Impacter le monde avec Karine Champagne

49. Ton corps te parle, aimerais-tu écouter les messages? avec Stéphanie Dubé

Karine Champagne Season 1 Episode 49

Tu peux directement me texter tes commentaires!

Ton corps te parle. Est-ce que tu aimerais écouter les messages ?

Quelles sont les émotions cachées derrière les ses mal-à-dit?

Aujourd'hui, j'ai l'honneur d'accueillir Stéphanie Dubé, fondatrice du Centre de formation et santé holistique SatNam.

Stéphanie nous dévoile son parcours  qui a commencé avec le diagnostic d'arthrite juvénile idiopathique de son fils.

Ensemble, nous abordons les raisons qui l'ont poussée à explorer des médecines alternatives et à intégrer une dimension spirituelle dans les traitements médicaux.

Son témoignage offre une perspective révolutionnaire sur la manière dont nous pouvons comprendre et explorer les maladies en allant au-delà de la simple suppression des symptômes.

Elle a même fondé un centre de formation professionnelle pour répondre à un besoin grandissant dans notre société et ailleurs dans le monde.

ENCORE PLUS ICI:
Jusqu'à la rentrée de la cohorte 2024-2025 en septembre, Stéphanie sera en direct dans le groupe privé Satnam pour des microcoachings sur l'intelligence émotionnelle du corps. 

C'est l'occasion de découvrir les messages émotionnels de ton corps pour mieux comprendre ce qu'il t'enseigne et prendre conscience de ce qui bloque ton évolution.

Pour pouvoir proposer ta question ou ta problématique à Stéphanie et qu'elle puisse la mettre dans la liste des choix de sujets possibles, rejoins le groupe privé en cliquant ici : 

https://www.facebook.com/groups/centredeformationsatnam

Découvre l'approche Satnam ici

https://centredeformationsatnam.com/






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Pour explorer l'univers de la question:
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Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

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Speaker 1:

La tangente que j'ai prise, c'est une tangente qui regarde vraiment le corps comme un messager. Ok, donc, l'intelligence émotionnelle du corps pour moi, c'est qu'est-ce que ton corps exprime, qu'est-ce que le mal dit, et ça, ça a un côté, pour certains, un peu spirituel. Pour moi, c'est de dire qu'on est tellement plus complexe qu'un corps humain de chair. J'aspire à une médecine du sens, et une médecine du sens, pour moi, c'est spirituel, c'est de voir le sens derrière les mots. Ici, stéphanie Dubé. Au Québec, seul un médecin est formé à l'exercice et la pratique légale de la médecine. Seul le médecin peut diagnostiquer et traiter les maladies. Tout ce que vous entendrez sur ce podcast repose sur des opinions personnelles.

Speaker 2:

Bonne écoute, allô, bienvenue à cet autre épisode du podcast Impacter le monde. Peux-tu imaginer ce que serait notre société si la médecine traditionnelle parler encore plus du décodage émotionnel du corps? Mon invité en a fait sa mission de vie et j'ai tellement hâte de partager cette conversation avec vous. Stéphanie Dubé, fondatrice du Centre de formation et santé holistique SatNam, es-tu prête à impacter le monde Tellement?

Speaker 1:

C'était beau ton intro.

Speaker 2:

Oh, merci, J'ai réussi à le faire. Qu'est-ce que c'est pour toi? impacter le?

Speaker 1:

monde. Bien, c'est sûr, dans ma mission à moi, impacter le monde, c'est d'amener les gens à ouvrir leur niveau de conscience et, surtout, à être de plus en plus en ouverture sur tout ce que ça peut être la santé. Évidemment, il y a déjà la santé qu'on connaît, comme tu dis, la santé traditionnelle, mais il y a tout un monde dans les médecines alternatives qui existent et qui ne sont pas encore reconnues. J'ai envie de dire tolérées, c'est tolérées, mais de dire une réelle reconnaissance, ce n'est pas encore tout à fait là Et les gens ne sont pas nécessairement au courant de ça, sauf les professionnels qui travaillent en médecine alternative. Mais le public, pas nécessairement. Ce n'est pas nommé, ce n'est pas su. On pense que c'est facile, que tout ça est déjà intégré, et ce n'est pas le cas.

Speaker 2:

Mais tu as ouvert une porte importante, toi-même, grâce à la présence de ton fils, qui a eu un diagnostic qui laissait peu de joie et de possibilités au niveau de son corps, au niveau de sa motricité, son mouvement. Et là, tu t'es dit mais qu'est-ce qui pourrait être possible aussi, Oui, exactement.

Speaker 1:

Avant de te raconter un peu l'histoire de mon fils juste avant, j'ai envie de nommer que j'étais dans les services de santé et services sociaux, en psychoéducation, et je travaillais comme intervenante en dépendance. Donc, je viens du milieu traditionnel, je viens du milieu de la science, je viens du milieu de la psychologie, de la psychoéducation. Ça, c'est l'endroit d'où je viens. Et quand mon fils a deux ans, il développe une maladie qui s'appelle l'arthrite juvénile idiopathique, qui est, pour la médecine traditionnelle, une maladie sans cause. On ne sait pas la cause.

Speaker 1:

Donc, ce qui va être proposé, ce sont des traitements médicaux. Pour moi, j'appelle ça cesser le symptôme. Donc, ce n'est pas un traitement pour guérir, c'est un traitement pour stopper les symptômes, en espérant que la maladie part d'elle-même, parce que, oui, elle peut partir d'elle-même à un moment ou à un autre de la vie de la personne. Donc, moi, je suis rentrée dans ce milieu-là de la santé par la voix de mon enfant qui est malade à ce moment-là, et juste pour faire quand même un pont. Ma mère est naturopathe, donc je viens quand même d'un milieu où on s'est toujours beaucoup questionnés sur notre santé, on s'est beaucoup responsabilisés dans notre santé, lorsque le corps présente un symptôme, on va venir voir ce qui est là.

Speaker 2:

Mais du moment où ton fils a le diagnostic et on dit que c'est une maladie qui est sans cause, j'ai comme accroché là-dessus, ça a fait ping. Est-ce que toi, tu t'es dit mais s'il y avait une cause, Ah, c'est sûr, Ah oui. Du moment où tu entends ce diagnostic-là et l'explication, tu te dis sans cause, ça ne se peut pas.

Speaker 1:

Oui, c'est certain, je me pose cette question-là et j'ai déjà une piste de réponse, due à mes études en médecine, aussi alternative le fait que j'ai une maman en natureau. Donc, déjà, je l'ai ma réponse, je l'ai ma vérité à moi. Ce n'est pas la vérité scientifique, mais c'est ma vérité à moi Et je vais arriver dans les départements de rhumatologie avec cette vérité-là à l'intérieur de moi Et je vais me nommer.

Speaker 2:

Donc, tu challenges un peu les médecins en disant Attends, y a-tu autre chose, d'autres possibilités, parce que là y a un protocole médical. Puis, tu sais, on n'est pas en train de dire de faire ou pas faire le protocole médical. Au contraire, s'il y a de la médication à prendre, soulager l'enfant de chimiothérapie, entre autres.

Speaker 1:

Ton fils avait ça. En fait, nous, on s'est limité à des anti-inflammatoires et des injections, une fois au neuf mois à peu près, durant quelques années. Mais on a refusé le métatrexate, qui est une forme de, on pourrait dire, de chimiothérapie très faible d'eau.

Speaker 2:

Ça, on l'a refusé, ça fait partie de ce qu'on a refusé dans ce garde. Comment?

Speaker 1:

Écoute. Est-ce que c'est mes projections? Je pourrais pas le dire, mais c'est certain que j'ai senti de leur part quand même, un certain respect de mon rythme ou de jusqu'où je voulais aller. Mais à un certain moment, Karine, on m'a vraiment demandé de choisir.

Speaker 2:

Entre le traditionnel et le non-traditionnel.

Speaker 1:

Oui, au bout de quelques Oui, on m'a demandé de choisir Est-ce que j'allais accepter leur proposition Parce que, comme ça revenait à un moment donné, on était rendu un petit peu à ça, le métatrexate et tout ça. Puis là, j'avais vraiment une problématique de valeur et de vision de la santé Et on m'a demandé de choisir.

Speaker 2:

Ça, ça veut dire que les médecins étaient prêts à relâcher le dossier. Et à juste dire, on s'occupe plus de votre enfant.

Speaker 1:

Oui, et c'est là où il y a une problématique dans notre société au niveau de la santé. Les lois sont faites pour que les médecins soient vraiment présents dans une problématique de santé, qu'ils soient ceux qui diagnostiquent, qui prescrivent, qui traitent, et nous, en médecine alternative, on n'a pas ces droits légaux-là de faire. Donc, on travaille autrement, on travaille en explorant, en questionnant, puis en respectant aussi que ça, c'est là. Et donc, ce qu'on m'a demandé, c'est clairement, si tu fais comme, tu le fais, bien, nous, on sert comme. Ça n'a pas été dit comme ça, mais on ne sert plus à rien, tu sais. Alors, tu as à choisir. Tu as à choisir, sauf que moi, je n'ai pas les équipements médicaux pour savoir comment vont ces os.

Speaker 1:

Est-ce qu'il y a une inflammation? en dehors du fait que s'il ne marche pas un matin, qu'il ne peut pas se déplacer, je le vois. S'il y a de la douleur, mais parfois l'arthrite, c'est plus subtil. Je n'ai pas ça. Je ne peux pas faire ces actes médicaux. De leur diagnostic, j'ai besoin de leur test, du suivi, de voir l'évolution, mais le comment, je le refuse, parce que ce qu'il m'offre, c'est une façon de venir encore une fois patcher un symptôme, mais ce n'est pas d'amener une personne vers une guérison, même si je n'ai pas la prétention de guérir.

Speaker 2:

Non Patcher des symptômes. Oui, guérir, non Patcher des symptômes. On pourrait tu me parles de l'histoire de ton fils, mais on peut l'appliquer dans des milliers d'histoires ou des millions d'histoires. Ce qu'on fait dans la médecine traditionnelle, on a cette discussion-là, une discussion d'opinion. On a une discussion d'opinion, c'est pas savoir qui a raison, qui a tort. D'aucune façon on met de côté la médecine traditionnelle, qui est requise, mais bien souvent la façon dont ça fonctionne. Encore en ce moment, on patch des symptômes.

Speaker 1:

Oui. Puis, ici, encore une fois, moi, j'ai toujours la journée où le pont va être créé entre les médecines alternatives et la médecine traditionnelle et qu'il y aura un réel respect des compétences de chacun qui peuvent agir à différents niveaux. C'est très complémentaire. La médecine intégrative, c'est quelque chose qui peut exister si on en fait un choix de société. Ça, j'en suis persuadée aujourd'hui. Mais en ce moment, avec où on en est, ce pont-là, il n'est pas créé. On est en train de poser des briques, puis on avance À pas de tortue, mais on. Pour moi, karine, aujourd'hui, ce qui est important quand je parle de ça, c'est de ramener les gens à un pouvoir de décision. Je te donne un exemple Si exemple on sait que tout existe, que tout peut coexister, puis que je dis à quelqu'un tu sais que tu pourrais venir explorer certaines, peut-être, certains liens à faire entre ton corps, tes émotions, ton stress, puis que c'est reconnu et accepté d'emblée, la personne préfère Moi, j'ai envie de ça, j'ai envie de me responsabiliser, j'ai envie d'aller voir de quoi ça parle, parce que le corps est beaucoup plus global que ce qu'on en comprend quand on prend des parties séparément.

Speaker 1:

Mais une personne pourrait aussi me dire Puisque c'est reconnu et accepté, j'ai quand même pas le goût de le faire. Ce chemin de responsabilisation-là, moi, j'ai envie d'aller voir mon pharmacien, mon médecin, qui me donne le truc qui patche mon symptôme, puis je peux prendre ça toute ma vie. Je suis à l'aise avec ça, moi, karine, j'ai aucun problème avec ça. Le choix, mais le choix, et le choix, il n'existe pas encore.

Speaker 2:

Donc, revenons de ton fils qui a un diagnostic. À un moment donné, tu te retrouves même à avoir un choix à faire entre le traditionnel puis le holistique. Mais il y a aussi cette job-là où tu m'as bien déposé que tu étais dans un milieu de sciences scientifiques. Ta mère est naturopathe. Regardez juste le tableau, comme ça. Et là il y a des choix. Là tu commences à dire où est-ce que je m'en vais et qu'est-ce que je peux créer pour commencer cette fusion-là ou cette relation entre le médical et le holistique? Oui, et tu as fondé une école. Oui, mais est-ce que ça part de là, l'école?

Speaker 1:

C'est un Ça part de là, mais en fait, il s'est passé des années avant d'en arriver à l'ouverture d'une école. Ça m'a demandé de travailler énormément sur mon leadership et ma capacité à assumer, parce que c'est difficile de faire changer, c'est difficile le changement, et peut-être qu'il y a un niveau de croyance dans mon discours en disant que c'est difficile le changement. Mais si je voudrais juste, moi, que ça change, ou tous ceux qui pensent comme moi, ce serait simple et facile. Mais il y a de la résistance, le changement fait peur. Il y a de la résistance Et ça, ça m'a demandé, moi, d'y aller par étapes.

Speaker 1:

Donc, il y a le moment où moi, la mère, je me positionne et je fais ce que j'ai à faire en tant que maman et j'assume ce bout-là Et je quitte l'hôpital et je ferme les dossiers. Ok, ok, tu as choisi d'aller vers l'holistique. Écoute, ça leur a été tellement un choix désaligné pour moi que de ne pas me respecter dans mes valeurs et ma vision de la santé. Et comme on ne m'a pas donné le choix, moi, je veux un pont, karine.

Speaker 1:

Oui, Moi j'aurais voulu les deux, j'aurais voulu ma sécurité, des tests qui m'expliquent que ça va bien. Ce que je suis en train de faire, ça fonctionne, on voit le résultat, ça donne quelque chose Et faire comme je souhaite le faire dans une santé qui est beaucoup plus globale, qu'on regarde ça différemment que le simple fait que l'organe, il, se désorganise, le système est désorganisé, il n'y a pas de cause.

Speaker 2:

Puis, tu as un conjoint qui est dans la vie de ton enfant, vous êtes encore ensemble. Mais là tu te dis bon, mais chérie, on se retire du milieu médical. Oui, mais je ne l'ai pas fait comme ça, tu ne l'as pas dit comme ça.

Speaker 1:

Oui, je ne l'ai fait vraiment en rapportant ce qu'on venait de me demander. Heureusement, mon chum sait très bien que je ne suis pas une mère irresponsable et que je n'allais pas faire un choix qui aurait pu mettre en danger la vie et la santé de mon enfant.

Speaker 1:

J'aurais changé mon idée si j'avais vu que ça ne fonctionne pas. Mais il m'a dit Stéphanie, tu as toujours pris des bonnes décisions pour nos enfants. Je sais que c'est ton domaine, les médecines alternatives. Je te suis, j'ai dit c'est important que tu me suives, parce que là, c'est comme si la responsabilité à main comble juste à moi, parce que c'est moi qui vais faire quelque chose, c'est moi qui vais tenter autrement. Puis il m'a accompagnée là-dedans. On se rappelle même de cette journée-là, on s'en rappelle encore aujourd'hui.

Speaker 2:

Il a dit notre fils était quand même jeune puis il a juste dit c'est terminé, on ne va plus à l'hôpital. Puis ton fils a réagi. Comment Est-ce qu'il était assez âgé pour être content ou soulagé?

Speaker 1:

C'est sûr, pour notre enfant, le niveau de conscience de ce moment-là, pour lui, je ne pense pas qu'il était conscient de ce que ça me demandait, moi, comme solidité intérieure, puis volonté de détermination de croire aussi à une médecine différente et intégrative. Il n'y avait peut-être pas ce niveau-là, mais bon, c'est nous qui avons pris la décision, on était les parents à ce moment-là. Puis, même à ça, cette décision-là, j'ai eu peur de ma décision, en me disant est-ce qu'on pourrait revenir contre moi comme parent qui refuse un traitement médical? Ce n'est pas arrivé. Mais comment ça que j'ai eu peur de ça, comment ça que, dans notre société, je me suis posé cette question-là, savoir si ça allait être correct que je fasse un choix différent, qui ne leur convient pas dans leur vision de ce qu'ils ont, eux, étudié? Je trouve que c'est anormal qu'on n'ait pas le choix.

Speaker 2:

Il y a vraiment un arrimage intéressant entre l'holistique et la science à faire. Je ne sais pas combien d'années, de décennies ou de secondes ça va prendre, mais il y a quand ça va vraiment juste bien atterrir ensemble, on va commencer à se comprendre et avoir cette discussion-là autre, Parce que tu sais, moi je l'ai vu avec la dépression, en tout cas ce qu'on appelle dans cette réalité ici, la dépression où on m'a encouragée, oui, peut-être, à prendre la médication, mais à faire du sport et à bouger. C'était une porte un peu vers une santé intégrative, en quelque sorte, C'était le début de quelque chose. C'est le début de quelque chose, Mais c'est peut-être pas toutes les maladies ou les symptômes qu'on va traiter avec une aussi grande ouverture.

Speaker 1:

Oui. Puis encore là, le mot, c'est sûr, moi, ça allait au-delà du sport et de l'alimentation. La tangente que j'ai prise, c'est une tangente qui regarde vraiment le corps comme un messager. Donc, l'intelligence émotionnelle du corps, pour moi, c'est qu'est-ce que ton corps exprime, qu'est-ce que le mal dit? Et ça, ça a un côté, pour certains, un peu spirituel, mais pour moi, oui, le goût d'employer le mot spirituel emploie ce mot-là, mais pour moi, c'est de dire on est tellement plus complexe qu'un corps humain de chair. On a un corps, on a un esprit, un mental, on a des émotions dans notre cerveau aussi. Donc, un corps émotionnel, on a un corps énergétique tout est énergie, on est d'accord. Et énergétique, toute est énergie, on est d'accord. Et on a aussi un corps spirituel. Et pour moi, j'aspire à une médecine du sens. Et une médecine du sens, pour moi, c'est spirituel, c'est de voir le sens derrière les mots.

Speaker 2:

Là, t'as dit, ça va au-delà du sport, au-delà de l'alimentation, c'est vraiment un tout. Quand même, au niveau de l'alimentation, tu as fait des grands changements. Oui, vous êtes devenue végétarienne. Oui, juste pour voir. En fait, c'est une exploration. Encore là, on a cette discussion-là d'opinion, qui est une exploration. Je me demande, si je change ceci, quel impact ça peut avoir.

Speaker 1:

Oui, puis, karen, je vais quand même le nommer, vu qu'on est dans le contexte actuel, avec les médecines et les lois, tout ce qu'on nomme est abus personnel. C'est mon histoire que je raconte. Alors, s'il y en a qui sont inspirés par ce que je dis, consultez vos médecins, professionnels de la santé. Ok, ça ne remplace pas quoi que ce soit. Quoi que ce soit. Mais je le nomme parce que c'est un sujet qui est quand même.

Speaker 2:

On n'est pas dans le radical, on n'est pas dans ceci ou cela, on est dans l'exploration des autres possibilités.

Speaker 1:

Oui, puis je vais répondre à ta question. Puis, en même temps, j'ai envie de rajouter là-dessus. Moi, je trouve que le cadre est trop rigide. Je sais qu'un cadre, ça sert à sécuriser, à créer des balais. Je ne suis pas en train de dire qu'il faut que ce soit l'anarchie, mais un jour, il faut réaliser que le cadre est trop rigide, puis qu'il faut, comme peut-être, élargir le cadre. Donc, c'est un petit peu là où on s'en va avec notre exploration, mais bon, après ça, ça sera un débat de société.

Speaker 2:

Oui, actuellement, ça ne fonctionne pas. Dans le cadre, ça ne fonctionne pas, puis dans plein de cadres, en ce moment, ça ne fonctionne pas.

Speaker 1:

La santé, l'éducation. Il y a plein d'autres endroits où ça ne fonctionne pas. Il y a plein d'endroits où il faut revoir nos façons de faire.

Speaker 2:

Ça veut dire que le cadre, il ne sert plus, il a servi, il ne sert plus. Il y a d'autres choses qui sont disponibles Et on a en ce moment.

Speaker 1:

Puis, je vais répondre à ta question sur l'alimentation. Donc, avant de parler d'intelligence émotionnelle du corps, qui a été vraiment par où je suis passée pour que mon fils puisse aujourd'hui être en top santé, on a utilisé la voie de l'alimentation et pendant cette période-là, on était suivi en rhumatologie, donc ma mère naturopathe. On a beaucoup regardé, on s'est beaucoup penché sur l'alcalinité, l'aspect végétarien. Bon, on a étudié là-dessus, on a lu, puis on a fait nos expériences avec l'alimentation, puis, quand on est allé à nos suivis, on avait les résultats de est-ce qu'il y a de l'arthrite ou il n'y a pas d'arthrite présentement? On a été dans le VG au moins un an ou deux à peu près. J'y vais approximativement. Et durant cette période où je ne trichais pas mais ça, ça veut aussi dire pas de sucre, je ne rentrerai pas dans le débat des produits laitiers, mais pas ça on est allé chercher le calcium, autrement. Bref, on a coupé énormément de choses. C'était très limitant, ce n'était pas agréable, mon chum capotait. Ce n'était pas agréable, mon chum capotait.

Speaker 2:

Au moins ça ne passait. C'est clair. C'est ça, C'est clair.

Speaker 1:

C'est transparent. Mais il n'avait plus de traces d'arthrite durant cette période-là. Alors, à un certain moment, mon chum a dit là, steph, ça serait le fun qu'on puisse aller souper chez des amis. Que Guillaume notre enfant aux fêtes, à une fête d'enfants, tu sais qu'on a le droit de se donner plus qu'un jujube au dépanneur. Tu sais, comme la vie du plaisir, et comme il allait bien, je me suis dit parfait, on fait le test On relâche.

Speaker 1:

On relâche, c'est revenu. Fait que là, pour moi et ça a été mon premier constat relié par exemple, à la voie natureau, naturopathie, j'ai fait OK, c'est une autre façon, encore une fois, de venir patcher un symptôme. C'est comme si, pour moi, à ce moment-là, l'alimentation est devenue ça fonctionne, mais un peu comme le médicament fonctionne, ça fonctionne, mais si tu lâches pas.

Speaker 2:

OK, fait que même le végétarisme est devenu une patch. Bien Pour moi dans l'eau où je voulais aller, moi, je suis une fille qui a besoin de liberté, j'ai besoin de ne pas être dans le rigide.

Speaker 1:

Alors là, on est encore pris dans de la rigidité Et finalement, notre enfant, il n'est pas guéri Parce que si on lâche de manger végé, il redevient malade. Ça me donne un méchant frisson. Et là, j'ai été étudiée sur le sens des maladies, mais d'un point de vue spirituel, l'intelligence, émotionnelleusement, depuis de nombreuses années, dans le milieu des médecines douces, alternatives, et tout ça, il y a eu moi j'appelle ça la même rigidité que, de l'autre côté, c'est un ou l'autre, c'est les médecines alternatives, c'est que les médecines alternatives, puis, de l'autre côté, c'est que la médecine scientifique, c'est que lâcher nos petits égaux démesurés, créer cette union-là entre les choses, parce qu'il y a des forces des deux côtés et il y a des manques des deux côtés. Il faut une médecine intégrative. Elle n'existe pas en ce moment.

Speaker 2:

Décodage émotionnel du corps. Là, je te dis, quand tu as dit l'alimentation, ça ne change pas tout, je pense à Fred ses. Alors, là, je te dis, quand tu as dit l'alimentation, ça ne change pas tout, je pense à Fred ses, problèmes cardiaques. moi, le stress ou les hormones, je suis comme OK, on patch encore en changeant notre alimentation. On n'est pas allé à la racine de ce que c'est qui cause ces mots-là dans nos vies personnelles, fait que le décodage émotionnel du corps comment tu as découvert ça.

Speaker 1:

Puis qu'est-ce que c'est exactement? Oui, je vais y aller. Puis, en même temps, je vais rectifier sur le mot ce qui cause, parce qu'encore, là, c'est pas ce qui cause. Pour moi, c'est un ensemble. Ok, donc, si quelqu'un se met à mal manger, puis clairement, il se nourrit au Pepsi, au poutine, peut-être qu'il y en a qui ont une santé de fer, puis ça va le faire. Mais on s'entend, on n'est pas en train de dire mangeons n'importe quoi, faisons pas de sport, devenons des gens qui ne bougeons pas. Tu sais, ce n'est pas du tout ça. Pour moi, c'est une multitude de portes à regarder. Elles sont toutes importantes, mais dans un aspect où il faut aussi vivre, fait que les émotions font partie d'équations, puis on ne les a pas regardées. On a regardé l'alimentation, puis on est d'accord, l'alimentation a un impact sur notre santé. On a regardé l'activité physique, on est d'accord, tout le monde est d'accord.

Speaker 1:

Enfin, on est tous d'accord Le sport est important. L'activité physique, c'environnement, la toxicité. On est d'accord, ça a un impact. Méditer, relâcher. On a accepté qu'il faut être en pleine conscience, du moins se calmer les nerfs, gérer notre stress. On est d'accord, le stress, mais le stress, karine, c'est des émotions, mais ce n'est pas ça le mot qu'on a mis. Mais si on le décortique, le stress, il y a une émotion associée pour chaque stress.

Speaker 2:

On ne l'a pas regardé cet angle-là, Comme par exemple est-ce que tu as des exemples? d'émotions qui peuvent être associées au stress?

Speaker 1:

Oui, en fait n'importe lesquelles. Si, par exemple, je vis une perte, une perte humaine, un deuil, une perte humaine, un deuil, je vis un stress, mais c'est un stress de perte. Si je vis une séparation d'une relation de couple, depuis ça fait 20 ans que je suis en relation de couple, ma famille, tout va changer. Je vis une relation de couple qui se sépare. Donc, mon stress, c'est une séparation, c'est une émotion peut-être de dévalorisation, peut-être de colère. C'est relié à la séparation, mais c'est un stress spécifique. Si je suis en colère parce que je vois une injustice devant moi, une injustice sociale, puis que je n'arrive pas à la gérer, ma colère, j'ai un stress. Mais mon stress, il s'appelle colère.

Speaker 1:

La science dit le stress, on commence à le voir Ça, ça sort en science, ça sort depuis de nombreuses années déjà. Le voir Ça, ça sort en science, ça sort depuis de nombreuses années déjà Que le stress est relié aux maladies. Aussi, mais ils en ont fait un mot général. Moi, je vais plus loin que ça, je m'en vais dans le spécifique. C'est quoi l'émotion associée à ton stress? Cette émotion-là, le corps parle.

Speaker 2:

Et c'est avec le décodage émotionnel du corps qu'on peut observer, découvrir et en apprendre.

Speaker 1:

S'introspecter, se voir, puis ensuite de ça, s'occuper de soi. Et encore là, un n'empêche pas l'autre. Si t'as un cancer de je sais pas quoi, puis t'es en chimio, vas-y, il n'y a rien qui l'empêche, mais t'as le droit. Moi, je ne suis pas chanceuse, moi j'ai une mauvaise, j'ai un corps problématique. Oui, bête comme ça, c'est seulement ça.

Speaker 1:

Puis comment ça fonctionne pour décoder le corps, c'est certain, dans cette théorie-là qui, je le répète, n'est pas scientifique, j'ai besoin de le nommer. Alors, quelqu'un qui voudrait s'explorer dans la littérature de cette approche-là, ce voudraient s'explorer Dans la littérature de cette approche-là. ce qu'on va nommer, c'est que, selon les systèmes, il y a une logique. Donc, mettons que je prends le système osseux, un stoie articulaire, je parle d'aucune maladie spécifique, je parle en général des os. Les os, karine, tu es d'accord. ça, nos os, la première chose à laquelle on pense, c'est notre colonne vertébrale. Notre colonne vertébrale, c'est notre alignement, notre solidité.

Speaker 1:

on se tient debout. Tu sais, quand on dit je me tiens debout, je me tiens droit, ça parle de quoi ça? Ça parle d'estime de soi, de leadership, de posture intérieure, de je suis assumée, j'ai confiance, je me sens important, je suis droit. Alors, c'est sûr que, dans les eaux, moi, je vais aller explorer avec la personne comment elle va au niveau de l'estime, ou de la culpabilité, ou de l'insécurité, au niveau de ce qu'elle est, comment elle se voit la dévalorisation. Ça va être des thèmes comme ça que je vais explorer.

Speaker 1:

Puis, en fonction de ce qui va être révélé, on va aller travailler en coaching sur ça. Si j'ai un problème d'estime, l'importance c'est de développer mon estime. Si j'ai de la difficulté à m'assumer, puis que je fais la carpette dans ma vie, je me soumets à tout, je me laisse faire, je ne m'assume pas, on va le travailler. à ta position d'autorité personnelle, ta puissance personnelle, ta confiance en toi, tu comprends Si tu es pris dans la culpabilité. on va aller voir pourquoi tu es dans cette défense-là, qu'est-ce que tu as à transcender pour sortir de cette culpabilité malsaine-là. Mais en fait, le symptôme, il est juste la porte d'entrée du cheminement intérieur. Après ça, les médecins font leur job, les pharmaciens vendent leurs produits s'ils ont besoin de les prendre. C'est juste que c'est une voie de travail. c'est la voie de ceux qui veulent se responsabiliser dans leur santé, qui veulent être acteurs de leur santé, et non j'attends que quelqu'un me sauve.

Speaker 2:

C'est responsabilisant. Il y en a certains en ce moment qui doivent dire non, non, non, c'est impossible, je ne pourrais pas faire ça. Puis il y en a d'autres qui doivent être allumés comme des sapins de Noël. Comme je le suis en ce moment, je me demande quoi d'autre est possible. J'ai envie de te poser la question, puis pas. Mais par rapport à tout ce qu'on entend sur la ménopause, je serais très curieuse.

Speaker 1:

C'est un sujet hormonal.

Speaker 2:

Oui, c'est un sujet hormonal, mais est-ce que là où on est rendu, la façon dont je le capte des fois, c'est, je trouve, que la ménopause j'ai entendu un mot qui était la midélescence, au lieu d'être adolescente. c'est la middle-essence, c'est une transformation de qu'est-ce que je n'ai pas choisi, d'être encore. Puis le corps m'envoie différents signaux. Quand je parle à mon corps, c'est ça Qui n'es-tu pas maintenant que tu dois être?

Speaker 1:

Oui, la ménopause, c'est un changement, c'est une transition. Puis, pour beaucoup de femmes de notre société, la ménopause, oui, mais si je suis en contraction, en résistance, avec mon vieillissement, est-ce que ça va bien se passer? pour moi, pas tellement, non. Bon, tout est dans tout, karine. Puis, je ne suis pas en train de dire qu'il n'y a pas un changement hormonal. Effectivement, il y en a un, on le sait, la science le dit, tout le monde est d'accord avec ça. Mais quoi d'autre on peut faire nous? Mais qu'est-ce que je peux faire dans mon positionnement, le regard que je porte sur ma vie, sur la vieillesse, sur le changement, le changement physique, le changement même émotif, les transitions de vie, quand on observe les gens qui sont dans des alignements de l'acceptation de ce qui est, qui se demandent toujours comment je peux créer ma vie maintenant avec où je suis, et qui accepte les deuils nécessaires Il y a des renoncements nécessaires dans la vie et que la personne est dans le flot. Parle avec ces gens-là, ils sont habituellement bien dans leur corps.

Speaker 2:

Il n'y a pas de problème avec le vieillissement.

Speaker 1:

Parce que ce qu'on entend, c'est ceux qui vont mal. C'est rare qu'on a des émissions à la télévision ou nouvelles sur les gens qui vont bien. C'est les problèmes qu'on passe à la télé. Ça existe en passant. Ça existe des gens qui sont en santé, qui vont bien, qui, lorsqu'ils ont un symptôme, qui vont se responsabiliser dans quelque chose qui est à regarder. Ça ne veut pas dire qu'ils n'ont pas consulté un médecin, qu'ils n'ont pas été chercher un diagnostic, qui ont peut-être aussi été chercher une médication pendant un temps. Mais il y a des gens dans notre société actuelle qui vont dire mais pas pour toujours.

Speaker 1:

Oui, je suis d'accord, si on souffre, fais quelque chose, attends pas en disant quelqu'un a dit que c'était ma responsabilité, non, puis, il y a une différence entre c'est pas parce que t'es responsable que t'es coupable, respons de regarder peut-être quelque chose qui t'appartient là-dedans, mais ne souffre pas et va chercher de l'aide, sauf que, encore là, c'est une décision qui est personnelle à chacun. Tu peux patcher toute ta vie en disant Je n'ai pas envie de regarder ça» Ou dire Je vais la regarder en pleine face parce que je suis quelqu'un qui aime évoluer, grandir, apprendre, me transformer. Les gens qu'on a beaucoup dans nos bureaux, ce sont des gens qui ont envie d'être les premiers responsables de leur vie.

Speaker 2:

Quand le médecin m'a dit Karine, bouge, je l'ai écouté à la lettre. Je trouvais que c'était le plus beau conseil que je pouvais percevoir. C'est oui, prends la médication si c'est requis en ce moment pour que tu puisses fonctionner dans ton quotidien, fine, mais bouge. Après, quand les gens disent as-tu peur de retomber en dépression, c'est comme non, j'ai fait la job, j'ai fait le travail, j'ai regardé, je sais c'est quoi mes signes, je sais comment je me sens, i know it.

Speaker 1:

T'as compris pourquoi tu t'as solutionné. Tu as eu le courage de transformer ce qui devait l'être en toi, peu importe que tu l'aies fait avec un psychologue ou par toi-même.

Speaker 2:

Tu l'as fait, je l'ai fait. Je suis convaincue qu'il y a plein de gens qui, comme moi, sont juste Ah, mais dis-moi en plus, si j'ai au niveau du cœur, si j'ai de l'insomnie, on pourra peut-être ouvrir la porte si tu veux. Mais avant, je veux juste dire aux gens si ça vous allume comme ça m'allume Moi, j'adore parler avec Stéphanie. Ça a été long avant qu'on commence le podcast, parce que j'avais des questions sur mes glandes surrénales, le cortisol, mes shots de stress la nuit. C'est comme comment je peux voir ça, comment je peux observer ça? T'offres contenu gratuit en ce moment Et vous avez les liens. Tu peux juste nous expliquer qu'est-ce que tu offres pendant, entre autres, la période estivale 2024. Mais du moment où vous regardez ce podcast-là, allez juste voir sur le site Internet de Stéphanie.

Speaker 1:

En fait, moi, karine, je suis une école de formation professionnelle, donc, je forme des thérapeutes en relations d'aide, selon l'approche d'intelligence émotionnelle du corps, des coachs holistiques aussi. Et à chaque année, on a une période d'inscription pour la cohorte suivante, qui commence toujours en septembre. Donc, entre le mois de mai et août, c'est une période où je suis beaucoup plus visible. Je donne de la formation gratuite, on a des portes ouvertes, on a des semaines de lancement, donc, c dans notre univers, par les réseaux, ils vont avoir accès, qu'ils s'inscrivent ou pas en septembre, à du contenu. C'est sûr, moi, je suis quelqu'un qui aime transmettre, je suis une enseignante aujourd'hui. J'ai été longtemps thérapeute en relation d'aide, coach, et aujourd'hui je me dédie à transmettre parce que j'ai cette mission que ça change Et pour faire changer les choses, je dois assumer ce nouveau chapeau-là que je n'aurais pas été capable de porter il y a 10 ans, mais que je suis en mesure de porter aujourd'hui parce que j'ai travaillé sur moi, sur mes peurs, sur mes contractions.

Speaker 1:

Ça semble gros quand on Je n'ai pas envie d'utiliser le mot, qu'on se bat, parce que je n'aime pas l'énergie de guerre, mais ça demande de l'énergie et une grande volonté pour faire changer une société. C'est une personne à la fois. Puis c'est en vivant un paquet d'expériences personnelles uniques que chacun dit finalement c'est ma vérité, je n'ai pas besoin, je le sais, karine, un jour ça sera sûrement scientifique. Mais encore là, pour que ça devienne scientifique, il va falloir que des gens qui ont de l'argent pour faire de la recherche investissent dans ça. C'est pas parce que c'est pas scientifique que c'est pas vrai.

Speaker 1:

Mais en ce moment, les recherches scientifiques sont sur ce qui va rapporter des sous. On s'entend, pourquoi, sinon investir des millions en recherche? puis l'intelligence émotionnelle du corps, ça rapporte rien. Tu t'auto-climates, ouais, ouais, c'est ça, tu vas mieux. Qui a envie d'investir sur quelque chose qui ne remboursera pas les frais de recherche? Donc, il n'y en a pas de recherche tant que ça. Il y en a un petit peu en neurosciences, le stress en général, les maladies. Mais on s'entend, c'est du début, ça défriche lentement. Moi, je n'attendrai pas des milliers de personnes, et j'ai envie de dire des milliers de personnes. Ces gens-là qui ont vécu des changements, eux aussi le savent. C'est une vérité aujourd'hui, même si la science n'est pas encore rendue à le confirmer.

Speaker 2:

Ta vérité, ton corps, comment tu es, tu le sais. Donc, là, il y a un porte ouvert. Je veux vraiment juste inviter les gens à aller s'inscrire, observer, si jamais vous vous questionnez à savoir mais je me demande qu'est-ce que je pourrais faire avec telle ou telle pathologie, puis encore là, c'est de concert avec ce que vous faites en ce moment pour aller mieux pour vous traiter, mais c'est juste d'ouvrir une autre porte, comme je me demande qu'est-ce que je pourrais découvrir si je choisissais de questionner. Qu'est-ce que mon corps dit?

Speaker 1:

Puis, encore là, je viens préciser on ne traitera pas, on ne diagnostiquera pas ta pathologie. C'est tous des termes médicaux qui ne nous appartiennent pas. C'est juste de dire et si j'avais une responsabilité là-dedans, et que je fais déjà avec la médecine conventionnelle, qu'est-ce que je peux permettre de plus Et s'il y a des améliorations, wow, tu sais, mais d'aller se questionner, c'est pas dangereux, de se questionner, ça enlève rien, le pire qui va arriver. Tu n'as pas ton résultat, mais c'est un cheminement intérieur.

Speaker 2:

Tu peux être quand même bien, il y a une forme d'apaisement de responsabilisation. Est-ce que le diagnostic a changé? Peut-être que oui, peut-être que non. Le traitement, non. Ce n'est pas grave, ça ouvre des portes.

Speaker 1:

On est là pour a le droit de penser. on a le droit de réfléchir Ça, personne ne peut nous l'enlever, karine.

Speaker 2:

On a parlé des os tantôt. Puis, bien souvent, dans mes clientes, il y a énormément d'insomnie. J'en fais partie aussi. Je ne sais pas combien de fois je peux me réveiller dans une nuit. Puis on a eu cette discussion-là. Est-ce que je peux te questionner sur qu'est-ce que ça peut vouloir dire l'insomnie? Qu'est-ce que les gens pourraient entendre et capter à travers notre discussion, pour ouvrir des portes, pour aller voir qu'est-ce que c'est l'insomnie?

Speaker 1:

Bon, encore une fois, moi, je ne parlerai pas de l'insomnie. Je vais partir de ce symptôme Avec moi, quelqu'un qui me dit insomnie, là où je vais l'amener dans mes questions, c'est la nuit. c'est fait pour dormir, on s'entend. Mais si je ne dors pas, qu'est-ce que je suis en train de faire en fait, la nuit? on va voir. je suis la personne qui veille, la personne qui guette la sentinelle. C'est quoi l'histoire qui se passe dans ma vie, ou qui s'est passée dans ma vie, peu importe à quel moment, qui fait que je ne peux pas être détendue et relâchée, me laisser aller, parce que le sommeil, c'est une perte de conscience, on s'entend pas une perte de connaissance, mais c'est une perte de conscience.

Speaker 1:

Je ne suis plus contrôle. Oui, je peux pas relâcher, C'est ça. Alors est-ce que il y a quelque chose dans ton histoire relié à? je peux pas lâcher le contrôle. Salut.

Speaker 2:

Moi, j'adore ces animaux. Ah oui, ils viennent de parler de contrôle. Je pense que ça l'a réveillé. Il est jamais allé voir un invité pendant un podcast comme il l'a. Moi, j'ai plein d'animaux chez nous, karine.

Speaker 1:

Donc je me gère pour ne pas publier trop de chiens.

Speaker 2:

Je l'aime, Mais le contrôle clairement. ça l'a allumé, comme ça m'allume.

Speaker 1:

Oui, c'est ça. Et donc, la nuit, pour quelqu'un qui aurait de la difficulté à s'endormir ou qui se réveillerait souvent, c'est certain, moi j'irais explorer. Qu'est la nuit ou peut-être pas la nuit qui fait que tu dois guetter et veiller Habituellement les histoires qui vont être comme ramenées, que les gens vont faire. Ça me fait penser à ça, ça m'évoque ça. On va parler d'histoires, soit d'abus, d'un danger dans l'environnement, d'une insécurité. Puis, tu sais, ça pourrait être autre chose que l'abus. L'insécurisant nous amène à guetter. L'insécurité, karine, c'est le cerveau reptilien qui s'active. Le cerveau reptilien, pour ceux qui ne le savent pas, c'est notre cerveau de la survie. Donc, si j'ai peur, le cerveau, il ne se mettra pas à décortiquer Est-ce une peur de mort ou c'est juste une peur de quelque chose qui n'est pas si grave. Lui, le cerveau, il ressent insécurité. S'il s'en va, dans le cas, le crocodile va me manger. Donc, même de l'insécurité financière peut t'empêcher de dormir Quand tu as parlé.

Speaker 2:

J'ai eu une grande réponse. Est-ce que je peux te la partager?

Speaker 1:

Oui, j'aime ça.

Speaker 2:

Mon père avait, et en a pu en ce moment, des céphalées d'Hurton, donc des maux de tête énormes, et les crises arrivent la nuit et ça s'appelle aussi la maladie du suicide, parce que la douleur est tellement grande. Jeune, je me réveillais la nuit pour m'assurer qu'il était en vie, pour pouvoir lui porter assistance. Fred a eu des problèmes cardiaques. Qu'est-ce que j'ai fait pendant deux ans? Je me suis réveillée à regarder s'il respirait, s'il était correct, pour être certaine que s'il arrivait quelque chose, je pouvais m'en occuper. Aussi, fait que là que tu mettes, je suis comme OK, c'est ça Potentiellement. Ça veut pas dire que c'est ça.

Speaker 1:

Puis là, la voie de transformation aussi à pour être dans qu'est-ce que je dois solutionner en moi? Bien, m'apaiser, avoir la foi que je suis en sécurité ou que les gens que j'aime sont en sécurité, trouver ma zone pour me détendre, le lâcher prise, l'acceptation de ce qui est, parce qu'encore là, c'est un faux contrôle de penser que parce que t'es réveillé, les choses se passeront pas. Exact. Donc, c'est vraiment la voie, la solution qui fait du sens à ce que tu exprimes à travers une difficulté, à te laisser aller la nuit, relâcher le contrôle, Là t'aurais comme ton devoir personnel.

Speaker 2:

C'est là-dessus que je travaille Puis là, je travaille avec, je me pose des questions, je peux prendre du coaching, j'écris je travaille avec, je me pose des questions je peux prendre du coaching.

Speaker 1:

J'écris, je médite là-dessus, on le fait, tout est bon, tout est bon. Rendu là, ça peut être, c'est sûr, qu'on prend une voie de thérapeute, qu'on prend un métier de thérapeute en relation d'aide, ou qu'on prend quelqu'un qui est en coaching, ou un psychologue, ou peu importe, on prend quelqu'un qui fait de la relation d, c'est sûr, ça va t'aider à aller voir. Ça peut être quoi les outils, les techniques, ce qui doit être transformé à l'intérieur générale. Il y en a qui. Les réponses sont en nous, elles sont en nous, elles sont dans la nature. Mais oui, souvent, on prend de l'aide extérieure parce que ce n'est pas vrai que tout le monde est à l'aise de, ce n'est pas tout le monde qui a exploré cette voie-là dans sa vie, ce n'est pas tout le monde qui a étudié en en relation d'aide, en coaching, dans le développement personnel. Puis, des fois, on a besoin.

Speaker 2:

D'un petit coup de pouce. Tellement Des fois, on a juste besoin de quelqu'un qui nous aide à aller, parce que le naturel, il revient des fois facilement. Le pilote automatique, il rembarque L'idée de questionner, puis d'être curieuse, puis d'être engagée avec soi. Bien des fois, ça nécessite une petite contribution extérieure.

Speaker 1:

Oui, c'est là. Puis moi-même j'enseigne ça. Donc je suis une experte dans ce domaine-là. Je l'enseigne, je l'incarne, je le comprends. Mais quand je suis dans mes propres bébites parce que moi aussi j'en ai des défis, tous les humains en ont Des fois je ne vois rien, puis là, je le vois. Puis des fois, j'ai aussi besoin d'être accompagnée pour dépasser ce qui a besoin d'être transcendé, que je n'étais pas capable de faire, parce que c'est facile de voir. C'est quoi mon problème, le solutionner, c'est tout un défi. Tu sais, karine, je suis là en train de venir te parler de ce sujet-là. Il y a cinq ans, je serais morte de trouille. Pas par rapport au fait de te parler à toi, au fait que ça va être exposé, que je suis en train de donner une opinion sur notre société. Jamais, il y a cinq ans et avant, j'aurais été en mesure de venir assumer ça. Ça, c'est le développement personnel, c'est ce que j'ai travaillé pour y arriver. Puis, le chemin n'est pas fini. Jusqu'où je vais me rendre, je ne sais pas.

Speaker 2:

Et toi, ton objectif? est-ce que tu crois être en mesure, de ton vivant, de voir cette synergie entre la médecine traditionnelle et la médecine holistique?

Speaker 1:

Je me dois d'y croire, parce que faire des choses, si on n'y croit pas, ça n'a aucun sens. Ou trouver l'énergie, si on pense que c'est impossible, il faut y croire. Puis, c'est en train de se passer. Moi, je te jure, c'est un paquebot qu'on est en train de faire tourner. Fait qu'on le regarde, puis on fait, il va-tu finir par virer. Tu sais, c'est long, c travaille, ma foi, ma patience, énormément. Et ce qui me fait vraiment plaisir, depuis que j'ai ouvert l'école et que j'ai assumé que j'allais le faire, que j'allais contribuer à cette société-là d'une façon ou d'une autre, en respectant les lois, en respectant le rythme, en parlant avec les gens qui ont peur des médecines alternatives, en démontrant qu'on peut être très formés aussi en relation d'aide, on n'est pas en train de dire c'est un ou l'autre, c'est un et l'autre. Moi, ce qui me rend en joie, c'est de constater que, depuis l'ouverture de mon école, la clientèle à qui je m'adresse oui, c'est M et Mme Tout-le-Monde qui ont envie de venir se questionner, voir autrement, se responsabiliser, s'ouvrir à ces hypothèses-là, ça, c'est une chose. Mais ma clientèle, je forme des thérapeutes en relation d'aide avec cette approche-là, des coachs holistiques voulant dire corps, esprit, émotion, énergie, spiritualité, donc des gens qui veulent de tout ça, pas seulement le cadre scientifique, même s'il fait partie de mes formations, cadre scientifique, même s'il fait partie de mes formations. L'éducation psychologique, elle est là, les sciences humaines, c'est là, mais pas seulement ça.

Speaker 1:

Donc, c'est sûr, j'attire des gens qui sont dans cette ouverture holistique et différente, et dans mes cohortes, j'ai des infirmières qui travaillent dans les milieux hospitaliers, les travailleurs sociaux, les criminologues, les psychoéducateurs, des éducateurs spécialisés, puis, j'en oublie là, j'ai des gens au sang natureau masso ostéo. Il y a des gens qui viennent des médecines alternatives, mais il y a des gens qui viennent de médecine traditionnelle, puis ils ramènent ça dans le système, Puis ils parlent, et c'est comme si, depuis que je le Je, je suis comme Oh, en fait, ça va se passer de l'intérieur. C'est pas moi qui fais changer les choses, moi je transmets, puis chacun transmet, et si, à l'intérieur du système, les gens font Non, non, non, non, non», il faut élargir le cadre. Je suis plus toute seule Et ça, là, je te le dis, j'ai des frissons, karine, je capote ma vie.

Speaker 2:

Wow, bravo pour ce courage, cette colonne vertébrale qui est si droite, cette posture et cette grande vision que tu as de dire que c'est possible, que tout le monde travaille de pair. Wow, si jamais ça vous intéresse, tous les détails sont là dans la description de ce post-là, de cet épisode-là d'Impacter le monde, que ce soit sur YouTube ou encore via n'importe quel audio que vous écoutez, vous avez l'adresse, vous pouvez aller vous inscrire, vous pouvez observer, télécharger, regarder, écouter, apprendre et voir de quelle façon vous pouvez transformer votre relation avec votre corps et à quel point votre corps est un grand messager. Stéphanie, merci tellement pour cet échange-là. J'ai hâte qu'on se parle encore. Puis, j'ai hâte de voir ton cheminement. J'ai hâte d'applaudir Que j'applaudis déjà, mais j'ai hâte d'applaudir Que j'applaudis déjà, mais j'ai hâte d'applaudir encore plus avec tout ce que tu vas créer dans le monde.

Speaker 1:

Merci, merci, karine, puis merci de m'avoir reçue, merci pour ton enthousiasme, puis tous ceux aussi qui sont ouverts. Ça donne énormément de courage pour oser aller de l'avant, même si ça nous demande de pas lâcher, puis de continuer, même quand ça semble bloqué et que ça n'avance pas comme on voudrait. Merci, tu contribues à ça. Tous ceux qui s'y intéressent contribuent à ça. Puis ceux qui se forment contribuent à ça Tellement.

Speaker 2:

Merci, stéphanie, merci, merci infiniment aussi à vous d'avoir été là pour cet autre épisode du podcast Impacter le monde, et je vous dis à tout bientôt.