Impacter le monde avec Karine Champagne

41 Retrouver le plaisir du mouvement avec Nathalie Guertin

June 11, 2024 Karine Champagne Season 1 Episode 41
41 Retrouver le plaisir du mouvement avec Nathalie Guertin
Impacter le monde avec Karine Champagne
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Impacter le monde avec Karine Champagne
41 Retrouver le plaisir du mouvement avec Nathalie Guertin
Jun 11, 2024 Season 1 Episode 41
Karine Champagne

Tu peux directement me texter tes commentaires!

Comment retrouver le plaisir de bouger après 50 ans?

J'ai eu la chance d'accueillir Nathalie Guertin, une entraîneur expérimentée de 30 ans, pour discuter de l'importance de rester actif en vieillissant.

Nathalie partage ses observations sur les pressions que les femmes, en particulier, se mettent et comment cela peut les empêcher de profiter pleinement de la vie.

Nathalie met en avant la nécessité de devenir autonome dans son parcours de remise en forme et de privilégier des méthodes motivantes et douces.

On plongeons dans les avantages d'une routine de mouvement quotidienne pour une vie saine et joyeuse.

Ensemble, on espère t'inspirer  à bouger pour une vie plus épanouie.

Pour découvrir Nathalie
Son site web https://bel-etre.com/

Sur instagram: https://www.instagram.com/momguertin7/

La retraite Mange Prie Aime:
https://www.karinechampagne.ca/MPA

Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
www.karinechampagne.ca/impact

Pour explorer l'univers de la question:
www.karinechampagne.ca 

Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

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Comment retrouver le plaisir de bouger après 50 ans?

J'ai eu la chance d'accueillir Nathalie Guertin, une entraîneur expérimentée de 30 ans, pour discuter de l'importance de rester actif en vieillissant.

Nathalie partage ses observations sur les pressions que les femmes, en particulier, se mettent et comment cela peut les empêcher de profiter pleinement de la vie.

Nathalie met en avant la nécessité de devenir autonome dans son parcours de remise en forme et de privilégier des méthodes motivantes et douces.

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Ensemble, on espère t'inspirer  à bouger pour une vie plus épanouie.

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Speaker 1:

Moi, c'est 50 ans et plus. Je trouve qu'à partir de 50 ans, c'est encore plus important que jamais de bouger. Donc, que ce soit la marche, la course, l'entraînement, peu importe, c'est de trouver ce que t'aimes, puis de le faire. Je trouve que, les femmes, on s'en met beaucoup sur les épaules, puis on n'a pas de fun, parce qu'on est sérieuse, puis on doit être là.

Speaker 2:

Allô, allô. je te souhaite la bienvenue à un autre épisode du podcast Impacter le monde. J'ai une statistique vraiment intéressante pour toi En 1920, l'espérance de vie des femmes frôlait à peine le 60 ans. En 2011, on s'est approché du 80 ans. Ma question aujourd'hui, c'est entre les deux, 60 et 80,. où perdons-nous le plaisir d'être en vie? Où? à quel moment arrêtons-nous de nous engager envers nous-mêmes? Est-ce que c'est possible d'avoir plus de fun jusqu'à la fin des temps? On va en parler avec Nathalie Guertin, entraîneur. Nathalie, es-tu prête à impacter le monde? Oui, J'ai hâte de jouer avec toi. La prédicution était géniale parce que, toi, le fun fait partie de l'essence même de qui tu es.

Speaker 1:

Ah oui, c'est Oui. Puis, ça me fait plaisir juste de l'entendre, karine, ah oui.

Speaker 2:

De quelle façon as-tu remarqué que les femmes avaient de moins en moins de plaisir, particulièrement peut-être avec les changements hormonaux?

Speaker 1:

que ce soit 35 à 40, à 45 ou à 50 ans. Bien écoute, je ne suis pas spécialiste, mais je suis entraîneur. Donc, j'ai entraîné des femmes toute ma vie, ou plutôt depuis 30 ans que j'entraîne les femmes. Puis donc, j'ai beaucoup, beaucoup de conversations avec eux autres, beaucoup d'ouvertures avec eux autres. Puis, je trouve que les femmes, bien, on se met beaucoup de, on s'en met beaucoup sur les épaules, puis on n'a pas de fun parce qu'on est sérieuse, puis on doit être là, puis on doit tenir assis à ça, puis c'est ça.

Speaker 2:

Il n'y a pas de plaisir rapidement, parce qu'on est beaucoup dans une société de performance Et il faut avoir la shape parfaite, les muscles parfaits, avoir même les comparables avec d'autres. Ça fait en sorte qu'on se coupe complètement de nos besoins. De quelle façon peut-on recoller avec ce plaisir-là.

Speaker 1:

Bien, c'est certain que moi, je suis entraîneur. Fait que pour moi, ça passe par bouger, ça passe par le mouvement, donc, peu import, entraîneur, ça fait que pour moi, ça passe par bouger, ça passe par le mouvement, donc peu importe quel mouvement. Puis, surtout, moi, c'est 50 ans et plus. Je trouve qu'à partir de 50 ans, c'est encore plus important que jamais de bouger. Donc, que ce soit la marche, la course, l'entraînement, peu importe, c'est de trouver ce que tu aimes, puis de le faire.

Speaker 2:

On aime, puis de le faire. On a parlé de la statistique d'entrée de jeu qu'avant la moyenne d'âge des femmes, c'était à peu près 50-60. Puis, je me suis posé la question, réellement, puis on a eu cette discussion-là mais est-ce qu'on arrête de vivre encore à 50, même si on peut vivre jusqu'à 80?

Speaker 1:

Souvent. Oui, moi j'ai mon slogan que je dis vieillir, vivre longtemps, mais pas n'importe comment. Donc, oui, on vit plus longtemps, puis, c'est important de bouger Je reviens toujours à bouger Parce que pour moi, ça passe par là Puis avoir du fun en le faisant.

Speaker 2:

Bouger. Bouger, là, ça ne veut pas dire courir un marathon. Bouger, ça ne veut pas dire faire un triathlon. Bouger, ça peut aussi être simplement marcher. Qu'est-ce que tu proposes aux femmes qui nous écoutent en ce moment, qui ont peut-être utilisé déjà l'excuse de l'âge pour ne pas se mettre en mouvement? Qu'est-ce qu'on peut faire d'emblée?

Speaker 1:

Bien écoute, c'est certain que tu as dit le, puis ça, les listes sont longues. Puis, moi aussi, mes listes sont longues d'excuses. Fait que je comprends. Je comprends très bien que même si on veut, même si on le sait, on a des excuses. Puis c'est difficile. Puis, je pense que c'est un cercle vicieux, parce que moins que tu bouges, moins que tu veux bouger, plus ton corps est fatigué, puis plus c'est difficile.

Speaker 1:

Donc, moi, ce que je suggère, qu'est-ce que je pense, c'est de commencer avec un peu de discipline, La discipline, oh Pour ensuite se rendre vers la motivation. Oui, parce que la motivation, c'est pas magique, ça arrive pas toute seule, c'est quelque chose qu'on doit générer. Qu'on doit générer Donc, avec un peu de discipline, puis trouver ce qu'on aime ça, peu de discipline. Puis, trouver ce qu'on aime ça, c'est important aussi. Puis ça passe à travers la conscience. Je pense Donc de vraiment prendre le temps de ressentir comment on se sent quand on bouge. Donc, un peu de discipline, la conscience, comment je me sens quand je bouge, puis, c'est ça qui va être ta motivation avec le temps, parce que tu vas vouloir toujours regoûter à ça.

Speaker 2:

Toujours y goûter. Tu as dit une phrase importante Moins on bouge, plus on est fatigué, plus notre corps est fatigué et moins on a envie de bouger, puis plus on est dans une forme de paralysie. Je suis convaincue qu'il y a plein de gens qui nous écoutent en ce moment, qui vivent exactement ça La première chose à faire, qui est peut-être la plus difficile c'est d'ouvrir la porte puis de sortir dehors, absolument, mais ça fait toute une différence.

Speaker 1:

Oui, mais là, après, quand on trouve un peu de discipline pour aller bouger, pourquoi on arrête tout le temps, ou presque tout le temps? Pourquoi la majorité des gens? moi, pour avoir été entraîneur pendant 30 ans, je l'ai vu et moi aussi je l'ai vécu Pourquoi on se lâche en chemin, pourquoi C'est quoi qui fait que ces bienfaits-là qu'on ressentait, qui faisaient du bien, qui nous amenaient l'énergie et à s'aimer plus, être mieux dans notre corps, pourquoi l'énergie et à s'aimer plus, être mieux dans notre corps? Pourquoi on arrête? Moi, dans le fond, c'est là-dessus que je travaille dans mon coaching, c'est d'essayer de trouver avec les gens pourquoi ils se lâchent.

Speaker 2:

Est-ce que tu as une?

Speaker 1:

réponse. Je n'ai pas de réponse tout fait, mais je peux te dire que, souvent, tu vas peut-être trouver ça drôle, mais ça tourne souvent autour de passer les autres en premier. Parce qu'on veut se faire aimer. il y a toutes sortes de raisons, puis c'est à chacun de trouver. Puis, moi, mon but, c'est que les gens deviennent autonomes, qu'ils réussissent à bouger sans se faire prendre par la main, sans avoir un programme tout fait nécessairement. Des fois, on a besoin, mais bon, mais de vraiment bouger, parce qu'ils ont trouvé l'amour de soi. puis ils ont décidé de se choisir à tous les jours, de se choisir Premièrement parce qu'ils ont touché aux bienfaits, ils ont compris les bienfaits. ils ont touché aux bienfaits, ils ont compris les bienfaits, ils ont touché aux bienfaits, ils ont ressenti les bienfaits, puis ils aiment ça, puis ils en veulent d'autres.

Speaker 2:

Je serais étonnée, si vous nous écoutez en ce moment, si c'est possible, de venir nous rejoindre sur les réseaux sociaux et de nous expliquer, si jamais vous l'avez déjà vécu, pourquoi, pourquoi tu t'es lâchée. Je trouve que c'est une super question et peut-être une façon d'ajouter de la conscience sur ce on and off peut-être que vous faites parfois avec le mouvement Qu'est-ce qui fait que tu t'es lâchée? Qu'est-ce qui fait que je me suis lâchée? Est-ce qu'il y avait de la pression? Moi, si je regarde mon propre cheminement, c'est la pression de performance.

Speaker 1:

Absolument.

Speaker 2:

Puis, on dirait qu'avec la cinquantaine, la performance ça ne te tente plus. Puis, vu que la performance c'est plus là, tu te dis j'ai plus de raison de pousser, ou j'ai plus de raison de bouger Absolument.

Speaker 1:

Mais ce n'est pas ça. Ce n'est pas ça, parce qu'on est dans les tout ou rien, souvent que ce soit. Fait que là, lundi, je commence, là, c'est tout, c'est tout On est dans le tout.

Speaker 1:

Oui, on est dans le tout. Fait que là, je commence lundi, je vais faire tant de minutes, tant d'heures. On se met la barre haute, puis on fait un petit bout. En général, les gens vont faire un petit bout, puis ça, on est de l'anxiété de performance qui embarquent à un moment donné. Moi, mon but, c'est vraiment de faire diminuer le stress face à ton corps, au mouvement, à l'exercice. Ce n'est pas un stress, ça ne devrait pas être un stress, ça devrait être un plaisir.

Speaker 2:

Tu dis diminuer le stress face au mouvement et je me dis my, on est vraiment drillé au stress. Je suis stressée au travail. Je peux être stressée parce que je ne suis pas assez performante comme mère de famille, comme épouse, comme peu importe. Puis là, je vais aller faire du sport et je me rajoute un stress supplémentaire de performance.

Speaker 1:

Et je pense sincèrement que si tu as des pensées qui te rendent anxieuse face à ton sport, face à tes activités, c'est presque aussi pire que pas d'en faire. Oui, honnêtement, fait que l'idée, c'est de diminuer ce stress-là, mais trouver pourquoi tu vis ce stress-là, le trouver.

Speaker 2:

D'où l'importance d'ajouter de la conscience dans chacun de nos mouvements, absolument.

Speaker 1:

Puis la conscience, dans ce qu'on se dit, puis ce qu'on pense, puis ce qu'on se répète à tous les jours. Puis, qu'est-ce qui se passe quand on ne fait pas ce qu'on s'était dit qu'on ferait? il faut, puis il ne faut pas.

Speaker 2:

Je lâche puis toutes les restrictions qu'on se met, puis les obligations qu'on se met tu as parlé de la phase toute ou pas toute, où là on dit lundi, ça y est, je m'en vais au gym. Je vais au gym six fois cette semaine. 15 minutes de cardio, les poids, la totale. Je rajoute la méditation, peut-être un cours de danse en ligne ou un cours de Zumba. Habituellement, la phase toute, elle dure combien de temps?

Speaker 1:

Ça ne dure pas très longtemps, une semaine, deux semaines, trois semaines, quatre semaines. Oui, et tu sais que c'est une charge mentale hallucinante, épouvantable, quand on se dit il faut, il faut, il faut, il faut. Puis là, là-dessus, il y a la diète, puis là-dessus, puis là, tu embarques sur la balance. Ça n'a pas marché. Tu vas au gym, ça ne te tente pas, tu ne fais pas ce que tu as vraiment envie, parce que toi, tu as juste envie d'aller marcher. La charge mentale est tellement lourde que ça lâche. Tu ne peux pas tenir le coup, donc tu lâches, tu te lâches.

Speaker 2:

Tu ne lâches pas de le gym, tu te lâches, tu te lâches. C'est complètement différent. Même ça fait mal un peu en dedans. Oui, c'est vrai, c'est vrai que ça fait mal, ça fait mal en dedans quand tu le tournes comme ça. Est-ce que je lâche le gym ou je me lâche moi? Wow. Et là on a aussi. Il y a le gym, qui est souvent un go-to naturel. Comme je veux me remettre en forme, il faut que j'aille au gym. Mais il y a d'autres possibilités. T beaucoup le butinage de fleur en fleur pour voir qu'est-ce qui nous ferait du bien, absolument, qu'est-ce qui?

Speaker 1:

serait amusant. Pourquoi pas? Bien oui, absolument. Il y a des modes dans les entraînements, c'est vrai.

Speaker 1:

C'est correct aussi. On essaye ce qui est là, puis on fait toutes sortes d'affaires, mais il n'y a pas de mauvaise façon de bouger, tout compte. Donc, aller marcher, avoir des petits poids à la maison, suivre des cours sur Internet, peu importe Des groupes, tu sais, entre amis, c'est prouvé, que si t'as une communauté, une gang de chums, puis tu ris, puis tu jases, t'es beaucoup plus enclin à y aller parce que tu vas avoir du fun. Moi, je pense qu'il faut avoir du fun. Oui.

Speaker 2:

On on était déjà en train de parler, avant même d'avoir commencé à enregistrer cet épisode, de se dire qu'est-ce qu'on pourrait faire pour une journée. Alors, si jamais ça vous tente de venir à une journée qu'on va éventuellement organiser Nathalie peut-être, fanny et moi venez juste nous faire un petit commentaire comme oh, i'm in, je veux y aller, je veux aller m'amuser, je veux aller connecter, parce que le plaisir, plaisir, on va parler du happy age, beaucoup, le mouvement happy age, qui est pour moi être heureux à n'importe quel espace-temps de notre vie, que ce soit la cinquantaine, la soixantaine, et le mouvement, c'est un puissant antidépresseur et ça peut être une joie et non pas une obligation, absolument, absolument.

Speaker 1:

C'est ça, moi, mon but. Moi, je veux faire bouger beaucoup de monde. J'ai toujours fait bouger les gens, ça a toujours été ça mon travail. Qu'est-ce qui ressort le plus au niveau de ma clientèle, c'est qu'on a du fun. Pour moi, c'est important d'avoir du fun. Je pense que ça te fait rester, ça t'amène à continuer.

Speaker 2:

Si tu as du plaisir, puis le plaisir, tu l'as amené beaucoup auprès de tes clientes. Puis, j'ai une copine à moi qui a été justement ta cliente, puis c'est ça qu'elle disait c'est le fun. C'est le fun parce que tu ne vas pas dans le pushy-pushy. Non, c'est quoi, peut-être ta stratégie ou ta méthode, ou ton énergie que tu amè aux gens pour qu'ils n'aient pas vraiment l'impression, finalement, qu'ils étaient en train de s'entraîner.

Speaker 1:

Oui, écoute, je pense que je suis assez équilibrée, parce que je suis quand même quelqu'un qui travaille fort quand elle s'entraîne. donc, j'enseigne un peu comme ça, mais en même temps, je veux que les personnes deviennent autonomes. C'est ça mon but du programme, puis mon but dans mon entraînement, que la personne devienne autonome. Tu sais, surtout à 50 ans et plus, on a vu des affaires, on a fait des affaires. Moi, je sais en tout cas que de me faire crier après et me faire dire go, go, go, ça ne nous tente plus, ça me tente, moins À 20 ans ça marchait.

Speaker 2:

À 30 ans ça marchait À 40 ans, un peu moins À À 30 ans. Ça marchait Absolument À 40 ans, un peu moins, Un peu moins À 50 ans.

Speaker 1:

C'est Pas à tout, C'est une bonne raison que je ne me pointerais pas, sachant que tu vas me crier après dans le cours. Bon, il y en a qui disent qu'ils en ont encore besoin. Je pense que ça risque d'être du court terme, en tout cas si c'est ça ta source de motivation.

Speaker 2:

Oui, de faire en sorte qu'il y a l'extérieur, mais il y a cette puissance-là intérieure qu'on peut aller chercher.

Speaker 1:

Oui.

Speaker 2:

Tu amènes les gens même que tu me disais, quand tu enseignais le spinning, c'était dans le noir. Oui, Avec la musique de méditation. Oui, Un cours de spinning où on avait mal aux cuisses, puis on suait notre vie Absolument Avec la douceur, oui, donc d'aller chercher justement à l'intérieur cette force-là, ton.

Speaker 1:

Pourquoi? Pourquoi je suis ici sur un vélo, pourquoi je suis là dans une piste, puis je cours, c'est quoi mon pourquoi? C'est pour ça que moi, je trouve ça important, les bienfaits, de les connaître, de les comprendre, puis de les ressentir, parce que pour moi, les bienfaits, c'est une grande source de motivation, donc d'en avoir conscience, puis de les ressentir, puis là, ça devient ton pourquoi, ça devient une partie de ton. Pourquoi? Pourquoi j'y vais? Parce que j'ai plus d'énergie, pourquoi j'y vais? Parce que je dors mieux, pourquoi j'y vais Parce que j'ai du fun, parce que je suis plus forte, parce que je peux, peu importe, il y en a beaucoup. Puis, il y a un côté beaucoup plus scientifique aussi qu'on peut sortir des statistiques, puis des affaires. C'est incroyable, les études le prouvent, c'est des 200 % moins de chances d'avoir telle ou telle maladie. C'est rendu, les études l'ont prouvé. Oui.

Speaker 2:

Quand on parle de bienfaits j'aime ça que tu aies parlé de Je dors mieux, je me sens mieux, j'ai plus d'énergie. On n'est pas dans j'ai perdu 30 livres. Non, on n'est pas dans. 10 façons de perdre son gras de ventre Du tout. On de perdre son gras de ventre Du tout. On n'est pas. Comment découper vos muscles encore plus. On n'est pas là.

Speaker 1:

On n'est pas là, parce que ça, je pense que ça vient Avec, avec, c'est un bonus, c'est un bonus, mais c'est du pareil quand même. On est dans la santé, on est dans le bien-être, On est dans le plaisir, on est C'est-tu du fun, moi, puis dans la clarté d'esprit, c'est-tu le fun, ça? Mais non. Puis, l'entraînement, ça aide énormément à ça.

Speaker 2:

Puis, on est aussi dans la dédramatisation. À ce que je vois dans cette jeune cinquantaine que j'honore 100 %, je dédramatise, grâce au mouvement, ce qui se passe dans mon corps, hum, le changement de tonicité de la peau, le changement de force musculaire. Des fois, au lieu de prendre des pois, je vais prendre des pois chiches parce que c'est moins lourd. Il y a quelque chose aussi. Je trouve que ça nous permet d'apprécier notre corps aussi, au lieu d'être en jugement.

Speaker 2:

Absolument Est-ce que tu as vu la différence aussi chez toi et tes clientes, que le mouvement fait en sorte qu'on est peut-être plus en paix là où on est rendu.

Speaker 1:

Absolument, surtout qu'avec un mouvement où tu rentres à l'intérieur, parce qu'on sait que mieux tu te sens de l'intérieur, moins tu cherches à être parfaite physiquement. Moi, je me souviens, quand j'ai commencé à enseigner le pilates, il s'est passé quelque chose. Quand j'ai commencé mes formations de pilates et pratiqué le pilates, il s'est passé quelque chose de drôle. Je me regardais moins dans le miroir. Puis je pense que, sincèrement, c'est parce que j'étais bien dans mon corps. J'étais bien parce que le pilates, moi j'enseigne le pilates parce que c'est une des disciplines que je trouve qui est la plus extraordinaire. Bien sûr, ça corrige ta posture, donc ça t'amène à te sentir plus légère et à te sentir mieux, donc de se sentir mieux dans mon corps de l'intérieur. J'étais moins portée à regarder mon corps. C'est spécial, wow, c'est spécial, donc, tout part de l'intérieur.

Speaker 2:

Cette phrase-là, je la trouve tellement incroyable. C'est comme si on commençait à sacrer patience.

Speaker 1:

À sacrer patience. On est poli ici, Oui.

Speaker 2:

Oui.

Speaker 1:

Moi, je pense que le corps humain est fait pour bouger. On est fait pour bouger. Le corps humain, ça ne fait pas beaucoup d'années qu'on est assis à des bureaux non plus. Le corps humain, ça ne fait pas beaucoup d'années qu'on est assis à des bureaux non plus. Le corps humain est fait pour bouger. C'est sûr que si on ne bouge pas beaucoup, le corps change plus qu'il devrait. Oui, la ligne MS entre s'accepter comme on est, puis, c'est important. Mais en même temps, le corps humain est fait pour bouger. On n'est pas obligé d'accélérer les changements qu'on aime moins dans notre corps, ça fait-tu du sens ce que je dis, ça fait tellement de sens.

Speaker 2:

Puis, on est fait pour bouger. Puis, je fais juste penser à ce qui s'est passé depuis la pandémie, où on a en plus beaucoup été à la maison. Donc, je me lève, je ne sors même pas, je n'enlève même pas mon pitch, je n'ai même pas besoin de marcher jusqu'à ma voiture Rendue au travail, je ne stationne pas mon véhicule. Des fois, je regarde J'en parlais avec ma belle-fille pas plus tard qu'hier. J'ai des journées où je fais 425 pas dans ma journée. Ce n'est pas beaucoup. Je suis assise, je vais de mon lit à la salle de bain, au bureau, je descends les escaliers. J'ai peut-être monté deux fois 14 marches. C'est tout Le corps, il n'est pas fait pour ça Rajoute en plus le mouvement de la tête par en bas, parce qu'on regarde le téléphone, parce qu'on regarde l'ordinateur. On est vraiment en train d' ankyloser notre corps.

Speaker 1:

Oui. Donc c'est important, pas juste pour la peau, Pas juste pour avoir des beaux muscles, mais encore une fois, ça va venir avec, ça vient avec, c'est un bonus, c'est un bonus.

Speaker 2:

Puis, si on reparle aussi à ce groupe d'âge, qui est peut-être une grande majorité des gens qui nous écoutent en ce moment, c'est-à-dire de la masse musculaire, c'est normal. Le type de peau, c'est normal de ci, c'est normal de ça. Mais si on rajoute du mouvement, on vient de transformer peut-être les stats Absolument.

Speaker 1:

Puis, les études le disent de plus en plus La masse musculaire, c'est un remède pour beaucoup, beaucoup de choses. La masse musculaire pour le cerveau? oui, pour la clarté d'esprit.

Speaker 2:

Ah oui, même pour le cerveau, pour la clarté d'esprit.

Speaker 1:

Oui, pour diminuer les chances de maladies. Plusieurs maladies Risques de fractures, aussi Les fractures, protéger les articulations.

Speaker 2:

Oui, À Okinawa, ils ont noté qu'il y avait bien peu de gens âgés qui se brisaient les hanches parce qu'ils sont tellement assis souvent par terre ou sur un tatami. Donc, ils sont perpétuellement, au moins 15, 20 fois ou 30 fois par jour, ou en tout cas peut-être que je me trompe sur la stat en train d'être assis, surlevé, assis, surlevé, assis. Ça fait que ça fait des squats.

Speaker 1:

Donc il y a une force du corps, puis une mobilité de hanches. Pour vrai, le mouvement, bouger, c'est fascinant. C'est fascinant comment on se sent mieux quand on bouge tous les jours.

Speaker 2:

Tu as choisi de créer un programme justement pour inciter notamment les femmes, ou les humains, à bouger davantage, à connecter. Et j'adore le titre, c'est Bel-être. Et là, il y a trois points importants avec lesquels j'ai envie qu'on creuse davantage pour donner encore plus d'outils ou ajouter vraiment de la conscience aux gens qui nous écoutent. Donc, bel être, b-e-l. Puis le, l particulièrement, j'ai hâte de t'entendre parce que ça, ça m'intrigue vraiment.

Speaker 1:

B pour bienfait Exact, les bienfaits, comme j'ai dit, tantôt les bienfaits au niveau scientifique, puis les bienfaits au niveau que toi tu as conscience, donc à court terme, moyen terme, long terme. Donc, de prendre le temps de prendre conscience des bienfaits que ça t'apporte Et de prendre conscience des bienfaits que ça va t'apporter à long terme, que c'est pas quelque chose que tu ressens présentement, mais que tu sais que dans 10 ans ou dans 20 ans, quand tu vas avoir 80, tu vas te lever facilement de ton sofa, de ta chaise, de ta toilette, puis plein, plein de tâches quotidiennes que je te dis, karine, il y a beaucoup de personnes qui ne peuvent plus faire. Puis, on n'est pas trop au courant de ça parce que les gens n'en parlent pas.

Speaker 2:

Beaucoup de tâches que les gens leurs tâches, que les gens leurs tâches quotidiennes à la maison, qui?

Speaker 1:

ont de la difficulté à faire.

Speaker 2:

Ça peut être vider les poubelles, c'est trop difficile.

Speaker 1:

Ça pourrait être même de prendre des petits-enfants éventuellement De jouer avec les enfants, de se tourner pour faire des rotations, pour faire ce qu'on a à faire. soulever les bras.

Speaker 2:

Niveau des escaliers il y a beaucoup de choses que les gens ont de la difficulté.

Speaker 1:

Donc, si vous ne bougez pas à 50, ou à 40, quelle peut être votre vie à 60, 70, 80? Oui, ça fait partie aussi des bienfaits. Moi, c'est de la conscience. C'est de prendre conscience de ce que tu ressens maintenant quand tu bouges à tous les jours, et ce que tu vas vivre dans 10 ans si tu bouges à tous les jours, puis ce que tu vas vivre dans 10 ans si tu bouges à tous les jours, on bâtit notre vie comme ça, fred et moi, en se disant OK, on a 50, puis c'est facile de tomber dans j'ai pas le temps, je suis fatiguée, on travaille beaucoup, on ira pas au gym.

Speaker 2:

Non, chacun, tu sais, belly fit du kettlebell, des cours d'aérobie. J kettlebell, des cours d'aérobie, J'en ai fait beaucoup, moi, à la maison, en haut, fred allait au gym. Là, on est allés au gym ensemble. Qu'est-ce qui va faire en sorte qu'on va avoir envie de bouger? On veut faire des beaux vieux, nous, ça fait partie de notre discussion. On veut faire des beaux, des beaux yeux, ou des beaux vieux. Je ne sais pas si je me suis tromp, les deux clairement. Donc, b pour bienfait. Est-ce que je suis en mesure de noter à quel point ça m'a fait du bien aller marcher, jardiner, bouger, danser, peu importe. Est-ce que je suis prête à noter? Puis, vraiment, pour avoir c'est ça, c'est un reminder, c'est un souvenir.

Speaker 1:

On a tendance à oublier assez rapidement que ça fait, ils le sentent, ils l'ont senti le bienfait de bouger. Mais là, dans le programme, on va porter une attention particulière, prendre note, puis vraiment mettre de l'attention sur comment on sent les bienfaits, puis mettre l'importance que ça a, parce que c'est très important Et là, si vous avez votre petite excuse que j'ai entendue tellement souvent Oui, mais moi, j'aimais pas ça, le gym, quand j'étais petite, j'aimais pas ça, les cours d'éducation physique.

Speaker 2:

Là, on va relâcher notre petite histoire, qu'on trimballe en disant que voilà 40 ans, mesdames en passant, voilà, sport, ça fait que je n'en ai jamais fait. C'est le temps peut-être de renouer et de redécouvrir ce qui nous fait du bien. D'ailleurs, tu as fait un club de marche. Je ne l'appellerai pas club de marche, mais tu as initié une marche pour inviter les gens à renouer avec le mouvement aussi.

Speaker 1:

Moi j'aime marcher, j'aime bouger, puis j'aime jaser, qui est tellement simple, facile. Donc, oui, j'essaie d'inviter les gens à venir m'en joindre pour marcher. On va avoir des endroits différents, on va ajouter du pilates quand il va faire assez beau dehors, puis goûter au pilates aussi, parce que le pilates, pour moi, c'est quelque chose de magique au niveau de la posture, la correction que ça fait au niveau de la posture.

Speaker 2:

C'est vrai. Donc, mes petites épaules qui ont tendance à rentrer par en dedans. Tu pourrais me donner un petit sujet Absolument. J'ai posé la question cette semaine. J'ai comme là il va falloir que je m'en occupe, parce que si ça continue, je vais vraiment être très, très courbée.

Speaker 1:

Mais c'est comme naturel pour moi d'être vers l'avant, c que ce soit la voiture, le téléphone, cuisiner, on est toujours vers l'avant, les bras vers l'avant. Donc, là, on a besoin de faire des contre-postures. puis on en fait beaucoup en pilates, donc les extensions thoraciques, se grandir, créer de l'espace entre nos vertèbres, ouvrir les épaules.

Speaker 2:

Tout en étant détendu. Tout en étant détendu, je n'ai pas l'impression que ça va être tout de suite. Ok, belle les bienfaits, puis on va prendre un rendez-vous. Je vais prendre un rendez-vous avec toi, merveilleux, pour au moins que je puisse expérimenter la posture. Puis, on verra peut-être même un avant-après la première émission versus la cinquantième émission. Peut-être que je vais être droite comme un i, ça serait super le fun. Le E, c'est pour l'émancipation. Oui, c'est beau.

Speaker 1:

C'est ça qu'on veut, C'est ça s'émanciper à travers le mouvement.

Speaker 2:

Qu'est-ce? que ça veut dire pour toi l'émancipation.

Speaker 1:

Pourquoi j'ai choisi ce mot-là? Parce que de s'émanciper, c'est d'être, et tu ne peux pas te dire oui quand toi, tu veux penser à toi, quand c'est ton moment d'aller faire ton activité de choix.

Speaker 2:

Tu en allais dire entraînement, et tu as même trainé.

Speaker 1:

Parce que, peu importe le mouvement de bouger, c'est ton moment d'aller bouger. Les trois excuses qui ressortent, que qui ont toujours ressorti avec ma clientèle, c'est le manque de temps, le manque de motivation, puis le manque d'argent. Puis ça, c'est des excuses qui sont réelles. Je peux comprendre que les gens les vivent pour vrai, sauf que dans cette partie-là, émanciper, on va les regarder, on va regarder comment peux-tu t'émanciper, puis ça part un peu avec la discipline, comme je disais tantôt. Puis, après ça, on va regarder c'est quoi tes pensées Sont où tes pensées irréalistes pour les faux et les faux pas, parce que du temps, si on trouve un peu de discipline qui change en motivation, on en trouve du temps, on en a tous. Un peu de temps, on en a tous.

Speaker 2:

Oui.

Speaker 1:

Puis de l'argent, on n'a pas besoin non plus pour bouger dehors. Je pense que c'est le côté où est-ce que là, tu dois te regarder dans le miroir, te dire les vraies affaires. puis as-tu envie de t'émanciper, as-tu envie de? On a tous le goût de se sentir libre, mais on s'att à des affaires des fois qui ne sont pas nécessaires, exact, puis émanciper.

Speaker 2:

C'est cette liberté-là, tu l'as tellement bien dit, dans dire oui, dire non, se choisir, puis, comme on disait aussi au début des entraînements, quand on commence, puis on est en feu, puis on est dans le tout, puis après, on se lâche nous-mêmes. Si on cessait de se lâcher nous-mêmes qu'est-ce que ça créerait dans notre vie?

Speaker 1:

Une relation complètement différente Absolument, parce que tu sais que ça peut être juste 15-20 minutes dans une journée. 15 minutes dans une journée, on est capable de trouver ça, tout le monde peut trouver ça.

Speaker 2:

Tu peux même écouter puis on l'a toujours dit mais ton podcast préféré, ton émission de télé, tu peux être en mouvement quand même.

Speaker 1:

Mais c'est pour ça que j'essaie de faire quelque chose de différent, parce qu'on l'a toujours dit puis, ça ne marche pas. pareil, il faut que ça vienne de l'intérieur. Il ne faut pas juste trouver ce qu'est-ce qui nous bloque à se choisir pour ce petit 15 minutes-là. Et si c'était tout simplement parce qu'on n'a pas le goût aujourd'hui, ben, trouve-la la discipline. Prends la discipline qu'il faut, parce que tu t'aimes assez, parce que tu as compris les bienfaits, parce que tu veux à tout prix, dans 10, 15, 20 ans, bouger encore. C'est comme un tout que je veux amener pour que les gens soient autonomes. J'aime la projection dans le futur.

Speaker 2:

Oui, j'aime ça. Ce n'est pas négatif, c'est juste. Attends là, j'ai vu une étude à un moment donné, je pense que c'est sur le site web de Oprah, c'était vraiment intéressant. Qu'est-ce être capable de soulever à 50 pour être capable de lever mon petit-fils, par exemple, ou ma petite-fille dans 20 ans d'ici? Donc, si je veux marcher à un rythme lent, à 80, à combien dois-je être capable de marcher en ce moment? C'est une stat, c'est un chiffre. Moment, c'est une stat, c'est un chiffre. Mais c'est juste pour dire si t'es pas capable en ce moment de soutenir une marche rapide, par exemple sur un ou deux kilomètres, il y a des chances que marcher beaucoup à 80, ça soit pas l'idéal.

Speaker 1:

Puis, ça sera pas facile. Moi, ça me fascine quand je vois les personnes de 70, 80, qui jouent au tennis, qui font du jogging, qui lèvent des poids parce que c'est ça qu'ils aiment. C'est pas une obligation d'aller dans les gyms soulever des poids, mais il y en a qui aiment ça. Moi, j'aime ça. C'est beau, je trouve ça tellement beau de voir ça. C'est vraiment motivant, c'est hyper inspirant.

Speaker 2:

Mais qu'est-ce qui est incroyable? puis, je trouve qu'est-ce qui est incroyable? puis, je trouve qu'il y a un glitch, vous allez me permettre l'expression, c'est qu'on est admiratif devant les gens de 70 ans, 80 ans, qui sont encore en shape, qui sont musclés. Il y en a qui défilent, littéralement, ils sont hyper cut. J'en suis une sur Instagram. Elle s'appelle Joan. C'est sa petite fille, je pense, qui qui a commencé à l'entraîner, musclé les triceps. Elle a la peau qui plait, c'est pareil, mais son corps, il est rempli de muscles. Donc, on est vraiment admiratif devant ces gens-là. Puis, en même temps, de nos beaux 50 ans. Ah bien là, je ne suis pas très en forme, oui, mais moi, je ne serais pas capable de faire ça. Et si on était aussi capable.

Speaker 1:

Combien. Je pense que ça revient encore une fois à trouver ce que t'aimes, parce que ça tient pas la route. Si t'aimes pas ça, il faut. Je pense que tu dois aimer ce que tu fais. Donc, on part, on trouve ce qu'on aime, avec des amis, une communauté sinon de le faire dans la légèreté.

Speaker 2:

Je suis allée au gym récemment avec Fred. Ça faisait deux ans que j'étais pas allée parce que je ne voulais plus rien savoir. Je pense que je m'étais mis aussi en tête, comme la performance. Mais là je suis allée. Des fois c'était des pas de cinq livres, des fois c'était des pas de dix livres. Il y avait une affaire que j'avais encore beaucoup de force. Ce qu'on aime, c'est est-ce que mes pensées peuvent changer en lien avec ce que je suis en train de faire? Absolument.

Speaker 1:

Peux-tu arrêter de me juger? Peux-tu arrêter de me juger, c'est certain, moi, je suis là-dedans. La ligne est mince entre prendre un engagement envers toi-même, prendre l'engagement de bouger tous les jours, exemple, de faire ce que t'aimes, et de te taper ça à la tête parce que tu ne l'as pas fait ou parce que ce n'est pas assez, ou parce que ce n'est pas la bonne affaire. La ligne est mince. C'est pour ça, moi, je veux amener les gens à prendre conscience de ça, puis qu'ils trouvent, puis qu'ils réussissent à s'émanciper, puis à être bien, puis, je suis certaine et convaincue que si on agit de cette façon-là, on va tenir, on va se tenir, on va continuer.

Speaker 2:

Il y a deux femmes que j'adore qui sont des clientes à moi, joanne et Lise. Je vais les nommer. Elles ont fait un défi. Elles ont passé la soixantaine. Je ne sais pas quel âge elles avaient quand elles ont fait leur défi. Je pense que c'était 1000 jours de danse consécutive. Donc, elles se sont juste mis une toune ou deux, faisaient de la danse. Ils ont du plaisir ensemble entre soeurs. Quelle inspiration. Ils ne sont pas au gym, ils ne se sont pas acheté un équipement fancy, ils n'ont pas le petit Léotard qui fitte avec les bobettes et le Non, on va mettre de la musique, on va bouger pendant mes jours consécutifs.

Speaker 1:

C'est la constance, c'est juste la constance. Si tu as du fun, ça va être là la constance.

Speaker 2:

Si tu as du plaisir, Donc, on a fait les bienfaits, on a fait l'émancipation J'aime tellement ce mot-là Et elle, et ça, j'ai hâte de t'entmoi comment la loi de l'attraction s'immisce dans la conversation de bouger, d'avoir du plaisir et du mouvement.

Speaker 1:

Bien, moi, je ne pouvais pas passer à côté de ça, parce que je crois fortement, je sais, je crois qu'on est énergie, puis vibration, puis ce qu'on pense, ce qu'on dit, comment on se comporte, comment on se regarde dans le miroir, bien'est ce qu'on va s'attirer et c'est ce qu'on va vivre. Ça va être la situation. Combien d'entre nous qui se regardent dans le miroir et qui ne se trouvent pas assez belles, pas assez ci, pas assez, ça, c'est presque tout, nous autres. Donc, ça, c'est un gros changement à faire, je pense, si tu veux être bien et avoir du fun pour vrai, c'est un gros changement à faire. Si la perte de poids, par exemple, fait partie de tes objectifs, je pense que ça, c'est nécessaire aussi D'être bien maintenant pour être encore mieux plus tard, si tu veux perdre du poids ou être plus en forme.

Speaker 2:

Comment on ajoute la loi de l'attraction. Justement, dans ce quotidien-là où on a parlé du mouvement, on veut noter de plus en plus nos bienfaits, avoir beaucoup plus de conscience. Donc, il y a la loi de l'attraction. Ça se traduit comment, pour les gens qui nous écoutent, on parle de la loi de l'attraction. Mais est-ce que ça veut dire de me parler à voix haute, dire des mantras, des affirmations, ou être consciente de ce que je me dis, de quelle façon on pourrait déjà modifier quelque chose pour moi dans mon univers maintenant et aussi dans l'univers des gens qui nous écoutent?

Speaker 1:

C'est de prendre conscience.

Speaker 2:

Qu'est-ce que je me?

Speaker 1:

dis Qu'est-ce que je me dis, qu'est-ce que je dis aux autres Comment je me regarde dans le miroir? Parce que si tu te regardes et tu n'aimes pas ce que tu vois, c'est sûr que là, tu vibres pas, je suis bien. Puis je vais m'attirer du beau. C'est pas ça que tu vibres, c'est ça. Ça part par là, ça commence comme ça. Moi, j'essaie de ne pas compliquer ça. C'est tellement simple pour moi, les lois de l'attraction, c'est simple, c'est vraiment de prendre conscience de ce qu'on dit, fait que moi, oui, des affirmations, commencer par en prendre conscience, de ce qu'on dit aux autres, ce qu'on se dit, ce qu'on pense, puis changer ça tranquillement. Encore là, c'est pas en se tapant sur la tête, c'est pas en se mettant de la pression. Il n'y en a pas de pression, pas de pression, nulle part. Il y a assez de pression dans la vie. Moi, je pense que bouger, c'est quelque chose qui est important, mais pas en se mettant de la pression, en ayant du fun, puis en se regardant aller, puis en prenant conscience de comment on va faire pour ne pas se lâcher.

Speaker 1:

Qu'est-ce qui fait, dans le fond, moi, ces choses-là, mon programme Bel-être, les bienfaits s'émanciper, puis les lois de l'attraction, c'est des choses que, moi, j'utilise depuis longtemps qui fait que ça marche. Je continue, je bouge, et même si je suis entraîneur et même si j'aime bouger moi aussi, ça n'a pas toujours été facile. Puis, moi aussi, je me suis lâchée, souvent, pour toutes sortes de raisons, fait que c'est un peu ma façon à moi, que j'essaie d'amener pour aider les autres. Donc les affirmations, prendre conscience de ce qu'on se dit, puis changer sa façon de se voir, puis de se décrire, puis de Fait que je fais faire des petits travaux, là aux personnes qui écrivent, en se regardant dans le miroir, là, trouver des belles choses, puis Pas juste belles dans le miroir. Quand on a nos deux jambes qui sont assez solides pour nous amener à prendre des marches, ça vaut la peine de Déshonorer, déshonorer, déshonorer, déshonorer.

Speaker 2:

Déshonorer, déshonorer, déshonorer, déshonorer, déshonorer, déshonorer, puis de les crémer, puis de leur dire comme C'est Encore là. Puis, je me rappelle d'avoir vu une conférence, de Pierre Lavoie je pense, qui disait que l'âge moyen, par exemple, on est rendu à 80, quelques, mais l'âge actif, je pense qu'on frôle même pas le 70 ans, ça veut dire qu'à partir de 68 ans ou quelque chose, on tombe de plus en plus malade, on est moins actif, on voyage moins, on bouge moins. Ça veut dire que les 10, 12 dernières années de notre vie ne sont pas pleines de vitalité. C'est ça qu'on veut renverser avec la discussion qu'on a en ce moment, absolument, et ça passe par le mouvement.

Speaker 1:

Pour moi ça passe par le mouvement, Pour moi ça passe par bouger Et avoir du fun. Oui, Pas bouger puis se juger, puis se sentir coupable, La culpabilité. On veut enlever ça complètement. On veut enlever ça Culpabilité, Oui, Bouger puis avoir du fun. Moi je pense que les bienfaits vont suivre, Tout va suivre.

Speaker 2:

Le reste, c'est ça, c'est du bonus. Oui, la cuisse sera peut-être découpée, peut-être que le petit cèpe va être un petit peu de tête, peut-être que l'épaule Peut-être. Mais le smile, le sourire, la luminosité dans les yeux, la peau, le sourire, la posture, c'est ça qu'on veut aller chercher Exactement.

Speaker 1:

Puis, tu sais, je comprends qu'il y a beaucoup d'aspect pire dans la vie pour amener le bonheur, mais ma croyance à moi, c'est que ça commence par bouger.

Speaker 2:

Alors, si jamais on veut te retrouver et vous avez envie de jouer avec Nathalie, de voir ce qu'elle offre, de plonger dans Belle-Être, tous les détails sont dans la description de ce podcast, de sorte que vous allez peut-être avoir envie de vous tenir. pour vous, il y a se tenir droite, mais c'est se tenir pour vous.

Speaker 1:

Mais tu sais, le se tenir droite, c'est parce qu'on se sent mieux, c'est parce qu'on a moins de douleur, c'est parce qu'on se, c'est parce que juste être debout, c'est plus facile dans ton corps. C'est beaucoup ça. Le se tenir droite, pour moi, t'as plus, t'as fière allure, mais l'idée, c'est plus de te sentir mieux.

Speaker 2:

Nathalie merci infiniment d'être venue impacter mon univers. J'espère qu'on va avoir la joie d'impacter le monde ensemble à travers des journées qu'on bouge, on s'aime, on se parle, on se tient pour nous et on ne se lâche plus jamais. Merci beaucoup, nathalie, merci Karine, merci à vous. J'espère qu'on se retrouve tout bientôt. Si vous avez des questions en lien avec l'épisode d'aujourd'hui, c'est possible dans les commentaires. Que vous soyez sur Apple Podcast, sur Google Podcast, peu importe l'endroit Spotify, sur YouTube, laissez-moi vos questions, je vais aller les chercher et, qui sait, on fera peut-être un épisode supplémentaire sur le mouvement, le plaisir, la joie et l'amour de soi. Merci beaucoup d'avoir été là. Merci encore, nathalie, merci.

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