24. Renaissance et créativité, avec Claudine Pépin

Redécouvre la puissance cachée des transitions physiques à travers une conversation empreinte de légèreté et  de joie  avec Claudine Pépin, hypnothérapeute et naturopathe.

Claudine nous guide vers une acceptation sereine des étapes de la vie.

Comme des milliers de femmes, tu crains peut-être ce tournant vers la ménopause, mais prépare-toi à être inspiré par notre échange qui révèle cette étape comme une période de renaissance et de créativité.

Avec Claudine, on démonte les peurs, en apprenant à écouter notre corps et à dialoguer avec ce précieux partenaire pour une transition harmonieuse.

Les discussions autour des blessures telles que l'injustice et le besoin de contrôle, souvent ancrées depuis l'enfance, t'ouvriront les portes d'une vie relationnelle apaisée et épanouie.

Célébrons ce voyage vers l'amour de soi et une existence plus expansive!

Claudine est juste wow!

Tu peux trouver Claudine ici sur Facebook
https://www.facebook.com/claudinepepinhypnotherapeute/

Instagram  de Claudine Pépin est ici
https://www.instagram.com/claudinepepin/

Son site internet c'est ici
AUTO HYPNOSE GRATUITE!!
https://www.claudinepepin.com/

Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
www.karinechampagne.ca/impact

Pour explorer l'univers de la question:
www.karinechampagne.ca 

Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Classé top 40 au Canada, langues anglaise/française confondue.
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

www.karinechampagne.ca
www.karinechampagne.ca/podcast
www.karinechampagne.ca/impact

Transcript

Speaker 1: 0:40

La journée où tu rentres dans l'acceptation, tu rentres dans la création. Donc, j'accepte que j'ai 50 ans, que mon corps a décidé que la priméno-pose s'installait, que tu sais tout ça. Et là, qu'est-ce que j'ai 50 ans que mon corps a décidé que l'après-ménopause s'installait, que tu sais tout ça. Et là, qu'est-ce que j'ai envie de créer avec Wow.

Speaker 2: 1:11

Aujourd'hui à l'émission, on va parler de la jouissance, de la reconnexion à soi grâce à la ménopause. Pouvez-vous imaginer le mot jouissance, le mot reconnexion et le mot ménopause tout ensemble dans une seule phrase? Oui, c'est possible Et notre invité l'a expérimenté. J'ai tellement hâte de m'abreuver de ses paroles, de sa sagesse et de son savoir. Claudine Pépin, hypnothérapeute, naturopathe, es-tu prête à impacter le monde? Ah, oui, ok, merci, grand plaisir que tu sois avec nous aujourd'hui pour ce délicieux sujet qui s'appelle la ménopause. Toute une étape, toute une étape. S'il y a une chose, déjà d'emblée, que tu voulais dire aux gens à propos de la ménopause, ce serait quoi.

Speaker 1: 1:58

Ça serait qu'on peut la traverser sans perdre le contrôle. Contrôle sur ton corps, ton couple, ta vie au complet. C'est parce qu'il y a tellement de peurs qui sont reliées à ça. Quand j'ai traversé ça au début, ça a été vraiment comme un réel tsunami. Je dirais, Jusqu'à temps que je vois tout ce qui se passait, que j'ai pris comme un pas de recul et que j'ai fait OK, là, attends, Il y a quelque chose à faire.

Speaker 2: 2:25

Attends, c'est ça, ok. Juste avant ce coup de deux par quatre cosmique, il y a une expérience qui s'appelle la ménopause. Il y a un changement dans ton corps.

Speaker 1: 2:38

Qu'est-ce qui se passe à ce moment-là? 15 par des coachs. J'ai fait des compétitions fitness et tout ça Fait que, tu sais, je suis restée dans cette scène, d'habitude-là, tu sais, avec un beau rythme de vie, un beau lifestyle, et tout ça. Puis là, je sentais que mon corps commençait à m'envoyer des signes que je n'écoutais pas tant et que je ne savais pas que c' faire suivre par quelqu'un d'autre. Donc, le 2 par 4 cosmique fut un gros 15 livres en 3 mois, avec ce changement de coach-là– Une prise de poids, oui une prise de poids.

Speaker 2: 3:14

Oui, oui, pas une perte de poids, une prise de.

Speaker 1: 3:20

J'ai-tu dit prise, ça veut dire que je n'avais pas rien lâché, j'avais continué. Mais là, ça n'arrêtait plus de monter. Et ce coach-là, quand j'avais commencé avec lui, j'avais déjà dit c'est comme, je débute une première nopoche. Je vois que j'ai les hormones qui fluctuent, qui bougent À chaque rencontre. Il me disait toujours On va attendre tes prises de sang, mais c'est juste que j'ai beaucoup, quand même, de capacité à reprendre le contrôle sur ma vie, parce que des fois, on perd un peu le contrôle, et c'est juste pour mieux le reprendre après. Et là, à un moment donné, je me suis dit Non, non, non, ce n'est pas quand on va avoir des prises de sang, il n'y a rien qui va changer, c'est pas vrai qu'on se fie juste à ça. J'ai dit il y a quelque chose qui ne marche pas. Donc, j'ai tout abandonné, j'ai fait un step back Et là, j'ai commencé à m'observer.

Speaker 1: 4:13

C'est sûr que je travaillais déjà en hypnose, en énergie. Ça fait longtemps qu'on travaille ensemble, exact, avec les questions et tout le reste. Ah oui, c'est ça. Là, j'ai juste pris un pas de recul. Puis, là, j'ai regardé tout ça et là, je me suis dit non, non, non, ce n'est pas comme ça que moi je la choisis, ce n'est pas comme ça que j'ai envie de la traverser. Et surtout, ce qui est important, puis, ce que je dis à mes clientes, c'est prenons en note.

Speaker 2: 4:41

Oh ça, il y en a beaucoup.

Speaker 1: 4:42

Ah, il y en a. Il y en a, mais on ne réalise pas, hein. On ne réalise pas toutes les croyances qu'on a mises dans notre panier, puis que là, là, tu sais, on fonctionne avec là jusqu'à temps que ça t'arrive. Puis, là, tu fais, je crois ça, moi, tu sais, quand tu commences à les regarder là, Peux-tu me dire quelques croyances, peut-être que plusieurs de nos auditrices pourraient avoir Justement la prise de poids.

Speaker 1: 5:09

c'est comme si c'était une fatalité. Oui, primer nos pauses, tu prends du poids. Il y avait quelqu'un qui m'avait dit souvent, c'est comme un peu à répétition- tu vas voir, claudine, tu vas épaissir.

Speaker 2: 5:22

Le mot épaissur, je l'ai eu aussi, je me disais je vais devenir épaisse.

Speaker 1: 5:27

Mais c'est ça, tu vois épaisseur Là, quand je combattais ça, parce que c'est comme attends as-tu raison.

Speaker 2: 5:36

Donc à quel point je dois être rigide dans mon alimentation pour prouver qu'elle a tort. Là, il n'y a pas de connexion, il n'y a pas de jouissance du corps. Non, non, non, Il n'y a pas d'écoute.

Speaker 1: 5:46

C'est comme tu déconnectes complètement, parce que là, tu combats juste les croyances que tu as achetées. Il y a ça, c'est un peu fini.

Speaker 2: 5:56

Oui, 50 ans, c'est fini.

Speaker 1: 6:08

À partir de 50, c'est le début de la fin. Mais c'est fou de croire ça Tout en nettoyant ça, puis en épurant ça. Moi, j'ai dit c'est à partir de là Parce que il y avait aussi le corps, le corps que tu as eu avant. C'est sûr que le métabolisme s'est ralenti. Il y a plein de choses qui sont vraies là-dedans, oui, mais on peut adapter notre métabolisme, être plus à l'écoute. L'alimentation, même chose, l'entraînement, la perte musculaire aussi, oui ça vient avec.

Speaker 2: 6:36

Je me suis rendue compte. C'est intéressant, parce que quand tu es jeune femme avec des enfants, on prend les enfants, on soulève les enfants, on est toujours à l'effort, on prend les sacs d'épicerie. On a peut-être plus de sacs d'épicerie parce qu'il y a plus d'enfants. Mais là, je me rends compte aussi, je ne soulève pas autant de poids qu'avant parce que je n'ai plus les enfants. Il y a moins de choses à traîner. Je suis comme aussi la perte musculaire Dans mon rythme de vie, dans mon lifestyle.

Speaker 1: 7:06

Donc qu'est-ce que je peux faire pour Oui, puis, tu sais, c'est vraiment comme dans les études, c'est comme on perd la masse musculaire en vieillissant, sauf qu'on peut choisir autre chose. C'est pas une fatalité, tout ça.

Speaker 2: 7:21

Donc comment on peut revoir, à partir de maintenant, l'arrivée de la ménopause dans notre vie. Je pense que ça, c'est vraiment ouvrir son regard et s'ouvrir sur les autres possibilités de reconnexion. Je vous l'ai dit en introduction, les mots de base qui allaient ensemble, c'est jouissance, reconnexion, ménopause. Alors, qu'est-ce que tu as expérimenté, toi, pour pouvoir, à travers tous les outils que tu connais, tu en as même créé une formation en disant attends, je viens de trouver quelque chose d'intéressant.

Speaker 1: 7:49

Bien, le plus grand, la plus grande prise de conscience qu'on doit faire, c'est d'accepter où tu es, d'accueillir ce qui est Oui, arrêter de résister. Arrêter de résister Parce que la résistance et de résister, arrêtez de résister, parce que la résistance, et ça, je l'ai expérimenté, c'est toutes des choses que j'ai faites avec mon corps. Mais la résistance, ça vient créer une inflammation. Si tu relâches la résistance, tu vas réaliser à quel point tu relâches une inflammation. Fait que l'inflammation résistance vient de la non-acceptation. Oh, tu comprends, ça a tout été des étapes À mesure que je faisais. Ça, c'est un parcours, c'est un cheminement.

Speaker 1: 8:31

J'en ai d'autres étapes au cours de ma ménopause que j'expérimente, mais ça, c'est vraiment comme La non-acceptation. Tu regardes le corps que tu avais avant, tu regardes l'énergie que tu avais avant, tu regardes tout ça. Donc, tu n'es pas capable de créer rien parce que tu es dans toute l'énergie du passé. Tu ne peux pas créer, tu fais juste ruminer, ressasser. Alors, la journée où tu rentres dans l'acceptation, tu rentres dans la création. Donc, j'accepte que j'ai 50 ans, que mon corps a décidé que la pré-ménopause s'installait, que tu sais tout ça et là, qu'est-ce que j'ai envie de créer avec, et ça, ça a été vraiment tout un changement. Ouais, ouais.

Speaker 2: 9:17

Ben oui, là, t'as relâché beaucoup. Entre autres, c'est le mot qu'on va employer aujourd'hui. Pis, il résonne vraiment avec moi. Beaucoup de rigidité. Et si on s'autorisait, avec la cinquantaine, à être encore plus fine avec nous, plus douce, ça fait du bien hein?

Speaker 2: 9:34

Ah oui, juste de le dire, ça fait du bien, on le perçoit énergétiquement. Fait que s'il y avait de la rigidité à relâcher, lâchée sur OK, ça ne sera plus de la même façon. Je n'ai pas besoin d'aller me chercher un nouveau coach, je n'ai pas besoin d'aller me chercher un autre nutritionniste, j'ai besoin de connecter avec mon savoir infini.

Speaker 1: 9:50

Et c'est là que, souvent, tu vas attirer la bonne personne ou la bonne stratégie. On essaie toujours de faire l'inverse, parce qu'on veut rester dans le contrôle, on veut rester dans la rigidité. Donc, je veux absolument mon corps d'une certaine façon. Donc, là, je suis rigide, rigide, rigide. Et souvent, quand moi j'ai fait des déblocages, quand j'ai fait des prises de conscience, ou que je suis allée en hypnose et j'ai débloqué des parties, souvent la meilleure stratégie se présentait à moi, hum, hum. Quand j'ai décidé de relâcher la rigidité dans mon alimentation et tout ça et que j'ai accepté d'avoir une alimentation beaucoup plus libre, c'est drôle comme il y a quelque chose qui m'est apparu. Puis, cette personne-là était dans ma vie depuis vraiment très longtemps, avec sa façon d'alimentation et tout ça. Puis là, ça a juste comme fait oh my God, c'est ça qui me résonne.

Speaker 2: 10:48

Ça me vibre dans le corps au complet, claudine, parce que c'est applicable, ça, dans toutes les sphères. On parle de la ménopause, on parle de l'alimentation, ça pourrait être la business. Ah oui, le comment. Des fois, c'est ça que je vais faire, puis voici, puis, quand on relâche un peu sur, je me demande qu'est-ce qui est disponible pour mon corps et moi, je me demande qu'est-ce qui est disponible pour ma business et moi, la stratégie, l'idée, la vibration arrivent à nous, à un moment donné.

Speaker 1: 11:13

Exactement, c'est exactement ça, mais on a été habitués à chercher le contraire. Oui, toujours le contraire.

Speaker 2: 11:20

Puis la ménopause, c'est un appel à l'action, à changer notre façon de penser. J'ai envie de me taper sa cuisse. Je n'ai jamais fait ça de ma vie.

Speaker 1: 11:28

Là, c'est le temps. Mais c'est ça parce que moi, je pense que tu sais, autant on peut le voir comme le tsunami, comme on a dit, autant ça peut être une énorme résistance, autant ça peut être traversé péniblement, autant on peut choisir de créer complètement. On traverser péniblement, autant on peut choisir de créer complètement. On se réinvente. Les enfants sont moins présents, il y a une liberté qui s'installe. Donc, si tu ne te permets pas d'accéder à cette liberté-là qui se présente dans ta vie, les enfants, si tu essaies de les retenir, c'est comme ça ne fonctionnera pas. Donc, c'est la même chose, c'est tout de s'autoriser à se recréer complètement.

Speaker 2: 12:07

Et ça peut être, oui, terrorisant, oui, ça peut être effrayant, oui, on peut se dire, Parce que ça veut dire lâcher prise, ça veut dire relâcher sur tout ce qu'on connaît pour vraiment se tourner vers un canevas blanc. Oui, qu'est-ce que je crée à partir de maintenant?

Speaker 1: 12:25

Ah puis, c'est vrai que ça fait peur là.

Speaker 2: 12:27

Est-ce que tu l'as perçu comme étant épeurante aussi dans ton univers, quand tout ça commence à virer Bien, je trouvais ça plus vibrant, moi, quand j'ai compris l'acceptation, puis que j'ai arrêté d'être dans le passé.

Speaker 1: 12:39

Je suis une fille quand même très créatrice. Donc là, entrer dans comme Oh my God, je peux tout aller vers ce que j'ai envie. Et quand on parlait de la rigidité la rigidité, quand on la vit dans l'alimentation, le corps va toujours t'envoyer des signes comme quoi Je ne suis pas bien, je ne suis pas bien dans ta rigidité, mais on ne les écoute pas. Souvent, on va être rigide dans notre alimentation durant la journée, on va offrir une résistance, on essaie de se contrôler tout le temps, on n'écoute pas les envies, et tout ça Et là, on arrive le soir, puis le corps lui non, non, je ne veux plus ta rigidité.

Speaker 2: 13:15

Est-ce que c'est là que tu sortes dans le sac de chips des fois? Oui, c'est ça. Ça m'est arrivé deux, trois fois cette semaine.

Speaker 1: 13:27

Tu un peu rigide, j'avais pas assez de bouffe à la maison, mais c'est vraiment ça. C'est le signe là, c'est qu'il arrive. En fin de journée, le corps, il fait juste. Moi, j'ai plus envie d'être rigide, je veux juste relâcher. S'il te plaît, en fin de journée, fait que là il nous emmène des envies, tu sais, très, très spontanées. Là, on se juge, on n'est pas fiers de nous, sauf que, souvent, ce que je disais à mes clientes, c'est comme tu n'as pas besoin d'une petite collation d'après-midi pour pas que ça t'arrive ou ci ou ça, non, tu as juste besoin de relâcher la pression que tu t'exiges durant toute la journée. Relâche la pression, relâche la performance, relâche la rigidité.

Speaker 2: 14:05

Là écoute, je me mets dans la peau des spectatrices. Comment on fait Exactement Comme c'est possible, comment on fait. Quelle serait la première proposition que tu pourrais faire aux gens pour relâcher la pression, la performance?

Speaker 1: 14:22

C'est sûr que de revenir dans l'œil ici et maintenant, ça c'est déjà. Revenir dans l'œil ici et maintenant, ça c'est déjà. Puis, revenir dans l'œil ici et maintenant, pas besoin de t'asseoir devant la fenêtre et de méditer assez. Non, ce n'est pas ça, mais concentre-toi sur ce que tu es en train de faire présentement. Tu fais la vaisselle, fais la vaisselle.

Speaker 2: 14:42

Karen Larocque, épisode 15. Je veux juste le pointer parce qu'elle en parle. Puis elle sa question pour être dans l'œil ici, maintenant. C'est où est mon corps, où est mon esprit? C'est comme tu te ramènes complètement.

Speaker 1: 14:55

Mais moi, le truc que j'ai, c'est de penser à tes pieds.

Speaker 2: 14:58

Oui.

Speaker 1: 14:59

Parce que quand tu penses à tes pieds, ton énergie est complètement dans une pôle opposée. Tu ne peux pas être dans tes pieds et dans ta tête en même temps. Au lieu de prendre ton téléphone entre deux clientes, va à la salle de bain et regarde tes pieds, assieds-toi sur la toilette et regarde tes pieds encore. Juste, prendre plus le temps de descendre l'énergie vers le bas, ça, ça va vraiment faire du bien. Et ça se peut que tu aies des blocages intérieurs aussi qui font que tu fonctionnes, parce que la rigidité vient de la blessure, de l'injustice.

Speaker 2: 15:33

Ça, c'est une grande porte que j'avais hâte que tu ouvres.

Speaker 1: 15:36

Ça vient de là. On fonctionne à partir souvent des cinq blessures de l'âme. Là, aujourd'hui, on touche un peu à l'injustice, mais c'est ça ça nous emmène à être dans une grande rigidité. Donc, si tu veux relâcher la rigidité, c'est que tu es en train d'enlever ton masque. Un truc pour enlever ton masque, c'est quand tu annules un rendez-vous, ou quand tu annules une copine et que tu ne te justifies pas. Tu es en train d'enlever ton masque de l'injustice. Juste, ça Justifier rien. Non, je ne serai pas là finalement. Ça ne convient pas pour moi. C'est juste. tu sais qu'on est en train de guérir quand on fait ça.

Speaker 2: 16:22

Parle-moi de la blessure, un peu de l'injustice. Moi, j'ai entendu souvent celle du rejet, celle de l'abandon, qui sont peut-être, en tout cas que j'ai entendues, que j'ai perçues comme étant peut-être un peu plus soulevées. Quand tu m'as ouvert la porte sur la blessure de l'injustice, je me suis dit ça, ça m'intéresse. Je suisest-ce que c'est la blessure de l'injustice, comment ça se présente dans notre vie.

Speaker 1: 16:49

Les blessures, ça a toujours été créé entre 0 et 7 ans, tout dépendant de la blessure et tout ça. Ça se présente souvent en ayant vu, en ayant subi de l'injustice, en étant victime un peu de situations où ça ne fait pas vraiment notre affaire. Dans la blessure de la trahison, on devient un peu contrôlant pour ne pas être trahi encore, mais dans la blessure de l'injustice aussi, il y a beaucoup de contrôle. C'est juste que on y touche différemment, c'est comme on l'utilise différemment dans notre corps, mais c'est un peu la même chose. Mais souvent, la blessure de l'injustice, ça peut te permettre vraiment d'aller au point A ou au point B très facilement, parce que tu es très déterminé. C'est ça. Il y a comme une énergie.

Speaker 2: 17:40

Il y a du bien, Il y a du bon là-dedans. Oui, dans tout il y a du bon.

Speaker 1: 17:43

Mais c'est ça, il y a une belle énergie, mais c'est que, jusqu'à un moment donné, se rendre compte que là, je suis peut-être trop dans la rigidité, je ne me permets peut-être pas assez, justement, de relâcher de vouloir décider pour les autres, justement, beaucoup envers soi aussi, parce que ce qu'on ne veut pas, pourquoi on a décidé d'être rigide, c'est pour ne pas revivre de l'injustice. Ça, c'est comme une fausse façon de se protéger, en fait, parce que si on a à vivre de l'injustice, on va en vivre pareil.

Speaker 2: 18:17

Et tu as parlé du mot contrôle. Puis je voudrais juste faire à main levée. Je sais que je ne vous vois pas en ce moment, mais s'il vous plaît. Qui a la perception d'être un peu dans le contrôle. Est-ce que vous pouvez lever les jambes?

Speaker 1: 18:29

les pieds.

Speaker 2: 18:29

Combien de parties du corps pouvez-vous soulever avec le contrôle que vous voulez exercer sur votre vie?

Speaker 1: 18:36

Ça prend beaucoup, une très, très grande introspection aussi, puis de se regarder avec beaucoup d'amour parce que, tu sais, des fois, on va dire ça, c'est comme ah, t'es un peu dans le contrôle, non, non, Voyons, dis pas ça de moi, je veux jamais que tu dis ça de moi.

Speaker 2: 18:50

D'abord, on est dans le contrôle.

Speaker 1: 18:51

Oui, c'est ça, exact, c'est juste de se regarder avec beaucoup d'amour parce que c'est à toi que tu rends service. Quand on me l'a le présenté Comme ça, juste, comme ça, un matin, mais après, quand je suis capable de l'observer, j'ai vu que je l'utilisais vraiment beaucoup de moi-moi en premier, et ça, ça ne m'est plus utile, ça ne m'est plus utile. Et dans l'après-ménopause, on se réinvente. Le programme que j'ai créé pour accompagner les femmes en pré-ménopause, je l'ai appelé l'expérience Mino Queen, parce que je trouve qu'on devient vraiment des queens de notre vie. Mais ça a tellement passé proche que ce soit une renaissance. Ah oui, tu sais ce mot-là, c'est vraiment ça. Si on se permet d'être enfin la reine de notre vie, puis de se prendre en main, puis de, tu sais, c'est comme, c'est là que j'ai envie d'aller, et tout ça, ça peut se passer de façon très, très fabuleuse. Là, tu sais.

Speaker 2: 19:53

On va juste revenir un peu à toi quand tu commences à le traverser, puis que ça commence à être houleux. C'est houleux dans plusieurs sphères. Ça peut être houleux relationnellement avec notre amoureux. Tu sais, on peut comprendre, c'est des hauts et des bas. Hormonal hallucinant. Sexuellement, ça devient plus difficile. Physiquement, il peut y avoir des douleurs dans le corps, toutes sortes de choses qui remontent, Et ça aussi, tu l'as expérimenté. Oui, Je pense que moi j'ai eu tout.

Speaker 1: 20:26

Oui. Bien, on m'a dit Claudine, tu vas tout expérimenter, comme ça, tu vas mieux pouvoir aider. C'est un peu comme ça, tu sais. Mais il y a une chose aussi. Je pensais à ça en m'en venant ce matin, tu sais, mais les hormones ont le dos large, oh merci pour ça.

Speaker 2: 20:44

Comme large, oh, merci pour ça.

Speaker 1: 20:45

Comme la lune Remercie pour ça La pleine lune aussi, elle a le dos large. Oui, oui, c'est facile de comme les SPM. Des fois, on a plus d'émotions, on est plus, mais souvent, c'est des choses qu'on n'a pas nommées durant le mois, des émotions qu'on a enfouies, qu'on n'a pas dites, et là, oui, les hormones viennent comme enlever l'espèce de soupape. Mais la plupart de mes clientes que j'ai accompagnées pour les SPM, elles n'en ont plus parce qu'on a un enseignement face aux émotions, on est venu faire une décharge émotionnelle. Donc, c'est un peu la même chose avec la pré-ménopause, mais j'ai dû les travailler, c'est certain, c'est certain que le couple y a passé.

Speaker 1: 21:28

On a été dans une vague, on a été dans un tsunami, mais pourtant, tu sais, comme Quand j'ai fait un post là-dessus dernièrement, pour dire que j'ai eu beaucoup de clientes, que ça leur rejoint, parce que c'est vrai. Puis, tu sais comme on est en train de renaître, ça se peut que le conjoint ne le sache pas, ça se peut que, lui, il fasse comme un tapu T'es où, t'es qui, tu fais quoi? C'est la communication. Encore là même, quand ton couple ne va pas bien, la communication pour OK, là, je suis là. C'est comme ça que je me sens, si tu te permets toi de renaître, tu vas permettre à ton couple de renaître aussi.

Speaker 2: 22:07

OK, il y avait beaucoup, beaucoup de contenu dans les deux dernières minutes, on va revenir sur la notion que les hormones ont le dos large, que ce soit au niveau du SPM et tout. J'aime l'image que tu amènes si cette période-là où on devient peut-être un peu plus consciente, plus connectée, on ne sait pas, par exemple, qu'on est juste plus consciente, et là qu'on se rend compte que, et qu'est-ce que ça prendrait pour qu'on se rend compte que tout ce qu'on n'a pas dit pendant le mois, ça revient. Je trouve que c'est un exercice tellement extraordinaire, claudine, de faire le parallèle entre je ne me sens pas bien, mais est-ce que je ne me sens pas bien parce que c'est des hormones? ou je ne me sens pas bien parce que ça fait 40 jours ou 30 jours que j'accumule et que je ne parle pas?

Speaker 1: 22:49

Et si tu le mets sur le dos des hormones, ça va encore rester. Alors, le mois suivant, ça revient, oui, et peut-être que c'est ça à l'après-ménopause aussi, ou quand c'est vraiment difficile. Puis qu'on le traverse, parce que là le corps, il veut juste qu'on nomme Autant ton corps. Après une journée rigide, il te dit comme Hum, on peut-tu lâcher la rigidité. Imagine, tu sais, là, fait que tu sais savoir ce que tu ressens. J'ai le corps qui pétille. Si je ne me retenais pas, je serais accrochée après la lumière.

Speaker 2: 23:27

Tellement que c'est vibrant, de quelle façon tu accompagnes tes clientes ou les gens qui nous regardent, qui pourraient peut-être être intéressés dans ce discours-là, pour jouer avec la ménopause, reconnecter avec nous, reconnecter à la vie orgasmique qui est encore disponible passé 40, 45, 50 ans, peu importe où ça arrive. Par quoi on commence Est-ce que c'est l'alimentation, est-ce que c'est l'hypnose? Est-ce que c'est de noter? Qu'est-ce qu'on peut faire déjà à la maison?

Speaker 1: 23:56

C'est sûr de commencer à s'observer, de commencer à regarder comment je me sens, qu'est-ce que je vis, qu'est-ce que j'aurais envie de vivre, qu'est-ce qui me permet, qu'est-ce qui est là. Et c'est certain que moi, je crois vraiment au déblocage intérieur. Comme je disais tantôt, ce qui va être bon toi va apparaître après. Mais si c'est pas encore aligné, admettons que tu décides d'être sur tel plan alimentaire ou telle façon ou telle chose à l'intérieur de toi. Si c'est pas encore aligné, ça sera pas ça. Tu vas faire face aux éternels recommencements. Tu vas faire face à C'est de s'occuper de son intérieur. Et ça, on nous a jamais enseigné, ça Jamais. On nous a dit gère tes émotions, gère-toi, prends sur toi, gère-toi Toi. Oui, d'habitude ça venait avec ça.

Speaker 2: 24:53

Oui, apprendre à s'observer. De quelle façon pourrait-on donner quelques idées, propositions à nos auditrices pour qu'elles commencent à apprendre à s'observer? De quelle façon tu décrirais l'observation de soi?

Speaker 1: 25:17

Premièrement, ça prend une belle introspection. Moi, j'aime beaucoup les journaux écrire et je vais créer un journal pour les femmes en pré-ménopause. On va pouvoir suivre, on va pouvoir tracker nos symptômes, on va pouvoir regarder, parce que les bouffées de chaleur, ce sont encore des émotions pas accueillies, c'est encore ça. Le corps lui fait comme tu reconnais pas ces émotions pas accueillies, c'est encore ça. Le corps lui fait comme Ah, tu ne reconnais pas ces émotions-là. Tiens donc, moi, je vais les sortir par les pores de peau. Quand j'avais compris ça, quand j'avais eu quelques bouffées de chaleur durant la nuit, après ça, ça l'a arrêté, mais j'ai fait comme Ah, tu as des T'as, des émotions que toi tu reconnais, que moi j'ai pas reconnues. Ben, go, vas-y. Je l'ai autorisé. J'en ai presque jamais refait, parce que là, sinon, on résiste, j'ai encore des bouffées de chaleur. C'est tellement inconfortable, c'est vrai, que c'est inconfortable, on résiste encore. La résistance, ça crée encore une inflammation.

Speaker 2: 26:21

Avez-vous vu juste la différence avec ce que Claudine a amené? D'ailleurs, vous êtes tellement les bienvenus à venir nous taguer sur les réseaux sociaux si jamais la conversation vibre avec vous. Comment on peut réagir à la bouffée de chaleur En étant dans la rigidité? Oh non, c'est à mon tour. Je ne peux pas croire. J'haïs ça, je n'aime pas ça. Je ne sais pas pour combien de temps j'en ai. Ou encore, la façon dont tu l'as fait, qui m'a amené tellement de légèreté, c'est ça. Oh tiens, qu'est-ce qui est peut-être coincé dans mon corps? ou qu'est-ce que tu veux me dire à partir de maintenant?

Speaker 2: 26:46

Oui, c'est ça, les questions rajoutées, la magie, mais c'est relâcher, puis relâcher la conclusion de voici comment ça va se passer à partir de maintenant.

Speaker 1: 27:01

Fait que je pense que tu sais, en attendant, tu sais c'est d'écrire. Tu sais, fait que, le soir, comment je me suis sentie aujourd'hui, c'est quoi les émotions qui étaient là. Tu sais fait que se permettre vraiment un beau regard vers soi. Tu sais, fait que ça, c'est déjà un beau début de s'observer, de se regarder, et des fois, quand tu tournes tes pages, tu fais comme tu fais, une couple de soirs, je me couche en colère. Fait que là, attends un petit peu, est-ce que c'est ça que j'ai envie? encore, moi, le journal m'a permis vraiment de m'observer sur des comportements, sur des choses. Fait que c'est vraiment d'entrer dans ça pour commencer, moi, je pense.

Speaker 2: 27:37

Quel cadeau extraordinaire. Parce que, oui, on parle de journaling, d'écrire des journaux. Je l'ai vu souvent à les pages du matin, mais je trouve que c'est intéressant de l'amener avec l'intention d'observer ce qui se passe dans notre corps en lien avec la ménopause, les émotions, et là où on est rendu dans notre vie, ça, les émotions, et là où on est rendu dans notre vie, ça ouvre une porte incroyable de possibilités que je n'aurais jamais vues. Oui, je vais être curieuse de voir qu'est-ce qui coince. Puis, quand je suis coincée, est-ce que ça exacerbe les symptômes de ménopause? Ça ne veut pas dire ne pas aller voir le médecin, on s'entend.

Speaker 2: 28:14

On a une conversation vraiment juste, légèrement plus ouverte. Ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas aller le consulter, ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas prendre des hormones, tout ça. Non, c'est juste. Je me demande qu'est-ce que je pourrais peut-être intégrer de différent dans mon quotidien.

Speaker 1: 28:27

Oui, c'est ça. Tu viens juste supporter ce que tu fais déjà. C'est sûr que moi, je vais toujours prôner la bonne alimentation, je vais toujours prôner de bouger, marcher, et tout ça. Tu sais, c'est pas juste comme non. Non, juste les déblocages, t'es en business? Ben non, c'est tout. Et si tu as besoin de suppléments ou d'hormonothérapie, ou tout ça, oui, oui. Mais si tu viens dans tes blocages, puis tu viens, t'autorises à quelque chose.

Speaker 2: 28:59

Je m'en voudrais de ne pas parler de sexe avec toi.

Speaker 1: 29:04

Oh, C'est comme si tu me parles toujours de sexe quand on se voit.

Speaker 2: 29:09

En fait, c'est un appel à l'action aussi. La baisse de libido qui arrive parfois dans certains cas, ou très souvent dans le cas de la ménopause, c'est aussi un appel à l'action de soi envers soi. C'est pas une fatalité, C'est pas une conclusion Et c'est pas la fin du plaisir. Qu'est-ce que tu recommanderais? Qu'est-ce qu'on peut faire quand on parle de sexe, de libido, de ménopause?

Speaker 1: 29:38

parle de sexe, de libido, de ménopause. En fait, ça revient encore à se redéfinir autrement. Alors, comment tu as fait la sexualité avec ton conjoint avant ou avec tes partenaires avant? Des fois, c'est comme. Il y a une redéfinition. Donc, oui, il y a la communication, il y a comme se parler et tout ça, et faire attention aussi. Est-ce que c'est quelque chose qu'on achète facilement? C'est clair que c'est ça. Mais on ralentit, on s'aime, ça fait longtemps qu'on est ensemble, on se caresse, et on se définit autrement en tant que couple aussi. Donc, c'est tout ça, permettre d'être ça maintenant, au lieu de la définition de la sexualité, du nombre, de comment ça se passe le sexe, et tout ça Relâcher les points de vue.

Speaker 2: 30:23

Moi, je trouve dans ma perception, quand je parle aux femmes aussi, qui ont 50 ans, comme moi et plus, c'est comme une perception de mon corps n'est plus désirable. Oui, mon corps n'est plus adéquat. Mon amoureux n'aimera pas ce corps qui se transforme, qui est peut-être différent au niveau de la texture, au niveau de la peau. Et si ça n'avait rien à voir, c'est nos pensées qui créent cette résistance-là.

Speaker 1: 30:46

Absolument. Puis, tu sais, il faut apprendre à s'aimer de l'intérieur avant tout l'extérieur, et souvent, on a été dans cet extérieur-là. Puis, moi, j'ai vraiment vu ça dans mon parcours. À moi, c'est comme Hé, claudine, reviens donc vers l'intérieur, relâche. Tu sais, quand on m'a fait le 15 livres, ça a été beaucoup. Ça que j'ai travaillé, c'est de revenir vers moi, vers l'intérieur, puis de lâcher le paraître. On est beaucoup dans l'être, dans le faire, au lieu d'être dans l'être.

Speaker 2: 31:17

Excusez-moi de me mélanger, être Dans le faire au lieu d'être dans l'être. On est dans l'être à partir de la cinquantaine.

Speaker 1: 31:22

C'est une invitation pour moi, à devenir dans l'être, oui, oui, puis dans la sexualité. ça en est un passage aussi. C'est de reprendre un peu tous les symptômes, puis de les regarder, puis de les redéfinir Comment j'ai envie de les redéfinir. celui-là, comment j'ai envie de redéfinir celui-là. On peut tellement s'amuser avec l'après-midi de notre pause.

Speaker 2: 31:43

On parle de sexualité, on parle du corps, mais on pourrait faire une liste de 100, 150, 200 affaires qui nous identifient et commencer à dire mais est-ce que c'est encore ça? Est-ce que c'est encore ça?

Speaker 1: 32:00

Est-ce que c'est encore ça? Est-ce que c'est encore vrai L'entraînement?

Speaker 1: 32:03

j'avais un entraînement qui était aussi dans la rigidité. Tu as fait du fitness, j'ai fait du fitness, mais j'avais encore un entraînement de gym tout le mois, le même programme, et tout ça. Et quand je me suis autorisée à être libre, quand je me suis accordée plus de plaisir, quand il y a une autre formule qui s'est présentée à moi, et ça, c'est dans le plaisir total. Le matin, tu as un entraînement toujours différent. Il va se présenter à toi ce que tu as besoin, mais tu dois débloquer.

Speaker 2: 32:30

Pour moi, impacter le monde, c'est accéder à plus de légèreté, c'est accéder à plus de joie. Puis, le mot plaisir est revenu souvent pendant notre conversation. Un, à combien de reprises est-ce que je me refuse le plaisir? Puis, deux, qu'est-ce que je peux ajouter qui me ferait du bien à partir de maintenant? Tellement, qu'est-ce qu'il y a Là? tu me parles de l'entraînement. Ça a changé Au niveau de l'alimentons, cette marque-là ou ce rituel de passage qu'on va appeler la ménopause.

Speaker 1: 33:05

C'est sûr que tu y accèdes à beaucoup plus de niveaux, tu redeviens beaucoup plus dans ton présent. Le plaisir est partout en fait, il s'agit juste de se l'autoriser. Je parle aussi dans mes accompagnements les langages de l'amour. C'est ça, c'est une belle connaissance de soi de connaître ton langage de l'amour. Oui, là, ça peut contribuer au couple là. mais tu sais, des fois, je m'amuse à dire, comme c'est clair, que je vais réinventer un peu cette partie-là, parce que tes moments de qualité, puis tes délicates attentions, mais t'es toujours dans une attente que quelqu'un te le fasse. bien, c'est comme tu t'autorises, pas toi. Fait que si tu prends responsabilité de ça, puis tu te donnes du plaisir, tu te donnes tes moments de langage d'amour à quelque part. oh là, tu viens de changer quelque chose. Fait que c'est devenir comme C'est partout, puis c'est dans les moindres détails, être à l'écoute s'observer.

Speaker 2: 34:02

Je suis dedans aussi, moi, en périménopause on-off. Je ne sais jamais trop où est-ce que j'en suis dans le mois, Mais il y a eu des grandes différences. Là, je fais du belly fit. Ça fait que je fais un entraînement où je me brasse les épaules, puis je me brasse les chairs, puis je suis en petit top avec le ventre qui bouge. Je n'ai jamais eu autant de plaisir. Je suis crampée. Quand je fais ça, Je me dis let's go, Karine, lâche prise, Lâche prise. Moi, je suis une ancienne athlète d'endurance.

Speaker 2: 34:30

Puis là je suis comme vous ne voyez pas, si vous m'entendez, mais c'est vraiment dans le plaisir. Plus de bain, plus de sel, plus de crème, plus d'huile. Relâcher mes points de vue sur le corps qui se transforment, c'est ma façon aussi de me dire. J'ai le choix, je le vois, c'est clair. Où bien, j'embarque, je tombe dedans, sur, c'est épouvantable. À cinquantaine, mon père avait raison, ma mère avait raison. Où je, je brise le cycle. Puis Fred et moi choisissons ça comme. Comment pouvons-nous nous honorer encore plus?

Speaker 1: 35:04

Tellement. C'est ça l'impact, c'est ça l'impact. L'impact que tu peux avoir sur toi, c'est de choisir quelque chose de différent.

Speaker 2: 35:10

Etant mère de fille, moi, j'ai des garçons. Toi, t'es maman d'adolescente.

Speaker 1: 35:14

Oui, j'ai un garçon, trois filles.

Speaker 2: 35:16

OK, oui, excuse-moi, pardon pour le jeune homme. Pauvre Étienne, oui, pauvre Étienne, je te vois plus avec tes filles sur Instagram. C'est en même temps un message extraordinaire que tu leur laisses. Bien oui, puis aussi à Étienne, probablement, qui va vivre ça, éventuellement avec sa blonde sa copine. Assister? Qui va assister? Vous avez assisté à un accouchement. maintenant, vous assistez à la renaissance de votre femme.

Speaker 1: 35:38

Ah oui, mais oui, c'est sûr, moi je ne mets rien dans la gorge à personne, mais j'ose espérer que, par l'exemple, par les prises de conscience, et quand on débloque en hypnose, on débloque une génération avant et sept après. J'ose imaginer que tout ce que je fais, je le fais pour les autres générations.

Speaker 2: 35:58

Et rapidement en hypnose. Les femmes qui vont avec toi et qui ont l'expérience de l'hypnose voient une différence aussi au niveau de leurs symptômes, peut-être la ménopause ou leur blocage.

Speaker 1: 36:07

Oui, absolument Au niveau du corps, au niveau de. Il y a une cliente. Elle m'a dit j'ai fait prendre Tout ici. Tout le niveau du ventre avait vraiment descendu au niveau des pinces parce qu'on avait vraiment fait des gros déblocages au niveau de ses émotions, wow, Quand on parle de pince.

Speaker 2: 36:23

Si jamais vous ne connaissez pas cette, expression-là c'est des plis, c'est comme on mesure la grandeur, le pourcentage de gras, oui, de gras, et du bourrelet, c'est quelque chose de vraiment désagréable à soi-même. On se fait pincé le bourrelet pour voir à quel point on a du gras, comme une mammographie. Mais de la bédème. Elle avait relâché du poids à la suite de l'hypnose. Absolument. Oh my God, comment ça peut devenir encore mieux. Il y a tellement de choses que le corps porte qu'on ne sait pas.

Speaker 1: 36:49

On sous-estime.

Speaker 2: 36:51

Pouvez-vous croire qu'on a parlé pendant une grosse trentaine de minutes de ménopause juste avec des questions, des possibilités, avec du plaisir, avec de la curiosité, puis avec de l'engagement envers nous-mêmes? C'est ça qu'on peut faire avec toi, et c'est ça qu'on peut faire aussi avec nous-mêmes, afin de vivre ceci autrement. Et si la ménopause était justement la porte vers le retour vers soi, pour une vie plus légère, plus expansive?

Speaker 1: 37:22

Puis, notre mission ici sur Terre, c'est ça, c'est d'apprendre à s'aimer. Fait que profitons-en.

Speaker 2: 37:28

Et si la ménopause était cette grande porte, on dit là, là, let's go, là, let's go, c'est le temps de s'aimer, c'est celle-là, c'est celle-là qu'on doit prendre. Ça a été un grand plaisir de parler avec toi, claudine, tellement Merci, merci, merci, merci. Merci à toi, c'est tellement chouette. Encore plus de ceci Même Milo est content, tu vois, elle vient nous voir. Alors, si jamais vous avez apprécié la conversation, je vous invite à venir échanger avec nous sur les réseaux sociaux. Et si vous êtes un entrepreneur qui désirait aussi impacter le monde, s'il vous plaît, venez me rejoindre aussi sur les réseaux sociaux pour voir de quelle façon peut-on créer, peut-être, un épisode de podcast qui pourrait rayonner et transformer la vie de tout le monde. Merci infiniment d'avoir été là. Merci encore, claudine, merci à toi, à tout bientôt.