
Impacter le monde avec Karine Champagne
Découvre mon nouveau podcast "Impacter le monde "
Un podcast dédié à ceux qui souhaitent laisser une empreinte positive sur notre planète.
Chaque épisode est une invitation à explorer les histoires inspirantes de personnes qui change le monde à leur manière.
Karine Champagne, avec sa voix chaleureuse et son approche empathique, vous guide à travers des conversations captivantes avec des invités exceptionnels.
Ce podcast offre une dose d'inspiration et des leçons pratiques pour ceux qui aspirent à faire une différence.
Rejoins-moi pour un voyage inspirant vers le changement et la découverte de comment, ensemble, nous pouvons impacter le monde.
Impacter le monde avec Karine Champagne
92. Ouvrir la voie avec Louise Crête
Tu peux directement me texter tes commentaires!
Après avoir quitté l'université face à une déconnexion avec les valeurs de son époque, Louise Crête a découvert la méditation transcendantale, une pratique qui lui a permis de surmonter la dépression et de vivre un éveil spirituel en 1975.
Naturothérapeute spécialisée en soins énergétiques, Louise est devenue un exemple inspirant de la puissance de suivre son propre chemin. Dans cet épisode, elle revient sur son parcours, offrant une réflexion profonde sur l'importance d'être le leader de sa propre vie.
Pour suivre Louise, c'est par ici:
Linkedin: https://ca.linkedin.com/in/louise-c-4bb22b74?trk=people-guest_people_search-card
Association: https://www.anqnaturo.ca/fr/trouver-un-membre/fiche/NA-2641
Courriel: loucrete@gmail.com
5 citations marquantes de Louise Crête :
1️⃣ "Impacter le monde, c’est être un modèle d’inspiration et encourager chacun à devenir le leader de sa propre vie."
2️⃣ "On peut toujours envoyer de l’amour et de la paix, et ça voyage comme Internet."
3️⃣ "La gratitude, c’est magique : elle transforme notre énergie et notre réalité."
4️⃣ "Vieillir, c’est juste une autre étape d’exploration et de découverte de soi."
5️⃣ "On crée notre futur avec notre intention et nos actions."
3 bonnes raisons d’écouter cet épisode :
1. Un témoignage inspirant sur l’éveil spirituel et les défis d’être un pionnier en énergie.
2. Des outils concrets pour gérer le stress, se connecter à soi et développer son intuition.
3. Un message puissant sur la gratitude, l’amour de soi et la force de l’intention.
Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
www.karinechampagne.ca/impact
Pour explorer l'univers de la question:
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Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.
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Quand les gens sont dans le chialage. Oui, c'est vrai qu'on ne peut pas contrôler ce qui se passe sur la Terre, mais on peut toujours envoyer de l'amour, on peut toujours envoyer de la paix. Puis, ça, c'est comme Internet, ça voyage, c'est des petits fils là, tu sais, on trouve que la technologie, c'est formidable, mais il reste qu'on est capable de faire ça là. Qu'est-ce que ça va impacter à l'autre bout du monde si j'envoie de l'amour? je sais pas. Moi, en Ukraine, je sais pas, mais je peux le faire.
Speaker 2:Allô, allô, je te souhaite la bienvenue à un autre épisode du podcast Impacter le monde. Il y a une prise de conscience importante à faire maintenant dragons de fées, de médiumnités, de clairvoyance, d'hypnose et de tous les sujets qu'on a pu aborder en 2024 dans le cadre du podcast Impact et le monde, c'est qu'il y a des gens qui ont été avant nous et qui ont défriché le chemin, des gens qui avaient du courage, qui savaient qu'il y avait d'autres possibilités, même si ce n'était vraiment pas populaire à l'époque et même si on voulait les amener en psychiatrie parce que ça ne faisait aucun sens. Devant moi, une invitée qui a marché le chemin, qui fait en sorte que c'est possiblement beaucoup plus facile en ce moment pour nous toutes. Louise Crête est une ancienne prof d'éducation physique, maintenant naturopthérapeute et spécialisée en soins énergétiques. Louise, es-tu prête à impacter le monde?
Speaker 1:Ah oui.
Speaker 2:Qu'est-ce que c'est pour?
Speaker 1:toi impacter le monde. Impacter le monde, c'est vraiment d'être, oui, un modèle d'inspiration pour encourager et guider les gens à être leader de leur vie, leader de leur devenir, et pour pouvoir vraiment s'épanouir dans leur essence profonde.
Speaker 2:Louise est mon invitée la plus expérimentée sur le plan terrestre. C'est bien dit, hein? Bon, vraiment. Donc, au moment où vous regardez cet épisode, louise a soufflé sur 70 bougies. Oui, Et il faut voir tout ce qu'elle fait encore aujourd'hui me dit que dans 20 ans, je serai aussi comme elle. Louise, on veut parler, on va commencer par v'là 50 ans. Ton éveil spirituel est survenu en 1974. C'est un début de connexion intérieure. Comment on vit un éveil spirituel en 1974?
Speaker 1:En fait, 1974, c'était les balbutiements pour m'amener vers l'éveil spirituel qui est arrivé en mars 1975. Mais ce qui a amené ce déclenchement-là, c'est que c'était une époque où j'étais très troublée à l'intérieur, très tiraillée entre mes valeurs et ce que je voyais dans la société, qui ne me collait pas à la peau, et tout ça. Ce tiraillement-là m'a amenée comme sur le bord de la dépression. J'ai décidé de laisser à ce moment-là l'université. Et comme je croyais beaucoup aux méthodes naturelles, j'avais entendu parler de la méditation transcendantale.
Speaker 1:Alors, je suis allée me prendre le cours de méditation transcendantale de Maharaj Chimaesh Yogi, qui était le yogi hot mettons du temps Et je me suis mise à faire de la méditation quotidiennement, deux fois par jour, tel qu'enseignée, et ça m'a amenée à entrer en intérieur de moi, ce qui était quelque chose que je ne connaissais pas. Et ce choix-là de cesser l'université, de retourner dans la maison familiale mes parents ont été super de m'accueillir a fait que j'ai pris une pause et j'ai continué à faire ça Pendant l'hiver. Moi, je suis passionnée de ski. Bon, j'étais prof d'éducation physique, mais je fais du ski depuis très longtemps. J'étais devenue instructeur pour pouvoir passer mon hiver à faire quelque chose, parce que je ne retournais pas à l'école, et donc j'étais très heureuse d'être en ski. Je dois vous avouer, parce que moi, les études académiques exigeantes, ce n'était pas l'idéal.
Speaker 1:Non, j'avais eu de la difficulté malgré que j'avais ce cheminement-là académique qui était de haut niveau. Je ne peux pas reprocher rien à mes parents de nous avoir envoyés à l'école classique, etc.
Speaker 2:Mais si on revient au ski et à la méditation transcendantale, est-ce que tu éprouvais quelque chose de particulier quand tu étais en ski? C'est ce qui te faisait autant de bien, le fait d'être en plein air, connecté à la nature. Il y avait quelque chose de très apaisant.
Speaker 1:Oui, la nature a toujours été pour moi un sanctuaire. depuis très longtemps, j'étais toute jeune. Et puis, l'histoire du ski, c'est que je me suis mise à comme fabuler sur quelqu'un qui m'intéressait, et puis j'ai finalement, à un certain moment donné, été plus proche de lui, mais dans une conversation où, probablement, j'avais beaucoup de choses de bloquées à l'intérieur, j'ai été dans un état d'expression très puissante d'une colère qui m'habitait, que j'ignorais, et j'ai raconté des trucs explosifs à cette personne-là qui m'aitaient, que j'ignorais, et j'ai raconté des trucs explosifs à cette personne-là qui m'a écoutée avec attention, avec respect, avec bienveillance, qui m'a accueillie dans tous mes états. Puis, on dirait que ça l'a ouvert quelque chose.
Speaker 1:Oui, ouvert quelque chose pour m'amener dans un état de béatitude qui était hors du commun et qui, par la suite, a perduré dans le temps où je me suis mis à avoir des connexions avec des êtres de lumière, entre autres Jésus-Christ, sa mère Marie. Je les voyais. J'avais des périodes d'extase physique où je m'allongeais les bras, en tout cas, c'était spécial. Puis, j'avais un journal de bord, j'écrivais, je me suis mise à écrire des poèmes à partir de détails que je voyais dans la nature, quelque chose que je n'avais jamais fait de ma vie. Mais je n'étais plus les pieds à terre. Alors, mes parents, oui, ils ne m'ont pas jugée, mais ils ont eu L'inquiétude.
Speaker 2:C'est le mot à utiliser. Donc, on t'a amené voir le médecin. On m'a amené voir un psychiatre À l'époque là, on retourne 50 ans en arrière, 1974, 1975, c'est pas connu. On parle pas d'éveil de la Kundalini, on parle pas même de la méditation transcendantale. Quand tu commences à dire à tes parents ou à tes amis que tu fais de la méditation transcendantale est-ce qu'ils sont ouverts ou ils sont sur leur garde? ils trouvent ça bizarre. Qu'est-ce qui se passe à ce moment-là?
Speaker 1:Bien, je pense qu'ils étaient sur leur garde du fait de ce que je n'ai de vivre. Puis que là j'étais, je ne parlais plus de choses normales, si on peut dire. J'étais vraiment dans ce monde-là Et j'ai Ben, il y a un diagnostic pour ça. On m'a amené voir un psychiatre qui avait l'expérience de personnes comme moi qui vivent un éveil. Puis, moi, il m'a dit que j'étais folle. Mais moi, j'ai répondu la folie, c'est relatif. Il m'a regardé dans le blanc des yeux, puis il a dit non, mademoiselle, la folie, ce n'est pas relatif. Mais moi, je savais que c'était vrai. Ce que je vivais, ça ne pouvait pas ne pas être vrai à un niveau que la science ne connaît pas ou ne connaissait pas à l'époque. Parce qu'aujourd'hui, c'est expliqué ces états de conscience-là. Il y a plein de gens maintenant qui guident avec les techniques d'hypnose, d'aller en alpha, en theta, puis des voyages Astro et tout. Oui, oui oui.
Speaker 1:Mais à l'époque, c'était plus rare. Donc, quand ce psychiatre-là m'a dit ça dans le bureau, moi ça m'a comme fait un choc en dedans. Puis je me suis dit, sans lui dire tu vas voir que je ne suis pas folle, je suis sortie du bureau avec ces pilules que je n'ai jamais prises. Puis je me suis reprise en main On dirait que je me suis regroundée.
Speaker 2:Oui, prendre en main, ce n'est pas qu'il n'y avait rien de correct, pas correct que tu faisais avant.
Speaker 1:C'est ça exact, ça m'a fait un. Je vais m'en sortir Puis à ma manière, à ma manière, puis j'ai toujours fait ça à ma manière.
Speaker 2:T'étais quand même un électron libre, toi, Déjà en 1974, puis bien avant. Est-ce que c'était dur d'être un électron libre dans les années 70? Bien oui.
Speaker 1:Puis, moi bien, comment je te dirais ça, j'étais beaucoup animée par l'activité physique, le plein air, et par les façons naturelles de s'aider, vu ma mère, quand j'avais 5-6 ans, ou peut-être 8-9 ans, en tout cas je ne me rappelle pas trop qui avait fait une crise d'angoisse dans un party de Noël, puis ça m'avait tellement fait un choc que je m'étais dit moi, ça ne m'arrivera pas. Ça, c'est comme si je me disais il y a des façons sûrement naturelles de gérer le stress, réelle de gérer le stress. Tu sais, je savais que j'étais bien dans la nature, que c'était pour moi un sanctuaire. Puis, moi, j'adorais les chiens, j'avais tout le temps un chien. C'était une autre manière pour moi de jouer et d'avoir toute cette relation-là, affection avec les animaux.
Speaker 1:Et puis, moi, je ne suis pas une fille à pellules. D'ailleurs, j'avais probablement eu un choc à l'âge de deux ans, j'ai failli mourir parce que j'avais bouffé une bouteille de pellules. Puis, j'avais été à une table d'opération, Ils m'ont fait du nettoyage, puis moi, j'ai l'impression que j'ai resté avec cette espèce de aversion des pilules, qui était inconsciente, Fait que je me dis, qui m'a amenée par la suite à chercher des façons de s'aider naturelles, et donc tout le côté gestion de stress, relaxation, automassage, toutes les façons d'être bien, toutes les médecines douces. Je suis allée voir réflexologie, polarité, massage.
Speaker 2:Ramène-moi encore dans les années 70, parce que là, c'est pas rare de faire un cours de massage ou de gestion de stress, ou d'hypnose, ou de constellation familiale. Tu sais tout ce qu'on connaît. Il y a du monde, il y a des listes d'attente. Tu n'es pas un hurluberlu quand tu arrives dans un cours comme ça, Toi ramène-moi dans les années 70 encore. juste pour que j'aie une perception de ce que ça pouvait être, tu décidais de faire n'importe quelle autre formation.
Speaker 1:Bien, ce n'était pas sérieux. Tu sais, tu allais faire un cours de réflexologie. Il y avait Madeleine Surgeon qui était la pionnière là-dedans. Moi, j'ai fait un cours avec elle. Tu le faisais avec tes amis, Tu le faisais. Moi, j'ai fait des étapes pour être dans la massothérapie, parce que même si j'étais à Montréal, puis je rêvais tout le temps de sortir de Montréal parce que j'aimais pas la ville, Fait que je m'étais dit je vais me former en masseau, puis je vais m'ouvrir un studio. Puis, effectivement, j'en ai ouvert un à une époque où j'ai passé plus de temps en dehors de Montréal. Je voyageais Montréal et la Mauricie, Et puis tu te faisais pas de clientèle facilement. Tu ne pouvais pas faire des soupes. En plus, le massage avait beaucoup la connotation sexuelle. Tu te faisais toujours demander des extras. À un moment donné, tu te dis Pof, je n'ai pas le goût de gérer ça. C'était comme ça la perception du massage. Aujourd'hui, ce n'est plus ça, C'est juste aussi la perception du massage.
Speaker 2:Aujourd'hui, ce n'est plus ça. Ce n'est plus ça. Juste aussi retourner en arrière, parce que je suis vraiment fascinée par ton parcours, louise. Merci de prendre ce moment-là avec nous. Tu disais que ton idole, c'est Jeannette Bertrand, parce qu'elle est rendue à 100 ans et elle a encore des choses à faire. Tu frôles le 70, puis t'as encore bien des affaires à faire. Tu donnes des ateliers encore, tu reçois encore de la clientèle. T'as pas arrêté jamais d'innover, d'aller au bout de tes idées.
Speaker 1:Mais quand t'enseignais au cégep Dawson, il y a eu un article sur Louise Crête dans la presse, parce que tu faisais quelque chose de spécial Qu'-relaxation, que j'enseignais dans mon programme d'éducation physique et dans lequel on faisait de la gymnastique douce, on faisait du yoga, on faisait de l'automassage, je montrais aux étudiants à se masser entre eux avec des techniques très simples, puis ça faisait des miracles Et en plus de guider des relaxations, comme on se fait guider en hypnose. Bien, moi j'ai commencé, ça s'appelait relaxation générale. Puis il y en avait des techniques. Il y avait la technique de Jacobson, qui était une technique que tu serrais les poings puis tu relâchais.
Speaker 1:Puis, ça, c'était plus pour les gens qui, physiquement, leur ressenti kinesthésique leur permettait de réaliser la différence entre une tension et un état de relaxation physique. Puis, sinon, la guidance verbale, il y en avait que ça leur collait, mais moi, j'utilisais toutes sortes de mots. J'avais découvert que tu peux dire ben, tu vas voir, mais il y a du monde qui voit pas à l'intérieur d'eux. Donc, récent, j'avais découvert les mots qui peuvent un peu allumer les perceptions des jeunes.
Speaker 2:Mais t'étais tellement outside of the box. Moi je trouve ça juste fantastique. Merci pour ça qu'il y a quelqu'un qui a fait un article sur toi et comment tu enseignais à danser.
Speaker 1:Je ne me rappelle pas comment ça se fait qu'il avait su ça, parce que j'ai reçu un téléphone à un moment donné. Si je me rappelle bien, c'était Raymond Bernatchez. Il doit être décédé aujourd'hui. Il s'était présenté là où j'enseignais, puis il était venu dans le cours, puis là, moi, j'avais mon petit appareil à cassette pour ma musique, j'avais parti ça quand il a assisté à une relaxation que je guidais, et puis il avait fait son article sur ça. Puis, non seulement, il avait même interviewé des élèves après pour leur demander puis, qu'est-ce que ça vous a fait, cette technique de relaxation là? et puis les jeunes avaient comme témoigné du bienfait. Tu sais, moi, j'avais des fois des réactions des gens. Je devais les amener bien loin, parce qu'il y en avait qui disaient Ah, miss».
Speaker 1:Tu sais moi je parlais en anglais, Madame, je voulais pas revenir, j'étais trop bien. Puis c'était un monde en couleur. Puis là, moi, j'ai ramené, avec la manière de ramener à la fin d'une relaxation. Là, ça se réveillait tranquillement, le sourire aux lèvres. C'était génial.
Speaker 2:Puis tes cours d'éducation physique, quand t'étais prof. Aussi, c'était axé sur la marche lente. Il y avait le plein air, il y avait du canoë, du canoë camping mais t'amenais toujours le côté très nature, relaxation, connexion avec le vivant, la présence aux élémentaux.
Speaker 1:En fait, moi, je me disais oui, l'activité, mais le ressenti, la connexion à la terre, la connexion au niveau des sens, autant aux végétaux que d'observer les animaux. Puis, j'amenais les jeunes qui venaient dans le cours plein air, retraite, nature, à des thèmes de découverte de soi, puis de faire le lien avec la nature. Ils pouvaient même, dans une des activités, être en équipe pour créer une œuvre à partir de la nature. Aujourd'hui, il y a des livres qui s'appellent Landmark. Ils appellent ça de l'art naturel éphémère. Ça veut dire que faire une œuvre avec des pièces de la nature, des roches, des fougères, des feuilles de toutes sortes de couleurs, des fleurs, et de créer quelque chose qui peut être en lien avec un thème. Puis, dans le cadre de mon cours que je donnais dans la nature, les jeunes se trouvaient un thème en jasant de ce qu'ils étaient. Puis, après ça, ils allaient chercher des choses, puis ils créaient leur œuvre Et ensuite, on visitait chaque site.
Speaker 1:Où est-ce qu'il y avait une œuvre de créée? Puis, les jeunes expliquaient c'était quoi qu'il y avait derrière ça? Donc, ils se révélaient. On tombait dans l'intimité, on tombait dans le côté vulnérabilité, puis, c'est des jeunes qui étaient à Montréal, il y en avait qui n'avaient pas mis les pieds dehors ben ben de Montréal, surtout que moi, j'avais le collège le plus multiethnique de toute la ville de Montréal. Il y avait des expériences de relations avec la nature qu'il n'y avait jamais vécu.
Speaker 2:Ta présence au sein de ce collège-là comme prof d'éducation physique. Est-ce que c'était dérangeant? Est-ce qu'il y avait des commentaires ou est-ce qu'il y a des élèves où les jeunes se couraient après toi pour t'avoir comme prof?
Speaker 1:C'était devenu très populaire. Ah oui, moi, j'ai commencé avec deux groupes qui ne se remplissaient pas le premier semestre qu'on l'a annoncé. Puis, j'avais su, deux jours avant la fin des inscriptions, qu'il y avait deux élèves dans les deux groupes. Alors, j'ai fait une visualisation pour qu'ils se remplissent. J'avais un trajet d'autobus à faire Montréal-Québec. Pendant tout le trajet, j'ai visualisé les étudiants qui s'inscrivaient, qui s'inscrivaient, qui s'inscrivaient, qui s'inscrivaient. Si on est le mercredi, le vendredi, les deux groupes étaient pleins, parce que, en tout cas, ça l contribué, parce que je crois qu'on peut créer, on crée notre futur, on est des créateurs. Alors, moi, cette fois-là, je me disais non, c'est pas vrai, il faut que ça se remplisse. Fait que je m'étais rentrée à l'intérieur de moi, puis j'avais visualisé que les étudiants s'inscrivaient. Puis, ça a fonctionné. Fait que le premier hiver, j'ai donné les deux cours, et là, ça s'est parlé, parce que les étudiants, ils aimaient ça. Je travaillais les changements d'habitude de vie par l'intérieur. Tu sais, ils mangeaient mal, ils ne bougeaient pas, c'est ça. Puis, on faisait du travail de visualisation, puis je les mettais en situation comme si ils étaient pour faire l'activité, tout ça. Puis, tout à coup, hey, miss, c'est drôle, j'ai eu le goût de, j'ai eu le goût de Hey, j'ai changé ça, j'ai diminué la cigarette. Tu sais, ces affaires-là, ça travaillait de l'intérieur. Donc, c'est devenu tellement populaire que je me suis dit c'est pas vrai, je vais juste enseigner ça. Moi, je voulais bouger aussi comme prof.
Speaker 1:J'avais un prof dans le département que je me disais, lui, il serait bon Parce qu'il avait une voix grave. Il parlait tout le temps posé. Tu sais, quand tu veux guider des relaxations, il y a tout un jeu avec la voix, les temps de pause, etc. Fait que j'en avais parlé, puis il m'a dit oui. Puis il dit je vais suivre à la lettre ce que tu fais. Fait qu'il s'était fait un gros cartable, puis il a commencé à enseigner. Fait que là, on a doublé le nombre de groupes. Puis, ensuite, le cours de plein air. Bien, c'est une collègue qui m'a dit Louise, pourquoi tu partirais pas un cours intensif, relaxation, retraite, nature. On allait dans des. J'ai dit OK, ça, c'est devenu un cours que je donnais deux fois par année. Puis, j'avais quatre groupes en tout de relaxation au collège par année. Donc, en tout, je touchais six fois 25 par année. Il y avait 25 élèves par cours.
Speaker 2:Écoute tu parles, j'ai le sourire accroché au visage. Je suis devenue les yeux pleins d'eau Tant je suis admirative devant ta créativité, puisque tout ce que tu avais à l'intérieur de toi ne t'a jamais freiné à aller là où tu voulais. Tu n'as pas tenté d'éteindre ça, Tu l'as laissé aller. Tu as peut-être essayé de l'éteindre d'une façon ou d'une autre à un moment donné, mais c'était plus fort que toi et tu avais juste envie d'être ça pour tes élèves.
Speaker 1:Oui, parce que je trouvais que ce n'était pas des transformations forcées et imposées En activité physique. il y a des gens qui disent oui, je vais bouger, je vais bouger, mais si tu n'aimes pas ça, si tu ne le sens pas, tu le fais un bout, puis tu lâches. Puis nous autres, les gens ne le savent peut-être pas, mais notre travail comme prof, c'était aussi les habitudes de vie, les attitudes, comment je vois la vie.
Speaker 2:Mais attends, les attitudes de vie. C'est rare qu'on l'aborde. On parle d'habitude de vie, mais on parle rarement d'attitude, de vie.
Speaker 1:C'est ça. Des attitudes, c'est Comment Bon prends la température? Est-ce que je peux contrôler la température?
Speaker 1:Non, alors je pourrais être mossade toute la journée parce qu'il ne fait pas beau dehors mais je veux dire, elle, la température, elle ne changera pas, mais toi, tu peux décider que ce n'est pas grave la température. Je vais me mettre un sourire dans la face quand je me réveille, Puis je vais me mettre à penser à ma journée. Comme ça va être une belle journée. Puis, si j'ai de la difficulté, je peux choisir quelque chose qui m'allume. Je me mets de la musique, ou je vais aller prendre une douche vivifiante, puis je vais chanter, puis là, tu es en train de créer une belle journée, tu le choisis. C'est ça les attitudes Quand les gens sont dans le chialage.
Speaker 1:Oui, c'est vrai qu'on ne peut pas contrôler ce qui se passe sur la Terre, mais on peut toujours envoyer de l'amour, on peut toujours envoyer de la paix. Puis ça, c'est comme Internet, ça voyage, c'est des petits fils. Tu sais, on trouve que la technologie, c'est formidable, mais il reste que on est capable de faire ça. Qu'est-ce que ça va impacter à l'autre bout du monde si j'envoie de l'amour? je ne sais pas. Moi, en Ukraine, je ne sais pas, mais je peux le faire.
Speaker 2:Ça me fait sécréter de l'oxytocine.
Speaker 1:Puis ça me relaxe. Puis, moi, je le fais tellement ça que des fois, je suis dans le trafic. Puis là, je viens fâcher parce que quelqu'un, mettons, n'avance pas, mais j'y envoie de l'amour, je dis regarde, torse-toi dans la droite. Puis il se torse, j'y envoie de l'amour, gentiment, puis des fois, des fois, il y en a qui te collent dans le derrière. Je leur envoie de l'amour, ils te décollent. Je leur dis ça par la télépathie.
Speaker 2:Ils relaxent, puis ils se laquent, puis ça marche. Moi, je veux juste vous rappeler que la femme que vous entendez ou que vous voyez frôle les 70 ans. T'as un dynamisme incroyable. Est-ce que tu vises le 100 ans?
Speaker 1:Ben oui, ben oui, c'est sûr. Mais là je me suis dit je vais me donner une période jusqu'à 95. Ok, Mais après ça je me suis dit peut-être jusqu'à 120. 120?
Speaker 2:Ça fait partie des âges que je vise aussi. Fait qu'on pourra peut-être se trouver un petit camping à quelque part et triper le restant de notre vie. Quand on parle de vieillissement, moi j'aime ça l'appeler appillage. Puis je trouve que tu l'incarnes à merveille. Puis tu me disais tantôt, juste avant qu'on commence notre conversation, comment les quatre dernières années, donc à partir de 66 ans ou presque, t'as appris à te découvrir encore plus et à t'aimer encore plus. Donc, on n'arrête jamais de se découvrir.
Speaker 1:Ben non, moi, c'est du 24-7, 3-6-5, cette affaire-là. Des fois, je me réveille la nuit, puis il se passe quelque chose. Mettons que j'ai un petit serment ici. Je vais mettre ma main là, puis je vais dire bon, c'est quoi? Puis, là, il y a des pensées qui vont peut-être venir, et tout. Puis là, je vais avoir de la gratitude. Puis après ça, je vais me retourner, je vais me rendormir. C'est que se révéler à soi-même, c'est infini. On a tellement d'espace en nous qu'on ne connaît pas. Puis, moi bien, tu sais, des fois, on s'occupe des autres, on s'occupe des autres, mais on oublie de se connecter à soi et de se connaître. Puis, l'amour de soi, c'est peut-être quelque chose que je n'avais pas assez approfondi. J'ai eu des pauses comme thérapeute dans les dernières années, pour toutes sortes de raisons. Puis je me suis concentrée à dire OK, telle affaire, telle affaire, mes parents sont décédés, il y a eu des événements, etc. Puis, décédés, il y a eu des événements, etc. Puis là, je me suis dit j'ai eu des conflits. Puis je me suis dit il faut que je pardonne, mais je ne suis pas capable de pardonner à ces personnes-là.
Speaker 1:Puis, je me disais Colin, c'est quoi le problème? Fait que moi, dans ce temps-là, je vais en dedans, parce que j'aime ça, vivre en paix, j'aime ça, vivre en accord avec moi. Fait que si je ne suis pas bien, je me dis Ok, il y a quelque chose, parce que moi, l'état de bien-être plus vite possible. Tu veux la peine. Puis, si je l'ai perdu un petit peu, je veux le retrouver.
Speaker 1:Fait que quand j'ai fait ce travail-là sur l'amour de moi davantage, entre autres, je fais des exercices, moi, c'est toujours dans l'action, parce que tu ne peux pas changer quelque chose si tu ne passes pas à l'action. Puis, l'intention, qu'on entend beaucoup en croissance psychospirituelle, bien, c'est une étape, mais après ça, si l'intention d'attirer quelque chose, ça arrive dans ta vie, après ça tu passes à l'action, tu y vas. L'action, c'est une haute vibration, puis qu'il faut aimer tout ce qu'on a vécu, même la chenoute, puis dire merci, ça, j'avais de la misère avec ça. Mais sais-tu quoi? J'ai commencé à le faire à un moment donné, après une série de vidéos, j'ai regardé d'un Américain qui s'appelle Joe DiPenza. Puis, un soir, je m'étais couché, j'avais mis ma main sur mon cœur. Puis, la main sur le cœur, je te jure que ça fonctionne. Puis, là, j'ai fait gratitude, puis là, j'ai rembobiné la cassette de ma vie, puis de toutes sortes d'affaires, puis j'étais là, gratitude.
Speaker 2:Le beau, puis ce qu'on appelle le lait, tout, gr, gratitude, gratitude, gratitude.
Speaker 1:À un moment donné, je me suis ramassée dans un état de béatitude incroyable. Je suis allée coucher dans mon lit et je me suis dit wow. Puis là, je continuais Gratitude, gratitude, gratitude. Je te jure, je capotais de ce ressenti-là. Je ne sais pas, il y a des substances dans mon corps qui ont été relâchées dans une biochimie merveilleuse. Puis là, j'ai dit la gratitude, c'est magique. Je ne l'avais jamais vécu autant. Puis ça, c'est dans les quatre dernières années, parce que je l'ai vécu, oui, mais sur la chenoute, non. Je n'avais pas vécu de paix par rapport à des choses que je n'ai pas aimées, parce qu'on en vit toutes, on le sait. Mais ce n'est pas vrai qu'on est obligé de garder ces souffrances-là en dedans de nous.
Speaker 2:On peut les remercier On peut faire la paix.
Speaker 1:Oui, les remercier, puis ça se dissout. On n'y pense plus après.
Speaker 2:C'est phénoménal, mais cette vitalité-là que tu dégages, t'es allumé comme un sapin Noël, c'est mon expression préférée. On le voit, t'arrives, t'es dynamique, t'es présente, t'es là, t'es intéressée, tu lis, tu découvres. Est-ce que c'était ta vision de ce que ça pouvait être vieillir? T'avais-tu peur de passer le 40, le 50, le 60, le 70, puis de dire oh, mon Dieu, c'est le début de la fin, parce qu'on l'entend souvent? Moi, je l'ai entendu de mon père à 50 ans c'est le début de la fin.
Speaker 1:Je suis comme non, écoute, tu vas rire là, tu vas faire rire tout le monde. Moi, on dir que plus je vieillis, mieux ça va. Wow, encore plus de ceci, s'il vous plaît. Merci pour ça, parce que l'amour de soi, de moi-même, il a grandi Puis en plus, c'est que, comme j'ai eu des connexions avec je l'appelle aujourd'hui mon équipe invisible au fil de mon cheminement, ils sont tout le temps là si j'ai besoin, tu demandes. Puis, je ne suis pas tout seul. Moi, je n'ai pas de conjoint, je vis tout seul. Mais je ne suis tellement pas tout seul, je ne m'ennuie pas, parce que tu sais les gens qui disent Ouais, ils se parlent tout seuls. Bien, peut-être qu'il parle à quelqu'un que tu ne vois pas et que c'est bien correct.
Speaker 2:Puis tu, sais, quand on a commencé la conversation, je te propose les écouteurs. Je te dis il faut que je m'habitue à la nouvelle technologie. Donc, toi, ça ne t'effraie pas d'expérimenter, tu n'es pas dans ta petite case? donc, non, je ne fais pas ça. On dirait que tu continues, continue. C'est ça qui m'impressionne dans tout ce qu'on a eu comme discussion. C'est comme let's go, on apprend encore.
Speaker 2:La technologie, je te dirais que j'ai encore un peu de break à bras parce que tu viens d'acheter un nouvel ordinateur, comme ok, là on se met à jour, on se met à jour.
Speaker 1:Parce que je sais que c'est plus ça aujourd'hui pour atteindre les gens, même si j'aime mieux en live. Moi, je travaille à distance, comme tout le monde. Et oui, travailler en énergie, tu peux le faire n'importe où On est dans un espace, on est dans un espace-temps du moment présent. Je peux faire un soin à Montréal quand je suis chez nous ou en Europe, ou n'importe où Dans le moment présent.
Speaker 2:C'est faible, fait que Fait que t'es pas à la retraite. T'enseignes plus, mais tu continues à travailler. Tu reçois des clients, tu joues avec les énergies.
Speaker 1:En fait, je prends ce que la vie m'envoie, puis, parfois, je vais vous conter quelque chose. Vas-y, l'année passée, je suis allée à Cuba avec ma cousine. Il y avait une fille en avant, elle était avec sa chambre à filepots, Elle était couchée sur le banc tout le temps du voyage. Moi, j'avais remarqué, mais elle avait le mal des transports, il faut croire. Quand on est arrivé à Cuba, on sort nos bagages et tout. Moi, je me lève avec ma cousine et elle est accouchée sur son banc. Sa chum était à côté. Puis là, elle était bien désolée. Puis, moi bien, il y a une filée d'attente, là, fait que on ne débarque pas tout de suite, fait que là, on rouvre en haut, on sort les bagages.
Speaker 1:Puis là, je la regardais, puis je me disais colline, tu sais, je pourrais faire peut-être quelque chose. J'ai eu un élan du coeur là, tellement fort Écoute, ça m'a. J'ai dit OK. J'ai dit à sa chum moi, je fais des trucs spéciaux, je peux peut-être aider ta chum, Mais j'ai dit j'ai besoin de sa permission, tout le monde est là. Elle a dit OK, elle accepte. Je commence à mettre mes mains au-dessus d'elle, je colle l'énergie, mon équipe, puis là, j'observe je regarde.
Speaker 1:Puis, à un moment donné, elle se met un petit peu à bouger. C'est bon signe. Puis, elle se retourne de bord, puis elle bouge, puis là, elle a commencé à binfler. Puis là, je sens que c'est assez, ça prend quoi, même pas cinq minutes. Ma cousine, elle me regardait, le monde, il me regardait, ma cousine. Elle dit, il y avait quelqu'un avec une petite fille dans les bras qui regardait Moi. J'étais tellement dans ma bulle avec elle. Tout à coup, cette chum à Édipie, elle dit veux-tu qu'on attende? Elle s'est levée. Ils ont attendre. Elle s'est levée, ils ont pris leur bagage, elle avait le sourire aux lèvres, puis tac dans le corridor pour s'en aller sortir de l'avion. Puis moi, je suis comme OK, merci. Je dis merci à toute ma gang. Puis là, on ramasse les bagages, on commence à s'en aller dans l'allée, puis là, quand on a sorti, elle se retourne de notre bord. Elle me regardait en me disant c'est qui, elle? Puis là, j'ai dit ben, c'est moi qui je t'ai envoyé beaucoup d'amour. Elle a déjà l'a senti. Elle était correcte, elle était correcte. Tu sais, ça, c'est un exemple. Là, tu sais, il m'est arrivé. J'ai sauvé la vie d'un jeune qui, d'abord, se fait écraser par un autobus.
Speaker 1:Un jour, quand j'étais à Dawson, il a traversé devant un autobus parce que la lumière était en train de changer et l'autobus ne l'a pas vu. Moi, je suis au coin et j'attends pour traverser. Il m'a rentré une énergie dedans, puis là, mes mains sont parties. Il y a un doigt qui s'est en allé dans les yeux du chauffeur d'autobus. L'autre doigt, il a poussé dans le dos. C'est comme l'énergie a sorti.
Speaker 1:Ça a poussé dans le dos du jeune. Lui, il ne sait pas, il s'est mis à courir. Il ne sait pas qu'il y a un autobus, il ne l'a pas vu. Puis, le gars de l'autobusait sur la orange. Moi, après ça, je traverse, puis le gars, il ne sait pas, le jeune, qu'est-ce que j'ai fait? C'est un étudiant. Il se retourne, il me regarde, il dit moi, j'ai passé proche. Il ne sait pas C'est quoi qui l'a poussé à traverser. Puis là, il a continué pour s'en aller au collège. Puis, moi, j'ai reçu un merci d'en haut, ça m'a passé à travers le corps, puis son ange gardien est venu me remercier. C'est des trucs comme ça que, des fois, avec l'énergie, on ne sait pas.
Speaker 2:C'est dur. Je pense aux gens qui nous écoutent, qui disent mon Dieu, les bonnes femmes. Ils s'excitent un peu dans le podcast, mais je comprends que des fois je fais toujours cet aparté-là. Je comprends que des fois on peut dire non, c'est ça, le chauffeur, il freinait. Mais il y a une énergie en nous qui nous dit tellement clairement que c'est autre chose. Mais on ne peut pas s'obstiner avec personne par rapport à cet événement-là.
Speaker 2:On n'a pas de preuve. Non. Mais en même temps, c'est un ressenti tellement fort que pour nous, c'est comme clair Tu rappelles de ça tout le temps.
Speaker 1:Oui, tu peux pas, puis t'as pas de preuve. Moi, je fais de la télépathie. J'ai déjà trouvé des élèves, par télépathie, qui ont pris de mauvais chemins dans un sentier, tout ça. Puis là, on ne les retrouve plus. Puis là, au lieu de m'énerver, je me mettais dans ma technique de télépathie. C'était réglé en 10-15 minutes. Mais c'est sûr qu'il faut l'expérimenter, il faut le vivre, il faut l'essayer. Puis, pour développer ces connexions-là, ça prend une démarche intérieure de d'abord reconnaître les synchronicités qu'on vit, parce que tout le monde en vit, puis de commencer à voir. Ok, j'ai pensé à ma chum, à ma pêle. Bon, ça, c'est un exemple classique. Mais moi, j'ai fait des tests demain. À un moment donné, je cherchais un trousseau de clés. Ça, ça fait longtemps, puis je n'avais rien fait.
Speaker 1:À un moment donné, je me suis fâchée. J'ai dit là, mes clés, je les trouve, je les trouve, je les trouve. J'ai fait une commande à l'univers. Le lendemain, je m'en vais à un endroit, puis, il y a un ami à moi, qu'on faisait des ateliers ensemble. Il dit Louise, j'ai des clés, j'ai trouvé dans tel tiroir, c'est-tu à toi, je fais ben. Puis, c'était arrivé après ma commande, pas avant Ça, quand je me suis mise à jouer avec ça, quand on prend conscience de ça.
Speaker 2:C'est même pas un cours ou un livre à lire. Ce serait juste de se dire quand est-ce que j'ai pensé à mon conjoint ou à ma soeur, à ma cousine? puis ils m'appellent Nous, on a acheté un pick-up en l'espace de 12 heures parce que j'ai envoyé un courriel au mauvais endroit à la mauvaise personne, qui n'était pas la mauvaise personne ni le mauvais endroit. Puis là, il me dit ouais, c'est pour les trucs neufs. Je suis comme non, non, je veux usager. Il dit ah, j'ai rien, laissez-moi regarder, probablement qu'au moment où j'ai envoyé le courriel la veille, c' le pick-up qui est devenu le nôtre. C'est cette pulsion-là que je n'ai pas de preuve. Mais non, mais pourquoi j'ai envoyé ce courriel-là, à ce moment-là, à cette personne-là par erreur, entre guillemets. Non, c'est que c'était probablement ça qu'il fallait que je fasse pour obtenir ce que je voulais. C'est de la télépathie, ah oui.
Speaker 1:Mais on ne peut pas le prouver scientifiquement. Mais sauf que tu sais, avant que les choses soient prouvées, si on s'assoit sur notre steak et qu'on attend, ça ne marche pas. Moi, je suis une essayeuse. J'ai regardé tes podcasts. j'ai trouvé des affaires merveilleuses dans tes trucs, j'ai essayé des choses. Puis là, j'ai dit une affaire de plus, un affaire de plus. Écoute, il y a vraiment des pépites d'or partout. maintenant, c'est incroyable tout ce qui existe aujourd'hui. Moi, je regarde comment j'ai défriché le chemin.
Speaker 1:Je me suis fait juger rire de moi. J'ai tellement de gens qui ont ri de moi. Il y en a des gens qui ont cru mais à un moment donné, t'en parles plus là aussi, parce que Ou tu le passes en joke, puis le monde, il dit ah, ça, c'est elle. Moi, je le sais que ça marche, l'histoire de la télépathie. C'est sûr que j'irais pas mes services aux agences secrets, mais il reste que, des fois, je me dis, si les gens pouvaient savoir ça, bien, ils pourraient rentrer à l'intérieur d'eux puis imaginer, par exemple, qu'ils parlent à telle personne ou ils cherchent leur chien, ils envoient des messages intérieurement au lieu de se stresser, puis ce calme-là, ça prend ce calme-là pour le faire à l'intérieur de soi, puis ça voyage. C'est comme Internet, ça voyage. J'ai vraiment essayé, plein de choses.
Speaker 2:Puis, tu sais, t'es rendue. puis je le répète plein de fois, parce que je trouve ça juste tellement incroyable de voir ton énergie, ta vitalité, ton désir d'apprendre, d'avoir d'autres connaissances ou d'accéder à encore plus de toi. Tu fais encore des sessions en énergie, Tu peux donner des formations en plein air de la connexion à soi. Tu n'arrêtes pas encore. Tu as juste envie de poursuivre, parce que tu as l'énergie pour le faire, parce que tu sais c'est, C'est éternel.
Speaker 1:On est en cheminement éternel. Moi, je suis Les gens, ils ne savent pas, mais on est des êtres de lumière incarnés dans un corps. Puis, on est venus vivre une expérience terrestre, Oui. Puis on est venus se déployer dans le monde. Puis, je vais vous donner un symbole que tout le monde connaît et que bien du monde ne croit pas à ça Le Christ, il y avait une croix Dans le corps. On est une croix, On est connecté Conscience, cerveau, cœur, corps. Et on est venu se déployer dans le monde. Ça me donne un frisson, C'est ça la symbolique du Christ. Puis, il l'a dit faites ceci en mémoire de moi. On a toute cette fibre christique-là dans nous. C'est l'amour universel. Puis, les autres maîtres ascensionnés, il y en a plusieurs, mais par exemple, Bouddha est venu nous enseigner la paix. Bouddha est présent avec le message de la paix. Le Christ, c'est le message de l'amour, C'est comme un déploiement.
Speaker 2:Quand tu le dis, tu rouvres les bras tu avances dans le monde.
Speaker 1:C'est ça s'épanouir, se déployer, aligner conscience, tête, cerveau, cœur, corps. On est venu s'incarner dans un corps, pas s'asseoir sur Internet et checker tout le temps la vie virtuelle. Il faut vivre ta vie dans le corps.
Speaker 2:Tu es encore en camping, tu es encore en plein air, tu es encore dehors.
Speaker 1:J'ai mon chien dans l'auto en ce moment. Tu aurais dû le rentrer. Non, parce qu' Elle est grosse. T'aurais pas aimé ça. Elle est habituée. On va marcher. Un matin, je suis allée faire une heure et demie de marche Avec mon fils. Le frisbee, C'est ça, la vie. La vie, c'est ça.
Speaker 2:Louise t'incarne divinement la vie. Merci tellement d'être passée au podcast, merci d'avoir partagé ta vie et merci infiniment de ne jamais avoir diminué ta lumière pour impacter le monde. Merci, c'est très gentil. Ça a été un grand, grand, grand plaisir d'avoir cette joyeuse conversation-là avec toi. Si jamais vous avez envie de découvrir Louise, de connecter avec elle, qui sait, vous allez peut-être vous retrouver en camping ou à faire un atelier de plein air et on sera peut-être plusieurs à vouloir bénéficier de la lumière de Louise. Toutes les façons de connecter avec elle sont dans la description du podcast, que ce soit sur YouTube ou en audio, et ma prière préférée, c'est merci, la gratitude et encore plus de ceci, encore plus de rencontres avec des gens aussi exceptionnels comme toi.
Speaker 2:Merci tellement, Louise.
Speaker 1:Merci à toi, c'était vraiment un grand plaisir.
Speaker 2:Ah oui, et à vous tous, à la maison, en audio, en vidéo ou dans une autre dimension, je vous dis à tout bientôt.