Impacter le monde avec Karine Champagne

42. Il y a la vie et il y a la mort entre les deux il y a le bonheur avec Christine Gagnon

June 14, 2024 Karine Champagne Season 1 Episode 42

Tu peux directement me texter tes commentaires!

Il y a la vie et il y a la mort entre les deux il y a le bonheur

Dans cet épisode de podcast tu verras le lien magnifique entre la vie et la mort.

Et surtout comment tu découvriras comment Christine, que tu peux appeler aussi Cri Cri a transmuté son désir de mourir en désir de vivre.
 
Peut-on vraiment transformer sa vie grâce à la gratitude?

Christine Gagnon nous prouve que oui! 

Christine raconte son parcours unique, marqué par une "addiction à la gratitude" et elle partage avec nous comment elle s'est inspirée du film Mange prie aime pour se créer une vie encore plus alignée!

Pour découvrir encore plus Christine

https://www.instagram.com/cricrilacoach444/

www.porteursdereves.com

https://www.facebook.com/christinegagnon444/

https://www.facebook.com/groups/jmelove


Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
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Pour explorer l'univers de la question:
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Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

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Speaker 1:

Je suis fière de mon chemin de vie, moi, ok, je suis tombée, je me suis relevée, je suis tombée, je me suis relevée, je suis tombée, je me suis relevée, je suis tombée, je me suis cognée, je suis tombée, je me suis relevée, j'ai pleuré, j'ai fait tout ça, j'ai encore frisson. Mais je suis ici aujourd'hui. Tu comprends, fait que j'ai pas besoin que personne me dise Je suis fière de toi. Quand ils me le disent, c'est sûr, ça me fait du bien.

Speaker 2:

Allô, allô, je te souhaite la bienvenue à un autre épisode d'Impacter le monde, le podcast, oui, qui change le monde. Quand mon invitée est arrivée ici, elle est arrivée rayonnante, en disant Sais-tu quoi, karine, j'ai une dépendance à la gratitude. J'ai trouvé ça tellement beau que je me suis dit il faut vraiment qu'on commence notre entrevue, entre autres, avec la gratitude. Puis, elle représente tellement bien le nom de sa conférence Il y a la vie, il y a la mort et entre les deux, il y a le bonheur. Christine Gagnon, es-tu prête à impacter le monde?

Speaker 1:

Je suis vraiment prête et j'ai plein de frissons.

Speaker 2:

Qu'est-ce que c'est pour? toi impacter le monde dans ton univers. Ça représente quoi?

Speaker 1:

D'être capable de donner l'espoir aux gens, de faire une différence. Je le sais qu'il y en a beaucoup qui le font, mais c'est possible. Je veux revenir sur mon addiction à la gratitude. Je pense qu'il y a tellement de choses qui ont commencé par là. Peux-tu raconter l'histoire Absolument, tu racontes tout ce que tu veux, ok. Ok, là, les gens ne savent pas d'où je pars, mais ce n'est pas grave, on va y revenir. On va y revenir. Oui, alors, j'avais décidé cet été-là, que de Cheryl Strait, oui, c'est ça. Alors, mange-prime, j'ai pas d'argent, j'ai dit on s'en fout. J'avais me créé mon propre mange-prime Et moi, j'avais eu des problèmes d'addiction, des problèmes de vouloir mourir, toutes ces choses-là qu'on va reparler.

Speaker 1:

Et là, je médite deux fois par jour, et là, je vais toujours m'en souvenir. Je suis dans le bois en train de méditer, et là, la grâce, comment je l'appellerais ça, la gratitude, ça arrive dans moi, et là, je fais wow, c'est là pour moi aussi te dire comment j'ai tellement pleuré parce que là, j'étais en connexion avec la nature complètement. Et je me souviens de m'être dit et c'est gratuit, parce que la drogue, ce n'est pas gratuit, et c'est gratuit, et ça. Depuis ce temps-là, je recherche ça. Ma vie est orientée autour de la gratitude, parce que ça goûte bon la grâce, et on peut le faire nous-mêmes. On n'a pas besoin de rien d'autre que de savoir où porter son attention, quoi faire, qu'est-ce qui te rend heureux, qu'est-ce qui te fait du bien? Toute ma vie, moi, est orientée vers ça, parce que j'ai connu l'autre côté. Mais c'est possible, ça goûte bon là.

Speaker 2:

C'est comme un orgasme ininterrompu. Encore plus de ceci, s'il vous plaît. Hé, mais attends, t'as juste parlé de ton processus de te faire toi-même un manche-prix M Oui, je me suis dit OK, attends, on a un programme en ligne à créer avec des gens en direct sur ces trois thèmes-là. Oh, je viens de voir tout ça se déposer. Alors gardez ça en tête. Mange prie aime. Version Christine et Karine et compagnie.

Speaker 1:

Oh my God, les frissons moi aussi. Oui, chante une écho, ah oui.

Speaker 2:

Là, ça commence fort, mais on va revenir à la base. Ça commence fort, mais on va revenir à la base. Ça commence fort. Ça commence fort, mais on va revenir à la base. Tu as un goût de la vie incroyable. Tu es rayonnante, tu tripes sur la gratitude, tu voyages, tu es délicieuse à regarder, à être dans ta vie, mais à la base, c'est tout sauf un désir de vivre qui t'habite.

Speaker 1:

J'ai encore plein de frissons, puis je vais revenir émue. Ouais. Depuis toute petite, le seul désir que j'ai, c'est la mort. Ok, je vais pas bien. Je vois des. On peut-tu dire ça, moi bien. Je vois des. On peut-tu dire ça, moi.

Speaker 2:

Je vois des cordes pour ma pente partout et en passant, si jamais ça provoquait quoi que ce soit cette discussion-là, je veux vous dire s'il vous plaît, appelez 911, appelle SOS Suicide. Je veux juste vous dire que ça se peut que ça réveille des choses en vous. Si c'est le cas, merci de choisir d'appeler à l'aide.

Speaker 1:

Ah oui, demander à l'aide. Puis, en fait, d'où ça a commencé Ça? ça a commencé jeune. Mais le soir de Noël, quand j'avais 12 ans, j'ai subi une agression sexuelle et je vais toujours m'en rappeler, c'était un de mes ondes. Puis, quand ça s'est passé, je n'ai pas bougé, j'ai figé, et il y a la fameuse croyance qui est arrivée là Arrgh, t'es bien dégueulasse. S'il y a quelqu'un qui sait ça, un jour, il n'y a jamais personne qui va t'aimer. C'est assez fort, là Fait, que tu as verrouillé ça dans ton corps. That's it, that's all. Alors, ça, c'était verrouillé à l'intérieur de moi, mais à l'extérieur, oh mon Dieu, j'étais la Christine que tout le monde voulait être, mon amie, christine à être drôle, christine à nous faire rire. Alors, oui, j'avais ça aussi, mais j'avais toujours la pensée qu'il disait et s'il savait, et s'il savait comment, moi, je suis juste de la marde.

Speaker 2:

Et je veux juste aussi poser la question à toutes les personnes qui nous écoutent en ce moment, qui ont verrouillé un secret à l'intérieur d'eux, et si c'était le moment, peut-être, d'ouvrir et de relâcher, combien de secrets avez-vous verrouillés à l'intérieur de vous? Quelle bonne question. Puis, à un moment donné, tu t'es retrouvée à l'hôpital. Oui, et il y a une infirmière qui a eu un impact extraordinaire sur toi.

Speaker 1:

J'aimerais tellement ça la rencontrer. Oui, effectivement, je me suis retrouvée en psychiatrie et à la suite d'une rencontre avec un psychiatre qui s'est pas très bien passé dans le fond, la rencontre, non, je suis sortie du bureau tellement fâchée parce que tout ce que je demandais dans le fond, c'est j'aurais aimé ça, que mon père me prenne dans ses bras. Puis, il m'a dit ça, madame, me prendre dans ses bras. Il m'a dit ça Madame, je qualifierais ça d'inceste. Quand tu veux le sentiment de ne pas être compris et entendu, explose fois 100 000, tu comprends. Je me dis Ah ben, je suis vraiment d'amour. Même lui ne me comprend pas. Et j'ai fait le nid en nid d'oeuf. Je suis partie dans la salle de bain Et j'ai posé un geste Et ce midi-là, il y a une infirmière qui, au lieu d'aller dîner, alors moi, je dis qu'elle a reçu un message. Je te parle, j'ai tellement de frissons. Puis mon message je veux tellement que les gens voient qu'il y a de l'espoir.

Speaker 2:

On ne va pas trop dans ton histoire, justement, On met quand même certains points pour que vous sachiez d'où Christine part, Mais c'est terminé. Il y a toute la lumière qui s'en vient parce que cette infirmière-là n'est pas allée dîner. Je pense cette fois-là.

Speaker 1:

Elle n'est pas allée dîner, elle est venue me voir. En fait, elle me cherchait. Les autres gens ont dit Christine, elle est dans la salle de bain. Et la première chose Ensuite, quand elle m'a trouvée, elle m'a dit mais pourquoi tu veux mourir? Tu es tellement un rayon de soleil pour tout le monde. Fait que moi, dans ma tête, ça fait quoi? Un rayon de soleil, arc. Non, la première chose, ça a été non. Après, elle a quitté.

Speaker 1:

Là, je me vois encore dans ma chambre Et il y a quelque chose de plus grand que moi, karine. C'est vraiment quelque chose de plus grand que moi, karine, c'est vraiment quelque chose de plus grand que moi. Puis, ça me dit puis, tu vas aimer ça. et si elle disait vrai, et si elle dit vrai, et ces fameuses questions-là. Moi, j'ai dit puis, là, je me suis levée, puis j'ai dit je vais aller voir. Je me suis promenée dans les corridors et là, tout le monde disait mon Dieu, christine, tu nous as tellement fait peur. Mais Christine, t'es tellement notre rayon de soleil. Et Christine, et c'est drôle, karine, si il y a quelque chose que je me suis fait dire souvent dans ma vie, c' et elle, cette infirmière là, elle avait semé une graine, une graine que j'ai fait germer. Ok, je l'ai fait germer. Et aujourd'hui, ma façon d'impacter le monde, c'est moi aussi, pas, je veux j'en sème des graines ok c'est moi aussi pas.

Speaker 1:

Je veux, j'en sème des crèmes. Ok, puis, c'est possible. Alors oui, je pars de loin et je suis tellement fière de où je suis aujourd'hui à 60 ans.

Speaker 2:

Oui, 60 ans souligné, parce que t'es arrivé, tu t'es assise en disant hé, j'ai 60 ans, ça fait quelques jours au moment où on enregistre. Puis, je suis tellement contente d'avoir 60 ans, je suis tellement contente, je n'ai pas l'air de 60 ans, j'ai de l'énergie, je suis tellement contente. C'est tellement rare d'avoir ce discours-là sur l'âge, sur la vie, sur la vitalité.

Speaker 1:

Écoute. Je suis tellement contente parce que, oui, on a parlé du physique. Je ne trouve pas que j'ai l'air. Par contre, je suis fière de mon chemin de vie. Moi, ok, je suis tombée, je me suis relevé, je suis tombée, je me suis relevé, je suis tombée, je me suis relevé, je suis tombée, je me suis cognée, je suis tombée, je me suis relevé, j'ai pleuré, j'ai fait tout ça. J'ai encore fait la même frisson. Mais besoin que personne ne me dise je suis fière de toi. Quand ils me le disent, c'est sûr, ça me fait du bien. Mais moi, christine, je suis fière, j'ai vraiment, j'ai le goût, moi, j'ai une conférence que je veux faire d'avoir devant moi plein de femmes qui sont aussi fières de leur chemin de vie, ok, fière que, au lieu de focusser sur j'arrête pas de tomber, oui, mais ça veut dire que si t'arrêtes pas de tomber, t'arrêtes pas de te relever. Aussi, c'est-tu coassant de se faire dire ça quand tu veux rester dans ton, si t'es tombée, t'es là, tu te relèves, tu te relèves, tu te relèves.

Speaker 2:

C'est ça que j'enseigne aussi, se termine avec une conférence où toutes ces femmes-là seront fières d'être là. Tu m'as dit quelque chose quand on était ensemble avant de s'asseoir pour l'enregistrement. Je ne l'utilise pas, le mot problème, je ne l'aime pas tellement. Le mot problème, par quoi tu le remplaces?

Speaker 1:

Défi. Moi, je dis toujours je vais juste te faire l'exemple. Si je te dis M'attends, karine, ferme tes yeux. Eh, seigneur, je vais juste te répéter le mot Problème», problème», problème. Qu'est-ce que tu sens sur toi?

Speaker 2:

Ça devient sombre, ça contracte, il y a comme un nuage. C'est comme si j'étais en éclipse. En éclipse.

Speaker 1:

C'est lourd, hein? Oui, ok, je change la chose. Oui, un défi? Hé, j'ai plein de défis. Hé, j'ai des défis, j'ai plein de défis qui arrivent en même temps. C'est quoi la différence? Qu'est-ce que tu sens par moi avec des frissons?

Speaker 2:

Oui, il y a des frissons, il y a de l'excitation, il y a de l'exaltation, il y a un peu de palpitation, mais il y a un sentiment d'ouverture, d'ouverture, ok.

Speaker 1:

Problème contraction sombre. Je vais-tu être capable? Défi, c'est un défi, je vais le relever. C'est donc bien plus facile. Puis ça, c'est une de mes amies qui me disait ça, c'est un défi, ça change tout. Les mots ont tellement un pouvoir extraordinaire.

Speaker 2:

Je l'ai dit souvent, il y a le mot aussi difficile, c'est difficile. Non, non, c'est pas difficile, c'est différent, C'est différent. Donc, ça prend une nouvelle posture, une nouvelle forme d'énergie, une nouvelle vision, puis ça prend, oui, un petit coup de pied dans le derrière ou une action de notre part. On ne devient pas victime, on devient responsable.

Speaker 1:

Puis moi, j'aime bien changer le coup de pied dans le derrière pour se prendre par la main.

Speaker 2:

Je ne me rappelais pas. Merci de me le ramener.

Speaker 1:

C'est encore mieux Se prendre par la main. Puis, une chose écoute, mes clientes vont se reconnaître Quand ils me disent oui, mais je ne suis pas capable, je rajoute tout le temps Pour l'instant. Alors, je trouve que ça défiche dans le temps. Oui, mais je ne suis pas capable, je n'ai pas d'argent Pour l'instant. Alors, encore là, pour l'instant. Tu vois-tu le pouvoir, ça donne de l'ouverture, ça donne de l'espace.

Speaker 2:

Ce n'est pas une conclusion, parce qu'on vit notre vie à coups de conclusions comme c'est fini, je ne serai jamais capable. Qu'est-ce qu'on peut créer dans ce temps-là?

Speaker 1:

C'est ça, ceux qui ne vont pas bien. Je suis en dépression. Je ne m'en sortirai jamais. Pour l'instant, ça, ce n'est pas une chose facile. Je comprends ça pour l'instant, mais, un pas à la fois, on va avancer, un pas à la fois. Est-ce que tu te fais confiance? Je vais te montrer à te prendre par la main.

Speaker 2:

Le nom de ta conférence, c'est Il y a la vie, il y a la mort. Entre les deux, il y a le bonheur, Et toi, qui as été accompagnée par la mort, t'accompagnes maintenant la mort pour un passage tout en douceur.

Speaker 1:

Oui, C'est drôle, hein, Karine, parce que la mort elle a toujours. C'est un drôle de sujet.

Speaker 2:

Oui, Moi je le trouve délicieux, ce sujet-là. Je trouve qu'on ne l'aborde pas encore assez. Je suis contente qu'on ait cette discussion-là ensemble.

Speaker 1:

On peut tellement l'aborder de plein de façons.

Speaker 2:

De belles façons.

Speaker 1:

Oui, Différentes. Tu sais, la mort a toujours fait partie de ma vie, parce que moi j'étais petite, moi j'allais au salon de funéraire, puis là, j'étais intriguée. La mort, il y avait quelque chose. Après ça, la mort m'a accompagnée comme compagne de vie, pas nécessairement tripante à ce moment-là, c'était plus sombre à ce moment-là, c'était plus lourd.

Speaker 1:

Aujourd'hui, je suis dans la légèreté de la mort parce que, premièrement, j'ai accompagné. Tu sais, oui, je suis coach de vie. Ok, j'accompagne les gens dans leur chemin de vie. Mais je peux aussi accompagner les gens. j'ai accompagné les gens dans leurs derniers instants, ok, pour faire leur transition. Le passage là, j'accompagne les fins de semaine, les familles endeuillées dans leurs derniers instants, pour faire leur transition. Le passage Là, j'accompagne les fins de semaine, les familles endeuillées encore là. Puis, il y en a qui me disent mais Christine, comment tu fais pour faire ça? Tu es toujours dans la tristesse.

Speaker 2:

Tu es au salon funéraire tous les week-ends.

Speaker 1:

Oui, J'aime tellement ça.

Speaker 2:

Comment tu fais pour aimer ça?

Speaker 1:

Comment je fais? Quelle bonne question Veux-tu que je te donne la réponse Absolument, j'ai le choix. Soit je me branche sur la tristesse ou sur l'amour. Moi, je me branche sur le canal de l'amour. Donc, les gens, il y en a, qui célèbrent la vie de la personne qui a quitté. Oui, il y a des événements plus tristes un enfant encore là. Dans la tristesse, il y a l'amour que cet enfant-là, il y a l'énergie, te dire comment je me sens privilégiée de faire ça et j'ai tellement de reconnaissance. Puis, je ne fais rien de spécial, je suis juste, moi, et j'ai une facilité à surfer, soit avec la vie, avec la mort, avec les émotions, entre les deux. C'est pour ça que ma conférence s'appelle Il y a la vie, il y a Non, voyons, j'ai un blanc de mémoire.

Speaker 2:

Il y a la vie, il y a la mort. Entre les deux, il y a le bonheur.

Speaker 1:

Et il y a des façons d'accompagner, de vivre la mort d'une belle façon, dans la non-résistance. Je dis pas qu'il n'y a pas la peine. Dernièrement, j'ai accompagné mon petit chien. C'était une décision que j'ai dû prendre, pas à la sauvette, pas en urgence, mais Charlie me demandait de partir. Les gens qui me connaissent, moi, j'ai un petit peu de mouche. Là, on s'entend-tu, j'ai les proches, j'ai mes dehors, là, j'ai les flats.

Speaker 2:

Des fois, je leur donne de l'eau. Mais là, il y avait une demande de ton petit compagnon poilu à faire cette transition-là. Je t'ai vue sur Instagram et sur Facebook en parler et j'ai trouvé ça d'une douceur et d'une beauté incroyable, où tu as fait cette cérémonie de la vie avec ton chien, puis faites le passage. Que vous soyez attaché ou pas aux animaux, ce n'est pas ça l'enjeu. Puis, il n'y a pas de jugement à avoir, mais comment pouvons-nous célébrer la vie des gens qui nous entourent?

Speaker 1:

Incluant peut-être ces petites boules de poils-là, parce que c'est important de comprendre que, pour certaines personnes, ce n'est pas tout le monde qui voit ça la même chose. Puis, c'est correct aussi. C'est un membre de la famille. Moi, charlie, c'était mon compagnon de vie depuis 16 ans. Alors de le laisser partir, ça m'a demandé un courage extraordinaire Et ce qui m'a vraiment aidée, c'est une personne qui travaille avec moi à la co-op où je travaille, qui m'a dit est-ce que t'aimerais ça, que je fasse une cérémonie pour Charlie, un rituel? Moi, tu me dis le mot rituel, ça fait comme Tout de suite. En entendant ça, il y a une paix qui s'est installée en moi. J'ai dit ah, oui. Et j'ai lu beaucoup, comme en compagnie, les animaux de compagnie, et quand on a, je partais à vous dire célébrer, c'est le mot qui vient.

Speaker 2:

Ah, vient, oui, c'est le mot qui vient, je laisse ça aller.

Speaker 1:

Quand on a célébré la vie de Charlie, on est arrivés dans la salle Le vétérinaireinaire il est extraordinaire, mon vétérinaire. Il y avait des bougies, mon ami Gisèle avait changé juste les bougies de place et là, mon Charlie était sur le lit. Il était d'un calme. Ma mère était là, ma fille était là, mon frère était là, et là, on a aimé Charlie, on l'a flatté, on s'est rappelé ensemble. Fille était là, mon frère était là, et là, on a aimé Charlie, on l'a flatté, on s'est rappelé ensemble des beaux moments avec Charlie. Moi, charlie, j'ai demeuré six ans au Costa Rica. Charlie était avec moi. Je recevais des marques de sympathie de gens de partout dans le monde qui avaient habité ma petite maison au Costa Rica parce que je faisais du Airbnb, connaissaient Charlie. Charlie, c'était un chien guérisseur. Alors, de pouvoir l'accompagner de cette façon-là, c'était ma façon, moi, de lui dire mon garçon, je t'aime tellement, c'est tellement difficile pour moi de te laisser partir, mais je le fais avec tout mon amour, avec toute la famille. On est tous là pour toi. Puis là, je l'ai flatté, puis il donne deux injections, puis la première, je la regardais dans les yeux, puis là, je lui disais je t'aime, je t'aime, je t'aime et je vais toujours me rappeler de ce moment-là, avec un Je disais Je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime». Je vais toujours me rappeler de ce moment-là avec un bonheur, parce que j'ai été là, 100 % connectée à lui. Après, je l'ai pris dans mes bras. Je l'ai pris dans mes bras et j'ai dit à la technicienne je ne suis pas prête pour le reste. Je l'ai pris et là, on a continué à parler ensemble Et Charlie était là, il était encore, il est endormi. Puis, à un moment donné, c'est venu tout seul, ça a sorti, ça a fait. C'est maintenant. Et là, la docteure est arrivée, la vite à se met à parler en espagnol Ceux qui ne me connaissent pas, moi, je parle espagnol beaucoup, j'ai démarré au Costa Rica, c'est tellement important pour moi, l'espagnol Et elle se met à lui dire des mots genre que juste moi qui peux comprendre. C'est comme si.

Speaker 1:

Et là, on était dans notre bulle, moi et Charlie, et mon amie Gisèle, quand Charlie a fait sa transition, a dit je l'ai senti, tu sais mon addiction à la grâce, à la gratitude. J'avais les yeux fermés Et là, j'ai senti une vague d'amour me parcourir Et je me souviens avoir dit wow, c'est pas de la tristesse, c'est de l'amour me parcourir. Et je me souviens avoir dit Wow, ce n'est pas de la tristesse, c'est de l'amour». Ça ne s'explique pas en mots. Et quand j'ai ouvert les yeux, mon amie Gisèle était là, elle pleurait. Puis elle a dit Christine, quand Charlie est parti, il y avait un gros rayon blanc, il y a une grosse lumière qui est descendue. Je me suis dit Charlie tournait autour. Je l'ai senti. Et par la suite, on est resté comme au moins une bonne demi-heure. Puis, à un moment donné, j'ai fait OK, maintenant, c'est correct, je te laisse aller.

Speaker 2:

Tu as dit un mot avant d'expliquer la transition de Charlie Rituel. Oh, rituel, oui, je regarde ce qui se passe, mais je veux avoir ton point de vue d'accompagnante, justement en transition. Puis t'es au salon funéraire. On dirait qu'il y a une partie de rapidité qui s'est ajoutée à notre univers, qui fait en sorte que tout se fait très rapidement. Il y a une partie à ce que, en tout cas de mon point de vue intéressant mais je veux vraiment t'entendre là-dessus on a délaissé le rituel. Je vais reposer la question plus clairement Est-ce qu'on a délaissé le rituel? Est-ce qu'on est tellement pressé que même le deuil se fait vite, que même les adieux se font vite? On dirait que c'est comme une victoire de faire tout beaucoup plus rapidement. Qu'est-ce que tu perçois, toi?

Speaker 1:

Je perçois oui et ça. Je veux que ça soit très clair. Ce que je veux dire, c'est sans jugement, c'est un constat, comment moi je le vois ou je le vis.

Speaker 2:

Puis tu l'as vu évoluer aussi. À travers tes 60 années d'expérience terrestre, tu as vu ça changer aussi.

Speaker 1:

Oui, Et ce que je vois, ce que je constate ces temps-ci, c'est qu'il y a une espèce de fuite de la mort, ou de peur de la mort ou de. Je ne veux pas trop regarder ça, je ne veux pas aller dans mes émotions, dans ce que ça me fait vivre. Alors, pour certains, il faut que ça se fasse vraiment très, très, très rapide. Ok, alors déjà juste. Ok, la plupart. Maintenant, on a des urnes. Ok Alors l'urne, ce que ça fait, ça permet de ne pas voir le corps OK.

Speaker 1:

Ça permet aussi de comment je dirais ça, de ne pas faire face à la mort.

Speaker 2:

La rapidité aussi. Tu sais, il y a eu un moment où les gens étaient au salon funéraire deux jours, deux jours et demi, trois jours, trois jours, puis là, des fois, c'est juste une demi-journée, c'est un petit. Quatre heures, c'est juste une demi-journée, c'est un petit 4 heures, c'est aussi beaucoup plus rapide.

Speaker 1:

Puis, tu sais la question, des fois que je me pose c'est comment, moi, je peux les aider à voir ça autrement, la mort? tu sais Pourquoi? j'ai ça en dedans de moi, moi, cette certitude-là, que tabarouette, c'est beau, c'est un passage OK. J'ai cette certitude-là depuis tellement longtemps, Quand je n'allais pas, bien que je voulais moi aussi partir, aller de ce côté-là, j'avais quelque chose, une voix qui me disait Christiane, si tu pars maintenant, il va falloir que tu reviennes pour tout faire ça». Je suis là de la marde, je vais rester, ça ne me tente pas, ça ne me tente pas de tout recommencer. Et de l'autre côté, du côté positif de la mort, moi, j'ai lu beaucoup, beaucoup, pendant trois ou quatre années, tout ce qui se faisait sur la mort. Moi, quand je veux voir le film de ma vie, je veux faire plein de Comme ça. Et il y a, on pourrait le faire, toi et moi, oui, comme ça. Ok, parce que je veux que tu sois dans le film de ma vie.

Speaker 2:

Ah oui, mais là, si vous ne voyez pas, si vous êtes en audio, christine, qu'est-ce qu'elle fait en ce moment, c'est qu'elle envoie la main. Fait que si tu revois le film de ta vie, toi tu veux te voir saluer à tout moment.

Speaker 1:

Pareil, comme si on voyait la caméra qui enregistre notre vie là, exactement, quand j'accompagne les gens le week-end, j'essaie d'apporter ma touche et leur montrer que c'est, c'est différent, la mort. Il y a une façon de le voir, d'une belle façon. Moi, je suis très proto-colaire, autant que je suis flyée dans ma vie. Moi, je suis un petit, je peux faire bien des affaires, mais j'arrive là, je suis très proto-colaire. J'ai mes gants, je fais mes saluts. La personne que j'accompagne, c'est pas juste l'urne de, c'est Madame Tremblay, c'est M Caouette. Quand j'arrive, il y a un cercueil Bonjour, je m'excuse, je vais juste mettre les fleurs à côté de vous. Moi, je leur parle Et, en plus, je reçois des messages que je transmets aux gens Et je leur pose toujours la question. En fait, je leur dis je ne sais pas quelles sont vos croyances, mais permettez-moi de vous dire que je viens de recevoir vous avez dit quelque chose et j'ai plein de frissons.

Speaker 2:

Comment les gens réagissent quand tu leur apportes ce message-là.

Speaker 1:

Tellement tout le temps. bien Des fois, il y en a qui vont me dire oh, mon Dieu, j' Et j'ose dire que ça fait plaisir autant aux hommes qu'aux femmes de recevoir ce message-là Et de savoir que tu sais ce que je leur dis, ceux qui ont beaucoup de peine. comment est-ce que je leur dis ça? Est-ce que vous avez des croyances? Parce que jamais je vais imposer les miennes, c'est pas mon rôle, ok. Est-ce que vous avez des croyances par rapport à la vie et à la mort? Est-ce que vous croyez? Ben, oui, moi je crois quelque chose Parfait. Alors, si vous croyez quelque chose, parlez-lui. Vous allez recevoir des messages. Soyez attentifs, les messages arrivent de toutes les façons. Mais moi, mais moi, j'ose dire que, grâce à mon chemin de vie, grâce au fait que je l'ai côtoyé de toutes les manières, quand on y pense, oh, j'ai des beaux frissons.

Speaker 1:

tu sais, je l'ai côtoyé avec le dessin de ma soeur, qui est née avant moi, qui est morte en coupant le cordon. donc, ma mère portait ça. ensuite, mon intérêt pour la mort. ensuite, je l'ai côtoyée parce qu'elle me tirait par le bras. Ensuite, j'étais tellement pleine de gratitude quand j'ai fait ma fameuse été manche-prime, j'avais tellement trop d'amour J'étais. donc, qu'est-ce que je fais avec ça. J'ai été accompagnée des mourants avec cet amour-là, parce que quand je dis que je n'avais trop, c'était presque inconfortable, tu me suis-tu, c'était comme J'avais toujours la petite larme déjà Une espèce de bliss en anglais que j'utiliserais de gratitude.

Speaker 2:

Oui, mais c'est comme. Ok, qu'est-ce que je fais avec ça, moi?

Speaker 1:

C'était important pour moi de redonner. Je ne garder ça pour moi tout seul. Comment je leur donne encore là le message que je reçois c'est moi, j'ai le goût d'aller accompagner des mourants chez Michel Sarrazin. Ok, et encore. Ah, hé, ça me revient. Quand je suis revenue du Costa Rica, je me cherchais un emploi. Mon père venait de décéder, ça faisait un an environ. Et là, tu vas voir où je veux en venir. Je suis au centre d'achat. Mon père allait tout le temps, il s'assoyait tout le temps sur le même banc, il disait son journal. Et là, j'arrive là, je dis Papa, t'es donc venu ici, toi, en même temps, j'entends Va donner ton curriculum à la coopérative funéraire des Deux Rives. Écoute, je me tourne, savoir qui me parle. Il n'y a personne. C'était tellement fort la voix. C'était la voix de mon père. J'ai fait bien, voyons donc, jamais je n'aurais pensé faire ça, je suis arrivée à la maison, J'ai regardé.

Speaker 1:

J'ai été porter mon CV ils m'ont engagée tout de suite La vie. En fait, moi, je pense, je suis convaincue, moi je suis guidée.

Speaker 2:

Alors, cette facilité-là que j'ai d'être autant dans la vie que dans la mort, parce que pour moi, la mort, c'est une autre sorte de vie- Parce que, pour moi, la mort, c'est une autre sorte de vie Et t'as choisi aussi, même si t'accompagnes les gens en transition, vers leur transition, t'enseignes aussi les habitudes de bonheur, parce que, dans notre plan terrestre, il y a des actions à poser, il y a des choses à faire. Oui, on parle de être plus, être plus et je suis 100% d'accord.

Speaker 1:

mais il y a aussi l'action d'être, de faire pour pouvoir avancer. Qu'est-ce qu'on fait? Comment est-ce qu'on fait pour être?

Speaker 2:

heureux, oui, pour connecter avec sa joie. Puis, pour moi, ça demeure quand même pas quelque chose qui est quatre étapes pour être heureux. On n'est pas là, là, mais on a quand même des piliers. peut-être être intéressant vous aligner un peu si vous avez une quête de est-ce qu'il y a quelque chose de plus?

Speaker 1:

En fait, c'est drôle, parce que quand je travaille au salon, on a ce qu'on appelle une feuille de route. Une feuille de route, c'est OK, la famille arrive, il y a ça, ça, ça, ça ça. Puis, dernièrement, avec une cliente, elle me disait moi, je suis quelqu'un de très organisé dans ma vie, très structuré. J'ai besoin de savoir parfait, je vais t'enseigner, on va se faire ensemble ta feuille de route personnalisée, tes habitudes de bonheur. Alors, moi, j'ai eu la chance et ça a transformé ma vie. Il y a eu l'infirmière, mais après ça, j'ai pris ma vie en main. La première habitude de bonheur, la première, c'est prendre possession de ton bonheur. Arrête d'accuser que c'est la faute à. Puis. Moi, j'étais bonne là-dedans, c'est la faute à mon oncle, Il avait le dos large. On est responsable de La première question est-ce que tu sais ce qui te rend heureuse?

Speaker 1:

Tu le sais-tu? Si je demande aux gens qu'est-ce qui ne va pas bien, qu'est-ce qui te rend heureuse dans la vie? Bien là, je ne sais pas. Ok, on va commencer par ça. Un exercice que je fais, qui est tellement facile que j'enseigne aussi, c'est tu vas m'écrire le soir qu'est-ce qui t'a pris de l'énergie, qu'est-ce qui t'a tiré de l'énergie?

Speaker 2:

Qu'est-ce qui t'a donné de l'énergie? Moi, je me suis trompée.

Speaker 1:

Ça peut être au niveau des pensées, au niveau des personnes, au niveau d'un travail. Exemple quand je parle de travail, c'est moi répondre à des courriels. Là, oh, ça me, tu comprends, ça me tire de J'haïs ça, j'haïs ça là, surtout quand ça bug. Là, qu'est-ce qui me donne l'énergie d'aller marcher dans la nature? OK, alors là, je pourrais en nommer plein de choses qui me donnent de l'énergie. Même travailler au salon funéraire, ça te donne l'énergie.

Speaker 1:

je te crois, ça me donne l'énergie parce que je suis branchée dans l'amour Et dans les habitudes de bonheur que j'enseigne. C'est tellement entrepris, parce que moi, j'ai la métaphore de la maison. Ok, la métaphore de la maison, essayez de la visualiser. On prend une maison, la fondation, c'est prendre possession de son bonheur. Il y a quatre piliers Le cœur, le corps, l'esprit, l'âme. Ok, ça, c'est tes quatre piliers. Tu as ton toit. Ton toit, c'est quoi ta passion? Puis, ensuite, tu as ton jardin. Le jardin extérieur, c'est les fleurs. Qu'est-ce que tu as comme fleurs? C'est quoi? les gens qui t tirent vers le bras, vers le bras, vers le bas, ou des gens qui vont te supporter, qui vont t'élever. C'est vraiment ton environnement.

Speaker 1:

Ton environnement. Je dirais plus c'est ta responsabilité de voir. Quand je suis avec cette personne-là, je me sens tellement bien, parfait. Va la voir plus souvent. Va dans des groupes. Si tu es toute seule, va chercher. Tu sais, quand tu as une maison neuve, tu vas aller pas à l'animalerie, mais chez Jardin. On va dire Jardin, paradis. Tu vas acheter des fleurs que tu veux mettre sur ton. C'est la même chose dans ta vie. Et ça, ces habitudes-là, c'est merveilleux, parce que tu es capable d'orienter toutes tes actions, tous tes choix, en fonction de ton cœur. Qu'est-ce qui me fait plaisir? Qu'est-ce qui est lourd dans mon cœur? Est-ce que j'ai des choses à pardonner? Qu'est-ce qui me rend heureuse? Moi, je l'ai dit, je suis addict à la gratitude. Mais pour être dans la gratitude, il a fallu que je laisse aller la colère.

Speaker 1:

Ton corps, ton corps, c'est un temple sacré. De quoi tu le nourris? Et de la nourriture physique et de la nourriture mentale. De quoi tu te nourris. Ensuite, tout ce qui est le corps, le cœur, l'âme, l'âme, c'est sûr que tout ce qui est la méditation, tout ce qui va te faire du bien à l'âme, c'est sûr que tout ce qui est la méditation, tout ce qui va te faire du bien à l'âme. Quand je suis au salon, quand j'accompagne les gens, ça me fait du bien à l'âme Et j'arrive. Le corps, le cœur, l'âme, l'esprit, ah ça, c'est bien drôle. L'esprit, en fait, une des premières habitudes de la bonne mère. C'est, ne crois pas tout ce que tu entends. Alors, quand j'ai commencé à transformer mon esprit parce qu'on s'entend bien que si j'étais malheureuse, ce n'était pas des petites pensées joyeuses que j'avais dans mon esprit Moi j'ai donné un nom à mon égo. Comment il s'appelle? Georges.

Speaker 2:

George, george, est-ce que George est très présent? Il était très présent.

Speaker 1:

Alors et je n'ai rien contre les Georges de la Terre Ne rien prendre de personnel. Non, c'est sorti tout seul.

Speaker 2:

George.

Speaker 1:

Sérieusement les premières fois. Écoute, j'ai un exemple tellement concret, j'en ai deux en fait. Je me lève un matin, je suis au chalet, j'avais mon ex-conjoint, et je suis au chalet, j'avais mon ex-conjoint, et là, je me lève, je vais tout de suite à la salle de bain et là, ça part dans ma tête Bon, j'espère qu'il va faire beau aujourd'hui. Hé Georges, ta gueule. Je viens de me réveiller. J'ai vraiment dit ça». Et là, mon conjoint dit Mon Dieu, notre Georges, les gens, il y en a qui m'en parlent encore. Moi, georges, ça m'a marqué Bien. Oui, georges existe. Et d'apprendre à mettre de l'humour dans sa vie. Tu vois, on parle d'habitude de bonheur, de feuilles de route. C'est tous des trucs. C'est des trucs. C'est des trucs, c'est des outils que tu mets en pratique Écrire tes intentions de la journée. Je n'ai rien inventé. Je n'ai rien inventé. Par contre, je l'ai mis en pratique, et c'est ce que je fais avec mes clientes, mes clientes, puis c'est ce que j'enseigne parce que ça fonctionne.

Speaker 2:

C'est une habitude de poser des questions. c'est une habitude de poser des questions, c'est une habitude de s'entraîner à être heureux, de goûter au bonheur. C'est vraiment un entraînement, c'est un choix. Est-ce que je suis prête à faire ce choix-là? Puis, tu sais, tu incarnes bien, j'ai 50, t'as 60. On incarne bien sur, il n'est pas trop tard. Qu'est-ce que je peux transformer, qu'est-ce qui est disponible pour moi? Comment j'ai envie de regarder mon film de ma vie en me saluant et en me disant comme oh, wow.

Speaker 1:

Oh wow, une chose que j'ai apprise dernièrement, c'est que, justement, dans le jardin extérieur, il y a certaines personnes avec qui tu peux parler de ces choses-là Et il y en a. non, ça ne veut pas dire que ce n'est pas une bonne personne. ça veut dire que, comme dans ton jardin, il y a différentes sortes de fleurs, dans tes amis, dans tes amitiés, il y a différentes personnes pour parler de différentes choses.

Speaker 2:

Puis la façon dont je vais utiliser les questions. Quand je veux dire quelque chose à quelqu'un, puis je vais des fois me dire est-ce que c'est la bonne personne à qui dire ceci. Ah, tu vois, et je reçois comme non. Puis des fois, j'entends pas. Cette personne-là Ne parle pas de ceci. Des fois, je vais aller au-delà de l'avertissement ou de la guidance que je vais recevoir, mais des fois, on lefi le stress, puis ça bloque plus longtemps. Non, c'est pas à la bonne personne. Donc, il y a une possibilité de recevoir la guidance à n'importe quel moment, avec différentes formes d'énergie, différentes personnes qui ont transitionné ou pas.

Speaker 2:

Et on peut jouer avec la vie encore plus.

Speaker 1:

Ben oui, tu peux jouer. Une autre des habitudes de bonheur, c'est toujours de tirer une leçon de la situation. Puis, moi, c'est en me posant cette question-là OK, j'ai de la peine, je n'ai pas été entendue de la bonne façon. Qu'est-ce que j'apprends? Oh, j'apprends que ce n'est pas une mauvaise personne, ce n'est juste pas la bonne. Encore là avec ma feuille de route. Mes habitudes de bonheur, je l'ai transformée. Au lieu d'appeler l'habitude de bonheur, moi, je l'ai appelée ma tout doux love. Oh, parce que j'ai un groupe privé qui s'appelle Je me love sur Facebook. Ma tout doux love, c'est beau, hein.

Speaker 2:

Puis, il y a tout doux, là, t-o-u-d. Le tout doux, tout doux. Comment pouvons-nous être encore plus douces avec nous-mêmes pour vivre cette vie-là avec plus de joyeux, de joyeuseté, bon plus de joie et de légèreté? ça va être beaucoup mieux. Merci tellement, christine, d'avoir été avec nous à Impacter le monde. Merci pour cette ouverture-là, pour cette ouverture-là, merci pour la vulnérabilité et merci de nous faire voir qu'à travers la mort, il y a tellement de vie.

Speaker 1:

Ça m'a fait extrêmement plaisir, vraiment, merci à toi de m'avoir accueillie.

Speaker 2:

Grand plaisir Partagé mutuel Et, si jamais vous avez envie de contacter Christine pour avoir des informations, son appui, son support, son coaching, sa guidance, à travers, peut-être, un défi, ou encore à travers la transition de quelqu'un, ou peut-être votre propre transition Et des animaux, et des animaux Et votre transition. Je ne parle pas nécessairement de la vie à la mort, mais on est perpétuellement en transition, on est toujours en mouvement et, des fois, une guidance, un accompagnement, ça peut toujours faire du bien. Bref, les coordonnées sont dans le post de ce podcast, que ce soit en audio ou encore sur YouTube. Alors, encore plus de légèreté. Et qui est cette personne qui pourrait contribuer aussi à rendre votre vie encore plus légère?

Speaker 1:

Merci encore, christine. Ça me fait plaisir, et on se revoit sur le manche-prix.

Speaker 2:

Que oui. Merci tout le monde d.