Impacter le monde avec Karine Champagne

95. Rallumer ses rêves avec Lilianne Laplante

Karine Champagne

Tu peux directement me texter tes commentaires!

Dans cet épisode, Lilianne Laplante, coach et enseignante en PNL, partage sa vision d’un monde plus humain et plus lumineux. Avec émotion et authenticité, elle nous invite à reconnecter avec nos rêves, même les plus fous, et à rallumer cette flamme intérieure qui nous pousse à avancer. Découvrez comment des petits gestes quotidiens peuvent transformer votre vie et comment le simple fait de rêver peut impacter le monde.

Pour découvrir Lilianne davantage, c'est par ici:

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https://www.liliannelaplante.com/

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https://www.tiktok.com/@coach_lilianne

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3 bonnes raisons d'écouter cet épisode :
1. Découvrez comment raviver vos rêves, même si vous pensez les avoir perdus.
2. Laissez-vous inspirer par des histoires de résilience et de transformation.
3. Apprenez comment vos rêves peuvent impacter positivement votre vie et celle des autres.

💬 5 citations percutantes de Lilianne Laplante :
"Je rêve d’un monde où l’humain est plus humain."
"Rallumer la flamme, c’est juste se donner la permission de rêver à nouveau."
"Même les petits gestes peuvent impacter le monde."
"Et si c’était possible ? Juste poser la question ouvre des portes."
"Quand tu reconnectes à ton rêve, tu allumes une lumière en toi."

Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
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Pour explorer l'univers de la question:
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Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

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Speaker 1:

Je rêve d'un monde meilleur. Je rêve où l'humain. Ça me touche quand je dis ça, mais je rêve où l'humain est plus humain. Je rêve où l'humain est plus beau, où l'humain contribue au bien de son prochain, peu importe. Je rêve d'un monde de paix. Bien sûr, Ça me rend émue Parce que ça me fait quelque chose que ça ne soit pas là en ce moment. Puis, quand je vois des beaux humains, bien, ça me fait tripper. Puis, quand on partage, je me dis bien, ensemble, on peut impacter le monde. Allô, allô. Sous-titrage Société Radio-Canada sont en toi. Tu sais peut-être qu'en ce moment, tu dis j'en ai pas de rêve.

Speaker 2:

j'en ai plus. j'ai arrêté de rêver ça fait super longtemps. L'énergie déployée dans cette émission va certainement pouvoir te permettre de court-circuiter une pensée limitante qui va t'autoriser à rêver à nouveau. Lillian Laplante est coach, enseignante en PNL, et autre titre qu'on va peut-être découvrir aujourd'hui. Lillian, Hello, Karine, Es-tu prête à?

Speaker 1:

impacter le monde.

Speaker 2:

Oh, oui, oui, oui, mais ça OK alors, là, tu as le choix de répondre à une ou l'autre des deux questions. D'accord. Qu'est-ce que c'est pour toi impacter le monde, ou de quelle façon impactes-tu le monde en ce moment?

Speaker 1:

Je pense que les deux se répondent par une réponse semblable. Pour moi, impacter le monde, c'est dans mon quotidien, avec des petits gestes ou des plus grands. C'est d'allumer les lumières des gens, c'est de rallumer cette flamme-là qui est en nous, de sentir que je fais le bien sur Terre, que je rends le monde meilleur, peu importe mon geste, peu importe qui. Ça fait que c'est comme ça que je vois mon impact, autant dans mon travail que dans ma vie au quotidien.

Speaker 2:

Et tu accompagnes des gens en one-on-one, donc beaucoup de gens que tu vas voir à ton bureau, de toutes les sortes, toutes les couleurs de cheveux.

Speaker 1:

Toutes les couleurs de cheveux, tous les âges, trois ans à 88 ans. Oui, ma plus sage avait 88 dans ma carrière.

Speaker 2:

Est-ce que, à travers tous ces gens-là que tu as vus, de tous âges et de tous cheveux confondus, est-ce que l'absence de rêve est la chose qui t'a le plus marquée?

Speaker 1:

Oui, surtout, je te dirais, depuis la crise COVID, depuis la pandémie, c'est quelque chose que j'ai trouvé souffrant moi-même. C'était de voir que tout s'éteignait autour de nous, puis qu'on pouvait, on rêvait juste de voir ceux qu'on aime. Puis là, après ça c'est ce que j'ai vécu par la suite de voir les gens qui avaient plus de rêves, d'idéaux, de rêves, qui osaient plus. Puis là, j'ai commencé à redonner le devoir de OK. bien là, tu vas rêver À chaque jour où tu vas prendre 10 minutes, 1 minute. si c'est trop 10,. peu importe. tu vas à la toilette, tu gardes ta petite liste, tu fais des rêves, t'écris tout, tout, tout, même si c'est fou que tu te dis que ça n'a pas de bon sens. encore meilleur, vas-y, mais rallume la switch. Faut que tu rallumes le canal pour pouvoir accéder à plus grand. Cette mentalité-là, c'est surtout dans cette période On va parler d'un rêve qu'elle a réussi à réaliser, entre autres là-bas.

Speaker 2:

J'ai dit pourquoi on ne ferait pas, avec les gens d'Impact et le monde, la plus grande liste de rêves. C'est extraordinaire, ça, c'est une bonne idée. Donc, il y a un lien à quelque part qui va apparaître, ou vous allez juste rentrer votre courriel et écrire votre rêve. Ensuite, on va vous envoyer notre liste collective de rêves pour qu'on puisse peut-être en ajouter d'autres sur notre liste. C'est une bonne idée, ça.

Speaker 1:

Ah, j'adore, C'est un génie Complètement. Merci encore plus de ceci.

Speaker 2:

Mais on veut voir si on ne peut pas co-créer quelque chose ensemble aussi sur les rêves ensemble aussi sur les rêves. C'est là qu'on veut amener. Rêver, rêver, rêver. On va parler de ça. Ça me fait triper parce que je me souviens d'avoir entendu Sylvie Fréchette en conférence. Elle la faisait dessiner sur une médaillée olympique en âge synchronisé, elle amenait la médaille et faisait dessiner. Tout le monde leur own méda, rappelle. Elle disait souvent peu importe l'âge, pas de rêve?

Speaker 1:

Oui, aucune idée. Oui, je me rappelle d'une étudiante à l'université, c'était ça. Elle me disait mais Liliane, je n'ai pas de rêve. J'étais comme mais voyons donc, ça ne se peut pas. Il faut que tu te remettes à rêver.

Speaker 2:

Mais les dauphins, vous allez voir, c'est une histoire qui est extraordinaire. Quelle pourrait selon, pas nécessairement les grandes études scientifiques, mais selon ta perception, ce que tu as vu, quel est l'effet du rêve dans la vie des gens?

Speaker 1:

Je le vois vraiment encore une fois, comme allumer les lumières, comme clic, il fait clair, puis il fait la lumière, puis je le vois comme mettons que j'image ce que je ressens quand les gens le font, c'est comme s'il était connecté à un canal, puis que ça se ferme, comme on vieillit, puis on.

Speaker 1:

On recroqueville, on recroqueville sur nous-mêmes, alors qu'elle là, c'est comme de faire Wow, wow, et si c'était possible, et si ça se pouvait, et pourquoi pas, pas? Et puis là, en ce moment, il n'y a pas si longtemps, j'ai une cliente. Elle s'est séparée de divorce difficile avec les enfants. Repartir à zéro, tu le dis puis on rentre par en dedans. Puis là, je travaille avec elle, Puis là, écoute, elle m'envoie. elle a fait une bucket list, c'est comme l'inspiré du film.

Speaker 1:

Puis là, elle m'envoie à chaque rêve qu'elle réalise. Je ne reviens pas. Liliane, c'est vraiment comme un canal qui se rouvre. C'est de voir les gens qui s'illuminent aussi, la couleur de peau, le visage, peu importe l'âge. J'avais une personne, quand même d'un certain âge, retraitée Me semble que ma vie est un peu moche, un peu ennuyante. C'est une femme hyper active, impliquée. Elle dit j'aimerais ça, garder des bébés. Je lui dis pourquoi pas? Puis là, elle a fait les démarches, elle a eu un rendu bénévolat. Elle dit je suis tellement contente, je suis tellement heureuse, peu importe, c'est quoi.

Speaker 2:

C'est ça. Merci de cet exemple-là qui est super poignant. Ça n'a rien à voir avec prendre le petit déjeuner au sommet de la Tour Eiffel.

Speaker 1:

C'est ça, mais ce n'est pas obligé, ce n'est pas obligé. Il y en a qui se font un tatou parce que ça fait longtemps et ils n'ont jamais osé.

Speaker 2:

Garder des bébés, être bénévole, cuisiner pour la soupe populaire, contribuer De quelle façon puis-je contribuer? qui va me faire vibrer? C'est ça mon rêve. Qu'est-ce que si je m'autorisais à faire tout ce qui me passe par la tête, qu'est-ce que je ferais en premier ou en deuxième, ou en troisième Sur ta liste des choses à faire en rêve? Oh my God, il avait communiqué avec les dauphins.

Speaker 1:

Mais écoute, c'était pas là après ma barre, c'est qu'il y a une place où j'ai été la première fois à Cuba. Puis, quand j'ai été là, j'ai eu comme une vision. Là, j'ai dit Ah, ici, je vais voir une grosse tortue, puis je vais voir des dauphins. Puis j'ai vu ma tortue, tu sais, j'ai vu une grosse tortue. Je suis partie à courir aller nager avec la tortue, puis, après, j'ai vu les dauphins, mais du rivage, tu sais, à voir les dauphins, puis là, j'étais comme non non non, non, je vais les voir, je vais emmener mon paddleboard.

Speaker 1:

Ça va être le lever de soleil, puis là ils vont arriver, chacun ses tripes dans la vie. Oui, il y en a qui veulent gagner une million. Moi, c'était mon mignon, c'était ça Et même plus. Bref, ça continue. Là, je retourne à cette place-là, j'amène mon père d'aujourd'hui. Mais est-ce?

Speaker 2:

que c'est dans la même semaine ou c'est genre un an après.

Speaker 1:

C'est parce qu'en plus, il faut savoir que cette année-là, j'ai eu l'hystérectomie que j'ai demandé, j'ai supplié d'avoir. Ça faisait 10 ans que j'ai demandé, mais là, parce que moi, je souffrais comme ça n'a pas de bon sens. Ça faisait 35 ans et je n'ai pas eu la chance d'avoir d'enfant alors que j'en voulais. Bref, j'avais plusieurs problèmes. Puis, pour moi, la grande opération qu'il appelle, pour moi, c'était la grande libération.

Speaker 1:

Parce que toute ma vie, j'avais fait ma vie en fonction de ça. Alors que là, je me suis dit je peux voyager quand je veux, comme je veux, Je suis tellement. C'était la première fois que j'allais en voyage.

Speaker 2:

Ton premier grand rêve, c'est enlever moins l'utérus.

Speaker 1:

Oh oui, quoique, j'aurais tellement aimé que ce soit autre chose.

Speaker 2:

Oui, absolument Juste pour te libérer, pour me libérer.

Speaker 1:

J'ai vraiment supplié le médecin. On sait comment peut être l'univers, comment peut être généreux l'univers Au moment qu'on demande quelque chose. Il peut conspirer à ce que ça se passe. Ça s'est passé très, très rapidement, pas facilement, mais rapidement. Donc là, je suis retournée un mois après avec mon père, d'au Pas vu mes dauphins, mais avec la conviction ça va se passer, conviction profonde, bref. J'ai retourné. Des fois, je n'ai pas pu sortir, bon bref, mais je m'en souviens très bien, c'était au mois d'octobre 2023. Donc, je parlais avec maman au téléphone, le matin. On est très tôt, nous autres, à se jaser Comment ça va, ok, bonne journée. Puis là, je dis oh, maman, j'ai la bouche toute sèche. J'ai l'impression, je pense des fois avec les dauphins, c'est là, elle était comme OK, tu m'appelleras après. Moi, je suis partie avec mon padeau. Là, je vois au loin, je vois comme un ombrage, je suis comme c'est un être humain. Puis, là, ça avait. Je suis comme oh, my God, c'est mon rendez-vous. Je te reparle, j'ai encore des frissons. Je te dis que j'ai bagayé. C'était le dauphin, il y a un moment donné. Il y était huit autour de moi pendant une heure de temps à jouer. Moi, j'étais juste comme ça, mon Dieu merci, je pleurais, j'avais des frissons. J'ai eu des frissons pendant des heures après, puis j'arrêtais de pleurer. Oh mon Dieu, pendant une heure de temps, j'avais les huit qui jouaient au tour. Ils sont vraiment curieux, ils sont vraiment en tout cas fascinants. Wow, Je suis revenue parce que c'est comme s'ils se sont mis ensemble et ils m'ont dit au revoir. La sensation que j'ai eue, c'est comme à bientôt, on va se revoir. C'est ça que ça me faisait, moi, à l'intérieur, je faisais moins à l'intérieur, fait que je reviens. Puis là, écoute, je sais juste que si je ne touche pas à terre, je suis survoltée.

Speaker 1:

Puis là, il y avait des gens, parce que moi, je me retrouve toujours à parler à tout le monde. Je parle anglais, français, espagnol. Fait que tu sais autant les Cubains, tu sais Comment, liliane, tu étais avec les dauphins. Puis qu'il me voyait, il m'appelait la sirène, Parce que j'étais toujours là tôt le matin. Je pars avec mon père, je vais nager, je vais marcher. Puis là, il m'appelait la sirène qui danse avec les dauphins, parce qu'ils m'ont vue. Tu sais, au loin, il y avait un homme, il était en couple. Puis là, il descend. C'était tellement beau, c'était tellement beau. Puis là, sa blonde a dit Arrête pas de pleurer, c'est tellement beau. Puis, moi, j'étais comme Oh my God, oui, c'est tellement beau, fait que là, je me suis dit Je serais, je vais aller revoir. Je me suis dit Je serais, je vais aller revoir, mais au mois de mars. Encore une fois, j'ai l'impression que c'est là, c'est comme, j'ai une date, j'ai un rendez-vous, oui avec les dauphins.

Speaker 2:

Tu sens presque les dauphins t'appeler. Oui, mais je rêve à eux quand je suis ici C'est un peu intense.

Speaker 1:

C'est beau. Puis là, je pars. Puis là, ils arrivent. C'est les mêmes. Je suis pas mal sûre, parce qu'il y en a un, il a l'aileron abîmé, puis c'était la même chose. Fait que là, encore une fois. Mais là, entre le mois d'octobre et le mois de mars, j'ai appris comment communiquer avec les dauphins, quoi faire. Puis, tout ça Fait que je regardais des vidéos sur YouTube. Fait que là, j'applaudissais, je tapais sur ma planche, je chantais, il tournait, il me faisait des sauts. J'étais comme wow. Puis là, en octobre 2024, je repars avec ma planche. J'avais un bon temps pour faire du paddou, moi toujours le laver de soleil, toujours au même moment. Puis là, mon ami qui est là, au fil du temps, on est venus casse-canin. Puis là, il dit Ah, j'aurais tellement aimé ça que tu les vois, liliane. Je dis Ah, non, c'est demain notre rendez-vous. Je suis pas mal sûre. Puis, tout le monde me regarde quand je parle de cette histoire-là, genre, ouais.

Speaker 2:

Puis c'est ça Fait que le lendemain.

Speaker 1:

J'y vais le matin, je ne les ai pas vus. Je vais manger, je reviens. C'est comme Moi. Je ne suis pas à court avec ma planche. Je me retrouve encore une fois avec eux autres. Encore une bonne heure à jouer. Il y avait de la vague. J'avais fait mon heure le matin. Je tremblais Encore une fois. C'est comme s'ils se mettent ensemble, ils partent À la prochaine.

Speaker 2:

Wow, tellement beau. Il y a plein de choses hyper intéressantes dans ce que tu as partagé. Un, il y a l'enthousiasme et la conviction que ça va se produire. Puis, à la limite, tu ne les aurais pas vus, tu n'aurais pas été triste. Non, c'est garder ça. Dans le fond, il y a des rêves qu'on va réaliser et il y a des rêves qui vont nous faire cheminer.

Speaker 1:

Oui, comme ils disent, viser la lune, vous atteignerez certainement une étoile. Exact, c'est vrai.

Speaker 2:

Il y a ça, il y a aussi le désir d'apprendre à communiquer avec les dauphins. C'est vraiment super intéressant. C'est comment puis-je garder mon en vie, même quand il est hors de portée en ce?

Speaker 1:

moment, Malgré ce que les gens disent. les gens étaient comme. Je me rappelle d'avoir un ami à mon père à l'aéroport avant d'y aller, en octobre 2023. Puis là, il dit t'en vas tout seul, tu seras en voyage à Cuba. Moi, j'aime tellement ça.

Speaker 1:

Je m'en vais avec mon père, je m'en vais voir mes dauphins. Il est comme Really, elle n'est pas bien. Quand je suis revenue, je dis à mon pote C'est lui que j'ai vu mes dauphins. Cette fois-ci, c'était cute aussi parce que la petite, je suis marraine. Je n'ai pas d'enfant, mais je suis marraine, je suis fière. Puis la petite pour ma fête, j'ai montré mes vidéos, j'ai réussi à les filmer. En plus, j'ai montré la petite. Elle m'a fait pour ma fête, mon dessin de fête. Elle m'a dessiné sur mon paddle avec quatre dauphins. Ça, c'était en septembre. Quand je les ai vus, en octobre, elle m'a dit Ma reine, as-tu vu tes dauphins quatre, je dis la prochaine fois, tu me dessines avec vingt autour Qui te supportent, qui te soulèvent avec ta planche, qui te sautent autour T'es comme oh oui, ma reine oh oui, tu sais.

Speaker 2:

puis, je ne sais pas, vous à la maison, qui écoutez cette conversation-là en ce moment, quel effet ça a sur vous d'entendre un rêve. Tu en parles avec émerveillement, tu en parles avec pétillement. Ça crée quelque chose à l'intérieur de nous. Puis, on se dit comme Ah, ou bien, moi aussi je veux voir des dauphins. Je ne l'ai jamais mis sur ma bucket list des voir, naturellement, parce qu'on peut payer pour en voir à Cuba.

Speaker 1:

On peut en payer on peut payer.

Speaker 2:

On l'a fait, fred et moi. qu'est-ce que ça prendrait, ou où puis-je aller pour, justement, avoir cette special encounter? cette rencontre du troisième type que je pourrais avoir avec n'importe quel animal. Wow, quoi d'autre que tu entretiens en ce moment comme rêve?

Speaker 1:

Oh, celui-là, il m'habite beaucoup. Attends un peu, je vais bien starter dans cela. C'est sûr que je rêve par rapport à. J'ai des rêves par rapport à l'humain sur la planète.

Speaker 1:

Je rêve d'un monde meilleur. Je rêve où l'humain. Ça me touche quand je dis ça, mais je rêve où l'humain est plus humain. Je rêve où l'humain est plus beau, où l'humain contribue au bien de son prochain, peu importe. Je rêve d'un monde de paix. Bien sûr, ça me rend émue Parce que ça me fait quelque chose que ça ne soit pas là en ce moment. Puis, quand je vois des beaux humains, ça me fait tripper. Puis, quand on partage, je me dis ensemble, on peut impacter le monde.

Speaker 1:

On peut allumer les lumières, puis faire de ce monde, parce que l'humain, il peut tellement être beau.

Speaker 2:

Tu les vois, les humains devant toi. Tu les accompagnes depuis 25 ans, c'est une mission de vie d'accompagner l'humain. Clairement clairement oui, qu'est-ce qui a été peut-être l'accompagnement ou les accompagnements qui t'ont le plus soulevé humainement? Quel type de transformation?

Speaker 1:

Il y en a tellement.

Speaker 2:

Avec quel type de clientèle tu travailles essentiellement ou tu as travaillé au cours des 25 dernières années.

Speaker 1:

Il y en a beaucoup En fait. Je travaille avec des enfants, des ados, des adultes de tous les âges. Je travaille en gestion de carrière, donc des gens qui trouvent leur carrière ou qui trouvent un emploi dans lequel ils sont bien Les liens. Je suis tellement sur mon X, merci. Des gens qui transitionnent aussi en carrière, qui partent d'une job, qui s'en vont à une autre parce que ça ne correspond plus Des gens qui se lancent en affaires et qui sont tellement heureux, ou des jeunes qui trouvent leur chemin.

Speaker 1:

C'est beau. Moi, je trouve ça beau de travailler avec les jeunes. On a des beaux jeunes. Il y a cette clientèle-là. Je travaille en psychoéducation, donc je raccompagne les enfants aussi, les parents avec leurs enfants. Je trouve ça toujours le fun. Quand Kim dit en novembre, cette semaine, tu fais de la magie, je ne comprends pas que ça a changé si vite. Ensemble, on peut faire bien des choses et de la magie. Puis des adultes qui sont dans un bout de leur vie difficile, c'est comme qu'est-ce qui est typique à chacun de mes clients. En fait. C'est ça, c'est une transition, c'est un défi, un challenge. Tu sais bon, un arrêt de travail, il y a un moment, tu rencontres un mur, dans un carrefour de vie, puis là, tu as besoin d'un coup de main, tu as besoin de Moi. Je dis des fois accroche-toi, accroche-toi, tu vas y arriver. Je t'aide à te swigner. Je suis comme, c'est ça. Ma mission, en fait, c'est d'être la portière ou d'amener.

Speaker 2:

Tu dis swigner. Puis pour moi, le type, entre autres, quand j'étais journaliste, puis ma façon de voir l'accompagnement que je faisais avec les jeunes journalistes, ou en entrevue, ou peu importe. C'est comme si je te pogne par le fond de culotte puis je te fais passer par-dessus la rivière, mais il faut que tu swingues, toi aussi, je peux pas te soulever Un, deux, trois.

Speaker 1:

Zwing, ça ressemble à ça.

Speaker 2:

Ça ressemble à ça, oui c'est vraiment ça, Tu sais, par rapport au fait que tu dises avec émotion et avec raison l'humain pourrait être tellement plus beau, L'humain est bon, profondément bon. De base, tout le monde est bon. Est-ce que ça peut avoir un lien avec l'absence de rêve?

Speaker 1:

Moi, je crois que oui, moi, je crois que oui, moi, je ne sais pas scientifiquement.

Speaker 2:

Non, non, non.

Speaker 1:

Mais moi, je crois que oui, tant que cette lumière-là n'est pas allumée entre nous, on a le goût de réaliser des choses, puis que ça nous fait vivre, on ne pense pas faire du mal à quelqu'un d'autre. Quand tu penses à te réaliser Après, ce n'est pas juste rêver, c'est que tu as le goût que ça se produise, tu vas mettre des choses en place. C'est tellement drôle de voir. Je fais un parallèle avec l'histoire des dauphins. Il y avait une gang, je rencontre toujours, plein de monde. C'était vraiment drôle. Cette fois-là, au mois d'octobre, la première fois que je les ai vus, ils disent Bon, liliane, jaser, de mon cas, là, ça te coûte trop cher à amener ton paddle, tu devrais laisser ton paddle aussi. Je suis comme bien merci, merci de penser à moi comme ça. Mais c'est de voir que tous les gens. Puis, la dernière fois, il y en avait un jardinier qui disait aux autres il faudrait trouver le moyen qu'elle amène des poissons pour nourrir les dauphins.

Speaker 2:

Ils vont venir.

Speaker 1:

C'est tellement drôle.

Speaker 2:

Tout le monde conspirait pour t'aider à réaliser ton rêve encore plus.

Speaker 1:

Quand tu es dans cette vision-là, peu importe c'est quoi, mais tu es dans une démarche, tu es concentré sur ta vie. Quand tu es focus, tu ne penses pas à d'autres choses, tu es dans ton truc à toi.

Speaker 2:

Tu sais quoi? Il y a des gens, on ne connaît pas encore ton histoire. On va peut-être juste ouvrir une petite porte. Il y a des gens qui vont peut-être écouter ça et en dire OK. Mais tu sais, liliane est toute belle blondinette, les yeux bleus et pétillantes en rose. Facile pour elle rêver. Moi, quand j'étais jeune, j'ai pas eu l'occasion. Il y a eu de la violence et tout. T'arrives d'un milieu où, à un plus facile Et indépendamment de ce qui a pu se produire, t'as renoué à un moment donné où tu ne l'as jamais abandonné. Cette envie de rêver Fait qu'à la base, tu t'es questionnée sur comment je peux voir ceci autrement, parce qu'il est arrivé un moment où, au niveau de la famille, ça va moins bien. Il y a aussi un drame qui se produit dans ta famille.

Speaker 1:

Oui, ou au niveau de la famille, ça va moins bien.

Speaker 1:

Il y a aussi un drame qui se produit dans ta famille. Oui, en fait, il y en a plusieurs qui se sont produits. Mais je dirais marquant, c'est que moi, j'ai perdu mon petit frère. Il est mort dans mes bras quand j'avais six ans. Puis, c'est sûr que ça transforme tout le monde autour, puis moi. La première, c'est l'âge de la culpabilité et que tu penses que c'est de ta faute, mais en même temps, ça a ouvert en moi un monde, une connexion à l'invisible. Je te dirais Puis, peut-être que ça m'aide à garder cet enthousiasme-là, puis, enthousiasme dans le sens étymologique du terme, enthousiasme qui est, comme en Dieu entheos, comme en Dieu enteos, de transporter. Ça fait beau. Oui, c'est tellement un beau moment, c'est tellement beau, peut-être, que ça m'a aidée d'avoir cette ouverture-là sur une autre dimension. Malgré ça, c'était vraiment difficile. J'ai pas mal eu d'agressions dans ma vie, de toutes sortes, que ce soit être battue, violée, pas mal de choses.

Speaker 1:

Puis des moments de découragement où la vie, je me demande bien, j'ai beau faire du bien à mon prochain, je me dis que c'est que j'ai fait pour prêter ça. Puis, très jeune, je veux dire, dans ce temps-là, c'était un autre temps. Puis, tu sais, très jeune, je veux dire dans ce temps-là, c'était un autre temps, en 91, 92,. Je me rappelle d'aller dans des ateliers de croissance personnelle j'en sais 17 ans, à Montréal, des fins de semaine. Il n'y a personne qui faisait ça. Mais chercher du sens, parce que moi, je cherchais un sens, je me disais ça ne se peut pas, ça ne se peut pas de vivre tout ça, je m'en vais avec ça. J'avais la chance d'être intelligente. L'école, c'était facile pour moi, les profs m'aimaient bien parce qu'en plus, je suis drôle et je suis brillante. C'était comme on va dire, qu'à travers l'épreuve, c'était ma chance.

Speaker 2:

C'était un ancrage, c'était La chance, oui, la chance à ma malchance.

Speaker 1:

on peut dire Puis, malgré toutes ces épreuves-là, tu sais, puis des périodes de grand découragement aussi, il y a des périodes qui faisaient noir dans ma vie, que je me demandais bien en relation avec un pervers narcissique, ou tu sais des choses où tu te dis voyons si je m'en vais avec tout ça. Mais tu sais, comme Tony Robbins, qui est un de mes mentors depuis l'an 2000, c'était mon bug de l'an 2000. Il dit What if life is happening to?

Speaker 2:

you. For you and not to you. Exact, ça se passe pour toi et non contre toi, et c'est ça.

Speaker 1:

Puis, moi, ça fait comme OK, et si c'est pour moi cette épreuve-là, puis c'est la base du livre que je suis en train d'écrire. C'est justement, tu sais, c'est l'alchimie de l'épreuve en levier. Tu sais, comme tu as une épreuve, mais OK, et si ça devient un levier pour autre chose, et si c'était pour me renforcer, pour me rendre encore plus forte, puis, c'est pas, je vais montrer aux autres. Quoi que ce soit, c'est moi De sentir ma petite lumière, mon pétillement intérieur, comme a dit Christine Michaud, quelque chose semblable mon pétillement, ma lumière. Je me rappelle d'avoir des moments où je ne la sentais plus. Ma mère m'a dit tu es presque morte, on dirait. Moi, je suis toujours. Il faut l'énergie, mais ma nature, je ne l'avais plus. Quand c'est revenu, j'ai dit oh my God, oh my God, ça revient, ça revient. J'ai rallumé le feu Tous les jours. C'était un travail tous les jours de dire OK, que ça va revenir, que la lumière va se rallumer encore une fois.

Speaker 2:

Ça revient, Si jamais vous nous écoutez et vous êtes dans un moment où cette énergie-là peut-être vous décoiffe un peu, vous dites je suis tellement pas là, je suis à des kilomètres. S'il y a une chose que vous pouviez retenir de la session aujourd'hui ensemble, c'est ça revient. Oui, mais pour que ça revienne, liliane, il doit y avoir une petite affaire à changer.

Speaker 1:

Oui, bien, deux fois plus qu'une petite. Oui, je voulais commencer doucement, mais des petites. Moi, je vais vraiment pour les petits changements qui ont des grands impacts. Moi, j'aime vraiment ça des petits gestes au quotidien qui ont un impact.

Speaker 2:

Par quoi on pourrait commencer? Si la personne qui nous écoute en ce moment a peut-être un rêve, un petit rêve ou quelque chose qu'elle n'ose même pas appeler un rêve, puis on voudrait réactiver ça si c'était notre mission du podcast aujourd'hui.

Speaker 1:

Je dirais, comme un animal ou une plante, de le nourrir à chaque jour. Faire de la place, De donner quelques minutes pour y penser. Ça met dedans Sentir quelques minutes pour y penser, Ça met dedans sentir comment on va se sentir quand on va le réaliser. Voir ce qu'on va voir entendre Les cinq sens ils sont hyper importants.

Speaker 2:

Cette nuit, c'est ça que je lisais à 4h du matin. L'importance pour la manifestation d'ajouter tous nos sens.

Speaker 1:

Oui, vraiment, c'est toute ta neurologie. En fait, moi, c'est une de mes passions, les neurosciences. Puis c'est ça, c'est d'être dedans Ton cerveau. C'est comme si tu étais là, fait que d'y faire de la place tranquillement, puis de te dire Et si c'était possible, faut, juste comme ah, et si, et pourquoi pas? Comme toi, tu fais les questions, juste comme doucement.

Speaker 1:

Ouvrir la porte, faire de la place à ce que ça puisse être là. Quand on sent qu'on est connecté à ce rêve-là, à ce désir-là, on peut se donner un petit geste à faire en direction de ça, faire un plan de match. Il y a différentes étapes, tout dépendant, c'est quoi, puis, d'agir à chaque jour dans cette Oui.

Speaker 2:

Ça peut être d'écrire, ça peut être de découper.

Speaker 1:

Oui, se mettre des images. Se mettre des images Des jeunes boards.

Speaker 2:

Tout ce qui vous passe par la tête pour maintenir ce rêve Le nourrir, le nourrir, le nourrir. Est-ce que tu fais la visualisation? Quoi d'autre on?

Speaker 1:

peut faire La méditation, moi, j'ai ma routine du matin.

Speaker 2:

C'est vrai, ta routine du matin. Ça ressemble à quoi.

Speaker 1:

Je nourris mon chat, puis je donne son injection d'insuline parce qu'il est d'habitique, Mais par la suite, vraiment, je me mets dans mon spot de méditation, J'ai mon lieu de Là. Ça va dépendre, mais souvent je vais passer par l'écriture, la visualisation, la méditation, les affirmations, la lecture, Tout dépendant dans l'ordre des ordres. Je n'aime pas trop être restreinte, pas trop rigide.

Speaker 1:

Après, je fais quelque chose, je m'entraîne, je vais marcher dehors, je fais quelque chose dans mon corps pour m'activer, tout, tout, tout. Puis après ça, on est parti, mon kiki, on laisse les choses arriver.

Speaker 2:

Puis, tu sais, quand tu as dit la notion de et si, fait, que mettons, on peut dire je ne sais pas, je veux perdre du poids, je veux perdre du poids, je veux perdre du poids, ou je perds du poids, je perds du poids, je perds du poids, des fois, il y a comme un peu de colère, ou il y a le mental qui embarque, il y a comme une résistance. Ça ne se peut pas, parce que ça fait X années que je pèse toujours la même chose. Je dis n'importe quoi. Je prends juste un exemple pour hasard. Puis, là, il n'y a comme pas la pression quand on met le petit, et si C'est juste impossible.

Speaker 1:

C'est juste impossible. On fait juste ouvrir Comme un enfant. Moi, je me rappelle avoir tellement cru au Père Noël, c'était quelque chose. On était pauvres chez nous, mais, oh my God, ma liste au Père Noël. Le Père Noël, il existe, c'était quelque chose. Je recevais des feuilles blanches, des crayons colorés. J'étais tellement heureuse. Le Père Noël, il existe. Je me rappelle l'avoir vu à deux ans Comme de l'extension, quand j'ai appris qu'il n'existait pas, selon les gens de la quatrième année à.

Speaker 1:

Saint-Philippe dans cette année-là, je ne sais pas. Mon frère lui disait en tout cas, à Saint-Philippe, le Père Noël, il existe Lui il est destiné qu'il existait. Mais c'est un peu comme l'enfant qui est dans cette énergie-là, il ne se pose pas trop de questions, il n'est pas dans le mental.

Speaker 2:

Et si c'était possible, et si c'était possible. Le rationnel, il ne peut pas embarquer, il ne peut pas t'encourcircuiter. Le mental, le jugement, embarque beaucoup moins si on utilise le et si Oui, parce qu'on ouvre une porte.

Speaker 1:

Oui. Puis, des fois, tu ne sais pas du tout ce que la vie te réserve. Il y a des belles surprises.

Speaker 2:

Donc à travers le processus du rêve, est-ce que tu dirais que le lâcher prise est aussi présent, une clé importante la douce innocence, juste laisser aller, juste comme on va prendre douce innocence et le lâcher prise.

Speaker 2:

si on y allait, qu'est-ce que ça veut dire pour toi, le lâcher prise? juste parce que des fois, on le dit ah ouais, lâche prise, lâche prise y allait. qu'est-ce que ça veut dire pour toi, le lâcher prise, juste parce que des fois, on le dit Ah oui, lâche prise, lâche prise Iliane. Oui, oui, karine, lâche prise toi aussi. Ça veut dire quoi, ça lâcher prise Dans tes mots et dans ton univers.

Speaker 1:

Moi, je passe beaucoup par mon corps pour tout. Je me rappelle quand j'ai fait du parachute en tandem, je ne me rappelle pas en quelle année, ça fait un bon bout de temps. Mais là, il te prépare, il faut que tu fasses… Voyons, c'est un… Il y a un micro trop haut. C'est compliqué. Je suis toute énervée. Là, il te prépare, il te dit que tu vas te mettre sur les genoux Quand ça passe ça part. Bon, quand ça passe ça part, on monte en avion. J'étais avec ma chum, à ce moment-là, je suis attachée à un beau grand gars en arrière de moi. Il disait toi, tu as l'air pas mal téméraire, tu as l'air pas mal game. On va faire ça autrement. Je suis comme non, non, non. Il dit on va se mettre par en arrière. Je suis comme non, non, non, je te vois là. Puis, tu sais, je t'ai attachée. Après, je suis comme moi je pense que j'ai pas bien le choix Fait que là, il est comme ça dans la porte. Tu sais, lui, il est en arrière. Je sais pas si tu le vois l'image.

Speaker 1:

Là, il niaise avec les gars. Je suis dans le vide.

Speaker 2:

Toi, tu es dans le vide.

Speaker 1:

lui, il se tient On est comme ça dans le pot. C'est moi qui est là et lui, il fait des jokes. Je suis comme ah oui, consomme Là, on part. Ça implique qu'on fait trois tours par en arrière avant de se stabiliser. Il te donne un cours avant théorique de dire comment te placer.

Speaker 2:

Il ne tente pas de faire des pirouettes par en arrière.

Speaker 1:

Non, mais juste comment se placer? Fait que là. Moi, c'est là que j'ai dit ah, c'est ça, le lâcher prise, J'arrive.

Speaker 2:

Oui, oui, c'est ça. Je voulais vous rappeler le contexte du lâcher prise.

Speaker 1:

Oui, oui j'ai pas oublié Fait que là, genre là, j'étais toute serrée comme ça, là, c'avais mal dans les épaules. Je suis comme OK, attends un peu. J'ai retrouvé mon équilibre. C'est là que j'ai dit ah, c'est ça le lâcher-prise, Ça, c'est le contrôle, mais le lâcher-prise, il y a quand même une notion d'équilibre. Dans le lâcher-prise, il y a juste trouver son équilibre, se laisser aller.

Speaker 2:

Quand on rêve il y a un lâcher-prise. Oui, parce qu'on peut rêver, je veux ça, ça, ça mais on est dans le contrôle, puis on ne peut pas laisser nécessairement l'univers contribuer.

Speaker 1:

Non, Oui, c'est ça. Puis la vie qui nous emmène. C'est surprise, on peut comme l'histoire du singe avec la banane. Tu n Comme l'histoire du singe avec la banane.

Speaker 2:

Tu n'as jamais entendu.

Speaker 1:

Ben, attends, vas-y Là je n'ai pas d'image en tête. Le singe. il tient une banane, mais il a la main prise. Tu n'as jamais entendu. Non, Il tient sa banane, il a la main prise. Pour sortir, il faut qu'il lâche la banane. Là, il y a un buffet de bananes là-bas. Il essaie d'aller, mais il faut qu'il lâche sa banane Pour avoir le buffet Le buffet, OK, Il ne perd pas Lui.

Speaker 2:

Il a la perception qu'il perd.

Speaker 1:

Oui, c'est ça J'aime cette image.

Speaker 2:

Oui, hein, J'aime cette image-là. Claude, le mot que tu bienveillance, puis l'innocence. Je n'y arrivais pas. Une douce innocence, Qu'est-ce que ça voudrait dire, ça pour réaliser ses rêves? La douce innocence?

Speaker 1:

Je vois vraiment l'enfant, tu sais, qui est comme dans Quand il voit la fée, le Père Noël, peu importe, juste le Comment, c'est beau, je ne sais pas comment le décrire. C'est juste comme le, c'est tellement beau. Je vois la petite dans le temps de la COVID. C'était très strict, on ne pouvait pas se toucher. En tout cas, je la balançais sur un suçon. Elle était à côté et me regardait. Je m'ennuyais tellement de te prendre dans mes bras. Puis là, elle était comme oh, moi aussi, ma reine, moi aussi, j'ai dit quand on va avoir le droit, je vais te prendre, je vais te défoirer, je vais passer la journée comme ça avec toi. Puis là, elle était comme oh, ma reine, c'est tellement, tu sais ça, là, ça, je ne sais pas comment le décrire autrement. Tu sais que ça, c'est tellement beau.

Speaker 2:

Oui, comment vous vous sentez quand vous entendez ce type de conversation-là. Tu sais, c'est doux, c'est lumineux, c'est pétillant, ça provoque quelque chose à l'intérieur, c'est comme réconfortant en même temps. Puis là, je dis tous les mots qui me passent par la tête, liliane, j'aimerais vraiment que vous, qui nous écoutiez aussi, puissiez peut-être nous partager la sensation. On dirait que cet enthousiasme-là que tu nous démontres, que tu incarnes tellement bien cette joie d'enfant, on se coupe de ça à un moment donné, on divorce de cette partie-là littéralement, malheureusement, avec les toutous, puis le if-bo, puis c'est donc bien sérieux.

Speaker 1:

La vie, trop payer ses comptes.

Speaker 2:

Et si c'était possible d'avoir aussi cet enthousiasme-là, même en payant nos comptes, avec toutes ses responsabilités.

Speaker 1:

Avec toutes ses responsabilités.

Speaker 2:

Même la pire des tâches peut être amusante En tout cas, et pourquoi pas?

Speaker 1:

Légère Hein, ouais, absolument. Mais pourquoi pas? Ah, ouais, et si, et si c'était léger Hein, karine, et si c'était léger Tu sais, des fois, ça ne me tente pas de ramasser les choses ou de faire.

Speaker 2:

Je ne sais pas laver la vaisselle. J'aime beaucoup Byron Cathy qui disait Et si c'était à toi de faire la vaisselle, comment je peux faire la vaisselle sans résistance? C'est juste un exemple. Ça pourrait être n'importe quoi Voir un parent malade aller à l'hôpital accompagner quelqu'un en fin de vie. De quelle façon je pourrais le faire avec encore plus de légèreté?

Speaker 1:

Oui. Puis, moi, ce que j'ai remarqué, c'est quand on est dans ce mouvement-là, c'est vraiment surprenant de voir que les choses changent sans que tu aies forcé quoi que ce soit Exact, c'est comme des relations. Tu sais, j'ai plein d'exemples en tête de ma propre vie de voir comme, puis, quand je c'est comme assez drôle que ça se soit passé comme ça. Puis, j'ai dit ça vient de toi. Je pense à la base, Toi, tu as changé quelque chose en toi. Puis là, tout douce, tout bonnement, l'extérieur change aussi.

Speaker 2:

Oui, Des fois, c'est un peu OK. Je vais employer le mot frustrant. Ce n'est pas nécessairement le bon mot, mais c'est lui qui vient. C'est un se rendre dans le sens où t'investis, tu vas peut-être en thérapie, tu prends du coaching, tu fais les sessions. Tu t'investis, tu fais le travail, t'écris, tu lis. Sais-tu quoi? Les gens alentours de toi? ils changent aussi vite que toi.

Speaker 1:

C'est moi qui fais le job. C'est moi qui fais le job, clairement, c'est pour le bien-être de tous.

Speaker 2:

C'est ça, impacter le monde. Oui, clairement, c'est. quelle est la partie de moi que je peux transformer, transmuter, transformer, changer, relâcher peu importe qui va me permettre de me sentir mieux et, par le fait même, avoir un impact sur tout le monde. Quelle est la chose que tu aurais pu faire, s'il y en a une, qui a eu cet impact-là sur les gens de ton entourage, connu ou pas connu? Quelle est la chose que tu as relâchée, moi?

Speaker 1:

Oui, oh my God, tellement.

Speaker 2:

Oui.

Speaker 1:

Tu sais, j'ai commencé la croissance personnelle. J'avais 16-17 ans. Fait qu'il y en a beaucoup.

Speaker 2:

Oh, mon Dieu, pendant que tu y penses, je peux te laisser quelques minutes. Pour moi, je pense que c'est la rigidité, puis l'accès à cette joie-là, c'est cette espèce d'électron libre que plus je lui montre comment je pense, ou que j'incarne simplement sans rien dire, peu importe par rapport aux cheveux, à l'habillement, c'est cet impact-là que je vois comme oh my god, ça fait du bien. Et moi, je me suis offerte ce cadeau-là.

Speaker 2:

Tout le monde se le permet. En même temps, alentour Toi. De quelle façon? Qu'est-ce que tu vois? Une des choses que tu as relâchées, moi, je pense que c'est la simplicité.

Speaker 1:

Relâcher la complication De mettre trop de règlements pour tout, que ce soit l'habillement, qu'est-ce que c'est que ça? C c'est tellement drôle, les jeunes, ils sont bons pour faire relâcher les cadres. Je me rappelle une jeune de 8 ans, peut-être belle comme le jour. Elle arrive en pyjama, robe de chambre, ses pantoufles, l'éliane, ça me tentait de venir comme ça. J'étais comme you're so gorgeous, c'est wonderful, c'est parfait. Moi, je suis bien avec toi. Ok, pourquoi pas? Ça ne change rien à ce qui est en train de se passer. Ce qui est en train de se passer, ça passe De relâcher, je pense, dans la simplicité, les gens qui arrivent. Je ne me suis pas habillée, je ne me suis pas peignée.

Speaker 2:

On s'excuse de ne pas être à la hauteur.

Speaker 1:

C'est parfait, comme tu veux, comme tu le sens, comme tu veux, comme tu le sens, c'est extraordinaire. Voici, comme ça, j'ai un jeune très, très, très hyperactif qui vient. Il arrive, on a su le ballon, écoute, il ne s'assoit pas deux secondes. Moi, je m'en vais avec lui, je me pogne un ballon, on fait la rencontre comme ça. Il dit j'aime assez çamême. Je dis c'est parfait. Je pense que ça d'enlever les cadres, d'enlever cette espèce de if-bo, puis la complication, de juste laisser aller la simplicité qui va avec, je pense, la douce innocence qu'on parlait aussi.

Speaker 2:

Donc, quand quelqu'un se pointe à ton bureau, qu'il veuille sauter sur une patte ou faire à ton bureau, qui veuille sauter sur une patte ou faire, je ne sais pas, la larve au plancher il n'y en a pas de problème.

Speaker 1:

Non, j'ai un bureau flexible en plus. J'ai un bureau où on peut être debout, j'ai des planches de stabilisation, j'ai des ballons. J'ai pas mal de stock pour avoir du fun dans un mini-espace.

Speaker 2:

Les gens qui vont aller vers toi pour avoir du voir d'un autre. Oui, il y a cette énergie, surtout si on t'écoute, on te voit et on te dit Oh, mon Dieu, oui, je veux être reconnectée à mon énergie et je veux recevoir de celle de Liliane. Mais les gens, ils vont te voir. Pourquoi ils consultent, pourquoi ou ils prennent une session ou des sessions avec toi Souvent.

Speaker 1:

comme je disais tantôt, c'est comme une transition.

Speaker 1:

il y a quelque chose, que ce soit au niveau professionnel, que ce soit au niveau personnel, en couple, il y a un moment, il y a un challenge. Puis, tu sais, comme je fais ça depuis 25 ans, j'ai le privilège, puis je le considère vraiment comme un privilège, de faire ce travail-là. Puis, pour moi, c'est une mission, mais d'avoir des gens qui viennent toujours me voir après 25 ans, je suis leur personne référence au moment pivot de leur vie. Puis, même s'ils sont loin, je travaille par téléphone, en ligne. Maintenant, ça a le tout ouvert avec la pandémie en personne. Puis, là, je fais des groupes De plus en plus. Il y a plein de choses. J'ai enseigné à l'université, au cégep. J'ai des étudiantes qui reviennent dans mon univers, Les gens, c'est comme s'ils vivent quelque chose, ou il y en a qui vont me dire pour me donner un boost, je viens ici, là, poum, c'est ça Charge.

Speaker 2:

Mais les moments pivots, ça, je pense que c'est vraiment ça, parce que des fois, on a l'impression que ces pivots-là, il faut les vivre tout seul, ou on a honte d'être en pivot, on a honte de dire je voudrais changer de job, je vais divorcer ou peu importe La grosse job pour l'avoir fait. Puis, il y en a plein qui l'ont fait, qui sont venus ici qui l'ont est folle. Tu l'as fait, le grand pivot professionnel.

Speaker 1:

Oui, oui, oui En 2012.

Speaker 2:

Il n'y a personne qui comprend. Puis, là, c'est ça, tu sautes en bas de l'avion. Il n'y a juste personne.

Speaker 1:

C'est ça mon équilibre. Puis, à chaque, tu sais, on parle de la notion de plafond de verre. Quand tu le traverses, tu te cognes la tête un peu, mais après ça, c'est ça, tu trouves ton équilibre, puis il en apparaît un nouveau, puis ça, on évolue.

Speaker 2:

Avant de conclure notre émission ensemble, je veux juste vous rappeler qu'il y a une possibilité de remplir un document ensemble pour aller chercher au moins 300 rêves. Toi, c'est ça que tu recommandes aux gens d'en écrire 300.

Speaker 1:

Oui, je ne me rappelle pas où j'avais attrapé ça. J'avais lu ça, mais 300 rêves À la gang.

Speaker 2:

Ça devrait être facile. Si toi-même tu document, tu peux en écrire 300, mais on va vraiment se créer une liste pour écoute, faire mijoter cette énergie-là à l'intérieur de nous. Oui, l'appétitement, l'appétitement Fait que tu parles aux dauphins, ça faisait partie de ta liste Avoir un monde meilleur aussi on le comprend Puis personnellement. s'il y avait quelque chose que tu pouvais t'autoriser ou que tu rêves en disant voici ce qui va se produire d'ici X nombre d'années, ce serait quoi?

Speaker 1:

Vive le grand amour. Le grand amour, le grand amour, oh oui, un grand, amour, le grand amour, puis voyager, être nomade.

Speaker 2:

Parce qu'on a eu la discussion tantôt Oui.

Speaker 1:

Voyager léger, voyager à travers le monde, ah oui, puis, comme ça se produira, je ne sais pas. J'ai fait du bénévolat aux Philippines, par exemple, en 1999. J'étais partie deux mois, puis, ce genre d'expérience-là, c'est transformateur, oui c'est tout ça.

Speaker 2:

Tu sais, depuis la conversation qu'on a eue ensemble, alors que, je le rappelle, tu étais à Cuba, sous un parasol, tu m'as parlé des 300 rêves. Puis ça m'a un peu, ça m'a brassée, parce que je me suis dit mon Dieu, est-ce que je serais capable? J'en ai combien de rêves? Parce que, des fois, il y a des périodes où tu rêves en grand. Oui, réalise beaucoup. Je l'ai fait. Je vidais ma bucket list super vite, puis, après zoup, je me suis rendue compte que j'avais aussi peut-être perdu ça un peu. Fait que le fait d'avoir la conversation avec toi, liliane, ce que ça crée, c'est que j'ai commencé à me faire une liste d'endroits que je veux voir dans le monde. C'est excitant, oui, f, mais qu'est-ce qu'on veut voir avant de quitter le plan terrestre? Et voilà, si on réussit une affaire sur la liste, ce sera parfait, Parfait. On lâche prise, on se laisse aller. Puis, en arrière, il n'y a peut-être pas un beau gars à qui on est attaché, je suis avec Fred, mais mettons, il y aura toujours l'univers, qui va être une contribution pour nous.

Speaker 1:

Wayne Dyer disait ça. Il disait accroche-toi. J'ai souvent médité sur cette image-là. Imagine que tu es dans un tramway et que tu t'accroches aux poignets, Puis c'est comme si tu t'accroches à l'univers qui prend soin de toi.

Speaker 2:

Soyons en TGV, accrochons-nous après l'univers, puis lâchons prise. Avec, une douce innocence.

Speaker 1:

Ah oui, Madame on vient de faire un wrap-up Fantastique.

Speaker 2:

Ça a été extraordinaire la conversation avec toi, liane. Merci pour moi aussi Attitude.

Speaker 1:

Encore plus de ceci, s'il vous plaît.

Speaker 2:

Merci, merci. Ah, oui, merci merci, merci, ah, c'est bon, j'espère que vous avez apprécié autant que nous cette conversation-là. S'il vous plaît, venez avec nous remplir le document, puis voyons voir qu'est-ce qu'on peut créer, liliane et moi, ou que Liliane en tout cas. Bref, pour voir comment on peut faire vibrer ces rêves-là, puis comment on peut peut-être éventuellement se partager nos photos Ah, ouais, de réalisation, c'est toujours tellement un grand, grand plaisir d'être avec vous.

Speaker 2:

Merci, infiniment. Merci, merci, liliane, et à vous également, je dis merci, merci, merci. Encore plus de ceci, s'il vous plaît, et à tout bientôt, j'espère.

Speaker 1:

Bye.

Speaker 2:

Bye.