Impacter le monde avec Karine Champagne

61. La présence invisible des jumeaux perdus avec Gaétane Chouinard

Karine Champagne

Tu peux directement me texter tes commentaires!

Avez-vous déjà ressenti la présence d'un être cher que vous n'avez jamais connu?

Dans cet épisode passionnant, nous examinons le phénomène mystérieux des "jumeaux accompagnateurs" avec notre invitée, Gaétane Chouinard.

Gaétane nous raconte comment, dès le ventre de sa mère, les médecins ont détecté trois battements cardiaques, mais elle n'est finalement née qu'avec une sœur.

Ensemble, nous discutons de l'impact énergétique et émotionnel de cette révélation sur sa vie, et comment cela a influencé sa quête de compréhension et de complétude.

FASCINANT!


Gaétane Chouinard - Maître Reiki - Coach en déblocage des limitations https://www.facebook.com/GaetaneChouinardMaitreReiki/

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Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

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Speaker 1:

Je suis jumelle de naissance, mais quand ma mère, elle savait qu'il y avait trois ticards qui battaient quand on est nés, on est nés deux. J'étais toujours en recherche de quelque chose, sans savoir qu'est-ce que je cherchais, parce que je le sentais. je sentais qu'il y en avait une qui était vivante à côté de moi, puis je sentais qu'il y avait quelque chose qui n'était plus là, puis qui était là?

Speaker 2:

mais que c'est du ressenti. Allô, allô. J'espère que vous allez bien. Je vous souhaite la bienvenue au podcast Impacter le monde Aujourd'hui. Je dois vous dire que la conversation que j'ai eue avec mon invité en pré-entrevue m'a laissé littéralement bouche bée. Jamais je n'avais été exposée à ce type d'informations, jamais je n'avais été exposée à ce type d'informations, jamais je n'avais été exposé à ce type d'impact. On va parler du jumeau accompagnateur Et je vous dis on n'a pas besoin d'être jumeau là. Ça n'a rien à voir, ça a tout à voir avec qu'est-ce qui a peut-être pu se passer dans le ventre de notre mère. Bref, je vous invite à vous installer confortablement pour avoir une conversation multidimensionnelle. Gaëtan Chouinard, es-tu prête à impacter le monde? Oui, oui, oui. Qu'est-ce que c'est pour toi impacter?

Speaker 1:

le monde, c'est aider les gens à vivre le moment présent. Moi, je trouve qu'être ici maintenant, c'est le plus beau cadeau qu'on peut avoir. Qui sait, va-tu finir notre journée? On est ici, maintenant, là de pouvoir avoir le plaisir de s'amuser, d'être là, de m'offrir pleinement dans la vie. Puis j'ai la chance de pouvoir aider les gens à le faire. Fait que j'adore ce que je fais, fait que, oui, j'aime impacter le monde.

Speaker 2:

Et là, on va parler d'un sujet qui est vraiment très spécifique, qui est devenu une spécialité un peu par hasard, et on va parler du jumeau accompagnateur, mais là, on ne parle pas d'une naissance double Non, pas nécessaire. On parle d'une rencontre, peut-être exclusivement cellulaire, dans le ventre de notre mère ou ailleurs, in vitro, out vitro, peu importe, qui a un impact sur la vie des gens.

Speaker 1:

Oui, c'est ça.

Speaker 2:

Qu'est-ce qui a fait un que tu t'es intéressée aux jumeaux accompagnateurs?

Speaker 1:

Bien, premièrement, moi je suis jumelle de naissance, Mais quand ma mère, elle savait qu'il y avait trois ticards qui battaient les médecins, l'avaient entendu. Dans ce temps-là, il n'y avait pas d'échographie.

Speaker 2:

Non.

Speaker 1:

Et Décographie non. Et quand on est nés, on est nés deux. Ma mère, elle m'a dit qu'elle nous l'avait toujours dit, mais moi c'était quelque chose qui n'était pas rentré dans mon, en tout cas peu importe, Il n'avait pas été capté.

Speaker 2:

Il n'avait pas été capté. oui, c'est ça.

Speaker 1:

Et, à un moment donné, j'ai pris beaucoup, beaucoup de formation. Et dans une formation que j'ai prise, on est venu aller chercher qu'est-ce qui se passait, qu'est-ce qu'il y avait, parce que j'avais une peine, quelque chose, que J'étais toujours en recherche de quelque chose, sans savoir qu'est-ce que je cherchais. Alors, en faisant cette recherche, dans cette formation-là, bien là, on a découvert qu'on était trois dans le ventre de maman.

Speaker 2:

Trois filles, on fait cette recherche-là énergétiquement, on le ressent, on le vit. Tu ne sais pas rationnellement si ça se peut ou pas. Non, parce que toi tu ne te souviens pas d'avoir reçu cette information-là. Pas du tout. Mais tu découvres que vous étiez trois.

Speaker 1:

Oui, parce que je le sentais. Je sentais qu'il y en avait une qui était vivante à côté de moi et je sentais qu'il y avait quelque chose qui n'était plus là et qui était là. Mais c'est du ressenti, tu ne peux pas dire que ce n'est pas vrai. C'est tellement dans le ressenti, c'est à l'intérieur. Je la sentais cette peine-là, je sentais ce vide-là qui était tout le temps là derrière de moi. Mais d'où il venait et pourquoi j'avais ça, je ne savais pas.

Speaker 2:

C'est presque dur à exprimer. À la limite, Je me sens vide ou il y a une tristesse Est-ce que c'est quelque chose que tu disais souvent?

Speaker 1:

ou tu penses que c'est la normalité ou presque. Je vivais avec, je me forçais, je me disais parce que je dois être différente, je me cherchais finalement dans tout ce que je pouvais faire. Et tu as cette conversation-là avec ta mère. Oui, en sortant de cette formation-là, dans ce temps-là, il n'y a pas de cellulaires non plus, alors tout est nerveux. Je me rends jusque chez moi, puis là, j'appelle ma mère, puis je dis comme ça mais ma petite Gaëtan, ça a toujours été dit. Je dis comment ça? ça a toujours été. Ben oui, a dit le Dr Caron, il examinait, puis il entendait trois quarts, puis il avait demandé si je pouvais faire venir son frère, qui était médecin, pour entendre, puis il avait entendu trois quarts, puis, à un moment donné dans la grossesse, il entendait plein de choses, mais il ne savait pas. Puis, quand on est né, on est né deux. Alors là, tout ça fait du sens. Tout ça fait du sens, oui.

Speaker 1:

Et là, je me suis mise à faire des recherches, parce que, moi, ce qui m'a épaté le plus, c'est le lendemain matin. Le lendemain matin, j'étais couchée et j'avais l'impression d'être réveillée, les yeux fermés, mais c'était tellement calme que je me disais voyons, suis-je morte ou suis-je vivante? Ça m'a fait tellement une drôle d'impression. Je ne sais pas combien de minutes j'ai pu rester les yeux fermés à ressentir que ce n'était plus pareil. Puis là, quand je me suis ouvert les yeux, je me suis dit je suis vivante, mais avec une douceur à l'intérieur de moi et un grand calme que je n'avais jamais vécu.

Speaker 2:

Énergétiquement ce que tu avais capté, tu avais réussi à le transformer et moins de 24 heures plus tard donc l'espace de nuit tu avais un impact sur ton corps.

Speaker 1:

Probablement même que je l'avais quand j'ai fini ma formation. Mais c'est pour prendre le temps de prendre le temps de me dire hey, regarde, c'était vraiment changement dans mon corps. Puis, là, je me suis dit oh, je vais essayer de chercher plus loin avec tout ça. Qu'est-ce que ça peut faire, qu'est-ce que ça peut apporter? Puis, c'est là que je me suis aperçue qu'il y avait beaucoup de choses que je faisais en double, comme quoi, par exemple, bien, moi, j'ai souvent, souvent, eu deux emplois dans mon côté de travail Un qui était, tu sais, c'était toujours, qui n'était pas opposé, mais qui n'était pas du tout dans la même lignée. Puis, là, après ça, c'était, je n'étais jamais comme sur la bonne chaise, Tu sais, j'avais toujours l'impression qu'il fallait que je fasse d'autres choses. Puis, là, je me disais bien, là, c'est quoi là?

Speaker 2:

Mais j'avais toujours l'impression de danser De danser sur tout tout, tout, avec ce que tu découvres, tu dis je ne sais pas si je vais le dire comme il faut ou tu pourras ajuster ou ajouter, mais de vivre deux vies, de vivre la vie de cette jumelle-là qui n'avait pas complété son expérience Sur le coup, moi, je n'ai pas pu, je ne comprenais pas tout ce qui se passait.

Speaker 1:

Mais grâce à mon travail, je me suis mise aussi à chercher plus et pouvoir rencontrer des gens, aussi dans ma clinique, qui avaient eux autres aussi des jumeaux perdus.

Speaker 2:

Puis T'es maître Reiki, tu travailles en énergie. Donc, ça va au-delà du Reiki, ça va au-delà de la canalisation et tout, et tu commences à être hyper curieuse, intéressée et engagée sur le fameux jumeau accompagnateur, parce que c'est comme ça qu'on appelle.

Speaker 1:

On l'appelle jumeau accompagnateur ou jumeau perdu. Il y a beaucoup de livres qui sont sur jumeau perdu. Il y a beaucoup de web En Belgique c'est vraiment un endroit où ils font beaucoup, beaucoup, beaucoup de recherches, en France aussi qui demandent aux gens, justement, d'aller plus loin dans leurs recherches, avec ce que ça fait comme effet. Qu'est-ce qu'ils vivent, qu'est-ce qu'il y a pu. Alors, c'est vraiment vraiment Nous autres. Ici au Québec, on n'a pas l'échographie pour aller voir jusqu'où. C'est Les petits points qui sont dans le ventre de maman. Ça prend en minimum un six, peut-être douze semaines avant d'avoir la première échographie. Ça fait que souvent, l'embryon est parti, soit que maman a eu des pertes de sang ou pas du tout. L'embryon, tout simplement, se colle au placenta et on n'entend plus parler.

Speaker 2:

J'ai une tonne de questions qui pop Un. tu me parlais d'une stat qui était surprenante.

Speaker 1:

Une personne sur dix. Dans certaines, recherches sont rendues avec une personne sur dix qui est accompagnée et qui perd leur accompagnateur. Une personne sur dix, c'est énorme. Oui, c'est énorme. C'est énorme. En plus, maintenant, avec tout ce qui est dans la recherche in vitro la fécondation c'est tout accompagné. Il y en a plusieurs, Alors tout ça fait que….

Speaker 2:

Embryons congelés, tout. Il y en a quelques-uns, on va en prendre, il y en a d'autres qui restent dans le bocal, si on peut l'appeler comme ça. là, donc, ça, ça peut avoir un impact sur l'humain.

Speaker 1:

Oui, parce que l'embryon, c'est le son, c'est l'oreille, c'est l'une cellule. Oui, c'est très, très, très, c'est dans les premiers, premiers jours, où ça commence déjà à se développer. Alors, c'est pour ça qu'on reste avec une mémoire, parce qu'on l'entend Le toucher. Il y a certains livres qui parlent que oui, l'effet d'être, il se touche, puis que ça peut être aussi avec l'effet du toucher. Mais tu sais, c'est ça Tout le monde. Il y a tellement. Il y a beaucoup de recherche maintenant qui se fait, il y a beaucoup de psychologues maintenant qui étudient dans ce côté-là, parce que, oui, ça fait tellement d'effet, ça fait tellement de ben, disons, séquelles. C'est peut-être un grand mot.

Speaker 2:

Mais ça peut avoir un impact. Cette tristesse-là que t'avais, c'est pas une mort, parce que derrière, c'est clair, il y a un enfant qui meurt à la naissance. On peut savoir Un accident, mais là ça n'a rien à voir, c'est un être qui a pas existé vraiment physiquement. Mais cette cellule-là qui vous a côtoyé, où le cœur on entendait le cœur battre ça a un impact sur nous.

Speaker 1:

Oui, parce que la mémoire est là, parce qu'on n'a pas été tout seul. Puis, si, énergétiquement, on les sent, les gens autour de nous, tout est énergie, tout, tout, tout est énergie. Alors, si on se met à penser à ça, c'est vrai que ça ne peut pas être autrement, qu'on le sente Là, on peut rester avec des pensées d'avoir peur de perdre, parce que je l'ai senti et je l'ai perdu. J'ai-tu pris trop de place? C'est sûrement de ma faute. La culpabilité, c'est sûr, sûr, sûr, ça doit être de ma faute si cet enfant-là, cette personne-là, cet embryon-là, n'a pas voulu avancer ou n'a pas pris sa place.

Speaker 2:

Oui, puis encore là, ça pourrait être inconscient de cette croyance-là. Oui, mais on la traîne.

Speaker 1:

On la traîne, exact, on la traîne.

Speaker 2:

Ce n'est pas de notre vivant où on se dit c'est traîner cette croyance-là que je prends trop de place. Je prends trop de place, mais sans savoir pourquoi on le porte.

Speaker 1:

Oui, ça fait que c'est souvent, on ne va pas prendre notre place, on pense on n'est-tu jamais sur le bon X, parce que si je prends ce X-là, c'est-tu sa place, c'est-tu ma place. Mais on ne sait pas pourquoi on fait tout ça, pourquoi on réagit comme ça. mais quand on découvre que, oui, on était porteur accompagné, ben là, c'est là que le beau arrive dans notre vie, parce qu'on peut s'en libérer, on peut le travailler pour pouvoir dire hey, regarde, c'est correct. là fait que moi j'accompagne les gens. pouvoir se libérer de tout ça. puis moi, je me suis permis aussi de pouvoir libérer plein de choses qui fait que, tu sais, c'est tout un monde être jumeau, être jumelle, c'est tout qu'un monde.

Speaker 2:

Ça, ça pourrait déjà faire un sujet de podcast au complet. Juste que c'est cette identité-là qu'on a en double.

Speaker 1:

Oui, oui puis, tu sais, j'en rencontre aussi, moi, des jumeaux, des jumelles, puis il y en a qui ne s'entendent pas du tout, du tout, du tout, du tout. C'est le feu et l'eau, puis là, c'est-tu, parce qu'il y en avait un autre. C'est quoi, est-ce que Fait que là, on fait des recherches pour savoir pourquoi c'est cette dynamique-là. Il y a beaucoup de.

Speaker 2:

Alors, c'est des possibilités aussi, qui sont Puis, est-ce qu'il y a de plus en plus en Europe, clairement, de gens qui commencent à étudier, justement, les enfants qui ont été conçus in vitro, les embryons qui ont été congelés, quel impact ça va avoir une fois que t'es incarné, humain et né? Oui, c'est. Ça Fait que tous ces impacts-là Fait que c'est ça la mémoire cellulaire? Oui, parce qu'on l'entend, le mot mémoire cellulaire. Oui, mais c'est quoi, mémoire cellulaire?

Speaker 1:

Oui, ça va tellement loin. La mémoire cellulaire, même si on n'a pas conscience de ce qui arrive, notre cellule, elle en régisse. Et cette peur-là qui est là, elle est partie, c'est quoi? elle est où? pourquoi je n'entends plus, pourquoi, que c'est tellement grand.

Speaker 2:

Alors, il y a eu des livres qui ont été écrits sur le sujet, il y a des études qui sont faites, il y a des psychologues qui s'y intéressent. Ça veut dire qu'en Belgique, on observe le placenta, entre autres. On est à la recherche de ces indices-là pour mieux comprendre.

Speaker 1:

Oui, et eux autres sont très, très forts sur l'échographie. Maintenant, les échographies, c'est quelques jours et ils sont capables de voir juste des petits points noirs, mais il les voit, et c'est impressionnant. Comment ça peut être aller chercher des informations, parce qu'eux autres, ils font beaucoup de recherches aussi pour savoir les vitraux, comment ça fonctionne, est-ce que ça reste? Pourquoi arrêter une grossesse? Parce qu'il y en a qui en implantent plusieurs, puis qu'il faut qu'ils fassent des choix de vie, de tout ça.

Speaker 2:

Et quel est l'impact de ça quand on choisit, par exemple, de retirer?

Speaker 1:

Oui, mais c'est aussi médical pour la maman ces choix-là, Oui, oui, non absolument, mais tout le restant qui est à côté. c'est sûr que beaucoup de pays maintenant s'informent et font des recherches pour pouvoir, justement, voir tout ce que ça peut faire comme impact psychologique.

Speaker 2:

Je vais juste revenir rapidement sur la fécondation in vitro, parce que c'est une avancée spectaculaire pour les couples qui ne peuvent pas avoir d'enfants. En même temps, il y a un autre côté vers lequel il va falloir se tourner et être encore plus curieux, sur, peut-être, cette sensation-là, si ça se trouve trouve, de solitude, ou de perte, ou d'espace ou de vide chez ces enfants-là qui sont nés de vitre. Oui, wow, moi je n'avais jamais entendu parler de ça. Puis, je me suis vraiment questionnée, à savoir, j'ai cette espèce de vide-là Parfois. Je me demande est-ce que ça peut venir de là? Depuis qu'on a eu cette conversation-là, je serais curieuse de demander à ma mère, de par sa voix, dans une autre dimension est-ce qu'on pouvait être plus, peut-être?

Speaker 1:

qu'elle n'a jamais su.

Speaker 2:

Ça se peut, comme la plupart des gens qui nous écoutent en ce moment, probablement qu'ils ne savent pas parce que ce n'est pas étudié assez ici. Non, c'est ça.

Speaker 1:

C'est ça, parce que le moyen n'est pas là de le découvrir. Ça va venir probablement ici aussi autant qu'ailleurs. mais l'important, présent présentement, c'est de pouvoir nettoyer ce que ça donne comme vie qu'on a besoin de pouvoir aller libérer, comme vibration, c'est ça ton accompagnement, entre autres.

Speaker 2:

Il est beaucoup plus large que ceci, mais ça a tombé. S'il n'y a pas de hasard, on le sait. t'attires une forme de clientèle qui se questionne sur ce vide-là, c'est ça, oui.

Speaker 1:

Il y en a qui. Mais quand ils arrivent, moi je le ressens, souvent, je vais le ressentir Dès qu'ils rentrent dans la pièce. Souvent, oui, juste à voir l'énergie, la vibration, je le sens, qu'il y a une grande tristesse Fait qu'on commence la rencontre. Le monde s'allonge. Moi, je le fais, soit en présentiel, par téléphone, par web. Il n'y a pas de L'énergie. Connaît pas ça. La distance, non, et c'est ça. Puis là, je me mets à travailler avec eux autres Et je leur explique. Je vais te dire des phrases, mais je veux tout simplement que tu te concentres sur ton ressenti, laisse aller, mais vois ce qui monte dans ton corps, mais n'essaie pas d'analyser ce que je te dis, parce que tu vas dire non, non, non, Et je t'expliquerai. Après, je commence à avoir des phrases, cet petit enfant qui était là, qui t'accompagnait. Puis là, le monde le sent. Je ne peux pas essayer de leur faire croire que c'est ça, parce que c'est eux autres qui le ressentent. Il y en a qui me disent Mon Dieu, on dirait que le cœur est en train de m'ouvrir». Il y en a qui se mettent à pleurer À mesure que je commence la phrase. Il y en a que les larmes coulent. Ils ne savent même pas où je m'en vais, mais le ressenti est là, communication est là pour pouvoir reconnaître qu'il y avait quelqu'un, que cette petite âme-là est là Et ça fait, tu sais que ce soit cette âme-là, que ce soit, il y a toujours quelque chose de communication dans l'énergie qui est là, qui est la vibration. Puis cette personne, cette âme-là, veut quand même être reconnue Et l'effet de pouvoir reconnaître. Il y en a même qui les appellent par des noms à partir du moment où ils les reconnaissent, puis qui sentent que hey, oui, ça a été le fun d'être ensemble. Il y en a qui vont continuer à leur parler, puis il y en a d'autres qui vont dire ah, ok, je le sens, le calme, c'est correct, qu'il y avait quelqu'un. Puis, ça, ça va tellement loin que là, on peut aller savoir si l'âme va être féminine ou masculine Et ça permet aussi de voir qu'il y a des relations. Je l'ai perdu.

Speaker 1:

je ne me permettrai jamais d'avoir une relation amoureuse Parce que, premièrement, je suis certaine qu'il va partir.

Speaker 1:

Deuxièmement, je ne peux pas laisser une place parce que, lui, je ne l'ai jamais reconnu Dans l'énergie, cette place-là que je garde toujours là, mais que je ne sais pas pourquoi je la garde, parce que je la garde finalement, mais je n'attire pas la bonne personne, ou je n'attire pas Moi. J'ai une personne, une femme, qui est venue et qui m'a dit trois semaines après, elle m'a renvoyé un message en me disant Ça a tellement changé ma relation avec mon mari, parce que j'avais toujours l'impression que je ne pouvais pas être proche de lui, je n'avais tout le temps une que je ne savais pas pourquoi. Mais là, on se parle, on a du plaisir, on se tient la main, on se touche, c'est tellement différent. Puis, tu sais, je ne pouvais pas savoir jusqu'où ça pouvait aller. Mais il y en a tellement des personnes qui me disent bien, là, j'ai rencontré quelqu'un. Hé, j'ai rencontré quelqu'un. Bien, oui, parce que cette place-là, tu l'as reconnue, et là, tu peux te permettre d'avoir une autre place.

Speaker 2:

Tu sais, je me mets dans la peau, peut-être, des gens qui sont plutôt sceptiques, qui nous écoutent. C'est bien possible que vous soyez sceptiques et que vous vous dites ben, voyons donc, qu'est-ce que tu es en train de raconter? Tout ça, c'est très correct, parce qu'on ne peut pas avoir de preuves hors de tout doute raisonnable. C'est du ressenti. Puis, moi, j'aime toujours le recadrer en disant si ça me fait du bien, si ça crée de l'espace, si ça me permet de comprendre quelque chose que je n'arrivais pas à comprendre, c'est tout. bon, est-ce que c'est comme ça que tu vois ça? qu'on va se retrouver l'autre côté, dans l'autre dimension. Soit qu'on va se taper des mains en disant on l'avait bien vu, on savait, ou soit on va se taper des mains et on va dire on était à côté de la traque. On le sait pas, mais en même temps, on le sait un peu.

Speaker 1:

Bien, avec le ressenti que ça donne. Tu sais le monde, tu sais quand tu commences à dire les phrases. C'est pas pourquoi. Après ils partent et disent c'est parce que là, j'ai de la joie. J'ai une fille que je connais. Elle est venue, c'est une thérapeute elle aussi. Elle a fait plein de recherches dans plein de choses. Puis là, on est allé sur ce sujet-là parce que, finalement, c'est là qu'il fallait aller, parce que moi, je suis jamaisverte à tout ce qui se passe.

Speaker 1:

On fait plein de choses, n'importe quoi. Tu sais, ça bouge dans tous les sens. Puis là, elle m'a dit mais c'est parce qu'on n'est jamais. Je dis, personne ne m'a jamais parlé de ça, mais je me sens tellement calme, tellement calme, puis qu'à chaque fois qu'on se parle à Miss Gaetan, elle dit là, là, je l'aime tellement, même que je le sens quand je rencontre mes clients, moi aussi, que maintenant je ne suis plus à essayer de chercher, je suis convaincue que tout ce qui est là est correct, parce que je ne cherche plus. Je suis dans mon calme, j'entends, je m'écoute, je me ressens moi. C'est impressionnant, tout ce que ça peut faire.

Speaker 2:

On va rester dans la maternité ou les grossesses, l'avortement, les pertes, les fausses couches, ça aussi, ça change et ça a un impact sur le rang familial oui autant chez les hommes que chez les femmes.

Speaker 1:

En passant, oui, oui, parce que si on est la première de famille, le premier ou première de famille, on a toute l'obligation de montrer l'exemple, c'est ça, il faut montrer l'exemple. Le premier, il faut qu'il soit parfait, bien parfait. Il y a plus de pression sur les épaules, c'est ça. Alors, cette personne-là, après ça, c'est le deuxième, le deuxième, c'est le deuxième. Si c'est le bébé, c'est correct, mais c'est le deuxième. Mais s'il y a un troisième enfant qui arrive, je ne suis pas la première, je ne suis pas la troisième, je suis la sandwich. Moi, je l'appelle la sandwich parce que je ne suis pas la première, je ne suis pas la deuxième.

Speaker 1:

Le rang de deuxième est très difficile à vivre dans la vie, parce que je ne peux pas dire ah bien oui, je suis la plus vieille. Ah bien non, je suis le bébé. Non, moi, je suis celle du milieu. Il y en avait une pour montrer l'exemple, moi, je suis là. Puis, tout de suite après, il est arrivé un autre bébé, Puis, là, j'ai perdu ma place de bébé, puis j'ai Alors, puis ça, c'est dans tout. Et si, par hasard, mettons que la première, elle arrive le deuxième, il décide que ce soit, mais la maman Faut se coucher avant.

Speaker 2:

Comment, peu importe.

Speaker 1:

Oui, c'est ça, mais elle a eu cette grossesse-là quand même Après ça, l'autre qui arrive, ce n'est pas la deuxième, c'est la troisième grossesse de maman, qui est peut-être la dernière. Mais s'il n'y avait pas eu cette perte-là, peut-être que la troisième ne serait pas arrivée. Il y a toujours des rangs et il y a des raisons pourquoi on arrive à ce rang-là aussi.

Speaker 2:

Et ça aussi ça a un impact. Par exemple, il y a un enfant qui est décédé avant moi, où il y a un avortement, donc mon enfant qui est le premier, pas le premier c'est le deuxième, ça aussi, ça a un impact au niveau cellulaire, ça a un impact au niveau de l'énergie, ça a un impact sur qui je suis.

Speaker 1:

Oui, parce que l'enfant, énergétiquement, le sang, qui n'est pas le premier non plus, ok, des fois, ils savent peut-être que quand tu aurais eu une grossesse, tu l'aurais dit bon, la première, ça n'a pas marché. Moi, ma première grossesse, ça a été une grossesse éctopique. Alors, mon fils, bien, ce n'est pas le plus vieux, c'est mon deuxième enfant.

Speaker 2:

Même si, physiquement, c'est le premier qui C'est ça, même si c'est le premier qui naît, c'est la deuxième grossesse. Donc, ça, c'est la deuxième enfant.

Speaker 1:

Mais moi, dans ce temps-là, je n'étais pas assez connectée ou assez branchée pour dire à mon fils Bien, tu n'es pas le premier, mais tu es le deuxième. Il savait que j'avais des, Il ne savait pas quand il était petit, Non, non mais je comprends pas, mais il reste quand même qu'énergétiquement, il y a un rang qui n'est pas le même rang que ce qu'on leur donne.

Speaker 2:

Est-ce que ça aussi, c'est à aller explorer en session d'énergie, parce que ça peut avoir un impact sur l'enfant.

Speaker 1:

Oui, ça a un impact pour l'enfant, parce que ça se peut que il y a l'effet d'avoir perdu un enfant. Premièrement, la maman va rester avec l'énergie d'avoir peur de perdre. Ça, c'est une énergie qu'il faut nettoyer au départ, parce que cette peur-là, souvent, va empêcher de ou. elle va être là tout le long de la grossesse. L'enfant va naître avec la peur de perdre. Puis, cet enfant-là, il a toujours peur de perdre. C'est un enfant qui va brailler la nuit parce qu'il ne sentira pas ma main, il ne verra pas. C'est des enfants qui sont inquiets parce qu'ils ont peur de perdre. C'est une peur qui a été captée quand il était dans le ventre de sa mère. Oui, parce que tu es là dans le ventre de ma mère et c'est ça que tu entends, c'est ça qui est là.

Speaker 1:

Je n'accueille un petit peu, puis là, on reste avec ça, puis on se dit c'est quoi qu'on fait avec ça? On ne le sait même pas. Mais il y a des comportements d'enfants, de bébés qu'ils ne dorment pas la nuit, ou ils sont inquiets. Il y a ça à nettoyer aussi, parce que c'est pas le. C'était Laurent qui a pris, mais c'était Laurent qui était là, mais l'enfant était. C'est toutes des choses que ça a l'air.

Speaker 2:

On dirait On pense pas que ça peut avoir un impact Je veux pas dire le mot banal, puis je pense que c'est pas le mot que tu voulais dire mais tu dis Vraiment, ça peut avoir. Je suis juste bouche bée devant la conversation qu'on a, Gaëtan, parce que c'est la mémoire cellulaire. Puis là, tu te dis attends, mais tout ce qu'on a vécu, même ce frère-là ou cette soeur-là qu'on n'a pas vue, qu'on n'a peut-être même pas entendu parler, où ça a été une mini-grossesse des fois, Oui, Tu ne sais même pas que tu es enceinte, tu perd c'est impressionnant.

Speaker 1:

C'est très impressionnant parce que tu vas voir des grosses familles où ils disent on était 7 enfants, mais il y en a 3-4 de morts, c'est parce que ta famille, c'est tant. Puis, nous autres, en tant que femmes, quand on va chez le gynécologue, on est obligé de dire vous avez eu combien de grossesse.

Speaker 1:

Il est important je vais t'expliquer, je te raconter. Je t'en avais parlé, oui, à un moment donné, dans le début que je commençais à travailler, à rencontrer des personnes. J'ai un homme qui arrive, une trentaine d'années, qui s'allonge sur la table, puis, là, d'habitude je ne pose pas de questions avant de commencer, pensé, mais là, ça me dit je lui demande Comment tu as eu d'enfants, toi, fait que là, il me dit Un». Bien, je réponds Comment tu en as fait? d'abord, là, j'étais lousse, voyons, mais c'était la phrase que j'avais à recevoir, puis à canaliser, puis à dire Fait que là, il me regarde. Il dit bien, il n'y a jamais personne qui sait ça. Là, j'ai dit qu'est-ce que tu veux me dire? Bien, il dit la première grossesse de ma blonde.

Speaker 1:

On a décidé qu'on ne le voulait pas, cet enfant-là, il n'était pas le bienvenu présentement. Puis, on a décidé de vivre un avortement. Fait que là, j'ai dit alors, toi, tu as le deuxième, ton fils, c'est le deuxième enfant que tu as conçu. C'est là que ça m'a dit bien, voyons donc, c'est aussi important chez les hommes. Il a été conçu, cet enfant-là, il a été fait, il a été, tu sais, il a été vivant dans un sens– Mais c'est pas ton premier enfant.

Speaker 2:

même si t'as pas dit pour l'homme, il est pas en, il ne le vit pas, c'est aussi son deuxième enfant. Je trouve ça juste incroyable. Oui, oui, comme découverte.

Speaker 1:

Oui, ça a de l'importance Parce que, si on le dit, si j'ai un message, on a un très beau message tous les deux. Alors, ton fils, il n'a pas apporté tout le fardeau du premier enfant parfait qu'on voudrait avoir, ou que c'est le bagage qu'on lui donne. Puis là, il y en avait, en tout cas, à ce moment-là, il y en avait juste un. Est-ce qu'il y en a eu d'autres après, je ne sais pas, mais l'important était là que lui, dans sa conscience. Est-ce que c'était important de le dire à l'enfant? Peut-être pas à cet âge-là, peut-être oui, je ne sais pas. Je disais si tu vois que tu as besoin de dire, tu lui dis Mais toi, dans ton énergie, par exemple, c'est ton deuxième enfant.

Speaker 2:

On va rester dans le domaine de la maternité, puis des grossesses, parce que tu m'as partagé aussi une prise de conscience intéressante. Puis, juste pour le mettre dans le contexte, ça fait plus de 20 ans que tu es en énergie, ça fait plus de 20 ans que tu reçois des clientes. 1500 personnes différentes sont passées dans ton bureau C'est énorme Du bouche à oreille essentiellement, et tu me disais que tu avais remarqué quelque chose de particulier de ces temps-ci C'est la difficulté aux jeunes femmes d'avoir des enfants et de tomber enceintes. C'est la première fois que tu es exposée à avoir autant de jeunes filles qui ont recours peut-être à l'aide médicale ou qui vont consulter parce qu'elles ont de la difficulté à être enceintes. Et tu as réussi à faire des causes, des liens avec la société actuelle. Qu'est-ce que tu perçois?

Speaker 1:

C'est sûr et certain que c'est un gros bagage, avec tous les réseaux sociaux. Ma mère a peur de perdre leur taille, ils ont peur que leur chum ne les aime pas parce qu'ils ont un petit peu de livres de trop. Tout le monde se compare Mon fils, il fait ça, ma fille, elle est rendue là, puis moi, ma grossesse. Il y a beaucoup, énormément de comparaisons Et c'est un gros bagage. C'est un bagage qui est lourd à traîner. C'est un bagage qui est très, très difficile Quand on rencontre, on va faire le ménage dans ça. Moi, je suis rendue à la neuvième maman où on a travaillé. Il était déjà commencé à pouvoir aller dans l'in vitro, puis il y en a d'autres qui étaient encore en train de recherche, et tout ça, puis d'essai, et en enlevant des croyances comme ça, que c'est difficile, oui, aujourd'hui, avec le travailler, de s'entraîner, d'être parfaite partout, parce que il faut être parfaite partout.

Speaker 2:

C'est l'image qu'on a avec les réseaux sociaux.

Speaker 1:

Tout le bagage qu'il y a là. On nettoie des choses, puis ça enlève un grand bagage qui est lourd à traîner, puis de dire regarde, moi je suis là, puis j'en veux un Souvent, je vais faire. Je demande que le papa, ou le futur papa, puisse venir aussi, qu'on puisse faire une rencontre, chacun individuel, parce que papa aussi, c'est dur d'être papa aussi. On dit ah, mais tu sais, ils perdent leur place, il faut qu'ils soient plus présents, il y en a d'autres, tu sais, peu importe, tout ce que le bagage, que ça leur prend Le bagage familial.

Speaker 2:

Comme on est éduqué, que le bagage que ça a, Le bagage familial, comment on est éduqué, qu'est-ce qu'on a appris de notre père, qui était présent ou qu'il n'était pas, peu importe. Ça peut avoir un impact sur la maternité En plus il y a beaucoup de côté financier.

Speaker 1:

Présentement, le monde est habitué d'être gâté Un enfant. Il faut avoir tout ce qui est Un dernier cri, il à la dernière. Il y a tellement de choses. En tout cas, on va dire, dans mon temps, mais il n'y avait pas autant d'informations entre tout le monde, cette comparaison-là était beaucoup moins présente, sauf dans une famille peut-être proche. Mais tu n'avais pas tout ce réseau-là de comparaisons d'amis. Alors, on peut aider à libérer ces c réseau-là de comparaison d'amis. Alors, on fait, on peut s'aider à libérer ces croyances-là qui bloquent, puis qui font que, hey, on se retrouve, on se retrouve, puis on peut vivre ça de façon différente.

Speaker 2:

Ça ne veut pas dire de ne pas consulter, ce n'est pas ça le message, ça n'a rien à voir, mais ça a tout à voir avec qu'est-ce que je peux porter en moi encore là de façon inconsciente, qui pourrait peut-être faire en sorte que il y a un certain cheminement qui est plus ardu, comme avoir un enfant.

Speaker 1:

Ça peut être conscient, on le sait, qu'on a. Mais comment s'en libérer? C'est ça qui est le fun. Moi, en rencontre du Nord, on fait beaucoup de ménage, puis les personnes partent, puis ils ont beaucoup de possibilités d'ouverture. Il y en a beaucoup qui font un grand bout de chemin, qui ne reviennent pas. Il y en a d'autres qui vont revenir parce qu'ils disent moi, ça me fait du bien, j'ai le goût de continuer, j'ai le goût d'avancer, j'ai le goût que ça change.

Speaker 1:

Puis, moi, je leur donne des outils. Ils partent avec leurs outils, Ils font leur pratique, avec leurs exercices, puis là, ils font leur bout de chemin, de temps en temps, ça fait longtemps. Puis là, je veux venir, puis là, je pense à toi, parce que ça, ça ne marche pas. Alors, c'est le fun de pouvoir il y a tellement de possibilités maintenant de pouvoir libérer des choses, il y a tellement de bons thérapeutes. Puis, c'est ça, c'est de s'ouvrir à essayer quelque chose de nouveau et de différent, parce que, tu sais, on fait tout le temps la même affaire, on a tout le temps le même résultat. On tasse un petit peu, des fois, il faut tasser encore un petit peu plus, et là on se trouve sur quelque chose qui est complètement différent. Oui, inconfortable, mais viens essayer, viens voir ce que ça peut te donner. Puis là, on s'aperçoit que wow, finalement la vie, elle est fun à vivre.

Speaker 2:

On le dit souvent, la vie est fun à vivre. On le dit souvent la vie, on est beaucoup plus grande que notre corps, on est beaucoup plus grand que ceci. On est des êtres d'énergie, on est des fréquences de vibrations de conscience. C'est une expérience terrestre qu'on vient vivre. On est une âme ou une énergie dans une expérience terrestre. Ça veut dire que aussi, notre champ d'exploration, quand il y a quelque chose qui va ou qui ne va pas, doit être encore plus grand.

Speaker 1:

Oui. Puis des fois, le monde me dit je leur demande à quoi tu crois? Puis là, ils ne sont pas grand-chose. Mais est-ce que tu crois que tu es énergie Parce que moi, mon cœur, je? Mais est-ce que tu crois que tu es énergie Parce que moi, mon cœur, je ne dis pas, mes intestins fonctionnent, puis du genre, puis du genre. C'est parce qu'on fonctionne tous, C'est parce qu'on est connectés à quelque part. Il y a quelque chose de plus grand que nous autres. On met un petit bonhomme énergie avec une batterie. Il y a une batterie, il va fonctionner quand la batterie, Mais nous autres on continue à fonctionner. Je ne sais pas c'est quoi, je ne sais pas à quoi on est connecté, je ne sais pas c'est où. Je ne veux pas essayer de, Je ne sais pas moi-même.

Speaker 2:

On ne veut pas le rationaliser, mais on sait que c'est plus grand.

Speaker 1:

C'est ça qu'il faut que tout le monde se réalise que si tu es vivant aujourd'hui, c'est parce qu'il y a quelque chose qui bouge à l'intérieur de toi. Il y a une connexion qui est plus grande que juste notre corps physique.

Speaker 2:

Quand les gens passent sur ta table, gaëtan, il y a des transformations exceptionnelles. Ce n'est pas après 10 rencontres ou 15 rencontres, souvent après une. Il n'y a pas de bon, il n'y a pas de mauvais, mais il y en a qui voient. Tu me parlais tantôt d'une femme qui ne réagissait plus du jour au lendemain. Il y a une réaction qui était automatique, qui n'était plus là. Ça fait partie de ce que tu vois. Puis tu le vois devant tes yeux aussi.

Speaker 1:

Oui, oui, oui. Qu'est quoi qui s'est passé cette semaine dans ta clinique? Ça en a mes noms bien entendu.

Speaker 1:

Mais, tu sais, c'est tellement des événements qui sont spéciaux, qui sont Là depuis la COVID, j'ai beaucoup, beaucoup de jeunes. Puis, moi, j'ai une fille de 11 ans qui vient me voir, et cette petite fille-là, elle est merveilleuse, mais elle a peur de tout. Sa mère, elle dit elle a peur des microbes, elle a peur des microbes, elle ne veut pas aller à l'école, elle ne veut plus rien faire. Tu sais, regarde, c'était quelque chose. Fait qu'elle est venue la première fois, on a travaillé ensemble, puis là, bien, elle faisait des crises d'angoisse, fait que j'ai donné des trucs pour arrêter, d'essayer de l'aider dans ces crises d'angoisse, et finalement, elle est revenue, puis, par elle-même, elle dit à sa mère je veux aller continuer. Et ça fait, au bout de trois ou quatre rencontres, là, elle s'est aperçue qu'elle voulait faire d'autres choses. Elle voulait s'inscrire à un cours de danse. Imagine-toi une petite fille qui reste chez eux et qui ne veut plus rien faire. Elle s'est inscrite à un cours de danse.

Speaker 1:

Puis, là, on a travaillé aussi sur ça, parce que là, tu sais, c'était, elle a quand même 11 ans, fait que la plupart ont tous déjà de l'expérience, Fait que rentrer dans un nouveau groupe, fait qu'on a travaillé ensemble, puis là, elle a du fun. Elle vient, puis là, il faut faire des exercices, puis on est debout, puis on fait des exercices, puis tu sais, elle est tellement merveilleuse. Puis tu sais, elle les prend ses outils elle s'en enfant de 11 ans.

Speaker 2:

Puis tu as probablement d'autres dames qui ont peut-être 70, 75 ans, qui veulent aussi quitter le plan terrestre avec plus de légèreté.

Speaker 1:

Bien, oui, bien oui, bien oui. Puis, il y en a aussi qui vieillissent avec des personnes. Puis, ce n'est pas facile de vieillir nécessairement avec le conjoint que maintenant, il y a une maladie d'ici, puis un petit problème de ça, puis là, il y en a que L'autre jour, j'ai une personne, ellea 78 ans, puis je commence, puis, très délicatement, j'ai dit est-ce que, par hasard, vous auriez vécu des attouchements, quelque chose de sexuel, quelque chose de désagréable dans votre jeunesse? Fait que là, les larmes coulaient, puis elle n'était pas capable de parler À 78 ans. Là, ça faisait. Elle m'avait dit dans l'âge de 6 à 8 ans, elle a traîné ça toute sa vie, toute sa vie, toutes ses vies, 70 ans, oui. Puis là, on est allé travailler sur le fait que, parce que j'en ai beaucoup aussi qui ont été agressés sexuellement, puis que la plupart, leur plus gros problème, c'est qu'ils s'en veulent, ils s'en veulent d'avoir été là, ils s'en veulent d'avoir eu confiance, ils s'en vouloir. Je le sens tout de suite, les jambes lâches, la vibration toute l'énergie se circule de partout du haut au bas.

Speaker 1:

Puis là, les licentes. Je me sens tellement lourde sur ta table. Oui, accueille d'être lourde parce que tu l'habites ton corps. Laisse aller cette énergie-là, tu peux te libérer de tout ça. Tu sais, cette personne-là, à 78 ans, se libérer de ça. Elle dit il n'y a jamais personne à qui j'ai pu en parler, je ne l'ai pas dit, je ne l'ai pas. Mais là, on a nettoyé tout ça, ces croyances-là, puis tout ce qu'elle s'en voulait. Puis elle dit je suis sûre, sûr que ma mère le savait. Mais tu sais, c'est parce que même si on nettoie ces croyances-là, on nettoie de laisser aller tout ça. Elle est repartie, elle avait le smile. Puis elle a dit Tu peux pas savoir quel bien tu m'as fait, ça à tout âge, pour les agressions, tout ce qui est Peu importe le sujet, on peut explorer, puis on peut relâcher, peu importe l'âge, parce que le pouvoir, la chance que j'ai, c'est de canaliser.

Speaker 1:

Puis là, il m'envoie des messages, puis il m'envoie des images. Puis là, je me dis je m'en vais où avec ça. Mais l'effet de pouvoir avoir ces messages-là, le monde me dit comment ça? On dirait que tu lis dans ma tête ben oui, mais c'est ça, vous demander de l'aide. L'aide, elle est accordée quand on fait confiance de pouvoir aller trouver quelque chose qui est différent. Puis que tu le fais, le changement, fait que c'est moi, je suis trip. Je tripe de voir tout ce que ça peut changer. Puis, des messages. L'autre jour, j'ai eu un message d'un nom, puis là, je ne comprenais pas le nom. Puis je me suis dit c'est quoi cette histoire-là? Puis là, j'essaye de parler avec la cliente qui était là, finalement, son fils. Elle avait dit à le père de son fils il va porter mon nom de famille Parce que lui, il en avait déjà un gars. Puis, il porte ton nom, puis ton nom. Puis elle a dit moi, je veux qu'il porte le mien, mon nom. Fait que c'est un peu d'astinage. Fait que là, rendu à la naissance, quand les papiers se sont mis à faire, là, ils ont demandé c'est quoi son nom à l'enfant?

Speaker 1:

Fait que là, elle a dit le prénom, puis là, le père est allé dire son nom de famille Et son nom de famille, et elle n'a pas été capable de parler. Et elle s'en voulait pour ça, elle s'en voulait à elle de ça. Puis c'était parce que je voyais un nom à quelque part, puis je ne comprenais pas. Puis elle a dit voyons, c'est donc bien une histoire. Mais elle a dit ça me fait tellement du bien, c'est donc bien bizarre que tout ça. Oui, parce que son fils, elle aurait tellement voulu ça, elle n'a pas osé parler.

Speaker 2:

Et tout ça énergie, fréquence, vibration, tout ça est en nous. On pourrait dire que c'est banal, mais non, il y a quelque chose qui colle à notre énergie dans ce temps-là Et on a la possibilité de nettoyer ça avec toi. Gaëtan, la conversation a été phénoménale. Tu as vu ça commencer à passer vite. On, gaëtan, la conversation a été phénoménale, tu as vu ça commencer à passer vite. On est déjà rendu presque à 45 minutes.

Speaker 2:

Merci tellement pour qui tu es, pour cette énergie-là et ce grand désir d'être une invitation à la transformation pour tes clientes, et tu l'es aussi, par le fait même, pour moi oui, puis.

Speaker 1:

merci à toi de me permettre d'être ici, puis de faire moi aussi un autre, un autre changement sortir de ma zone de confort aujourd'hui, puis d'être ici devant la caméra, puis t'es merveilleuse. Merci la vie d'être ensemble.

Speaker 2:

Bonheur partagé au plaisir de jouer encore plus avec toi, gaëtan. Si jamais vous avez des questions à propos des jumeaux accompagnateurs ou encore de ces énergies-là, peut-être que vous avez eu dans votre ventre, que vous avez porté homme ou femme, ce que vous avez créé avant, pendant ou après, si ça vous tente d'aller voir quel est le ménage que vous pouvez faire, qu'est-ce qui colle peut-être à vous, qui vous empêche d'être complètement vibrante? vous avez les coordonnées de Gaëtan. Si ça vibre sage, merci infiniment d'avoir été là.

Speaker 1:

Merci.

Speaker 2:

Et merci aussi à vous, au grand plaisir de vous revoir pour un autre épisode d'Impacter le monde. À bientôt.