Impacter le monde avec Karine Champagne

65. L'art de s'entreprendre avec puissance et zénitude avec Sonia Soleil

Karine Champagne

Tu peux directement me texter tes commentaires!

Et si vous pouviez transformer vos défis personnels en forces insoupçonnées? Dans cet épisode captivant d'Impacter le monde, nous recevons Sonia Dupont, alias la zen lifeuse, zen guerrière et zen coach en mindset créatif.

Sonia nous raconte comment elle a surmonté un traumatisme profond, celui d'avoir été victime d'un hold-up dans sa jeunesse, pour trouver une nouvelle résilience et se reconstruire.

Son livre "Zengerrière, la force de s'élever" est une source d'inspiration pour quiconque cherche à transformer les obstacles en opportunités de croissance personnelle.

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Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

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Speaker 1:

J'ai fait OK. Moi, je prends mon cours pour devenir parachutiste solo parce que c'est ça, clairement, présentement, que j'ai besoin Et à chaque shoot-lib, je pouvais crier, pleurer Le sentiment de liberté.

Speaker 2:

Allô, allô. je te souhaite la bienvenue à un autre épisode du podcast Impacter le monde. Tu sais qu'on peut toujours, toujours, retrouver la force de se relever et de s'élever. Combien de fois on peut se dire ou on peut dire aux autres, mais on est tellement plus forte qu'on peut le croire. Aujourd'hui, on va parler de s'entreprendre. Sonia Dupont, zen lifeuse, zen guerrière, zen coach, en mindset créatif. Elle est zen et tu vas voir, surtout tout ce qu'elle a traversé. Es-tu prête à impacter le monde? Ah oui, ça veut dire quoi pour?

Speaker 1:

toi, impacter le monde. Impacter le monde, c'est d'abord d'impacter son monde de l'intérieur vers l'extérieur, de faire une différence pour soi, justement, de s'élever, de se relever, de s'élever encore, avoir un impact auprès de ses enfants, de sa famille. Après ça, que ça rayonne autour de soi, mais vraiment à partir de racines lumineuses de l'intérieur pour être plus forte vers l'extérieur, c'est d'inspirer sa part de soi.

Speaker 2:

Oui, tu es aussi auteur, dans tous les titres que j'ai nommés, du livre Zengarrière, la force de s'élever, avec la préface de Karine Champagne« Zengarrière, la force de s'élever, tombe deux la. Le mot, quand on a fait la pré-entrevue qui vibrait, c'était s'entreprendre, exact, s'entreprendre. Qu'est-ce que ça veut dire pour toi, s'entreprendre? Quel sens tu lui donnes?

Speaker 1:

S'entreprendre, c'est d'arriver à créer son univers, créer son monde, trouver des solutions créatives pour changer des choses, changer des choses qui ne nous conviennent plus. Quand on a l'impression qu'il n'y a plus rien qui va, de trouver cette force. Comment je peux faire les choses autrement? Qu'est-ce qui est requis pour moi en ce moment? Quelle est l'action que je peux poser juste pour me sentir mieux, aller mieux?

Speaker 2:

Puis aller mieux. On va entrer dans un passage de ta vie qui va nous permettre de mettre les bases sur tout le reste de la conversation. Tu as eu des moments, des obstacles, des challenges, des défis, des expériences de vie je ne sais pas quels mots on peut leur donner, mais tu en as vécu beaucoup Et la force de s'entreprendre. C'est à travers toute cette base-là que tu as expérimenté. Tu as été d'abord victime d'un hold-up. Oui, début vingtaine, le gars t'a choisi, clairement. Il était dans la file d'attente et il disait non, non, je veux la petite caissière. Non, non, je veux la petite caissière. Non, non, je veux. Il laissait passer les gens devant toi pour être sûr. Qu'est-ce qui se passe à ce moment-là, quand lui arrive devant toi?

Speaker 1:

Quand il arrive devant moi, il ouvre son manteau, il sort un gun, il pointe sur moi, puis il dit prends ta carte, puis va me chercher 1000 $, parce qu'il y a un distributeur derrière moi. Et là, je prends une grande respiration. J'ai l'impression de voir que lui, l'institution financière, elle est bondée de monde.

Speaker 2:

On est au mois de décembre.

Speaker 1:

On est au mois de décembre, juste avant le congé, et tout ça, c'est avant bon, les guichets automatiques, dépôts directs, donc les fins de mois. Il y a beaucoup, beaucoup de gens Et mon seul souci, en fait, c'est que je dois avoir une bonne réaction pour éviter qu'ils s'en prennent aux gens qui sont là. Alors, je lui nomme, je prends ma carte, je vais chercher l'argent derrière, je fais juste regarder lui, je reviens, je lui donne l'argent et j'attends qu'il quitte avant d'aller avertir ma patronne et tout ça. J'attends qu'il quitte pour que tout le monde soit vraiment en sécurité. C'était clairement mon seul souci, c'est ma patronne et les policiers après qui sont arrivés qui ont fait toi, t'étais aussi en danger, mais je le voyais pas du tout Pour moi, c'était pas ma préoccupation.

Speaker 2:

Quel a été le rebound de ce moment-là dans ta vie?

Speaker 1:

L'impact Bien, sur le coup, ça a pas fait grand-chose. C'est comme Je suis forte, je suis capable. Tout ça, c'est au retour autour, quand il y a eu une impression de deuxième vol à main armée. Il y a quelqu'un qui se présente devant toi En faisant une blague, qui venait faire un gros retrait, mais moi, le choc, clairement, j'avais fait comme je cache ça, là je suis forte, rien. Là, il n'est arrivé rien à personne. Et c'est là que ça a fait comme OK, là je dois prendre une pause En.

Speaker 2:

Et c'est là que ça a fait comme OK, là je dois prendre une pause, mais en fait, tu l'as engueulée en plus, c'est ça.

Speaker 1:

Je ne me suis pas privée. Je suis sûre qu'il ne refera plus jamais ça.

Speaker 2:

C'était une mauvaise blague À ne pas faire Et comment tu te prends en charge à partir de ce moment-là, Parce que là, tu découvres qu'il y a quelque chose qui se passe à l'intérieur de toi. Tu n'es pas supposée de péter un plomb quand même, même si c'est vraiment une mauvaise blague auprès d'un client. Comment tu t'entreprends, Parce que c'est ça ton thème principal. Comment on s'entreprend après ceci.

Speaker 1:

Là, j'ai dit oui à la psychologue qui m'était offerte. Je vais laus, puis à la rencontre avec la psychologue, qui est une femme professionnelle, tout ça, puis elle faisait de son mieux, mais en même temps, moi, c'était comme, c'est pas ce que j'ai de besoin, c'est pas ce que j'ai de besoin, mais je me fais au processus. Tout le monde me dit que c'est ça qu'on doit faire.

Speaker 2:

Ah, ça, c'est un point important, parce qu' attend à ce que tu extériorises ta colère, que tu frappes un coussin, c'est ça. On s'attend à ce que tu dois Fais-le sortir, fais-le sortir.

Speaker 1:

Mais pour toi, ça vibre pas. Non, parce que j'étais pas en colère. J'étais pas en colère pour moi, parce que Qu'est-ce que tu ferais, sonia, s'il était devant toi? Ben, là m'intéresse profondément. Puis elle, c'est pas ça qu'elle voulait que tu réponds, non, elle voulait que je mette les deux points. puis elle s'est levée, puis elle donnait un coup de poing sur le bureau, puis il faut que tu exprimes. je me disais mais est-ce que c'est parce que je suis correcte ou pas, la colère? là, je dois être Là. je ne comprenais pas. Puis, là, je me dis bon, bien, je continue à me prêter un petit peu au processus.

Speaker 1:

Au jeu presque. Puis après, ça fait non, ça ne vibre pas. De quelle façon est-ce que je peux m'entreprendre, de quelle façon est-ce que je peux prendre soin de moi à travers ça et que ça serve aussi? Et là est venue l'idée. j'étais étudiante au Cégep de Sherbrooke. là est venue l'idée de donner des conférences en technique policière aux étudiants et étudiantes de technique policière au même Cégep, au Cégep de Sherbrooke. Alors là, je suis allée voir la personne responsable. Je lui ai dit voici ce que j'ai vécu avec tout le processus judiciaire portrait, robot, tout ça. Je serais prête à faire deux conférences, une sur le processus judiciaire et une comme moi en tant que victime, comment j'ai senti le processus. Et j'en ai donné plusieurs. Puis, c'est ça qui m'a aidée.

Speaker 2:

Est-ce que vous voyez déjà comment s'entreprendre, se conjuguer dans l'univers de Sonia? à quel point c'est extraordinaire? Tu as testé la méthode traditionnelle, qui peut fonctionner pour bien des gens, et c'est tout bon. C'est de qu'est-ce qui va me faire du bien et comment puis-je servir à travers ceci? Et si ce n'était pas victime de la situation même? Ou t'as été victime, oui, mais quand même, tu voulais le transcender puis le rendre encore plus grand.

Speaker 1:

Oui, parce que c'est pas ce qui allait me servir être victime. Puis j'avais envie de reprendre mon plein pouvoir. Puis, pour moi, s'entreprendre c'est aussi ça, C'est avoir le plein pouvoir des actions qu'on choisit de poser malgré ce qui nous arrive, on commence à comprendre le terme zen coach, zen lifers, c'est le côté zen.

Speaker 2:

De quelle façon pouvons-nous rester zen à travers peu importe ce qui se passe dans notre vie? Parce qu'il y a eu le hold-up, mais il y a aussi eu un décès tragique de ton conjoint alors que vous étiez encore très jeune, avec de jeunes enfants.

Speaker 1:

Oui, une mort d'un accident. Oui, pascal, il est parti un soir, puis il y a une voiture qui l'a happé, puis il est décédé sur le coup. Oui, mégane, ma fille. Elle avait trois ans, puis mon fils a cinq ans.

Speaker 2:

Alors tu te retrouves encore là, dans une autre situation où s'entreprendre prend une nouvelle conjugaison. Oui, tout à fait. De quelle façon tu l'as vécu, pour surtout, on peut même pas imaginer la douleur du processus. Mais quand tu décides assez rapidement de voir qu'est-ce que je fais pour mes enfants, pour moi, puis encore là pour le transcender, oui, Dans les premières journées, ça a clairement été de me lever chaque matin, serrer mes enfants dans mes bras.

Speaker 1:

En fait, on dormait les trois, les trois, très, très proches. Puis, tu sais, je n'avais plus d'emploi, je venais de démissionner.

Speaker 2:

C'est vrai, vous étiez en train de célébrer un nouveau départ pour que tu deviennes entrepreneur, pour que je devienne entrepreneur.

Speaker 1:

pour faire une différence, c'est de travailler avec l'humain. Vous deviez partir en vacances Pour aller créer mon plan d'affaires parce qu'il n'était pas tout à fait clair à ce moment-là, donc moment-là.

Speaker 2:

Il n'y a plus de vacances, il n'y a plus de conjoints, il n'y a plus d'argent, il n'y a plus d'entrée d'argent.

Speaker 1:

Donc, ça a été là rapidement. J'ai regardé mes enfants, J'ai fait OK, j'ai du temps de qualité et de quantité avec eux Maintenant, c'est ce que j'ai de besoin, C'est ce qu'ils ont de besoin. Alors je pourrais créer. Je ne me voyais pas aller travailler, retourner travailler à temps plein. Pour moi, ça ne faisait pas de sens. J'avais envie de créer vraiment une autre bulle être avec eux, mais avoir des revenus, évidemment, pour subvenir à leurs besoins. Portant maintenant le chapeau de cheffe de famille, Oui, Alors j'ai ouvert une garderie.

Speaker 2:

T'as ouvert une garderie, oui, mais combien de temps il y a le délai entre ce qui arrive dans ta vie? t'absorbes le choc, puis, en même temps, t'as pas le choix de te retrousser les manches ou presque, parce que c'est une question de sécurité financière, de manger et tout, bien que certainement des gens qui t'ont aidé.

Speaker 1:

Mais c'est de ton amoureux. Puis l'ouverture de la garderie Quelques mois, quelques mois, quelques mois, quelques mois, parce que ça devait se faire vite et juste avant de prendre la décision d'ouvrir la garderie, ce qui m'était monté en tête juste avant ça, j'ai quand même honoré certains contrats que j'avais avant de quitter mon entreprise, de quitter mon entreprise, de quitter l'emploi pour mon entreprise, et un de ces contrôles-là, c'était de donner une formation. Et je m'étais retrouvée sur scène, devant les gens, et j'ai figé. J'ai figé parce que je me sentais bien trop vulnérable. J'ai fait, mais ce n'est pas possible, je ne peux pas aller dans ce sens-là présentement.

Speaker 1:

C'est se mettre à nu un peu derrière le micro, devant une foule, puis non, je me sentais trop fragile, trop fragile, ça fait comme non, je ne vais pas là. Puis l'idée de revenir à la maison, dans ma bulle, c'est ça qui était avec mes enfants. Donc, quelques mois s'étaient coulés, j'ai ouvert la garderie. Puis, là, on a pris un rythme, on a créé un nouvel espace, on a pris un rythme où est-ce qu'on pouvait être ensemble, en sécurité, vivre nos émotions?

Speaker 2:

Oui, S'entreprendre aussi sur le fly. J'ai envie, j'ai le mot fly. Clairement, Il y a quelque chose à l'intérieur de toi qui est très souffrant, qui est un peu mort. Il y a une partie de toi qui est moins vivante Et là tu te dis de quelle façon puis-je retrouver cette partie vivante en moi?

Speaker 1:

Oui, parce que la vie continuait. La vie continue toujours. La vie continuait avec une, une partie de moi qui était tellement éteinte, vraiment, et j'ai fait, mais non pour moi, puis pour mes enfants, puis ça ne me ressemble pas. J'ai envie de retrouver ce vivant-là, ce pétillant-là. Et comment? à travers quelle?

Speaker 2:

activité. Vous allez voir, ce n'est pas banal, l'activité.

Speaker 1:

Bien, oui, mais là j'ai fait. Mais qu'est-ce qui me rendrait vivante? L'idée m'est venue de m'envoyer en l'air.

Speaker 2:

Alertissement Ça à ma soeur.

Speaker 1:

Là, je dis ça à ma soeur. Il me semble que ce qui me ferait du bien, c'est de m'envoyer en l'air, Mais je ne me rends pas compte, justement du sens de l'interprétation. Là, elle fait comme Je dirais qu'il y a bien du monde qui m'accompagne, attends donne-moi plus de détails.

Speaker 2:

Il y a des images bizarres.

Speaker 1:

Je disais oui, oui, mais ça fait longtemps que j'ai envie de sauter en parachute. Puis, pascal, lui, ce n'est pas quelque chose qu'il tentait, ce n'était pas un projet qui était commun en plus, parce qu'on rêvait souvent ensemble de faire plein de choses, mais pas celui-là Fait que c'est vraiment mon projet. Alors, on book, ça, saut en parachute, écoute, un premier tandem 13 500 pieds dans les airs. Je me sens vibrer. Je sais comme OK, là, il y a quelque chose, là, il y a quelque chose. En atterrissant, mes enfants viennent, courent vers moi, maman m. Puis, là, je sens qu'il y a quelque chose eux aussi. C'est un nouvel univers qui n'a aucune référence au passé.

Speaker 1:

J'ai rebooké déjà un deuxième saut. Je vais aller voir si c'est vraiment vrai que ça m'a fait du bien. Deuxième tandem, tout de suite, prévu pour le lendemain matin. J'ai fait clairement présentement que j'ai besoin Et à chaque shoot-limb, je pouvais crier, pleurer, je vivais tout ce que La porte de l'avion l'ouvrait, je me mettais sur le bord, prête à plonger dans le ciel comme on plonge dans une piscine. Le sentiment de liberté, de vie, de vie, de Ouais. C'était tellement, mais tellement puissant. Puis ça me donnait la drive, l'énergie, la présence aussi, pour passer une autre semaine avant de retourner monter le week-end. D'après, t'as sauté combien?

Speaker 2:

de fois, une vingtaine, une vingtaine de fois toutes les semaines. Oui, plus ou moins, ou presqueingtaine de fois toutes les semaines.

Speaker 1:

Oui, toujours. Plus ou moins, ou presque Plus ou moins à chaque semaine.

Speaker 2:

Puis s'entreprendre aussi. ton côté entrepreneur est vraiment hyper inspirant, parce que là, tu vois les enfants des parachutistes, qui sont assez jeunes, qui se promènent tout seuls, qui jouent tout seuls en attendant que les parents s'envoient en l'air.

Speaker 1:

Oui, exact, parce que ça a un coût, évidemment, cette formation-là. Là, je fais comme est-ce que c'est possible pour moi de m'offrir cette formation-là? Puis, je ne suis pas le genre à dire non à un projet avant d'observer voir OK, qu'est-ce que je peux faire, qu'est-ce que je pourrais mettre en place pour arriver à réaliser ce rêve-là ou ce projet-là.

Speaker 2:

Oui, donc, tu sais juste, si vous nous entendez bien là-dessus, c'est, des fois, on a des gros projets, puis on n'a pas nécessairement les finances, puis, bien souvent, la plupart des gens, puis tu en as sûrement accompagné plein qui disent ah oui, mais ça ne marchera jamais. Tu sais, pour dire OK, qu'est-ce que je dois faire pour pouvoir aller créer? Qu'est-ce que je dois créer, quelle énergie je peux sortir, qu'est-ce que je peux inventer?

Speaker 1:

Exact. Alors, c'est là, comme tu dis, que j'observe, je me mets en observation. Bon, ok, qu'est-ce que je peux faire pour, justement, aller trouver les ressources pour pouvoir me payer ce cours-là? Et là, je vois les enfants qui s'amusent entre eux, un peu laissés à eux-mêmes, avec la supervision de tous les autres parachutistes qui n'étaient pas dans le ciel. Je me dis, je vais les entertainer, moi, je vais m'en occuper de ces jeunes-là. Puis là, je vais avoir comme un genre de camp de jour où est-ce que je faisais des activités super le fun, super tripantes. C'était bon pour mes jeunes, aussi, pour les enfants. Puis les parents, ils avaient la tête tranquille. Puis, avec cet argent-là, j'ai pu me payer ma formation.

Speaker 2:

Est-ce que ce n'est pas magnifique de voir ta créativité. Puis, ça aussi, quand tu parles de Zen Coach en mindset créatif, c'est ça, c'est quelle est la créativité que je peux utiliser à partir de maintenant dans ce qui se passe dans ma vie? là, là.

Speaker 1:

Oui, parce qu'on a cette force créative-là pour trouver des solutions, pour trouver des solutions qui sont qu'on ne voit pas toujours nécessairement. Puis, bon, on peut poser des questions, comme tu le fais, pour ouvrir nos horizons, ou juste s'arrêter Puis, ok, qu'est-ce que je pourrais entreprendre? Comment je pourrais entreprendre de façon différente?

Speaker 2:

Tu sais que tu nous as parlé de ton accompagnement, que tu as eu après le premier événement qu'on appelle ici le hold-up. Tu n'avais pas vraiment accroché sur le type d'accompagnement plutôt traditionnel. Est-ce que ça t'a donné le goût de lire davantage, de faire plus de développement personnel? Est-ce que c'est ça qui t'a donné encore plus le goût de t'empuissancer, de t'entreprendre dans toutes les sphères?

Speaker 1:

Ça fait partie de moi, le développement personnel a toujours fait partie de moi. Ça m'a donné le goût d'ouvrir encore plus grand sur des choses que je ne connaissais pas encore Et d'aller chercher diverses formations aussi, parce que je suis super curieuse. Je suis super curieuse de voir qu'est-ce qu'il y a d'autre de possible, qu'est-ce qu'il y a d'autre de possible, et de venir goûter à. OK, il y a une façon super efficace pour une personne, qui peut fonctionner, puis pas pour une autre, puis c'est OK. il faut tellement se permettre, puis je dirais même, de s'amuser à découvrir différentes façons pour apprendre à se connaître aussi, puis développer cette intuition-là de quelle ressource est bonne pour moi en ce moment. parce que, oui, ça peut être d'aller voir, tu sais, d'aller en forme de thérapie plus traditionnelle, ça peut être de façon plus éclatée, ça peut être de sauter en parachute Exact.

Speaker 2:

Puis, à un moment donné, il y a ton fils qui te regarde et qui te dit maman, je ne veux plus que tu sautes. Et là, tu as capté cette énergie-là qui était le temps pour toi de passer à autre chose.

Speaker 1:

Oui, Puis, tu sais, il faut comprendre que Raphaël, le soir que son père est parti, il avait fait une méga crise qu'il n'avait jamais fait auparavant, en disant à son père de ne pas y aller, de ne pas partir ce soir-là, et il avait cinq ans. Alors, quelques années après, quand Raphaël m'a pris les deux jambes et il m'a dit vas-y plus, maman saute en parachute, possiblement qu'il ne me serait rien arrivé. Mais moi, je me suis mis à sa hauteur, je l'ai regardée dans les yeux, j'ai dit c'est correct, raphaël, ma mère n'ira plus sauter en parachute. Parce que, pour moi, ce qui était le plus important, c'est qu'ils comprennent que ce qu'ils disaient, ça avait de la valeur.

Speaker 2:

Oui, Et là tu es passée du saut en parachute à faire du yoga. C, à faire du yoga, c'est pas mal plus calme, légèrement. Parce que ta question, c'est qu'est-ce qui va me permettre de me?

Speaker 1:

sentir vivante. Oui, mais j'étais quand même rendue ailleurs. En fait, avec le recul, je fais comme OK, oui, le temps était venu pour moi de plonger vraiment plus deep, plus à l'intérieur de moi, d'aller voir et de libérer mon corps, parce que le corps, il reste pris avec les chocs émotionnels, entre autres. Puis, je sentais qu'il me manquait de place à l'intérieur de moi. C'est clairement ça. Et à force de Puis, je me disais OK, comment je peux créer de l'espace à l'intérieur de moi pour mieux respirer, me sentir plus libre de l'intérieur? Le parachute m'a aidée à me sentir libre, exploser des choses, Mais à l'intérieur de mon corps, je me sentais quand même coincée, no-transcript, parce que sinon je ne le mettais pas de façon très assidue à l'horaire pour vraiment voir l'impact.

Speaker 1:

Puis là, je me dis comment est-ce que je pourrais être plus disciplinée, puis m'assurer que je la fasse? ma, c'est ça qui allait être bien pour moi respirer, méditer, puis faire pratiquer le yoga. Alors là, je me suis inscrite à la formation professorale de yoga, ce qui m'obligeait à m'arrêter, no-transcript. Puis, j'ai créé de l'espace. J'ai créé de l'espace, beaucoup d'espace, à l'intérieur de moi.

Speaker 2:

Puis, à ce que je vois avec ton trajet de vie. À chaque fois, tu te dis comment puis-je faire un impact encore plus grand?

Speaker 1:

Tu as toujours ta garderie à ce moment-là, À ce moment-là, j'ai toujours la garderie Et les enfants commencent à faire du yoga.

Speaker 2:

Et les enfants commencent à faire du yoga pour les adultes. Est-ce que tu leur?

Speaker 1:

enseignais aux parents oui, aux parents des enfants. ils venaient, on transformait la carterie en petit studio de quartier, puis là, c'est là que je me suis mise à l'enseigner aux adultes. il y a eu un délai, parce que j'étais quand même restée avec cette peur-là de me retrouver devant un groupe d'adultes, comme vu que j'avais bloqué un peu sur scène lors de la formation. Mais les enfants m'ont vraiment aidée à grandir à travers tout ça. Puis, là, j'ai ouvert tranquillement dans un espace sécuritaire qui était mon milieu. Puis, après ça, bien, j'étais allée un peu plus grande. Puis, comment je peux impacter encore plus? Comment Est-ce que je peux toucher encore plus de personnes? pour qui? Parce que c'est comme un retour à la maison. quand on se sent bien dans son corps, quand on a de l'espace pour respirer, pour laisser passer les émotions aussi, tu sais pas les retenir mais juste qu'elles nous traversent, puis qu'elles fassent leur chemin avec le moins d'impact possible pour la santé physique et mentale.

Speaker 2:

Et avec tout le bagage. Puis il y a certainement plein d'histoires que je ne connais pas. Aussi, tu as décidé de mettre le tout sur une trilogie. Tu n'es pas allée petit pour tes trois premiers livres.

Speaker 1:

Non, pas en tout Commencer par un non.

Speaker 1:

J'ai été étonnée moi-même, parce que quand m'est venue l'idée, ça fait longtemps que j'ai le désir d'écrire quand m'est venue l'idée de Zane Guerrière au début, c'était un livre, puis là, à un moment donné, je me suis assise. Puis ce qui est venu, c'est comme non, c'est trois La naissance, la quête, la sagesse. Wow, je me suis fait. Mais non, c'est pas. Puis là, ça restait. Comme je me suis dit OK, donc trois livres La naissance, la quête, la sagesse. La naissance qui transformait les épreuves en vertu c'est de cultiver cet état de zen.

Speaker 2:

On va parler juste de la connexion qu'on a eue pour la préface, un peu, parce que je t'ai parlé de comment je le voyais quand tu me parlais de ta vie amoureuse, puis de qu'est-ce qui s'était produit. Puis, ça m'a fait faire un lien avec un film que tu aimes beaucoup, qui est City of Angels. Je ne sais pas si ça vous dit quelque chose, c' of Angels, je ne sais pas si ça vous dit quelque chose. C'est Meg Ryan et Nicolas Cage, qui est un film absolument magnifique, d'une beauté et d'un amour infini, où on découvre la souffrance à la suite du décès d'un amoureux ou d'une amoureuse dans ce cas-ci. Et l'ange qui est interprété par Nicolas Cage dit quelque chose comme, même si la douleur a été si vive pouvoir sentir ses cheveux valait tout ce que je vis en ce moment. Vraiment, et à la lumière de toi, ce que tu as expérimenté, est-ce que c'est la même chose? Aussi off, douloureux, intérieurement, tu peux te dire que ça valait tout ceci. Oui, tout à fait.

Speaker 1:

On m'avait déjà posé la question Si tu avais su, sonia, qu'il allait arriver tout ça, est-ce que tu aurais fait quand même le choix? Mais oui, tout à fait. Pour chaque minute passée avec Pascal, pour ce qu'on a créé, pour ce qu'on crée encore, je dirais c'est drôle parce que Puis, on le voit plus dans le deuxième, après Pascal, il y avait un journal intime, comme moi. Puis, j'ai osé l'ouvrir, puis le lire. Ah, oui, oui. Et là, je me suis mis, quand il me manquait, je me suis mis à correspondre avec lui par son journal. Wow, et oui, j'appelais ça les correspondances de la terre au ciel. Oui, les années de correspondance de la terre au ciel. Puis je lui écrivais salut, pascal. Puis, ça, ça m'a, ça, j'ai des frissons. Oui, ça m'a permis de garder une connexion plus saine avec lui, parce qu'au début, je voulais juste rester en contact avec la douleur. Je ne voulais pas qu'elle parte, cette douleur-là, parce que, physiquement, c'est la seule chose qui me restait.

Speaker 1:

De lien avec lui De lien, tu sais, dans le ressenti, et là je me suis dit mais non, mais c'est pas comme ça que j'ai envie de garder le lien. Puis j'ai transformé en, justement, en zen correspondance, et ce lien là m'a permis de d'avoir la conviction que je continue à garder un lien, puis qu'il continue à nous soutenir, moi, puis les enfants. Oui donc, et oui, je referais, peut-être que j'aurais capturé encore plus intensément certains moments qu'on trouve parfois banals dans notre quotidien, ou que l'autre peut respirer puis nous énerver par moment. Peut-être que j'aurais peut-être ces petits trucs-là du quotidien, j'aurais peut-être ces petits trucs-là du quotidien, j'aurais peut-être savouré un peu plus certains instants, mais sinon, oui.

Speaker 2:

On se demande, fred et moi, tu as eu la chance et la joie de pouvoir tomber en amour encore. Tant mieux, tu es encore plus dans le moment présent. Mais, fred et moi, quand il y en a un des deux qui se réveille pour X raisons comme là, on est au lendemain d'une inondation monstre partout au Québec. Donc, soit, il n'y avait pas d'électricité, nous on était sur le point d'être inondés, puis j'ai été réveillée, peut-être par un bruit d'est beau, c'était une belle façon. De quelle façon je vois ça? Comme ah, merde, je suis encore réveillée, ou ah non, ça me permet de te toucher et de t'aimer encore plus, trois minutes ou quatre minutes de plus. Est-ce que c'est comme ça que tu vis aussi la vie amoureuse maintenant? Oui, oui, oui, qu'est-ce qui l'expérimenter maintenant?

Speaker 1:

autrement ou avec plus de présence, comment tu le définirais? C'est d'aimer sans retenue, oui, et de juste voir le beau, le bon, de créer ces espaces de magie-là avec. Tu sais, comment est-ce que je regarde la relation, comment est-ce que je regarde l'autre, comment est-ce que je me vois grandir aussi à travers la relation Et de comprendre que l'amour, ça se transforme toujours et que l'amour ne remplace pas l'amour. C'est ce que je craignais au début, mais que l'amour se transforme, c'est tellement grand et puissant et qu'il y a la magie dans un toucher, un regard, des petites connexions.

Speaker 2:

Et ça te donne de merveilleux outils. Tout ceci pour être une extraordinaire coach, et tu l'expérimentes de plein de façons parce que tu veux amener les femmes, essentiellement, à s'entreprendre À s'entreprendre, à se réaliser pleinement, à réaliser leurs rêves, à être bien.

Speaker 1:

À être bien, puis, tu sais, on peut toujours améliorer son sort, puis on est toujours plus forte qu'on pense.

Speaker 2:

Il y a des femmes extraordinaires qui ont réussi à faire des choses hyper chouettes grâce à ton accompagnement. Oui, comme quoi?

Speaker 1:

Bien, il y en a qui ont réalisé leur rêve d'écrire, de faire des conférences, de tranquillement délaisser leur emploi à temps plein pour aller vers le temps partiel, pour tranquillement vivre de leur entreprise aussi. Oui, en trouvant justement des façons créatives. Moi, j'aspire à ça. Donc, quelle est l'action que je peux mettre en place? Parce que c'est beau le rêver, c'est beau le visualiser, mais après, il faut décortiquer par petites actions, pour se rapprocher, puis grandir, puis devenir la personne qu'on a envie d'être et devenir cette femme-là qu'on a envie d'être, puis de se voir réaliser pleinement, parce que la vie est tellement belle.

Speaker 2:

Oh oui. Donc, tu utilises ta créativité maintenant à ton service encore, parce que tu es ultra créative dans ton entreprise. Qu'est-ce qu'on peut faire autrement, comment je peux aider les gens, quel type d'accompagnement je peux leur faire? Et tu utilises ça aussi pour aider ces clientes-là à évoluer, à s'entreprendre.

Speaker 1:

Oui, peu importe où est-ce qu'elles sont, quand elles sont prêtes à faire un pas de plus vers leur bien-être vers un rêve.

Speaker 2:

Je suis là, est-ce que? qu'est-ce que tu vois quand tu regardes ta vie depuis ta naissance jusqu'à maintenant? À quel point peut-être es-tu touchée, surprise, renversée? Quelles sont les qualités que tu vois quand tu regardes tout ce que t'as réussi à faire de ta naissance jusqu'à maintenant?

Speaker 1:

Écoute ce qui m'est venu, puis je ne sais pas pourquoi. C'est tellement pas mon genre de vocabulaire. Je suis une fucking badass.

Speaker 2:

Ah non, c'est moi, c'est ça, c'est ça.

Speaker 1:

C'est tellement bon. Mais oui, on l'a tout ça, tu sais. Puis, c'est comme ah, qu'est-ce que je peux faire encore? Tu sais comment est-ce que je peux gagner en confiance, me surprendre moi-même, puis m'amuser, m'am, puis m'amuser, m'amuser, m'amuser. Ça, c'est quelque chose que j'ai redécouvert et que j'ai toujours porté depuis que je suis tout petite M'inventer des univers, jongler avec mes rêves et toujours faire en sorte d'avancer. Comment tu t'amuses. Maintenant, je m'amuse de tellement de façons. Par le yoga encore oui, parce que ça va toujours faire partie de moi. Par le vélo de montagne, par, tu sais, j'adore l'aventure, j'adore faire des longues randonnées en autonomie complète, me mettre dans le trouble pour, après ça, aller dormir d'un 5 étoiles. Mais j'aime la vie, j'aime me mettre dans le trouble, je suis comme ah oui vraiment encore.

Speaker 1:

Oui, mais pour, tu sais faire comme. Mais c'est un trouble contrôlé là. Tu sais que je décide, mais j'aime l'aventure, j'aime vraiment l'aventure, j'adore la nature. Moi, ça, ça m'a toujours soutenue dans tout Ça. C'est quelque chose qui a toujours été là, toujours toujours été là, puis qui nous a maintenus ensemble aussi, les trois mousquetaires, moi et les deux enfants. Les longues randonnées en autonomie complète. Les trois ensemble étaient tout petits, on traversait des monts et des monts, puis on développait une force de persévérance, de résilience, de goût à l'effort, parce que ça peut être le fun, l'effort. Tu sais, on voit souvent ça comme oh, mais non, c'est beau, parce que ça nous rend plus forts. On est fiers de nous après, puis, on sait qu'on peut toujours en accomplir un peu plus.

Speaker 2:

Oui, Est-ce que la vie est plus douce en ce moment pour toi Par rapport à tout ce que tu as vécu?

Speaker 1:

Oui, oui, oui, oui. Elle te demande et exige de toi encore de la créativité. Tout à fait, tout à fait, mais en même temps, c'est la vie. Puis, j'ai appris à m'amuser, puis à valser avec la vie, oui, oui Puis quand tu as besoin d'une pause, tu relâches.

Speaker 1:

Oui, je relâches. Oui, je relâche. Je me permets de relâcher, de prendre un temps d'arrêt, sachant qu'il y a toujours quelque chose de beau et de grand, surtout quand on prend soin de soi. Puis, comme je reviens à impacter son monde d'abord et avant tout, pour, ensuite, qu'il y ait un rayonnement autour.

Speaker 2:

Et là, il y a quelque chose de spécial que tu fais aujourd'hui. Et là, il y a quelque chose de spécial que tu fais aujourd'hui, tout de suite après le podcast, tu t'envoies en l'air À nouveau, à nouveau. Mais oui, parce que ce désir-là d'être dans les airs est encore présent.

Speaker 1:

J'ai hâte de regoutter à cette légèreté-là de chute libre cette fois-ci dans une soufflerie.

Speaker 2:

Donc tu vas aller chercher parce que tu n'as jamais ressauté depuis ce temps-là.

Speaker 1:

Non, mais ça m'appelle encore Là, ça revient. Dernièrement, j'ai fait comme OK, ok, c'est pour ça que je retourne doucement en vivant cette expérience en soufflerie au tunnel Ici, pas si loin à Laval.

Speaker 2:

C'est tout près, Alors est-ce qu'il y a quelque chose que tu veux relâcher quand tu vas être dans la soufflerie? Est-ce que il y a une intention derrière ce saut-là?

Speaker 1:

Avoir du fun.

Speaker 2:

Ah oui.

Speaker 1:

Ah, juste ça, Avoir du fun, m'amuser, avoir du fun, puis ouais.

Speaker 2:

Donc, peu importe l'espace-temps où vous nous écoutez, un, vous pouvez toujours rejoindre Sonia Soleil. Quel beau nom, Sonia Soleil, Et tu l'incarnes super bien le côté soleil. C'est pour ça que j'étais tentée de porter du jaune pour toi. Il y a deux livres disponibles au moment où on enregistre ce podcast. Il y a un troisième tome. On peut le retrouver, entre autres, sur ton site Internet.

Speaker 1:

Sur mon site Internet, sinon Facebook Instagram Sonia Solé, zenlifers et Guerrières, librairie. Les libraires aussi, c'est sur leslibrairesca.

Speaker 2:

Donc, on peut le retrouver partout Si vous avez envie d'être inspiré encore plus et découvrir de quelle façon vous pouvez ajouter de la zen life à votre vie. Parce que quand on te regarde, sonia, avec ce que tu as expérimenté sur ce plan terrestre, toi tu dois te dire les caractères, t'es pas mal petit. Quand j'ai signé, avant de m'incarner sur Terre, au crâne, j'avais pas mis mes lunettes, mais voilà.

Speaker 1:

Mais voilà.

Speaker 2:

Mais voilà, mais il y a quand même une possibilité d'en rire et de prendre ça avec beaucoup plus de légèreté, et c'est ce que Sonia peut faire avec vous. Oui, merci. T'es extraordinaire, sonia, et t'es une inspiration. Oui, je pourrais dire que ton histoire est inspirante, mais c'est plus que ça. Ton histoire nous invite à passer à l'action. Ton histoire nous met en relief, et dans le visage assez proche, que, oui, on est toujours plus forte, mais encore faut-il se donner le plaisir de passer à l'action et s'autoriser à voir la vie autrement.

Speaker 1:

Oui.

Speaker 2:

Merci infiniment d'avoir impacté mon univers. Alors, merci à vous d'être là. J'espère que vous avez capté toutes les subtilités des messages que Sonia nous a livrés aujourd'hui. Et, surtout, le plus important s'entreprendre. Et de quelle façon allez-vous vous entreprendre? Parce que, lorsque vous le faites, vous façon allez-vous vous entreprendre? parce que, lorsque vous le faites, vous impactez le monde, le vôtre et celui des autres. Merci infiniment d'avoir été là et à tout bientôt.