Impacter le monde avec Karine Champagne

109. Amour inconditionnel et mémoires cellulaires avec Karine Turcotte

Karine Champagne

Tu peux directement me texter tes commentaires!

Karine Turcotte partage son parcours extraordinaire de connexion avec ses vies antérieures depuis l'enfance. Elle nous révèle comment ces mémoires cellulaires influencent notre présent et comment les libérer pour nous permettre de devenir notre essence véritable.

De la Mongolie à son rôle actuel de passeuse d’âmes pour humains et animaux, Karine nous enseigne l’amour inconditionnel, la guérison cellulaire et le pouvoir de se souvenir pour transformer notre vie.

Pour rejoindre Karine, c'est par ici:

https://www.instagram.com/karine.turcotte_
https://www.facebook.com/karine.turcotte.98
https://www.facebook.com/SalonKanine
https://open.spotify.com/show/7cfPy95RBGupUQQvqKgzk1

3 bonnes raisons d’écouter ce podcast :
1. Une histoire vraie de souvenirs de vies antérieures dès l’enfance
2. Comment les animaux nous aident à guérir nos blessures émotionnelles
3. Une leçon profonde sur l’amour, la mort, et la mission de vie

Citations percutantes de Karine :
"Moi, dans ma tête, l’espace-temps n’existait pas."

"Je voyais ma vie antérieure comme un projecteur dans ma chambre."

"Les animaux sont là pour nous enseigner dans l’amour inconditionnel."

"Quand tu te souviens, tu peux enfin briser les cycles."

"Tu n’as pas à prouver qui tu es. Sois juste en présence."



Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
www.karinechampagne.ca/impact

Pour explorer l'univers de la question:
www.karinechampagne.ca 

Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

www.karinechampagne.ca
www.karinechampagne.ca/podcast
www.karinechampagne.ca/impact

Speaker 1:

Puis là, je me retournais vers maman et je lui disais Maman, t'en souviens-tu, quand j'étais grande? Puis là, elle m'a regardée et elle me disait Ben, voyons, karine, ça se peut pas que quand t'étais grande, t'as trois ans. Là, je lui disais Non, non, non, j'avais pas trois ans, maman, j'étais une adulte. Puis là, elle était, comme à dire, ben peu traumatisée. Pis là, elle disait ouais, mais grande. Comment mettons Karine, fait que là je montais sur la table, fait que là je lui montrais, regarde comment j'étais grande, fait que là, elle disait ouais, mais ça se peut pas, karine, que tu te souviennes de ça. Ben oui, je me souviens de ça, maman. Moi, dans ma tête, l'espace-temps n'existait pas, c'était là, tu étais présent.

Speaker 2:

Allô, allô. je te souhaite la bienvenue à un autre épisode du podcast Impacter le monde. Imagine si une de tes connaissances, ou encore ton enfant, te disait te souviens-tu, maman, quand j'étais grande? C'est exactement ce que mon invitée a dit à ses parents. Elle avait un souvenir ultra clair de ses vies antérieures et aujourd'hui, elle en a fait sa mission, celle de nous ouvrir sur notre bagage cellulaire, nos mémoires, pour encore mieux se comprendre et encore mieux devenir son essence. La conversation d'aujourd'hui risque de te couper le souffle, littéralement. Je te présente mon invité avec tellement de joie Karine Turcotte multifonctionnelle. Vous allez comprendre pourquoi. dans quelques instants, es-tu prête à impacter le monde? OK, oui, les vies antérieures t'es littéralement tombée dedans quand t'étais petite, parce que tu te souvenais de tout, de zéro à huit ans, comment ça commence, comment tu perçois que tu es peut-être bizarre ou comment tu commences à parler à tes parents de ce que tu te souviens.

Speaker 1:

Bien, ça a commencé quand j'étais plus consciente, aux alentours. Quand tu as un an, deux ans, trois ans, tu n'es pas là en tant qu'enfant. Mais à trois ans, je me souviens du souvenir que j'étais sur la chaise berçante de ma mère, puis elle avait un bras qui était quand même assez large, mais qui faisait penser à une selle de cheval, puis moi, je m'assisais là-dessus, puis ma mère elle se berçait, fait que je tombais comme un peu en semi-trance, puis là, je me retournais vers ma mère, puis je lui disais maman, t'en souviens-tu, quand j'étais grande? Puis là, elle m'a regardée et elle disait ben, voyons, karine, ça se peut pas que quand t'étais grande, t'as trois ans. Là, je lui disais non, non, non, j'avais pas trois ans, maman, j'étais une adulte. Puis là, elle était, comme à dire, un peu traumatisée.

Speaker 2:

Oui, dans son rationnel, dans son expérience très terrestre, avec peu ou pas de connaissances sur quoi d'autre est possible. Où est-ce qu'il y a de la vie? C'est ça.

Speaker 1:

Moi, je disais oui, j'étais grande. Puis là, elle disait grande, comment mettons Karine? Je montais sur la table. Je lui montrais regarde comment j'étais grande. Fait que là, elle disait ouais, mais ça se peut pas, karine, que tu te souviennes de ça. Ben oui, je me souviens de ça, maman. Moi, dans ma tête, l'espace-temps n'existait pas, c'était là, c'était présent.

Speaker 2:

De quelle façon tu?

Speaker 1:

voy, C'était tout à partir de mon cœur en fait, C'était ce que je vibrais intérieurement, ce que j'étais Moi. Je ne me voyais pas comme une petite fille de 3 ans, Je me voyais la personne qui était grande, la chamane qui était grande, Parce que là, en plus de ça, je disais Maman, moi, quand j'étais grande, je savais l'heure». Puis là, elle me demandait Oui, mais tu voyais ça, comment l'heure, toi Bien avec le soleil. Puis là, elle me disait Bien, voyons comment tu faisais Bien avec des pierres. Là, je leur expliquais dans le fond que, par rapport avec le soleil, on savait comment, quel temps, ou ce qu'on était rendu dans l'après-midi ou le soir, Fait que là, ma mère était comme Mais voyons, est-ce qu'elle a appris ça, ou elle? Tu sais, ça se peut pas là, Il y a personne qui a enseigné ça, là.

Speaker 2:

Puis à l'école aussi. Quand on dit qu'il y avait un soleil ou une lune, tu te disais Non, non, il y a plusieurs soleils.

Speaker 1:

En voulant dire traumatisé. Parce que là, c'était comme voyons, karine, ça se peut pas, il y a pas des soleils, il y a juste un soleil, il y a juste une lune. Parce que pour eux autres, c'était comme on le voit pas s'il y a des soleils. Mais moi, je leur disais non, non, les étoiles ont tous leur soleil. Mais ça c'était. Voulaient me rester dans le monde rationnel. Je les comprenais à quelque part, parce que là, je me disais intérieurement que moi j'y crois, même si eux ne veulent pas y croire, c'est pas grave, moi j'y crois. Là, j'essayais, j'allais vers mon monde, mettons, vers mes cousines. Il y avait une cousine dans mes cinq cousines qui, elle, me croyait Parce que je lui montrais comment jouer à des jeux avec des fléchettes. Tu sais, je disais on avait des fléchettes, il fallait les lancer, il fallait qu'on rende nos fléchettes dans un.

Speaker 2:

On avait comme des pierres qui étaient en cercle, fait que tu te rappelais de comment tu jouais dans ton autre vie. C'est ça que tu montrais à tes cousines.

Speaker 1:

Oui, ça, c'était, c'était en dedans de moi.

Speaker 1:

Là, c'était fort, parce que moi, je voulais jouer avec eux autres.

Speaker 1:

De même, moi, je me souvenais que c'était ça que je jouais, fait que je voulais leur montrer comment jouer. Tu sais pourquoi eux me montraient des jeux, fait que moi, c'était même vulnérable de dire regarde, moi aussi je veux vous montrer comment jouer, à Quand j'étais grande. Mais là, il y en avait une qui, elle, me croyait, parce qu'elle trouvait ça un peu mystérieux, elle trouvait ça comme un peu différent, mais elle acceptait. Mais les autres étaient comme on ne joue pas à ça, ça n'a pas rapport. Fait que moi même, les jeux de billes. Je disais, nous, on prenait des pierres pour essayer de jouer comme à des jeux de billes. Mais là, c'était, voyons ce qu'elle dit.

Speaker 1:

Là, là, le monde a commencé à dire Karine, arrête de compter des menteries. Tu sais même, là, je dis OK, si mes cousines il y en a une qui me croit, peut-être que ma tante va me croire, peut-être que ma grand-mère va me croire Fait que j'allais vers d'autres personnes autour de moi pour essayer de tenter le terrain, parce que c'était tellement fort et puissant de savoir que pourquoi. Moi, je sais ça, il doit y avoir quelqu puissant de savoir que pourquoi? moi, je sais ça et d'avoir quelqu'un d'autre qui le sait aussi, ses vies antérieures. Moi, c'était fort, c'était vraiment puissant de dire que, ok, je vais aller demander à ma grand-mère Grand-mère, t'en souviens-tu quand j'étais grande? Voyons, karine, ça se peut pas. Inventes-toi pas des histoires, ça se peut pas. Là, c'était difficile de jongler entre moi. Ce que j'étais, c'était vrai, oui, puis de dire OK, mais si l'adulte dit que je suis menteuse, c'est peut-être parce que je suis vraiment menteuse. Là, c'est un combat intérieur de dire que je suis-tu menteuse.

Speaker 2:

Est-ce que j'invente les choses? C'est ça. Qu'est-ce que j'invente les choses? C'est ça. Qu'est-ce que tu te rappelles, toi? mettons d'une vie en particulier quand tu dis quand j'étais grande, tu étais en Mongolie. Est-ce que tu peux juste me donner quelques détails de ce que c'était une de tes vies antérieures?

Speaker 1:

Dans le fond, ça, ça a été un parcours jusqu'à aujourd vie. C'est que le but, c'était que je rentre ici sur Terre avec un nouveau corps pour réapprendre à ce que je puisse me déplumer, me découcher de couches dont mon égo s'avait protégé de mes vies antérieures. Ça fait que ça, ça a été un processus qui s'est fait à long terme jusqu'à aujourd'hui, Il n'y a pas si longtemps en fait, que je sache véritablement mon histoire en entier, De quand je disais à mes trois ans que j'étais une chamane, que je travaillais les plantes, que j'étais à Beaumont-sur-Essel, qui avait des problèmes physiques, avaient des problèmes de santé, Et que là, par la suite, dans le fond, ça m'a apporté à une dame à 16 ans, Qu'elle, elle m'a fait une régression, Que cette dame-là, elle y croyait, Mais en même temps, c'était comme on va voyager avec elle, on va voir ce qu'elle va ressortir de tout. Ça Fait que cette dame-là suite avec ce que j'avais parlé un peu avant qu'on se parle du décès de mon grand-père.

Speaker 2:

Attends un petit peu. On va juste Donne-moi juste un moment, parce que tu as parlé d'un âge important 16 ans. On va juste le mettre dans le contexte 0-8 ans. Tu parles de tes vies antérieures, tu parles de quand t'étais chamane, tu parles de quand t'étais grande. Et là, à 8 ans, qu'est-ce qui se passe?

Speaker 1:

À 8 ans. Dans le fond, c'était là. Ouais, ce que j'ai dit. Là, c'est assez. Je vais arrêter de me faire dire que je suis une menteuse. Et un soir, j'étais dans mon lit. Puis, moi, ce que ça faisait, c'était un écran mental que j'avais.

Speaker 2:

Un genre de projecteur.

Speaker 1:

Dans ma chambre, puis je voyais ma vie antérieure. Je voyais tout en images.

Speaker 2:

Envoyais-tu plusieurs ou juste?

Speaker 1:

une spécifiquement, c'était vraiment elle de la chamane. Vraiment, c'était toujours elle. Puis, ça me ramenait à voir des scènes dont je ne comprenais pas d'où ça venait. Mais je me disais là, je vais arrêter d'en parler parce que je suis tannée. Puis, même que ça, ça m'apportait, à vu que je ne me faisais pas accepter, je me révoltais, fait que je me faisais perdre connaissance à l'école parce que les professeurs, dans le fond, étaient à dire As-tu fini de compter des menteries? Ou. Ça m'a apporté, suite à ça, une religieuse qui m'a dit T'es un démon Pour moi. Je ne voulais faire aucunement mal à personne. J'ai dit Je vais arrêter de faire du mal au monde avec ce que je disais ou avec ce que je croyais, et mon projecteur que je voyais. J'ai fait une fermeture, j'ai ramené ça dans mon cœur comme une marmite, comme une fleur. J'ai carrément là, tout mon écran a Ça s'est fermé. J'ai vraiment J'ai dit là, je garde ça pour moi. Maintenant.

Speaker 1:

Fait que de 8 ans à aller à 16 ans, je me suis renseignée. J'allais à la bibliothèque, j'allais. Ma mère il n'y a personne qui lisait dans la famille, ma mère ne comprenait pas. Adolescente, j'avais des livres, je faisais de la peinture, je peignais tout ce qui était pris à l'intérieur de moi émotionnellement, parce que je savais que je gardais de quoi, mais il fallait que je l'exprime. Fait qu'au lieu de l'exprimer en mots, je le mettais en images. Fait que je peignais, je lisais, j'écrivais, j'apprenais même à vu que j'étais dans ma chambre, je me faisais des soins. Fait que personne riait de moi de cette façon-là, parce que je faisais ce que, moi, je ressentais.

Speaker 2:

Donc, c'était fermer tes projections des images, mais tu restais connectée. Il y a quelque chose que tu pouvais. Tu n'étais pas coupée complètement de toutes ces capacités-là.

Speaker 1:

Non, je ne voulais pas me couper de ça, parce que c'était mon secret à moi. C'était comme je ne veux plus que personne me rabaisse par rapport avec ça. À l'âge de 16 ans, j'ai eu l'expérience d'être à accompagner mon grand-père de son décès. La vie m'a apporté à aller le jour même. Je n'étais pas capable d'y aller les trois jours qu'il était à l'hôpital. Le troisième jour, je suis allée à ses pieds, je me suis mis les deux mains sur ses pieds, puis j'ai dit grand-maman, qui, c'était sa conjointe? je l'ai comme regardée, puis j'ai dit dans mon cœur elle ne peut pas rester. Puis, grand-maman est partie. Puis, quand j'ai mis mes mains sur ses pieds, j'ai dit là, grand-papa, tu peux partir en paix.

Speaker 1:

Ce que ça a fait, c'est que ça venait expliquer ce que je ressentais déjà dans l'énergie, tout ce que j'avais appris de par moi-même, énergiquement, dans ma chambre, je pouvais le mettre en oeuvre fait que j'ai vu l'énergie, la boule d'énergie qui a monté et qui a sorti au niveau de son chakra, de la couronne, et là, j'ai vu sa belle bulle bleue qui est allée juste à côté de lui, et là, je savais qu'il était parti, parce que c'est son âme qui me l'avait demandé, parce qu'il ne pouvait pas rester prisonnier. Et c'est là qu'il a compris qui j'étais. Puis, ce que ça me dit, c'est que tu ne peux pas rester prisonnière, toi non plus. Mon oncle a regardé la montre de mon grand-père être arrêté l'heure de son décès.

Speaker 1:

Et là, ça a venu totalement confirmer ce que je ressentais à l'heure de son décès. Et là, ça a venu totalement confirmer ce que je ressentais à l'intérieur de moi et qui j'étais. Tout a remonté à la surface, parce que tout ce que moi, la chamane, dont les animaux, c'était pour moi une importance, parce que les animaux, j'étais capable de les capter, lui, il avait sa ferme. Moi, je passais du temps à sa ferme avec les animaux, je prenais ma petite valise, je m'en allais chez mes grands-parents, à la ferme maternelle. Où est-ce que là, j'allais nourrir les petits minous? J'allais voir, Parce que tu avais déjà une connexion avec les animaux.

Speaker 1:

Est-ce que OK?

Speaker 2:

oui, OK, on va y revenir dans quelques instants Tu es rendue à 16 ans, tu as accompagné ton grand-père, tu renoues avec ces capacités-là, tu continues en fait ton éducation, où tu t'entraînes à te souvenir de tout ce que tu sais, parce qu'on ne s'en vient pas apprendre, on s'en vient juste se souvenir de qui on est complètement. Tu rencontres cette chamane-là, qui était une chamane, la femme qui t'a accompagnée, oui puis non.

Speaker 1:

C'était plus une dame qui faisait de la régression mais en hypnose, ça ouvre des nouvelles portes.

Speaker 2:

puis, qu'est-ce qui se passe à partir de 16 ans?

Speaker 1:

Là, ça a été puissant, parce que elle a juste eu à dire trois, quatre guidances, je me suis reconnectée. Puis là, ma fleur, genre tout s'est remis devant moi. Là, ça a fait, enfin, me voilà. Et là, la grandeur, enfin, je pouvais être dans mon 5 pieds, 5 ici, à mes 16 ans, de dire là, tu prends ta place, Là, tu prends ta position. Je me sentais tellement grande intérieurement, physiquement, j'étais dans mon corps, mais sur le plan de l'âme, j'étais dans une entièreté incroyable. J'étais dans l'univers, je retrouvais enfin qui j'étais. Quand j'étais à regarder les étoiles, quand j'étais petite, fait que tout ça c'est reconnecté. Mais là, ça a venu puissant.

Speaker 1:

Mais là, je me souvenais que le monde me disait t'es menteuse, t'es ci, t'es ça. Moi, je me disais non, je vais y aller, mais doucement, parce que les gens, ils ont peur de moi. Puis, mon but, c'est pour. Je peux pas mettre les gens dans la peur, parce que, tu sais, la religion était présente dans ma famille et je voulais pas leur apporter dans d'autres sortes de sphères, dont les apporter dans la peur. Au contraire, moi, c'était des apporter dans l'amour.

Speaker 2:

Est-ce que tu penses que tout le monde peut se souvenir de ses vies antérieures?

Speaker 1:

Oui, dans le fond, il y a une partie de l'enfant, de zéro à sept ans, qui, oui, il peut se souvenir dans une partie de notre cerveau, mais à un moment donné, si ce n'est pas dans sa mission. L'enfant a sept ans Parce que, de zéro à sept ans, quand l'âme a tout pris, le corps en entièreté, moi, je dis tout le temps les portes du temple se referme, le crâne, la frontanelle se referme et là, le corps prend l'âme pour permettre à ce qu'on puisse réaliser notre mission, ici, sur cette terre. Fait que, oui, il y a des enfants qui s'en souviennent de leur vie antérieure, mais à un moment donné, ça vient, que ça disparaît, mais moi, ça n'a pas disparu, mais les gens de multifonctionnel.

Speaker 2:

vous comprenez que la conversation peut aller dans tous les sens. J'essaie du mieux que je peux avec tout ce que j'entends. comment on peut diriger la conversation, qui est juste fascinante? Ce bagage-là cellulaire des autres vies antérieures je ne sais pas si vous y croyez, moi j'y crois à 150 millions de pourcents. il y a un impact sur notre vie actuelle. Toutes nos vies antérieures ont un impact Et l'objectif, c'est de s'en souvenir. L'objectif, c'est de se démasquer. Qu'est-ce qu'on fait avec ça, avec ces vies antérieures ou avec le bagage cellulaire, comment ça peut nous aider dans notre expérience terrestre?

Speaker 1:

À devenir meilleure, à une meilleure version de soi-même. Par rapport avec les blessures que j'ai vécues, par rapport avec mon passé cellulaire de la vie antérieure de la mère indienne qui, je ne pouvais pas, en tant que femme, utiliser ma puissance, c'est là qu'à 16 ans, quand j'étais dans ma régression, ça m'a dit tu ne pouvais pas être une femme dans ta pleine puissance parce que tu as tes menstruations. Et la femme, du fait qu'elle ait ses menstruations, elle était beaucoup plus puissante que les hommes qui se disaient chamanes dans la tribu. Fait que moi, c'est là que j'ai compris qu'on m'avait exclue, qu'on m'avait rejeté du village. Et j'ai compris, ça faisait trois ans que j'allais partout chez les médecins, des spécialistes. J'avais des grosses douleurs au niveau de mon dos, j'en perdais connaissance aussi, même que je me suis cassé le coccyx.

Speaker 1:

Pour tout ça, me rappeler me souvenir que quand j'étais dans la vie antérieure, j'étais l'esclave de la tribu, parce que les hommes avaient peur de qui j'étais Dans cetteait, on me rejetait, ça en était à moi-même. Me rejeter, à me faire perdre connaissance. Fait que moi. Je me voyais, dans la vie antérieure, à traîner ce gros sac de branches pour que eux, ces hommes-là, allument le feu pour leur sweat lodge ou pour leur cérémonie Fait que pour eux autres, il y avait la maîtrise. J'étais à l'extérieur, je n'étais pas à diriger.

Speaker 2:

Puis, là, dans cette vie-ci, quand on s'en souvient, c'est juste. Voici ce que je porte, Voici pourquoi je me tais peut-être, voici pourquoi je ne prends pas ma place, voici pourquoi je ne montre pas mes dons, mes capacités, mon pouvoir, ma puissance, appelez ça comme vous voulez. Et c'est ça, une de nos missions de vie, c'est de retrouver toutes ces capacités-là.

Speaker 1:

Oui, totalement, parce que c'est de retrouver qui tu es de selon ton expérience du passé. Fait que tu sais, on revient de vie en vie pour marcher un chemin d'amour, pour être en mesure d'apporter aussi le bien à chaque pas qu'on fait pour les sept générations futures. Fait que mon but, dans cette vie-ci, c'était justement de me libérer du rejet de la trahison, parce que la trahison, ça a été ça toute ma vie. De la trahison, parce que la trahison, ça a été ça toute ma vie. Mais en comprenant l'histoire de les vies antérieures, de ma vie antérieure, ça m'a permis d'être qui je suis aujourd'hui et de dire là, c'est assez.

Speaker 2:

C'est ça briser des cycles. On brise des cycles de notre famille, mais on brise des cycles de notre propre vie aussi. Parce que ça fait partie juste du jeu et de l'expérience de la réincarnation.

Speaker 1:

Exactement, fait que moi en étant à dire là, c'est assez, il n'y a plus personne qui va me taire. Ça a aidé à ma mère, ça a aidé à ma grand-mère, ça a aidé à mon arrière-grand-mère. Mais ce qui est le plus important, c' et je le sais, que ça va aider aussi à la génération future. C'est ça qui est important de dire je déprogramme pour que, nous, on puisse aller de l'avant avec une meilleure version de soi-même.

Speaker 2:

Donc, quand toi, tu choisis de déprogrammer, ça libère tout le monde. Puis, en même temps, quand tout le monde choisit aussi de se déprogrammer ou de faire des changements, ça a un impact sur nous aussi. Fait que c'est comme si c'est une fréquence. J'ai l'image d'un grand cercle ou d'un ripple effect ou de la petite roche qu'on lance dans le lac. C'est ça qui active l'énergie de la planète aussi. Oui, carrément.

Speaker 1:

C'est ce qui fait que ça apporte à ce qu'on est venu ici, sur la Terre, l'amour. Les animaux nous l'enseignent, à ce qu'on se rapproche de notre propre amour. et c'est ça qu'à comprendre responsabilité. Parce que moi, j'aurais très bien pu dire c'est à cause de lui, c'est à cause de ce prof-là, c'est à cause de cette religieuse-là, j'aurais pu très bien faire ça. mais non, j'ai pas à mettre responsabilité de ma vie à personne, c'est moi qui dois prendre responsabilité. Puis, suite à ça de mes 16 ans, quand j'ai compris que, ok, la fille dont je me sentais dans la vie antérieure, bien, là, je suis prête à continuer à aller de l'avant. Et Là, je suis prête à continuer à aller de l'avant. Et c'est là que la vie m'a apporté ma bordure collée, ma vanille. Je trippais sur ces chiens-là, fait qu'elles, je le savais, qu'il y avait une connexion dans ma âme, je le savais, qu'il y avait quelque chose qui se passait avec elles de la vie antérieure.

Speaker 2:

Donc même les animaux peuvent revenir.

Speaker 1:

Ceux qui, qui jouaient un rôle dans nos anciennes vies, peuvent revenir aussi Exactement, parce que eux, dans le fond, ils veulent dans notre pièce de théâtre à ce qu'on puisse vraiment intégrer notre rôle dans notre pleine puissance. Fait que cette bête m'a apporté ensuite à ce que je me dirige vers un cheval, une jument, et là, cette jument-là m'a enseigné à regarder qui je suis. Elle était mon miroir de vie. Il fallait qu'elle m'apprenne à me détacher, de ne pas attendre à la mort pour qu'on se détache de ceux et celles qu'on aime. Puis, ça, pour moi, c'était difficile parce que j'avais eu un trauma avec mon grand-père qui était décédé. Fait que pour moi, c'était comme elle venait guérir cette partie-là, mais qu'elle m'enseignait que la mort n'existe pas. Exact, et c'est là que ça m'enseignait les vies antérieures.

Speaker 2:

Il m'enseignait les vies antérieures, il n'y a pas de mort, il n'y a que des transitions, c'est une autre fréquence, une autre vibration. Si vous vivez un deuil en ce moment, peut-être que c'est difficile d'entendre comme ou non, mais ça existe. La mort. J'ai perdu peut-être mon mari, ma femme, mes enfants. Un parent est décédé, mais pour l'avoir vécu, expérimenté avec ma mère, je l'ai juste tellement bien compris que le format, on peut s'ennuyer de leur toucher. Mais c'est une transition énergétique, c'est une autre fréquence. Il n'y a pas de mort, c'est juste des cycles.

Speaker 1:

Oui, quand on comprend ça, c'est tellement différent parce qu'ils sont tellement proches. C'est de l'amour inconditionnel.

Speaker 2:

C'est incroyable, je disais à quelqu'un récemment, je suis plus proche de ma mère depuis qu'elle a fait sa transition, parce qu'il n'y a plus aucune limitation entre elle et moi, autre les miennes, mais pas de son côté à elle. Il y a comme C'est fluide. c'est quand même assez fascinant. Il y a plein de façons. Quand on parlait du titre multifonctionnel, c'est assez intéressant. Il y a une chose que je veux aborder. On va aborder les deux façons que tu accompagnes les gens.

Speaker 2:

Il y a peut-être plusieurs façons, mais moi, j'en connais deux en ce moment Celle où un pont entre l'animal et l'humain. Tu as fait mention de ta border collie, qui était justement là pour te rappeler et te remémorer certaines choses d'une vie antérieure. Tu es en mesure de faire le pont entre l'animal et l'humain et comment l'animal vient contribuer à émanciper et à faire évoluer l'humain à travers le toilettage. Je trouve ça assez spectaculaire. Donc, on arrive avec notre animal, tu fais le toilettage. on ne sait peut-être pas nécessairement qu'il va y avoir toute une chimie énergétique en arrière de ça, comment ça se passe entre toi et l'animal. Quand est-ce qu'il commence à te parler?

Speaker 1:

Bien, ça, c'est assez particulier, parce que, dans le fond, j'accueille l'animal. qui, les gens?

Speaker 2:

ils ne savent pas nécessairement que tu fais ça.

Speaker 1:

Moi, mon but, c'est vraiment pour l'animal, parce que, je le sais, que l'animal va se charger d'émotions de son maître par amour. Moi, j'ai besoin physiquement de travailler, parce que je ne peux pas toujours être à accompagner des gens, sinon on vient trop dans un espace de bulles, on vient comme un peu dégrandé, parce qu'on vient vraiment dans des élévations hautes. J'avais besoin d'un métier qui est vraiment passion pour moi, c'est les animaux. J'ai un énorme respect pour les animaux parce qu'ils m'ont accompagnée, ils m'ont enseignée, ils m'ont vraiment apportée à ce que je devienne qui je suis. Quand je reçois l'animal, on est dans le présent lave, je le chouchoune.

Speaker 1:

Tu sais, je rentre dans une énergie où est-ce qu'on est? un, c'est vraiment que de l'amour inconditionnel. Lui, il est bien, il aime ça parce que c'est sa mission, c'est ce qu'il est, et moi, j'adore être dans l'amour inconditionnel. Mais c'est là que si, exemple, le chien a absorbé une mémoire émotionnelle de son maître par amour, c'est là qu'il se passe la magie. Tu sais, à un moment donné, j'avais une bête, une golden. Elle bavait beaucoup et sa maîtresse, dans le fond, elle comprenait pas pourquoi, qu'elle avait beaucoup de bave, un surplus de bave. Je suis en train de sécher Et là, tout bonnement, je reçois, moi, ça marche avec des bulles, c'est des bubbles, c'est des bubbles qui me rendent directement au cœur, et là, la bête se tourne vers moi et elle me dit Je ne veux pas perdre ma place, je ne veux pas perdre ma place, je ne veux pas perdre ma place. Mais là, je suis là. Voyons pourquoi elle dit ça. Ça mettrait cette âne avant de sa bête. Mais là, moi, dans mon cœur, je me dis je ne peux pas dire ça à la fille. Je lui dis As-tu une ouverture de conscience? As-tu une ouverture de conscience? As-tu une ouverture de conscience? As-tu une ouverture de conscience? As-tu une ouverture dans mes peurs. Fait que là, je dis, je le dis, il adviendra ce qui arrivera. Je le dis, je dis à la fille c'est drôle, mais ta bête est vraiment très anxieuse.

Speaker 1:

Elle dit oui. Elle dit arrête pas de baver. C'est intense. Mais j'ai dit pourquoi? que ça me dit qu'elle a peur de perdre sa place. Et là, elle me regarde et elle dit oh my God, mais là, peur de perdre sa place. Et là, elle me regarde et elle dit Oh my god, mais là, tu ne perdras pas ta place. Ma petite dune d'amour, voyons, tu le sais bien que tu vas toujours être ma première fille, même si on va avoir un premier enfant. Là, j'étais comme Ben, voyons donc, c'est donc bien mignon. Parce que là, la chienne, elle savait que sa maîtresse, elle voulait tomber enceinte. Ça l'angoissait, ça lui faisait vivre du stress, et quand un chien vit dans le stress, il va se mettre à bavouer. Puis, là, il y a eu de l'amour. La maîtresse était comme Non, t'as pas à t'inquiéter». En plus, elle a un nom d'humain. Sa bête Fait que là, c'était comme Je dirais pas le nom pour garder une confidentialité, mais c'était comme t'as pas à avoir peur, tu vas toujours être ma première fille, le chien a-tu arrêté de baver.

Speaker 1:

Ça l'a aidé. Puis, là, ça faisait une coupelle de mois, même peut-être un an, que ça s'allait, et quand il est revenue à son prochain toilettage, elle était enceinte. C'était trop cute. Pour moi, ça, c'est mission accomplie, parce que la bête s'est faite comprendre de par ce que moi j'ai capté pour que sa maîtresse, elle puisse lâcher prise et dire OK, je me permets.

Speaker 2:

Est-ce que les animaux commencent à connecter avec toi avant le rendez-vous? Est-ce que les animaux commencent à connecter avec toi avant le rendez-vous? Est-ce que ça arrive des fois qu'ils sont juste contents de pouvoir verbaliser? Tu sais, Milo, je pense que je l'entends de plus en plus, mais sont-tu excitée de se faire entendre et se faire comprendre?

Speaker 1:

Oh que oui.

Speaker 1:

Vraiment, parce que pour eux autres, c'est comme enfin, il y a quelqu'un qui me comprend. Pour eux autres, c'est comme, même, justement, avec un animal. il y en a un qui a comme catché, tu me comprends, c'est un genre de teckel, de poil, de sanglier, qui, lui, sa mission, c'est de chasser et de vraiment travailler. Mais il était comme en dépression Parce que là, sa saison de chasse était finie. Puis là, moi, j'ai dit voyons, petit chien, fais-toi en pas, prends ça comme des vacances. T'es dans un spa en ce moment, t'es en train de te faire laver, de te faire chouchouner. Puis là, il fait comme voyons, ça m'entend. Là, il là, il était comme à réaliser que, ben, voyons, il s'est assis, puis il s'est tourné vers moi pour me regarder vraiment sérieusement, et là, il a réalisé que, wow, qu'il avait fait de quoi de pas correct, parce qu'il a brisé le divan de sa maîtresse. mais sa maîtresse ne comprenait pas pourquoi qu'il brisait le divan c'est parce qu'il ne travaille plus.

Speaker 2:

Fait qu'il cherchait quelque chose à faire.

Speaker 1:

Il cherchait quelque chose à faire, c'est un terrier, il faut qu'il creuse, lui, dans sa tête. C'est comme Fait que là, dans sa tête, il se disait en voulant dire Oh non». Là, ça veut dire que moi, ce que je fais comme coup, elle le sait, ils ont de la conscience. À ce point-là, les animaux. Moi, de par ce que j'ai vu, comme expérience, de par ce que je vois, c'est incroyable. Je pourrais t'en raconter pendant des jours et des jours. vraiment, est-ce?

Speaker 2:

que il y a des maîtres, par exemple, des humains qui vont vouloir forcer le message, qui vont dire dis-moi ce qu'ils pensent, parce que c'est sûr que c'est tentant, c'est sûr que je pourrais me retenir en disant Milou, es-tu contente d'être à la maison Ou il m'en veut de ne pas l'avoir amené. Ce genre de communication-là, c'est tellement à. Quelques fois, ici, au podcast, on en a parlé. Mais est-ce que les gens veulent forcer la communication? Est-ce que les animaux ont toujours quelque chose à dire?

Speaker 1:

Les animaux, dans le fond, sont dans l'amour inconditionnel. S'ils n'ont rien à dire, ils n'ont rien à dire Comme nous quand on est devant la nature on est juste là, on est dans le présent.

Speaker 1:

Ça, pour moi, c'est je suis. Il y a des animaux qui mon but, c'est de les apporter à ça, fait qu'il y a des animaux dont, comment je pourrais dire, il y a des maîtres qui savent qui je suis, fait que pour eux, c'est comme on veut que ce soit, karine, parce qu'on le sait, que tu vas te faire comprendre. Et oui, j'ai des clients qui vont forcer la donne pour dire s'il y a quelque chose à dire, je n'ai pas de gêne, moi, je ne force pas, parce que forcer, ce n'est pas ma vérité. De ce que je peux capter, je ne peux pas commencer à sortir une histoire qui, non, ça ne marche pas, ce n'est pas moi, ça Ce n'est pas dans le sacré.

Speaker 2:

Est-ce qu'ils ont tous quelque chose à dire?

Speaker 1:

Non, il y en a que c'est vraiment. Tu sais, dans le fond, tu as des chiens qui sont guides, tu as des chiens qui sont des anges, des anges que je dirais par amour inconditionnel, qui sont vraiment en présence pour venir accompagner son maître. Il y en a d'autres qui sont là pour enseigner. C'est différent pour les chiens, dans le fond, qui vont venir dans notre vie.

Speaker 2:

Est-ce qu'il y en a des animaux comme les humains? j'ouvre la question est-ce qu'il y en a qui viennent ici où toi et moi, d'après moi, on se ressemble sur certaines choses On a parlé même de dates qui étaient similaires où on sait qu'on vient Je ne sais pas si J'aurais employé le mot travail, c'est peut-être pas, mais tu sais, on vient faire quelque chose. Puis, il y en a d'autres qui n'auront pas de quête dans cette vie-ci. Ils sont peut-être plus en vacances, est-ce que c'est? Il y a des animaux qui viennent vraiment comme guide, où ils viennent faire quelque chose, accomplir quelque chose. Puis il y en a d'autres qui viennent comme easy peasy, qui viennent me faire flatter, puis être couché sur le dos, puis that's it.

Speaker 1:

Acceptés aussi par rapport. Des fois, ils ont eu des traumatismes par rapport avec des morts et eux reviennent, comme nous, dans le fond pour libérer des traumatismes, mais dans le silence, sans déranger personne. C'est pour ça qu'il y a des animaux qui vont vivre des situations traumatisantes, mais pour réveiller aussi les gens, les humains autour.

Speaker 2:

Absolument.

Speaker 1:

Il y a des élevations qui se font. Ce qui nous monte, ce qui nous enseigne, c'est par amour inconditionnel. Des fois, ça peut choquer, ça peut déranger, mais il faut pas avoir de jugement, il ne faut pas commencer à penser par la peur, parce que c'est là qu'on va.

Speaker 2:

Tu sais, quand on parle, mettons, de violences faites aux animaux, tu sais, ça soulève énormément de colère. Tu sais, je me souviens quand j'étais journaliste, puis moindrement, qu'on parlait de violences faites aux animaux. Les commentaires, les messages, ça brasse vraiment beaucoup l'humain qui regarde les nouvelles, en tout cas. Mais en même temps, ils sont là pour contribuer, pour mettre en lumière notre propre violence.

Speaker 1:

Non, Comme ça, tu le vois aussi, je le vois comme ça. Puis, moi, j'essaie justement de ne pas regarder les commentaires ou d'entendre des jugements. Tu sais, on peut très bien se laisser emporter, mais il faut se ramener dans l'amour inconditionnel. C'est autant pour les enfants, pour nous. On vit des situations émotionnelles difficiles. On est tous là pour prendre responsabilité, de dire OK, moi, je suis venue ici sur la Terre pour trouver mon chemin d'amour Et chaque pas que je vais faire, ça va être des pas de lumière pour les générations futures. Fait que si je suis à voir, qu'il y a de la violence, qu'il y a des blessures, de rejet, de trahison de ci et de ça, et que ça me dérange, regarde à l'intérieur de toi, qu'est-ce qui te dérange, et c'est là que tu vas avoir les réponses à tes questions, en tant que miroir.

Speaker 1:

Les animaux sont là pour nous enseigner, mais les humains aussi, toutes nos personnes qui sont sur notre pièce de théâtre, sont là pour nous aider à comprendre pourquoi je vis telle situation. Le karma en fait. Le but, c'est de libérer les karmas par les mémoires cellulaires pour comprendre quand il y a une prise de conscience. Il y a un switch qui se fait Quand j'accompagne mes clients.

Speaker 2:

Donc, Parce que c'est ça, merci. J'étais rendue là, je me suis dit ça va naturellement. On a capté la conversation. Tu accompagnes les animaux pour être bien grandés, parce que c'est le fun, ça te fait du bien, t'es là, c'est mon équilibre Exact. Mais t'accompagnes aussi les humains. Justement se souvenir de cette information-là pour être en mesure de la libérer dans le quotidien et dans le moment présent.

Speaker 1:

Exact, ça ça fait Quand j'ai un rôle à jouer sur la Terre. C'est là que la vie m'a enseignée. J'ai été accompagnée par une dame dont tout a émergé C'était dans le Riqui. Elle m'a demandé un soin qu'elle ne comprenait pas. Elle vivait une capsulite. Ça faisait des années qu'elle ne comprenait pas Et elle m'a demandé mais qu'est-ce que tu fais ici? T'en sais plus que moi. Quand elle m'a dit ça, moi, ça m'a. Voyons ce qu'elle a dit là, tu étais jeune, encore là.

Speaker 1:

Oui, j'avais à peu près 23-24 ans. Oui, puis là, pour moi, c'était comme bien voyons, il y a quelqu'un qui croit en mes étoiles, mes cellules. parce que là, c'était comme puissant ce qu'elle venait de me dire.

Speaker 2:

Fait qu'à 8 ans ça ferme, à 16 ans ça rouvre, puis à 24 ans c'est amplifié. Là je suis vue.

Speaker 1:

Oui, totalement Fait que là, elle, elle me demandait un soin dont j'ai été en régression par rapport avec ce qu'elle me demandait avec sa capsulite, et c'est là que j'ai tout défilé sa vie antérieure. Et là, je retrouvais enfin ce que je voyais dans mon projecteur. Là, ça s'est éveillé. C'était comme, enfin, je me sentais dans ma puissance universelle. Et là, quand, c'est particulier, parce que je prenais des cassettes pour enregistrer, et j'ai envoyé ma cassette à moi, téléphonée, pour me dire Karine, j'en reviens pas, t'as défilé ce que je comprenais pas depuis des années et des années sur mon plan émotionnel. Donc, c'était toujours des recommencements. Et là, elle a pu, par la suite, continuer à faire des soins parce que sa capsulite ne lui permettait plus d'offrir des soins, de quelle façon tu fonctionnes.

Speaker 2:

C'est en direct, c'est en présentiel, c'est en Zoom, comment tu connais, comment tu as accès. Si je suis intriguée par mes vies antérieures, comment ça se passe une session avec toi.

Speaker 1:

Par FaceTime, en présentiel, ça, c'est vraiment le gros bonbon. Ça c'est wow. L'énergie il n'y a pas de temps. Dans l'énergie, il n'y a pas de distance, Peu importe où est-ce que je suis, s'il y a quelque chose qui est prêt à être émergé, comme un morceau de pelouse qui pousse Une fleur exact.

Speaker 1:

Exact. Le but, c'est d'aller vraiment nettoyer autour de la fleur, autour de l'âme, pour vraiment sortir. Ça peut être sous forme d'image aussi que je vais voir là, mais le but, c'est vraiment d'apporter la personne, peu importe de comment qu'elle va le prendre en FaceTime, en enregistrement avec les enfants. C'est ce que j'utilise en enregistrement, avec une photo en transe, parce que je trouve ça moins difficile, parce que sinon, l'enfant de 3-4 ans, mettons, il bouge beaucoup, ça me déconcentre, ça me fait sortir de ma transe. Mais j'ai appris, la vie m'a enseigné que je pouvais utiliser peu importe le moyen si ça arrivait au même résultat. Mais il fallait que je développe ma confiance.

Speaker 2:

Donc tu t'installes, tu médites ou c'est instantané. Si je te posais des questions sur mes vies antérieures, comme maintenant à Brûle-Pourpoint, est-ce que tu es en mesure de connecter avec ça ou ça prend un rituel?

Speaker 1:

ça dépend le but. Moi, je reste ça dans le sacré. C'est vraiment important, parce que si la personne n'est pas prête à recevoir sa mémoire cellulaire, je ne suis pas là pour la traumatiser. Mon but, c'est de l'accompagner à ce que ça aille vers un chemin dont il va y avoir une libération. Moi, c'est comme exemple, je m'en vais à l'épicerie et que je vois une vie antérieure. Bien, je n'irai pas y dire, je vais le mettre dans l'amour. Je n'ai pas à prouver qu'est-ce que je suis ou qui je suis. Mon but, c'est d'être en présence pour venir harmoniser ou purifier, ou libérer, peu importe dont la façon que la personne l'âme le désire, parce que c'est beau à être capable de savoir, par exemple par rapport à une vie antérieure. Mais ça se peut que ça fasse remonter à la surface des traumas Et ce n'est pas le but. Le but, c'est de mettre ça en lumière dans l'amour inconditionnel.

Speaker 2:

Donc, ce que je comprends, c'est de par ta présence quand tu captes quelque chose pour un homme, une femme, dont tu ne connais même pas le nom, que tu n'as jamais vu, que tu ne reverras peut-être jamais, tu es quand même en mesure de faire un processus.

Speaker 1:

Oui, exactement.

Speaker 2:

Qui va changer leur vie sans qu'ils sachent ce qui s'est passé Exactement.

Speaker 1:

Puis là la vie après ça. elle me teste façon de parler, je revois la personne.

Speaker 2:

Tu la revois?

Speaker 1:

Oui, Après X temps, la personne, je la vois dans son visage, elle est totalement changée, mais elle ne sait pas comment. Mais moi, je le sais. Mais ça, pour moi, c'est comme un clin d'œil de Dieu De dire j'ai rien à prouver, je le fais avec amour. Peu importe Les gens qui veulent vraiment dire OK, là, moi j'y fais face pour libérer émotionnellement un karma que je suis tannée de toujours avoir. Une répétition que ce soit de toujours. Le même style d'homme que j'accueille dans des relations de couple.

Speaker 2:

Ou nos peurs, nos stress, Exact. Alors je suis curieuse.

Speaker 1:

Oui, ah oui.

Speaker 2:

Est-ce que j'ose ou pas? Est-ce que tu as quelque chose pour moi ou est-ce que tu as capté quelque chose, une mémoire cellulaire que je pourrais porter?

Speaker 1:

encore Pour l'instant. Non, en toute honnêteté, c'est tout bon, on va se laisser, je vais me laisser guider, parce que, là, tu viens d'ouvrir une porte, et cette porte-là, ça se peut que ce ne soit même pas moi qui te l'apporte le message, mais qu'aujourd'hui, de par ma présence, je t'ai ouvert la possibilité de dire OK, là, je me permets, et ça se peut que ce soit quelqu'un d'autre. Puis, c'est correct, parce qu'on est tous là, ici, sur la terre, pour se tenir par la main Que tu rencontres peu importe qui, qui va être là pour t'aider à t'élever. C'est correct parce que tu vas avoir fait tes pas pour trouver ton propre chemin. C'est ça qui est beau.

Speaker 2:

Mais tu parlais et je te regarde assise devant moi et je me sens hyper honorée que tu sois là. Tu as fait la route depuis Amcouy, c'est ça, pour venir ici, 6h30 de route, je me disais. Je me demande bien qu'est-ce que j'ai en moi qui fait en sorte que je mets en lumière aussi les gens, puis je les encourage à s'exprimer, puis à partager leur vérité, parce que je trouve ça tellement riche. Je me demande si ça fait partie de mes mémoires cellulaires ou de quelque chose que j'ai fait ou pas fait dans une vie antérieure. Je suis comme curieuse par rapport à ça, mais la réponse m'arrivera peut-être d'une façon ou d'une autre, éventuellement.

Speaker 1:

Puis, ce qui est particulier, justement, c'est que ça peut popper n'importe quand. C'est ça qui est magique, parce que tu viens d'ouvrir la porte, ça se peut qu'à la fin de l'entrevue, la bulle. Puis, pour moi, ça c'est dans le sacré, parce que, par rapport avec ma vie antérieure de la mère indienne, dont j'ai compris jusqu'à cette année qu'on se doit de faire les choses dans le sacré, parce que sinon ça ne devient plus mystérieux. Puis, ce qui est mystérieux, c'est ce qui nous élève dans des fréquences où est-ce que l'amour inconditionnel devient tellement puissant? C'est ce qui fait que, justement, pour moi, il y a eu une étape dans ma vie où j'ai dû arrêter d'offrir des soins parce que ma santé ne le permettait pas. Je ne pouvais pas offrir ce que, oui, j'étais capable, mais ce n'était pas sacré. Rendu là, c'était comme donne-moi du cash et je vais te donner le soin.

Speaker 2:

Ce n'était pas ça que tu voulais faire.

Speaker 1:

non, Puis ça, je veux pas, justement, me recréer un karma, parce que je le sais que par rapport avec ma vie antérieure, dont j'étais que j'ai enfin découvert que je venais de la Mongolie, bien, il y a eu des espaces où est-ce que je me suis blessée? Il y a eu des espaces où est-ce que je me suis blessée. Il y a eu des espaces où est-ce qu'au lieu d'avoir vu, en tant qu'à l'extérieur, une femme qui est là à protéger son monde, bien, ça m'a montré que, dans cette vie-ci, je vais prendre maintenant mon rôle, est-ce?

Speaker 2:

que, puisque tu fais référence principalement à cette vie antérieure-là, est-ce qu'il y a d'autres vies antérieures dont tu te souviens? Sinon, la question suivante, ce serait est-ce qu'il y a une vie en particulier qui impacte, par exemple, notre expérience terrestre des années 2000,. on s'entend ici maintenant, terrestre des années 2000. On s'entend ici maintenant, ou est-ce que c'est plusieurs vies qui impactent?

Speaker 1:

C'est plusieurs vies. Moi, elle, c'est vraiment la plus impactante Qui autour. Il y a eu d'autres vies antérieures, donc j'ai déjà été, en tant que Vietnamienne. C'est drôle parce que ça paraissait dans mon visage après que j'aille fermer la porte de la mer Indienne. Mes parents, ils se faisaient dire souvent coudon, t'as adopté où ta fille? Mais mon visage le montrait. C'est fou, parce que ce qu'on peut dégager intérieurement de nos vies antérieures, il y en a que tu vas regarder et tu vas faire comme my God, elle vient d'où, elle, elle est blonde, puis tous les autres ont tous les cheveux noirs. Ou tu vas voir un visage qui est oh my, on dirait une Inuit, Mais c'est une Québécoise. Fait, que tout ça remonte à la surface, quand c'est fort, c'est ça qui est beau parce que c'est cellulaire. Fait que dans cette vie-ci, je le sais, que cette mémoire cellulaire de Mongolienne, c'est elle, ma plus impactante, parce qu'elle a creué des autres mémoires cellulaires. Où est-ce que j'ai creué? du mal.

Speaker 2:

Fait que ça. C'est comme si la vie actuelle ou la vie je vais essayer de le verbaliser comme Angèle Cap, la vie quand tu étais en Mongolie ou Mongolienne, sert cette vie-ci. Mais tu pourrais revenir dans une autre vie et avoir une autre vie qui va te servir, qui va être à ton service, pour.

Speaker 1:

Exactement Pour continuer la suite de ce que je marche. Oui, parce que c'est Parce que je change. Tu sais, dans le fond, quand on arrive ici avec l'âme, on a notre bagage de notre passé.

Speaker 2:

Oui, fait que plus qu'on marche, plus qu'on s'enlève des mémoires cellulaires et plus qu'on devient qui on est, mais est-ce que ça s'arrête à un moment donné où on n'a plus besoin de s'incarner?

Speaker 1:

Ça, c'est la vie qui va nous le dire. Oui, on ne sait pas, on ne le sait pas. Rendu là, on n'a comme pas de preuves, rendu là, c'est la vie, comme quand du voile. Peut-être qu'on revient en toute simplicité. Il y en a aussi qui vont revenir dans cette vie-ci et dire dans cette vie-ci, moi, je ne fais rien.

Speaker 1:

C'est pour ça qu'on ne peut pas avoir de jugement. Quelqu'un qui va dire cette personne-là ne travaille pas, elle ne fait rien de ses journées. Peut-être qu'elle n'en a besoin Parce que, peut-être que dans une vie du passé, elle a été malade toute sa vie, puis que là, elle réapprend à vivre, elle réapprend à prendre présence dans son corps, dans son nouveau corps. C'est pour ça que je me dis tout le temps quand on ne sait pas l'histoire de l'un et de l'autre, on est qui pour juger? Et ça va jusqu'à les mémoires cellulaires. Moi, quand je vis des trips d'accompagnement avec mes clients et que j'apporte, tu sais, des fois, c'est trois, quatre vies antérieures qui défilent, c'est des filets de vie antérieure qui apportent à tout concorder.

Speaker 1:

Ça dans la vie d'aujourd'hui, c'est du wow. Là, même moi, je suis comme impressionnée, tellement je m'enregistre pour être sûre que je ne suis pas folle. Là, je n'ai pas inventé ça, là, ça a sorti comme ça devait être dit. Puis là, la personne me dit tu ne peux pas savoir à quel point que j'ai compris qui je suis maintenant. Donc, pourquoi que je vis ça? Donc, pourquoi que je vis ça, pourquoi que je vis ci, pourquoi que j'attire ce genre de situation-là? Et là, il y a une prise de conscience, il y a un switch, c'est vraiment un saut quantique. C'est ça qui se passe. Et là, la personne, elle se dit moi, je ne peux pas retourner là, je ne peux pas retourner dans ces bottines-là, c'est impossible. Et là, moi, ce que j'aime, c'est d'avoir des nouvelles de ces gens, de ces clients, après X années ou après X mois, puis qu'ils me disent Hey, ça a tout changé.

Speaker 1:

Moi ça c'est comme wow.

Speaker 2:

Alors, c'est une sacrée, belle mission de vie que tu as. Merci d'honorer toutes ces parties-là de toi.

Speaker 2:

Tu es multifonctionnelle, tu peux aider l'animal et l'humain, l'humain et l'animal. Dans le fond, tout ça, c'est tellement purement connecté. C'est un grand plaisir de connecter avec toi, d'échanger avec toi. Merci pour les messages que tu nous as offerts, aussi pour Milo, et même un shampoing Milo. Il trouve qu'il pue. Il n'y a pas tort, on va, on va le shampooiner. En pensant à toi, j'espère aller te voir à Amcouy. Merci pour cette puissance aussi incarnée que tu as de partager ton message.

Speaker 1:

Karine. Merci, karine, de m'avoir accueillie dans ta belle lumière.

Speaker 2:

Oh, c'est un grand plaisir et si jamais Karine vous fascine autant qu'elle me fascine et vous avez envie de prendre un rendez-vous, de la contacter. Tous les liens sont dans la description. Merci, et encore plus de toi dans ma vie, karine. À tout bientôt. Il y a d'autres épisodes d'Impacter le monde. Si jamais vous avez envie de voir de quelle façon, peut-être un de nos invités peut aussi t'impacter encore plus.