Impacter le monde avec Karine Champagne
Découvre mon nouveau podcast "Impacter le monde "
Un podcast dédié à ceux qui souhaitent laisser une empreinte positive sur notre planète.
Chaque épisode est une invitation à explorer les histoires inspirantes de personnes qui change le monde à leur manière.
Karine Champagne, avec sa voix chaleureuse et son approche empathique, vous guide à travers des conversations captivantes avec des invités exceptionnels.
Ce podcast offre une dose d'inspiration et des leçons pratiques pour ceux qui aspirent à faire une différence.
Rejoins-moi pour un voyage inspirant vers le changement et la découverte de comment, ensemble, nous pouvons impacter le monde.
Impacter le monde avec Karine Champagne
102. Sortir de sa grotte : libérer sa lumière intérieure avec Julie-Andrée Desroches
Tu peux directement me texter tes commentaires!
Julie-Andrée Desroches nous ouvre les portes de sa lumière, de ses dons longtemps cachés, et de sa mission : créer un espace où les femmes reconnectent avec leur puissance intérieure.
À travers l’Institut Synergie Sacrée, elle nous partage son parcours mystique, touchant et profondément inspirant. Un épisode vibrant d’authenticité, de guérison, et de reconnexion.
Pour rejoindre mon invitée, c'est par ici:
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3 bonnes raisons d’écouter cet épisode
- Découvrir un parcours spirituel bouleversant et lumineux
- Comprendre comment reconnecter avec ses dons
- Plonger dans l’univers sacré de la guérison énergétique
Citations percutantes
- « On est toutes des créatrices de lumière. »
- « C’est correct d’avoir tout fermé, mais c’est encore plus beau de tout rouvrir. »
- « On ne devient pas folle quand on est validée. »
- « Synergie Sacrée, c’est infini. »
- « Ta lumière mérite d’être vue. »
Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
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Pour explorer l'univers de la question:
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Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.
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Il faut tout sortir de notre grotte. En fait, on a toutes des créatrices de lumière, on a toute cette lumière-là en nous, mais on est tellement difficile de l'admettre, puis de le sortir, puis de le laisser voir aux gens. Allô, allô. Je te souhaite la bienvenue à un autre épisode du podcast Impacter le monde. Il y a beaucoup de fébrilité, il y a beaucoup d'énergie dans le studio, parce que mon invité est d'une puissance extraordinaire. Puis, je veux juste te le mettre dans le contexte pour que tu captes déjà bien son énergie À 3-4 ans, elle se voyait un peu comme un animal de cirque, parce que sa famille était vraiment très enthousiaste, puis admirait toutes ses capacités qu'elle avait, qui étaient complètement différentes des enfants de son âge, à un point tel qu'à un moment donné, elle a trouvé ça très inconfortable et elle a décidé de tout couper. Oui, c'est revenu. Elle a commencé à ouvrir, à ouvrir et à ouvrir encore plus. Je pense qu'aujourd'hui, on ouvre complètement cette grotte dans laquelle elle était cachée depuis si longtemps. Julie André-Desroches, créatrice de l'Institut Synergie Sacrée, es-tu prête à impacter le monde? Oui, sortir de sa grotte, montrer qui nous sommes, est-ce que c'est ça qui peut aussi impacter le monde et le changer? à tout jamais. Oui, il faut tout sortir de notre grotte. En fait, on a toutes des créatrices de lumière. On a toute cette lumière-là en nous, mais on est tellement difficile de l'admettre, puis de le sortir, puis de le laisser voir aux gens. Tout d'un coup, que je suis en danger, tout d'un coup, que je fasse mal aux gens. Oui, c'est important, on a tous cette lumière-là en nous, toi, moi, les gens qui nous écoutent.
Speaker 1:Puis, c'est pas différentes forces, c'est que la lumière va s'exprimer de différentes façons. Et là, c'est un appel à tous aujourd'hui, est-ce maintenant le moment de faire laisser jaillir sa lumière? De quelle façon toi t'as reconnecté à cette puissance-là, puis cette lumière-là. Puis, avant, tiens de poser cette question-là, je veux que tu m'amènes à 3-4 ans, quand tu dis mais voyons, qu'est-ce que j'ai de différent, qu'est-ce qui fait en sorte que je suis comme un petit animal de cirque et que tout le monde veut m'entendre? Qu'est-ce que tu captais à ce moment-là? Je me rappelle, je faisais la sieste s'installait, elle mettait les canons de Bachelbel, je sortais littéralement de mon corps.
Speaker 1:J'allais me promener. J'allais voir ma tante Georgette à Robertval. Je revenais et je racontais des choses. Elle faisait des tests, elle appelait sa soeur, elle appelait Georgette à Robertval.
Speaker 1:Je disais qu'elle faisait des tartes au bleuet. C'est un peu cliché, je on faisait des tartes au bleuet. C'est un peu cliché, non, mais je comprends. Tu pouvais dire exactement ce que Georgette faisait, exactement. Tu as trois ans, oui, oui, je me transportais et j'allais voir ça.
Speaker 1:Puis, c'était des années 70. On n'en parlait pas de ça, c'était tabou. Ma mère, ça l'excitait au bout de la tripé parce qu'elle avait déjà une prédisposition à aimer, ça Fait qu'elle s'est impliquée dans plusieurs choses. En fait, la méditation, c'est très ascendant. Moi, mes parents, ils se sont rendus jusqu'à la lévitation, fait qu'on avait une salle de lévitation chez nous. J'entendais des wouh, wouh, non, non, attends. Oui, je sais, non, non, mais je te pense de quoi? Ça veut dire que tes parents et toi aussi, moi, je faisais la méditation, je tournais en rond parce que je ne pouvais pas l'éviter.
Speaker 1:Encore, tes parents pouvaient décoller de la terre. Oui, en fait, ils ne restaient pas en suspens, comme ça, c'est des sauts. Ça commence par des sauts et beaucoup de cris de joie. Il y a de la joie là-dedans, c'est du plaisir. Tes parents étaient ultra avant-gardistes. Est-ce qu'eux-mêmes s'affichaient avec leur don, leur capacité? Pas du tout, c'est ça. Il fallait que je reste dans ma caverne, dans ma grotte. Il ne fallait pas parler, c'était dangereux.
Speaker 1:Mon père avait énormément peur de ça. Il y avait comme un jou là-dessus. On assistait à des conférences, puis on pouvait me mettre devant tout le monde en train de faire ma prière parce qu'ils trouvaient ça bien cute ou parler de moi, mais en même temps, je pouvais pas en parler. On s'en va où, le système.
Speaker 1:Déjà, à cet âge là, tu comprends que ce que tu es, ce que tu as comme don et capacité, c'est pas tout le monde qui faut qu'il sache ça. Non, non, c'est pas tout le monde qui faut qu'il sache ça. Non, c'est un secret, c'est un secret. Il ne faut pas en parler, ce n'est pas dangereux. Je pourrais partir de ma famille et me le faire enlever. C'était ça que je l'ai capté comme information. C'était un gros secret pour moi, mais en même temps, c'était moi, c'était tout. Moi. J'étais un peu. C'est pour ça que j'ai eu de la difficulté à parler par après, à raconter d'où ça venait.
Speaker 1:Tu as été connectée, puis tu as joué à ce jeu-là, par exemple avec tes parents ou avec la communauté, puis la méditation. Jusqu'à quoi? 12 ans, 13 ans, l'adolescence arrive. L'adolescence, c'est un sacré moment où on ferme nos capacités pour bien s'incarner et vivre pleinement nos hormones, heureusement, heureusement. Puis, oui, il est arrivé à un moment donné quelque chose qui était un petit peu trop olé-olé, puis j'ai tout fermé.
Speaker 1:J'ai tout fermé, ça m'est resté comme un petit peu, j'ai tout oublié. Je me suis rappelé un peu plus tard, après. Mais ça m'a donné deux beaux grands-enfants, puis un petit chum, puis, tu sais, une vie dite normale. Je dis pas que quand on est ouvert à ça, c'est pas normal. Mais si j'avais continué comme ça, oui, fait que t'arrêtes à peu près pendant une vingtaine d'années, complètement. Donc, il y a plus ou presque d'intuition, de connexion, de guidance, de vision. Il n'y a rien du tout.
Speaker 1:Mes parents continuent à méditer, mais calmement, sans l'invitation. On a tout refermé Pour tout le monde. Pour tout le monde. Oui, on n'en parle plus du tout, du tout, jusqu'à temps qu'à un moment donné, la porte s'ouvre parce que ça revient. Ça, juste avant, c'est correct d'oublier. Puis, c'est correct d'arrêter.
Speaker 1:Il y en a qui vont rester connectés toute leur vie, puis, c'est bon, mais c'est pas mauvais. On n'a pas à se juger ou à se taper sur la tête parce qu'on a coupé notre connexion pendant un certain nombre de temps. Oui, c'est un chemin que je devais vivre. Oui, that's it. Puis qu'est? Elle écoute, elle a ouvert tout grand. Ah oui, d'un coup, tout d'un coup, je m'en allais à une initiation pour faire du reiki avec des amis, puis, il fallait que je sorte de la maison.
Speaker 1:Je lui disais en fait, t'es jeune. Moi, c'était une sortie de fille. Je ne m'étais même pas informée. C'était quoi? Elle va voir, c'est une madame-là. Je vaisavais des amis là-bas. J'avais des gros maux de tête en premier.
Speaker 1:À un moment donné le matin, je me disais que je vais me prendre deux ailes de ville avant de continuer. Ma maître a dit non, non, tu as mal à la tête, assieds-toi là, c'est parce qu'il y a quelque chose qui bloque. Elle m'a imposé les mains. Elle m'a dit qui est mort? et tu te sens coupable? Je me mets à pleurer. Mon voisin s'est enlevé la vie. Il était proche. Enlève tout ça, tu as plus de mal de tête. Là, tu débarrasses de plein de choses.
Speaker 1:J'ai fini la journée, je t'ai arraché. Je comprends, j'ai exténué, c'est ça. J'avais gardé quelque chose qui me stagnait. En fait, quand j'étais ado, c'était encore en moi, ce n'était pas une chose maligne, mais qui m'avait gardée fermée. Elle, elle me l'a sortie. Je vais dire ma vie n'a plus été pareille. Je ne veux pas dire que quand on est initiée au Reiki, ça va arriver toujours pareil. Ça dépend du chemin de chacun.
Speaker 1:Mais après, j'allais à l'épicerie. Je voyais, j'entendais, je sentais plein de choses. Je voyais des hommes passer, je sentais le monsieur en avant qui était stressé de payer. J'étais genre OK, là, wow, c'est too much. Après cette initiation-là, c'est ça que ça crée Tu vas à l'épicerie, tu es comme dans un film.
Speaker 1:Je ne sais pas comment l'imager pour que vous puissiez le capter aussi, peut-être vous qui nous écoutez YouTube ou encore sur la plateforme audio Merci d'être là en passant. Toi, tu fais ton initiation. Une journée ou deux après, tu t'en vas faire à l'épicerie. Tu es comme dans une autre dimension. Je suis déjà rentrée dans ma maison. Je me suis aperçue qu'il y avait un homme errant qui reste avec nous.
Speaker 1:J'ai eu à faire nettoyer ça parce que je ne le sentais pas, je ne voyais pas, j'avais vraiment tout fermé. Mais aussi, je ressentais tout, j'entendais tout. C'était quelque chose, ça fait du bruit, ça parle fort. C'était too much. Moi, je suis dans le ressenti, je suis très kinesthésique, je sens tout, tout, tout.
Speaker 1:Ma fille était à la gym. Elle s'est fait piquer par une gars. Elle n'était pas allergique du tout, je l'ai senti, la panique, tout ce qui l'entourait. J'étais là, merde il trop. Il a fallu que je fasse un tri, parce que tout ressentir, tout voir, non, là, j'ai une vie à vivre, je sais.
Speaker 1:Mais moi, je suis fascinée par. Tu n'as pas idée le nombre de fois que je dis qu'est-ce que ça prendrait pour que je vois plus, j'entende plus. Ça me fascine. Je ne l'ai même pas demandé, C'est bien correct, c'était à toi, c'était tout bon. Donc, là, tu ressens tout, tu perçois tout, puis tu dis ça ne peut pas être ça, ma vie.
Speaker 1:À partir de maintenant, je suis quand même dans une expérience terrestre. Comment tu as réussi à pas neutraliser, mais diminuer le son, les bruits et les visions? Pendant un an, je, pendant un an, je me suis fait de l'auto-soin à tous les jours. J'ai été sur la coche, j'ai médité, j'ai vraiment dit non, il faut que je me ramène. Je pense que c'était ça la solution De voir, d'être capable de jouer avec.
Speaker 1:Je ressentais tout. C'est quoi qui ressent? C'est quel chakra. Tout étaitest tout, tout était mélangé. J'avais plein de connaissances qui rentraient.
Speaker 1:J'ai été très disciplinée. Ça, c'est ce qui m'a aidée. Je me rappelle, j'ai dit à mon chum, j'ai dit là, c'est intéressant ce qui se passe, parce que là, il y a une famille avec ça, que ça, oui. Puis là, ils savent pas eux autres ce qui s'est passé dans cette journée de filles-là. Tu reviens avec des capacités. Ton amoureux est-il plus rationnel un peu? Ah, mon Dieu, c'est un ingénieur. C'est un ingénieur, ok, mais en même temps, il doit être très connecté pour avoir des visions, pour créer des choses. Mais c'est un autre dossier de l'ingénieur.
Speaker 1:Mais j'ai des points de vue intéressants sur ces gens-là. Là, tu lui dis bon, là, il s'est passé quelque chose pendant la journée. Je t'ai mis à prendre un bain Le lendemain, c'était drôle, parce qu'il s'était occupé des enfants. Le lendemain, c'était à mon tour. On partageait ça. Il y avait d'autres tâches à faire. J'avais amené les enfants à Montaigne. J'étais tellement pas dans mon corps, j'étais tellement pas alignée, j'étais tout.
Speaker 1:Puis là, ma fille, on était partis. Il commençait à y avoir de la gelée. Je l'ai fait partir avec des espadrilles. Ça était fait mal. Puis ça, j'étais Ah, ça n'avait pas de sens. J'essayais de me trouver à quelque part, mais c'est ça.
Speaker 1:On a réussi, avec le temps, de s'installer, de prendre. Mais moi, j'ai énormément travaillé sur moi. J'ai continué à aller plus loin, là-dedans aussi, à m'initier, faire toutes les initiations, je me suis dit OK, on va faire les soins aussi, offrir des soins. Puis là, j'entendais beaucoup de choses. Puis, on m'a tout, on a donné des cadeaux. Bien, c'est, on me permettait de voir et d'entendre des choses avec des personnes qui étaient proches de moi, en qui j'avais confiance pour pouvoir leur donner l'information, parce que là, j'avais des personnes décédées qui se présentaient. Oh, mon Dieu, j'ai l'air à me sumer moi-même.
Speaker 1:Mais la première, c'était vraiment avec une amie très proche. Et puis, c'était des informations. Vraiment, tu sais une personne qui, on pensait, qui s'était suicidée. On l'a retrouvée dans les viandes, mais finalement, c'était pas suicidé, mais il fallait qu'il fasse le message. Ce n'était pas de la petite bière, c'était des grosses affaires.
Speaker 1:Ça a été avec une amie. Cette amie-là, elle l'a bien pris, elle était capable Ça me permettait de me donner confiance De nettoyer la maison. Mais la maison de ma mère que je rencontre aussi après, la maman du garçon qui était dans cette maison-là, c'était tous des beaux cadeaux qui me permettaient de m'assumer tout doucement, comme je voulais. Est-ce qu'à un moment donné, tu te dis Je suis en train de virer folle. Ça ne se peut pas.
Speaker 1:Oui, oui, en fait, on pense qu'on vire fou parce qu'on n'a pas quelqu'un pour, parce qu'on va aller chercher à l'extérieur la confirmation, parce qu'on en a besoin, une confirmation à l'extérieur, Mais si c'est tout à l'intérieur, on ne peut pas partir de zéro. Oui, oui, oui, oui, parce que tu ne sais pas si c'est vrai ou pas. Pour ne pas penser que tu es fou, il faut vraiment que tu regardes. Comme je vais te dire quelque chose, dis-moi si ça fait du sens pour toi. S'il y a un mot que je dis, une couleur, c'est ça. Je pense que c'est ça qui fait que Synergie sacrée, je t'en parle et je le réalise en t'en parlant. Mais c'est important que les femmes se sentent confirmées et se sentent accueillies dans ce qu'elles sentent et qu'elles entendent et qu'elles voient. J'ai entendu telle chose. Oui, bien, ok, fais-le. C'est beau, va voir qu'est-ce qui se passe. On va parler de l'Institut Synergie Sacrée dans quelques instants. Mais juste quand tu dis validation, mon fils était avec moi chez mon père récemment.
Speaker 1:Puis j'ai pensé à dire quelque chose à mon père, puis, finalement, je me suis dit je ne parlerai pas de ce sujet X-là. Bravo, tom, tu l'as perçu. Je ne l'ai pas dit parce que je trouvais que ça n'était pas requis dans la conversation, mais je me suis dit comment je peux juste le valider pour dire ce que tu as perçu, ce que tu as pensé, ce que tu as reçu comme information à ce moment-là, c'était vrai, tu as capté dans mes pensées Ça, c'est précieux pour les enfants, oui, peu importe l'âge, c'est de le valider, de le valider. Puis, fred et moi, on fait la même chose. C'est de plus en plus, mettons Oh, mangerais-tu de la pizza? il dit, tu me croiras pas.
Speaker 1:V'là deux minutes, j'ai pensé à ça, ou v'là trente secondes, et vice-versa. Puis je suis comme ok, oui, je le pensais, oui, t Ça, pour avoir plus de connexion, il faut reconnaître ce qui est là. Puis, c'est juste trippant entre familles. Puis, je pense que ça peut être un outil intéressant à donner aux gens qui nous écoutent justement. C'est si quelqu'un vous lit confirmez Oui, oui, faites pas semblant, osez le faire.
Speaker 1:Oui, ah, oui, vraiment, si quelqu'un te lit au début, tu fais les soins énergétiques. Moi, je parle en faisant les soins. Je nomme les choses pour avancer, pour que la personne sache ce qui se passe à l'intérieur. Si la personne fait Hum, hum, hum, hum, non», c'est parce que, oui, j'ai pas besoin de validation, mais en même temps, on le fait pour toi. Mais c'est ça, c'est important de mettre l'idée Institut Synergie, sacré, juste, avant qu'on parle de ta création. As-tu un métier plus terrestre pendant un bout de temps? Oui, oui, oui, j'ai été intervenante sociale dans des carrefours jeunesse-emploi. J'ai été aussi enseignante, aux primaires aussi.
Speaker 1:Puis, après le dernier, avant, j'étais zothérapeute encore, avec les enfants dans les écoles. C'était comme une transition, tout doucement, vers me assumer en zothérapie. T'entends les animaux, oui, j'entends les animaux, t'entendais bien les enfants aussi, dans leur énergie ou dans leur âme. Oui, j'ai des frissons, c'était tout à fait magique travailler. J'ai ma Clémentine qui est encore avec moi. Je n'avais que deux partenaires, mais il y en a une qui est partie, mais Clémentine, ça va toujours rester, elle va. J'aime beaucoup son nez. Elle a une grosse truffe, elle ne pourrait pas se faire toucher au nez, c'est normal, c'est un. Puis, tu sais, elle faisait des actions vraiment incroyables. Donc, derrière le cover, c'est comme undercover, la zoothérapie, tu pouvais exercer tous tes dons et tes capacités.
Speaker 1:Oui, bien, c'est ça. Ça m'a permis tout doucement à partir aussi. Tu sais, de faire les soins, puis d'être à mon compte et tout ça. Et puis les autres thérapeutes, c'était plus terrestre. Oui, c'est terrestre, dans un certain acceptable, oui, exact, ça paraît pas trop qu'il y a tout le bagage qui vient avec ça.
Speaker 1:Et là, j'y arrive à l'Institut Synergie Sacrée. Je trouve ça hâte, quand tu as dit que c'est comme un endroit sécuritaire pour que les femmes puissent se valider, être validées et commencer à reconnaître leur lumière et leur puissance. Oui, qu'est-ce que tu enseignes et qu'est-ce que tu partages avec? l'Institut? Écoute, ça a commencé par d'enseigner un soin énergétique que j'ai fait canaliser. Oui, ce soin-là, bien, on m'avait, bien, je le faisais.
Speaker 1:Puis on m'a dit t'enseignes-tu ça? bien, ok, je pourrais. Tu sais, je me rappelle, c'est une fille de la France, parce qu'il se faisait aussi à distance. Très bien, ça se fait. Tout ce qui est en énergie, absolument, c'est ça. Mais il y a 10 ans, c'était un peu moins À la mode.
Speaker 1:Oui, à la mode, oui, c'est ça Fait que oui, je me suis mise à l'enseigner, une première cohorte. Puis, c'est là que tout s'est dessiné, parce que les filles disaient Ah bien, tu sais le protocole, moi, j'ai l'impression que je pourrais faire tel geste ou tel geste. Peux-tu sens que tu dois faire ça. Là, je voyais que les mémoires se réveillaient, parce qu'on a tout.
Speaker 1:On est en 2025. Donc, là, on a beaucoup de réincarnations. Là, oui, un minimum de 3000. 3000? J'ai lu ça dernièrement, sur la Terre, ou partout aussi sur d'autres espaces, tant de dimensions, exactement 3000 incarnations. Je peux bien avoir l'air vieille, moi, je trouve. Tu n'as pas raison. Non, mais tu comprends.
Speaker 1:Moi, j'ai 51, mais 3000 incarnations, je suis un peu fatiguée de toutes mes multiples vies. C'est la mémoire qui me transparaît dans ma face. Il y en a qui peuvent aller jusqu'à 5000, quand ils ne comprennent pas, ah oui, des fois, ils se suicides, puis suicides, puis tu sais, à un moment donné bien, tu reviens. Tu reviens Parce que c'est pas une course. Non, non, non, tu fais ce que t'as à faire. Tu sais. Si c'est pas compris, on revient, on va repasser dedans, on prendra le temps qu'il prendra, parce que c'est vraiment, on est ici pour découvrir notre lumière. Encore plus, c'est tellementcy Mélanie qui était venue ici et qui m'a dit oui, mais ce n'est pas une course, tu vas aller chercher tes joyaux, ce n'est pas une course, tu manques ton coup. Ce n'est même pas manquer ton coup.
Speaker 1:Si tu prends un joyau dans cette expérience terrestre-là, tu reviendras chercher les autres après. Je pensais moi même dans ma vie cosmique Non, c'est ça, c'est parce que tu le sens que tu dis tu as tout ce potentiel-là, puis qui est là, mais tu peux, dans une prochaine vie, rien t'apercevoir, rien du tout, parce que tu prends un bon break, that's it. Il y a des vies tranquilles. On n'est pas venus sur une vie tranquille. Ah non, voilà, j'ai du fun, oui, oui. Oui, moi aussi j'ai du fun, mais c'était pas une vie de repos, c'était pas une vie relax, c'est une vie où t'es et prof Et élève, et tu relâches Et t'aides les autres à relâcher. C'est comme à x2 ou à x4. Ah oui, sur le ton.
Speaker 1:2025, ça va vite. Oui, ok, j'espère que je ne vois pas trop du coq à l'âne. Si oui, j'imagine que vous nous suivez, si vous êtes encore avec nous à ce moment-ci. 2025 pour toi, puis après, on revient avec Synergie sacrée. 2025, est-ce que pour toi, dans ce que tu capes, c'est une grande année de transition, d'accélération de la conscience? En tout cas, oui, oui, je le vois comme ça. J'ai l'impression de jouer au ping-pong avec les forces, l'univers, peu importe, mais que la table est vraiment petite et qu'il n'y a pas un rebond. C'est comme tac, tac, tac. Si la balle est à quelque part, je ne me le passe pas nécessairement.
Speaker 1:Ça va trop vite. Il y a une compréhension, on passe sur l'autre, ça peut être aux deux jours, c'est quelque chose, c'est essoufflant. Et puis les femmes autour dans Synergie, qui navigue autour. Il y a beaucoup de choses. Ce n'est pas nécessairement toujours agréable, mais on le sait, qu'on s'en va pour quelque chose de mieux, ok.
Speaker 1:Il y a toujours la phrase, à travers Synergie, intéressant ce qui se passe, ça fait mal, c'est rough, pas grave, on va y arriver. Ça fait mal, c'est rough, pas grave, on va y arriver. On sait qu'il y a quelque chose qui vient après. Tu as parlé du ping-pong.
Speaker 1:Moi, j'adore, je parle de ping-pong énergétique, mais dans les questions, dans les conversations, pour moi, c'est une forme de ping-pong aussi. C'est juste trop hot que tu m' tu reçois de l'information. Est-ce que tu peux m'expliquer comment? qu'est-ce qui arrive quand tu downloades un soin? En fait, ce qui est arrivé, j'ai demandé un jour, je n'ai pas demandé de downloader un soin, mais il y a quelqu'un qui m'a demandé un soin à distance. C'est une amie. Elle était vraiment mal prise. J'ai dit moi, je ne fais pas ça, je n'y crois pas. Oui, c'est ça L'enseigne à star Exact.
Speaker 1:Bon, alors, quand je voulais l'aider, je vais attendre, ce ne sera pas long, je vais questionner. Je ne faisais pas souvent ça. Je ne suis pas une questionneuse, malheureusement, il faut que je me force. C'est vrai, je peux poser des questions. J'ai posé des questions et j'ai eu plein d'informations pendant la nuit. Tu vas faire ça, tu vas faire ça, tu vas faire ça. Ah, ok, cool, j'appelle mon ami. Ok, installe-toi, on va le faire. C ami, je dis Ok, installe-toi, on va le faire, c'est ça. J'ai ouvert à ça. J'ai eu d'autres informations qui sont rentrées.
Speaker 1:J'avais Lady Nada autour de moi, toute l'énergie de Lady Nada, qui aussi, avec l'énergie de Marie-Madeleine, et tout ça, les roses, et tout, c'était là. Il y avait aussi des jets bleus qui se présentaient à ma fenêtre. Là, je voyais que j'avais un filon, c'est ça. Je rajoutais un geste aussi, à un moment donné, avec les clients. Je me disais OK, je suis prête peut-être à l'enseigner, parce que c'était fort, c'était beau, il y a beaucoup les cristaux avec ça.
Speaker 1:J'avais une mémoire qui me revenait, ça faisait des années. Et puis cette, ça faisait des années, et puis c'est ça, cette mémoire-là, j'étais dans un temple atlante, un temple de cristaux, c'était, je l'appelle la cathédrale de Quartz, c'était tout des Quartz, parce qu'on sait que les Atlantes travaillaient avec les cristaux. Et puis, il y avait comme des temples pour les sons, les odeurs, les couleurs, bref, puis Atlante, c'est cette terre qui est disparue, qui nous fascine tous. À savoir si c'est vrai, si c'est pas vrai, oui, oui, fait que toi, tu as une mémoire, puis tu te vois là, puis tu sais que c'est là, c'est comme une claire connaissance. Tu ne peux même pas remettre en doute. Bien non, ce que je disais. Sors de ta tête. Sors de ta tête, retourne à l'intérieur de toi.
Speaker 1:Mais à un moment donné, la manière que ça s'est passé, les événements, parce que je voyais, je travaillais, j'étais seule, il y avait une table de cristaux de quartz, puis là, il y avait un atlante. Je perdais mon temps à savoir ça, c'était qui, la personne? Parce que ça me faisait penser à une personne, c'était peut-être elle Là, tu rationalisais un peu Oui, c'est ça. Là tu reçois l'information, entre autres, c'est comme c'est fini. Mais ce n'est pas fini, ton soin, c'est fini. Donc, l'histoire entière que je reconnais, c'est que j'étais une druide. Un druide, j'étais masculin, un druide qui a été prêté aux Atlantes. En fait, on travaillait en collaboration, mais j'étais un peu comme enfermée dans cette cathédrale de quartz-là, à travailler là. Puis je ne me sauvais pas, je pouvais partir, j'imagine, mais c'est ça, ils m'ont dit c'est fini Parce qu'ils cherchaient des moyens.
Speaker 1:Ils étaient toujours à la recherche de la jeunesse internelle, les Atlantes et plein d'autres choses aussi, aussi des trucs pour nous aider à rester plus longtemps, pour aider les humains, bref, ils se sont dépêchés avant que ça s'effondre C'était le deuxième effondrement. J'ai dit je reste ici. Je suis restée là, j'ai encodé des cristaux, je suis restée avec les cristaux. Je pense que c'était tellement une belle mort pour moi. J'en parle et je me sens super bien pour ir à travers les cristaux. C'était comme si je finissais ma job. Merci, comme si je finissais ma job, puis merci, bref. Donc, sénir, je sacrifie bien de l'heure. Excusez, je suis partie. Non, non, mais c'est tellement trippant.
Speaker 1:Puis, je veux juste savoir en commentaire vous, quand vous entendez ça, qu'est-ce que ça résonne? Moi, ça me fascine. On dirait que je voyais les images. Quand tu as dit c'était, je peux voir ou imaginer, je ne sais pas d'où ça arrive, comme, ok, je vais me laisser porter par toute cette énergie-là.
Speaker 1:Puis, on retourne à la terre, dans l'eau, on disparaît. Ah oui, c'était vraiment joyeux et beau. Les druides n'ont pas de la difficulté avec la mort, ils sont terre à terre, ils sont sur terre. Donc, cette mémoire-là, si on y croit ou pas, c'est pas grave, ça résonne Make sense pour nous. Tu reviens et t'es encore un peu liée ou est-ce que je peux dire le mot liée aux cristaux. Oui, les cristaux, ils font partie de ma vie vraiment. Mon nom, c'est Desroches. Ah, oui, en plus, ma mère me disait tout le temps pas parce que tu t'appelles des roches, que tu dois trouver des roches partout, mais c'est ça. Oui, j'ai toujours eu cette fascination-là aussi.
Speaker 1:Pour ça, le soin Synergie se travaille aussi avec les cristaux de quartz, qui communiquent entre eux, justement pour pouvoir donner de l'information. On peut les questionner puis direest intéressant ce qui se passe. Ils vont nous dire à l'avance ce qu'il y a à travailler sur la personne. Mais ce n'est pas tous mes élèves qui travaillent avec les cristaux, c'est de son propre choix. Oui, mais toi, tu reçois encore des gens à la maison. Je pense que tu fais encore des soins dans ma yurte. Tu as une yurte sur sur ton terrain.
Speaker 1:Oui, même l'hiver, à moins 20, moins 30, il y a le foyer où ily a un beau poêle à bois et un beau tapis, comme ça, c'est vrai, je reçois les gens. Le fait d'être dans une yurte, ça crée quoi? C'est un espace sacré. Oui, c'est un espace sacré, c'est comme le womb de la femme, c'est vraiment traditionnelle a été peinte à la main par des femmes en Mongolie, vraiment. Puis c'est rouge, puis c'est beau, c'est vraiment le fun. Puis, tout est traditionnel. Il y a le tout-nou.
Speaker 1:Au-dessus la lumière qui rentre, il y a un côté féminin, un côté masculin. Tu rentres avec ton pied droit, puis souligné, puis tu t'en vas dans le sens des aiguilles d'une montre ou dans le sens du soleil. C'est ça, c'est beau. Il y a quelque chose de puissant.
Speaker 1:Oh, j'ai tellement hâte d'y aller, je veux vraiment y aller, puis je vais vous le partager, puis je ferai, sinon juste un podcast sur ça, sur l'expérience, mais ça me fascine complètement. Donc, tu as dit OK, je peux refaire encore des sessions, un à un, mais je peux aussi l'enseigner pour qu'il y ait plus de femmes qui se souviennent de tout ce qu'elles sont et de tout ce qu'elles ont. C'est comme si, à un moment donné, la porte elle ouvre un petit peu, puis là, si tu mets ton pied dedans, puis là, pouf, à ce moment-là, quand tu laisses ton pied, les informations peuvent aller, mais tu peux la refermer, la porte, mais une fois qu'elle est ouverte, elle connaît le chemin, puis les femmeses avec toi, qui évolues avec toi. C'est des femmes qui ont elles aussi fermé leurs dons et capacités. Elles ont commencé à les rouvrir. Comment elles arrivent devant toi? Elles ont peur, elles sont ouvertes, elles sont excitées.
Speaker 1:Qu'est-ce qui arrive quand on décide tout ça? Il y en a qui sont excitées, il y en a qui ont peur, il y en a que ça fait tu, deux, trois ans avant de dire je vais faire un jour ce signage sacré parce que c'est ça, est-ce que c'est le bon moment? est-ce que mon conjoint voudrait? il y en a beaucoup, bien beaucoup. Il y en a un petit pourcentage qui le font, puis qu'il n'y a pas personne qui le sait.
Speaker 1:Puis, je veux dire c'est une grande transformation en même temps, parce que tu changes ta façon déjà. Tu déjà, tu t'impliques énormément, tu as des devoirs, c'est des cohortes. Quand tu le fais, tu ne le fais pas à ton rythme, tu le fais ensemble. Il y a une sororité Juste de se déplacer, même pour un week-end, pour venir apprendre à la yurte. C'est quelque chose d'annoncer à tout le monde. Oui, tu vas faire quoi en fin de semaine?
Speaker 1:Un week-end de de fille, c'est ça. Mais c'est beau, ça, parce que ça fait partie de notre vie. Tu sais d'être capable de s'assumer de le nommer. C'est un peu le cheminement que j'ai eu. On le fait en accéléré en huit mois.
Speaker 1:Qu'est-ce que j'ai compris aussi dans l'une des premières choses que tu nous as dites, c'est l'engagement que tu as eu envers toi après la session de Reiki, oui, où tu as dit OK, c'est comme si c'était un moment sacré où tu honorais ce sacré dont tu te souvenais. Oui, puis tu en prenais soin. Oui, je ne le voyais pas comme ça, mais parce que je voulais juste mieux filer, je voulais juste aller mieux. Puis, je me suis dit OK, mais c'est là que j'ai commencé à prendre soin de moi. Mais prendre soin de moi, je pense que ça va être, c'est l'histoire de nos vies.
Speaker 1:On va le vivre de différentes façons S'aimer, s'apporter de l'amour, c'est ça, c'est s'apprécier et de voir la lumière, qu'elle vaut la peine d'être vécue, d'être vue et d'être mise à jour. C'est énorme de pouvoir aller jusque-là. Je l'ai fait, mais ce n'était pas ma spécialité de prendre soin de moi du tout. Je l'ai appris comme ça. J'ai vu que ça apportait et que ça m'amenait.
Speaker 1:Un conteneur, c'est ça. C'est sûr que moi, je dis toujours à mes élèves moi, c'est sûr, je suis difficile à suivre là, des fois, là, je suis comme Je suis un petit peu sautée sur le craigne. Pas sautée sur le craigne, mais tu sais, je suis très disciplinée, mais je sais ce que ça va m'apporter aussi. Tu sais aussi, c'est important.
Speaker 1:En même temps, en le faisant en groupe, en étant huit mois avec toi, dans ton énergie, avec toute ta puissance, c'est cohorte. Tu t'es engagée, tu as fait l'investissement énergétique, financier, physique et tout le reste, fais-le, échappe-le pas, échappe-toi pas. Je devrais dire Échappe-toi pas, exact, échappe-toi pas. Ça se pourrait que, des fois, la vie t'échappe. Il y a quelque chose qui s'échappe.
Speaker 1:À ce moment-là, c'est jamais perdu. On va se rattraper. C'est rare, il peut arriver des choses dans une vie. En fait, j'ai ma belle Gabrielle, qui est autour, qui travaille avec moi, qui me dit toujours Synergie, c'est infini. Ça veut dire que c'est infini.
Speaker 1:Les filles, on va toujours continuer à se voir naviguer, à mélanger les cohortes aussi, à créer des rituels. Il y a l'équinoxe qui s'en vient De créer ça et de le célébrer ensemble. Oui, toi, tu es accompagnée, tu es mentorée parce que Pas parce que, mais dans ma perception, c'est, il n'y a rien de mieux que de pouvoir échanger et être validé par quelqu'un qui a peut-être fait le chemin ou qui a des informations ou des connaissances qui sont complètement différentes. Et c'est ce que tu fais aussi avec les gens que tu accompagnes. C'est super important.
Speaker 1:J'enseigne comme ça Le soin. Quand ils travaillent ensemble, oui, ils développent leur dente. Tu n'es pas obligé de donner des soins après, mais ça passe par là avec l'autre, d'aller justement faire confiance à l'autre, recevoir un soin de quelqu'un ou donner un soin à quelqu'un, c'est tout un honneur. Que la personne s'installe sur le dos et dire je te fais confiance, je t'offre tout mon être. C'est sérieux, c'est quelque chose.
Speaker 1:Il faut avoir cette bienveillance-là envers l'autre. Je ressens ça. Qu'est-ce que t'en penses? j'ai vu ça. On fait des chasses au trésor. C'est ça que j'aime. Ah oui, c'est vrai, moi aussi j'ai vu ça.
Speaker 1:Ça veut peut-être dire telle chose, telle chose, les filles s'amusent, elles ont du plaisir à transformer, et sa raison d'être. Puis, moi aussi, à travers les filles, je rencontre des femmes extraordinaires, puis des rencontres d'âmes wow, qu'est-ce qu'on a fait ensemble? comment est-ce qu'on peut contribuer encore plus? ça, c'est cool. D'où étions-nous avant ensemble? parce que si on se retrouve, c'est qu'on a un lien à quelque part. C'est pas une rencontre.
Speaker 1:Je ne t'ai jamais vue. Je ne t'ai peut-être jamais vue physiquement dans cette expérience terrestre-ci, mais à travers mes 3000 incarnations, on a dû faire le party à un moment donné sur une planète ou une autre. Ah oui, ça, j'ai des frissons, juste à y penser, parce que ça, ça me fascinait. Quand j dans un centre d'achat, puis ça m'est arrivé, j'ai trois fois qu'il me vient en tête qu'un monsieur qui vient vers moi, puis je suis comme OK, je le connais. Puis il va me parler, puis il me regarde direct dans les yeux. Une autre fois, c'était aux États-Unis, je m'en rappelle.
Speaker 1:Puis j'avais crié elle m'a fait peur, la madame, mais ça en est direct sur moi, je vais te. Je me suis sauvée, mais je me rappelle de sa face. C'était pas une personne régulière, elle était habillée en noir. J'ai jamais su, mais je sais que c'était spécial, mais ça, c'est fascinant. Pareil, dans les femmes que je rencontre, on a toutes des choses qu'on vit ensemble.
Speaker 1:Puis c'est le fun, c'est vraiment puissant d'avoir Ah, on a côtoyé Anna, la grand-mère de Jésus, toi et moi. C'est intéressant d'avoir ces mémoires-là qui montent. Ça ne vient pas comme ça, on fait des petites recherches Ah oui, j'ai eu ça, j'ai eu ça», mais c'est beau, tu sais, ces rencontres-là, j'en ai eu une rencontre comme ça qui, pour moi était vraiment une rencontre avec Dieu. C'est le mot que je vais employer, même si ce n'est pas un mot que j'utilise habituellement. Ok, Et cette dame-là s'appelle Yves. C'est une salle, domicile fixe.
Speaker 1:On est dans un terrain de camping où, non, on est dans. Donc, il y a nous qui sommes très bien équipés, il y a aussi des gens qui habitent dans leur voiture, et je ne sais pas de quelle façon, mais je me lis d'amitié avec Ève, qui est dans le fond, qui a 74 ans. Puis, juste à la toute fin, je veux aller la saluer. Je me mets à pleurer, mais j'y ai parlé une demi-heure. Il n'y a pas de raison. Jamais vu quelqu'un comme elle, vu dans le sens que je n'avais jamais vu. Oh, j'ai frisson. Je dis thank you for crossing my road. Je pleure, puis elle pleure.
Speaker 1:J'avais comme l'impression que c'est la première fois que je voyais, que je savais c'était quoi. Je te vois, oui, c'est beau. Oui, je suis revenue, fred, et j'ai dit voyons, tu pleures. Je ne sais pas ce qui s'est passé. Il s'est passé quelque chose. J'ai reçu un message, une vision. Il y a quelque chose qui a.
Speaker 1:Je ne sais pas ce qui s'est passé, je n'ai pas de mots. Peut-être que tu en as pour moi en ce moment. Mais il s'est passé quelque chose. Oui, c'est beau. Je suis pleine d'émotion. Je fais juste penser à son regard.
Speaker 1:Je me rappelle, j'avais pris ta story. Oui, c'est vrai. Oui, ça m'a marquée. Il s'est passé quelque chose. Il s'est passé quelque chose. C'est ça.
Speaker 1:Ces rencontres-là. Tu ne sais pas pourquoi, tu ne sais pas qui. Tu ne la reverras jamais, où elle va venir me saluer si elle a fait sa transition, mais les chances que je la recroise sont nulles. Non, non, c'est ça, mais c'est… Oui, puis, ça va rester éternellement.
Speaker 1:Cette rencontre-là, quelles sont les transformations que les femmes que tu as accompagnées t'ont révélées? transformations que les femmes que tu as accompagnées t'ont révélées? Qu'est-ce qu'elles ont vécu? Qu'est-ce qui a changé chez elles? quand on choisit d'embrasser l'Odyssée, l'aventure d'une synergie sacrée à l'Institut, ça donne quoi? Ah, mon doux Seigneur, écoute, je vais dans ce qui paraît le plus, quand on va voir, il y a des femmes qui quittent leur emploi pour, justement, travailler dans le domaine de l'énergie, ou qui sont en transition, qui s'assument de cette façon-là.
Speaker 1:Mais pas que non plus. Tu sais, je ne m'étais pas préparée. Non, je ne veux pas te prendre de cours. Ah, non, non, non, tu ne me prends pas de cours. Moi, mon plus beau cadeau, ça a toujours été quand j'étais maître à Aiki et que j'ai initié hors Aiki, ça a toujours été que la femme que je vois dans ses yeux va dire je comprends, je sais, je suis capable, je le vois, c'est qu'elle puisse prendre confiance Chacun.
Speaker 1:Ah, je le vois, tu sais. Puis, c'est qu'elle puisse prendre confiance, puis chacun. C'est tellement différent là. Puis, les pas qu'ils vont faire, tu sais, ça peut être une femme qui a de la difficulté d'en parler à son mari, puis qui n'en parle pas, puis qui assume, ou, tu sais, je pense à une femme qui est agricultrice de père en fille, puis tout ça, ça fait que ça, ça veut dire que tu commences à l'âge de 10 ans, puis tu prends à la ferme, puis, ah, elle est mariée aussi à la même chose pour son conjoint, mais finalement, c'est pas ça qu'elle veut faire.
Speaker 1:Là, ça déstabilise un noyau familial incroyable. Mais elle l'a fait le pas, tout doucement. Ça, c'est aussi des choses. Des fois, j'ai eu une fille aussi qui a eu un éveil spirituel, comme ça. De même, en rencontrant une flamme jumelle. Oh, mais c'est, il y a de quoi virer sur le capot. Oups.
Speaker 1:Mais on a travaillé vraiment, étape par étape pour vraiment se ramener, parce que, des fois, quand ça arrive rapidement de même, tu penses que tu deviens folle aussi. Tu as besoin d'être validée. C'est très important. Wow, je voudrais qu'on revienne au début de notre histoire, quand tes parents étaient un peu flyés, étant un très, très joli mot font de la méditation transcendantale. Vous coupez tout pour une raison qui vous appartient, à un certain moment donné Et toi, tu ouvres à nouveau. Est-ce que tes parents sont encore en vie à ce moment-là? Oui, ils sont encore en vie. Qu'est-ce qui se passe quand tu? Oui, c'est vrai, je suis allée les rencontrer et leur raconter mon week-end.
Speaker 1:Ça a quand même pris 3-4 jours pour décanter tout ça. Puis, je me rappelle, ils étaient assis dans la cuisine, ma cuisine. Ma mère était de vous, mon père était. Ils se sont mis à pleurer. Ils se sont mis à pleurer, mais ils m'ont pas expliqué pourquoi ils pleuraient. Mais j'ai compris. Il y avait plus rien à dire. C'était clair. C'était comme OK, enfin, tout est relâché, parce que, avec toute l'humilité, je sais que ma mère m'a préparée toute ma vie pour faire ce que je fais là en ce moment.
Speaker 1:Oui, c'est ça, c'est très important dans ma vie. Elle est partie avec nous. Ma mère, ta mère font partie du party en ce moment? probablement, sûrement. Oui, oui, c'est ça. Ouh, j'étais partie là. Oui, t'étais-tu en train de recevoir de l'information? Oui, bien, là, c'est parce qu'elle t'aimait beaucoup, beaucoup, puis, là, bien, c'est ça, elle est bien excitée de jouer avec toi, ta mère? Oui, parce que c'est drôle, parce qu'elle est partie trois semaines après la tienne.
Speaker 1:C'est vrai, oui, partie en octobre 2019. Novembre 2019. C'est le 31 octobre? oui, puis, c'est ça. Puis, là, elle m'avait dit avant Ah, karine Champagne va sortir un livre, fais-tu te préparer à sortir ton livre?
Speaker 1:Évidemment, il est sorti un petit peu plus, je pense. Oui, c'était spécial, il y avait comme des synchronicités. Puis là, j'ai Bon, excuse-moi, non, non, non, c'est tout. Bon, c'était dans cette, mais c'est ça. Je ne me souviens plus de ça.
Speaker 1:Puis, le fait que tu ouvres, quand tu leur dis OK, tu t'en vas les voir. Puis tu dis OK, j'ai, la façon dont tu m'en as parlé, c'est, eux aussi avaient éteint un peu leurs capacités. Est-ce que ça a permis à tout le monde de s'ouvrir encore plus? Oui, ça a permis à tout le monde de s'ouvrir encore plus et que ça devienne des conversations non retenues normales. Ça a laissé tomber un tabou, quelque chose, une partie de notre vie qui a été difficile aussi, parce que ça a été le fait que j'ai arrêté, c'est parce que c'était une mauvaise aventure. On est allé trop loin. Ça n'a pas été cool du tout, du tout, mais ça laissait passer.
Speaker 1:Là, quand ma mère est partie, j'ai fait le ménage, les livres, tout ça, puis l'information. Elle m'a lu énormément des choses, mais c'était très flyé. Donc, là, tout se réveillait. On a fait la même affaire. Quand nos mamans sont parties, on est allées voir qu'est-ce qu'elles lisaient. C'est ça. J'ai fait la même chose.
Speaker 1:Éric Pearl, des affaires sur la mort, sur, je suis comme oh my God, mais c'est vraiment ça. Ces femmes-là étaient courageuses. Oui, parce qu'elles sont nées dans les années. Ma mère est née en 44, ta mère est née dans ce coin-là, j'imagine. Oui, 42,.
Speaker 1:Oui, eux autres, ils étaient en avance encore plus pour faciliter notre transition, puis notre chemin, notre transition et notre chemin Exactement. C'est ça, c'est fou. Oui, elle a défini beaucoup, beaucoup. Elle était comme le mouton noir de sa famille.
Speaker 1:Mon père suivait, il aimait sa femme. Je ne suis pas sûre qu'il croyait toujours, mais il suivait. Il était là. Mon père aussi, directeur d'école, il allait respirer, il faisait les rebirths. Il était cali aussi, directeur d'école, il allait respirer, il faisait les rebirths, il faisait le tekkali, le maître reiki, mon père qui criait en bas et qui faisait tout ça.
Speaker 1:C'était ça chez nous. Ça a du ressembler. On n'a pas lévité, mais ça me tente en temps. Par exemple, on devrait essayer ça dans la yurte, d'après moi. Oui, c'est ça, on pourrait l'expérimenter.
Speaker 1:Oh, je parlerais des heures avec toi, julie-andrée. J'en suis émue, de tout ce que tu as créé juste par ta présence avec moi ici. Je te remercie infiniment d'être là. Merci à toi. J'ai hâte de jouer avec toi, j'ai hâte d'aller dans ton univers, j'ai hâte d'expérimenter toute ta puissance, parce que je sais que tu es toute une contribution pour moi aussi. Merci, je suis heureuse de te retrouver. Merci de m'avoir aidée à sortir de ma grotte.
Speaker 1:Oh, mon Dieu, une grande joie. Viens, on va se mettre à danser comme s'il y avait un feu, comme dans le. Oui, j'ai même mis ma peau d'ours, ben oui, alors, merci aussi à vous d'être là. Peut-être que vous avez fait partie aussi. On était dans votre communauté, puis on a créé quelque chose ensemble. Si vous êtes encore là après quelques 40 minutes, plus probablement qu'on était tous ensemble dans une tribu, dans un endroit X, y, z. Merci d'être là, et merci aussi de sortir de votre grotte pour impacter le monde encore plus. À tout bientôt.
Speaker 1:Wouhou, Wouhou, c'était. Oh, mon doux. Oh, c'est cool, j'avais des frissons. Voyons donc, on remercie tout le monde d'avoir été avec nous aujourd'hui. Ah, mon Dieu, c'était quelque chose.
Speaker 1:Écoute, ça fait longtemps que je n'ai pas été shaken, même, mais joyeusement, énergétiquement, je suis étourdie, virevoltante. Ta mère, ma mère, je ne sais pas trop. Oui, oui, oui, c'est quelque chose. Ta mère, ma mère, je ne sais pas trop. Oui, oui, là, j'étais, ah, ok, elle était vraiment, vraiment, j'avais son énergie-là. Je dirais que wow, belle dame, wow, ok, ok, merci, oui, ça bouge beaucoup. J'en ai la nose. On va cool down.
Speaker 1:Qu'est-ce qu'il y a? Quoi d'autre est disponible maintenant? Oui, oui, oui, c'est incroyable. Oui, je suis un peu. C'est incroyable. Elles sont là. Il s'est passé quelque chose. Elles sont là. Elles sont là.
Speaker 1:Oui, je l'avais revu, ma mère, au Manchester. Écoute, je n'ai jamais vécu ça, mais je suis partie. C'était une place que j'étais. J'étais partie avec Geneviève Gauthier, mon amie. Ah, mais oui, elle était pas assez habillée. Moi, je partais faire du ranking. Geneviève, qui est arrivée, qui arrive à Louboutin, genre au Mont-Chastain, c'est ça. On va lui envoyer ce bout-là.
Speaker 1:Geneviève, t'es avec nous, fait que là, on n'avait pas été jusqu'à Heart Lake. Mais je disais OK, je sentais vraiment l'eucalyptus. Il n'y avait pas d'eucalyptus, pas d'arbres, puis tout ça. Je suis comme mon herbacha, mais ça, il s'est allé là, j'étais all partie. S'ils ne m'avaient pas ramenée, je ne sais pas si je, je ne sais pas, j'ai pleuré, j'ai pleuré, j'ai pleuré. Là, j'ai posé la question à Sylvain. Après, je dis on peut aller voir des Lémuriens. Oui, c'est ça. On peut partir, mais on revient Là, on a juste leur énergie qu'on reconnaît parce que c'est nos mères. Oui, mais c'est ça.
Speaker 1:Elle est allée récupérer de l'information pour, éventuellement, une réincarnation, je ne sais pas quoi, mais c'est fascinant, pareil. Mais tu comprends que c'est pas OK, ça fait du sens. Je dis ah, ça y est, elle est rendue ailleurs, il s'est passé, elle peut redescendre. Puis elle se présente avec le format énergétique de ma mère. Mais je suis comme elle est rendue ailleurs, soit, soit sa fréquence a changé, mais il s'est passé quelque chose. Ma mère n'est plus ma mère à partir de maintenant. Mais c'est weird quand même de dire ça. Oui, c'est weird parce que, oui, ça s'insiste.
Speaker 1:En tant que terrestre, on est content, mais en même temps, mais c'était clair, moi, il n'y avait pas de. Puis, ils nous ont tellement préparés sur, sur le après, on a parlé du après. Avez-vous parlé de la mort? beaucoup, ta mère et toi, sur après ou Après elle, parce que c'est mon père qui était malade, on pensait qu'il allait partir avant. Elle a fait comme Ma mère a fait la même affaire. Ah, c'est ça. Oui, il l'a suivi six semaines après. Ok, c'est ça.
Speaker 1:J'en ai parlé plus autour de mon père, parce que, c'est ça, elle était paniquée, elle ne voulait pas partir. Je la suivais dans l'ambulance. Elle s'est emmenée me voir dans l'auto. Elle était comme Il se passe quoi Je suis? comme On va se ramasser à l'hôpital, on verra. Mais c'est ça, moi, mon père a l'Alzheimer, oui. Puis je pense que ma mère, elle ne voulait pas le vivre. Ah bien, je veux dire, ce n'est pas qu'elle ne voulait pas le vivre, non, non, non, j'ai assez donné, j'ai assez donné, oui, puis je vais lui laisser ma peau, d'une façon ou d'une autre. C'est ça, ma mère. Elle faisait de la numérologie, puis elle est allée dans le balistique, puis elle est allée dans le plus fort. Ils ont dit vous restez ceux qui veulent savoir à quel âge vous allez partir. Puis, elle a dit moi, je suis restée, puis à 72, elle est partie à 77. Ça fait qu'elle a travaillé beaucoup.
Speaker 1:En arrivant au tram pour nettoyer Fred, il disait. Il a toujours dit je vais mourir, à quelle heure? À 46. Il a toujours dit, quand on a commencé à se transer en Missoua, moi, je ne vis pas vieux.
Speaker 1:Puis, à un moment donné, il y a quelque chose qui a changé. Il s'est mis à souhaiter vieillir, puis voyager, puis la vie qu'on avait, puis, il y a 52,. il a eu des problèmes cardiaques. Puis le gars, il dit quand il a eu sa chirurgie, il a deux ans maintenant, c'est ça Un an, un an, deux ans. Il a dit t'as fait de l'overtime, ça fait cinq ans que t'es en overtime.
Speaker 1:C'était l'âge prévu, ça aurait été 46. S'il n'avait pas été en forme, c'était son âge au part. Ok, fait que là, on va passer par dessus. Passer par dessus, ça veut dire qu'on est capable de dire fait que là. Elle se dit je pars, on peut décider, c'est la chose la plus légitime. Oui, il y a même quelqu'un qui dit qu'on pourrait très bien se coucher le soir puis se dire bon, bien, ce soir, qu'on fait ça. Oui, ok, bye, bonne nuit. Puis ça pourrait se faire.
Speaker 1:J'aspire à ça. J'aspire à voir si c'est 120, mais juste me dire ça va être là, pas de médication, pas rien. C'est une absence de résistance totale. J'imagine il faut qu'on refasse ensemble des podcasts. Je te réinvite juste pour que je m'éclate sur là.
Speaker 1:On parle de tout ça ensemble. C'est trop bon. C'est trop bon. Oh my God, quel bonheur. Laisse-moi juste te faire un câlin tout de suite. Oh, merci, oh, wow, on va faire une petite photo, on va t'avoir ici. Oui, c'est encore Mon Dieu. Oh, là, là, mon dieu, oh la la, c'est bon. Je pense que même le real, je vais le faire autrement avec toi.
Speaker 1:Fait que Geneviève, c'est-tu de tes élèves? ou vous co-créer ensemble? Non, écoute. on s'est connues dans une formation de Mélissa Mailly il y a des années. Ah, oui, on ne s'est jamais lâchées.
Speaker 1:J'en suis que c'est fini? Oui, non, pas que c'est fini, c'est une première formation. Je ne suis pas d'entrepreneur. Ah, oui, ok, on a commencé. Oui, oui, elle était straight. Je suis tombée sur une vidéo d'elle. Oui, elle était straight. Oh, vraiment, vraiment straight, c'est ça. Puis, là, on a deviné spirit.
Speaker 1:Ensemble, pour aider les femmes entrepreneurs, on a fait un coaching de haut niveau. Ah, vous êtes ensemble là-dedans. Oui, on est nos choses. Un petit peu Comment elle va. J'ai pas reparlé beaucoup. On fait juste se dire tout le temps On va se parler bientôt, on va se parler bientôt.
Speaker 1:Ça a été rough pour elle de partir comme ça, puis d'avoir le néant, de dire Oh, je peux rien faire dans l'après-midi, je travaille, je vais faire quoi après Ça. Ça a été rough pour elle, mais là, ça, ça a été rough pour elle, mais là, ça a été bien. Quand elle était venue, elle a appréhendé ça. Oui, c'est ça, elle était là-dedans 20 minutes. Elle était malade. Elle a eu des grosses infections. C'est incroyable. Il fallait avoir des antibiotiques. Les antibiotiques l'ont rendue malade. C'est ma gamme, c'est correct. Il fallait qu'elle passe par là. C'est dur, mais nous autres, c'est déstabilisant.
Speaker 1:Quand on part, parce qu'on est habitué à être dans performance, oui, puis là, on continue à travailler. Puis là, on m'a mis, on fait du 40 heures, semaine dans l'oulotte, fait qu'on travaille au temps. Oui, parce qu'on veut, on veut pas se sentir ferme. Là, tu sais, j'ai pas le droit, c'est pas campé dans un milieu paradisiaque pour rester dans le VR, puis ne pas sortir, puis pour revoir notre horaire, pour revoir notre façon de faire les choses. Ah, oui, c'est quelque chose, parce qu'il y a toujours la culpabilité.
Speaker 1:Oui, on est en train de faire un voyage. C'est fascinant. C'est pas fascinant, c'est drôle, parce que c'est comme si tu pars en virage et que tu dis qu'on part en vacances. Oui, donc, on ne part pas en vacances, on va travailler sur la route. Ça fait que vous devez être capable de balancer. On vit sur la route. On a le droit de dire qu'on vit sur la route, sinon on met juste travail sur la route. Le meilleur, je pense, c nous trouver, c'est quand on fait deux heures le matin, on fait nos activités, puis on fait un deux heures le soir, puisque là, on a profité. Mettons de dix heures à trois heures, puis là, on souffre, puis après, on fait du travail. Ça fait que ça fait en sorte que après, on l'a coupé, au lieu de faire dix à trois. Puis là, qu'est-ce qu'on fait? On finit, on est arrêté, on a mis notre énergie. Là, c'est vraiment bien. La lévitation est trop bien.