Impacter le monde avec Karine Champagne

50 Sécurité intérieure et vérité personnelle avec Audrey Paquet

July 12, 2024 Karine Champagne Season 1 Episode 50
50 Sécurité intérieure et vérité personnelle avec Audrey Paquet
Impacter le monde avec Karine Champagne
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Impacter le monde avec Karine Champagne
50 Sécurité intérieure et vérité personnelle avec Audrey Paquet
Jul 12, 2024 Season 1 Episode 50
Karine Champagne

Tu peux directement me texter tes commentaires!

Pourquoi cherchons-nous constamment à nous protéger, même au prix de notre propre authenticité ?

Dans cet épisode captivant, nous accueillons Audrey Paquet, une femme extraordinaire qui a dédié sa vie à des métiers de sécurité tels que douanière, policière et agent de sécurité pour compenser une profonde insécurité intérieure.

Ensemble, nous explorons comment la sécurité personnelle influence notre capacité à être vrai avec nous-mêmes et avec les autres.

Audrey partage avec nous son moment décisif à 38 ans qui l'a poussée à reconsidérer sa vie et à se responsabiliser pour son propre bien-être, offrant des perspectives inspirantes sur l'importance cruciale de la sécurité intérieure.

Devenir expert de soi-même est un voyage complexe mais essentiel.

D'ailleurs je t'invite à t'inscrire à un événement spécial qui aura lieu le 1 aout

https://www.facebook.com/events/403328072712572?ref=newsfeed

Tu peux aussi rejoindre Audrey ici
https://www.facebook.com/AudreyPaquetXpertDeToi

ou par courriel

info@audreypaquet.ca

Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
www.karinechampagne.ca/impact

Pour explorer l'univers de la question:
www.karinechampagne.ca 

Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

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Tu peux directement me texter tes commentaires!

Pourquoi cherchons-nous constamment à nous protéger, même au prix de notre propre authenticité ?

Dans cet épisode captivant, nous accueillons Audrey Paquet, une femme extraordinaire qui a dédié sa vie à des métiers de sécurité tels que douanière, policière et agent de sécurité pour compenser une profonde insécurité intérieure.

Ensemble, nous explorons comment la sécurité personnelle influence notre capacité à être vrai avec nous-mêmes et avec les autres.

Audrey partage avec nous son moment décisif à 38 ans qui l'a poussée à reconsidérer sa vie et à se responsabiliser pour son propre bien-être, offrant des perspectives inspirantes sur l'importance cruciale de la sécurité intérieure.

Devenir expert de soi-même est un voyage complexe mais essentiel.

D'ailleurs je t'invite à t'inscrire à un événement spécial qui aura lieu le 1 aout

https://www.facebook.com/events/403328072712572?ref=newsfeed

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Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
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Speaker 1:

Mon plan de vie jusqu'à 40 ans. Je l'avais fait. J'étais tout petite, je savais où je voulais aller dans la vie, je savais à quoi ma vie allait ressembler. Puis, ça a fonctionné jusqu'à 40 ans. 40 ans, mon projet. Je suis là, je fais quoi? Je suis qui, qu'est-ce que je fais par la suite? J'ai pas de réponse, c'est noir.

Speaker 2:

Bonjour, je te souhaite la bienvenue à un autre épisode du podcast Impacter le monde, ma prochaine invitée. À chaque fois qu'on a des discussions ensemble, ça fait. Dans ma tête, ça explose. Il y a des barrières qui se défont, il y a des prises de conscience, il y a des frissons, il y a la bouche qui me décroche. J'espère sincèrement que le type de discussion qu'on va avoir aujourd'hui va vous créer ceci. Mais il n'y a pas de bon et il n'y a pas de mauvais. On va entre parler dès le début de sécurité. Comment pouvons-nous être en sécurité avec les autres si on n'est pas en sécurité avec soi-même Et comment les autres peuvent être en sécurité avec nous si on n'est pas capable non plus d'être confortable? qui a été agent de sécurité, douanière, policière, pour combler cette absence de sécurité intérieure? Juste d'en parler, ça me donne un frisson. Il y a tout un parcours à voir et j'ai hâte de voir de quelle façon elle va me faire encore exposer les limitations. Audrey Paquette, coach hello, es-tu prête à impacter?

Speaker 1:

le monde.

Speaker 2:

Ah oui, prête, pas prête, j'y vais, Qu'est-ce que c'est pour toi impacter le monde.

Speaker 1:

De façon très courte, résumée, c'est d'enlever toutes les protections consacrées avant d'être soi, se donner la pleine permission d'être soi, en relation avec soi, peu importe où est-ce qu'on est, peu importe avec qui on est, et est-ce que c'est un processus qui a été facile pour toi de devenir bien avec toi-même et de retirer toutes tes protections?

Speaker 2:

Bonne question.

Speaker 1:

Je pensais être ici pour moi, ça va contre tout ce que j'avais pu percevoir d'être capable de parler de la façon que je m'apprête à le faire aujourd'hui. C'était inconcevable de me dire qu'un jour j'allais me retrouver devant un micro avec Karine Champagne en train de parler librement de tous mes défis que j'ai rencontrés pour arriver à aujourd'hui.

Speaker 2:

Parce que cette sécurité-là, tu sais, t'es devenue douanière, policière, agent de sécurité, cadet, policier. T'as toujours été dans l'univers de la sécurité, parce que ta propre sécurité intérieure, depuis que t'es toute petite, c'est un enjeu.

Speaker 1:

C'était pas aussi clair que ça. Le parcours vu de derrière, avec une distance, avec toute l'expérience que j'ai eue avec ce chemin-là, m'a permis de faire un regard, de regarder les choses différemment, puis de voir que, oui, c'est la part de mes propres insécurités que j'ai vécues. C'est un parcours qui me ramenait de plus en plus en arrière, même si j'avançais, que je pensais que j'étais rendue là où je devais arriver. Tout ça a fait en sorte de revisiter par en arrière et de retourner là où est-ce que j'ai vécu mes premières insécurités.

Speaker 2:

Parce qu'il y a un chemin à faire. Il y a une responsabilisation Puis on en a parlé probablement de toutes les façons, à travers tous les épisodes d'Impact et le monde Il y a une responsabilénement en toi, qui survient à l'extérieur ou à l'intérieur de toi, qui te dit là, il faut que je m'occupe de ma sécurité. C'est quoi, ce moment-là, toi où il y a une implosion ou une explosion?

Speaker 1:

À ce moment-là, j'ai 38 ans. Puis, dans ma vie, dans différents aspects dominent de ma vie, tout s'effondre. S'effondre au niveau de mes relations personnelles avec ma copine dans le temps, au niveau de ma famille, au niveau financier, au travail. Dans mes relations avec les autres, ça m'échappe. Ça m'échappe Tout ce que j'avais l'habitude de faire auparavant. Ça ne marche plus.

Speaker 2:

Et ça, c'est tout ce qu'on fait sur le pilote automatique, où tu ne t'es pas questionné, le processus de transformation, il n'est pas tout à fait entamé ou il l'est au niveau spirituel, à 38 ans.

Speaker 1:

Tu veux dire répète.

Speaker 2:

As-tu commencé à faire un cheminement intérieur ou c'est à partir de ce moment-là que le cheminement intérieur?

Speaker 1:

se fait. C'est comme mon cheminement intérieur qui s'est révélé à moi Lui, c'est quoi ça?

Speaker 2:

C'est là que tu fais. Qu'est-ce que je peux explorer?

Speaker 1:

Mon plan de vie jusqu'à 40 ans. Je l'avais fait. J'étais petite, j'étais tout petite. Je savais où je voulais aller dans la vie, je savais à quoi ma vie allait ressembler. Ma vie allait ressembler. Puis, ça a fonctionné jusqu'à 40 ans. 40 ans, mon projet, il est plus là. Tout s'est effondré. Je fais quoi? Je suis qui. Qu'est-ce que je fais par la suite? Je n'ai pas de réponse. C'est noir. C'est de plus en plus noir, de plus en plus inconfortable, de plus en plus insécurisant. Au niveau de ma santé, j'apprends que j'ai des cellules précancéreuses au niveau d'un nodule dans ma glande thyroïde. Ma relation avec ma mère? il n'y en a pas. Elle a un accident d'auto. Moi, je me fais dire un pronostic, un diagnostic. Quel chemin je prends? Le chemin Audrey Paquette ou le chemin Les Hôtes, sauf moi.

Speaker 2:

Carrefour, carrefour, le chemin Audrey Paquette ou le chemin que la société veut que je prenne Puis là, toutes les sphères de ma vie parlaient cette question-là.

Speaker 1:

Je ne suis pas bien à mon travail, pourquoi On me met sur une tablette Derrière? ça, c'est qui qui te met sur une tablette, vraiment?

Speaker 2:

C'est la société ou moi-même qui accepte d'être sur cette tablette-là.

Speaker 1:

Oui, t'es obligée de rester sur la tablette. Pourquoi tu restes sur la tablette? Mais de quoi est faite cette tablette-là? Je peux-tu sortir de cette tablette-là? Qu'est-ce qui arrive quand je sais pas le chemin après?

Speaker 2:

on a l'impression que notre vie s'effondre si on sort de la tablette, parce qu'on pense que la tablette, c'est le parking naturel, la map.

Speaker 1:

C'est ça, c'est le monde. Si j'ai pas ma tablette aujourd'hui, si j'ai pas ma tablette, si j'ai pas mon téléphone, ça s'en va où nulle part tellement c Ça s'en va où. Nulle part, tellement. C'est une analogie.

Speaker 2:

Il y a le chemin, audrey Paquet, ou il y a le chemin de la société.

Speaker 1:

Ça, ça a été des messages très forts, de plus en plus forts, qui s'en venaient dans tous les domaines de ma vie. Ce qui me restait au final, c'était moi, chez nous, avec moi-même. Le reste, ça ne marche plus. Je fais un sport, je me blesse, j'ai une commotion cérébrale ma quatrième, j'en ai eu cinq dans ma vie Tout s'effondre, tout ce que je pense, qui fonctionne, ne fonctionne plus. Puis, quand on est une personne comme moi dans mon expérience de vie, qui est une personne comme moi dans mon expérience de vie, qui est une fonceuse, qui fait du sport, qui réussit, qui réussit, qui réussit, ça se ramène à dire ça ne marche plus mes affaires, qu'est-ce que je fais?

Speaker 2:

Je ne connais pas autre chose, en fait, c'est toute mon identification que j'ai bâtie, toutes les croyances, tout ce que je pense, que je suis et que je ne suis que ça, et je ne suis rien à l'extérieur de ceci Que je croirais jusqu'à maintenant Ou que je croyais vrai. Jusqu'à maintenant, c'est plus. Là, ça nous est tout déjà arrivé d'avoir ça.

Speaker 1:

Moi, j'avais besoin de l'entendre plus souvent. je pense de différentes façons Pire de bord, peut-être différents lang langage.

Speaker 2:

T'as raison, mais je serais curieuse de voir combien de personnes le captent vraiment du premier coup. Il ne doit pas y avoir tant de monde qui le prenne du premier coup. Ça s'appelle des coups de deux par crête cosmique dans mon langage.

Speaker 1:

Oui, des murs de briques, oui, toute cette bête, instrumentation-là qu'on dit ben, qu'est-ce que je ne veux pas voir? Oui, je ne veux pas voir le mur, mais il ne va pas s'enlever, le mur, il va rester là. Ce n'est pas moi qui va gagner, c'est le mur. Mur 5, audrey 0. Ça t'en prend-tu un autre? Combien, ça va te prendre De mur De mur Pour prendre ta propre direction. Bien, pour dire, t'as posé les bonnes questions, les questions Audrey Paquette, avec des réponses.

Speaker 2:

Audrey Paquette Oui, puis, ça c'est important, c'est les questions Audrey Paquette pour Audrey Paquette, c'est les questions Karine Champagne pour Karine Champagne, puis c'est les questions Frédéric Fogg pour Frédéric Fogg, puis vous, à la maison, qui nous écoutez, c'est vos questions pour votre propre vérité. On ne veut pas que personne allumer en vous la joie de dire Hum, quel serait mon chemin et quelle serait ma propre vérité.

Speaker 1:

Absolument Ce chemin-là. il est épeurant quand t'as pas de mode d'emploi.

Speaker 2:

Pis, y'en a pas, de mode d'emploi, y'en a pas. C'est ça qui est le fun, c'est ça, mais avant.

Speaker 1:

C'est ça. Mais t'sais, quand t'es hab, puis on te dit comment t'es bonne. Mais ces personnes-là qui t'ont dit comment être, comment faire, quand ils sont plus là. Puis, quand t'arrives avec ta petite liste, avec des petites coches cochées puis remplies pour te valider, pour t'apprécier, pour te dire comment t'es bonne, ils sont plus là. Ils sont plus là pour ça. Même quand t'arrives avec la liste, ils te disent ben non, ça se passait bon, t'es comme, ok, ok.

Speaker 2:

Tu vas lancer un programme bientôt qui s'appelle Devenir expert de soi. Puis, c'est toi aussi, t'es devenu ta propre experte, entre autres après avoir rentré non pas dans un, deux, trois, quatre ou cinq murs potentiellement. Qu'est-ce qui se passe? T'es sonné par tous tes murs, t'es sonné par la commotion cérébrale. Il y a ce besoin intrinsèque de sécurité extérieure, ou d'être en hyper-vigilance pour t'assurer que t'es safe. Et là tu dis OK, le chemin, andré Paquette, nécessite peut-être du déblayage, parce que là, il faut que je trouve ma propre sécurité intérieure pour être bien avec moi-même et avec les autres. Par où tu commences?

Speaker 1:

Par où tu commences. J'aimerais ça que ce soit une lettre qu'on reçoit par la poste.

Speaker 2:

Par où toi t'es commencée.

Speaker 1:

J'ai commencé par dire les choses que j'étais pas confortable de dire. Nommer les choses, de faire des constats à froid, de dire dans ma famille ça s'est passé comme ça. J'ai vécu dans un environnement familial insécuritaire pour moi.

Speaker 2:

Dysfonctionnel.

Speaker 1:

Dysfonctionnel. Si je n'appelle pas les choses comme elles sont, je ne vais pas être capable de prendre la prochaine décision qui va faire en sorte de me sortir de ce modèle dysfonctionnel, parce que ce que je n'ai pas réglé dans mes relations avec quelqu'un, j'avais le reposé par la suite.

Speaker 2:

Mais tu n'es pas obligée de le régler avec cette personne-là. Non, absolument pas. Des fois, on pense ah oui, mais il faut que je règle ça avec elle. Non, pas nécessaire, ça ne veut pas dire que c'est possible non plus.

Speaker 1:

La vie va t'envoyer exactement ce que tu as besoin au moment que tu en as besoin.

Speaker 2:

Donc toutes ces petites relations récurrentes qu'on a, c'est juste comme hé t'as une autre possibilité.

Speaker 1:

C'est ça, dans le fond. C'est ce que j'ai fait de plus en plus consciemment, parce qu'au début, on ne sait pas trop, ce qu'on fait, c'était de me dire suis tannée de fuir, qu'est-ce?

Speaker 2:

que je suis tannée de fuir. Wow, puis, qu'est-ce que t'étais tannée de fuir?

Speaker 1:

La vérité.

Speaker 2:

Ta vérité.

Speaker 1:

Ça, ça a commencé tôt Fuir sa vérité. Pour moi, quand on vit dans un environnement familial, où est-ce qu'on est en insécurité? mais on le sait pas. Bien, on va vivre. Vit dans un environnement familial où est-ce qu'on est en insécurité, mais on ne le sait pas, on va vivre plutôt dans un mode de survie. Puis là, c'est là que notre système nerveux embarque avec nos mécanismes de défense, c'est là que, tranquillement, très subtilement, on va devenir quelqu'un d'autre, pour faire plaisir, pour répondre aux besoins, répondre aux insécurités des autres, on va combler leur insécurité dans nos relations avec eux. Fait qu'on va obtenir une valeur de survie.

Speaker 2:

Ça, c'est très subtil, est-ce que tu? Je ne veux pas donner une statinie, mettre personne dans une boîte, mais on doit être une grosse gang à être en mode survie.

Speaker 1:

Si je lis, si je me fie aux études que j'ai lues Oui, si on parle de la théorie de l'attachement, tous les animaux, on est un animal mammifère qui a évolué en humain. On a la même structure que les animaux Au niveau de l'attachement. On ne peut pas survivre sans attachement. Donc, si je ne m'attache pas à quelque chose qui va assurer de me nourrir, de me loger et de prendre soin de moi jusqu'à ce que je sois capable de le faire, je vais être dépendant. Alors, si je suis dépendant, je ne vais pas avoir une relation qui ne va pas être naturelle. Je vais être amené à être forcé de faire une relation avec quelqu'un. Je vais être amenée à être forcée de faire une relation avec quelqu'un. Pour rentrer dans les statistiques, pour ne pas que je m'échappe de ça, environ 15 % des enfants vivent une relation organisée, sécuritaire, avec leurs parents. 15 % Selon l'étude qui essaie d'énumérer ça, le genre de type de relation dans lequel on est 15%.

Speaker 2:

Seulement, ça, c'est 15%, qui sont relativement bien.

Speaker 1:

En sécurité. En sécurité Ils se sentent en sécurité de façon et c'est organisé. Donc, les parents vont être matures, vont être capables de répondre aux besoins de l'enfant sans que l'enfant entre dans une relation forcée à être quelque chose dont il n'est pas.

Speaker 2:

La stats me laisse sans mots.

Speaker 1:

On part avec ça 15 %, ça ne veut pas dire que ça ne va pas changer. Oui, vrai, mais on part avec parce que si on n'a pas une relation organisée, sécure, on va être dans une relation ambivalente. Ambivalente, ce que ça dit, c'est polarisé. Tu vas être une bonne fille si tu es comme ça, versus une mauvaise fille quand tu comportes comme ça. Oui, ok, ça c'est le deuxième type. Le troisième type, c'est moi. je suis un parent qui est omniprésent, donc tu vas devoir t'organiser avec toi beaucoup. Puis, ça va t'amener à faire un choix Est-ce que je vais demander de l'aide, oui ou non? Ou est-ce que moi, je suis capable de m'autosuffire? Tu vas devenir une personne qui va vivre un peu plus isolée comparativement à des gens qui vont avoir des facilités à être en relation de façon sécuritaire et saine. Fait que tu vas plus compter sur toi en premier lieu. Fait que le niveau de confiance va être très difficile à développer avec les autres Peu importe où on est là-dedans, là La quatrième.

Speaker 2:

Ah oui, excuse-moi, excuse.

Speaker 1:

Bon, non, vas-y. La quatrième, non la moindre, c'est celle où est-ce qu'on va vivre des relations traumatisantes, désorganisées?

Speaker 2:

Où il y a de la violence.

Speaker 1:

Il y a de la violence, L'inceste des agressions physiques ou mentales. C'est pas. On n'est pas obligé d'aller dans les extrêmes, mais ça va être déstabilisant pour l'enfant, qui va se sentir alors en insécurité. Puis ça va durer sur le temps.

Speaker 2:

Puis, peu importe dans la sphère où vous vous retrouvez, vous avez peut-être dit Ah, mon Dieu, moi, c'est niveau, C'est 1, c'est 2, c'est 3, c'est final. puis c'est une étiquette, puis c'est collé. Devenir expert de soi, c'est commencer à dire Ah, c'est intéressant. voici mon pattern. Je viens d'entendre quelque chose qui résonne avec moi. Qu'est-ce que je fais avec ceci à partir de maintenant? Se responsabiliser, Exact. Il n'y a pas d'autre chemin que la responsabilisation.

Speaker 1:

C'est une identification j'ai besoin de me donner pour passer ailleurs? Quelle connaissance j'ai besoin de me donner pour passer ailleurs?

Speaker 2:

Ça. Ça veut dire que dans ton histoire t'as choisi d'aller t'éduquer.

Speaker 1:

Absolument.

Speaker 2:

Puis commencer à t'informer sur wow. Comment je fais? Absolument Parce que tu disais j'ai pas eu de modèle. T'arrives d'une région où il n'y avait pas de modèle en ce moment qui correspondait à qui tu étais. Ce n'est pas parce que tu étais en région, mais il fallait que tu trouves de nouveaux modèles. Tu as choisi de trouver des nouveaux modèles au lieu de rester dans un carcan.

Speaker 1:

En fait, je suis un peu tombée dans, comme Obélix dit, je suis tombée dedans quand j'étais petite, je suis tombée dans un chaudron je peux même utiliser le même exemple que Obélix mais dans l'insécurité, puis en étant une personne où je ne trouvais pas de modèle, parce que moi, vers 6 ans, 7 ans, je m'identifie, comme j'ai des sentiments pour les filles. C'est quoi ça?

Speaker 2:

j'ai pas de modèle autour de moi on retourne 50 ans en arrière ou presque. Là, t'sais plus ou moins là, c'est ça exact, fait que ça veut dire que là c'est encore moins connu que maintenant.

Speaker 1:

Eh oui, j'ai pas de modèle, t'as pas de modèle Et ce que j'entends en grandissant, c'est ben, c'est polarisé. Si je du mental, je vais aller en enfer. C'est ce que j'entends à l'extérieur de moi. Est-ce que je suis en sécurité avec ça? Non, pas du tout. Qu'est-ce qui se produit à ce moment-là? Je me replie sur moi.

Speaker 2:

Il n'y a personne qui va savoir ce que je vis présentement Personne, qui va savoir que j'ai des sentiments pour une fille.

Speaker 1:

Non, parce que c'est, je vais en enfer. Je vais à l'hôpital psychiatrique, je reçois des soins de santé mentale. Je ne sais pas. C'est-tu sécurisant pour moi? Non. Puis, j'ai 5-6 ans. Je n'ai pas la mentalité, je n'ai pas l'intelligence, je n'ai pas le discernement, je n'ai pas l'analyse, Je n'ai rien. Tout ça pour moi. C nerveux. Je l'attribue comme une menace, un danger d'être qui je suis, Fait que je vais devoir forcer une identité qui l'est pas.

Speaker 2:

Mais à un moment donné tu comprends que tu peux être toi.

Speaker 1:

À un moment donné, on grandit, heureusement. On voit des choses à l'extérieur de notre famille. On va à l'école, on se fait des relations à l'extérieur de ce qu'on connaît. Fait que là, on grandit à travers ça. Puis on se voit ah, c'est pas comme ça chez nous, ah, c'est pas comme ça. La vérité, c'est autre chose. Fait que là, on développe une curiosité à aller voir, c'est quoi qu'est-ce qui est aussi vrai ailleurs? Puis là, on commence à se comparer, on fait ces choses-là, on grandit. Puis, la vie est bien faite, la vie nous envoie des gens qui vont nous faire découvrir des choses qu'on n'était pas au courant. Moi, je me rends compte que ce que je vis chez moi, ce n'est pas nécessairement la normalité. La normalité que je crois, une normalité, parce que quand on creuse un peu partout, il y a des difficultés, il y a des défis, aussi Sauf que ma réalité à moi, ce n'était pas du tout ce que j'entendais à l'extérieur. Fait que là, j'ai fait, mais qu'est-ce qui se passe chez moi?

Speaker 2:

Tu as commencé à étudier, parce que tu es en 100 soldes dans ce moment pour créer autre chose. Tu es appelée ailleurs. Tu veux créer quelque chose d'absolument magique. Et là, tu commences aussi à tomber dans la passion fantastique de grands penseurs qu'on aime toutes les deux, et tu commences à lire, à t'éduquer. Puis, tu sais, t'es allée rapidement sur tes cellules précancéreuses. Puis, on a parlé du chemin, audrey Paquet, puis du chemin, ce que la société voulait. Toi, t'étais hors cadre, complètement. Là, tu t'es dit OK, attends, quoi d'autre est possible? Je comprends, je peux aller voir ailleurs. T'as eu des grandes rencontres Louise Hay, caroline, miss, tous les autres, byron, cathy. T'es allée explorer un autre univers de gens qui pensaient à l'extérieur du cadre.

Speaker 2:

Mais je suis partie dans ma quête de vérité. Ça, c'est partir dans sa quête de vérité, c'est, au sens propre et au sens figuré, t'es partie explorer complètement. Il y a de la lecture, de la formation, puis il y a du surplace, à Los Angeles ou partout dans le monde.

Speaker 1:

Qu'est-ce que je me suis rappelée? puis, en grandissant, j'ai pu avoir des réponses où je n'en avais pas quand j'étais enfant, mais que moi, j'étais très intuitive, déjà enfant, très intuitive, très guidée par mon intuition. Dans ma famille, le modèle, c'était pas ça, c'était on n'utilise pas notre intuition pour les raisons qui font qu'on n'est plus en relation avec notre intuition, pour toutes ces raisons, à ma famille. Mais Mais moi, c'était ma façon de respirer l'intuition, c'est comme je me pose la question. Je vais, puis ça se fait automatiquement, mais pour moi, c'est naturel. Jusqu'au temps où est-ce que je me fais dire non, non, tu peux pas faire ça, c'est dangereux. Mais qu'est-ce qui va t'arriver? Mais pour moi, ma façon de vivre, c'est ça Fait que j'ai repris ça parce que je ne l'avais pas complètement délaissé. C'est juste qu'il y a des événements dans ma vie qui ont fait comme ben là, tu serres ça, tu ne serres plus de ça. Audrey.

Speaker 2:

Puis c'est policière, l'intuition dans la police à ce moment-là.

Speaker 1:

je ne sais pas si ça a changé ça a é quelque chose que, justement, j'avais serré à ce moment-là, mais que j'ai ramené Parce que c'est comme, un peu comme la vie qui me faisait ben, quand tu t'en sers pas, audrey, il arrive ça. Quand tu t'en sers, il arrive ça plus. je faisais mes expériences très contrastes.

Speaker 2:

Oui.

Speaker 1:

Bien là, pour moi, l'intelligence, c'était mon intuition, Mais ça n'allait pas avec le cadre. De plus en plus, j'avais des expériences de contraste dans ma vie qui m'ont amenée à faire bien. ça, c'est Audrey, ça c'est pas Audrey.

Speaker 2:

Et ça, tout le monde, je vous dirais de le grabber, de l'attraper, juste. aller voir l'expérience du contraste, c'est de voir quand je suis, moi, complètement moi que je suis la vibe, que je suis, ce qui est léger, par exemple, qui me rend heureuse, qui est vibrant ou qui est clair pour moi, c'est pas si je sais que c'est ça, ça, c'est quand vous êtes vous-même, puis, moindrement, que ça devient contractant ou tu ne te sens pas tout à fait aligné dans n'importe quel super de votre vie. c'est comme là. c'est comme si tu essaies d'avaler une pilule qui n'est pas la tienne. Tu essaies d'avaler une idée et une vérité qui ne t' va-y pas.

Speaker 1:

Si t'es pas assez forte intérieurement en relation avec ton institution, tu vas pas y aller.

Speaker 2:

Tu sens pas en sécurité avec toi.

Speaker 1:

Tu vas pas dire oui, tu vas mettre ça de côté, pis y aller avec la famille. Mais si, dans le fond, tu sais qu'à la fin de l'événement qui est arrivé, toi t'avais été ailleurs, ça c'est le message qui revient souvent Ça, c'est le message qui vient de dire les prochaines fois fais ça, oui, exact, parce que des fois, c'est des push-ups.

Speaker 2:

Je pense que l'intuition aussi, ça peut être un entraînement à commencer à développer. C'est comme OK, je vais faire des push-ups, ah, je vais-tu là? Mon intuition me dit oui, j.

Speaker 1:

Il ne faut pas se flageller parce qu'on n'a pas écouté notre édition, tu apprennes à reprendre la capacité pleine en conscience. C'est comme de dire, la fois où je me suis plantée, qu'est-ce qui était une information qui aurait pu me servir pour la prochaine fois que je n'ai pas vue Exact. Puis là, je vais faire OK, maintenant je la vois, maintenant je vais m'en servir. Ça prend plusieurs fois, Parfois.

Speaker 2:

Parfois c'est ça, C'est pas toujours. On veut tellement rien mettre personne dans le carcan. Des fois, ça prend du temps, Des fois tu cadres vite.

Speaker 1:

Tu disais quand j'ai eu. Moi, c'était le carrefour qui est arrivé. Ma mère a eu un accident d'auto. Moi, j'ai eu un diagnostic. Ma journée, ma deuxième vie a commencé là, quand t'as eu le diagnostic. Oui, parce que là, je ne savais pas où aller. Je vais avec ma mère, je vais avec moi, puis aller avec moi, c'était la chose la plus difficile que j'ai eu à faire, même si je savais qu'aller avec ma mère, ça allait redonner mes résultats. C'était aussi presque contre-intuitif d'aller avec moi, tellement j'étais rendue loin dans ma déconnexion.

Speaker 2:

Tu étais tellement en mode survie. Oui, donc moi il faut que je plaise.

Speaker 1:

Tu n'es plus en relation avec moi, Audrey Parkett. Tu es en relation avec l'image des autres d'Audrey Parkett. Oui, Ça fait quoi? Puis là, je suis partie avec mon petit sac, avec ma quête de vérité qu'est-ce qui est vrai pour moi? Puis là, je suis allée voir Louise Hay, Wayne Dyer, Anita Marjani, Chris Kars, Sonia Choquette, Caroline Miss. Je suis partie, je me suis faite un fun ride, Mais il ne faut pas oublier que j'ai eu un diagnostic de cellules précancéreuses. J'ai Louise Hay qui m'a écrit ma prescription dans un livre. Elle est auteure, elle écrit un livre. Elle m'a écrit ma prescription, un mantra Voici ma meilleure suggestion pour toi. Je parlais avec elle pendant huit minutes. Les gens me disaient habituellement, ce n'est pas aussi long. Puis j'étais comme OK, Mais moi, je suis venue avec l'intention de lui parler si c'était possible, Et voilà.

Speaker 2:

Puis, elle, elle t'écrit une prescription, toi tu as aussi un diagnostic médical et un point de vue intéressant du médecin. Il n'y a pas de bon, il n'y a pas de mauvais, mais ce que le médecin te propose, ça ne vibre pas et tu dis pas pour le moment. En tout cas, je reste, mais pas pour le moment.

Speaker 1:

Pour moi ça sonnait faux. Ça sonnait faux Puis qui je suis, c'est ça. Ça sonne faux, mais c'est mon intuition qui me parle. Puis là, je dis Audrey, tu vas aller à droite ou tu vas aller avec toi. Je suis qui, moi. À ce moment-là, vous dire j'ai aucun certificat, diplôme médical, j'ai aucune spécialité, j'ai un diplôme au cégep en rédactation physique, que je n'ai même pas passé mon deux points.

Speaker 2:

Tu es policière, je suis policière.

Speaker 1:

Mais qu'est-ce que j'ai de la police? qui peut me servir avec ça? Bien, j'ai mon enquête, je peux poser des questions, je peux me satisfaire, moi, avec les réponses, au lieu de satisfaire les autres.

Speaker 2:

Est-ce que Tu allais chercher ton côté enquête, j'ai toujours fait, ça a toujours été dans ma face. Je pose des questions pour trouver la vérité.

Speaker 1:

Je l'ai faite pour les autres, là, c'est à mon tour de l'appliquer Pour moi Ah, fort, j'ai fait pour plein d'autres personnes, mais quand c'est moi, moi, avec moi-même dans une salle, la chienne.

Speaker 2:

Explique ça Fait que Louis-Z te fait une prescription que t'appliques à la lettre Toi. Est-ce que je me trompe Moi?

Speaker 1:

j'explique ce qu'il me parle comme vrai, ok.

Speaker 2:

Fais pas exception. Louise A. Je suis pas. Louise A. Non, il y avait des choses là-dedans. Merci, c'est tellement hot, juste de ramener. C'est-tu vrai? pour toi, ça va être quoi.

Speaker 1:

Aussi fort que Louise A a fait comme chemin. Si je me prostitue en une Louise A, j'ai perdu mon objectif.

Speaker 2:

T'es pas dans ta vérité.

Speaker 1:

Je le sais ça, Je ne vais pas me laisser omnibuler par la prestance. Puis, Louise A tu rencontres n'importe qui sur le chemin, c'est pareil. Louise A est très simple et très Je te parle. Je suis avec toi, je t'écoute, c'est ça. Puis moi, je suis comme OK, qu'est-ce qui est vrai pour moi? Est-ce qu'il y avait une partie de sa prescription qui était vraie pour toi? Oui, entre autres son mantra. C'est-à-dire pas son mantra qu'on dit, mais on dit une affirmation La vie va t'envoyer les gens, les situations pour guérir.

Speaker 2:

Et tu t'es répété ça en boucle, ou tu l'as dit une fois, ou de quelle façon tu l'as appliqué. Je l'ai appliqué, tu l'as appliqué, peu importe la façon, parce que moi une prière.

Speaker 1:

quand c'est des mots, que ce soit n'importe quoi, si je ne le mets pas en pratique, ça reste un mot, ça reste une prière dans un livre, si je ne vais pas l'attester, c' ça en pratique. D'être présente dans ma vie. Ces gens-là, ils vont venir, ces situations-là, ils vont venir.

Speaker 1:

Si je me sauve, si tu te sauves, tu ne verras pas Si je me distrais tout le temps avec hier, demain, puis je ne suis pas dans mon présent. Je vois quoi? Rien, rien. Tout est là dans le présent À chaque fois que j'ai vécu, puis encore aujourd'hui. Si je ne suis pas présente, je manque. Puis. Ce n'est pas bon ou mauvais, c'est une expérience, right.

Speaker 2:

Ce n'est pas bon, ce n'est pas mauvais, c'est pas bon, mauvais, c'est une expérience. C'est pas bon, c'est pas mauvais, c'est juste une expérience. Jamais besoin de se flageller, jamais besoin de se puiser.

Speaker 1:

Tout ça, c'est intelligent, tout, tout, tout, bon, mauvais. Je tombe à terre, je me relève. Il y a de l'information à terre.

Speaker 2:

Il y a de l'information à terre. C'est correct, c'est pas grave. T'as appliqué, entre autres, l'affirmation de Louise Hay. Est-ce que t'as fait autre chose pour permettre à ton corps de faire un processus?

Speaker 1:

La première personne d'office en atelier que je suis allée voir et que ça me prenait ça pour faire le suite de mon cheminement, de me fier à mon intuition, c'est Caroline Miss. Je suis allée à Chicago faire un atelier avec elle et ensuite ça s'est suivi avec Sonia Choquette, en intuition, c'est médecine intuitive, et Sonia Choquette, pionnière en intuition, éducation liée avec l'intuition. J choquette, pionnière en intuition, éducation liée avec l'institution, fait que j'ai fait À ce moment-là, si je suis pas en intuition.

Speaker 2:

Je meurs Puis. Est-ce que c'est ça le pronostic ou presque? T'avais-tu quelque chose qui pendait au bout?

Speaker 1:

de ton Bien. si j'avais écouté mon médecin dans toute sa réalité, à lui bien, je finissais en cancer généralisé Dans son cheminant d'évolution à lui. Si je l'ai acheté tout ce qu'il m'avait dit, je ne sais pas où est-ce que j'en serais.

Speaker 2:

Et finalement, tu es retournée voir le médecin après quelques mois, quelques années, pour repasser des tests.

Speaker 1:

Tout ça, le diagnostic, avec l'évaluation, tous les tests, le suivi, tout ça, ça s'est passé dans une période de deux ans environ, oui. Puis j'ai retardé la chirurgie parce que lui, il fallait l'ablation de la thyroïde. Ensuite, de ça, j'ai fait, quand j'ai revenu avec Louisée, j'ai fait moi, je veux pas faire ça, j'ai mon plan. Il a pas vraiment voulu collaborer avec moi, mais j'ai fait c'est ça où je m'en vais, Je vais le faire moi-même différemment. Puis là, il a commencé à collaborer avec moi. Puis, là, bien là, où les gens me disaient bien, absolument les gens, audrey, ils ne vont pas voir les patients pour leur parler, j'ai le radiologue qui est venu me parler. Absolument, ils ne c'est ça, audrey.

Speaker 2:

La France, les gens vont venir, les gens vont venir à toi. Les gens, les situations vont venir Exact.

Speaker 1:

Si je ne suis pas là, je manque. Oui, et je peux me rappeler du premier jour où j'ai senti que j'étais vraiment avec moi, pleinement. C'était sur cette table-là où j'ai subi ma première biopsie, où est-ce que le technologue, le radiologue, est venu me voir. C'était la première journée que je peux vous dire que j'étais pleinement avec moi, sans partir ailleurs. Puis, même si, genre, mes bras chéquaient, c'est à ce moment-là qu'il venait me dire qu'est-ce que j pour moi par la suite, parce que le médecin ne le demandait pas, mais moi, j'avais des preuves qui venaient de tous bords, de tous côtés, ailleurs que lui. Puis, la journée que je l'ai confronté dans ma vérité, j'ai rencontré un homme complètement différent, complètement à l'écoute, même s'il était désarmé de m'entendre dire ce que j'allais lui dire. Puis, la journée que j'ai eue le résultat final, ma biopsie qui est conclue Parce que, moi, je faisais la manifestation de ce que je désirais vraiment.

Speaker 1:

Pendant ces deux ans-là, j'ai changé, j'ai fait 180 avec ma vie. J'ai pris ma vérité, je l'ai exprimée, je l'ai marché, je l'ai dit, je l'ai faite, je l'ai pris, j'ai fait des recettes avec de tous bords, de tous côtés, chose que je n'avais pas eu l'opportunité de faire dans un environnement insécure quand j'étais enfant. Je l'ai faite plus tard pour moi. Puis là, j'ai fait de la manifestation désirée avec moi, alignée à ma vérité. J'ai demandé à ma blonde j'ai fait, pourquoi tu ne m'enverrais pas un email qui dit que tu es le médecin? et le résultat de ma biopsie, c'est que je n'ai plus de cellules précancéreuses, il n'y a plus rien. Ma blonde m'envoie un courriel.

Speaker 2:

Bonjour, je on m'envoie un courriel, docteur 1TL.

Speaker 1:

Voici les résultats de votre dernière biopsie. Les résultats sont il n'y a plus de nodules, il n'y a plus rien de précancéreux. On s'en va ensemble à la clinique recevoir mon résultat. Il y a un étudiant en externe qui est là, qui me fait les tests de routine, puis, après ça, le médecin, il est là, plus loin, loin, il est loin d'une table, à peu près une table de 12 pieds de distance à moi. Il me lance Madame Paquette, oui, les types de vos cellules, c'est rendu type 1. Maintenant, je suis comme type 1,. Type 1, c'est quoi? Type 1,? ah, cellules bénines, il n'y a plus de cellules précancéreuses. Mouvement blonde. Cellules bénines, il n'y a plus de cellules précancéreuses. Moi et ma blonde on, il y a des gens, c'est silencieux. Nous, on crie, on saute, c'est comme si on a gagné millions, parce que tout ce que j'ai travaillé est manifesté.

Speaker 1:

Le médecin est de glace Neutre Pour lui. Bon bon, c'est correct, il est dans sa réalité. À lui, je ne vais pas être confronté dans sa réalité. J'ai appris ça. Je vais rester dans la mienne avec Audrey Paquette. C'est là où je veux être. Je ne veux pas aller gérer les insécurités des autres. Si je ne suis pas là pour moi, il risque. Il faut que je ré. Si je suis pas là pour moi, il reste qui Faut que je réapprenne à être là pour moi.

Speaker 1:

Beau temps dans 20 ans. C'est là que ça se passe. Mais là, on célèbre. Mais là je capote parce que là, l'infirmière est comme à peine capable de sortir de son rôle d'infirmière sérieuse, puis de nous dire félicitations. Mais tu vois son sourire. Il est jusqu'ici, mais elle s'imagine pas tout ce qu'il y a derrière, mais elle est contente de ce qui se passe présentement. Puis, j'étais comme c'est juste correct. C'est juste correct parce que c'est ça ma réalité. Merci, merci de partager avec moi. Tu le vois, toi aussi. Tu sais que c'est le fun derrière. Il n'y a personne qui peut savoir ça avec moi, mais moi et ma blonde, oui. Mais là, on capote parce que j'ai réussi. J'ai réussi à renverser un diagnostic, parce que j'ai cru en moi, j'ai cru dans mon intuition, j'ai cru à ce qui voudrait, en sécurité avec elle. Qu'est-ce qu'elle a à dire elle? Est-ce qu'elle a à dire elle? Est-ce que je pourrais donner le micro, faire un changement?

Speaker 2:

Là tu te le donnes en plus, pour vrai, parce que t'as un message qui est grand, qui porte T'es challengeante, t'es déstabilisante, je sais. Puis, je peux le dire aux gens, t'es venue à mon événement le 11 novembre 2023, alors que j'avais choisi de t'offrir de venir sur le stage avec moi, parce que j'aime Ça c'est déstabilisant, oui, mais t'es hot, et tu commences en disant ma conférence, c'est de la marde.

Speaker 2:

Et là, il y a 200 personnes dans la salle. Et là, on ne sait pas, même moi, puis juste avec Fred, je suis comme es-tu en train de craquer Elle va-tu bien? Et là, tu le répètes Ma conférence, c'est de la marde. Et là, je vois, il y a un silence, c'est un silence. Tu as installé ça d'une façon. Et là, tu ouvres la porte à comment je me sens, quand je pense et que je crois Ma conférence, c'est de la marde. Combien de choses est-ce qu'on croit quand on se parle?

Speaker 1:

Oui, le narratif.

Speaker 2:

Le narratif.

Speaker 1:

C'est qu'on agite tout le narratif qui est non-stop.

Speaker 2:

On ne crée pas de la sécurité avec nous-mêmes. On ne le questionne pas. On ne le questionne pas non plus.

Speaker 1:

On va le croire. Ça va influencer quoi Mes comportements? Puis, ça va me demander d'être capable de repérer mes insécurités.

Speaker 2:

Responsabilisation, On n'a pas tout le temps envie, par exemple d'être responsable.

Speaker 1:

C'est pas mal là que c'est payant. Je te dirais partout où est-ce que je sens qu'il y a un danger, qu'il y a une menace, où est-ce que je me sens fuir? moi, je vais y aller avec la soupe populaire. C'est correct une fois de temps en temps. Mais quand t'es plus capable de différencier entre la soupe populaire puis toi, puis que là tu regardes ta vie, puis là, ça commence à shaker un peu, puis là il y a des choses que tu ne comprends plus. Puis, quand tu t'en vas dans ce chemin-là, ça c'est des warnings, là C'est des flags, c'est comme tu es en train de céder ta place à qui, au nom de quoi, pour savoir quelle valeur en échange. Ça, c'est-tu un mode de vie qui va supporter? un mode de vie de survie ou un mode de vie de vie? Est-ce que je suis capable de faire la différence entre les deux? Clairement, à chaque fois, je prends une décision.

Speaker 2:

Est-ce que je prends ma décision en mode survie ou en mode vie? Ouh, j'aurais besoin d'un sac de papier pour respirer, s'il vous?

Speaker 1:

plaît, parce que ça arrive. Jusqu'au temps que ça soit quelque chose qui nous étouffe, c'est tout fait en mode survie, défense, combat, figement, je vais me cacher dans ma cachette. Je vais reprendre une pause de deux ans. F, prendre une pause de deux ans. Je vais vous envoyer, audrey, pilote automatique en échange.

Speaker 2:

Là, on n'est plus là Et là, tu vas lancer une nouvelle offre de coaching. Il y a toutes sortes de gens qui vont être attirés par toi. Il y en a qui vont avoir peur parce qu'ils vont dire Oh my God, elle va me mettre tellement les yeux direct devant les trous que je ne peux pas me mettre dans le dos et me dire Oh my God, ouf, Décape-moi s'il vous plaît.

Speaker 1:

Ben oui, c'est ce qu'on veut. C'est ce qu'on veut. Est-ce qu'on est prêts? Est-ce qu'on est prêts? Parce que moi, je ne veux pas faire la job de quelqu'un. je l'ai faite longtemps, ça, ça. Maintenant, je te redonne qu'est-ce que toi, tu es capable de faire. Je vais te faire un 180 à la rencontre de toi. Tu vas savoir comment tu fonctionnes, à quoi tu ressembles quand tu ne fonctionnes pas, C'est quoi les petits signaux à détecter qui vont t'emmener dans un mode de dysfonctionnement, de désalignement, de protection, Protection. Combien de garanties veux-tu acheter pour te sentir en sécurité? De quoi tu as besoin pour te sentir en sécurité? Je t'amène à voir ça Versus à quoi tu pourrais ressembler quand tu te reconnectes à ta vérité à toi et que tu décides de la mettre en application.

Speaker 2:

Ta dame.

Speaker 1:

Fais ça, je ne vais pas le faire pour toi. Non, parce que moi je peux juste le faire pour moi.

Speaker 2:

Je peux juste connaître ma vérité.

Speaker 1:

Oui, Parce que la seule façon que je peux me mettre en relation avec moi, c'est à travers mon monde, et si mon monde fait peur, c'est parce que je n'ai pas regardé. C'est qui qui met ça sur l'écran dans ma vie. C'est quelque chose que j'ai acheté, c'est quelque chose que je supporte Et qui est vrai pour moi ou pas?

Speaker 2:

Alléluia. Si jamais vous voulez découvrir comment devenir expert de votre vie. Experte de votre vie, vous avez envie d'être accompagnée solidement par Audrey Paquet. Tous les détails sont dans la description de cet épisode, que ce soit sur YouTube ou encore sur n'importe quel podcast audio. Pour moi, la présence d'Audrey dans ma vie, c'est un game changer. Je ne peux pas me défiler quand je parle à Audrey. Je ne peux pas faire semblant, je ne peux pas esquiver, je ne peux pas être en mode pilote automatique. C'est juste. Comme Tu arrives toujours avec une question, tu arrives toujours avec une prise de conscience, tu arrives toujours avec un knowledge, une connaissance qui me qui me comble. Je ne vais pas dire qu'il me jette par terre, je n'ai même pas envie de dire ça qu'il me comble et qu'il m'allume. Et je crois sincèrement même si ça ne donne peut-être rien à mon point de vue intéressant, mais que tu as la capacité d'impacter le monde.

Speaker 1:

Ce que je souhaite vraiment, c'est de l'impacter depuis que je suis vraiment?

Speaker 1:

Oui, absolument seulement. Je pense que c'est l'effet que tu as eu avec moi. Le premier contact que j'ai eu à travers un média, ça a été ton appoint qui est venu cogner chez nous, qui est venu me dire Tu vois, ce qui est aussi en toi existe en Karine aussi. Tu ne te racontes pas d'histoire. La façon que tu manies la question, tu le fais de manière à être en sécurité. Quand on fait ça, karine, on a juste accès à notre intelligence personnelle. Tu es un chef d'orchestre dans le domaine du questionnement, parce que c'est ce qui m'attire vraiment à aller à ta rencontre.

Speaker 2:

C'est une rencontre qui ne fera que grandir tellement. Audrey, je t'aime profondément. C'est partagé. Fred aussi, trip sur toi. On aime ça, être en ta compagnie. J'espère que votre univers a bougé un peu beaucoup passionnément à la folie, pas du tout. Tout ça, c'est bon. Merci, audrey, au grand plaisir de co-créer encore de multiples projets. Merci d'être aussi déstabilisante. Ciel, que c'est délicieux dans mon univers.

Speaker 1:

C'est ma boisson favorite. Karine, tu me le rends très, très honnête, avec grande honnêteté, tu me le rends très bien.

Speaker 2:

Soyons encore plus nous-mêmes. Merci tellement, Audrey. Ça fait plaisir.

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