Impacter le monde avec Karine Champagne

33. Le magnifique Y de la croisée des chemins avec Stéphanye Thibault

April 26, 2024 Karine Champagne Season 1 Episode 33
33. Le magnifique Y de la croisée des chemins avec Stéphanye Thibault
Impacter le monde avec Karine Champagne
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Impacter le monde avec Karine Champagne
33. Le magnifique Y de la croisée des chemins avec Stéphanye Thibault
Apr 26, 2024 Season 1 Episode 33
Karine Champagne

Est-ce que je m'écoute ou je ne m'écoute plus? 

Et si je ne m'écoute pas... qu'est-ce qui va se passer?

Lorsque mon invitée s'est aperçu qu'elle se dirigeait vers un burnout ... elle a pris de grandes décisions!

Stéphanye Thibault s'est trouvée à la croisée des chemins, face à un "Y" symbolique où il y a  conformité et exploration de l'inconnu, ce "Crazy New Shit" qui nous pousse à sortir de notre zone de confort. 

Elle s’est rendue compte…. que c’était l’heure de faire sa propre mise à jour!  


Comment te reconnaître et ainsi être à ta version la plus à jour. - Télécharge l'outil gratuit ici

http://reconnaissance.ycoaching.ca

Voici toutes les autres façons de jouer avec Stéphanye:

Sa page facebook est ici
https://www.facebook.com/ycoachingunique


Pour intégrer une communauté privée qui échange des astuces pour rendre la vie plus agréable https://www.facebook.com/groups/boostersbatteries

Instagram ici:
https://www.instagram.com/stephanyethibault

Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
www.karinechampagne.ca/impact

Pour explorer l'univers de la question:
www.karinechampagne.ca 

Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Classé top 40 au Canada, langues anglaise/française confondue.
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

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Est-ce que je m'écoute ou je ne m'écoute plus? 

Et si je ne m'écoute pas... qu'est-ce qui va se passer?

Lorsque mon invitée s'est aperçu qu'elle se dirigeait vers un burnout ... elle a pris de grandes décisions!

Stéphanye Thibault s'est trouvée à la croisée des chemins, face à un "Y" symbolique où il y a  conformité et exploration de l'inconnu, ce "Crazy New Shit" qui nous pousse à sortir de notre zone de confort. 

Elle s’est rendue compte…. que c’était l’heure de faire sa propre mise à jour!  


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Speaker 1:

je me suis rendue compte qu'il y avait beaucoup de choses, que c'était les autres qui dirigeaient ma vie dans beaucoup de sphères Et quand tu arrives devant ta page blanche, tu n'as rien à écrire, ou presque. C'est un bon indicateur que c'est les autres. Prends du temps, parce que les masques peuvent s'enlever. C'est certain que je me suis aperçue à quel point je pouvais en avoir, que je ne savais pas, que j'avais Des masques, bien sûr.

Speaker 2:

Salut, salut. Je te souhaite la bienvenue à un autre épisode de Impacter le monde. Aujourd'hui, mon invité a un Y dans son nom Et ce n'est pas banal parce que ça risque de teinter possiblement la totalité de cette entrevue Le fameux Y Dans mon livre, la poussière peut attendre. Je l'ai appelé ce Y, crazy new Shit, simple Shit. Donc, on a toujours le choix d'aller vers quelque chose qu'on connaît, qui est peut-être sécurisant, ou encore d'aller vers le Crazy New Shit. On ne sait pas vraiment, ultimement, où est-ce qu'on va atterrir, mais on va expérimenter quelque chose de nouveau. Donc, mon invité voit aussi le Y comme étant expérimenté, ou encore rester au même endroit. Des fois, ça peut être aussi faire du surplace ou encore prouver Stéphanie, thibault.

Speaker 2:

Stéphanie avec un Y, thibault, comment vas-tu? Je vais bien. Bienvenue à Impacter le monde. Merci, simplificatrice de vie, coach certifié en PNL, informaticienne de formation. Il y a tout un Y que t'as pris au fur et à mesure que ta vie a avancé Et ce fameux Y dans Stéphanie a été une source de distraction et de désagrément pendant un certain moment. Oui, vraiment.

Speaker 1:

Surtout à mon enfance.

Speaker 2:

T'as pas aimé ça.

Speaker 1:

Avoir un Y, c'est plutôt la réaction des gens face à mon Y parce que Oh, non, non, c'est bon, ok, je passe.

Speaker 2:

Non, non, non, j'ai trouvé ça bon, j'ai déjà parti. Je suis comme oh, ça, c'est bon. La réaction des autres.

Speaker 1:

Oui, c'est ça la réaction des gens, parce que, malheureusement, quand il y avait et que j'en gagnais, mais les gens pensaient que c'était une erreur dans mon prénom, donc ils m'appelaient Stéphane devant les autres. Donc, étant enfant, bien là, ça faisait la risée. On ne veut pas se faire appeler Stéphane quand on est une jeune fille. Donc, ça commençait comme ça, puis, en vieillissant, c'est quand même devenu, je l'ai tourné à mon avantage. Je dis ça comme ça parce que les gens, quand ils me disent ah, c'est spécial, c'est la première fois que je vois ça, moi je disais ben oui, c'est parce que je suis unique, fait que là, je tournais ça à mon avantage, puis ça s'arrêtait là.

Speaker 2:

Oui, et tu l'as tourné à ton avantage jusqu'à maintenant. Jusqu'à maintenant, oui, parce que tu as vraiment exploré toujours ce fameux Y. Qui veut dire quoi Au-delà de ton nom? on a fait une petite parenthèse joyeuse mais en même temps, ça teinte un peu toute l'évolution que tu as eue depuis toutes ces années. Qu'est-ce que c'est pour toi le Y?

Speaker 1:

Le Y, c'est vraiment ma croisée des chemins que j'ai eues dans ma vie. Il était tout tressé, mon chemin, jusqu'à temps qu'à un moment donné j'arrive et que là, ma vie bascule, je vais le dire comme ça, mon chemin. je ne voyais plus en avant. C'était clair qu'il fallait que j'aille à droite ou à gauche. Si je restais à droite, on va dire que c'était le chemin connu. comme tu as dit, j'étais hyper malheureuse, hyper malheureuse. Donc, fait l'exhal à gauche, sans savoir vers quoi, avec toute l'insécurité que ça pouvait amener, mais c'était le seul chemin possible pour survivre. C'était carrément ça.

Speaker 2:

Il va y avoir un exercice, d'ici la fin de cet épisode, où vous allez pouvoir l'expérimenter, parce que vous savez quoi? Le Y qui est stressant quand tu me parles de ta vie toute tracée d'avance, c'est une grosse job dans ton champ d'expertise, dans ta zone de génie, avec tout ce qui vient, avec, c'est-à-dire les assurances, le fonds de pension et tout.

Speaker 1:

Carrément, j'avais tout ce que Tu le sais toi aussi. On a un parcours similaire. On avait des conditions de travail rêvées pour certaines personnes Et malgré tout ça, malgré cette assurance, cette sécurité-là que j'avais, mais il fallait que j'aille ailleurs, parce que la vie a fait en sorte qu'elle m'a montré que ce n'était plus le bon chemin.

Speaker 2:

Je ne sais pas si c'est malgré ou grâce à, mais tout ça c'est bon. Des fois, on dit malgré ça, mais ça nous a amenés vers ailleurs. Oui, donc, il y a cette voix prévisible dans laquelle toi et moi étions et peut-être dans laquelle les gens qui nous écoutent en ce moment sont en ce moment. C'est la voie prévisible. Je sais qu'est-ce que je fais demain, je sais que je vais avoir ma paye, puis c'est vraiment très important, surtout en ce moment. Mais il y a la voie du crazy new shit, ou encore de l'expérimentation. Il y a l'arbre de vie, il y a plein d'images qu'on va vous donner d'ici quelques. Toi, ce moment où tu fais couic, il faut que j'aille À droite ou à gauche, il faut que je change de voix.

Speaker 1:

Oui, mais dans le fond, c'est comme je disais dans mon expérimentation, dans mon poste de gestionnaire que j'avais, j'ai dû choisir entre vraiment est-ce que je m'écoute ou je ne m'écoute plus. Si je ne m'écoutais pas, j'allais carrément dans le burn-out, assurément. Là, j'ai décidé de m'écouter Et ça, ça voulait dire prendre une pause, parce que j'étais hyper stressée, je faisais énormément d'insomnie, je n'allais pas vraiment bien. Moi, je dis que je n'étais pas en burn-out, mais j'étais peut-être un pied dedans. On va le dire comme ça, peu importe, ou, sinon, c'est un éveil.

Speaker 2:

C'est comme tout craque, parce que ce n'est plus ça.

Speaker 1:

Je ne peux plus mentir, je ne peux plus faire ça. Ah non. Puis, c'est mon corps qui a ressenti, et aussi toute mon énergie. J'ai décidé de regarder ma vie, de regarder ce qui m'arrivait, en prenant trois pas de recul et en disant C'est drôle, parce que le jeudi, j'étais encore en train de trouver des solutions avec mon patron, et le samedi matin, je me suis réveillée et j'ai dit c'est impensable de rester dans cette zone-là, tu vas t'écrouler. Donc, j'ai donné ma démission le samedi, j'ai envoyé ma démission le samedi et là, je partais devant rien. Donc, là, j'ai choisi coûte que coûte, peu importe. Je me suis dit il faut que je me permette d'aller expérimenter. Qu'est-ce qui s'en vient pour moi, que je ne sais pas. Et c'est tellement drôle parce que là, c'est un malgré. J'ai quand même passé deux entrevues pour une même entreprise dans la même semaine que j'ai donné mes démissions parce que l'insécurité financière était tellement présente et, dans le fond, j'avais le poste, j'aurais pu le prendre.

Speaker 2:

Tu as fait toutes les démarches, tu as les qualifications, tu es surqualifiée, on te veut Oui. Puis, à un moment donné, c'est où le déclic, où tu te dis Hey, je suis en train de me rembarquer dans la même affaire.

Speaker 1:

Carrément, c'est ça que tu t'es dit Bien oui. Puis là, j'ai de prendre ce temps de recul-là parce que je ne savais pas si c'était l'informatique que je ne voulais plus dans ma vie ou si c'était le type d'emploi de gestionnaire. Il fallait que je me repositionne. Mais tu ne fais pas ça en une fin de semaine. Donc, je me suis excusée, j'ai refusé l'emploi, j'ai dit bon, mais vraiment, désolée.

Speaker 1:

Je ne peux pas, je ne peux pas le faire, je ne peux pas vous laisser, dans six mois, pour gagner plus cher, changer 4,30 sous pour une pièce, c'est carrément ça, C'est drôle.

Speaker 2:

Je viens juste de penser, puis j'avais complètement oublié ça. Après avoir donné ma démission à TVA Sports, j'ai eu un appel d'une station de radio pour travailler l'été. Je vais le rencontrer, va le rencontrer. Je suis bien excitée, mon égo est flatté, comme tout est là. Puis après, je me dis je vais-tu encore parler de la même affaire pendant l'été, de Carey Price, puis de spéculation, puis de? je pense que juste pour satisfaire mon égo, ça fait pas de sens. Oui c'est carrément ça, Moi c'était l'insécurité financière qui me faisait Moi.

Speaker 1:

C'était l'insécurité financière qui me faisait essayer de nouveau à potentiellement retourner dans un emploi qui aurait été tellement similaire que ça aurait fait la même chose. Parce que la vie, c'est une bonne mère, comme une prof me disait. C'est bien dit, Oui c'est ça, la vie est une bonne mère.

Speaker 2:

Tu as préparé un exercice pour les gens, parce que j'aime beaucoup ce côté-là de toi où tu dis moi, j'aime ça quand c'est concret, oui, puis, si vous nous écoutez en ce moment, un, je vais vous dire je vais mettre tous mes mots un après l'autre, ça va aller bien. Vous pouvez télécharger l'exercice. Vous pouvez venir dans la description du podcast, que ce soit sur YouTube ou en audio, vous allez pouvoir accéder à cet exercice-là. C'est un exercice que tu as mis sur pied parce que, un pour toi, puis deux, tu as dit pourquoi pas faire partager aux auditeurs, auditrices, d'impacter le monde? Oui, effectivement.

Speaker 2:

Donc, tu vas nous dire quelles ont été tes étapes. Là, vous n'allez peut-être pas bien le voir. Si vous êtes en audio, vous ne le voyez pas. Il n'y a pas de problème, elle fait un joli tableau. Ça va vous aider un peu à y voir un peu plus clair, parce que, juste avant qu'on commence la conversation qu'on avait tantôt c'était, il y en a bien des gens qui sont dans le Y, oui, effectivement, et qui n'ont peut-être pas la perception qu'ils peuvent changer. Oui, Ils ont la capacité de changer.

Speaker 1:

Il manque le regard juste sur soi. Ok. Ok, parce que, dans le fond, si je n'avais pas fait cet exercice-là, pour moi, initialement, je serais probablement encore restée dans l'informatique, parce que c'était une zone de confort, une zone d'expérience, des années d'expérience. Donc, j'aurais voulu aller là-dedans, continuer là-dedans Quand j'ai fait mes études de coaching. Cet exercice-là, dans le fond, est venu me repositionner, mon entre-deux, justement, mon nouveau chemin De dire est-ce que je pas je renie, je vais le dire entre guillemets mais est-ce que je laisse tomber complètement l'informatique, est-ce que je laisse toute la place au coaching? On dirait qu'il fallait que je me retrouve Stéphanie Thibault en premier, puis, stéphanie Thibault, ce n'est pas son côté professionnel, c'est Stéphanie Thibault en tant que personne, d'avoir ce regard juste, là pour dire Stéphanie, qu'est-ce que tu as besoin maintenant? Et c'est le principe des bulles.

Speaker 1:

Donc, c'est pour ça que j'ai mis un mois au centre, puis des bulles autour, pour venir dire OK, qu'est-ce que j'ai besoin? Donc, j'ai besoin, moi, j'ai besoin de partager, j'ai besoin d'évoluer, j'ai besoin de liberté. Mais là, après ça, la liberté, qu'est-ce que ça veut dire? La liberté d'horaire? J'ai besoin de ça présentement. Ça, ça veut dire que je ne peux plus retourner salarié Pour l'instant. Au goût du jour Stéphanie. C'est ça qu'elle avait besoin Aujourd'hui, aujourd'hui.

Speaker 2:

C'est une photographie, c'est un selfie, c'est un snapshot. Appelez ça comment vous voulez.

Speaker 1:

Exact vient naître. Donc, c'est quoi, quand je fais du sport, quand je fais des loisirs, on peut exploiter les bulles et dire Ok, je veux essayer ça, ça, ça, ça, je fais du Zumba. C'est toutes des zones qu'on aime, qu'on apprécie, et on vient les coucher sur papier. dans le fond, et il y avait aussi le principal, c'était vraiment l'équilibre. retrouver cet équilibre-là. Donc, quand j'ai des opportunités, bien là, je regarde est-ce que je suis dans ces zones-là? Donc, est-ce que mon équilibre famille, amour, amis, travail est-ce que je suis toujours dans mon équilibre, si je risque de déborder à quelque part et de ne plus être dans cette image-là, je me questionne vraiment si je l'accepte. Et en arrière de tout ça se cache une orientation, un sens que j'avais décidé de donner à ma vie à ce moment-là, qui était est-ce que maintenant, quand j'ai une opportunité qui s'offre à moi, est-ce que maintenant je vais aider un humain ou une machine? Et moi, si c'est une machine, je n'implante plus des systèmes, je veux aider l'humain. Si c'est en informatique, est-ce que j'aide?

Speaker 2:

l'humain, concrètement, wow. Et quand on fait cet exercice-là, merci de me rappeler un exercice que j'ai fait, qui m'a fait en sorte aussi que j'ai donné ma démission. On a tellement de points en commun, stéphanie, on pourrait partir pour deux heures. Il y avait trois mots, moi, que j'avais mis Un peu dans le même genre, mais moi je ne l'ai pas mis sur papier. C'était quoi, mes trois mots? Il y avait créativité, liberté, abondance, et à un moment donné, je travaille, je suis encore à TVA, tva Sport. C'est toujours des mots que je vois partout. Peut-être, et tu pourras, avec tout ce que tu connais de coach que je ne connais pas, mais qu'on a peut-être en commun, peu importe, l'expliquer aux gens aussi. Dans le fond, quand on fait l'exercice, on n'est pas obligé d'être dans le Y, bien sûr que non. On n'est pas obligé d'être dans ultra inconfortable, bien non, on peut le faire. Juste, quels sont les 3, 4, 5 mots? c'est pas grave le nombre de mots qui sont importants pour nous.

Speaker 1:

Effectivement, c'est ça qu'on veut retracer, parce qu'on a acheté des choses de notre enfance, de notre adolescence, et aujourd'hui, qui, j'ai le goût d'être De se permettre de prendre ce recul-là et de se demander je veux faire quoi là? Des fois, ça peut juste nous orienter sur une nouvelle activité de couple, de famille, des choses qu'on veut aller essayer parce que ça vient toucher, par exemple, je vais pouvoir partager, je vais pouvoir offrir un peu de mentorat, ça peut amener du bénévolat aussi. Oui, qu'on peut vouloir faire. Puis qu'on ne s'est jamais permis, parce que là, les enfants étaient à la maison, parce que là on était dans le tourbillon des activités de soir, des choses comme ça, métro, boulot, dodo, oui, et là, de prendre ce recul-là puis dire aujourd'hui, je sens que d'attendre, après tout le monde, expérimente-le. Comment tu peux le faire, comment tu peux le mettre en place.

Speaker 2:

Oui. Puis, tu sais ces trois mots-là, quatre, cinq, que vous allez choisir, qu'est-ce qui est important pour vous. Puis, si jamais ça résonne, ça vibre, s'il vous plaît, venez nous chercher sur les réseaux sociaux, partagez-nous ce que vous retenez, ça nous ferait. Mais de vous lire, surtout Quand j'ai choisi, moi, mes mots créativité, liberté, abondance. Tu sais ce que t'as fait, t'as fait des sous-catégories. Ça veut dire quoi? liberté, ça veut dire quoi créativité ou abondance, ça se peut que ça ne vienne pas tout de suite, c'est évolutif, c'est évolutif. Oui, l'exerc mots, c'est bon aussi.

Speaker 1:

Effectivement, je peux, je vais donner un bon exemple. Moi, j'aimais la course. La course ne m'aimait pas. Non, la course n'aimait pas mon ou mon corps n'aimait pas la course. J'avais vraiment des douleurs et j'ai arrêté la course. Mais ce que j'aimais encore là, j'ai pris du recul Qu'est-ce que j'aimais de la course, c'était d'être dehors, de prendre l'air. Donc, la marche, le vélo, il y a des alternatives possibles. Si on dit je ne peux plus courir, je ne fais plus rien et je m'assois sur mon sofa. pourquoi?

Speaker 2:

C'est un bon exemple du Y. Quand je parle de crazy new shit Cinq mots shit il y a le mot shit dans les deux. On ne sait pas nécessairement si mon crazy new shit va être extraordinaire, sauf que il y a un autre Y. Après, il y a un autre Y, puis ça fait littéralement un arbre de vie. Tout ça, exact. C'est ça l'expérimentation?

Speaker 1:

Ah oui, c'est ça, l'amusement d'élargir sa zone de confort, d'essayer La vie. C'est pas juste ça, c'est pas juste mettre au boulot dodo, comme on se disait tantôt. On peut aller expérimenter, aller chercher tellement d'autres choses. Puis, l'amusement, le plaisir, c'est la base. On l'oublie tellement en étant adulte, dans nos responsabilités, dans les obligations, on oublie le plaisir. Moi, j'ai tout tendu. On oublie le plaisir, moi, j'ai tout le temps dit. Puis, ça fait longtemps que je disais on travaille beaucoup d'heures dans une journée, on peut faire ça dans le plaisir. Ou je disais c'est pas parce que c'est sérieux qu'il faut se prendre trop au sérieux. À nous, c'est à nous.

Speaker 2:

Puis, on a la perception aussi je ne sais pas si ça vibre en toi aussi ou à vous à la maison qu'il faut être parfait quand on commence quelque chose.

Speaker 1:

On se met tellement de la pression.

Speaker 2:

Il y a quelque chose de vraiment chouette dans ton histoire. On va pouvoir parler de ta transformation vers le coaching, parce que tu étais dans ce Y, mais tes premiers clients, c'était des jeunes dans une cour d'école. C'est trop hot. Pouvez-vous imaginer? Tu étais en formation de coaching. Replace-moi l'histoire comme il faut.

Speaker 1:

Oui, dans le fond, j'ai quitté en juillet 2022 mon emploi et j'ai eu l'opportunité de faire le niveau 3 en intensif de coaching. Mais là, après ça, j'avais rien. Puis là, je me disais OK, tout d'un coup, j'aime un peu trop ça, être à la maison et ne pas travailler. J'avais le goût, dans le fond, d'aller essayer quelque chose, mais c'était certain que ce n'était pas l'informatique.

Speaker 2:

Tu as dit je vais me trouver une job juste en attendant, pour sortir de la maison, exactement.

Speaker 1:

Et j'ai appelé une amie qui travaille dans un service de garde. Donc, je lui ai offert, parce qu'ils ont des besoins, on s'entend un besoin criant de personne. Donc, je suis allée donner un coup de main, et pas trop d'engagement, je lui donnais mon horaire, je me pointais là sur l'heure du dîner, et oui, avec les jeunes, j'ai pu expérimenter le coaching Là, tu sais, le petit garçon qui ne lâchait pas de se battre sur l'heure du dîner.

Speaker 2:

Oui, c'est tellement fort, Je veux vraiment aussi. Je trouve que cette histoire-là est tellement incroyable. Des fois, quand on commence quelque chose, on pense que ça va prendre. Si vous êtes par exemple, futur coach ou entrepreneur, ou vous voulez vous lancer en affaires, on pense que ça prend tout de suite la grosse clientèle, puis ça prend tout de suite le gros revenu. Moi, j'aime cette idée-là de dire Ah bien, sais-tu quoi, Je vais être à un cours de récréation, puis, s'il y a une occasion qui se présente, je vais pratiquer mes outils de coach auprès des enfants.

Speaker 1:

Puis, on ne réalise pas, mais on coach ton jour À tous les jours, sûr d'être.

Speaker 2:

Bien sûr.

Speaker 1:

Avec mon conjoint, avec mes filles. On coache tout le temps avec mes collègues de travail. C'est au quotidien qu'on coache.

Speaker 2:

Revenons à l'histoire. La parenthèse, c'est importante, mais la suite, elle l'est tout autant. Ce petit garçon-là, il se bat souvent.

Speaker 1:

Oui, il se battait, ce midi-là particulièrement, si ça faisait, honnêtement, je pense, trois, quatre fois que j'allais le voir. Et là, je le voyais se faire avertir. Et là, à un moment donné, j'ai dit OK, là, Stéphanie trouve une astuce, Parle-lui dans ses mots, parce que c'est ça qui est important avec un enfant de cet âge-là. Et là, je suis allée lui demander peux-tu me dire c'était quoi ton intention quand t'es sortie dîner? Est-ce que c'était de t'amuser ou de te battre? Là, il m'a dit ben, c'était de m'amuser. J'ai dit OK, ben, il te reste 15 minutes, Commence à t'amuser là, parce que là, tu lâches pas de te battre depuis tantôt. Donc, tu sais, il a comme fait ben oui, t musée. Puis là, il est allé rechercher la même gang avec qui il se battait. Mais ce midi-là, il avait commencé l'heure du dîner en faisant du trouble. C'est comme si c'était inconsciemment, Il faisait juste se battre, puis chercher le trouble, Puis après ça, tu l'as reconnecté avec son intention, avec qui il est, avec pourquoi il sortait dehors.

Speaker 2:

C'était quoi l'objectif? de sa vie, à ce moment-là, au goût du jour, Au goût du jour, moment présent.

Speaker 1:

Qu'est-ce que tu fais?

Speaker 2:

là, c'est exactement la même chose. On pourrait faire le lien avec ton exercice.

Speaker 1:

C'est quoi mon intention, bien sûr, dans le fond, idéalement, c'est de se dire je veux me reconnecter avec la Stéphanie d'aujourd'hui, parce que celle qu'on pense être connectée, elle est potentiellement déconnectée. Non, elle n'est plus là.

Speaker 2:

Elle n'est plus là. Puis elle était parfaite à ce moment-là. Puis la Karine des 50 premières années était géniale. Elle a fait tout sa job, tout ce qu'elle pouvait faire.

Speaker 1:

Exact, là, c'est la Stéphanie la plus vraie. Vraie, celle avec moins de masques Je ne peux pas dire que je n'en ai plus, mais avec moins de masques, quand on fait cet exercice-là, c'est d'être humbles et vrais avec soi-même. On n'a rien à prouver à personne ici. Cet exercice-là, on veut aller chercher vraiment, nous, un portrait de nous au goût du show.

Speaker 2:

Quand tu parles de masques, c'est un mot aussi que je trouve intéressant, que ce soit étiquette masque. Des masques, on en met consciemment, inconsciemment, pour plaire, pour être validé, pour fiter, pour être un Stéphanie avec un I dans un cadre, pour être sûr que personne nous débaptise ou ait son jugement sur qui nous sommes. Je trouve que c'est intéressant par rapport à ton prénom de Mon Dieu, Comment t'as réussi à les observer, ces masques-là, à les découvrir puis à les relâcher.

Speaker 1:

C'est que je me suis positionnée, dans mon regard juste que j'ai eu avec moi, je me suis rendue compte qu'il y avait beaucoup de choses, que c'était les autres qui dirigeaient ma vie dans beaucoup de sphères. Et quand tu arrives devant ta page blanche, puis tu te dis OK, qu'est-ce que j'aime faire? C'est quoi mes passions, qu'est-ce qui est important pour moi? Bien, quels sont mes besoins, puis que tu n'as rien à écrire ou presque, c'est un bon indicateur que c'est les autres qui dirigent ta vie. Fait que là, il faut que tu reviennes puis dire OK, prends du temps, parce que les masques peuvent s'enlever. Et moi, dans le fond, le coaching, mes études en coaching m'ont aidé beaucoup là-dedans C'est certain que je me suis aperçue à quel point je pouvais en avoir, que je ne savais pas, que j'avais Des masques, bien sûr, oui, j'en avais beaucoup plus que je pensais. J'en identifie encore continuellement.

Speaker 2:

C'est l'expérience d'une vie. Ce n'est pas d'être parfait De toute manière. la perfection, c'est juste un jugement. On ne s'entend même pas ce que c'est Moi. je dis tout le temps que je suis une parfaite imparfaite, mais j'aime le regard juste. Je me regarde avec justesse. Je trouve qu'il y a beaucoup de bienveillance de la façon dont tu le dis, aussi que c'est parti, que je l'utilise, c'est de prendre ma juste place.

Speaker 1:

Parce que prendre sa place, c'est parfois difficile, surtout, comme je t'expliquais tantôt, d'arriver dans un, tu sais, à la fin de la quarantaine, dans un nouveau métier, où est-ce qu'il y a plusieurs personnes. Tu veux faire ta place, mais pas prendre de la place. Je veux faire ma place, mais je veux prendre ma juste place. C'est pas mais Et je veux prendre ma juste place.

Speaker 2:

Clin d'œil à l'épisode, avec Nathalie Genet, de passer de oui, mais à magicienne du et Oui, oui. Et t'as parlé de la fin de la quarantaine. Bon nombre de nos auditeurs, auditrices, ont justement probablement ce groupe d'âge-là 40, 50, 60, c'est la mi-temps de la vie. C'est un moment exceptionnel pour relâcher des masques et observer qu'est-ce qui est possible. Chaque matin maintenant, quand je me regarde et que j'huile mon corps de déesse devant le miroir, je me dis aujourd'hui, c'est la journée la plus jeune pour le restant à venir. Qu'est-ce que je veux faire de cette jeunesse-là? J'aime ça.

Speaker 2:

C'est d'honorer, comme c'est la seconde, la plus jeune que j'ai. Puis, après, elle est partie. Pour moi, le mi-temps ou la mi-temps de la vie, c'est l'occasion de.

Speaker 1:

Avec le mi-temps de la vie, ce qui vient, c'est la conscience que le temps file, puis qu'on va mourir un jour. Ça, c'est la grande conscience qu'on a Et c'est la rétrospective de regarder sa vie, c'est-à-dire, où est-ce que je dois l'ajuster parce que là, ça ne convient plus. Et, encore une fois, la vie va être tellement une bonne mère qu'elle va nous montrer c'est où qu'on doit l'ajuster. Donc, il y a plusieurs sphères qui reviennent avec le mi-temps de la vie. Dans le fond, les personnes deviennent souvent des mentors, parce qu'on a besoin de partager nos connaissances, on veut qu'il y ait une relève. On veut aussi regarder son mode de vie, notre relation amoureuse. On peut vouloir regarder notre vie professionnelle.

Speaker 2:

C'est tout des Le corps, les relations, les finances, l'amitié, l'éobé, l'aventure, exact. Qu'est-ce qui nous fait?

Speaker 1:

vibrer Exact, parce qu'on parle d'un processus d'individuation. Moi, je dis tout le temps que c'est comme On vit, comme une crise d'adolescence, mais c'est une crise adulte avec une transition.

Speaker 2:

On s'était dit ça, ce n'est pas une crise, c'est une transition.

Speaker 1:

Si on voit ça comme une crise, on va la vivre.

Speaker 2:

Peut-être une transition d'adolescence. Oui, on s'en va vers le plus extraordinaire. Ce n'est pas le début de la fin. C'est ce nouveau Y-là qui nous ouvre une nouvelle possibilité. C'était peut-être un futur imprévisible. On ne savait pas qu'on ferait ça.

Speaker 1:

Exact. Puis, moi, j'ai l'image. C'est pour ça que je l'ai utilisée aussi dans ma formation. J'appelle ça émergence. Cette zone-là, cette transition-là, où est-ce que tu émerges en tant qu'individu, conscient de ce qu'il est aujourd'hui, de ce qu'il veut, de ce qu'il a besoin, c'est ça, dans le fond, le mi-temps de la vie. Ça t'amène à avoir cette conscience-là de toi.

Speaker 2:

Quand j'entends émergence, j'ai comme le thorax qui ouvre le plexus solaire. On dirait que c'est un sortir de cette armure-là L'image que je reçois. c'est le temps de renaître Exact. Et c'est le temps de se souvenir de qui nous sommes.

Speaker 1:

Oui. Puis, quand on renaît, on renaît en conscience. Puis, en enlevant ces masques-là, on a le goût d'être juste, nous à notre juste place, avec notre regard juste de la vie. Puis, c'est parfait, t'as ta vérité, j'ai la mienne, j'ai le droit de vivre, j'ai le droit au bonheur, j'ai le droit aux mêmes choses que toi.

Speaker 2:

Puis on n'a même pas besoin de se chicaner à savoir qui a raison, qui a tort. C'est irrelevant en anglais.

Speaker 1:

J'arrive pas à trouver le mot en français, c'est pas nécessaire.

Speaker 2:

Exact, C'est pas nécessaire. Il y a des gens en ce moment qui nous écoutent, qui vont peut-être dire oui, mais moi je sais pas qui je suis. J'ai aucune idée Ce à quoi je dirais alléluia, Oui.

Speaker 1:

Parce que tout est à créer dans ce temps-là. Exact, la page blanche, tu peux décider de. l' nouveaux chapitres de ta vie commencent aujourd'hui. Ta page Donne un titre à ton chapitre. Oui, juste de débuter par ça. Moi, je dis que je suis une Stéphanie 2.0. Je fais la référence à l'informatique, mais moi, j'ai eu une mise à jour. À 47 ans, j'ai eu une mise à jour. Je suis une Stéphanie améliorée, mais qui peut continuer de s'améliorer et qui va continuer de s'améliorer.

Speaker 2:

Clairement, 2.0, 3.0, 2.1, 2.2, fait juste référence à l'ajustement du iPhone ou à un autre téléphone Exact. Il y a plein de points à la suite de. Il y en a des majeurs, il y en a des mineurs, mais on est toujours en ajustement.

Speaker 2:

Moi, j'aimerais ça juste y revenir pour vous dire c'est jamais, à propos d'avoir la bonne réponse, le bon chemin. Prendre la bonne décision, parce qu'il y a énormément de pression sur une job. Donner sa démission peu importe? Oui, mais si je me trompe? Oui. Mais si je ne prends pas la bonne décision? si je me trompe, oui, mais si je ne prends pas la bonne décision, qu'est-ce qui va arriver?

Speaker 1:

Eh Branche branche gauche droite, gauche droite. Ah oui, effectivement.

Speaker 1:

Puis si on prend simplement, on reprend l'exemple de l'exercice, si on n'attend pas nécessairement qu'on soit dans cette croisée de chemin-là, puis qu'on apprend à se connaître au jour le jour. Mais moi, je suis convaincue qu'il y a beaucoup moins de chances que tu regrettes ton choix, parce que tu vas te connaître, tu vas savoir tellement ce qui est important pour toi et ça devient une opportunité qui s'offre à toi. Quelqu'un te demande elle vient à la radio. quelqu'un te demande elle vient à la radio. quelqu'un t'offre une job encore dans le même domaine que tu es. tu vois une annonce publicitaire dans un réseau social et que tu te dis ça m'interpelle. Si tu as les petits papillons dans le ventre, c'est peut-être une bonne idée d'aller creuser, parce que c'est comme ça que le coaching est arrivé à moi, oui, comment. Parce que c'est comme ça que le coaching est arrivé à moi, oui, oui, comment. Par une annonce publicitaire.

Speaker 2:

Dans une nuit d'insomnie. La nuit d'insomnie peut être tellement grandiose. Oui, exact, t'es tombée sur une publicité et t'as fait comme ouais, oui, ça me parlait.

Speaker 1:

Le matin, mon conjoint s'est réveillé. J'ai dit je ne suis pas là ce week-end, je suis dans une formation. Je l'avais acheté dans la nuit, dans la nuit, dans la nuit. Oui, c'était un week-end Et je le faisais pour moi, évidemment. Au départ, je me disais je m'en vais vers la ménopause, ma fille vers son adolescence.

Speaker 2:

Oui, Non transition.

Speaker 1:

Je le faisais pour ça, pour aller m'outiller, me chercher des nouveaux outils, des nouvelles options, et c'est ça, j'ai continué. Le chemin était tracé, c'est là que la lumière était.

Speaker 2:

Quels sont les nouveaux outils que vous pouvez utiliser? Qui sont les nouvelles personnes à qui vous pouvez parler? Quels sont peut-être ces livres que vous pouvez lire, quel est cet accompagnement que vous pourriez choisir? Peu importe, vers où puis-je m'ouvrir?

Speaker 1:

Oui, oui. Puis ça se peut qu'on n'aime pas, mais on l'a essayé. Oui, On a grandi Nos connaissances, on est allé explorer.

Speaker 2:

Elisabeth Gilbert a dit quelque chose d'extraordinaire dans une conversation qu'elle faisait avec Oprah, je crois, et elle disait Be a hummingbird, soyez un colibri, butinez de fleurs en fleurs jusqu'à ce que vous trouviez votre nectar, qui sera si délicieux que vous y resterez. Et si jamais vous ne trouvez jamais ce nectar qui est si délicieux, vous aurez goûté à plusieurs nectars.

Speaker 1:

Et je suis certaine qu'en se connaissant, même si on butine, on a l'impression de butiner on se rapproche toujours de plus en plus de l'âge du summum Oui de cet extase-là Oui exact.

Speaker 2:

Il y a un livre qu'on a aimé en commun. J'y fais référence dans La poussière peut attendre. C'est le livre de Bronnie Ware qui est Les cinq plus grands regrets des mourants. Ça, c'est un livre, honnêtement, que j'irais chercher, si jamais vous êtes encore dans ce Y coincé dans la peur, à savoir je fais quoi, qu Vous êtes encore dans ce Y coincée dans la peur, à savoir je fais quoi, qu'est-ce que je fais, j'y vais, j'y vais pas. Qu'est-ce qui se passe à la fin de ta vie? Cette Australienne-là a interviewé, en tant qu'infirmière en soins de fin de vie, ces gens-là, exact.

Speaker 1:

Qui étaient pour pousser leur dernier souffle. Et t'as retenu quelque chose? Ah oui, dans le fond, ce qui était l'élément le plus commun, c'était j'aurais aimé vivre ma vie et non celle des autres. Et j'ai même fait le tour dans mon entourage, j'ai demandé à ma belle-mère As-tu l'impression de vivre ta vie? Je trouvais ça important de poser cette question-là, de prendre encore une fois du recul, regarder avec un regard juste, parce qu'il n'est pas trop tard pour apporter des changements. Quand on réalise qu'on a donné notre pouvoir aux autres, ça ne veut pas dire que c'est définitif. Quelle était sa réponse? Elle m'a dit que oui, elle avait vraiment l'impression de vivre sa propre vie. Wow, donc, j'étais vraiment fière pour elle, évidemment. Et moi bien, c'est ça Dans le fond. Moi, je me suis aperçue que je ne vivais pas ma vie nécessairement Fait que j'ai apporté des changements, des ajustements.

Speaker 2:

Tu sais, en tant qu'informaticienne, tu étais beaucoup dans l'algorithme. Oui, l'informatique, c'est des 1 et des 0. Oui, c'est une série de chiffres répétitifs. Oui, beaucoup dans le faire, dans le faire du codage Oui, j'ai commencé ma carrière comme développeuse. Donc là, tu te rends compte que ta vie après, c'est juste une image. mais il y a beaucoup d'entre nous qui sommes sur un algorithme 1-0, 1-0, 1-0, 1 10101010. Il n'y a pas la créativité, il n'y a pas l'espèce de Attends où est-ce que je suis en ce moment?

Speaker 1:

Oui, parce qu'on est tellement dans une société de performance aussi que, dans le fond, on reste dans le faire, et on a été aussi éduqués à l'école dans le faire. Comment faire telle chose? Là, je trouve que ça m'a amenée dans le savoir-être, vraiment, et le coaching, dans le fond, c'est de l'intuition aussi. On a beau avoir des techniques qu'on apprend, mais on va les modifier, on va les adapter, parce que le principe du coaching, c'est que tu valses avec ton client. C'est le client qui dit on va tourner à gauche, on va tourner à droite. Tu guides, tu sais l'époque qu'on va devoir faire, mais ce qu'il va te dire d'aller à gauche ou à droite, c'est lui qui décide.

Speaker 2:

Dans son moment, au goût du jour, dans son moment.

Speaker 1:

Et toi, il faut que tu t'adaptes besoin, c'est vraiment ça, le coaching. Donc ça ne peut pas être tout écrit statique, c'est très dynamique, c'est le cœur, c'est l'intuition, c'est l'humain, C'est pareil, comme les conversations qu'on fait ensemble.

Speaker 1:

Aussi, on danse ensemble, on s'ajuste Oui effectivement, et c'est aussi ce qui a fait en sorte que c'est incroyable, parce que l'informatique, dans le fond, c'était un choix logique que j'ai fait au départ. Il y avait le cégep que je voulais aller, il y avait le taux de placement, ok, c'est vraiment ce qui a déterminé Parce que j'aimais beaucoup de choses Et, dans le fond, aujourd'hui, c'est le choix de cœur.

Speaker 2:

C'est tellement bon. Combien de fois avons-nous fait des choix logiques. C'était correct, c'était les bons choix. On ne veut même pas les remettre en question ou remettre ce choix-là en question. Mais aujourd'hui, si j'avais un choix du cœur à faire, quel serait-il Exact?

Speaker 1:

Je ne dénigre pas du tout les années que j'ai travaillé en informatique, que je travaille encore en informatique, mais plus autant de temps dans mon horage, je ne veux plus. je veux que ça soit parsemé. je vais dire comme ça Et je fais des tâches en informatique qui correspondent beaucoup plus à du conseil stratégique.

Speaker 2:

Ça se rapproche du coaching, du coaching, du mentorat et de l'humain, parce que tu as dit que tu ne travaillais plus avec les ordinateurs ou les systèmes, que tu te rapprochais de plus en plus, j'implante plus de systèmes. Non, ce qui est chouette, c'est qu'on n'a pas à choisir un ou l'autre. On peut faire tout. Tu peux continuer à être en consultante. C'est pas comme tu disais, on ne renie pas. J'aime encore ça, c'est agréable, encore, c'est léger. Tant que je m'amuse, je peux faire du coaching. C'est amusant.

Speaker 1:

Je peux faire des podcasts, je peux faire de l'accompagnement, je peux faire du podcast peu importe Qu'est-ce qui est léger et amusant pour moi, exact, j'ai fait sa gestion de projet. Elle avait un projet en tête, je l'ai aidée Le Y, il est évolutif. Oui, oui, les infinies possibilités.

Speaker 2:

Tellement. Stéphanie, merci d'incarner la finesse de ton prénom, merci, merci d'incarner le Y, les joies, la possibilité, la différence, la lumière, l'énergie, et j'ai adoré valser avec toi Moi aussi. Merci Encore plus de ceci.

Speaker 1:

Merci Stéphanie, merci à toi.

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