Impacter le monde avec Karine Champagne

88. Autisme et dons énergétiques: Le chemin de Marie-Josée Favreau

Karine Champagne

Tu peux directement me texter tes commentaires!

Diagnostiquée du syndrome d'Asperger en 2018, Marie-Josée nous ouvre les portes de sa perception du monde et des "super pouvoirs" qu'elle a découverts au-delà de son autisme. Elle exprime comment elle a appris à naviguer entre son moi intérieur et l'image qu'elle projette, tout en utilisant ses compétences extraordinaires pour enrichir et transformer la vie de ses clients grâce à des connexions énergétiques profondes.

Marie-Josée nous raconte son expérience de l'enfance et de l'adolescence marquées par un sentiment d'être différente, ainsi que son cheminement vers l'acceptation et la compréhension de ses dons uniques. Elle évoque des pratiques comme le Reiki et le body talk, qui ont joué un rôle crucial dans son développement personnel et spirituel, illustrant comment ces approches peuvent enrichir notre expérience de vie.

Plongez dans les récits captivants de Marie-Josée, où des anecdotes surprenantes montrent comment ses prémonitions se sont réalisées au fil du temps. Elle partage également sa vision du rôle d'intermédiaire entre le monde des vivants et des entités spirituelles, éveillant en chacun de nous un désir d'ouverture à la magie que la vie peut offrir. Laissez-vous transporter par la profondeur de ses expériences et envisagez de vivre votre propre rencontre avec elle, que ce soit en personne ou à distance, pour découvrir ce qui résonne en vous.

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🔥 Citations Percutantes :
"Impacter le monde, c'est arriver avec un message, expliquer qui je suis et comment je vois les choses."
"Depuis toute petite, je vois les gens dans leur meilleure version d’eux-mêmes, même quand eux ne s’en rendent pas compte."
"Je suis un intermédiaire, un transmetteur de messages... mais un peu plus que ça."

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Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

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Speaker 1:

Je vais faire une recherche là-dessus pour le fun. donc, je réouvre une autre fenêtre pour commencer à faire des recherches sur l'autisme et je tombe sur une. Le site s'appelait Aspie Girl. OK, c'est une autiste qui a fait ce site-là. Je lis déjà sur la première page, l'accueil, et tout puis je dis Écoute, y a-tu, c'est qui, elle? Je pensais que j'étais toute seule, j'en avais aucune idée, qu'il y en avait d'autres, des comme moi.

Speaker 2:

Sous-titrage Société Radio-Canada. Le TDA, tdah, ça pourrait inclure l'autisme, l'aspergère, et vous allez voir que tout ça peut nous amener dans un chemin extraordinaire où on découvre de très, très grandes capacités. Et avec qui on va découvrir ces grandes capacités-là? Marie-Josée Fabreau, qui est masso-kinésithérapeute, aussi autiste, et je suis tellement heureuse de te découvrir. À travers tes super pouvoirs, marie-josée, es-tu prête à impacter le monde?

Speaker 1:

Oui, let's go.

Speaker 2:

On y va.

Speaker 1:

On y va Et qu'est-ce que c'est pour toi, impacter le monde? Impacter le monde, c'est pour décrire un peu on en parlait donc la différence. Moi, je suis autiste. Asperger, donc, à ce moment-là, c'est vraiment arriver avec un message. Puis, en parlant de messages, j'entends des messages, donc d'autres, l'au-delà, ou autre. On pourrait en parler tantôt. Mais, ceci dit, impacter le monde, c'est justement d'avoir le message approprié pour expliquer aux gens qui je suis, qu'est-ce que je fais, puis qu'est-ce qui se passe dans ma vie, qu'est-ce qui arrive avec Mère Josée, puis qu'est-ce qui se passe dans ta choses, puis comment tu interprètes les choses.

Speaker 2:

Et voilà Ça, j'ai hâte d'en apprendre davantage. On va commencer par l'autisme. Diagnostic est arrivé quand? Eh?

Speaker 1:

bien, c'est arrivé en 2018. Je me suis fait diagnostiquer par Dr Gérou, psychologue qui est très reconnu dans le monde de l'autisme, finalement. Et puis, je suis arrivée là-bas parce que j'ai eu le fin mot et le diagnostic officiel, qui était le Asperger. Donc, je suis autiste, 100 %, asperger Dans Asperger. Je suis dans léger, on pourrait dire ça comme ça. Et par la suite, moi, j'ai rajouté le mot hybride. Ensuite, de ça, en parlant avec M Giroux, je lui ai dit bon bien, c'est parfait, une fois que je suis autiste, asperger, ils voient directement dans l'âme» Non, je ne sais pas de quoi tu parles. Oh, ok, parce que j'essayais de comprendre mes dons de plus, donc, je pensais que ça faisait partie de l'autisme, mais en fait, j'étais complètement à côté de la traque. Ça, c'est Marie-Josée, l'autisme, c'est une chose.

Speaker 1:

Puis le TDAH non diagnostiqué, fait que voilà. Mais ceci étant dit, j'ai découvert que il y a l'autisme et il y a mes dons Fait, que c'est pas deux choses en même temps. Donc, c'est pour ça que, là, j'ai commencé plus à faire des recherches par la suite, pour continuer à découvrir d'où ça vient, comment, etc. Même s'il y a des dons que j'ai, on dirait que je suis toujours à la recherche de savoir qu'est-ce qui se passe, est-ce qu'on peut?

Speaker 2:

revenir juste sur l'autisme Un petit peu, j'aimerais savoir comment a été, dans tes mots, ton enfance, ton adolescence, sans savoir que tu avais un diagnostic.

Speaker 1:

C'est une question assez, c'est le fun, j'adore ça, ta question. Quand on ne le sait pas, on fait des choses, puis on est toujours perçu comme une personne weird parce que souvent on n'a pas les bonnes expressions faciales. Je donne un exemple. J'étais en train de regarder à l'époque, c'était le Juste pour rire Et il n'y a aucune expression faciale.

Speaker 1:

Pas d'émotion tu ne ris pas à la limite, tu as l'air bête, exactement. Je regarde l'émission, puis je suis crampée, mais dans ma tête, je suis morte de rire. Mais dans ma tête, il n'y a rien qui paraît. Et t'as ta mère qui arrive et qui te dit Hey, si t'aimes pas ça change de poste. Hein, c'est parce que j'aime ça. Je suis morte de rire. Elle dit Dis le disait pas. Il a fallu que je comprenne, que je m'habitue et que je sache comment rire. Une manière, ce n'était pas beau au début, c'est comme c'était drôle. Là, je vois tout le monde rire. Là, j'exagère le rire, tu m'inquiets? Oui, parce que je n'en ai aucune idée à cette époque-là. Je n' Au fur et à mesure, j'ai compris le mécanisme du rire et savoir comment bien rire aux bonnes choses. C'était assez spécial. Des fois, quand vous dites des jokes, je ne les comprends pas toujours. Des fois, je regarde, c'est le monde rire et je fais un petit rire très, très subtil.

Speaker 2:

Mettons Donc toi il faut que tu t'ajustes pour regarder Généralement les gens réagissent comment. voici ma réaction, parce que sinon ça provoque.

Speaker 1:

si tu ça provoque comme rien dans toi, ou ça provoque quelque chose, et c'est juste que ça ne paraît pas, mais quand j'étais plus jeune parce qu'aujourd'hui c'est différent évidemment que j'ai évolué tu t'es adapté. Tu t'es ajusté tu as appris.

Speaker 1:

Mais ce qui arrive, c'est que ce qu'il faut comprendre, c'est que des fois, je ne comprends. Si tu fais vraiment une joke intelligente, je vais la comprendre et je vais la rire aux éclats, parce que maintenant, j'essaie de mettre la mimique plus en avant et non pas juste rire dans ma tête. Si je ne la comprends pas, je vais regarder autour, voir les autres qui rient, je vais faire un petit rire subtil où je vais rire avec tout le monde, même si je ne la comprends pas, je vais. Puis, je vais même te le dire des fois je ne l'ai pas compris, mais ça a l'air bien drôle. Puis je pars à rire, mais je n'ai rien compris?

Speaker 2:

C'est ça, no-transcript. Tu as réussi quand même à t'infiltrer dans la masse.

Speaker 1:

C'est un très bon mot, merci, je ne pouvais pas mieux le dire. Effectivement, j'ai réussi à m'infiltrer quand même. Puis les gens m'acceptaient comme j'étais, parce que veux veux pas secondaire, il y en a toujours des plus weird que d'autres, puis je faisais partie des plus weird Fait qu'entre autres, mais j'ai réussi à m' C'est comme un coping mécanisme réussir à essayer de copier un peu les gens, mais je n'étais jamais réellement toujours moi-même. Il y a des boucs, oui, mais la majorité du temps, non. Donc, c'était très difficile parce que si j'étais réellement moi-même, je n'aurais probablement pas été à cette école-là ou faire ces choses-là, etc.

Speaker 2:

Qu'est-ce qui fait que tu décides de consulter à un moment donné pour voir? est-ce que je suis normale? Est-ce que j'ai quelque chose qui se passe dans ma tête? Est-ce que je peux avoir un diagnostic? Qu'est-ce qui te pousse à aller?

Speaker 1:

consulter. C'est une excellente question. C'est qu'à un moment donné, j'ai vécu un traumatisme dans un de mes anciens travails, ce qui fait que la psychologue me Nous les Asperger. On ne fait pas une petite recherche, on fait une recherche, une méga recherche Va sur le stress, va sur Wikipédia, clique sur tous les liens, de manière, j'arrive sur autiste. Peu importe, dans mon chemin, j'arrive sur autiste Et là, dans la tête, je dis voyons, ce n'est pas moi, c'est autiste. Je ne savais pas, c'était quoi, pas Pas du tout. Il faut faire attention. Et là, je commence à lire Oui, ok, ça me ressemble, j'ai des points. Puis, j'analyse beaucoup dans ma tête, je dis je vais faire une recherche là-dessus pour le fun. Donc, je réouvre une autre fenêtre pour commencer à faire des recherches sur l'autisme Et je tombe sur une.

Speaker 1:

Le site s'appelait Aspie Girl. Ok, c'est une autiste qui a qu'a fait ce site-là. Je lis déjà sur la première page, l'accueil et tout. Puis je dis écoute, y a-tu quelqu'un qui me suit, un peu comme une caméra cachée. Puis là, j'ai dit mon Dieu, je pleurais, j'ai décrit ma vie en entier. C'est qui elle? Je pensais que j'étais toute seule, j'en avais aucune idée, qu'il y en avait d' OK, fait que c'est ça tout le long Quand tu me parlais de quand, depuis que tu étais jeune, il a fallu vraiment, justement, que je fasse attention, parce que c'est pas tout le monde qui pense comme moi, tellement je suis. Tu sais le monde, il va à gauche, puis je vois carrément à droite ou peu importe Fait que c'est très difficile de m'exprimer. Tout ceci étant dit, quand j'ai commencé à faire des tests sur l'Internet pour voir si j'étais bien autiste, donc les tests Internet, soit autiste ou Asperger, me disaient les deux t'es autiste à un haut taux. Et c'est là, par la suiteincapacité des gens, peut-être, à nous regarder dans les yeux là, je te vois.

Speaker 2:

Tu sais. Toutes les fois qu'on a été ensemble, tu me regardes vraiment dans les yeux. Est-ce que c'est un apprentissage ou c'est quelque chose qui est facile pour toi de faire?

Speaker 1:

Ok, c'est deux choses pour moi. Ok, je ne dis pas queiser Exactement, je suis d'accord, on est d'accord. Je l'ai appris, ok, en même temps que de toucher la main, parce que je ne voulais pas toucher les jambes, ne pas me faire toucher en général, mais ça arrive Tantôt. On s'est fait une colle. Oui, j'ai eu le droit à des câlins, c'est exactement Même des be l'ai appris. Donc, dans mon plus jeune âge, soit un ami de ma mère ou, peu importe, un ami d'un oncle ou je sais pas quoi, on m'expliquait que quand tu vas passer une entrevue, il faut que tu serres la main, puis une bonne poignée de main, tu sais. Puis il faut que tu regardes dans les yeux. Fait que tu l'as appris, puis tu l'as pratiqué Exactement Et puis aussi Automatiqué.

Speaker 1:

Ça fait que c'est beaucoup mieux. Je peux regarder dans les yeux. Le problème, c'est que, des fois, je ne suis pas capable de m'arrêter, je suis comme figée. Ça fait qu'il faut que je réfléchisse, il faut que je me dise OK, des fois, il faut que j'arrête de vous regarder et que je regarde à gauche ou à droite, ou en haut ou en bas. Ok, parce que ça ne me vient pas automatique, comme vous Le pourquoi, je ne vais pas trop vous regarder dans les yeux, c'est que je suis capable de voir votre âme. Qu'on parlera de ça tantôt, pour moi, c'est très gênant. Je suis capable de voir beaucoup de choses.

Speaker 2:

Parce qu'il y a des dons qui viennent avec ça. Donc, le Dr Giroux à qui tu parlais. Enfin, j'ai un diagnostic d'autisme. Je vais tout te dire ce que je vois. Aussi, tu vas pouvoir partie de la grande famille de l'autisme, de l'asperger, et là, t'as probablement Dr Géroud qui se déconfiture devant toi et qui dit non, non, c'est pas ça, pantoute, c'est exactement ça, c'est des gens partants.

Speaker 1:

Tu te dis tout le temps tu sais, des fois, la population te voit weird parce que t'es autiste. Puis là, ça fait un petit Comme un petit barrage, c' voix l'âme, puis que tu comprends certaines choses, puis que quand tes bébés étaient dans les bras de ta mère, t'étais mal placé. Puis tu te souviens de toute la senteur du visuel, de que t'étais mal placé et tout, puis que tu voulais télépathiser, puis que lui, il te regarde.

Speaker 2:

Puis il remonte ses lunettes, puis il dit non, Bon, là attends une minute, Ça c'est ça, je suis comme, oh, tabarouette. Tu as des dons supplémentaires qui sont peut-être amplifiés avec l'autisme, qui arrivent peut-être grâce à l'autisme, qui sait? parce que, probablement, si on en parlait de façon spirituelle, autisme à super-gare pour moi, si c'est gentil.

Speaker 1:

Puis, oui, effectivement, qu'on soit justement autiste, qu'on soit TDAH, qu'on soit dyslexique, dysthropique, peu importe, Ça nous donne des fois soit un petit plus pour pouvoir réussir Quand on apprend à vivre avec savoir jongler avec sa différence, ça nous donne réellement un plus dans tout ça. Puis, moi, j'avais déjà un plus en partant, c'est que j'avais des dons supplémentaires. Donc, c'était difficile aussi quand j'étais jeune, c'était difficile de merger tous ensemble et de bien comprendre. Aujourd'hui, à l'âge que je suis rendue, ça va. J'ai beaucoup performé là-dedans, j'ai beaucoup évolué, j'ai beaucoup, je me suis ajustée. Un affaire terrible, parce qu'on s'adapent beaucoup à l'autre. On aimerait tellement ça que l'autre s'adapte à nous, mais dans une vraie réalité, c'est pas comme ça que ça se passe. Il faut s'adapter. Donc, c'est à nous de faire vraiment des efforts pour autrui. Même quand les gens ne nous comprennent pas, on doit expliquer, passer par un autre chemin.

Speaker 2:

Puis voici comment mon cerveau fonctionne Tu, tu n'as pas la perception que c'est mutuel, que tu t'adaptes à moi, puis moi je m'adapte à toi.

Speaker 1:

Des fois oui, Ça dépend qui, tu sais, ça dépend du, Ça dépend de l'ambiance de la personne. Elle veut-tu vraiment recevoir ce que je vais lui dire ou elle ne veut pas? elle a comme beaucoup de réticence. Elle comprend-tu vraiment ou pas? Je parle-tu comme il faut?

Speaker 2:

Je m il faut? je m'exprime-tu bien ou pas? c'est vraiment ça qui? Oui, c'est vraiment fascinant, merci, parce qu'on en apprend de plus en plus. puis, tant mieux, parce que les réseaux sociaux, ça nous permet de découvrir des personnalités qui nous disent comme Louis T, je suis asperger, je suis autiste et tout le reste, ça nous permet, mais il y a quelque chose de quand même fascinant parce qu'on ne peut pas dans votre tête, c'est tout un autre monde Fait que mettons.

Speaker 1:

on va prendre le monde des non-autistiques et autres. On a un monde des aspergers, on a un monde des autistes autres, on a le TDAH, qui est tout un autre monde. Mais il y a même des choses du TDAH que je ne comprends encore pas. Puis, c'est fascinant, ce monde-là aussi, les dyslexiques, dythropiques, etc. Mais c'est intéressant, c'est juste qu'il faut vraiment savoir, idéalement parlant, d'y aller avec son cœur Et d'essayer d'accepter les autres. Parce que, je vous le dis, je me suis enfargée des fois. Je dis quelque chose.

Speaker 1:

puis le monde, voyons, tu dis ça, C'est pas correct Parce qu'il n'y a pas le filtre. C'est pas correct À tant de minutes je ne le comprend. Zéro pinball. Des fois, en vieillissant, on s'en met et on commence à comprendre un peu les concepts autres. Dans l'autre section, on pourrait dire ça comme ça, parce que nous, on fonctionne avec des sections. Mais ceci étant dit, si on évolue à travers le temps, on fait notre possible.

Speaker 2:

Tu es bonne, tu es bonne. Je sais aussi quelle énergie ça te prend de venir ici avec le micro devant le visage.

Speaker 1:

l'éclairage, et tout le reste. c'est-tu un ajustement pour toi? Oui, j'en ai parlé. je me suis pratiquée pour le micro parce que là, j'ai de la misère, je suis très verbomoteur, il y a comme quelque chose qui te freine, il y a quelque chose qui me bloque. j'avais de le manger, mais ça, je dis, je vais faire avec, parce qu'on n'a pas le choix. on s'est expliqué, c'est un environnement télévisuel. Donc, dans la vie, que ce soit ici ou ailleurs, il y a des choses qu'on n'a pas le choix. C'est pour ça la suradaptation, que ce soit un éclairage. on a des autistes qui ont beaucoup de misère avec l'éclairage aussi. On pensera à Brigitte qui s'occu cadre pour les autistes aussi. Alors voilà, je sais qu'elle a de la misère Avec l'éclairage.

Speaker 1:

Ah oui, beaucoup, beaucoup. Moi, si c'est pas si pire, ça dépend comment, mais je suis capable de tolérer quand même l'éclairage, mais j'avoue que c'est très lumineux pour nous.

Speaker 2:

Il y a beaucoup d'autistes qu'on voit ça comme si c'était des soleils. Peut-être que tu as déjà accès à énormément d'informations que je ne peux pas imaginer. Tu as accès à mon âme en ce moment et aux âmes des gens en général. Qu'est-ce que tu vois aussi par mot des dons Parfait.

Speaker 1:

Donc, à ce moment-là, souvent, c'est par message. Donc mes dons, c'est plusieurs dons différents parce que c'est plusieurs messages différents. Donc, dans mes messages, je suis hyper sensible. Donc je peux vraiment sentir tes émotions. Là, au moment où on se parle inclusivement, qu'on ne le voit pas, mais on a Fred dans l'enregistrement, émilou le petit chien, je peux vous sentir. Puis je peux sentir extrêmement loin. En contrepartie, si je suis triste, malheureuse ou fâchée, vous allez me sentir pas possible. J'ai déjà raconté une histoire à quelqu'un, une petite anecdote comme ça, qui me disait je ne suis plus capable que tu me racontes l'histoire, c'est trop. Je vis bizarre. Oui, parce que je peux influencer les gens. Donc ça, ça fait partie d'un de mes dons, vraiment quelque chose. C'est pour ça, depuis que je suis toute petite, j'ai dit tout le temps c'est toujours mieux de me garder neutre ou souriante. Moi, je vais en bénéficier, mais vous allez vraiment bénéficier. La journée où je suis triste, je vais tellement vous affecter. C'est effouvantable. Tu as vu que tu avais un impact.

Speaker 2:

Ta tristesse avait comme une vibration qui est amplifiée c'est-tu ça?

Speaker 1:

peu comme dans X-Men ils ont des super pouvoirs. Bien, il y en a une. Elle s'est mis des gants. Si elle te touche, bien, il se passe quelque chose. Il se passe quelque chose, tu meurs ou quoi que ce soit. Bien, c'est comme si j'avais un gant, autrement dit, tout le tour de moi pour protéger neutre ou d'une humeur correcte.

Speaker 2:

Comment tu fais pour rester justement dans le neutre, parce que ce que je comprends, c'est que tu as un J'ai le mot en anglais qui n'est peut-être pas le bon, mais tu as comme un caring, donc tu veux faire attention aux gens, donc tu prends la responsabilité de tes émotions ou de ton énergie.

Speaker 1:

Tout à fait Quand on est plus jeune. les autistes, puis, je ne pas nommer tout le monde. Quand je dis les au pluriel, ça inclut plusieurs personnes.

Speaker 1:

On a de la misère à gérer nos émotions, beaucoup, beaucoup, donc, on apprend à les gérer au fur et à mesure. C'est pas toujours facile. Ceci étant dit, au fur et à mesure des années qui passent, etc. On sait que quand on rit, ça va bien. Quand on pleure, puis ilire assimilé, je pourrais le dire ça comme ça. Donc, aujourd'hui, je comprends mes émotions, mais je comprends aussi les votes. Ce que je comprends, c'est que les miennes n'étaient pas toujours les miennes, c'était les votes que je captais, et que ça, tu sais, comme on dit en anglais, suck it up.

Speaker 1:

C'est comme une, et d'où, là où mon cheminement, il a fallu que je comprenne vos émotions. Mes émotions, c'était quelque chose de plus gros, donc, c'était plus gros que d'aller dans l'autisme à Sperger, on rentrait là très loin.

Speaker 2:

J'avais déjà entendu quelque chose je pensais à Kurt Tolle, entre autres, qui en parlait que 99% de c'est toi, mais ça c'est moi. Peut-être que toi tu es à 99,9, moi je suis à 98. Mais donc, on est des êtres d'énergie, puis on capte énormément, puis des fois on est comme chamboulé, mais ça ne nous appartient pas, pantoute.

Speaker 1:

Il y a bien raison. Puis on appelle ça aussi la projection aussi Des les pensées qui ne nous appartiennent pas. Ça, oui, effectivement, il y avait raison. Je l'ai lu aussi. J'ai eu beaucoup de petits podcasts que j'ai vus de lui. C'était incroyable.

Speaker 2:

Oui, donc, tu as plein de dons qui te permettent en fait même pas de te comparer, mais d'avoir un alter ego qui pourrait s'appeler Superman.

Speaker 1:

Bon, ah, mon Dieu, si tu savais, je l'adore. Superman, c'est un de mes films préférés Et je vous explique. Effectivement, on pourrait qualifier d'alter-ego, parce qu'il y a toujours Superman, qui est Kal-El, et Clark Kent. Ok, donc, clark Kent, c'est Superman qui se cache. C'est exactement ce qui se passe parce que depuis que je suis toute petite, en ayant joué avec les amis, je voyais bien que j'étais différente. Donc, ça convenait pas.

Speaker 1:

Ils disaient ah, tu vois, ça, c'est bien bizarre. Puis là, ils te push away, ils t'envoient de côté ou peu importe. Puis toi, tu veux te faire des amis. C'est important pour toi de créer un lien quand t'es plus jeune, encore plus que n'importe quoi. Il a fallu que je cache ça. Donc, je cachlais un petit peu plus mature pour mon âge. Dans ma perspective, je ne pouvais pas faire ça. Donc, il fallait que je me mette réellement au même niveau. Pour de vrai, ce n'est pas se penser plus intelligent, ça n'a pas rapport. Il y a beaucoup de jeunes qui étaient beaucoup plus brillants que moi. Je ne pouvais pas dire ce que je voulais ou faire ce que je voulais de ça. Donc, il a toujours fallu que je garde un petit côté Clarken avec mes petites lunettes, puis que je me cache en arrière de mes lunettes.

Speaker 2:

Comment tu fais maintenant. Tu es masso-kinésithérapeute, tu touches les gens, tu vois des gens. C'est incroyable. Tu touches, tu rentres dans leur bulle, ils sont dans ta bulle. Puis, comment réussis-tu à tout? t'utiliser tes dons, qui tu es? il y a peut-être l'autisme, il y a tes super pouvoirs et tes capacités au service du corps, des athlètes et des gens que tu traites.

Speaker 1:

C'est une excellente question, j'adore ça. Puis, j'adore vraiment cette question parce qu'effectivement, quand tu rentres dans mon bureau déjà, mon bureau est fait en sorte qu'il y a un certain fin-tchoui, on va l'appeler comme ça L'énergie du chi passe beaucoup. Donc, quand tu rentres, si déjà t'es mal à l'aise et que tu veux pas revenir, ben, t'as ta réponse. Ok, t'es peut-être pas rendu là, on est peut-être pas dû pourfiter ensemble, that's it. Mais les gens vont rentrer et vont. Ça pourrait arriver. Que je te donne, je vais en prendre un exemple tout de suite. Il y avait une personne qui était venue pour un arc sciatique de coincé et un problème d'épaule.

Speaker 1:

Pour cette personne-là, je dis parfait, je vais t'enlever ça avec deux pouces. Écoute, elle pissait de rire. Elle dit deux pouces. Oui, elle dit il y en a qui m'ont fait des affaires, ils m'ont amanché, ils ont leur technique, mais moi, j'ai la mienne. Puis, là, quand elle s'est allongée, j'ai dit parfait, je vais t'enlever ça avec un pouce. Elle a dit ah non, je pisse de rire. Puis, elle marchait comme un cheval, évidemment, qui avait les deux jambes à l'inertie de coincée, no-transcript. Puis là, j'ai dit Pour la deuxième affaire, tu avais mal à l'épaule. Elle me dit Oui, j'aimerais ça que tu t'as vu qui le groupe t'as vu des chiro, des ostéos en tout cas des mythes, pendant deux ans, ça n'a pas marché.

Speaker 1:

Je l'ai regardé, j'ai dit puis là, je vais être obligée de regarder ailleurs, je ne pourrais pas te regarder parce que c'est très, très puissant.

Speaker 1:

Je l'ai regardé, puis j'ai dit regarde-moi bien dans les yeux. Ce n'est-ce qui est arrivé il y a deux ans. Je ne la lâche pas du regard. Ensuite, de tout ça, elle me regarde, elle cligne des yeux et elle commence à pleurer. Elle me dit je t'en parle, j'ai le moton, je sais c'est quoi. Je dis Parfait. Je lui dis Là, tu n'as pas besoin de venir me voir pour une séance de massothérapie, kinésithérapie ou autre, tu as besoin de venir me voir pour le body talk. C'est là qu'on va te déloger, on va te décoincer. Il y a peut-être une émotion, il y a autre chose. Ton corps ne fonctionne pas bien parce qu'il ne sait pas comment actuellement. Alors, il est venu quelques séances, pour quelques séances seulement. Et puis, moi, j'ai une question pour toi, karine, encore mal à l'épaule.

Speaker 2:

Elle a-t-elle encore mal à l'épaule? Je te pose la question. La réponse est non.

Speaker 1:

La réponse est non, évidemment. Alors la jeune fille elle est tellement contente, il y a une fois qu'elle m'a texté parce qu'elle m'a dit qu'elle est partie à pleurer chez eux devant son conjoint, en disant Hey, chérie, j'ai plus mal à l'épau. En vrai, elle a dit que ça faisait tellement deux ans. Tu sais, quand tu fais ton travail, tous les jours, tu as une famille, etc. C'est très difficile quand on a mal, puis on a une tension qu'on ne comprend pas et qu'on se sent délaissé parce que personne ne peut nous aider. Puis qu'elle arrive. Elle est arrivée au bon moment. C'est l'énergie. J'avais quelque chose qu'elle avait besoin, puis on m'a alliée ensemble.

Speaker 2:

Est-ce que quand les gens arrivent dans ton bureau, tu as la capacité, puisque l'énergie précède la matière? est-ce que tu perçois déjà? est-ce que tu sais où sont peut-être les douleurs, les résistances? Bien oui, J'étais démasquée.

Speaker 1:

Clarken, c'est ça, je vais devoir enlever les lunettes. C'est ça, je vais devoir enlever les lunettes, mais c'est ça. Bref. Oui, souvent, je pourrais dire en 90 % et plus quand vous rentrez dans mon bureau, je sais déjà où je m'en vais. Puis, les clients le savent parce que là, ils me parlent, ils me parlent de leurs tensions, puis tout ça. Puis je suis comme hum, hum, hum. Puis je leur regarde hum, hum, mais j'avais déjà, je le savais déjà. Mais les gens, eux autres, ne le savent pas pourquoi. Je ris Souvent, je leur dis je me doutais bien, tu as un travail. Puis là, je leur explique la façon qu'on apprend à l'école. Mais en fait, si on va plus loin, en arrière de ça, je suis déjà au courant Des fois, le monde attend dans ma salle d'attente, je suis déjà au courant de ce qui se passe.

Speaker 2:

C'est vraiment la curiosité qui embarque. Tu peux avoir deux ou trois personnes dans la salle d'attente, ou une après l'autre, selon. C'est même pas important. La salle d'attente, c'est pas important, mais comment tu reçois l'information. Tu le perçois dans ton corps. Est-ce que tu le vois? Est-ce que tu l'entends? Comment tu reçois l'information des corps qui sont à l'extérieur?

Speaker 1:

Sincèrement, c'est le fun que tu en parles, parce que ça vient de différentes formes, ok, ok, parfait. La majorité du temps, je pourrais te dire que ça vient du ventre. Ça, c'est sûr, c'est une impression. C'est comme une main qui vient sur toi, soit sur ton épaule ou soit sur le ventre, ou soit tu le ressens là, profond, profond, à un profond profond. Mais souvent, souvent, c'est une main sur l'épaule qui t'envoie le message. Il faut faire attention de démystifier la chose. Ce n'est pas de la schizophrénie. Je n'entends pas des voix de genre blablabla, non, non, c'est plus comme tu mets la main ici et j'ai déjà compris que tu m'aimes beaucoup, exemple Ou que tu chercher du pain et du lait, aussi banal que ça. Mais sincèrement, c'est comme ça que je reçois les messages, tout simplement. Donc, c'est quelque chose de vraiment gentil, vraiment on a dit tantôt le mot caring. C'est quelque chose qui est très, très bien.

Speaker 2:

Puis tu reçois l'information, comme ça fait, que c'est comme ça, après que tu peux traiter ou en tout cas alléger la situation de tes clients, tout à fait, tout à fait.

Speaker 1:

Puis, c'est déjà arrivé que j'en parle carrément. Ah ça, moi je pourrais t'aider pour faire ça, soit, pour le massage, parce qu'elle a un problème. Ah non, toi tu serais dû faire de la polarité, du body talk, du Reiki ou autre chose. Parce que je suis une femme de multiples facettes, évidemment, j'ai beaucoup de choses comme bagage. Oui, je m'occupe de la vie de tous les jours des clients, mais des fois, si vous voulez aller faire un peu d'énergie dans le Reiki, ça vaut la peine. Est-ce que vous voulez faire du body talk aussi? On va aller plus profond, des choses comme ça. Qu'est-ce que c'est le?

Speaker 2:

body talk, parce qu'il t parler des dons, que tu as, une capacité. Tu entends un bruit particulier de temps en temps, qui s'appelle le gong.

Speaker 1:

Tout à fait. Moi, j'entends un gong Dans mes dons. Souvent, c'est des messages de tout genre, dont des messages si jamais tu es en danger ou, mettons, tu es à veille de mourir, ou autre, il, et ce gong-là me prévient. Puis la même chose. J'ai la main sur l'épaule qui m'explique qui, à ce moment-là, où le gong va être. Si, mettons, tout banalement, on passe dehors sur la rue, je peux entendre un gong. Puis je sais déjà qui va avoir un problème ou une problématique quelconque, ça celle-là, par exemple. Je sais que je ne suis pas toute seule. Il y avait une personne, je pense une fille de mémoire en Russie, qui avait les mêmes capacités aussi, mais je n'ai pas vu d'autres personnes à date. Donc, c'est ça, je vais aller avec l'histoire, si tu me permets, aussi, le fameux gong. En fait, on va commencer par le début. Dans mon cours de body talk, que j'adore, on adore, on voit toutes sortes de sphères Chinese Medicine, western Medicine, ayurvedic Medicine, on en voit des choses, des énergies, des chakras, On va dans toutes les sphères inimaginables. Il faut penser 360 degrés. Avec cette technique, on n'est pas arrêté. Ceci étant dit, je suis dans mon cours. Je l'apprends une deuxième fois parce que c'est intéressant de voir. Des fois, il y a des petites mis choses comme ça. Je rencontre un gars, puis je le regarde, puis je dis OK, je ne sais pas si ça t'intéresse, j'ai un message pour toi. Il me regarde, il dit OK, pourquoi pas? il est ouvert d'esprit. Je lui dis il va falloir que tu prennes mon nom, parce que d'ici, on parle en années je ne suis pas capable de dire combien par contre, mais en années, tu vas avoir besoin de moi et je vais être la parce que, dans mes dons, j'ai des dons de plus que certaines personnes qui sont autour de toi. Puis il me regarde, il me dit Qui es-tu, qu'est-ce qui se passe? Puis, là, il prend mes coordonnées. On se donne notre Facebook, on se communique.

Speaker 1:

Les mois, les années passent De mémoire, c'est après deux ans et demi de mémoire, c'est ce que je me rappelle. Je suis chez et j'entends un gong, mais d'une force inouïe. Un gong, tout de suite, son nom apparaît. Je dis OK, c'est le moment, c'est le moment. Je prends le téléphone, j'appelle chez eux, puis je lui dis M X, on va l'appeler. M X, c'est maintenant. Tu te souviens qu'on avait déjà parlé. Bien, c'est maintenant. Je ne sais pas ce qui se passe, mais tu as besoin de moi, et c'est là-là, puis pas demain matin. Là, rappelle-moi, le plus vite possible, on a fait à l'époque, je ne me souviens plus, c'était pas Zoom, c'était un Skype de mémoire. Ça, c'était Skype. Et puis, sur le Skype, le monsieur était d'origine indienne, de l'Inde en fait, et là, souvent, la peau, il était pâle, pâle, pâle, comme s'il y avait dans les années 60, un hippie pâle. Ah non, c'était quelque chose.

Speaker 2:

Mais il a dû sursauter. Quand tu l'as appelé Un, tu avais encore son numéro de téléphone, puis il est arrivé quelque chose au même moment. C'est-tu ça?

Speaker 1:

Oui, en fait, c'est sa mère qui a sursauté. Sa mère, elle, comment, qu'est-ce qui se passe? Elle arrive de où, c'est quoi? Puis, lui, il lui a dit ah oui, Marie-Josée me l'avait dit. Et là, tout de suite, on fait le fameux Skype. Donc, dans le Skype, c'est ça, je l'ai vu, il avait l'air.

Speaker 1:

Il n'était pas comme habituel, ah non, non, c'estille bien. Et là, il avait l'air blanc comme un drap, il n'avait plus d'allure, il était tout un berbe. Pas faite toutes les affaires comme ça. Puis, je lui parle, je dis OK. Je dis dis-moi ce qui se passe. Il m'explique qu'ils ont découvert les médecins, puis ils étaient rendus au troisième avis, comme quoi, qu'il allait avoir, qu'il avoir des pilules, puis là, la première pilule ne faisait pas, la deuxième sorte de pilule ne faisait pas, puis, bref, ils ont été jusqu'à la dernière pilule, la plus haute. Puis là, les médecins lui ont bien dit malheureusement, si ça ne fonctionne pas, prépare ton testament, tu vas mourir. Malheureusement, c'est comme ça, il n'y a pas plus de chemin pour le dire. C'était ça. Il a demandé un deuxième avis. Avant que moi j'appelle, il était rendu à attendre le troisième avis. Puis, j'ai dit tu prendras les avis que tu voudras, je te l'ai expliqué, c'est moi qui peux t'aider. Là, j'ai dit je remercie de savoir qui t'a vu. Fait que là, il a demandé à son frère de lui faire du body talk. Il a demandé à tous les professeurs du body talk, que des avis.

Speaker 1:

J'ai dit pis, ça a-tu marché? Ben, il dit d'après toi? ben, je sais quoi. Je t'ai dit je suis la seule qui peut t'aider, parce que j'ai des dons qu'ils ont, eux autres, ils n'ont pas. Je suis la seule et unique. Ça, c'est le grand souci de mes vies passées.

Speaker 1:

Donc, il dit ok, comment tu pourrais m'aider? J absolument que tu me dises ceci Est-ce que tu veux vraiment vivre ou tu veux mourir? Je n'ai pas de jugement. Si tu veux mourir, je vais t'aider à aller de l'autre côté. On pourrait dire ça comme ça, dans pas trop de souffrance. Mais si tu veux vivre, à ce moment-là, il va falloir que tu laisses ta vie dans mes mains, à moi. Tu serais-tu capable? Je te laisse le temps de réfléchir, mais on n'a pas une semaine, on est pressé par le temps. Dans ton timeline, j'ai un momentum où je peux interagir. C'est ce que je lui ai expliqué tel quel.

Speaker 1:

Il dit OK, on va rester dans la vidéo, je vais me faire faire un thé, puis après ça, on en reviendra. Je ne me souviens plus. Une heure passe dans ce coin-là. Je reviens. Il me dit OK, je suis prête. Il me dit c'était vraiment une bonne question, c'était très profond. Puis c'est le libre arbitre aussi. Exactement, il faut que j'aille avec le libre arbitre. Je ne peux pas. C'est à lui de décider, c'est comme ça. Et du coup, il me dit j'aimerais ça vivre.

Speaker 1:

Puis je décortique toute sa personnalité, toute sa façon d'être, comment elle agit, comment elle interagit avec les gens, etc. Le mal qu'il y a aussi des choses comme ça que je fais. Une fois que j'ai fini ça, j'ai dit tu vas aller voir une personne parce qu'il me manquait un niveau. J'ai dit tu vas aller voir elle juste une fois, pour un niveau. Tu en as besoin tout de suite et me voir moi. Puis je vais te suivre à raison d'une fois par semaine. Je vais juste spécifier aussi, te spécifier à toi et à tout le monde, que, by the way, moi je suis au Québec et t'es à Toronto. Comment j'ai pu faire ça? Tout est à distance. Je tiens juste à parler de ça à distance, t'as pas besoin d'être en présentiel.

Speaker 2:

Et voilà quand on se parle au téléphone, on à être en présentiel.

Speaker 1:

Et voilà, quand on parle au téléphone, on peut appeler en Chine. Oui, ok, c'est une ligne qui se communique Nous, on se communique par vibration.

Speaker 2:

Absolument Par énergie.

Speaker 1:

Oui, Alors, du coup, je fais ça par semaine Avant ça. Excusez, c'est vrai. Je lui ai dit, je lui ai dit marque sur un papier ce que Tu vas rencontrer ton médecin dans cette semaine-là ou la semaine d'après, peu importe. Le médecin va te dire Wow, je ne sais pas ce qui se passe, mais c'est un miracle. Il dit Tu es sauvé. Il va te dire C'est un miracle, c'est correct. Jusque-là, j'ai fait du bariletard, qui commence à être de mieux en mieux tout à distance, évidemment.

Speaker 2:

Et après le 23 juillet, Karine, qu'est-ce qui s'est passé?

Speaker 1:

J'imagine que le médecin a dit Wow, c'est un miracle. Exactement, il lui a dit ça. Alors, lui, il me contacte par Skype, il m'explique ça, et puis, c'est là que nous, on sait qu'est-ce qui s'est passé. Alors voilà, c'est le recovery, tout était fait, et puis de mieux en mieux, puis les pilules, évidemment, qui descendaient, et puis la maladie de Crohn, qui n'existera plus en date d'aujourd'hui, alors, au moment où on se parle, en 2024, elle n'existe plus Dans son corps, il n'y a plus de maladie de Crohn, il n'y a plus de diagnostic de ça.

Speaker 2:

Ok, deux choses. La première chose, c'est quand Tu reçois l'information d'une mort potentielle, exact, et tu reçois l'information aussi que tu es la seule. Oui, est-ce que tu remets en question, est-ce que tu te dis voyons qu'est-ce qui se passe, c'est quoi cette information-là? Est-ce que tu sursautes quand tu entends que tu es la seule qui peut l'aider?

Speaker 1:

C'est drôle. La réponse est non. Je suis vraiment convaincue parce que, depuis que je suis toute petite, je suis déjà morte deux fois. On m'a ramenée, une fois parce que j'ai eu le virus chinois, et puis l'autre fois, c'est quand j'avais cinq ans, quand je suis tombée. Donc, je suis vraiment absolument sûre. Quand je reçois l'information, l'information est véridique, elle est vraie. Puis c'est là, ce n'est pas y pensé. Dix milliards d'années, c'est là. Moi, je te fais le message, that's it, ok, fait que le message arrive, c'est un gong. J'ai toutes les informations. Tout ce que je fais, c'est appeler. Donc, je suis comme un peu un intermédiaire entre on pourrait appeler son ange, son archange, ses parents décédés peu peu importe, je suis une personne pas décédée, mais je donne un exemple.

Speaker 2:

Tu sais, Je suis comme l'intermédiaire, tout simplement. Quand t'es décédée les deux fois, juste ouvrir la porte là-dessus, est-ce que t'as reçu de l'information sur comment serait ta vie ou pourquoi t'avais eu un diagnostic d'Asperger ou peu importe. Est'est que quand je suis, décédée.

Speaker 1:

Mettons plus celui de l'âge de 5 ans. Quand je suis revenue à moi, j'ai vu revu, en fait pour la première fois, parce qu'il faisait très, très noir. Alors, quand j'ai rouvert mes yeux, c'était la première fois que je revoyais pour la première fois. Donc, c'est comme si je suis née deux fois. Je suis née quand je suis petite, puis je suis née à cinq ans. Ok, et non seulement ça, mais j'ai respiré, re-respiré aussi, parce que j'ai pris une grosse, comme si je respirais pour la première fois. Ok, donc, j'ai pleuré, je suis allée, j'ai demandé à ma mère de m'aider, mais à cette épo, je suis allée dans la chambre, je me suis mis en petite bouche, je suis partie à pleurer Et tout de suite, la main, tu l'as sentie, voilà.

Speaker 1:

Et après ça, je me suis revirée sur le dos, puis j'ai compris, puis je me suis dit OK, je vais écouter, voilà, et ça commence, Mon journey commence. Ça a commencé un peu avant 5 ans, mais dis'avant cinq ans. Bon, comme je t'expliquais, tantôt, ma mère me prenait, ça me faisait mal, j'essayais de télépathiser, ça ne marchait pas. Mais à partir de cinq ans, il y a comme eu un renouveau. Puis là, j'ai compris mon chemin de vie, encore plus que jamais À l'âge de cinq ans.

Speaker 2:

Et là tu sens que c'est le moment pour toi de devenir superman, d'outrepasser certaines limitations que tu peux avoir sur le fait de parler de l'éclairage, et tout ça. C'est que le message est tellement grand, le message est tellement puissant, tu le sens, que c'est à ton tour.

Speaker 1:

La réponse est oui, tout à fait. On est rendu dans un air où on est plus capable de parler de Reiki. puis, les gens ne font plus une face bizarre quand tu leur dis tu sais quoi? t'es maître Rikiba, c'est quoi ça? On en a encore. mais je dis, le monde commence à savoir un peu plus qu'avant, le monde a l'air plus ouvert aussi, un peu plus qu'avant aussi, par rapport à ça, je te dis c'est pas parfait, évidemment pas. Alors, c'est pour ça que je me laisse tenter en expliquant qui je suis, parce qu'en étant aujourd'hui avec toi, évidemment qu'on ne va pas se le cacher puis en étant à Tiche, je ne suis pas nécessairement super à l'aise, même si tout le monde pense que je suis à l'aise génial, merci petit cœur à tout le monde. mais je ne suis pas super à l'aise. puis, de raconter ça. bien, ils vont le savoir. OK, j'en ai préparé quelques-uns aussi déjà d'avance, mais, ceci dit, c'est ça Fait que je suis prête à m'ouvrir au monde pour expliquer ça.

Speaker 1:

Puis, est-ce que je peux me permettre de revenir sur l'histoire des athlète ou une personne, monsieur, dans tout le monde, que même eux ne savent même pas, puis que si on peut le corriger, le modifier, le changer, je ne veux pas, choisissez le terme que vous voulez. OK, faire l'évolution de vous allez pouvoir mieux performer, mieux faire votre vie, mieux avoir la capacité d'aller un peu plus loin, puis être une meilleure version. Fait que si on prend Karine 1.0, tu pourrais facilement devenir la Karine 2.0. Parce que j'ai une vision puis une façon de voir les choses qui est un peu différente. Je détecte des choses. Est-ce que je suis parfaite à 100%? Non, moi-même. des fois, je vois pas certains flags rouges ou la grouge, ou je vous aime déjà Dans notre version la plus pure, Toi.

Speaker 2:

Tu la vois, la version la plus élevée. On va l'appeler élevée, mais c'est pas, C'est au niveau de la fréquence c'est ça Effectivement Je vous vois Ça, ça a été vraiment, ça, c'était spectaculaire.

Speaker 1:

Depuis que je suis toute petite, j'ai eu beaucoup de misère à détecter. Puis, de cet aspect-là que tu viens de parler, c'est que je vous vois dans votre meilleure version de vous-même. Alors, quand moi je te parle, je te parle en disant ah bien, tu sais, parce que t'es comme ça, non, je ne suis pas. De même, ça m'a causé beaucoup, beaucoup de problèmes avec autrui à cause de ça, parce que je vous vois dans votre vraie version. Puis, je vois aussi vos qualités, vos défauts, mais je vois pas de vêtements. Thomas a dit je vois tout, tout. Fait que c'est difficile des fois d'aller plus à gauche, à droite, en haut, en bas pour vous parler, fait qu'il a fallu que je le comprenne. Même aujourd'hui, je pourrais m'enfarger, mais c'est à ça que ça sert la seconde chance pour essayer de revenir et de dire excuse-moi, c'est parce que j'avais compris que, en fait, c'est pas ça, elle, elle le sait pas, elle se voit pas Quand on se dit regarde-toi dans le miroir, tu vas te voir. Non, pas partout Dans ton miroir, t'as des filtres devant toi. Tu le sais pas, tu te vois, moi, tantôt, quand je me suis mis un petit peu de maquillage.

Speaker 1:

Vite, josée, je suis bien cute. Il y a des choses que je ne vois pas de moi-même. Ça prend une personne neutre pour se voir. C'est pour ça qu'il existe aussi les psychologues. By the way, je ne ferai pas leur métier, ils sont bien le fun, ils ont bien des affaires. J'en ai une moi-même, mais c'est toujours le fun d'évoluer. C' version de toi ou je vois cette version-là sans blocage ou dans cette totalité-là, je ne sais pas comment le dire.

Speaker 2:

Vraiment, je ne sais pas si j'ai les bons mots, mais tu vois cette version-là très brillante, peux-tu la qualifier comme ça, je pense que oui.

Speaker 1:

C'est même difficile pour moi d'expliquer les vrais mots, thèmes, quoi que ce soit, Je te vois vraiment oui, dans ta totalité. Donc, ton toi, ton énergétique, ton âme, tes émotions, ce que tu dégages en odeur, en lumière, en tout ce que tu veux.

Speaker 2:

Ça veut dire que tu me vois, oui, habillée en rose, puis avec ma jupette, mais qu'est-ce que tu vois d'autres, est-ce que?

Speaker 1:

tu peux. Je vois l'énergie du chi autour de toi. Moi, je ne vois pas les couleurs. Encore J'ai commencé à les voir. Il y a des gens qui voient les couleurs. Moi, je vois l'énergie du chi. Donc, si vraiment tu as une bonne énergie, fait que, mettons que c'est comme un. On pourrait dire que c'est comme un halo blanc, on pourrait le décrire comme une brume, plus en audio. Donc, mettons qu'on voit que sur ton bras, il y en aurait plus, mais sur l'épaule, ici, mettons qu'il y en aurait moins. Il y a peut-être une problématique à regarder sur cette épaule-là, mais il y en a une.

Speaker 2:

Je veux juste te dire Tu dis ça de même, comme par hasard.

Speaker 1:

Je veux juste te dire you're right on, mais je dis ça de même, comme si je ne l'avais pas pas vu. Ok, mais ceci étant dit, je vais faire semblant, je vais me cacher en arrière de mes lunettes.

Speaker 1:

Non, non vas-y, tu as le droit, tu as le droit, fait que c'est ça. Mais c'est ça pour dire que, exactement, il y a des choses comme ça que j'arrive à percevoir, et je peux travailler avec l'énergie du chi, je peux travailler au fait qu'on peut rétablir cette couche de protection qui va t'aider face à l'énergie des autres à ce moment-là. Voilà comment je suis.

Speaker 2:

Est-ce que tu vois autre chose? Parce que c'est tellement fascinant. Donc ces qualités ces défauts, tout ce que tu as nommé tantôt. Laisse-moi juste rentrer, s'il te plaît, dans ton univers un petit coup encore.

Speaker 1:

Après, je t'ai dit je ne gros plus évidemment que je suis capable de détecter, quand est-ce que vous allez mourir, passer de l'autre côté. C'est ce qui est arrivé justement avec le monsieur, Et je vais te conter une autre anecdote d'un autre monsieur, si je peux me permettre.

Speaker 1:

Et lui est décédé aujourd'hui. Donc, on est en train de faire une séance de Reiki et j'ai reçu le fameux gong. Donc, le gong peut être quelque chose qu'on peut rétablir ou quelque chose qui doit se terminer D'accord. Et le monsieur avait soi-disant le diabète de type 2. Je l'ai regardé en plein les yeux, puis je lui ai dit j'ai quelque chose à dire tout de suite. Tu n'as pas le diabète de type 2. Tu as un cancer de phase 4 terminale. Tu vas mourir. On parle de jour, mois, on parle pas d'année. Pis, j'ai dit, by the way, le message est le suivant faut que t'ailles voir ton testament, parce que y'a peut-être quelque chose à corriger dedans ou dans ta vie, y'a quelque chose à corriger, on m'envoie te donner le message.

Speaker 1:

De même, il dit tu me dis ça comme ça. De même, désolé, j on n'a pas beaucoup de temps. Tu vas voir, tu n'auras pas beaucoup de temps. Il va falloir que tu règles tes choses au plus vite avant de quitter. Si tu veux que tu vas aller régler, excusez-moi, on me laisse cette chance-là pour toi. C'est tout ce que je peux te dire. Il m'a regardée, ça n'a plus quoi dire. La semaine qui a suivi, les quelques jours après que je lui ai mentionné, il a reçu le téléphone du médecin. Le médecin lui dit tu n'as pas le diabète de type 2. Tu as un cancer génétique, tu as un cancer en phase 4. Oui, voilà.

Speaker 2:

Et il a réglé ses choses.

Speaker 1:

Ça, je ne sais pas La suite.

Speaker 2:

On ne connaît pas La suite.

Speaker 1:

On lui souhaite d'avoir une chance. Tout, effectivement, un petit peu plus. Il est parti, wow, ok, est-ce que c'est le même pour tout le monde? Non, bien sûr. Il y a des gens que non, je ne vais pas avoir le gant. Il y a des gens que je ne saurais même pas pour vous. Je suis un transmetteur de messages, je suis un intermédiaire, mais je suis un petit peu plus qu'un intermédiaire aussi. Ok, petit peu plus qu'un intermédiaire aussi, parce que je vois des choses, j'essaie des choses et comme je me souviens de mes vies passées pas toutes, toutes, parce que je préfère plus les importantes, on va dire parce que c'est eux autres que je m'attarde le plus. C'est grâce à ça aussi que je suis capable d'avoir ces dons-là et que, des fois, je me retrouve à être l'unique personne qui Marie-Josée, t'es fascinante.

Speaker 2:

Merci, t'as été extraordinaire pendant cet épisode. Merci d'avoir outrepassé tout ce qui pouvait te déranger. T'es en parfait contrôle, claire, fascinante, vraiment. Puis j'ai hâte d'aller te voir à ton bureau. Je suis convaincue que tu vas me faire un grand bien. Ah, je suis persuadée Les petites mains magiques, on les aime. On les aime, les petites mains magiques.

Speaker 1:

Mais merci, un petit cœur, merci beaucoup, j'apprécie.

Speaker 2:

Un grand plaisir. Et si vous avez aussi envie de découvrir la magie de Marie-Josée, ses dons, ses capacités, entrer dans son univers, la laisser elle aussi entrer dans votre univers et regarder qu'est-ce que ça peut créer, vous avez tout le lien dans le descriptif. Vous allez pouvoir la contacter, prendre un rendez-vous à distance en présentiel. Tout est bon. Tout est bon. oui, marie-josée. merci infiniment.

Speaker 1:

Merci, merci, merci Merci je t'aime.

Speaker 2:

Merci à vous d'être là. Je vous aime aussi. C'est un grand bonheur de partager ces moments d'intimité avec mes invités, avec vous aussi, Non pas pour être dans le jugement, juste pour être dans l'ouverture puis voir qu'est-ce qui résonne en vous, qu'est-ce qui résonne pour vous, qu'est-ce qui vous fait du bien. Si vous avez quelque chose que vous avez retenu particulièrement, vous êtes les bienvenus à me laisser un message. Si vous aimez l'aventure du podcast Impacter le monde il y a certainement d'autres épisodes aussi-