Impacter le monde avec Karine Champagne

25. Impacter le monde avec Karine Champagne

March 29, 2024 Karine Champagne Season 1 Episode 25
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Impacter le monde avec Karine Champagne
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Impacter le monde avec Karine Champagne
25. Impacter le monde avec Karine Champagne
Mar 29, 2024 Season 1 Episode 25
Karine Champagne

Qui aurait cru que le simple élan de co-création d'un podcast deviendrait une aventure aussi riche en enseignements ?

Je vous convie à découvrir comment une idée née dans l'authenticité peut se transformer en projet porteur de sens. 

Sans attendre d'avoir le matériel idéal ou le concept parfait, je me suis lancée pour expérimenter.

Au cœur de ce partage, l'acceptation de soi se dresse comme un pilier central de notre bien-être. 

Dans un monde obsédé par la jeunesse, j'aborde aussi comment embrasser chaque ride comme le symbole d'une vie pleinement vécue,

 La beauté intérieure et la paix avec soi-même s'érigent en trésors à chérir.


Viens découvrir les questions qui ont mené au podcast Impacter le monde 

www.karinechampagne.ca

Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
www.karinechampagne.ca/impact

Pour explorer l'univers de la question:
www.karinechampagne.ca 

Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Classé top 40 au Canada, langues anglaise/française confondue.
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

www.karinechampagne.ca
www.karinechampagne.ca/podcast
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Qui aurait cru que le simple élan de co-création d'un podcast deviendrait une aventure aussi riche en enseignements ?

Je vous convie à découvrir comment une idée née dans l'authenticité peut se transformer en projet porteur de sens. 

Sans attendre d'avoir le matériel idéal ou le concept parfait, je me suis lancée pour expérimenter.

Au cœur de ce partage, l'acceptation de soi se dresse comme un pilier central de notre bien-être. 

Dans un monde obsédé par la jeunesse, j'aborde aussi comment embrasser chaque ride comme le symbole d'une vie pleinement vécue,

 La beauté intérieure et la paix avec soi-même s'érigent en trésors à chérir.


Viens découvrir les questions qui ont mené au podcast Impacter le monde 

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Pour explorer l'univers de la question:
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Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Classé top 40 au Canada, langues anglaise/française confondue.
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

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Speaker 1:

Allô, allô. bienvenue à Impact Tell Monde. Aujourd'hui, c'est un épisode un peu spécial. Je ne suis pas celle qui va poser des questions, je suis celle qui va recevoir les questions d'une invitée qui est venue au podcast, qui s'appelle Stéphanie, avec un Y-Tibo. Je suis convaincu que tu te rappelles très bien de cet épisode, ou, si tu l'as pas vu, tu pourras aller chercher un peu plus tard. Donc, je me disais j'ai pas fait d'épisodes de podcasts, j'ai pas envie de le faire tout seul, j'ai pas envie de m'auto-questionner. L'échange avec Stéphanie était tellement chouette qu'on s'est dit pourquoi pas prendre un peu de temps pour voir qu'est-ce qu'on peut co-créer ensemble? Stéphanie, merci.

Speaker 2:

Bien, merci à toi. Ça me fait tellement….

Speaker 1:

Oui, on voulait s'amuser encore plus, Encore plus on va le créer tout de suite sur le champ. Ce n'est pas prévu, il n'y a pas de question prévu, il n'y a rien de préparé, mais on a décidé juste d'avoir un échange.

Speaker 2:

Oui, karine, est-ce que tu es prête à impacter le monde? C'est donc bien beau comme première question. Oui, j'ai fait le trisson, je m'attendais pas à ça. J'ai envie de pleurer déjà, mais là, il fallait pas que je pleure. Là, karine, justement, parle-moi de impacter le monde. L'idée, elle est venue de quoi? De où, avec ce terme-là, impacter le monde?

Speaker 1:

Ecoute mon univers professionnel stagné et j'avais la perception de pas être en mesure de créer un impact. Et là, j'ai commencé à me questionner qu'est-ce que je pourrais créer de différent, comment je pourrais offrir du contenu gratuit aux gens qui nous écoutent, comment je pourrais co-créer avec des entrepreneurs, comment je pourrais mettre en lumière des entrepreneurs. Et là, je butine d'une page à l'autre sur Internet. Tu cherches ton nectar, je cherche mon nectar, et puis, absolument, je cherche qu'est-ce qui va me nourrir dans mon moment présent, au goût du jour. On reprend les termes de l'épisode avec Stéphanie. Et là, je suis tombée sur un podcast de Lee Harris qui s'appelle Impact the World. Et là, j'ai un frisson, puis je fais juste le dire en anglais, puis je suis comme OK, impact the World. Qu'est-ce que c'est Impact the World? Je ne sais pas encore, mais je vais le mettre de l'avant. Et là, je me dis qu'est-ce que je pourrais créer pour co-créer avec des entrepreneurs? J'ai lancé une offre, un appel à tous Avez-vous envie de co-créer avec moi? Et Impact the World est née comme ça. Ah, c'est beau.

Speaker 1:

Dans une quête, il n'y avait rien de parfait Quand on a commencé. Il n'y avait pas le logo, il y avait juste un peu l'image de happy-hage, il n'y avait rien d'écrit, les rideaux sont bleus. La semaine d'après, les rideaux sont noirs. On est toujours dans un fond bizarre, jusqu'à ce que je reçois Marie-Pierre Provencher qui me dit oui, et c'est une spécialiste de l'image. Je dis oui, il me semble que ça ne fit pas tout à fait. Elle me propose quelque chose et tout est arrivé après Moi. J'aime construire les choses à l'envers.

Speaker 2:

Oui, Ça donne tellement de beaux résultats parce que quand on attend que ça soit parfait, tu sais, on va attendre vraiment trop longtemps Et parfois on va laisser tomber le projet. Oui, on, attend.

Speaker 1:

On attend que ce soit le logo parfait, le branding parfait, la voix parfaite, l'intro parfait, le décor parfait, tout. Je suis comme non, non, je ne peux pas faire ça, Sinon je freine cette créativité-là et je freine ce flow-là. Oui, Et qu'est-ce que ça te fait?

Speaker 2:

vivre Toutes ces impacts-là sur le monde que tu fais que tu co-cris.

Speaker 1:

Ça me renoue à mes racines de journalistes. Parmi les questions que je me suis posées fin novembre ou entre quoi, peut-être à l'automne, alors que je donnais des formations, c'est qu'est-ce que je faisais avant, que je ne fais plus maintenant et qui me manque et que je ne sais pas qui me manque.

Speaker 2:

Ah, c'est intéressant. Si on prend l'analogie avec mon, on fait référence à moi avec l'informatique, que j'ai quand même gardé un peu, parce que Qu'est-ce que j'aime mieux de l'informatique? Je suis faite la même affaire.

Speaker 1:

Je ne sors de tout pas. C'est ça. Je suis faite la même chose en disant OK. Mais quand j'ai quitté le journalisme, je ne m'ennuie pas de la télé, je ne m'ennuie pas de travailler pour une grande chaîne, mais il y a des choses que j'aimais. Mais en donnant ma démission, j'ai repoussé même tout ce que j'aimais, même si, oui, il y avait des live Facebook, oui, il y avait la conférence, oui, il y avait tout ça. Mais la co-création, l'échange, mettre les gens en lumière, ma job d'électrisis de nouvelles, c'était ça. C'était de rendre aussi très digeste n'importe quel entrevue que j'avais à faire, que ce soit avec le premier ministre, que ce soit avec un entrepreneur, que ce soit avec un astronaute, que ce soit avec un joueur de la ligne nationale. C'était de rendre notre conversation dit le plus facile possible pour les gens. Comment ça? je ne fais plus ça.

Speaker 1:

J'accompagnais beaucoup les jeunes journalistes aussi, quand ils étaient à leur première intervention live, j'étais rassurante OK, j'ai accompagné. J'avais l'impression, l'image que j'ai en fait, c'est d'épreindre par le fond de culolote pour les faire sauter d'une réva à l'autre. Puis je leur disais je vais être là. C'est un trou. Nez-moi, je suis là, je ne te laisserai pas avoir l'air fou en nombre, je te le promets, tu sais, je vais faire tout ce que je peux pour t'envoyer toutes les bouts et de sauvetage. J'aime ça, cet accompagnement-là. Le podcast, c'est un peu ça. Il y a des gens avec qui c'est super facile, puis il y a des gens qui ont besoin d'un petit peu plus d'accompagnement. Des fois, on va le sentir, je suis un petit peu plus présente. Je ne te laisserai pas. Je te laisserai pas, je te laisserai pas là, je t'amène avec moi vers le haut. C'est ça pour mon impact, tellement.

Speaker 2:

C'est drôle parce que tu dis ça. J'ai l'impression que c'est à toi que tu le disais au départ. Oui, on en parlait tantôt. Je te laisserai pas et je vais te t'amener vers le haut.

Speaker 1:

C'est à moi aussi, je le dis, j'ai plein de frissons. Oui, c'est clair, je te laisserai pas tomber.

Speaker 2:

Oui.

Speaker 1:

Mais il y a des questions à poser. Et puis, si on fait référence à l'épisode de podcast que vous écouterez avec Stéphanie, il y avait ce Y là, ce Y là. Je l'ai vécu en mettant avec la dépression choisir le sport, remettre le sport, ajouter la spiritualité, tout le reste. Après, il y a le Y, la démission. Est-ce que je pars? Puis, après, il y a le Y professionnel. J'ai toujours fait ceci Est-ce que c'est encore ça?

Speaker 2:

Exact.

Speaker 1:

Puis l'univers, comment tu? La vie est une bonne mère. La vie est une bonne mère, l'univers conspire toujours. Moi, je me suis rendu compte qu'il y a quand c'est le moment de faire des transitions professionnelles. Dans mon coaching, dans mes approches, c'est comme si l'univers sert les cordons de la bourse. Donc, on voit encore des flux financiers, mais squeeze assez, pour quand, dedans, je commence à me questionner Et là, je me rendais compte comme ok, c'est juste parce que c'est plus ça, mais c'est encore ça. Je fais encore du coaching, la compagnie, je fais encore, mais c'est le temps d'élargir mon arbre de vie professionnel.

Speaker 2:

Et puis tu te sens comment, par rapport à ça, c'est quoi tu ressens pour toi, hein, quand tu te regardes, quand tu prends le petit pas. Le petit pas tu te regardes la plus juste place, oui, ta juste place, ton regard juste sur toi. Qu'est-ce que tu dis quand tu vues le ton corps de DS? Bien, je me trouve extraordinaire.

Speaker 1:

J'apprécie de plus en plus m'incarner, être dans ce corps-là, alors qu'il y en a plusieurs qui, à partir de la cinquantaine, veulent se détacher du corps. Puis, c'est intéressant parce que tu as toutes ces petites marques de peau, la peau plus flasque et tout. Puis là, des fois, je le vois, puis j'ai envie de me dire oh my God, ça paraît là, ça paraît. Puis là, je reviens avec elle. Et si je n'avais aucun point de vue sur ce corps, comment je vivrais? Parce que juste une personne, à quelque part, à un moment donné, qui a décidé que c'était plus beau, la peau qui plisse. Effectivement, c'est la société qui, à un moment donné je ne sais pas si dans quelle année, je ne sais pas si dans quelle univers, mais il y a un moment donné, il y a quelqu'un qui a décidé que c'était plus ça. Puis, il fallait le cacher.

Speaker 2:

C'est incroyable, et ça fait des millénaires qu'on n'était pas en mesure de vieillir autant. Quand tu regardes ça, on a un privilège, on a une possibilité de vieillir, puis là, on se morfons en zanand de la cellulite. Le cilacin, non, c'est dommage, c'est dommage.

Speaker 1:

Puis, en même temps, vous l'avez plusieurs années dans ces, comment on vivait avant. Je pense à mes arrières-grand-mères, ma grand-mère, possiblement À ma mère. J'ai vu qu'il y avait l'impact du vieil Soit. Je l'ai bien entendu de sa bouche, mais il n'y avait pas de comparaison. Ben non, tout le monde était pareil. C'est là qu'on était rendus et personne qui disait on m'a dit tu es à l'olavier pour son âge? Non, il n'y avait pas. Ça Fait que moi. Ce que je veux faire, c'est me détacher du regard extérieur puis me dire si je n'avais pas de point de vue, qu'est-ce que je créerais, qu'est-ce que ça pourrait faire? Puis, quand je regarde les épisodes de podcast, des fois je fais comme. Mais je suis donc pot. Oui, j'ai jamais fait ça, c'est merveilleux. De ma vie de journaliste, je m'étais jamais regardée, je me suis jamais trouvé, j'ai jamais osé me regarder parce que je pensais que j'étais la moins pire. Quand j'étais en onde, je pensais qu'il me faisait une faveur de me laisser en onde.

Speaker 2:

C'est incroyable, parce que moi, je me dis tout le temps la minute qu'on reconnaît notre valeur, ça devient égal avec amour, oui. Et quand on a l'amour de soi, c'est là qu'on choisit, qu'on se priorise, qu'on s'autorise, puis qu'on peut grandir, évoluer, aller plus loin, aller plus haut, ça reconnaît de ses sémés. Oui, parce que si tu ne te reconnais pas, comment est-ce que tu peux reconnaître ta valeur? si tu ne t'aimes pas, ça va être en reconnaissant ta valeur que, automatiquement, tu vas dire Wow, je suis une bonne personne, je suis belle, je suis XYZ, belle d'intérieur, belle de l'extérieur, peu importe, c'est quoi les qualificatifs que tu utilises.

Speaker 1:

C'est tellement raison. Parce que quand je regarde des photos de moi avant, quand j'ai fini l'Iron Man, j'ai des cuisses découpées aux couteaux. Je suis sec, tu sais pas, de grotte tout. J'ai jamais vu à quel point j'avais une belle shape, un beau corps, j'ai jamais reconnu ça. Quand je me regarde à la télévision, quand je tombe sur des extraits, je me disais que j'étais bonne. J'ai jamais vu ça. Alors, peut-être que ça prend là les cuisses légèrement un peu plus flétrie, et ce studio et ses cheveux blancs vont dire si c'était le temps de m'aimer comme jamais je me suis aimé.

Speaker 2:

Effectivement, parce qu'on report souvent à l'extérieur, au plaisir éphémère, au besoin matériel, comme si ça, ça va nous combler. mais en même temps, quand tu dis je ne me voyais pas à ce moment-là et que tu étais cote, ben, peut-être qu'à ce moment-là tu n'avais pas tout l'amour que tu portais, non, clairement non, Je suis dans la performance, dans le jugement dans la validation dans le fait d'impressionner, d'être reconnue comme étant courageuse, forte persévérance, et ce regard-là extérieur qui me nourrissait.

Speaker 2:

C'est drôle parce que, tu sais, j'ai parlé de la course tantôt et j'ai dit à mon ancien coach de course je serais curieuse de me remettre à courir pour voir si elle serait moins douloureuse, cette course-là, parce que mon intention était probablement dans la performance Exact, alors que je suis plus là tout du tout.

Speaker 1:

Moi, je cours plus, je fais plus de vélo, je patauge, je fais de la danse, je médite, je lève des poids et je suis pleinement heureuse de ça. l'ancienne vie, c'est pas quelque chose que je regrette, tu comprends. Tu sais en a qui te disais ah oui, mais avant je t'ai enchaîpée, avant je faisais… Non, avant il était merveilleux, mais le maintenant, il est extraordinaire.

Speaker 2:

Oui, Puis toute cette carine-là qui s'aime maintenant, puis qui reconnaît sa beauté, sa valeur. C'est quoi l'impact que tu penses que tu as autour de toi avec ton conjoint, avec Fred, avec tes enfants? Qu'est-ce que ça apporte?

Speaker 1:

Qu'est-ce que ça apporte aux gens qui nous regardent, ou à nous, ou… À tes enfants?

Speaker 2:

et à Frine de te voir comme ça.

Speaker 1:

Je pense que c'est une autorisation commune. Puis, Fred et moi, on se reflète mutuellement. Je pense à Sophie Chenelle, vous savez, avec qui j'ai fait un podcast où on parle d'être des diamants, qui permet à l'autre diamant de refléter. Oui, Fait que c'est un accompagnement mutuel, C'est l'impact que j'ai sur lui qui lui a un impact sur moi, c'est nous sur les enfants, c'est les enfants sur nous. C'est de reconnaître aussi autant Je vais les appeler les défauts, mais c'est pas ça. Mais ce que les enfants portent, que je pouvais leur reprocher, je le porte, Oui, Et ce que je trouve extraordinaire chez mes enfants, chez mes deux enfants que j'ai eu à moi, mais les quatre en fait qu'on a élevés, je l'ai aussi.

Speaker 1:

Quand j'en trouve un persévérant, quand j'en trouve un fort, c'est-à-dire que c'est fait de couper un doigt puis qu'il y a eu une amputation à la suite d'un accident, je le trouvais donc courageux. À travers sa blessure, son mental, son moral, il est fort. Ou mon plus jeune, qui est devenu barbier. Puis, comme t'es bon, t'es en affaire, t'es courageux, tu te trouves des clients, Je me dis ok, mais attends, je me parle à moi-même quand je le dis ça, c'est ce que je le dis.

Speaker 2:

C'est ça, c'est ce que tu le dis.

Speaker 1:

Mais c'est ça que je me suis rendue compte fait, que tout ce que je leur reprochais, c'était aussi des choses que je me reprochais. Mais on dirait qu'on n'a pas ce regard juste sur nous, pour reprendre les termes qu'on a eu ensemble dans notre podcast. Tu vois juste leur défaut, mais tu n'auses pas voir. C'est pas l'effet miroir que tu veux voir, tu veux juste dire comme la biche supérieure, c'est tout. Puis, comme il n'est pas correct, il n'est pas correct, il n'est pas correct, non, non, avec les lectures que j'ai faites dès que je dis lui, il n'est pas correct, il devrait ça s'adresse à moi, exact.

Speaker 2:

Puis c'est super bon ce que tu as dit. Puis, j'ai le goût de rebondir là-dessus Quand tu parles des défauts, parce que ça, c'est un des éléments que j'ai travaillé avec la plupart des gens en coaching. C'est-à-dire, si je te demande c'est quoi tes défauts, tu vas me les sortir en une fraction de seconde. Mais si je te demande tes qualités, attends, laisse-moi passer.

Speaker 1:

Ecoute, mais si tu, quoi? tu m'avais posé la question, c'est quoi tes défauts? Je vais entendre ça dire. C'est quoi?

Speaker 2:

mes défauts. Ah, ça fait dire que tu as bien travaillé sur toi.

Speaker 1:

Mais je sais que j'en ai. Mais ce serait quoi mon plus gros défaut? Minou Et boy, vas-y, rigide un peu. Il se dit pas en nombre quoi, ouais, ouais, c'est Retard à terre. Retard à terre, c'est juste que je suis une petite fuite de temps dans mon espace. Tu sais, ok, pendant les tournes, que je, c'est vrai, mais je perd vraiment le fil du temps. Mais un autre, il faut quelque chose de plus gros. Tu l'as payé comme il est, je l'ai payé comme bien, mais je vois l'hérituus. Puis après moi, il dit non, non, j'ai envie d'avoir une belle nuit, moi quand même.

Speaker 1:

Je suis pas pour, mais de moins en moins, tu sais, parce que je trouve que le défaut, c'est pas quelque chose de correct, pas correct, c'est quelque chose qui ouvre une possibilité à questionner Exact, exactement, tu sais, je suis, je disais je suis colérique. Avant, je l'étais, je suis colérique, mais c'est quoi, derrière cette colère-là, c'est une puissance d'en assumer. Oui, c'est, c'est une énergie.

Speaker 2:

Des fois, c'est juste qu'à un moment donné, ton besoin a pas été comblé. Oui, donc ok, mais t'attardais peut-être de ton conjoint qui catch que t'avais besoin de telle chose. non, on va te chercher toi-même. Exact Comme tu te dis, on peut le pousser plus loin.

Speaker 1:

Donc, le défaut, c'est juste un appel à l'action, un call to action. C'est quoi ce défaut-là? Ok, est-ce que je l'ai dupliqué de ma mère? Est-ce que je l'ai dupliqué de mon père? Est-ce que j'ai appris que c'était un fonctionné dans la vie? Est-ce que je peux le remettre en question? Est-ce que ça m'appartient?

Speaker 2:

Et si le défaut est une, qualité, c'est tout à fait pour ton voisin, parce que des fois, on voulait remplir le défaut, mais c'est pas nécessairement des défauts.

Speaker 1:

Alors j'ai besoin de tes services de coach, puisque je suis un peu retardataire, selon mon mari, qui, à ses yeux, est un défaut. Pour moi, c'est juste d'être dans l'énergie, mais je comprends qu'on est déjà arrivé en retard. Comment je pourrais jouer avec le fait d'être toujours en retard? C'est vrai que je suis toujours en retard?

Speaker 2:

OK, comment tu pourrais jouer avec le fait de? Qu'est-ce que ça t'apporte toi, qu'est-ce que ça te dit Du plaisir D'être en retard? Bon ben, tu ne voudras pas te ramener là-dessus.

Speaker 1:

Non, mais après, ça apporte de l'anxiété et du stress. Mais quand je suis arrivé en retard, c'est juste parce que j'avais du fun dans le moment présent où je suis tombé dans mon univers, dans ma zone de flow, puis je suis déconnectée complètement.

Speaker 2:

OK, donc, ta créativité, c'est la créativité de la zone-là. C'est sûr que c'est difficile d'aller travailler quelque chose qui t'apporte du positif, Parce que souvent, ce qu'on veut, on arrive avec un problématique ou un objectif, mais l'objectif? maintenant, on te perd du poste parce que le poids te dérange. Mais si toi, tu arrives avec un objectif, tu n'as plus à arriver en retard. Mais là, tu vas te mettre une pression indu de regarder l'heure à l'heure, que tu te laisses aller.

Speaker 1:

D' Prayer en Mars et écoute, dans le moment où le орllor, ici peut-être, on prétend des fois je dis ok, je suis prêt, je suis prêt dans l'an. ah, finalement, je me suis trompée. Je suis comme waouh, j'aurai eu 15 minutes pour être dans l'une, mais j'en profite pour être dans l'une les 15 minutes après.

Speaker 2:

Karine, grande question existentielle Est-ce que tu as le sentiment d'avoir réussi ta vie?

Speaker 1:

Ce silence est une présentation d'impact avec le monde, impact avec ta question. J'ai la perception d'avoir bien joué avec ma vie. J'ai l'impression de jouer, d'expérimenter Ultimement. J'ai encore des masques enlevés, je le sais, il y a de l'égo à démorceler encore et il y a des étiquettes que fredémoins, souhaitons retirer, comme celles de vendre la maison, de devenir nomade, de voyager davantage, de ne plus avoir de pas d'attache. Et je te dirais que c'est comme la prochaine expérimentation, est-ce que ça passe par avant la maison? je sais pas. Est-ce que c'est louer la maison? est-ce que c'est la donner aux enfants ce journée? aucune idée. Mais quel est le pas? le fait d'être attaché. J'aimerais expérimenter le détachement encore plus. Ok, mais en ce moment, je pense que pas. Je pense. Je vais refraser.

Speaker 1:

En ce moment, je joue beaucoup avec ma vie. J'ai beaucoup joué avec ma vie. J'ai pris beaucoup de Y tout au long de ma carrière de journaliste, à travers les différentes stations que j'ai fait. Alors, oui, est-ce que c'est réussir? je pense que c'est le mot réussir, que je sais pas. Ok, mais est-ce que j'ai du plaisir dans mon expérience? absolument Ok.

Speaker 2:

On va le refraser de raison avec le mot réussir, on est deux filles de la performance, on en veut plus, on veut pas. Est-ce que tu es satisfait de ta?

Speaker 1:

tête Oui.

Speaker 2:

Oh oui, Ça te fait des grecs que tu as fait de la place où tu es maintenant, que tu occupes dans ta juste place dans.

Speaker 1:

Puis, ça rien à voir avec Puis j'en parle avec Fred ça rien à voir avec le fait, mais ton, d'avoir bien des gens sur Instagram ou sur Facebook qui me suivent.

Speaker 1:

Ça rien à voir avec le fait d'avoir eu peut-être un million de téléspectateurs à TVA, 5000 personnes sur des scènes. La satisfaction est le moment où le souffle me coupe de joie. Des fois, ça arrive quand je fais l'épicerie Et il y a cette espèce de vibration qui me fait comme, mais je suis tellement heureuse, oui. Et il y a le nombre de couches de soleil qu'on voit sur la plage, habillées, toujours pareil, où on fait juste changer les bobettes. Tu sais, tu comprends, ça va au-delà de l'accomplissement personnel. Puis, ce Y là de me définir par l'accomplissement personnel, puis d'être satisfaite de ma vie professionnelle, a pris tellement, beaucoup plus de place que juste à être Oui.

Speaker 1:

Puis, j'ai lu quelque chose de rare-rogier, hier je crois, et puis elle disait t'sais, la pauvreté n'existe que dans le coeur. J'ai été pauvre de coeur à mon moment donné. On l'a peut-être tout été, à différents niveaux. Mais là, c'est cette richesse-là du coeur que je veux cultiver encore plus, oui. Et puis là, du chiffre d'affaires, au-delà du nombre de téléchargements, c'est le fun. Mais au-delà de ça, est-ce que moi, je suis content d'être en relation avec toi? Oui. Est-ce que je suis content de travailler avec Fred? Oui. Est-ce que je suis content avec mes enfants? Oui.

Speaker 2:

Ce qui me vient, c'est Puis je l'avais entendu, puis je l'ai écrit sur un post-it que j'ai toujours devant mon ordi, puis c'est, je me détache du résultat. Je vis l'expérience. Oui, ça fait que c'est carrément ce que tu viens de dire. Je trouve ça beau parce que quand tu dis je regarde les couches de soleil, le côté émerveillement, c'est comme si j'entends ton enfant intérieur.

Speaker 1:

Oui. Puis tu lui laisses la place Sur mon vision board. Là, ce tableau de visualisation, il n'y a pas de grosse maison, il n'y a rien. Il y a des couches de soleil, il y a une tente, il y a un feu, il y a des plages, il y a du fat bike. C'est ça mon vision board, c'est ça que j'espère Quand je vois.

Speaker 1:

Simplifier, complètement, simplifier de plus en plus minimaliste. Tu sais, pour revenir avec Brony Ware, le livre qu'on a aimé beaucoup toutes les deux, qui est les cinq regrets, les cinq plus grands regrets des mourants, c'est quand je vais me rester 120 secondes, puis je vais savoir que c'est mon dernier souffle, par exemple. C'est naturel et tout, je le sais. C'est comme wow, je me suis détachée. Je suis arrivée avec plein d'étiquettes, dans cette expérience terrestre là, je suis arrivée comme hockey, carriériste, workaholic, vouloir prouver à tout prix. T'sais, je suis arrivée avec ces étiquettes-là, cette lourdeur-là, mais, une à une, je les ai décollées pour arriver à cette simplicité, cette nudité, cette vulnérabilité, cette intimité. Oui, je vais me dire wow, j'ai réussi à arriver avec cette armure pour repartir avec que mon énergie. Oui, c'est magnifique?

Speaker 2:

Oui. Puis quel est ton intention pour les prochains podcasts, les prochaines semaines, à part ton VR? Oui, pour ça, tu étais là au salon du VR.

Speaker 1:

Exact, l'intention, c'est encore poser des questions au projet, la façon dont je crée. Je pose des questions au projet. Qu'est-ce que je peux faire de plus pour les gens que j'accompagne, comme toi, qui sont des entrepreneurs qui viennent avec moi, mais qu'est-ce qu'on peut créer de différences pour les gens qui nous écoutent? Je ne sais pas, à ce moment-ci, si on l'a mis de l'avant, mais il va y avoir le programme Impact T'es Le Monde. Vous allez avoir des outils de tous les gens qui sont venus ou presque sur le podcast pour dire de quelle façon je pourrais l'appliquer dans ma vie faite, de quelle façon puis, je vais donner de l'expansion au projet. Je lisais un livre ça va t'indiquer où est-ce que j'en suis rendue dans ma vie sur le tentrisme, et puis écoute, tant sera.

Speaker 1:

Tant, c'est l'instrument, c'est ça en tant que c'est le mot instrument. Tant veut dire instrument et Oh, merde, tant, non, tant. Instrument, tracé, expansion. Puis, pardonnez-moi si vous connaissez ça, puis je l'ai scrapé, mais il y avait l'instrument de l'expansion. Fait comment impacter le monde peut devenir l'instrument de l'expansion. Donc, impacter le monde est une forme de tempérisme, mais je veux un lien qui ne fait pas de quoi ça, mais ça prend de la présence, ça prend de l'écoute, ça prend du souffle, ça prend de la respiration, ça prend des idées, de la créativité, et puis de se laisser porter par le flux Déniert.

Speaker 2:

Puis, ce qui est magnifique, avec la magnifique personne déesse que tu es, c'est que la créativité, c'est une de tes efforts, c'est la zone d'agénie, donc de l'expansion de la capacité de t'amuser, d'ajuster, tu sais de partir quelque chose, même si il n'y a presque rien de dessiné. Tu vas te laisser aller là-dedans, puis tu vas te mettre à Valicé avec Tellement Des personnes qui vont côtoyer là-dedans, puis qui vont embarquer dans le projet Probablement moi, ah oui, je t'ai tellement la bienvenue.

Speaker 1:

Moi, j'ai le moteur, j'ai les ailes. Puis on construit la caroline. On est décollé. Je bâte des ailes comme ça, mais je sais que je suis décollée.

Speaker 2:

On va voir qu'est-ce qu'on peut créer.

Speaker 1:

C'est intéressant, parce que ben moi, je vais être ton, ton profiou, ton profiou, là qui est sa bonne.

Speaker 2:

Et puis, ben, à meantime, la prochaine personne, t'as besoin d'en refaire le plein, Donc tu repars avec une nouvelle personne.

Speaker 1:

Exact Fait que c'est, on se complète bien. Merci tellement, céphanie. Est-ce que t'as apprécié animer le podcast? Bien sûr, est-ce que t'as un mot de la fin?

Speaker 2:

Euh, c'est drôle là-dessus, c'est vrai, je m'attendais pas à une question, un mot de la fin. Oui, bien, continuons d'être écoutés, de te regarder co-créer et t'envoler encore plus avec de nouveaux fiux. Oui, puis avec vous toutes encore plus haut Tôt, comme tu disais, buzz like here, oui.

Speaker 1:

Toujours plus loin encore, oui, encore. Merci tellement À toi.

Co-Créer Pour Impacter Le Monde
Acceptation Et Amour De Soi
Expérience De Vie Et Réussite Professionnelle
Co-Créer Et Voler Ensemble