Impacter le monde avec Karine Champagne

69. Se voir autrement avec Magalie Boulerice

Karine Champagne Season 2 Episode 69

Tu peux directement me texter tes commentaires!

Magalie Boulerice, photographe et coach en visibilité, nous rejoint pour une discussion fascinante sur l'importance de se percevoir sous un angle nouveau.
 Son récit personnel illustre comment une rencontre inattendue a pu transformer sa perception d'elle-même, mettant en lumière la beauté physique et invisible souvent voilée par des croyances limitantes.

Elle partage avec nous ses découvertes sur comment les perceptions extérieures influencent notre estime de soi et peuvent nous inciter à nous voir d'une manière plus positive et valorisante.

Pour rejoindre Magalie Boulerice

https://www.instagram.com/magalieboulerice_photo/

https://magalieboulerice.com/

https://www.facebook.com/media/set/?set=a.112985834153126&type=3


Pour participer à la retraite d'un jour Mange-Prie-Aime-Joue
Inscris-toi ici!
https://www.karinechampagne.ca/mange-prie-aime-joue-2

Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
www.karinechampagne.ca/impact

Pour explorer l'univers de la question:
www.karinechampagne.ca 

Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

www.karinechampagne.ca
www.karinechampagne.ca/podcast
www.karinechampagne.ca/impact

Speaker 1:

Elles ont appris à se voir en photo et à s'aimer Et, peu importe leur poids, elles sont capables de se trouver belles et d'avoir du plaisir en photo, puis de voir les photos et de se dire wow.

Speaker 2:

Allô, allô. Je te souhaite la bienvenue à un autre épisode du podcast Impacter le monde. Est-ce que tu es capable de reconnaître toute ta beauté? Est-ce que tu es capable de reconnaître toute ta grandeur? Est-ce que tu es capable de te voir autant dans ton aspect physique que du côté invisible? J'ai tellement hâte de voir où la conversation va nous mener avec Magali Boulris, qui est photographe et coach en visibilité. Magali, es-tu prête à impacter le monde? Oh que oui. J'ai plein de frissons, je suis prête. Oh oui, il y a même Milo qui est déjà prêt aussi à t'entendre. Il a l'air déjà captivé.

Speaker 1:

Qu'est-ce que c'est vraiment d'arriver à changer la perspective des gens? Parce que je trouve que souvent, on avance dans notre vie, puis on se fait dire les mêmes choses over and over, une fois après l'autre, puis ça ne change rien dans notre façon de faire. puis, à un moment donné, il y a quelqu'un qui débarque dans notre vie, nous amène une autre perspective, une autre façon de voir un certain sujet, une façon de vivre notre vie, puis là, c'est là qu'on fait le ah, le ah, le ah ah. moment, le moment où on fait ah oui. Puis, quand on arrive à avoir ces moments-là, c'est là que les gens ont un impact sur nous, parce qu'on voit les choses différemment, tout d'un coup. C'est ça, impacter le monde, c'est arriver à changer la perspective des gens Dans les dernières années.

Speaker 2:

Tu exerces maintenant le métier de photographe et pour être en mesure de voir la beauté chez les femmes, chez les entrepreneurs, chez les hommes, chez les gens que tu photographies, tu as passé à travers ton propre processus de te voir. Oui, Et de quelle façon as-tu réussi à te voir complètement?

Speaker 1:

Ouf, je suis une personne très intuitive, moi.

Speaker 1:

Je l'ai salée, je le sens dans mon corps, Je sens la question. Fait que très intuitive. Je le sens dans mon corps, Je sens la question. Je me suis toujours considérée comme une personne très ordinaire. Je me suis toujours considérée, j'ai toujours trouvé que mes amis étaient plus belles. J'ai grandi, j'ai toujours été celle qui passait un peu sous le radar. Je me suis dit moi, dans la vie, si je veux qu'on me remarque, il faut que je sois fine, il faut que je sois drôle, il faut que je sois One of the boys, one of the boys.

Speaker 1:

Faut que je prenne ma place de cette façon-là, parce que ça sera pas par ma beauté que je vais prendre ma place. Puis, j'ai cru ça longtemps Et J'ai cru ça longtemps Et, à un moment donné, j'ai fait un voyage avec un groupe de femmes que je ne connaissais pas du tout, du tout. Puis, il y a une jeune fille qui avait à peu près 20 ans moins que moi, puis elle a commencé à me faire des compliments. Puis j'ai compris que sa perception qu'elle avait de moi n'était pas la même que la perception que moi, j'avais de moi-même. Puis, moi, je disais mais voyons, tu sais, on ne se connaît pas. Elle n'avait pas besoin de me flatter ou d'être fine avec moi. On passe une semaine ensemble, puis elle dit Ah non, je trouve que tu es fit, tu es le fun, tu es belle, tu es belle à voir en maillot.

Speaker 1:

J'étais là. Ben non, moi, je bourlais là, j'ai ça. Elle était là. Non, t'es solide, t'es costaude, t'es belle à voir. Puis j'étais comme ah ouais, il y a des gens qui pensent ça de moi. Fait, que j'ai comme réalisé que la perception que j'avais de moi, elle était fausse, et ça a été comme le début d'un processus. Mais il a fallu qu'il y ait quelqu'un qui vienne me dire quelle était sa perception qu'elle avait de moi, pour que je commence à écouter et que je m'autorise à changer ma perspective, la perception que j'ai de moi-même, et ça c'est très gros.

Speaker 2:

On pourrait déjà faire juste une heure là-dessus La perception qu'on a de nous-mêmes. Oui, tu as sous ta lentille des dizaines, voire des centaines de femmes. Et combien de ces femmes-là que tu as vues ou à qui tu parles à travers tes accompagnements, peu importe qui ne se trouvent pas adéquates?

Speaker 1:

qui ne se trouvent pas belles. Je te dirais 95 %.

Speaker 2:

Oui.

Speaker 1:

Et la différence entre le 95 % qui ne se trouve pas adéquate et le 5 % qui se trouve adéquate, c'est que le 5 %, c'est des clientes qui reviennent. C'est des clientes qui sont habituées de faire la photo, qu'elles ont appris à se voir. Elles ont appris à se voir en photo et à s'aimer Et, peu importe leur poids, elles sont capables de se trouver belles et d'avoir du plaisir en photo, puis de voir les photos et de dire Wow, tu t'es surpassée, c'est magnifique, je suis super heureuse. Mais ça, il faut se rendre là, c'est un exercice.

Speaker 2:

Apprendre à se voir au niveau de l'image, de ce qu'on projette, de qui nous sommes. mais c'est apprendre à se voir, ça va au-delà de la photographie ou ça va au-delà du physique, C'est apprendre à se voir dans tous ces aspects de soi.

Speaker 1:

Bien, j'ai des frissons. C'est drôle, parce que, tu sais, je suis en photo. Puis la photo, c'est un médium en deux dimensions. Donc, nous, quand on se regarde aussi dans le miroir, on se voit en deux dimensions. On est habitué de se voir en deux dimensions. Donc, on se juge en deux dimensions, on se juge à l'unité. En piient notre corps, ils voient notre énergie, qui est ultra importante. Ils voient notre passé, notre histoire, nos moments de tristesse, ils vont voir un ensemble. Puis, c'est là que j'ai compris que mieux vaut se fier à quelqu'un qui a une vue d'ensemble, jusqu'à ce qu'on soit capable de se voir nous-mêmes, jusqu'à temps que, nous aussi, on soit capable de se voir sous cette vue d'ensemble-là de nous-mêmes Et de comprendre qu'on n'est pas juste un bourrelet, une serre dans tous les yeux ou des nouvelles rides.

Speaker 1:

C'est de voir qu'on est inspirante, on est rassembleuse, on est dynamique, on est. Parce que c'est ça que les gens nous disent quand ils nous voient de l'extérieur Fait qu'apprendre à se voir, c'est pas juste apprendre à aimer son corps, c'est apprendre à aimer sa personne, sa personnalité, son, tout, notre vie en 3D. Mais ça, c'est, c'est un exercice dans la vie là.

Speaker 2:

Écoute, tu parles de se voir en 2D ou en 3D, puis après, t'as nommé d'autres façons de se voir. Fait que je me dis c'est ça la 5D? Des fois, on parle de cette nouvelle terre, ok, ou de cette nouvelle ère, ou cette nouvelle conscience. Des fois, on va parler de la 5D comme étant cette prochaine dimension. Quand je me regarde juste en pièce détachée, comme tu l'as dit divinement là, je ne me regarde qu'avec des yeux terrestre et je ne vois pas la globalité de moi.

Speaker 1:

Si je veux élever ma conscience.

Speaker 2:

Si je veux accéder à plus, il faut que je me vois dans la totalité.

Speaker 1:

Oui. Puis se voir dans la totalité. Je suis recouverte de frissons. Se voir dans la totalité, c'est d'oser dire et affirmer je suis belle, je suis grandiose, je suis fière de ce que je fais et de ce que je réalise, je suis fière de mon parcours, je suis fière de vivre la vie que je mène, mais d'être capable de dire ça avec assurance oui, mais de le croire, de dire OK. Peut-être que toi, tu trouves que moi, je suis parfois de mauvaise humeur, ou ça se peut, parce qu'on a tous des petits côtés comme ça, mais c'est de se dire je suis fière de qui je suis, je suis fière de ma vie, mais je suis fière de qui je suis. Puis, il y a tellement trop peu de personnes, trop peu de femmes, qui sont fières d'elles. Ils vont faire des petites choses, ils vont se cacher, ils ne voudront pas prendre la place, la place qu'elles ont pas, la place qu'elles méritent. Il n'y a personne qui mérite d'avoir sa place. Tout le monde a sa place, mais il faut juste qu'elles prennent leur place.

Speaker 2:

Et quand tu parles de se voir comme je suis fière, je suis grandiose, je suis belle, ça vient aussi. Je suis en mesure de mettre mes limites, je suis en mesure de dire joyeusement oui, de dire joyeusement non, de dire ce qui fonctionne, c'est ça. Se voir aussi. Ça va au-delà de tout ce qu'on peut imaginer Se voir comment je suis, comment je me sens et comment je peux le nommer.

Speaker 1:

Mais c'est de se voir de je suis, comment je me sens et comment je peux le nommer. C'est de se voir de savoir qui on est et de se connaître suffisamment et d'affirmer que Pas d'affirmer. Mais quand quelqu'un nous dit quelque chose, c'est comme OK, je comprends, tu as ton opinion, mais moi, ce n'est pas comme ça que je vois ma vie. Moi, ce n'est pas comme ça que j'ai envie de vivre ma vie. Moi, c'est pas comme ça que je vois les choses. Et c'est d'être capable de J'aime pas ça dire comme mettre son pied à terre ou de tenir tête, parce que c'est pas ça. C'est juste de dire moi, ma vision des choses est différente. Et Et j'ose l'affirmer, et j'ose m'exprimer sur cette vision-là, je n'ai pas peur, tu n'es pas meilleur que moi parce que tu es cartésien. Tu n'es pas meilleur que moi parce que tu planifies plus que moi. Tu n'es pas meilleur que moi parce que tu fais les choses à ta façon. Moi, j'ai ma façon de faire les choses. Est-ce que c'est la seule façon? Non, mais je suis intrinsèquement confortable avec ma façon d'être et je suis capable de l'exprimer.

Speaker 1:

Je suis capable de dire haut et fort bien, moi, ma vie, c'est comme ça que j'ai envie de l'amener. Je le sais, que la société voudrait que, peut-être, je fasse ça, que je fasse ça, moi, ça ne me tente pas de faire ça. Puis j'ai le droit, parce que si je mène ma vie comme moi, je l'entends bien, je vais être beaucoup plus heureuse et l'impact que je vais avoir sur les gens autour va être beaucoup plus positif que si j'essaie de rentrer dans un moule et j'essaie de faire ce qu'on me dit de faire et que là, je suis profondément malheureuse. Je suis capable de le dire parce que j'ai vécu les deux.

Speaker 2:

Ça fait partie du processus, ça fait partie de l'évolution, de l'évolution. puis, il n'y a pas de bon, il n'y a pas de mauvais dans tout ça. Non, ça m'a servi. Exact, j'aime tellement quand tu parles de la vision, quand tu dis voici ma vision. On est encore dans une ère, vraiment, de correct, pas correct. Ça, c'est bon, ça c'est pas bon. Ça, c'accéder à plus de possibilités, et on dirait qu'on se refuse nous-mêmes de voir quelles sont les autres possibilités pour notre vie.

Speaker 1:

Exactement, mais on se limite. On se limite parce que on n'a pas la, on n'ose pas mettre nos rêves en réalité. Tu sais, moi, c'est niaiseux, mais j'avais, il y a quelques années, je cherchais une nouvelle voiture, puis j'avais un. Tu sais, tu cherches là. Voilà ce qui est disponible en ce moment. Il y a ça, il y a ça, il y a ça. Il n'y a rien qui me tentait. Puis, mon conjoint, qui est extraord, j'ai dit Bien, j'ai toujours voulu un Jeep», mais c'est toujours, ça a toujours été un rêve. Puis, moi, dans ma tête, en vieillissant, en grandissant, un rêve est quelque chose qui n'est pas atteignable, c'est quelque chose qui se passe dans notre tête mais qu'on ne met pas en application. Mais pourtant, j'en avais réalisé des rêves. Mais ce rêve-là, je l'avais classifié dans les rêves, impossible, impossible. Puis il m'a dit OK, on va aller en essayer un. J'étais là, hein? Puis, là, après ça, je me suis C'est pas cette histoire-là qui est importante, c'est le processus de réflexion que j'ai eu après Merci.

Speaker 1:

Puis où je me suis dit mais comment ça? je ne me suis jamais autorisée à faire les choses que j'avais envie de faire. Pourquoi est-ce que je ne me suis pas autorisée à vivre des expériences? Parce qu'on rentre dans une routine de vie, on rentre dans une façon de faire les choses, puis, sans s'en apercevoir bien, c'est là que je suis rendue dans ma vie, puis c'est comme ça que je fonctionne. Puis, ça m'a ouvert les yeux sur plein de choses. Ça m'a ouvert les yeux sur OK. Puis là, j'ai réalisé ce rêve-là, parce que je l'ai acheté, mon premier Jeep. Puis là, je me disais OK, c'est quoi le prochain?

Speaker 2:

C'est quoi le prochain rêve? Je vais dire le prochain Jeep. Moi, je l'ai vu d'encore, il est beau en temps.

Speaker 1:

Ça, c'est nouveau. Ça, c'était mon rêve d'il y a quatre ans que je n'ai pas pu avoir Là, c'est là. Mais tu sais, j'ai réalisé. Pourquoi est-ce que notre vie, ça ne serait pas ça rêve? J'avais un rêve d'avoir un chalet. Je me disais un jour, je vais habiter sur le bord de l'eau à ma retraite.

Speaker 2:

Mais pourquoi attendre? Mais qu'est-ce que j'aime dans le processus? même si là, on parle d'avoir un jeep ou d'avoir un chalet, ça n'a rien à voir, moi, j'aime juste le processus. Tu l'as super bien nommé. Mais Magali sur, ok. Mais est-ce que je vais m'autoriser à aller visiter, essayer, expérimenter, conduire, sentir, toucher, puis juste le laisser monter à savoir si, oui ou non, c'est vers quelque chose que j'ai envie de me tourner, ou sinon, juste me donner le loisir puis cocher la case? j'en ai essayé un, que je l'achète ou pas, c'est pas grave, non, non, mais ce n'est même pas l'objet.

Speaker 1:

Ce n'est pas ça. C'est de s'autoriser à essayer des choses pour enrichir notre vie.

Speaker 1:

Pas enrichir matériellement pour enrichir notre expérience de vie. Oui, puis d'arriver à, à, tu sais être heureux. Le bonheur, c'est quoi? c'est une suite d'événements heureux, c'est plein de choses que je fais dans la vie qui me rendent heureuse, et cette accumulation fait que je vis le bonheur. Je suis heureuse dans ma vie, je suis satisfaite de ma vie, mais pour l'être, il faut que je les fasse. Je suis heureuse dans ma vie, je suis satisfaite de ma vie, mais pour l'être, il faut que je les fasse, ces choses-là. Il faut que je m'écoute, il faut que je me pose la question mais c'est quoi que j'ai envie de vivre? C'est quoi que j'ai?

Speaker 1:

Tu sais, tu parles tout le temps de notre passage sur cette terre. Oui, moi, là, je regarde la vie, là, puis je me dis mais il n'y a pas assez de temps pour que je réalise tout ce que j'ai envie de faire. Puis, ce n'est pas, ah, mais tu es ingrate parce que tu n'es pas contente de ce que tu as. Ce n'est pas, j'en veux plus». C'est Je veux en faire plus, je veux en vivre plus, puis je veux le voir autrement.

Speaker 2:

Je veux voir la situation autrement. Pour moi, il est là le plus. Aussi, voici ce qui est devant moi. Peut-être que j'ai la perception que je ne peux pas le changer, mais il y a une chose que je peux faire, c'est changer ma vision Et c'est me voir à travers ceci autrement. C'est arrêter de me dénigrer, c'est arrêter de dire que moi, je ne suis pas chanceuse, c'est OK. Où est ma chance là-dedans?

Speaker 1:

De me voir grandir à travers les expériences que je vis, que je m'autorise à vivre.

Speaker 2:

Des expériences là, je m'en voudrais tellement qu'on n'en parle pas. T'en as vécu des pas pires, alors que t'es, T'as une formation en cinéma Et tu t'es retrouvée à Vancouver.

Speaker 1:

Parce que tu décides toi que tu vas aller expérimenter ta vie ailleurs, parce que je décide que j'ai, si je veux faire le métier que je veux. Je veux pas prendre la route facile, pis qu'on me donne des contacts, pis que j'arrive à le faire. J'ai le besoin de me prouver à moi-même que j'y arrive par moi-même. Fait que je décide de déménager à Vancouver, alors que je parle très peu l'anglais, et je décide que je m'en vais travailler en cinéma à Vancouver. J'ai 22 ans.

Speaker 1:

Et tu t'es retrouvée sur des plateaux de cinéma importants, important, oui, oui, oui, parce que c'est vraiment un endroit où il y avait beaucoup de films. Il y en a encore beaucoup de films Et, dans mon processus, j'ai travaillé avec Arnold Schwarzenegger, j'ai travaillé avec Halle Berry, avec Sharon Stone, avec Ryan Reynolds avant qu'ils soient super, ultra connus J'ai vécu, j'ai rencontré des gens extraordinaires, j'ai vécu des choses extraordinaires.

Speaker 2:

Et il y a même ton oeil, oui, mon oeil, ton oeil a fait Hollywood, mon oeil est à Hollywood.

Speaker 1:

Ton oeil a fait remplacer celui de Arnold. Oui, j'ai été la doublure de l'iris de Arnold Schwarzenegger sur le sixième jour. Quand il se fait cloner, on ne dérange pas M Arnold pour un oeil, pour une shot des risques. Puis il a les yeux bleus, puis il cherchait un oeil qui pouvait s'ouvrir, suffisamment grand pour être capable de capter toutes les risques. Puis le département de caméra m'a suggéré, alors j'ai prêté mon œil au tournage. Alors, quand Arnold se fait cloner, c'est mon œil.

Speaker 2:

Peux-tu croire qu'on parle de se voir autrement? Incroyable. Et ton œil était sur écran géant. Oui, wow, et combien de parties de toi n'as-tu pas vu encore? Mayalia, une mer de choses que tu peux accomplir.

Speaker 1:

Puis, à cette époque-là, je ne me voyais pas du tout non plus.

Speaker 2:

Ah non.

Speaker 1:

Non, j'étais zéro dans ma féminité, j'étais zéro dans, j'étais dans l'accomplissement. J'avais besoin de me prouver. Mais tu sais, comme on dit, chaque chemin, chaque période de la vie nous amène à où est-ce qu'on est aujourd'hui. Chaque période est importante, mais là, j'avais besoin de me prouver. Mais pas juste me prouver, j'avais besoin de me découvrir. J'avais envie de vivre, de me connaître suffisamment pour vivre la vie que moi, j'ai envie de vivre.

Speaker 2:

Peut-être que dans le processus de se voir ou se voir autrement vivre, Peut-être que dans le processus de se voir ou se voir autrement, il y a la partie accomplissement. Je suis convaincue Il y a différentes parties. Oui, peut-être qu'il y en a qui vont faire ça facilement, qui vont se découvrir, qui vont se voir. Puis il n'y aura peut-être pas de haut ou de bas, mais il y a cette partie-là du faire qui fait partie du processus pour se voir.

Speaker 1:

On a besoin de se prouver, d'explorer, d'explorer. Pour moi, ça a vraiment été. J'ai envie de savoir qui je suis, moi, sans influence extérieure. Parce que quand je suis allée à Vancouver, je me disais c'est magnifique, je pourrais être une princesse tchécoslovaque si je voulais. Je dis tchécoslovaque parce que je travaillais dans un restaurant et les gens, à cause de mon accent vu que je n'ai pas l'accent québécois quand je parle en anglais les gens pensaient que j'étais russe d'un pays slovaque ou de l'Europe de l'Est.

Speaker 1:

Je me disais ah, je pourrais faire semblant que je suis, je pourrais être celle qui je suis. Et j'ai réalisé que s'autoriser à être la personne qu'on a envie d'être, c'est un privilège extraordinaire, parce que, souvent, on ne se pose même pas la question mais qui suis-je, Qui est-ce que j'ai envie d'être? On fait juste être, mais de s'arrêter et de dire OK, mais moi, j'ai envie d'être qui, parce que j'ai le droit d'être la personne que j'ai envie d'être.

Speaker 2:

On est en pleine discussion avec Magali Boulris et vous avez d'ailleurs, dans la description du post, tous les détails pour la rejoindre, entre autres sur Instagram. Si déjà il y a des choses qui vous font réagir, si jamais vous avez peut-être envie d'être vu par la pupille de pseudo Arnold à travers la lentille de Magalie, c'est possible d'être photographié par elle, ou encore, sinon, juste d'engager la conversation. Bref, vous pouvez aller la rejoindre tout de suite. Mais quand tu me parles de T'aurais pu être une princesse slovaque, c'est le mot que t'as. Oui, oui, c'est-tu l'origine? si c'est la bonne. Il y a quelque chose de chouette parfois de dire quand il y a personne qui me connaît, je peux être qui je veux. Mais c'est une question qu'on peut utiliser aussi dans notre quotidien. Ok, si je n'avais pas à à être cette personne-là?

Speaker 1:

en tout temps, en tout temps, même s'il y a du monde qui me connaisse autour, oui, mais je pense que c'est une belle façon de se poser la question en disant s'il y a personne qui me connaît, qui j'ai envie d'être, mais là, après ça, c'est de s'autor à être cette personne-là dans la vraie vie.

Speaker 2:

Tu n'as pas besoin de faire de coming out, tu n'as pas besoin de faire d'annonce dans les journaux, tu le deviens. Oui, c'est tout. C'est super facile. Facile à dire là, mais Mais, c'est plus facile qu'on peut imaginer. Je pense qu'on se met beaucoup plus de blocage qu'on peut imaginer sur Oh, C'est ça la joie de la quarantaine où toi t'approches de la cinquantaine. moi, je l'ai franchie. Il y a quelque chose qui On dirait que le mur est pas mal plus facile à franchir, ou les obstacles sont plus faciles à franchir.

Speaker 1:

Bien, on n'a comme plus de temps à perdre. Non, on se dit c'est là.

Speaker 2:

si je veux avoir la vie que je souhaite, c'est maintenant, tu sais dans les choses que tu me disais, magalie, en pré-entrevue, ce qui m'allume de plus en plus, c'est de voir les femmes vivre et déployer leur fierté. Le mot fierté, tu en as glissé peut-être. Tu l'as glissé quelquefois dans notre conversation. Hier, tu m'en as beaucoup parlé. C'est ça que tu veux voir chez les femmes, que ce soit à travers ta lentille ou à travers ton accompagnement. Comment les femmes peuvent-elles être encore plus fières d'elles?

Speaker 1:

Pour moi, c'est ultra important. Pour moi, c'est la base de tout, parce que, pour Bien d'apprendre à se voir, premièrement d'apprendre à s'autoriser à être la personne qu'on a envie d'être, mais c'est aussi de s'autoriser à dire haut et fort qu'on est fier de faire ce qu'on fait, qu'on est fier de. On dirait qu'on a peur d'exprimer notre fierté parce qu'on a peur que les gens nous jugent. Puis, moi, ce que j'ai expérimenté dans les dernières années, c'est le contraire qui arrive, c'est que quand on commence à être fière, puis à exprimer cette fierté-là, les gens sont subjugués de voir qu'on s'assume, qu'on assume notre fierté, puis qu'on le dit haut et fort. Puis là, les gens viennent nous voir et sont comme Wow, c'est beau à voir. Ça devient comme un enchaînement.

Speaker 2:

Ça crée un momentum.

Speaker 1:

Ça crée un momentum. Mais pour moi, c'est super important, la photo, de faire la photo des femmes, de leur montrer à s'autoriser à se trouver belle. Parce que, regarde là, voici comment moi, je te vois. Ça, là c'est ma perception de toi. Là, les femmes font comme wow, c'est moi, ça, oui, c'est toi. Mais là, ce sentiment-là déjà de se trouver belle, de s'afficher belle, on n'est pas obligé de faire des pancartes sur le bord de l'autoroute, mais on peut se dire moi, je me trouve belle, moi, je suis bien dans ma peau. Puis, ça, c'est moi. C'est la première étape, selon moi. Ensuite, une fois qu'on Ça construit, ça crée une certaine confiance en soi, on devient de plus en plus confiante. Quand on se trouve belle, puis, j'ai pas besoin d'être la plus belle pour être belle, j'ai pas besoin d'être la plus intelligente pour être intelligente, j'ai pas besoin d'être la plus compétente dans mon domaine pour être compétente.

Speaker 2:

Puis, en même temps, il y a tellement de jugement sur la beauté et tout que tu peux être magnifique, mais tu ne corresponds pas aux standards. Puis tu penses que tu n'es pas belle à cause de ça.

Speaker 1:

Oui, mais tu sais, Beyoncé, mal éclairée est.

Speaker 1:

Elle est, comme nous autres, dans un selfie mal éclairé, pas maquillé, tu sais, fait, qu'il faut se donner la chance aussi. C'est de se dire je m'autorise à me trouver belle, mais je m'autorise à me mettre dans des situations où je prends soin de moi, où je me trouve belle. Puis, de là va naître une certaine confiance en soi, et de là va naître une certaine confiance en soi, et de là va naître une certaine fierté. Puis, pour moi, ça, c'est super important, parce que trop de femmes se cachent, trop de femmes n'osent pas, trop de femmes vont vivre leur vie parce qu'elles se disent bien, moi, c'est une vie par défaut, c'est une vie par défaut parce que je ne suis pas belle, parce que je ne suis pas ci, parce que je ne suis pas ça, alors que tout le monde est belle, toutes les femmes sont belles.

Speaker 1:

Il faut juste parfois se mettre sous une bonne lumière. Il faut se prendre en main. Si on a quelque chose qui nous dérange sur nous, de passer notre vie à dire ça, ça me dérange, passer notre vie à focusser sur le négatif, pourquoi je ne passerais pas plus de temps dans ma vie à focusser sur les choses que j'aime, sur moi, ma personnalité?

Speaker 2:

Puis se mettre en lumière. je trouve que c'est magnifique. En plus, t'es photographe. mais se mettre en lumière, c'est montrer aussi ce côté de personnalité-là. Si on est drôle, puis on n'arrête pas de se retenir dans notre humour, dans notre joie, dans notre exubérance, dans notre enthousiasme, On ne se met pas en lumière non plus. Il y a le physique, mais ça va au-delà du physique. Tu parlais du 5D, de l'énergie, de l'histoire, C'est tout ça qu'on peut mettre en lumière.

Speaker 1:

L'énergie. on parle de la fameuse photogénie, les gens qui disent je ne suis pas photogénique, on va régler la situation. La photogénie, ça n'existe pas. La photogénie, c'est simplement être à l'aise devant la caméra. Et qu'est-ce qui va faire qu'une personne va être à l'aise devant la caméra? C'est son énergie. Les gens petit type, les gens, quand ils vont poser, ils arrêtent de respirer. Ils pensent que prendre la pose, c'est C'est rentrer son ventre.

Speaker 1:

C'est ça qui est dur, c'est figé. C'est là qu'on a, on n'est pas à l'aise dans ces moments-là, mais c'est d'être dans notre énergie, c'est d'être. Donc, la photo va aller chercher ça. Une photo, une personne qui fait juste comme être belle et posée, c'est une photo ordinaire, c'est une photo ordinaire. Une personne dans son énergie, une personne dans sa personnalité, une personne qui va s'autoriser à être en photo. C'est là que la photo est wow, c'est là qu'on voit les étincelles dans les yeux, c'est là qu'on voit le dynamisme de la photo. C'est un bel exercice à faire, la photographie. Moi, j'ai des clientes qui viennent me voir puis qui me disent si je peux juste avoir une belle photo de profil, je serais heureuse. Mais je me dis mais c'est incroyable que ces gens-là, c'est juste ça qu'ils veulent. Non, non.

Speaker 1:

Mais attends là, Moi là, ce que je veux, c'est que tu ressortes de cette expérience-là que tu aies du plaisir, que tu t'es sentie à l'aise, que tu vives ça comme une expérience qui est un tremplin, un point de départ pour oser t'affirmer, puis oser être fière, parce que quand tu vas voir les photos, je te jure que tu vas te trouver magnifique, parce que c'est jamais arrivé qu'il y ait quelqu'un qui fait Ouais bien finalement. Non, j'avais raison, je suis vraiment pas belle, ça n'existe pas.

Speaker 2:

Puis pour te voir belle à travers la photographie, entre autres. Là, on va faire un résumé rapide de ton histoire. Tu pars, tu as 20-22 ans, tu t'en vas en Colombie-Britannique où tu as la chance de travailler pendant plusieurs années sur différents plateaux. Tu reviens avec un bébé en prime. Tu reviens vers le Québec où tu travailles dans une maison d'édition. Est-ce que c'est ta grand-mère qui se posait toujours la même question? mais quelle photo de moi je vais avoir quand je vais mourir? Non, c'est moi.

Speaker 1:

C'est toi qui disais ça? C'est moi qui disais ça Parce que je regardais, moi, ma mère, mes parents sont photographes. À la base, ma mère faisait beaucoup de photos, mais ma mère est décédée quand j'avais dans la trentaine. Puis, à un moment donné, je regardais mes photos.

Speaker 2:

C'est toujours elle qui te prenait en photo.

Speaker 1:

C'est toujours elle qui me prenait en photo, mais qui? et qui prenait après ça ma fille? mais c'est ma fille. Puis, je me disais mais moi, le jour où je vais mourir, c'est quoi les photos que les gens vont mettre de moi au salon funéraire? J'en ai pas de belles photos de moi. Puis, c'est vraiment venu me chercher. ça m'a vraiment marquée, parce que je me disais comment ça que j'ai pas la possibilité de me trouver belle. Je vais voir des filles en photo des amis, t'es belle ça. Mais moi, il n'y a jamais personne qui me dit ça, parce que j'en ai pas de photo de moi. Ça a comme été un moment déclencheur où je me suis dit OK, il faut que je fasse quelque chose par rapport à ça, il faut que je Pas, il faut que je me fasse un montage pour mes générales. Mais maintenant je me dis hé là, si je meurs.

Speaker 2:

Je suis correcte, J'ai du stock en masse. L'espèce de diaporama peut durer 4 heures, Mais ça, ça a été un déclencheur de commencer à faire des selfies, à devoir embaucher un photographe. C'est quoi qui se passe quand tu dis OK, ma mère n'est plus là, je n'ai plus ma photographe attitrée. Qu'est-ce que je fais à partir de maintenant pour me voir et me trouver belle?

Speaker 1:

Bien, en fait, j'ai, moi, commencé à faire de la photo. Moi, je me suis affirmée comme photographe, j'ai commencé à faire de la photo et dans ce processus-là, j'ai eu envie de vivre, moi aussi, l'expérience. En fait, à la base, j'ai vécu l'expérience pour être capable de mieux accompagner mes clientes en photo. Je me dis je ne peux pas les guider si je n'ai jamais été guidée, parce qu'on se souvient, j'ai une formation en photo, en argentique, à l'université. Je suis photographe depuis toujours, en sur le vif, paysage, et tout ça. Mais je n'ai pas de formation comme photographe portraitiste. Et puis, je décide de vivre des photoshoots avec des photographes. Au début, on fait des échanges, on va-tu comme, je fais comme ah, c'est pas super.

Speaker 1:

Là, je teste des poses, puis je teste des affaires. C'est en testant les poses, en testant les angles, en testant tout ça, que j'ai réalisé OK, mais c'est juste ça, finalement. C'est de savoir quel angle se mettre. C'est de savoir de s'assurer qu'on a une bonne lumière, parce que c'est le rôle de la photographe de s'assurer que la lumière est bonne. C'est de commencer à faire des selfies. Mais on peut faire un million de selfies, mais si on n'est pas dans des bonnes conditions lumineuses, on va avoir un million de pas belles photos, mais pourquoi je ne pourrais pas m'autoriser à être dans une bonne condition de lumière?

Speaker 1:

Pourquoi est-ce que je ne pourrais pas m'autoriser à mettre des vêtements dans lesquels je vais me sentir bien? je vais me sentir fière. C'est un processus qui s'est passé dans ma vie en même temps que je le faisais vivre à mes clientes. Puis, ça m'a donné l'assurance de devenir la photographe que je suis aujourd'hui et de dire et d'affirmer haut et fort je suis fière du travail que je fais, je suis fière de travailler avec mes clientes, je suis fière de dire que c'est pas grave, si t'as jamais fait de séance photo, je te promets à 100%, à 120%, que tu vas aimer l'expérience, puis que tu vas apprendre à te voir différemment. Tu vas apprendre à te voir comment moi, je te vois Dans ton énergie, dans ton corps, dans ta façon de bouger. Parce que quand on On est habitué à se voir en photo Mon oncle a pris une photo à Noël Tout le monde se tasse vers le centre, comme si on avait peur de sortir du cadre. Puis là, on a juste ça comme référence. Pendant des années, on se dit ouf, pas fort.

Speaker 2:

C'est la photo où tu as les yeux fermés un peu, ou les yeux qui révulsent, puis la bouche pleine de gâteaux. Je ne suis pas photogénique, ça c'est la base. Ça, c'est la base.

Speaker 1:

Mais on a le droit de se trouver belle, puis on a le droit de se mettre dans des conditions pour être à notre meilleur, mais autant au niveau psychologique que physique. Souvent, vous remarquerez que quand on l'est dans le physique, on est bien dans notre tête.

Speaker 2:

Tu sais, je fais le parallèle avec ça dont on parlait, avec le podcast, où, pour moi, c'est une session d'énergie, C'est une session qui transforme, parfois pour les gens qui écoutent, les gens qui sont assis devant moi, ou pour moi-même. pour moi, c'est ça La photographie. des fois, on va dire ah oui, mais moi, je n'ai pas de raison de prendre une photo, d'avoir une session de photo, parce que je ne suis pas dans les médias. peu importe. Mais c'est au-delà de ça, Pour moi, c'est une forme de je ne sais pas si je peux employer le mot thérapie, mais c'est une forme d'expérience qui te permet de te sentir mieux, de relâcher des barrières, de te permettre peut-être une pause plus audacieuse que t'oserais pas. C'est ça, c'est se permettre de se voir et d'être vue par l'autre.

Speaker 1:

Puis c'est même pas pour montrer les photos aux autres, non, c'est pour nous les voir et faire comme Wow, c'est moi ça, mais je suis donc bien belle, je suis donc bien sexy, je suis donc bien radieuse. On le fait pour soi à la base. Après ça, si on veut les montrer, on veut les montrer, mais ce n'est même pas la raison principale pour faire des photos. C'est vraiment de. C'est pour nous, c'est une thérapie. Oui, absolument C'est une thérapie. Puis, à force d'en faire, ça devient addictif.

Speaker 2:

On aime bien ça. C'est vrai que c'est le fun de voir nos photos, puis de dire oh my god. On dirait que je me sens de mieux en mieux. Ça n'a rien à voir avec la beauté extérieure. Est-ce que j'aimais mieux quand j' de sagesse que je vois et cette profondeur que je vois à travers mes photos, que je ne voyais pas avant?

Speaker 1:

Oui, Mais c'est l'évolution. Oui, on photographie une évolution de notre personnalité. Quand je parlais du 5 % des femmes qui n'ont pas de problème en photo, c'est parce qu'elles sont habituées de faire de la photo, de vivre cette expérience-là. Ça change tout, ça change leur personnalité, ça change leur façon d'être. Wow.

Speaker 2:

Donc j'ai une question pour vous Est-ce? que vous êtes prêts à voir votre évolution? Est-ce que vous êtes prêts à vous voir autrement? Est-ce que vous êtes prêts à voir votre évolution? Est-ce que vous êtes prêts à vous voir autrement? Est-ce que vous êtes prêts à vous voir dans votre multidimensionnalité? Pas juste en 2D, pas juste. J'ai un bourrelet ici, j'ai de la cellulite là, j'ai des rites là. Est-ce que vous êtes prêts à vous voir dans votre globalité Et si oui, quel impact ça pourrait avoir dans votre vie? Magali Ali, merci tellement.

Speaker 1:

Si ça peut être un tremplin pour aller explorer d'autres choses. Je saurais que j'ai été utile sur cette terre.

Speaker 2:

Merci, merci, merci infiniment. Encore là, si vous avez des commentaires, des frissons, quelque chose à nous partager, on va être tellement, tellement, tellement heureuse de vous lire. Vous pouvez aller rejoindre encore une fois Magali à travers ce post, tous ses liens et, pourquoi pas? vous permettre ce tremplin vers une évolution personnelle et surtout, de vous offrir cet immense cadeau qui est de vous voir autrement. Merci encore, magali.

Speaker 1:

Merci à toi, ça fait du bien.

Speaker 2:

C'est le fun. Merci tellement et j'espère qu'on va se voir tout bientôt pour un autre épisode du podcast Impacter le monde.