler Ménopause avec un détachement et de l'humour. Ça m'a fait vraiment du bien, moi aussi.
Speaker 2:Merci beaucoup, Karine. Je dis bonjour à tout le monde. C'était vraiment, vraiment le fun de partager cette heure-là avec vous.
Speaker 1:Merci Stéphanie, à tout bientôt, bye-bye, Salut tout le monde. Je vous encourage encore à aller voir Stéphanie, explorer Stéphanie, et explorer ce qu'il y a sur ma chaîne YouTube pour vous aider encore plus. La plus belle des prières, c'est merci, et encore plus de ceci. Salut Steph, salut tout le monde.