Impacter le monde avec Karine Champagne

35. S'aligner à ce qui nous fait vibrer avec Andrea Verrecchia

May 03, 2024 Karine Champagne Season 1 Episode 35
35. S'aligner à ce qui nous fait vibrer avec Andrea Verrecchia
Impacter le monde avec Karine Champagne
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Impacter le monde avec Karine Champagne
35. S'aligner à ce qui nous fait vibrer avec Andrea Verrecchia
May 03, 2024 Season 1 Episode 35
Karine Champagne

Tu peux directement me texter tes commentaires!

Il y a des ces entrevues où tu sais que tu ne seras plus la même entre le début et la fin de l'échange.

C'est ce qui s'est passé avec Andrea Verrachia (la lumière du tarot sur Instagram)

Laisse-toi emporter, tout comme moi par cette conversation rafraichissante sur les énergies, les guides et les ressentis vec Andrea une énergiti-sienne extraordinaire.

Tu verras de quelle façon elle communique aux guides et comment elle utilise sa joie pour vivre ses expériences avec toutes les palettes de couleur!

Un épisode bonbon!

Pour découvrir encore plus Andrea c'est ici

https://www.instagram.com/lalumieredutarot

et sur YouTube  c'est ici






Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
www.karinechampagne.ca/impact

Pour explorer l'univers de la question:
www.karinechampagne.ca 

Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

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Speaker 1:

et exprime les choses si t'en as envie. Si t'en as pas envie, les exprime pas. Mais tu vois, ce truc de performance, tout le temps, à devoir être forte, devoir être courageuse, j'ai plus envie d'être courageuse, j'ai juste envie de vivre ma vie. Tu vois, wow, c'était. Mais lâche-toi la grappe, mais fous-toi la paix. T'as rien à faire là, t'as rien à être et t'as rien à avoir non plus. En fait, t'as tout, t'as rien, on s'en fiche. Tu es ou tu es pas, on s'en fout. Mais qu'est-ce que c'est qu t'es là? Tu vois, juste, là.

Speaker 2:

Allô, allô, je te souhaite la bienvenue à cet autre épisode d'Impacter le monde. Je vais t'avouer quelque chose, candidement, avant même de commencer. J'ai beau avoir fait à peu près une trentaine d'épisodes jusqu'à présent, c'est la première fois que je suis aussi excitée, stressée, énervée. C'est comme si j'avais la perception que la Karine Champagne d'avant l'épisode et celle d'après l'épisode va être complètement différente. Le sujet aujourd'hui. Et si on s'alignait complètement avec ce qu'on a envie de partager? Et si on s'alignait complètement avec ce qu'on a envie de partager, et si on s'alignait complètement à ce qui nous fait vibrer, de quelle façon serait notre vie à partir de maintenant? Andrea Veracchia, es-tu prête à impacter le monde? On y va ensemble. On y va ensemble. Ton titre, c'est énergéticienne, exactement Et juste avant. J'aimerais que tu nous expliques comment tu as reçu ce titre-là. Et il y a un petit jeu de mots.

Speaker 1:

Exact, en fait, c'est un mot qui m'est venu, mais qui ne me parlait pas beaucoup, pour être tout à fait honnête. Et j'ai demandé Tu sais, un peu comme à l'école, quand tu lèves le doigt Un peu? Et j'ai demandé tu sais, un peu comme à l'école, quand tu lèves le doigt un peu, pareil? Écoutez, vous êtes gentils, mais ça ne me parle pas. Je ne m'y réfère pas. Il y a un truc comme ça qui me parle moins.

Speaker 2:

Et là, c'est au guide qu'on parle Exactement.

Speaker 1:

Au guide à l'univers, vraiment à qui on veut. Et je me suis dit, en fait, j'ai eu le message de écoute, si ça te parle pas en un mot, mets juste un trait d'union au milieu et sépare le mot en deux et fais des énergies les tiennes. Et je me suis, C'est vraiment quelque chose qui m'a parlé. et ça enlève aussi, tu vois, tout le processus de l'énergie et tous les trucs un peu lourds autour de ça, Et juste, fais des énergies les tiennes et joue avec. tu vois.

Speaker 2:

Et, en fait, on pourrait se rendre compte qu'on est tous énergéticiennes.

Speaker 1:

Mais on l'est tous. On l'est tous Parce que tu sais, moi, les énergies, je les vois vraiment comme l'air que tu respires. En fait, on a tous la capacité de sonder des énergies quand tu rentres avec quelqu'un, mais c'est pas souvent qu'on s'écoute quand même, tu vois. Mais en fait, les énergies, elles font partie de la vie.

Speaker 2:

Et comment on peut se connecter encore plus à ces énergies-là. Parce qu'il y a bien des gens qui sont convaincus comme OK, toi t'es énergéticienne, une autre va être peut-être médium, l'autre est clairvoyante. Mais comment je fais pour m'approprier toutes ces énergies-là? C'est ce dont on parle aujourd'hui, c'est s'approprier sa vérité, c'est ça.

Speaker 1:

Mais en fait, je pense qu'il n'y a pas à le faire. Tu vois, c'est juste une question de ressenti, de perception et de s'écouter et de confiance en soi, et aussi arrêter de se dire il faut que je ressens, c'est bon, en fait, ce que je ressens, je le ressens, et à partir du moment où je le ressens, c'est ma vérité. Alors, c'est peut-être pas la tienne ou celle du voisin, mais c'est ma vérité. Et si je ressens que l'énergie, là, elle me convient pas ou qu'elle me convient, qu'elle juste, je pense que c'est un processus aussi de confiance en soi, de s'accepter aussi comme on est, de s'autoriser aussi à ressentir et à être ce qu'on est et juste avancer comme ça S'autoriserà.

Speaker 2:

Être là, c'est presque devenir nue au sens figuré. C'est relâcher vraiment toutes les étiquettes, tout ce qu'on pense qu'on doit faire, toutes les preuves sociales qu'on doit donner À quel point? oh, il faut que je sois intéressante, andréa est là, il faut que je sois bonne ou que tu pourrais me dire oh, mon Dieu, je suis avec Karine, on enregistre un podcast. il faut que je sois exceptionnelle. Là, c'est vraiment ma joie.

Speaker 1:

tu vois, est-ce que là, tout de suite, maintenant, assise sur cette chaise, je suis en joie, je le ressens. il y a un peu, peut-être, de stress, il y a un peu d'angoisse, pourquoi pas? Mais est-ce que t'es bien? Bah, ouais, Ouais. Alors, va là-dedans et accepte toutes les palettes de couleurs de cette expérience que tu vis, mais n'essaye pas de te dire non, non, je suis en stress. Il ne faut surtout pas que ça se voit. Je suis en stress, tu es en stress, ce n'est pas très grave.

Speaker 2:

Tu es en stress, je suis en stress.

Speaker 1:

En fait, tu te rends compte que l'inconnu, ça fait partie juste de la vie Et à partir du moment où tu arrêtes de lutter contre ou tu acceptes que c'est une donnée de ta vie, tu l'acceptes et tu avances comme ça.

Speaker 2:

Et c'est renoncer aussi à qui on est complètement et tous ces traits de caractère pour juste se présenter.

Speaker 1:

Je pense qu'au-delà de ça, souvent, on se met des étiquettes pour ressembler à ce qu'on pense devoir être ou à ce qu'on pense que les autres aimeraient qu'on soit.

Speaker 1:

Et en fait, quand tu parles aux gens qui t'entourent, tu te rends compte déjà de une que souvent, ils n'attendent absolument rien de toi, soit qui que ce soit à part toi. Mais toi, ça veut tout dire et en même temps rien dire, mais qu'on a une exigence, tout le temps à aller vers la réussite, d'une espèce d'accomplissement, à avoir pour paraître la joyeuse, l'entrepreneuse, la médium, et en fait, c'est des vibrations qu'on émet, mais soit par rapport à soi, et qui sont souvent juste pas justifiées par rapport à ce que t'es Et les étiquettes que tu te colles. Comme ça, pour moi, ça fait mal des fois de se dire OK, mais en fait, je ne suis peut-être pas si forte que ça, je ne suis peut-être pas si heureuse que ça, mais je ne suis peut-être pas non plus si triste que ça, pas si heureuse que ça, mais je ne suis peut-être pas non plus si triste que ça Et je n'ai pas besoin d'aller dans l'extrême de ma souffrance ou dans l'extrême de ma joie pour juste être.

Speaker 2:

Et des fois, j'ai juste envie de m'en foutre, je m'en fous, c'est tout Et ça va aussi en fait, Et je ne suis peut-être pas aussi courageuse Et juste de se détacher de ces étiquettes-là qu'on s'est mis pour aller vraiment dans notre vérité.

Speaker 1:

Et puis, tu sais, il y a ce truc quand tu vois la vie dans ce sens-là, tu te rends compte qu'il y a des qualités qui sont hyper positives et d'autres qui sont hyper négatives Le courage, la force. Il faut que tu y ailles. Mais, en fait, je suis fatiguée, et ce n'est pas négatif d'être fatiguée, c'est juste mon corps, c'est juste mon énergie, c'est juste que là, qu'est-ce que la vie me demande de faire? Elle me demande juste de me reposer. Ce n'est pas négatif. Je ne suis pas en train d'abandonner, et quand bien même, et et quand bien même, si t'abandonnes, c'est pas très grave. Le but, pour moi en tout cas, la vision que j'ai de la vie aujourd'hui, c'est que tu recules jamais. Au pire, tu ralentis un peu, mais t'avances tout le temps. En fait, et si je dois avancer un peu plus lentement que ce que j'estimais être rapide hier, et ben, j'avance un peu plus lentement, mais c'est pas grave.

Speaker 1:

Suis juste le flow, avance avec les énergies, avance avec ce que t'es écoute. Aussi, sois attentif à ce qui se passe autour. Parce qu'on est tous un peu égocentriques, on est concentrés sur nos énergies, sur moi. Il faut que je sois bien, mais qu'est-ce qui l'autre a besoin de le faire? Est-ce qu'il faut exprimer, est-ce qu'il faut garder Juste, sois attentive aux énergies qui te traversent et laisse-les juste te traverser Et exprime les choses si t'en as envie. Si t'en as pas envie, les exprime pas. Mais tu vois, ce truc de performance, tout le temps, à devoir être forte, devoir être courageuse, j'ai juste envie de vivre ma vie. Tu vois, wow.

Speaker 2:

Est-ce que cette sagesse-là, elle est innée chez toi.

Speaker 1:

Non, Alors il y a En fait, on a. Alors je vais dire on souvent quand je vais parler de moi, Parce que j'ai une sœur jumelle et le jeu est compliqué dans mon monde.

Speaker 2:

Donc, on, elle est ici justement en ce moment. Il faut dire aux gens, peut-être aussi que toi, t'arrives de l'Europe, t'as volé jusqu'ici.

Speaker 1:

Quel jour.

Speaker 2:

Il y a deux jours, t'es avec ta soeur pendant deux semaines, qui habite au Québec.

Speaker 1:

C'est ça exactement. Donc, du coup, le on va être beaucoup présent.

Speaker 2:

C'est tout bon.

Speaker 1:

Mais on a eu une vie, en fait, où on a dû grandir assez vite. Ça a été parfois un peu compliqué, mais on a dû vite devenir adultes, s'auto-gérer. Donc, la chance qu'on avait, c'était qu'on était deux. Et le désavantage aussi de ça, c'est que tu perds aussi un peu ta capacité de rêver, ta sensibilité. Donc, il y a des choses que tu t'autorises beaucoup moins. Tu vois, et en fait, petit à petit, en grandissant, je me suis rendue compte que j'avais des rêves, mais j'y croyais pas, ça venait pas. En fait, j'avais envie de réaliser des choses, mais à chaque fois, moi, ma fin, c'était que, de toute façon, j'allais foirer. Donc, c'était juste impossible. Donc, je faisais les choses en me disant et pourtant, des fois, ça réussissait vraiment bien, mais c'était ma conception du monde. Et puis, j'ai eu des étapes dans ma vie. Donc, déjà, le fait, je pense, de devenir maman, ça a été une grande étape dans. Tu perds toute identité et tu sors de la salle d'accouchement, t'es absolument plus la personne que t'étais en y entrant. Ok. Mais alors, si je suis ça, je suis qui du coup. Ok, je ne savais plus, moi, ce que je voulais manger, je ne savais plus ce que j'aimais. Il y a eu tout à refaire avec la naissance de mon fils Et, en fait, petit à petit, tu vois, je l'ai gardé pendant trois ans et j'ai dû vraiment redécouvrir la femme que j'étais, la personne que j'étais, en même temps que devenir sa maman. Et je me suis dit tu sais, à un moment donné, andrea, tu peux lui apprendre tout, mais si tu ne lui montres pas ce que c'est que juste d'incarner sa vie, juste de se laisser traverser par ce qu'on est, c'est très compliqué en fait. Et puis, il y a eu des épreuves un peu plus dures dans la foulée. En fait, tout s'est passé pour moi en 3-4 ans Ma grand-mère est décédée, mon père a été hospitalisé, et puis, ensuite, ma sœur a perdu deux bébés, et tout ça, tu vois, c'est des trucs qui te réancrent vraiment dans la réalité Et tu te dis alors c'est bien beau, tu vois de vibrer les énergies, de ressentir et tout.

Speaker 1:

Mais quand tu ancres tes deux pieds dans le sol, là, tout de suite, t'es où, t'es qui, tu fais quoi? Et je me suis rendue compte que cette capacité de rêver pour créer ta vie, c'était hyper important. Et c'était pas du Disneyland, c'était pas du fake, c'était non, en fait. Où est-ce que j'ai envie d'aller dans ma vie? Quelle énergie, j'ai envie d'impacter dans ma vie, qu'est-ce que j'ai envie d'expérimenter dans ma vie? Et tout ça, ça passe au début par une idée, tu vois, par un rêve.

Speaker 2:

C'est ça le rêve? C'est pas. Je veux avoir la grosse maison, nécessairement. On n'est pas là quand tu me parles de rêver ta vie, c'est ça, non?

Speaker 1:

alors j'ai un problème, moi, par exemple, avec la loi d'afficher une Mercedes au-dessus de ton lit et de prier tous les soirs pour l'avoir. Sincèrement, je pense qu'on aurait tous des super belles voitures et des super belles maisons. Moi, ce qui m'intéresse vraiment plus que la loi d'attraction, c'est la loi de manifestation. Qu'est-ce que moi, dans ma vie, je peux mettre en œuvre? je peux mettre en place pour créer ce que j'ai envie d'avoir, mais ça me demande de m'impliquer là-dedans. Ça ne me demande pas juste d'être là, de regarder que ça se passe et d'attendre que ça vienne, parce que déjà, ça ne se passe pas comme ça. Pour gagner au loto, il faut que tu achètes un ticket. Tu ne peux pas gagner au loto juste en mettant un chèque d'abondance au-dessus de ton lit. Il faut implique là-dedans.

Speaker 1:

Et le rêve, c'est ça pour moi, c'est OK, j'ai envie d'aller là, je me fous du chemin. Les étapes du chemin, elles m'importent peu. Là, par exemple, tu vois, j'ai envie, cette année, de communiquer, j'ai envie de rencontrer des gens. Ok, karine Champagne, elle organise un truc avec des podcasts. Ok, je ne sais pas du tout où c'est, ce n'est pas mon pays. Ça va me demander peut-être de prendre l'avion ou pas. Je ne sais pas.

Speaker 1:

Je ne sais pas c'est qui, karine Champagne Je ne sais pas non plus, mais j'y vais, tu vois, et il se passera ce qui se passera. Mais juste, tu as envie de communiquer. Eh, saisis pas, il y en aura peut-être une autre, mais c'est pas grave. Tu vois, c'est aussi ça, s'impliquer dans sa vie et dans la construction de son rêve. C'est pas juste, oui, mais pour les autres, c'est facile, ou il faut rien du tout. Juste, capte ce qui vient. Aussi, tu te rends compte que quand les gens parlent, c'est jamais à la hauteur de ce qu'ils veulent. Oui, mais bon, peut-être qu'il y a mieux, peut-être que j'aurai mieux, mais c'est pas grave en fait. Et même s'il y a mieux, tu le saisiras. Mais là, qu'est-ce qui se présente à ta vie?

Speaker 2:

C'est quoi l'opp là? on est là aussi. T'as parlé des énergies, t'as parlé de la connexion avec plus grand. Cette connexion-là avec plus grand, comment tu l'as fait fleurir.

Speaker 1:

Alors, je pense qu'elle a toujours été là, mais comme pour beaucoup. Mais c'est vrai que moi j'avais un. Alors, ça a commencé pas très gaiement, en fait, quand mon grand-père est décédé. Quand j'avais 15 ans, j'ai eu le message du décès de mes grands-parents, par ordre. Donc, ils étaient encore tous vivants, mais je savais que mon grand-père allait mourir en premier, qu'ensuite ce serait ma grand-mère, que ça allait être ma deuxième grand-mère et que le dernier, ce serait mon grand-père. J père, j'avais 15 ans. Ma deuxième grand-mère est décédée, j'en avais 30. Et en fait, je me suis dit OK, t'as l'info, mais qu'est-ce que tu fais de ça? Et en fait, ça m'a fait peur au départ. Je me suis dit attends, je deviens un dingo, j'en parle. Et puis, ma mère, elle est hyper ouverte d'esprit, donc, on en parle, on verra bien comment ça se passe. Mais au début, c'était pas hyper gai de le vivre comme ça. Et puis, je ressentais des trucs. Il y avait des choses dont je parlais avec mes amis d'école Et je voyais qu'ils captaient pas les mêmes délires que moi. Je voyais qu'au niveau énergique, ils me disaient mais ils allaient où, ça va pas bien, si ça va justement. Mais c'est vous qui êtes bizarre. Je vous comprends pas. Je comprenais pas le fonctionnement du monde. Et, en fait, c'est venu comme ça, petit à petit, où je me suis dit ok, et j'ai mis le truc un peu de côté au départ, où je me suis dit non, en fait, rentre dans le moule, mets toi dans ton truc, trouve un travail, fais ta vie, achète une maison, fais le truc classique et tout. Et en fait, ça me détruisait petit à petit. Je n'étais plus alignée, je continuais à capter des trucs, mais que je mettais totalement de côté Et c'était très, très compliqué, en fait, à vivre. Et quand mon fils est né, je me suis dit De toute façon, tu ne sais plus qui.

Speaker 1:

Tu es là. Donc, si juste t'ouvrais un peu la porte à tout ça, que tu t'engouffrais dans le truc et que tu voyais, de toute façon, tu peux à tout moment décider d'arrêter. Tu l'as fait pendant 15 ans. Donc, tu peux très bien y revenir si c'est mieux pour toi. Mais sinon, tu peux continuer d'avancer et essayer d'expérimenter les choses. Et le plus dur, tu sais, au départ, c'est juste de se dire attends, mais j'ai raison, j'ai pas raison. Mais là, tu te rends compte que quand tu, alors aujourd'hui, je le dis parce que ça fait sept ans que ça se passe, mais au début, tu demandes toujours à avoir des preuves. Tu vois, Mais est-ce que j'ai raison, est-ce que c'est vrai?

Speaker 2:

Est-ce que est mon imagination? c'est clair, Ça ne se peut pas. C'est ma voix. C'est la voix de quelqu'un d'autre, C'est impossible.

Speaker 1:

En plus, tu es dans une société où on te dit que non, ce n'est pas la vie, ça. À la rigueur, tu vas fin si tu veux, mais non, c'est pas possible. Tu n'entends pas de voix, à moins d'être folle. Et je ne suis pas folle, et moi, c'était vraiment ça. Mais j'ai quand même conscience de ce que je suis un minimum, et je sais que je ne suis pas dingo. Donc, c'est forcément qu'à un moment donné, il y a quelqu'un qui se trompe. Bon, si ce n'est pas moi, c'est forcément. Et j'ai jamais eu de problème à me retrouver un peu seule face au vent, tu sais pas. Quelque chose qui me fait peur. Je me dis écoute, c'est pas grave, peut-être qu'un jour ils me suivront, peut-être pas, en fait, c'est pas mon problème, j'ai qu'une vie, moi. Ma vie, elle est ici, tout de suite. J'ai pas de temps à perdre à convaincre les autres, mais j'ai pas perdent à me convaincre. Donc, tu avances comme ça. Et puis, petit à petit, je me suis dit ok, je vais essayer de leur faire confiance, en parlant toujours de plus haut, en les testant un petit peu de temps en temps. Et j'ai fait, tu vois, des consultations avec des voyants. Et puis, souvent, ils me disaient mais, en fait, on vous dit des trucs, mais vous le savez déjà. Oui, je le sais déjà, mais je les teste quand même. Et puis, moi, j'ai des guides, qui sont très drôles, vraiment, et quand je fais des canalisations avec des voyants qui le font pour moi, ils me disent mais ça va à mille à l'heure, c'est pas possible, ça va trop vite. Ils rigolent tout le temps, et puis ils vous taclent un peu, c'est du second degré, tout le temps.

Speaker 1:

Et moi dit, quand j'ai demandé ce que j'allais pouvoir raconter au podcast parce que moi, andrea, qu'est-ce que je vais pouvoir dire, ils m'ont dit en fait, ouvre la bouche et parle, ok, du coup, ça te remet vraiment à aujourd'hui. En fait, ouvre juste la bouche et parle. C'est un podcast, le but, c'est que tu parles. Donc, parle, ah, ok, tu ne vas pas avoir plus le. Vraiment. Ça, c'est vraiment des voix comme ça que j'entends. Et au début, voilà, c'était un peu perturbant. Et puis ça s'ouvrait petit à petit pour les autres, et j'envoyais les messages Ah tiens, et si tu faisais». Mais comment, tu le sais, je sais pas, je sais pas. Je le sais juste, en fait. Mais tu vois, je pense qu'il faut aussi se détacher du truc de moi, j'entends, mais en fait, moi j'entends, mais mon compagnon peut entendre, ma soeur peut entendre, tu peux entendre. C'est pas quelque chose qui est réservé à.

Speaker 2:

Andrea. Non, puis, ça fait pas de toi une personne supérieure, parce que, des fois, il y a l'égo spirituel qui arrive. Il y a moi. J'entends, moi, moi, moi, moi. C'est. Voici l'information qui est disponible Si on baissait tous nos barrières et qu'on était connectés à nos propres énergies. Donc, énergéticienne c'est tellement un beau mot, énergie, énergéticienne, comment pouvons-nous faire de ces énergies-là disponibles les nôtres.

Speaker 1:

C'est le but de l'incarnation. Moi, j'ai toujours eu, en fait du plus loin que je me souvienne, et puis, avec ma soeur, on en parlait beaucoup. Je disais mais c'est pas possible. On peut pas être venu ici juste pour acheter une voiture, avoir une maison, faire des enfants. C'est pas possible.

Speaker 1:

J'envisage pas la vie comme ça. Et puis, quand tu te connectes un peu plus, mais du coup, ça te demande aussi de sortir un peu de ton ego. Ça veut pas dire que j'ai plus du tout d'ego, non, un peu de ton égo. Alors, ça ne veut pas dire que je n'ai plus du tout d'égo, mais ça veut dire que, en fait, si je remettais juste en question ma façon de penser, ma façon de réagir, ma façon de réfléchir, même ma façon de ressentir, je ressens, par rapport à mon expérience de vie, d'accord, mais ton expérience de vie, ce n'est pas 100% des expériences de vie de toute l'humanité. Si tu ouvres un petit peu la porte à la possibilité, juste la possibilité que peut-être que l'énergie que j'ai envie de t'envoyer par là, elle serait mieux par là, et que tu la laisses juste aller par là, envoyer, moi, c'est toujours un peu. Tu vois, allez, on essaye Envoyer mieux par là. Mon égo dit que peut-être j'avais raison, peut-être En fait vous aviez raison aussi.

Speaker 2:

Je t'écoute parler depuis tantôt et tu rigoles énormément. Il y a énormément de joie, il y a du plaisir, c'est léger ton univers, ça me semble en tout cas dans ce moment-là, à cette heure si précise moi, la vibration, je pense, de ma vie, c'est la joie, c'est la douceur, mais encore une fois, c'est toujours pareil.

Speaker 1:

Qu'est-ce que je demande à expérimenter dans cette vie-là?

Speaker 1:

moi, j'ai pas envie d'aller expérimenter la guerre, j'ai pas envie d'aller expérimenter l'ego, j'ai pas envie d'aller expérimenter le.

Speaker 1:

J'ai raison, ça m'a jamais intéressée. Alors, je l'ai fait pendant une partie de ma vie. Tu vois, je lâcherai pas et j'aurai raison. Et en fait, t'arrives à un moment donné, et puis tu te dis mais ça t'a emmené où t'as gagné, mais quoi? Oui, mais quoi, t'es bien là-dedans? Bah, non, j'y suis pas bien. Donc, lâche juste ça. Et qu'est-ce qui te rend joyeux? Mais, du coup, ça, ça implique aussi d'aller contre un peu tous les dogmes de la société. Ou pourquoi t'es joyeuse dans un truc où peu de monde le serait? Tu peux pas prendre l'avion pour enregistrer un podcast à 6 000 kilomètres de chez toi, juste parce que ça te fait plaisir. Mais pourquoi pas, et pourquoi pas? Et pourquoi pas Sans te justifier En fait, si je peux le faire, pourquoi je ne pourrais pas?

Speaker 1:

Qui décide que je ne pourrais pas? C'est ma vie. Et encore une fois, tu vois, ce n'est pas je décide et c'est moi qui ai raison. Non, c'est juste ma vie, j'ai envie d'expérimenter ça, j'ai envie de le faire en live. Ça me rend heureuse de prendre l'avion toute seule. Tu vois, j'ai lu des livres, j'ai fait mes cours d'italien, je me suis amusée dans l'avion aussi. Tu vois, c'est ça le truc, c'est qu'est-ce?

Speaker 2:

qui te met en joie là-dedans, en tout cas, aujourd'hui encore, là, à l'heure où on se parle très individuelle, On ne veut pas dire oui, mais ça, ça ne me tente plus. Oui, j'ai la grosse job ou j'ai la belle maison, j'ai peut-être, mais parce qu'on met tellement d'enjeux derrière la réussite.

Speaker 1:

tu vois, en fait, il y a une conception de la réussite pour tout le monde c'est l'argent, c'est la maison, c'est la voiture, des enfants qui sourient, un chien à la rigueur. Et voilà, sauf que quand tu te rends compte que quand tu as tout ça, tu n'es pas plus heureux que quand tu ne l'avais pas, tu te dis OK, voilà la joie. Elle ne doit peut-être pas être là-dedans. Moi, ma joie, c'est de prendre des avions, c'est de partager ma vie entre deux pays, c'est de pouvoir être aussi libre. Alors, en fait, il y a des enjeux derrière, que ce soit en termes financiers et tout, parce qu'on n'est pas totalement déconnectés de la réalité non plus. Mais ce n'est pas une priorité. Ma priorité, ce n'est pas d'avoir une maison, d'avoir suffisamment d'argent pour m'acheter une voiture. Non, ma priorité, c'est d'expérimenter cette liberté-là. Peut-être que dans deux semaines, ce sera totalement l'inverse et je ferai des choix totalement différents, mais il faut juste, tu vois, se laisser la possibilité d'ouvrir la porte, de pouvoir changer.

Speaker 2:

C'est comme si je voyais l'image qui est apparue dans ma tête. C'est comme si on était vraiment plus des astronautes qu'on peut imaginer. C'est de se retirer de la gravité terrestre ou du 3D. Et si on était encore plus flottant, de quelle façon pourrait être notre vie? C'est ça, mais c'est marrant que tu dis ça?

Speaker 1:

parce que j'ai une façon, moi, d'aller canaliser mes messages. J'ai une imagination hyper fertile Et, en fait, ma visualisation, c'est Tu sais, il y a un film, je crois que c'est Thor, où il y a un pont où il passe du portail jusqu'à son château, et il y a un pont dans la galaxie, et tout avec des étoiles. Et moi, quand j'essaye de canaliser mes messages ou que j'essaye de m'aligner sur une vibration, je me mets, tu vois, sur ce pont et j'ai devant moi un milliard de cordes de guitare. Tu vois, et en je me dis OK, qu'est-ce que j'ai envie d'expérimenter? là, j'ai envie d'aller expérimenter cette joie-là, mais tu vois, tu es vide de tout. Tu es au milieu de l'espace, loin de ton corps physique, loin de toutes les attentes que tu as, mais aussi que les autres ont. Et moi, là, j'ai juste envie d'expérimenter cette corde, deai expérimenté.

Speaker 1:

Tu te rends compte que quand tu expérimentes, par exemple, moi, je suis venue ici, j'ai personne qui m'a dit mais t'es complètement tarée Dans ma tête, je me suis dit ils vont me prendre pour une dingue. C'est sûr, je pars au Canada, c'était pas prévu, mais personne m'a dit que j'étais complètement tarée. Et, en même temps, j'en ai pas parlé non plus à tout le monde, parce que j'ai rien à prouver à personne, tu vois. Mais c'est juste, j'expérimente ma vie de manière assez simple, dans la douceur, toujours, et dans le respect de ce que je suis. Et dans le respect de ce que je suis, ça implique aussi le respect de l'autre, tu vois, parce que t'es pas tout seul non plus.

Speaker 1:

Et quand tu comprends aussi ça, que mon corps, il est relié au tien, tienne, mais qu'à partir du moment où moi, je fais quelque chose en me respectant, je te respecte aussi. Tu prends pas mal le fait, par exemple, que je vais te dire non, tu prends pas mal le fait que je vienne au Canada, tuuel et non, mais un égo, en tout cas, de la société où t'es pas ce que t'es, arrête de t'identifier à ça, parce que c'est ça qui fait mal, arrête de t'identifier à ça.

Speaker 2:

Je sais pas s'il y a quelque chose déjà qui résonne en vous à savoir de quelle façon pourriez-vous arrêter de vous identifier à ça, ça, de vous identifier à ça, ça étant tout et rien en?

Speaker 1:

même temps. C'est ça. Tu sais, quand je suis devenue maman, j'avais vraiment Elle était mon fils, il fallait que ce soit bien, il fallait qu'il dorme, il fallait qu'il mange. Je me suis rendue compte que oui, dans ma tête, mais sinon non. Et en fait, je m'étais dit mais où est-ce que tu as envie de vibrer ça? mais de manière le plus librement possible. Et j'avais eu un truc, je ne sais plus si je l'avais canalisé ou pas, mais c'était lâche-toi la grappe, mais fous-toi la paix. T'as rien à faire là, t'as rien à être et t'as rien à avoir non plus. en fait, t'as tout, t'as rien, on s'en fiche. Tu es ou tu n'es pas, on s'en fout. mais qu'est-ce?

Speaker 2:

que c'est qui? t'es là. Tu vois, juste là, il y a des gens qui écoutent en ce moment, qui, comme moi, ont la mâchoire qui se décroche en disant attends, je n'ai pas besoin d'être personne, je n'ai pas besoin de faire rien. Mais Ça ne se peut pas. Dans mon univers, c'est impossible. Dans mon expérience terrestre, c'est impossible. Et si on demandait leur contribution d'aller un peu plus loin là-dedans, je n'ai rien à être et je n'ai rien à faire. Dans l'expérience terrestre, ça peut se concrétiser. Comment? Ça veut dire quoi?

Speaker 1:

Je pense que, déjà, ça passe vraiment par une reconnexion à sa joie. Mais ça demande aussi à accepter que ma joie, ce n'est pas forcément la tienne. Le truc, c'est que, d'après mon expérience, on est dans une société où on expérimente énormément la séparation. Ta joie, c'est ta joie, ma joie, c'est ma joie. Mais en fait, des fois, on peut se rencontrer sur le fait de partager une joie et des fois pas. Mais ce n'est pas négatif de ne pas se rencontrer, ce n'est pas négatif de faire des choses différemment des autres. Mais tu te rends compte que ce qui fait peur à la plupart des gens pour s'incarner totalement, c'est juste le fait d'avoir peur du jugement, c'est juste le fait de ne pas rentrer dans une boîte, dans une case, de ne pas pouvoir. Qu'est-ce que tu dis en soi?

Speaker 1:

Alors, par exemple, tu vois, je vais te prendre un exemple concret mais moi, mon métier, quand on me demande ce que je fais dans la vie, je travaille avec les énergies, je m'amuse avec les énergies, mais les trois quarts des gens me regardent et me disent mais elle est complètement dingo, mais ça va pas bien. Bah, si, en fait, ça va, ça va très bien. J'ai vraiment du plaisir, moi, à jouer avec les énergies.

Speaker 2:

Où est-ce que je m'en vais? Je le sais pas. Tu seras où, nancy? Moi aucune idée.

Speaker 1:

Et en même temps, tu vois, tu dis si la vie c'est pas ça, c'est quoi? Tu rentres le soir, t'es dans ta maison avec tes enfants et il n'y a rien de mal à ça si ça vibre. Mais si ça ne vibre pas, et tu te rends compte, tu vois, par rapport aux consultations que je fais, ou même quand tu parles avec des gens, la plupart des gens, ça ne leur correspond pas. Il n'y a plus de joie là-dedans. Alors, tu peux persévérer dans un truc qui ne te rend pas joyeux, mais le but ultime, ce n'est pas celui-là, ce n'est pas de continuer à vivre ta vie. Et la plupart des gens à qui tu parles et qui n'ont pas suivi leur joie, ils arrivent à un moment donné de leur vie où ils disent Mais si j'avais su, j'aurais dû».

Speaker 2:

C'est le plus grand regret des gens en fin de vie.

Speaker 1:

Oui, tu sais que ma grand-mère, son lit de mort, elle est restée six semaines en palliatif, où je l'ai accompagnée tout le temps, et je la voyais, tu vois, et à la fin, elle ne parlait plus du tout Et je la voyais partir petit à petit et je me disais tu vois, elle s'est beaucoup accrochée au matériel, ma grand-mère, il fallait sa sécurité, il fallait, il fallait, il fallait. Alors, elle a eu une vie hyper, disais mais t'as des apparts devant les parvivre au Mexique. Je viens avec toi, t'as l'opportunité d'y aller. Elle n'a jamais voulu. Et je la voyais en fin de vie. Tu vois à l'hôpital, et je me disais mais ça t'a apporté quoi, finalement? Les gens autour de ton lit, ils t'aiment, mais bon, il y en a qui sont là et tu te demandes ce qu'ils foutent. Et tu vois, c'est ce qu'elle m'avait dit. À la fin, je ne sais pas, je ne peux pas te dire, parce que tu vas partir peut-être, mais tu es entourée de gens qui t'aiment, mais qui, en, au final, au point où t'en es, t'apportes plus rien.

Speaker 1:

La sécurité que t'avais avant, elle est plus présente de cette manière-là. Ici, tu vois, et tu t'es vraiment fait vivre une vie moyen, joyeuse, juste pour garder des trucs. Mais t'as des regrets forcément là, et elle le disait. Tu vois, si j'avais su, alors, après, c'était une autre époque aussi, l'après-guerre, et tout en France, c'était autre chose. Mais n'empêche que, tu vois, ça m'a fait des déclics, moi, dans ma vie. Tu vis une vie moyenne juste pour garder ce que tu veux garder, mais c'est ça. Tu continues en fait dans un truc sé qui est sécure que par la matière, pas du tout par la vibration que ça a, et c'est sécure en quoi, tu vois, et moi, ça a toujours été quelque chose d'important dans ma vie. C'est OK, matériellement, c'est parfait. Alors là, aucun risque.

Speaker 2:

Oui, mais je ne vis rien, je ne vis pas ma vie là, et il y en a combien de gens qui peut-être que vous nous écoutez. Puis je faisais partie aussi de ces gens-là dans cette autre vie professionnelle. Je ne vis rien, je ne sens rien. Il n'y a pas de joie, il n'y a pas de lumière, il n'y a pas d'énergie, il n'y a pas de flow, il y a comme, c'est comme un étau, un peu, l'image que j'ai, c'est juste serré, c'est juste squeezé, c'est ça.

Speaker 1:

Et puis, tu sais, moi, je marche vraiment à la vibration, et c'est vraiment ce truc de en fait, est-ce que je vibre là où je suis? Non, là, je ne vibre pas, là, je ne vibre pas. Alors, oui, je vibre sur une fréquence. Mais qui ne me moi expérimenter la vie d'une manière joyeuse et alignée à ce que je suis, même si ça ne veut pas dire que c'est plus facile. Ça ne veut pas dire qu'il n'y a pas de choix à faire, ça ne veut pas dire que tout est fluide et qu'il n'y a pas de problème, non, mais ça veut juste dire qu'en fait, je suis juste alignée à ce que je suis, j'avance juste aligné à ce que je suis, de manière hyper simple, le plus simplement possible en tout cas, et j'avance, et c'est tout. Et il n'y a pas besoin. J'ai l'insensation, en tout cas, qu'il n'y a pas besoin d'aller réussir ou d'aller performer, ou d'aller obtenir quelque chose Quand tu es sur ta vibration. En fait, ça vient naturellement.

Speaker 2:

J'aimerais savoir si notre conversation vibre en ce moment. Si vous voulez, vous pouvez venir nous chercher sur les réseaux sociaux, nous envoyer votre commentaire. Est-ce que ça fait quelque chose à l'intérieur? ta vibration se retend. Est-ce que je suis en train de penser que réussir sa vie c'est ceci, alors que réussir sa vie, c'est connecter à soi encore plus. Parlant des réseaux sociaux, tu as une page Instagram qui cartonne beaucoup. Je suis allée faire certains des jeux et de la canalisation que tu as fait et il y a une phrase qui m'a jetée à terre du moment où j'ai su qu'on était pour jouer ensemble. Je ne sais pas si vous connaissez l'expression tu es la somme des cinq personnes que tu côtoies. Moi, j'ai toujours eu un petit problème avec cette phrase-là. Je n'y crois pas. Je ne pense pas que c'est ça. Et là, je pige comme une carte ou une image au hasard et tu dis exactement la même chose qu'Yves Tu n'es pas la somme des cinq personnes qui t'entourent.

Speaker 1:

Alors, les messages sur Instagram, c'est de la canalisation. Donc, tu vois, ça vient souvent comme ça, j'écris le truc et puis après je m'en souviens pas. Et quand je les réunis, je vois ce que ça vient faire vibrer en moi, en Andrea. Du coup, ici, tu vois, Et c'est vrai que c'est quelque chose aussi avec lequel j'ai souvent eu du mal, parce que ça te met dans une.

Speaker 1:

Alors, il y a deux choses déjà qui me perturbent un peu là-dedans C'est l'idée que si tu es la somme des cinq personnes qui t'entourent et que ces cinq personnes, elles sont toxiques. Ça veut dire quoi? Ça veut dire que, du coup, tu n'as pas d'issue possible dans ta vie, soit, tu jettes tout le monde. C'est compliqué si c'est ton père, ta mère et tes frères et tes sœurs, tu ne peux pas non plus parler à personne. Mais ça veut dire que toi, là-dedans, du coup, tu n'as pas ta responsabilité.

Speaker 1:

Alors, tu vois, et du coup c'est un truc qui m'a toujours un peu perturbée, ou énergétiquement et vibratoirement, évidemment, il y a des gens qui te tirent vers le haut. Il y a des gens qui te parlent, qui te donnent envie. Tu vois, comme là tu es à l'aise, je, des gens, pas parce qu'ils sont toxiques, mais juste parce qu'au niveau vibratoire, ça ne me met pas à l'aise, mais ça me demande aussi à moi de me dire OK, si ici, tout de suite, maintenant, je n'arrive pas à être ce que je suis, entourée des gens qui m'entourent, elle est où ma capacité à moi d'aller créer ma vie ailleurs?

Speaker 2:

Quand je me suis d'avoir eu des conseils en business si tu veux être millionnaire, il faut que tu te tiennes avec des millionnaires. Je n'ai aucun de mes amis, nécessairement, qui est très fortuné, mais ces gens-là m'élèvent quand même et moi, ça me donne ma responsabilité. À qui je veux être, qu'est-ce que je peux créer et comment je peux faire les choses. Je ne suis pas tributaire des gens qui m'entourent.

Speaker 1:

Tu sais, chacun son énergie et sa responsabilité.

Speaker 1:

Moi, j'ai une sœur jumelle, tu vois, si elle a envie d'expérimenter une vibration de la vie, qui ne me parle pas, mais vas-y. Si moi j'ai envie d'expérimenter une vibration de la vie, et qu'elle me dit mais ça ne va pas bien, vas-y aussi, expérimente ton truc. Mais tu vois, il y a toujours ce truc de si les les personnes autour ne me tirent pas vers le haut. Mais personne n'a tiré vers le haut. Non, personne n'a à vous tirer vers le haut Et tu dois le faire pour personne non plus. En fait, c'est juste un échange, c'est juste ok, là, tu me parles, là, tu ne me parles plus du tout. Là, ça passe, là, ça ne passe plus, et ce n'est pas grave, et c'est juste ok, toi tu m'apportes ça, l'autre m'apporte autre chose. Et s'orienter aussi par rapport à ça, et pas mettre une étiquette de toxicité sur tout et tout le monde, sur sa situation, qui te crée de la résistance, parce que la résistance, mine de rien, elle te permet aussi d'aller voir en toi.

Speaker 1:

Ok, mais attends là, bah oui, mais c'est peut-être de la jalousie. Alors, c'est pas de la toxicité, c'est peut-être que ça vient réveiller ou taper dans une peur, c'est peut-être que ça vient. Ah oui, mais regarde lui, il m'encourage pas. Ok, mais pourquoi il aurait besoin de t'encourager? Qu'est-ce que ça demande à travers toi, là? Où est-ce que ça t à toi de regarder à l'intérieur de toi et tu te rends compte que ta vie, elle part de toi.

Speaker 1:

Tu sais, et quand tu fais de la méditation, beaucoup souvent tu vois, quand tu te mets en position de méditation, de canalisation, tu fermes les yeux et quand tu rouves les yeux, le monde, tu te dis mais elle est plus lumineuse, la couleur du ciel, elle est beaucoup plus bleue. Mais rien n'a changé. Ce qui as changé à l'intérieur, tu es juste revenue te recentrer à l'intérieur de toi Et à l'extérieur, tout paraît différent. Mais à l'extérieur, rien n'est différent. Et c'est pour ça que tu te rends compte que les cinq personnes qui t'entourent, oui, évidemment, mais on ne parle pas de gens avec des pathologies, mais les gens, en fait, vivent simplement leur vie et des fois, ça te les défois.

Speaker 2:

Non, c'est tout Quand ça accroche à l'intérieur ou quand ça gratte. c'est une opportunité de voir là où on n'est pas libre.

Speaker 1:

Merci pour le cadeau. C'est juste une résistance.

Speaker 2:

Dis-moi, je m'en voudrais de ne pas te poser davantage de questions sur la canalisation. Tu fais du tarot aussi beaucoup. Puis tu as ouvert une chaîne YouTube, je pense par pur plaisir une chaîne YouTube, je pense par pur plaisir.

Speaker 1:

Oui, j'ai fait au début la chaîne YouTube pour faire des vidéos, comme ça, tu vois, d'horoscope, avec le tirage des cartes. Et puis, je me suis dit en fait ouais, c'est cool, ça me parle plutôt bien. Donc, j'ai continué comme ça à faire des vidéos. Là, j'ai commencé à faire des méditations, mais c'est vraiment au feeling, en fait. Qu'est vraiment au feeling, en fait? qu'est-ce que j'ai envie de partager? ah, bah, là, tiens, peut-être une petite méditation, ça peut être cool, peut-être un soin, peut-être un horoscope, peut-être, tu vois, et juste avancer comme ça, et ça charme beaucoup toi, tu vibres beaucoup là-bas l'échange, en fait, avec les gens est hyper important, je trouve, et en même temps, ça me permet aussi de libérer ma créativité.

Speaker 1:

Moi, j'ai toujours eu une créativité. Je suis nulle en dessin, je ne sais pas jouer de musique Au champ, je me débrouille dans la douche et dans la voiture. C'est vite limité au terme de créativité artistique comme on l'entend à la base. Et, en fait, le tarot, par exemple, ça m'aide à La vibration que je ressens par rapport aux images des cartes. C'est laquelle? OK, c'est celle-ci, mets-le en mots, mets-le en images. L'écriture est hyper importante, mais c'est aussi de la joie, dans le sens où je n'ai rien à réussir là-dedans, c'est juste OK. Qu'est-ce que je capte par rapport à ça? Qu'est-ce que j'ai envie de partager? Et quand ça vibre avec les, j'ai eu plaisir.

Speaker 2:

De quelle façon? tu me l'as bien dit, que tu entends, mais est-ce que c'est non-stop? ils sont toujours présents, tu les entends toujours, surtout quand ils se bidonnent un peu. Ils se peignent notre tête bien souvent. Puis, peut-être que l'image des guides spirituels que vous avez, si on l'appelle comme ça, guide en ce moment, vous avez la perception que c'est ultra sérieux. Ils ont envie eux autres aussi de s'éclater.

Speaker 2:

Moi, je les imagine toujours en train de manger du popcorn, à se demander comme Oh, je me demande ce qui va se passer dans sa réalité. Ah, vas-tu nous demander quelque chose? Ah, vas-tu nous demander notre contribution?

Speaker 1:

Mais en fait, là, tu as une clé vraiment hyper importante que tu viens de dire, c'est que demande? Et la plupart des gens ne demandent pas. Demande, demande juste et attends rien, juste demande. Ok, les gars là, moi je leur parle souvent comme ça, comme si on était une team Alors écoutez, je veux bien être en bas, mais vous êtes en haut. Il va falloir m'aider là, parce que je n'ai pas la clé. Donc, je veux bien ne pas avoir la clé Dans quelques semaines, il va falloir quand même que vous m'aidiez à la voir. Me ressort souvent, c'est on est dessus, on y travaille, j'y travaille Un peu plus vite. Ce serait cool, un peu plus vite dans ton temps humain, certainement, mais quand même.

Speaker 1:

En fait, souvent, à la fin des canalisations que je fais, souvent, ils me disent Et Andrea, aime davantage, et c'est un truc qui revient beaucoup, tu vois, aime davantage, mais aime tout, aime les gens, aime ta vie, aime ton énergie, aime ton expérience. Parce que là, la résistance, le fait que tu trouves que ça ne va pas assez vite, je peux t'assurer que quand tu vas avoir réalisé ton projet, tu vas regretter le chemin Parce que tu ne vas pas en avoir profité à fond. Donc, aime davantage, aime davantage ce que tu fais.

Speaker 2:

Ouvre juste ton cœur et reçois et donne ce qui en sort.

Speaker 1:

C'est simple et si gras en même temps, mais je pense que les énergies de la vie, elles, sont hyper simples. Je pense qu'on ne nous demande rien d'autre que d'être heureux au final, et qu'on est dans des sociétés où on te demande tout le temps de faire beaucoup pour obtenir ce que tu pourrais avoir au départ. Hyper simplement, juste d'être heureux, prendre du plaisir, sourire, aimer les gens, exprimer, expérimenter, et c'est tout.

Speaker 2:

Comme si on avait la perception qu'on va être heureux quand alors qu'eux disent probablement, mais voyons pourquoi. Attendre 20 ans, 30 ans, 40 ans avant d'être heureux?

Speaker 1:

Tu peux l'être déjà maintenant, et ça dépend de rien, et ça dépend de personne non plus Et enlever ce poids qu'on met aussi sur les autres. Mais attends quand même, tu m'aurais envoyé un message, j'aurais été contente. Non, en fait, non, je n'ai pas envie d'envoyer de messages, je n'ai pas envie d'appeler, je n'ai pas envie. Mais tu peux être heureux quand même. Tu peux juste être heureux avec ce que t'es. C'est une grande responsabilisation, ça. Mais c'est ça le problème. Moi, j'ai la sensation que c'est ce qui bloque aussi beaucoup de gens, c'est qu'à partir du moment où tu comprends que ta vie, t'en es responsable, t'accuses plus personne, ni tes parents, ni tes grands-parents, ni personne. T'es juste responsable aujourd'hui de ta vibration. Alors, évidemment, tu peux avoir eu des blessures d'abandon, des blessures de ce que tu veux, ok. Mais une fois que tu l'as vue, tu fais quoi de ça?

Speaker 2:

Tu reproches aux gens toute leur vie d'avoir été ça ou ça avec toi non, j'avais une dame que j'ai vue récemment dans un événement, puis elle était encore en reproche. Elle avait 73 ans à reprocher. Qu'est-ce que son père lui disait quand elle était toute petite? Mais c'est des années, je dis. Mais qui a été le plus dur, ton père envers toi pendant les 8, 10, 20 premières années de ta vie, ou toi avec toi-même pendant les 73 autres années?

Speaker 1:

Et puis tu t'entretiens une énergie Et souvent, tu vois, par exemple, les gens vont dire ouais, mais je comprends, prends pas, moi j'expérimente que des relations de merde, Ok d'accord.

Speaker 1:

Mais t'entretiens une énergie de colère telle que, même si quelqu'un vient sur un cheval, avec un bouquet de fleurs et une épée, en galopant vers toi, mais je t'assure que tu le verras pas, parce que t'es dans une énergie tout le temps de reproche, de colère, de lutte. Moi, je veux pas ça. Eh bien, alors, du coup, ce que tu demandes à expérimenter, c'est juste la colère et la lutte.

Speaker 2:

Je me rappelle de notre conversation qu'on a faite il y a quelques semaines. Je m'observe à partir de où? De mon manque ou de ma lumière?

Speaker 1:

C'est ça, c'est pareil. Tu vois, c'est une. Attends, ok, tu sais, quand tu vis des expériences, des fois qui sont compliquées, ou des résistances, tu te dis mais je ne comprends pas, je suis encore là-dessus, ça, je n'y arrive pas. Ok, attends, exprime ta colère, vas-y, va au bout de ton truc, mets-toi sur le balcon, hurle si ça te fait plaisir, Mais tu te regardes, à partir d'où là? T'es où là, je suis, je ne sais pas trop. Mais du coup, tu vois, c'est compliqué, parce que souvent, ça t'emmène aussi à ton égo et ok, bon, vas-y. Je me regarde, peut-être à partir de mon manque. Et du coup, quoi? Du coup, tu es juste en train de demander à quelqu'un ou à une situation de venir combler ce manque-là. Ce n'est pas possible, ça n'arrivera pas. Mais on te vend beaucoup, même en spiritualité. Tu vois le truc que l'extérieur peut venir te combler, et si tu guéris ta blessure de l'abandon, tu pourras. Non, en fait, à partir du moment où tu l'as compris et ça, c'est quelque chose qui résonne beaucoup en moi c'est à partir du moment où tu as vu, moi, par en moi, évidemment, qu'il y a des situations qui vont m'y renvoyer. Ah, ça, ça vient gratter là, là, ça vient gratter l'abandon. Et c'est compliqué. Oui, mais l'autre, tu ne le connaissais pas il y a deux semaines. Donc, ce n'est pas lui qui vient faire un aide, ça, c'est toi avec toi. Ok, alors, avance juste là-dessus d'abandon, fais-toi un petit câlin si ça te fait plaisir. Tu vois, dis-toi ok, ça va.

Speaker 1:

Et maintenant t'agis à partir de quoi Est-ce que j'agis par rapport à? mais regarde, tu vois, là où t'appuies, tu vois, regarde, c'est pas bien ce que tu fais. Ou alors, est-ce que juste, t'avances avec? qu'est-ce que je peux faire aujourd'hui? arrêter de m'identifier toujours à oui, mais regarde, moi, j'ai cette blessure, et j'ai ça, et j'ai cette colère. Ok, t'avais cette colère, là, tu l'as, mais t'en es conscient, ça change quand même quelque chose, énormément. Et à partir de maintenant, qu'est-ce que tu fais?

Speaker 1:

Est-ce que tu pouris en train d'écrire et en fait, il y a quelque chose qui est venu tout à l'heure. Je ne l'ai pas de tête, est-ce?

Speaker 2:

que tu veux qu'on t'amène ton cahier. Ok, attends, il n'y a pas de problème.

Speaker 1:

Merci, j'ai eu un petit message tout à l'heure, juste avant de commencer le podcast, et c'était comprends que tu es à la bonne place, ramène le calme doucement. Tout est toujours parfait. Dis-leur simplement d'être heureux. La vie ne demande rien d'autre. Et c'est un truc qui tu vois, et souvent ils me le répètent et que je canalise énormément, parce que tu te rends compte que le bonheur, c'est toujours un truc qu'on essaye d'aller chercher, qu'on essaye d'aller créer. Pourquoi pas? pourquoi pas? mais en fait, tu es heureux à partir de maintenant Et quand tu te rends compte qu'en fait, tu n'as rien d'autre à faire que juste vivre ta vie et expérimenter tes énergies de façon assez fluide il n'y a pas d'enjeu derrière ça, il n'y a rien à réussir, il n'y a rien à faire Tu te rends compte que tout est beaucoup plus simple aussi.

Speaker 2:

Alors, est-ce que vous allez choisir de faire de toutes ces énergies les vôtres? Allez-vous devenir vous aussi énergéticienne? Et si c'était tellement plus facile qu'on pouvait imaginer La vie, les énergies, le chemin, la joie.

Speaker 1:

Juste simple Se rappeler juste, en fait, fait, de ce qu'on est. On est des êtres divins dans des petits corps d'humains. On est aussi des humains qui devront apprendre aussi à jouer avec toutes ces qualités et ces énergies autour jouer.

Speaker 2:

C'est la façon la plus extraordinaire de guérir la planète.

Speaker 1:

C'est jouer juste jouer, juste, jouer Et jouer. Tu peux même jouer dans ton malheur, par exemple. Oui, juste, ok, j'expérimente ça. Ah, ça fait mal, mais OK, je vais l'expérimenter vraiment.

Speaker 2:

Oh, merci tellement d'être venue jouer ici en studio, d'avoir volé tous ces 6000 kilomètres, Merci d'être deux Aujourd'hui, on a un double Et merci infiniment d'avoir ajouté tellement d'espace dans mon univers.

Speaker 1:

Merci à toi, merci pour ta douceur, pour ta lumière. Je suis hyper contente d'avoir participé à ce podcast.

Speaker 2:

Merci pour ta voix. Je pense qu'on pourrait se dire merci pendant encore 43 minutes. Merci.

Speaker 1:

Andrea, merci à toi.

Speaker 2:

Alors, si jamais vous voulez découvrir Andrea bien sûr, toute la description est dans le post de cette publication Que vous nous écoutiez sur YouTube ou encore via une plateforme audio allez découvrir son Instagram, allez découvrir ses précieuses pépites qu'elle canalise. Elle me disait qu'elle ne se souvient absolument de rien, mais vous allez voir à quel point un ça vibre directement au cœur. Merci infiniment d'avoir été là et je vous dis c'est tellement plus facile qu'on peut imaginer d'impacter le monde. Votre rire peut transformer la planète. Merci beaucoup d'avoir été là. Merci, andréa, merci.

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