Impacter le monde avec Karine Champagne

27. Faire humain ou être humain avec Jessica Raymond

April 05, 2024 Karine Champagne Season 1 Episode 27
27. Faire humain ou être humain avec Jessica Raymond
Impacter le monde avec Karine Champagne
More Info
Impacter le monde avec Karine Champagne
27. Faire humain ou être humain avec Jessica Raymond
Apr 05, 2024 Season 1 Episode 27
Karine Champagne

Parfois, il est nécessaire de se poser les bonnes questions pour s'éveiller à la vie qui nous attend.

Comment s'assurer que notre existence résonne avec l'authenticité de notre être intérieur?

Qui suis-je en dehors de tous mes rôles?

Dans cet épisode, nous explorons cette quête avec Jessica Raymond, enseignante en PNL, qui partage son parcours inspirant.

Notre conversation commence fort avec une citation de l'auteure américaine Glennon Doyle  nous pousse à vivre une vie aussi riche que celle que l'on désirerait offrir à nos enfants.

"Est-ce que tu te contentes d'une vie que tu ne voudrais pas que tes enfants vivent?"

Cette grande question est un voyage vers l'authenticité, où il s'avère crucial de s'écouter et de se choisir à chaque croisée des chemins.

#BOOM!

Pour découvrir Jessica Raymond:
https://www.facebook.com/jessica.raymond.coach

Son site web est ici
https://jessicaraymondcoaching.mykajabi.com/

Son programme d'accompagnement:
https://jessicaraymondcoaching.mykajabi.com/evolution


Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
www.karinechampagne.ca/impact

Pour explorer l'univers de la question:
www.karinechampagne.ca 

Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Classé top 40 au Canada, langues anglaise/française confondue.
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

www.karinechampagne.ca
www.karinechampagne.ca/podcast
www.karinechampagne.ca/impact

Show Notes Transcript Chapter Markers

Parfois, il est nécessaire de se poser les bonnes questions pour s'éveiller à la vie qui nous attend.

Comment s'assurer que notre existence résonne avec l'authenticité de notre être intérieur?

Qui suis-je en dehors de tous mes rôles?

Dans cet épisode, nous explorons cette quête avec Jessica Raymond, enseignante en PNL, qui partage son parcours inspirant.

Notre conversation commence fort avec une citation de l'auteure américaine Glennon Doyle  nous pousse à vivre une vie aussi riche que celle que l'on désirerait offrir à nos enfants.

"Est-ce que tu te contentes d'une vie que tu ne voudrais pas que tes enfants vivent?"

Cette grande question est un voyage vers l'authenticité, où il s'avère crucial de s'écouter et de se choisir à chaque croisée des chemins.

#BOOM!

Pour découvrir Jessica Raymond:
https://www.facebook.com/jessica.raymond.coach

Son site web est ici
https://jessicaraymondcoaching.mykajabi.com/

Son programme d'accompagnement:
https://jessicaraymondcoaching.mykajabi.com/evolution


Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
www.karinechampagne.ca/impact

Pour explorer l'univers de la question:
www.karinechampagne.ca 

Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Classé top 40 au Canada, langues anglaise/française confondue.
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

www.karinechampagne.ca
www.karinechampagne.ca/podcast
www.karinechampagne.ca/impact

Speaker 1:

Dans le fond, on est des fers humains, puis on n'est plus des êtres humains. J'ai été fer humain très longtemps et je m'en suis contentée très longtemps, Jusqu'à ce que tout mon corps ne veuille plus, Honnêtement, cette espèce de boule-là dans la gorge. Écoute, je ne pensais pas aller là Pour la faire passer, je mangeais.

Speaker 2:

Ou je buvais du vin. Bonjour, j'espère que vous allez bien. Je vous souhaite la plus chouette des bienvenues à cet épisode d'Impacter le monde. Aujourd'hui, attention, on va se poser des questions et on va surtout se rendre compte qu'il n'est jamais trop tard pour se choisir et prendre sa voie. Il n'est jamais trop tard pour faire fleurir cette transformation personnelle et de se poser cette cruciale question Qui suis-je, en dehors de tous mes rôles? Juste, cette introduction-là me donne tellement de frissons. Attention, ce n'est que le début. Jessica Raymond, qui est enseignante en PNL, es-tu prête à impacter le monde?

Speaker 1:

Non seulement je suis prête à impacter le monde, je suis super émue de t'entendre, Karine. Je suis vraiment contente d'être là. Je suis touchée et heureuse d'être avec toi.

Speaker 2:

Je suis tellement contente, Tout ce qu'on s'est dit depuis notre première pré-entrevue, tout ce qu'on s'est dit ici, je me disais j'espère qu'on va être aussi impactante au moment de l'enregistrement. C'est le temps ou jamais. J'aimerais ça. Qu'on commence tout de suite avec une phrase que tu m'as dite de Glennon.

Speaker 1:

Doyle. Il dit dans mes mots je ne me contenterai plus jamais d'une vie pas aussi belle que celle que je souhaiterais pour mes enfants. C'est quand même. C'est pour moi un baromètre. Je suis dans un espace de vie où je suis contractée intérieurement, je suis stressée, je ne suis pas bien ou je suis en train de prendre des décisions qui ne sont pas cohérentes. Est-ce que je souhaiterais que mes enfants soient ou vivent Pouh.

Speaker 2:

Ça réaligne. C'est tellement plus facile de prendre une décision à ce moment-là. Si c'était mes enfants, qu'est-ce que je leur dirais? Je leur dirais fais pas ça si ça te rend malheureux.

Speaker 1:

Puis c'est ça. C'est tout ça derrière, c'est de comment je me sens dans ma vie, au quotidien, dans quel état j'existe. Ce que je souhaite pour mes enfants, c'est qu'ils soient heureux, bien cohérents avec eux-mêmes, authentiques. C'est ce que je fais de pour eux.

Speaker 2:

Et il y a une partie de nous, comme femmes, comme hommes, comme humains, qui est et le mot qui pignait dans ton univers cette semaine, c'était blindé, Dans le sens de caché, mis de côté. Combien de parties de nous avons-nous renoncé? Comment on fait pour découvrir cette partie blindée de nous?

Speaker 1:

C'est intéressant parce que tu sais quand elle est blindée, puis elle est cachée. Souvent, c'est inconscient, c'est inconscient qu'il y a ça. Puis là, à un moment donné, ça fait. J'ai besoin de dire ça, je ne suis pas capable. Pour moi, il y a blindé, puis s'autoriser à, ils sont comme liées. Puis, dans mon histoire, il y a un moment donné dans ma vie, étant toute petite, où j'ai compris que j'étais mieux de me taire, de garder le silence et de faire en sorte que ça roule. Et à partir de ce moment-là, avec la conscience que j'ai aujourd'hui quand je retourne en arrière, ça a fait en sorte que j'ai aujourd'hui, quand je retourne en arrière, ça a fait en sorte que j'ai blindé une partie de mon identité, de mon essence, qui était plus sécuritaire à ce moment-là, de blinder ça. Et je ne crois pas que je suis la seule être humaine à avoir blindé une partie, omis une partie ou faire comme si ce n'était pas là.

Speaker 1:

Puis, tu sais, karine, avec le recul, maintenant que j'ai les yeux à la bonne place, je me rends compte que moi, j'avais comme un petit tapis à côté de moi, fait que dès que c'était impactant émotivement, dès que je risquais de nommer quelque chose qui aurait pu froisser, effriter une relation, faire de la peine, blesser, risquer d'être rejeté. Mets ça en dessous du tapis. Mets ça en dessous du tapis. À ce moment-là, c'était plus sécuritaire pour moi de cacher en dessous du tapis, de faire comme si de rien n'était, puis de garder ça blindé caché.

Speaker 2:

Et il y a combien de gens qui nous écoutent en ce moment qui vivent ou qui ont vécu exactement la même chose. Puis, à un moment donné, il y a tellement de choses en dessous du tapis que c'est devenu une montagne.

Speaker 1:

C'est devenu une montagne, puis les coins du tapis touchent même peu à terre. Puis, c'est là, quand tu te dis comment on fait pour déblinder, ou se rendre compte que c'était blindé, pour moi, ça a été très, très kinesthésique. Puis, tu sais, j'ai eu des enfants. après, tu sais, mettons, c'était 15-20 ans-là où je me suis dédiée à eux, puis là, elle n'avait pas le temps de s'occuper de ça. cette émotion-là, en dessous du tapis, tu sais, alors qu'elle retourne aux études, en dessous du tapis, en dessous du tap, oh my God, qu'il y en a du stock là, qu'il y en a du stock là.

Speaker 2:

Tu parlais que c'était kinesthésique. Donc, à un moment donné, tu as perçu, ressenti quelque chose dans tes tripes à l'effet que c'était le temps de soulever le tapis.

Speaker 1:

Je m'étais quasiment habituée à vivre avec un moiton d'engorge, d'anxiété, une boule dans le ventre. Puis, je me souviens, je faisais comme Respire, tu sais, pour trouver de l'air, parce que quand c'est contracté, puis blindé, tu sais, je respirais vraiment pour de vrai, en surface, surface, surface, fait que je me sentais en pilote automatique. Mais je ne le savais pas, Karine, que j'étais prise dans ce schéma-là, cet automatisme-là, parce que j'étais Les listes, ça y allait par là, je peux te le dire, j'en faisais des choses dans une journée, puis les cours des enfants, puis le retour aux études, puis un chum, c'est les chiffres, puis, ah, ouais, il rajoute, toi, des mandats professionnels. À côté de tout ça, je disais oui à tout, ou que tu continues d'avancer, ou que tu ne veux pas aller voir ce que ça te fait vivre. Bien, c'est comme. Je me rappelle, il y a déjà une femme qui m'avait dit dans le fond, on est des fers humains, puis on n'est plus des êtres humains. J'ai été fer humain très longtemps et je m'en suis contentée très longtemps.

Speaker 1:

Jusqu'à ce que tout mon corps ne veut plus De quelle ton corps s'est exprimé Honnêtement, cette espèce de boule-là, d'engorge-là, écoute, je ne pensais pas aller là Pour la faire passer. Je mangeais ou je buvais du vin pour réussir à venir tempérer tout ça Les années. À un moment donné, il y a eu une évidence que je ne peux plus vivre, évidence que je ne peux plus vivre comme ça. Je ne peux plus omettre cette partie-là de moi. C'est vraiment mon parcours de développement, d'enseignement, de coaching en PNL, et j'honore ma capacité d'aller chercher de l'aide et d'aller être accompagnée par des questions pour sortir de ma boucle, de mon scénario, de mon film, parce que tout le temps que je suis en train de ressortir le passé, ou que je m'en fais pour le futur, ou que je me tape sur la tête, il n'y a rien de nouveau qui peut se créer là, rien.

Speaker 2:

Du moment où tu perçois qu'il y a des formes de dépendance, des addictions, une forme de contrôle avec l'alimentation, la boisson, puis probablement que tout le monde a une forme. Le téléphone cellulaire est une forme aussi Le magasinage.

Speaker 1:

Le magasinage, il y en a.

Speaker 2:

Ça va au-delà de l'alcool et des drogues. Il y a toutes sortes de formes. Le jugement est une addiction aussi Incroyable, du moment où tu t'en rencontres, comment ça prend tant, de quelle façon ça fleurit dans ton univers. Ce passage-là, à j'endure, je tolère, je ravale à, je commence à m'exprimer.

Speaker 1:

Ça l'a été. Il y a eu un moment tampon, parce que ça a été tough intérieurement dans le sens que, ok, la partie que j'ai blindée, toutes les choses que j'ai pas dites, la job que j'ai blindée, toutes les choses que je n'ai pas dites, la job que j'ai gardée, qui ne me convenait plus, des amitiés. Je me rappelle, je revenais du sport-restaurant avec une amie. Je me disais mais pourquoi je suis allée là? Je n'ai même pas été capable de lui dire que je n'avais pas envie De se rendre compte que j'aie ma bouche. Je revenais en disant puis là, je ne parle pas juste de cette amie-là, j'aurais donc dû dire ça, j'aurais donc dû mettre une limite. Et si je le faisais, j'aurais jamais dû dire ça. J'aurais jamais dû dire ça.

Speaker 1:

Mon Dieu, je suis sûre que j'ai fait de la merde. Dans les deux cas, j'étais prise au pire, j'étais du loose-loose. Mon affaire De se rendre compte que ça fait combien d'années, que je nomme pas Combien d'années, que C'est fou, parce que je m'étais construite une identité autour de ça. Moi, je suis easygoing. Moi, je suis facile à vivre. Moi, c'est le fun d'être à mon contact. Moi, je ne m'en fais pas avec ça. Moi, je veux juste que ça soit plaisant. Mais le nombre de fois où, pour préserver l'harmonie extérieure, j'ai fucké mon harmonie intérieure pour ne pas déplaire aux autres, ou pour ne pas blesser, ou pour ne pas faire de peine, c'est à moi Tout ce blindage de l'enfance c'est venu, juste comme renforcer le blindage, quand je me suis rendue compte que, OK, si je commence à mettre mes limites, ou si je commence à être vraiment transparente ou vraiment attentive, qu'est-ce qui va se passer Et qui je deviens?

Speaker 1:

Qui suis-je quand je suis moi, moi, et que je ne fais plus pour les autres? C'est pour ça que je te dis il y a eu une période de déséquilibre, de déséquilibre. C'était tellement blindé, karine, je ne savais pas, premièrement, que c'était blindé. Je pensais que j'étais une femme forte qui avance et qu'il n'y avait pas le temps de niaiser avec ça. On a des choses à faire, des grandes choses à accomplir dans la vie, mais déconnecter de toutes les. J'ai lu il n'y a pas longtemps que ça demandait une bonne dose de courage pour aller s'occuper des parties moins glorieuses à l'intérieur de soi qui ont besoin d'attention, qui ont besoin de tendresse, qui ont besoin d'être vues.

Speaker 2:

Donc, il y a un moment de déséquilibre, Il y a un moment inconfortable. Qui suis-je? Où est-ce que je m'en vais? Qui suis-je que je n'ai jamais reconnu? même C'est à travers des accompagnements et la formation que tu suivais pour devenir enseignante en PANL que tu as commencé à enlever des croûtes, c'est ça.

Speaker 1:

Oui, exactement. Puis d'aller vraiment à l'intérieur. D'où ça vient quand je réagis comme ça. C'est quoi mes déclencheurs, c'est quoi mes valeurs fondamentales, qu'est-ce qui me définit dans mon essence, de qui je suis réellement et non pas ce qu'on s'attend que je sois La bonne mère, la bonne éducatrice spécialisée, la bonne intervenante, la bonne amie, la bonne épouse, qui je suis. Et c'est là que la plus grande quête commence, la plus grande découverte, parce que cette espèce de t'es mieux de te taire, zippe ta bouche, garde le silence, mentis du tapis et avance. Ça fait en sorte que je me suis cachée des affaires à moi-même sur moi-même. C'est-tu assez fou? Je ne le savais pas, que je ne le savais pas.

Speaker 2:

C'est fou, pareil On. Je ne le savais pas, que je ne le savais pas. C'est fou, pareil On. Est tellement nombreux, nombreuses, à ne pas savoir qu'on ne sait pas Qu'est-ce qui se passe dans ton univers quand tu commences à relâcher ces croûtes-là et que tu commences à découvrir ce que tu ne savais pas que tu ne savais pas Exact.

Speaker 1:

C'est sûr que ça s'est fait. Ça se fait pas en 24 heures reprogrammer un schéma de silence et de blindage et de pas faire de houle. Ça s'est fait à petit feu et tout en douceur, avec les gens proches, que certains sont restés, certains sont pas restés. Puis, je me rappelle de c'est pour ça que je parle, que je souhaite que les femmes activent ce courage-là, parce que le cadeau est immense, immense, en dessous. Je me rappelle, il y a quelques années, je disais à mon chum là, je suis en train de te montrer une partie de moi, la vraie moi.

Speaker 1:

Puis, c'était houleux comme conversation. Puis il m'a dit Chérie, je ne la connais pas, cette toi-là». Je dis, moi non plus. Alors, on a choisi de le faire ensemble pour avoir une relation davantage sincère, vraie, riche, où on s'élève ensemble. Mais c'est, et je ne prétends pas que mon chemin de reconnexion entière à moi est complètement terminé, mais je, et en même temps, je me vois aller, je me reconnais, je suis plus attentive aux signaux Et je me vois quand je veux choisir d'aller mettre en dessous du tapis. Et c'est comme si j'ai pris la décision de ne plus créer mon futur avec des vieilles patentes du passé. Et c'est là que la magie d'être dans le moment présent, d'être consciente de s'auto-questionner, de lever la main quand on est allé au bout de notre propre accompagnement, auto-accompagnement pour se faire accompagner.

Speaker 2:

Tu sais, tu dis relâcher l'histoire. Relâcher le passé, c'est relâcher l'histoire. Puis, bien souvent, on est hyper attaché à l'histoire. On dit que l'histoire nous a façonnés, nous a fait grandir. Oui, OK, ça nous a servi jusqu'à ce moment-ci. Exact Il y a un livre qui s'appelle Qui serais-tu sans ton histoire de Byron, cathy. Mais qui serais-je sans mon histoire? Je, mais qui serais-je sans mon histoire? Je serais libre parce que j'arrêterais d'apporter de l'importance à cette histoire-là qui ne me sert plus. Tu as relâché une partie de ton histoire qui ne te servait plus.

Speaker 1:

J'ai relâché, on dirait que ce n'est pas le mot. On dirait pour moi, c'est accueilli, c'est tout. Bon, j'ai accueilli, merci pour ça, du recul. Et j'ai surtout décidé de ne plus en être dirigée Parce que, dans notre histoire des traumas, des schémas, des pilotes automatiques, avec les femmes que j'accompagne, on a une phrase que j'utilise beaucoup Mon cerveau a quel âge en ce moment? Mon cerveau a quel âge? Là, c'est la petite qui pense que c'est plus sécuritaire de se taire. Moi, terre de star, ok, moi aujourd'hui, construite avec une sécurité intérieure, une connaissance de moi, une plus grande sensibilité et amour de moi, qu'est-ce que j'ai envie? de créer et d'aller et de décider et de prendre le lead de ma vie qui est à moi, cette vie-là, Tu sais, en introduction, je disais il n'est jamais trop tard pour se choisir, pour prendre sa voie.

Speaker 2:

Il n'est jamais trop tard pour dire qui suis-je, en dehors de tous mes rôles. C'est cette capacité-là qu'on a, particulièrement quand on est accompagné. On peut le faire tout seul. Il n'y a pas de bon, il n'y a pas de mauvais. Mais des fois, quand on c'est quand tu ne fais qu'entendre tes histoires, tu ne fais entendre que tes justifications, tu fais entendre juste les oui-mais-moi, tu fais juste entendre toujours les mêmes mots, et ton accompagnement permet, comme C'est comme si on ouvrait les rideaux, on dit attends, il y a autre chose. Puis, oui, c'est possible de le faire, même si tu as 50, 60, 70, 80, 90 ou 20 ans. Il n'y a pas de bon, il n'y a pas de mauvais avec l'âge.

Speaker 1:

Puis, tu sais, quand je t'ai dit il n'est jamais trop tard, c'est parce que j'ai un morceau en tête. J'ai vécu un deuil périnatal, mon premier garçon, qui n'a pas Là, j'en ai trois plein de vie, mon premier garçon, Et j'ai tellement de rencontrer ce deuil-là. Il est allé en dessous du tapis, Lui, a pris de la place en tabarouette en dessous du tapis, Et ça m'a repris 15 ans avant d'aller à la rencontre, consulter, Et la vérité, c'est que j'étais morte de peur. Parce que d'aller rencontrer son histoire, de comprendre comment ça nous a permis de développer plein d'habiletés, plein de cadeaux derrière ça, c'est comme si je ne suis probablement pas la seule ça fout la chienne de relâcher ou d'accueillir, ou de se dissocier de cette histoire-là.

Speaker 1:

Ça fout la chienne Parce que comment je vais, Toutes les histoires que je me raconte et toutes les peurs que je porte, toutes les doutes s'ils sont transformés, que je les comprends, que je rebondis avec ça et que je prends les cadeaux de ces expériences-là pour pouvoir semer, impacter, devenir, être, ça fait peur de relâcher ça et ça fait peur de prendre responsabilité, de créer la vie qu'on veut, de se tenir debout, de prendre des décisions.

Speaker 2:

Tout ça, ça fout la frousse au début, quand tu parles de cette frousse-là, cette peur-là de relâcher l'histoire, puis tu parles d'un deuil périnatal. Est-ce que c'est aussi la peur de? Mais si je continue, c'est comme si je ne m'en souvenais pas. C'est comme si je m'en souvenais pas, c'est comme si je l'aimais plus, c'est comme s'il faisait plus partie de mon histoire.

Speaker 1:

Mais c'est pas ça, c'est pas ça du tout. Mais j'ai longtemps eu moi j'ai un beau schéma évident le tapis, puis on évite, puis on n'y va pas. J'ai évité parce que je crois qu'aller dans la profondeur de son histoire ou la profondeur de son être et redéfinir avec cohérence avec qui on est et nos valeurs, aujourd'hui, il y a des ondes de contraction, ça fait partie du processus Contraction, expansion, découverte, émotion d'aller à la rencontre de ça, surtout pour comprendre le message. Je ne sais même plus de quoi ta question.

Speaker 2:

La question, c'est d'avoir peur, peut-être d'avoir oublié?

Speaker 1:

Oui, par rapport Si je change par rapport à.

Speaker 2:

Je suis allée dans la contraction. Dans ton cas, c'est la perte d'un enfant. Mais si je vais de l'avant, qu'est-ce qui se passe après?

Speaker 1:

Oui, puis pour moi, on dirait que ce n'était pas, que j'avais peur. no-transcript, et je ne suis pas toutes les étiquettes que j'ai pu porter. Donc, qu'est-ce que je veux devenir? Je dis devenir, mais en fait, c'est qu'est-ce que je m'autorise à montrer de moi, parce que je ne sais pas si on devient ou si on est déjà, ou c'est toute une question. Qu'est-ce que je suis prête à véritablement être?

Speaker 2:

Qui suis-je prête à être véritablement? Oui, Ici, maintenant, je suis prête à être sans égard à l'âge. Pour moi, c'est tellement important de dire que ça n'a rien à voir avec l'âge. Ce n'est pas parce qu'on a atteint, par exemple, le 50, 52, 55, que la vie est finie et qu'il est trop tard pour changer.

Speaker 1:

Et je pense que c'est toujours aujourd'hui le meilleur moment pour changer, Ce n'était pas hier.

Speaker 2:

Il y en a qui vont dire le meilleur moment pour changer c'était hier, mais sinon c'est aujourd'hui. Non, c'est maintenant, C'est quand je suis prête, C'est quand je le sens.

Speaker 1:

Exactement parce que, toutes ces années-là, même si quelqu'un m'avait dit c'est important, dis tes affaires, mets tes limites, puis arrête de vouloir être parfa, c'était pas prêt. Donc, quand ton corps te parle, quand tes pensées ruminent sans arrêt, notre petite voix intérieure, parce que ça m'a permis de me reconnaître à mon intuition en tabarouette, parce que je ne l'entendais plus, elle était cachée dans le blindage, l'intuition, la petite voix. Puis je dis j'y ai jamais trop tort, parce que ça fait combien d'années que c'est teinté de ton histoire de schéma automatique de rumination de prix. Là-dedans, toutes les années qui restent à se libérer, vivre épanoui, se faire confiance, prendre des décisions, s'assurer que ça vibre réellement à l'intérieur. Pis, c'est pas un oui déguisé ou pas, au nom de toutes les mères font ça ou on peut pas faire ça à 40 ans, laisser son emploi, donc, ça permet de sortir de toutes les exigences qu'on nous a achetées de la société et de vivre bien plus en cohérence. Je te le dis là, mon corps, il fait.

Speaker 2:

Ah, enfin. Puis là, moi, ce que je perçois pour les gens qui écoutent en ce moment, que ce soit sur YouTube ou une plateforme audio, c'est Ok, mais attends, on commence, comment? Par où puis-je commencer? Parce que je suis convaincue que le contenu de l'épisode résonne énormément sur le blindage, le fait d'être caméléon aussi, de s'être littéralement ajusté au monde extérieur et non pas à notre intérieur. Est-ce que tu as un exercice, une proposition, une question avec laquelle on pourrait déjà jouer pour instiller le chaos dans les pensées? Puis instiller le chaos, c'est génial, parce que quand on instille le chaos, c'est comme si, là, on vient de mettre une petite bombe, une chouette bombe, une bombette, pour commencer à faire branler tout ce sur quoi on s'est bâti et permettre à l'univers de conspirer et de créer un nouvel espace. Qu'est-ce qu'on pourrait?

Speaker 1:

Ce que j'utilise encore dans le quotidien. S'il y a quelque chose qui me déclenche à l'extérieur un commentaire, un mot, une chanson, n'importe quoi, puis que ça me fait vivre une émotion, parce que l'émotion, elle arrive avant la pensée Ça me fait vivre une émotion Déjà. Le premier morceau, c'est d'observer qu'est-ce que je me dis dans ma tête, qu'est-ce que je me dis. Si je pars en dis Ah, mon Dieu, on réglera ça plus tard, ou On verra ce que ça donnera, ou Ça y appartient, ou Je ne vous dirai jamais ça. J'ai passé pour une folle.

Speaker 1:

Observer déjà ses pensées, puis chacune des pensées, l'exercice de reprogrammation à travers ça, c'est comment, déjà, je peux aller flipper les pensées parce qu'elles autres, elles vont faire grandir mon émotion. Fait que si, mettons, je ne sais pas, tu me dis présentement Jessica, tu as trop parlé, pouf émotion, j'ai-tu été correcte? J'ai-tu trop parlé? C'était-tu pertinent? J'espère que les gens vont aimer ça. J'espère que, karine, comment je peux flipper ça? J'ai été à mon meilleur, je pertinents, les gens pourront faire le tri à travers ce que je dis. Karine est flexible, elle me le dit. Comment je peux déjà flipper mes pensées pour que mon état se transforme, parce que ce qu'on veut, c'est se sentir le mieux possible, le plus souvent possible dans notre vie. Mais les chimies automatiques sont super forts.

Speaker 2:

J'adore. Ça prend quand même beaucoup de courage. c'est le mot que tu as utilisé pour beaucoup de courage. C'est le mot que tu as utilisé pour commencer à se dire est-ce que j'ai envie de flipper mes pensées? Est-ce que j'ai envie, moi, je parle d'un virage à 180, est-ce que je veux flipper à 180 ma pensée? Parce qu'elle est rassurante, mais pas vraiment rassurante. Mais quand on est sur le pilote automatique, on aime ça, se dire j'ai-tu Jessica? elle aimait ça, être avec moi, peut-être qu'elle n'a pas aimé ça, peut-être qu'elle aurait aimé mieux. Dans le fond, je reprends parce qu'on a chacun notre point de vue.

Speaker 2:

Puis là se dire OK, et si j'avais été à mon meilleur, et si j'avais ouvert les bras à Jessica.

Speaker 1:

Ça, ce switch de pensée, ça demande du courage En premier, ça demande de l'observation de soi. On est en train de glisser dans un discours qui est un programme du cerveau, qui est habitué de se répéter ça depuis des décennies et des décennies. On est dans le pattern solide, pattern solide, tu sais. Et une fois qu'on développe cette observation-là, ah bien, attends un peu le meuble-là. Je suis-tu encore en train de me taper sur la tête? Qu'est-ce que moi, en ce moment, de me répéter ces phrases-là? L'intention positive de ces phrases-là, c'est à quoi elles me servent, les petites phrases pas fines? À quoi ça me sert de me dire que les gens peuvent trouver ça trop long ou qu'ils s'en chament? À quoi ça me sert? Est-ce que ça me sert à chercher à me valider? Est-ce que ça sert à me sentir que j'ai été à la hauteur? Est-ce que ça sert à Me faire flatter?

Speaker 1:

Clairement souvent, c'est ça. Je ressens une émotion. Mon système de pensée, part premier morceau. Être conscient qu'on part, s'observer. Est-ce que j'ai envie de le flipper? Et si je n'ai pas envie de le flipper, quel gain j'ai à rester dans ces boucles-là? À quoi ça me sert? Quel est le gain à?

Speaker 2:

rester là? Quel est le gain à rester dans vos pensées? C'est tellement important? Quel est le gain de dire je suis trop vieille? Quel est le gain de dire ça ne marchera jamais, je n'aurai jamais de chum, je ne pourrai jamais changer de job, je ne serai jamais populaire, je n'aurai jamais de succès, je n'écrirai jamais de livre. C'est quoi le gain?

Speaker 1:

On gagne quelque chose, c'est notre saboteur. Qu'est-ce que je gagne? à jouer petit, à ne pas souffrir et de rester en lien. Ça, c'était mon gain caché. Rester en lien avec les gens, avec la famille, avec les amis, avec l'emploi, c'était le gain caché. Ok, ça veut dire qu'on ne déplait pas, est-ce?

Speaker 2:

que c'est ça que j'entends.

Speaker 1:

En fait, la plus grande menace pour notre cerveau, c'est le rejet et ne plus faire partie du clan, ça, c'est la mort pour lui. Ça me protégeait de rester en lien, de faire partie du clan, de ne pas être rejetée, de ne pas mourir, donc de rester en sécurité. Mais ça, je ne le savais pas, que je ne le savais pas, karine, ça a pris du temps. De la conscience, de la compréhension. Quand j, de la compréhension, tu sais, quand j'accompagne les femmes, on y voit en premier, par la compréhension, comprendre ton fonctionnement, comprendre ton cerveau, parce que c'est ce qui amène à faire Bien, c'est ça, C'est ça qui fait que je rumine, c'est ça qui me déclenche.

Speaker 2:

C'est pas comprendre la situation, c'est comprendre le fonctionnement du cerveau, c'est complètement différent, parce que des fois, on va dire j'aimerais ça comprendre, pourquoi ça m'est arrivé. Non, non, non, non, ce n'est pas ça qu'on veut nécessairement saisir ou décoder, on veut juste comprendre ton mode de fonctionnement.

Speaker 1:

Exact, ta réaction, ton schéma déclencheur émotion, le pattern qui est là depuis combien de temps est-il encore utile aujourd'hui, ton cerveau.

Speaker 2:

Il a quel âge en ce moment? Quel âge, Quel âge? Ça, c'est une de mes questions préférées. Toujours 4 ans à peu près. Il doit se passer bien des affaires à 4 ans.

Speaker 1:

Dans l'auto, en m'en venant, j'ai eu un petit, je confondais la part, je confondais le trac, puis, après ça, je me suis surprise à penser de mon cerveau il y a quel âge là? Pour vouloir être bonne, pour vouloir que Karine soit contente. Pas loin, on est en maternelle.

Speaker 2:

On est en maternelle. On a dû probablement se lever debout et devoir s'exprimer devant du monde.

Speaker 1:

Je le sais, qu'on a peur par moments, puis que ça semble gros, puis terrorisant, puis en même temps, et que c'est beau, cette complexité-là et cette grandiosité-là de l'être humain, quand je la vis, en comprenant qu'en ce moment je me sens pas en sécurité, puis je vais aller chercher ce qu'il y a en dessous de ça pour me sentir nourrie, remplie, et me comprendre et m'aimer davantage. C'est surtout ça le plan, c'est une prescription à vie, ça, oui, oui, s'accueillir, s'aimer, grandir, être lucide envers soi, avoir le courage d'être soi-même.

Speaker 2:

L'auto-questionnement, tu sais, fait partie de ce que j'aime, de ce que t'aimes aussi, parce que quand on commence à juste être curieuse, être engagée envers nous-mêmes, je réagis toujours de la même façon. Mon amoureux dit ça quand mes enfants. Moi, j'ai trouvé que l'impact de l'autocestionnement sur la vie familiale était extraordinaire, parce que ce sont nos plus grands maîtres, la famille. Ils savent comment appuyer sur les boutons, puis, en même temps, s'autoriser à poser des questions par nous-mêmes. Ça peut être ardu au début?

Speaker 1:

Oui, absolument. Puis, il y en a une qui me vient en boucle dans la tête depuis tantôt, qui me? J'ai plein de questions, baromètres, puis de situations dans ma vie qui me permettent de De te ramener, de ne pas perdre tout ce temps-là à spinner dans des vieilles patentes, mais utiliser ce que j'ai vécu pour qu'est-ce que ça m'apprend sur moi, qu'est-ce que je vais mettre en place, et tout ça. Puis, ma question, une de mes questions préférées en coaching et en auto-coaching, c'est combien de temps encore je veux vivre X ou me sentir comme ça? Combien de temps encore je veux me taper ça à la tête? Combien de temps encore je veux avoir peur d'être visible au grand monde? Combien de temps encore? Ça, c'est une belle question au niveau des croyances. Puis, tu sais quoi, karine, quand ma réponse, c'est je me laisse deux semaines. là, j'ai un morceau important dans ma vie perso, j'ai un message important à livrer Et je me suis demandé combien de temps je me laissais encore, et c'est le 1er mars.

Speaker 1:

Alors, le temps que j'ai dit, je me laisse jusqu'au 1er mars pour placer mon état, observer l'émotion que ça me fait vivre, découvrir que c'est des peurs qui appartiennent à quand j'étais plus petite. bien, je me fous la paix. après, c'est pas. ah ouais, vas-y, let's go. c'est là. Ah non, je ne suis pas prête. Là, c'est de la chicane des parties intérieures. Ah oui, c'est là que tu y vas. Non, ce n'est pas prête. Ah oui, là, c'est la maman intérieure qui chicane la petite intérieure. Donc, à partir du moment où je me dis je me laisse combien de temps encore? mon cerveau, il sait que j'accueille le temps que j'ai besoin aussi à travers ça, parce que je m'en vais dénouer quelque chose d'important. puis je le sais, puis je l'accueille, puis je le sais que c'est un beau morceau qui s'en vient.

Speaker 2:

Tu sais, tu disais tantôt, au début, quand toi et moi, on était seuls, sans caméra, à quel point certaines personnes disaient mais voyons, tu es tout le temps accompagnée, tu as tout le temps un coach de ci, un coach de ça. C'est justement pour voir ces angles morts-là. Exact, on tripe sur l'autocestionnement, mais à un moment donné, tu ne sais plus quelle question te poser parce que tu ne fais qu'être dans ta chambre d'écho. Toi, tu aimes ça quand on te sort un peu de ta zone et de découvrir ce que j'ai pas vu.

Speaker 1:

Par mécanisme inconscient d'omission, j'adore faire ah. Puis moi la stupéfaction. C'est une émotion que j'adore. Ah, j'ai jamais vu ça de même.

Speaker 1:

C'est ça j'aime ça, c'est sûr que j'ai la valeur évolution et tout ça. Puis, tu sais, là, on vient encore de prendre, avec mes fils, un accompagnement pour mon chien. Et là, ma soeur me dit Mais oui, on donne un accompagnement pour ton chien». Puis, en même temps, ce qui se cache derrière ça, c'est l'envie d'être bien au quotidien, de me sentir alignée, d'avoir du plaisir avec mon chien, d'impliquer les enfants dans ce positionnement-là. parce que ce qui est caché derrière cet accompagnement-là, ce n'est pas un accompagnement pour le chien, c'est un accompagnement pour les humains Se positionner, avoir la posture, s'affirmer avec la visite qui arrive en maison. Alors on va tous se développer comme êtres humains à travers ça.

Speaker 2:

Tu sais, on se développe comme être humain à travers absolument tout ce qui se produit dans notre vie.

Speaker 1:

Absolument Même l'accompagnement d'un chien. Même l'accompagnement d'un chien.

Speaker 2:

Des fois, on a l'impression qu'on est en train de reculer et qu'on se taigne, et qu'on est dans le bas de la côte. Non, c'est un accompagnement humain, c'est une évolution.

Speaker 1:

Absolument à dire, ou que j'ai des clientes qui disent j'ai tellement l'impression de reculer. Mon recadrage préféré, c'est si tu étais juste en train de prendre ton élan, ce n'est pas là pour te propulser. Parce qu'au bout du compte, c'est toute une question de comment j'interprète, comment je me parle dans ma tête, comment je perçois les choses. Parce que si je pense que je suis en train de reculer, mon état est comment Pouet-pouet, pouet-pouet, vibration, pouet-pouet. Si je pense que je suis en train de prendre mon élan, qu'est-ce que j'ai besoin de placer dans mon corps, dans mon environnement, dans mes pensées pour m'énergiser et faire ce bon-là?

Speaker 2:

Ça change tout au quotid des questions Maison, la puissance des questions. De grâce, écoutez, il y a Jessica qui est là, disponible pour vous, si jamais ça vous tente d'évoluer, d'explorer l'univers de la question, puis de l'accompagnement, en fait, parce que ça donne des ailes pour plus tard, ça donne des ailes pour après. C'est pas un accompagnement de dépendance, c'est un accompagnement pour comme. Voici comment on peut shifter notre pensée puis être moi, j'aime t'employer la stupéfaction, j'aime tellement ça, comme ah, j'y avais pas pensé, c'est ça qu'on veut créer dans notre vie, j'avais jamais vu ça de même.

Speaker 1:

Pour moi, la grande, le grand but, c'est de devenir le plus possible autonome dans la régulation de ses émotions, dans notre discours intérieur, dans comment on veille sur nous, dans comment on impacte notre monde à toutes les sphères, nos enfants, notre amoureux, Nos amoureux oui, j'ai un petit correct ça, parce que plus c'est cohérent avec qui je suis aujourd'hui. ça, c'est bien important pour moi, parce que je ne me contente plus de pouvoir. aussi, je pense que ça permet à tout le monde de le faire. Ça inspire. J'ose croire que ça inspire.

Speaker 2:

Clairement, qui serais-je si je ne me contentais plus?

Speaker 1:

Si je créais? Parce que pour moi, si je ne me contente plus, je crée, je crée, et là la stupéfaction est au rendez-vous. Ça me donne tellement un énorme frisson.

Speaker 2:

Et là, la stupéfaction est au rendez-vous. Ça me donne tellement un énorme frisson, jessica Raymond, encore plus de toi dans mon univers, cette énergie-là, ces questions, cette intelligence. Merci tellement d'avoir impacté mon monde et le monde de tout le monde qui écoute.

Speaker 1:

Que ça fait du bien et merci pour cet accueil-là, Ces questions-là, ça fait du bien de se livrer Et à chaque fois que je parle, ça me permet d'en apprendre encore sur mon cheminement. Alors merci pour ça, Karen.

Speaker 2:

Oh, un immense bonheur. Puis, j'espère, à tout bientôt.

Speaker 1:

Oui, merci, merci.

Se Choisir Et Se Transformer
Découverte De Soi À Travers l'Équilibre
Découvrir Et Libérer l'Histoire Intérieure
Évolution Et Conscience De Soi
Créer Et Impacter Dans l'Univers