Impacter le monde avec Karine Champagne

21. Bye bye sucre, bonjour énergie avec Émilie Maurice

March 15, 2024 Karine Champagne Season 1 Episode 21
21. Bye bye sucre, bonjour énergie avec Émilie Maurice
Impacter le monde avec Karine Champagne
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Impacter le monde avec Karine Champagne
21. Bye bye sucre, bonjour énergie avec Émilie Maurice
Mar 15, 2024 Season 1 Episode 21
Karine Champagne

Lorsque Émilie Maurice commence à parler de sucre..   il est clair que notre rapport à l'alimentation est chamboulé.

Émilie Coach ketozen & jeûne nous aide à naviguer parmi les options alimentaires, nous montrant clairement l'impact du sucre et des mauvaises huiles sur notre santé et notre quotidien.

À l'entendre, tu comprendras que son niveau d'énergie est au sommet depuis qu'elle et sa famille ont fait un virage sans sucre.

Ça se sent, ça se voit!

L'exercice délicat de décoder les étiquettes alimentaires devient un jeu d'enfant sous les conseils avisés de l'autrice du livre Cuisine Ketozen en famille, qui nous enseigne l'art de faire des choix éclairés, pour une meilleure santé.

Enfin, nous ouvrons les portes de la transition alimentaire en famille, un défi qui résonne dans le cœur de nombreuses cuisines.

As-tu conscience de l'impact du sucre dans ton quotidien?

Remarques-tu des douleurs, des inconforts ou un endormissement après avoir mangé tel ou tel aliment?

Je peux juste te dire  que depuis que j'ai parlé avec Émilie, je suis encore plus consciente des signes que mon corps m'envoie.

J'espère que cette conversation aura semé une petite graine à travers cet épisode, pour t'encourager à réexaminer ton  propre assiette et les sucres qu'elle contient (trop, trop souvent)

Pour découvrir  Emilie Maurice sur Instagram
https://www.instagram.com/familleketo/

Son site internet est ici:
https://www.familleketo.com/

Son livre Cuisine Ketozen en famille:
Dans toutes les bonnes librairies ou en ligne ici:
https://www.beliveauediteur.com/produit/cuisine-ketozen-en-famille/

Tiktok
https://www.tiktok.com/@Emiliemaurice4


Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
www.karinechampagne.ca/impact

Pour explorer l'univers de la question:
www.karinechampagne.ca 

Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Classé top 40 au Canada, langues anglaise/française confondue.
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

www.karinechampagne.ca
www.karinechampagne.ca/podcast
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Lorsque Émilie Maurice commence à parler de sucre..   il est clair que notre rapport à l'alimentation est chamboulé.

Émilie Coach ketozen & jeûne nous aide à naviguer parmi les options alimentaires, nous montrant clairement l'impact du sucre et des mauvaises huiles sur notre santé et notre quotidien.

À l'entendre, tu comprendras que son niveau d'énergie est au sommet depuis qu'elle et sa famille ont fait un virage sans sucre.

Ça se sent, ça se voit!

L'exercice délicat de décoder les étiquettes alimentaires devient un jeu d'enfant sous les conseils avisés de l'autrice du livre Cuisine Ketozen en famille, qui nous enseigne l'art de faire des choix éclairés, pour une meilleure santé.

Enfin, nous ouvrons les portes de la transition alimentaire en famille, un défi qui résonne dans le cœur de nombreuses cuisines.

As-tu conscience de l'impact du sucre dans ton quotidien?

Remarques-tu des douleurs, des inconforts ou un endormissement après avoir mangé tel ou tel aliment?

Je peux juste te dire  que depuis que j'ai parlé avec Émilie, je suis encore plus consciente des signes que mon corps m'envoie.

J'espère que cette conversation aura semé une petite graine à travers cet épisode, pour t'encourager à réexaminer ton  propre assiette et les sucres qu'elle contient (trop, trop souvent)

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Son livre Cuisine Ketozen en famille:
Dans toutes les bonnes librairies ou en ligne ici:
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Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
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Speaker 1:

C'est pour moi le fait de, pour moi, de retirer les sucs. Tu sais, aujourd'hui, oublions le mot qu'est-ce que tu as, oublions le mot qu'est-ce que tu as. Si je te dis, karine, de retirer les sucs, est-ce que ça fait du sens? Oui, ben, ça faisait du sens pour mes enfants. Oui, et là, je fuis ça dans la colonne, puis mes enfants m'organisent à me dire ça a pas de l'air mangeable, maman. Et là, je prends ma première bouchée, puis c'est tellement sec, puis là, je pars là, puis ça revole comme du biscousau, puis là, je suis comme mon dieu, jeff. Je sais pas comment qu'on va faire.

Speaker 2:

Allô, allô. je te souhaite la bienvenue au podcast Impacter le monde. Cet épisode va faire voler en éclat tous tes points de vue sur l'alimentation. Alors assis-toi, peut-être prends une grande respiration avant ta prochaine bouchée, parce qu'il est possible que tu vois une déconstruction totale de tout ce que tu pensais savoir au niveau de l'alimentation, parce qu'à chaque fois que je regarde un live sur Instagram de mon invité, je vais Je ne savais pas ça et ça va être l'objet dans notre assiette l'alimentation et le sucre. Émilie Maurice, auteur du livre Cuisine qui est aux aînés en famille. allô, est-tu prêt à impacter le monde?

Speaker 1:

Ok, oui, puis, merci tellement pour cette invitation. Je me suis invitée aussi.

Speaker 2:

J'écoute, je suis tellement heureuse de jouer avec toi, parce que c'est vrai que chaque direct que tu fais sur les réseaux sociaux, c'est un impact dans mon univers.

Speaker 1:

Oh, c'est gentil, ça. En fait, c'est l'objectif. Honnêtement, je veux éveiller des consciences. Je veux que les gens soient, je vais dire, choqués, ébranlés, fracassés, émerveillés, bref, tout est môlé à la fois. mais je veux que les gens se souviennent du message que je porte.

Speaker 2:

Je suis déjà tellement excitée, hyper fébril, ce message-là que tu portes si puissamment à l'intérieur de toi depuis des années maintenant. Ça concerne, entre autres, l'alimentation et le sucre, oui, tout à fait.

Speaker 1:

En fait, ce que j'ai commencé vraiment avec le fait de l'alimentation, cette agenistrique, c'était vraiment, je dirais, un focus sur le sucre et, au fil du temps évolutif, on apprend des choses. Je continue d'informer, je continue d'observer énormément ce qui se fait sur les différentes plateformes d'alimentation Et là, ensuite, enchaîner les mauvaises huiles, ça, c'est vraiment aussi un point de ma chance.

Speaker 2:

Un cheval de bataille? oui.

Speaker 1:

Oui, vraiment un cheval de bataille. C'est quelque chose que tu as tué chez moi. tu regardes, dans mon garde-manger, toutes les mauvaises huiles, les huiles de canola, les huiles arrachées tournescables, palmes, bref. ça ne rentre plus à la maison. C'est ultra-inflammatoire. Exactement, c'est un mot que je n'ai pas normalement le droit de dire, mais là, tu le disais avant moi. Ah, oui, oui, c'est inflammatoire.

Speaker 2:

En fait, dans certains cas, si on veut juste être clean dans certains cas, c'est très inflammatoire.

Speaker 1:

En fait, ça affecte le métabolisme, ça va affecter la digestion, ça va affecter aussi la flore intestinale. Si vous suivez, entre autres, pas le salade d'inautre, lui, c'est un docteur, je peux le nommer. Ok, donc, lui, il va vous le dire aussi Honnêtement, avec le temps, quand j'ai commencé l'alimentation, cet ogen, j'ai vraiment fait par moi-même. Puis, au fil du temps, je ne veux pas que tu vas te trouver sur différentes plateformes, des docteurs, différents spécialistes, des coups de coeur, évidemment, des gens qui ont un message, qui ont En fait leur message a raisonné en moi et c'est comme je te disais, est devenu ma propre virter aussi, celle que je partage.

Speaker 2:

Il n'y a rien de mieux qu'expérimenter son assiette en conscience Et voir quand je mange ceci, qu'est-ce que ça crée dans mon organisme, dans mon corps, comment je me sens. Je te partageais mon expérimentation du moment. Il n'y a pas de bon, il n'y a pas de mauvais. C'est pas vraiment une façon de dire aujourd'hui comme voici ce que vous devez faire à partir de maintenant, ce que tu désirais faire, c'est rajouter de la conscience en assiette, oui, en fait de la conscience, en vraiment en prenant le temps d'analyser ce qu'on met dans notre assiette, chose que moi, avant, c'était d'emblée coup de coeur.

Speaker 1:

j'ai envie de manger des lugumineuses, j'ai envie de manger un spaghetti. je veux dire, je me posais pas la question, c'est ce que je mangeais, c'était bon en bouche, c'était bon dans l'estomac, bref, c'était bon dans l'estomac, oui bon c'est bon, Oh, en tout cas oui Au goût.

Speaker 2:

Jusqu'à temps que l'estomac commence à digérer Exactement.

Speaker 1:

Et là, le focus dans ce que je suis actuellement, l'univers catho-zène, qui est vraiment petit. C'est drôle parce que des fois, les gens vont vouloir Google-er catho-zène. Ils me disent mais Émilie, je le trouve pas catho-zène sur les réseaux sociaux, mais sur Google. C'est pas création, en fait, c'est pas que ma création, moi, je travaille de part avec ma soeur et mon beau frère, couple catho-zène, si jamais il y a des gens qui sont curieux, qui veulent aller voir. Et c'est venu d'une frustration parce que les gens, dans l'alimentation, cette hausaine, honnêtement, c'est la restriction, je veux pas dire calorique, mais la restriction des glucides, ce qui fait que les gens se mettent à calculer, ce qui fait que ça amène des frustrations, que les gens. C'est très restreignant Et, à mon donner, mon beau frère a juste fait, on va appeler ça le catho-zène. Puis on va changer les principes de base Et les trois ensemble, les trois musclataires, on est vraiment parti sur ce mouvement-là qui est basé sur trois principes ultra simples Manger naturellement Tout ce qui se rapproche le plus pré-possible de son origine, ce qui veut dire que Je veux dire ce que je donne souvent comme exemple, exemple des céréales.

Speaker 1:

Quand tu vas chercher une boire de céréales, les gens vont me dire oui, mais c'est fait avec des dublés, c'est naturel. Dublés, ok, est-ce que ton blé, tu peux le cueillir, littéralement, le prendre puis le manger? Si la réponse c'est oui, ok, c'est naturel, mais la réponse c'est non, des céréales, je veux dire, ça passe par un procédé de transformation avant que ça arrive dans ton assiette. Donc, le principe me rend vraiment de se rapprocher des aliments qui sont le plus pré-possible de leur origine. Ça, ça prévaut sur l'ensemble.

Speaker 2:

Ok, Ça j'aime Juste garder en tête. Est-ce que je peux le cueillir puis le manger?

Speaker 1:

Le manger immédiatement.

Speaker 2:

Ok, ça, je vais me rappeler.

Speaker 1:

Oui, hein, c'est simple En fait le quêtezaine, puis, tu sais, je vais aller sur le deuxième, puis le troisième. Il faut que ça reste simple, accessible et durable sur le long terme, donc dans la sainte. Puis, c'était moi ce que je t'ai dit là, mais les enfants le comprennent, oui. Donc, le deuxième principe, c'est d'augmenter les bons gras, parce qu'étant donné qu'on veut aller chercher quand même l'état de cette hausse, l'objectif, la philosophie du quêtezaine, cuisine, quêtezaine en famille, le livre de recette, c'est la même chose. On veut aller chercher un état de cette hausse, on veut que le corps bascule sur les lépides. Oui, ils sont énergés à partir des lépides et non plus à partir du sucre. Donc, il faut avoir une source d'énergie dans son corps. Oui, ce qui fait qu'on va chercher les lépides.

Speaker 1:

Le deuxième principe, c'est d'augmenter les bonnes sources de bons gras Et comment on les trouve. Écoute déjà, en partant, si on est dans le principe, nous aurons un de trouver une alimentation qui est naturelle déjà, à partir des protéines animales, à partir des poissons à partir je vais dire les noix, parce que ça reste quand même aussi une source aussi qu'on peut avoir des bons gras À partir. Moi, j'aime beaucoup travailler avec lui de coco, lui d'avocat, le G, le beurre, le gras de canard, toutes ces sources-là de gras. On va chercher ces bons gras-là dans l'acide. C'est juste assurer, dans la compouche son de son acide, qu'on a, à travers notre alimentation naturelle, des bons gras qui viennent vraiment rosser, qui viennent chercher notre deuxième source d'énergie, en fait notre première source d'énergie, mais notre principe numéro 2.

Speaker 1:

Principe numéro 3. Éviter tout ce qui est transformé, ce qui vient dans les bois de cartons, ce qui vient avec du sur-emballage, ce qui vient avec une liste d'ingrédients qui est tellement longue que, finalement, on a une préface d'un livre. C'est vraiment bien Quand j'ai les aliments transformés, c'est les sucres, les mauvaises huiles, une fois qu'on les reconnaît, une fois qu'on devient un expert des ingrédients. Moi, c'est ce que j'enseigne beaucoup au niveau de Quand je transmet mes messages devenir expert à reconnaître, à lister ce qu'il y a sur les étiquettes.

Speaker 2:

Parce que t'es coach kétosène aussi, aussi t'encourage les gens à faire le jeûne. On va en parler un peu plus tard, mais ça, c'est vraiment très important. C'est une question de la formation, parce que toi, t'as vu une transformation à un moment donné dans ton univers à propos de l'alimentation.

Speaker 1:

Parle-moi de Emilia avant et Emilia après, en fait, si je remonte en 2017. En 2017, je me retrouve dans un championnat mondial de gymnastique ici à Montréal. C'est dans mon ancien vie. Je suis directrice de club Et ma soeur et mon beau-frère, qui étaient déjà dans cette univers-là, qui me parlaient de la CETOS, écoute. Puis je ne comprends pas trop ce que c'était, parce que je n'étais jamais atterrée à l'alimentation, puis encore, moi, au substrein énergétique. Ok, puis 2017, là on est. On est avant tout le mouvement.

Speaker 2:

Avant tout.

Speaker 1:

Le mouvement kétos. Là, Il n'y a absolument rien qui se trouve, je dirais, du côté québécois, Du côté des États-Unis, il y a déjà un mouvement qui est en cours, Mais ici, c'est, Je ne t'entends pas parler de ça, de la CETOS. Puis, l'alimentation, cette hausine non plus. Et ils me font essayer des suppléments thérapeutiques. Et là, ce que j'ai essayé, des suppléments thérapeutiques, ce que je ne savais pas, mais que je voulais découvrir, c'était des kétones qui permettaient à mon corps d'entrer en état de CETOS. Moi, je n'avais jamais vécu ça. Là, En fait, je l'ai déjà vécu, Tu l'as déjà vécu. Les bébés nice, en état de CETOS. Mais on On se pensait pas Longue time go, c'est terminé, on ne touche plus à ça.

Speaker 1:

Donc, je fais cette expérience-là, et quand je fais mon expérience, j'y dis à mon conjoint écoute, Jean-François, je ne sais pas ce que ça fait exactement dans mon corps, mais je veux cette sensation parce que, pendant cette semaine-là, ce qu'il faut savoir, c'est que moi, depuis longue date, je cumulais des migraines et des migraines, et des migraines. J'avais même passé un taco pour voir si il n'y avait pas quelque chose qui clochait dans ma tête. Là, Donc, tout était beau. Évidemment, ça ne se détecte pas une intolerance au sucre quand on fait des scans, Le corps t'en va des signaux depuis bien des années. Mais quand on fait des lectures, il y a quelque chose qui ressort sur les papiers médicaux. Donc, ça pour dire que je fais des migraines à répétition. J'étais quelqu'un aussi que moi. Au fur et à mesure que la journée augmentait, je balonnais, avec des douleurs évidemment, Mais c'est sûr, je me levais le matin, je mangeais 2 bols de céréales minuit, oui, avec du lait au chocolat dedans. Oh OK, Oui, oui.

Speaker 1:

Aux amandes, Aux amandes, Karine c'est aux amandes, mais c'était quand même du lait au chocolat, c'était quand même une grosse dose de sucre. Et ça pour dire que mes choix alimentaires s'enchaînaient avec des mauvais choix, des choix qui étaient axifs vers les glucides. Donc, pendant ce 10 jours-là, silence radio, je n'ai pas mal à la tête, je n'ai pas de balonnement, je n'ai pas de douleur. Puis, je vais aux toilettes, moi, habituellement, ma fleur intestinale, c'était pas super. Donc, c'est ce que je disais à mon conjoint, je dis là, je veux ça Et là, on le fait nos recherches. Et étonnamment, mon chum, qui fait ses recherches du côté des, vraiment du côté anglophone, du côté des Américains, regarde tout ce qu'il y a au niveau des irritants, des symptômes, ce que les maladies sur le moyen long terme peuvent engendrer avec le sucre Cholestérol, hipertension, diabète, cholestérol isomer, tu sais, je prends le nom, encore plusieurs, mais je pense que juste ça, les gens vont se reconnaître à l'intérieur de tout ça. Il doit avoir des goûts de douleur chronique.

Speaker 2:

Je vais dire douleur chronique, je pense c'est en globe des hortèges qu'aux oreilles.

Speaker 1:

Et là, mon chum se voit dans le listing des irritants, parce que lui, à l'époque, bon, c'est un enfant qui a été diagnostiqué t'as des haches. Aux primaires, il a pris les petites pilules bleues, tout ça, ça donne une idée. Il commence à faire des hipertensions, le cholestérol quand il a sa porte. Il devait faire des siestes avant l'Europe. Il commence à faire même de l'apnée du sommet, dans le sens qui est rond, il n'y a aucun sens.

Speaker 1:

Quelqu'un qui ronfle, je veux dire le sommet est pas en vrai et se reconnaît à l'intérieur, et c'est lui qui m'est revenu à peu près, je dirais, 7-10 jours après, me dire écoute, on va le faire, emily. On va le faire parce que je me reconnais, puis je le mette. Maintenant, je comprends ce que tu as vécu, mais à travers ce que je lis, parce que lui, c'est plus un analytique, on va le faire Et on a pris la décision de faire un changement drastique. Il y a des gens qui vont vouloir faire progressivement. Honnêtement, moi, ça m'a tellement fracassé, l'état de cet os que j'ai vécu, que pour moi, c'était une vérité absolue que je devais changer la composse en mon assiette.

Speaker 2:

Juste avant que tu me parles de cette transition là, qui a été vraiment très radicale, puis ensuite, qui est devenue cathose, je veux que t'as dit quelque chose d'intéressant, qui est une très certaine corrosion dans la, tout à fait. Puis ça se détecte pas effectivement dans le sang nécessairement, mais c'est important de le soulever. Puis, j'aimerais qu'on aille juste un petit peu plus loin pour voir si les gens T'en as déjà nommé. Mais quand on parle de brouillard mentale, de fatigue, de fatigue après les repas, tu sais, ce coup de bar après le dîner, par exemple, ou après le déjeuner, moi je me rendais compte, toi, au bar de pinotte, faut que je dorme après. Je ne suis pas capable de le supporter, ni de le digérer.

Speaker 1:

Je suis entièrement d'accord. En fait, le corps là, dès ton réveil, il va déjà t'envoyer des signaux que tu as une surcharge. Je vais l'amener dans un autre sens. Ok, une surcharge de sucre dans ton sang, déjà, en réveillant le matin. Est-ce que tu t'es déjà réveillé le matin en ayant cette fin? Le vent qui crie famine, puis que là tu dis que c'est impossible. Je suis non fonctionnaire. Je ne peux pas quitter de la maison pour aller travailler si je ne mets pas quelque chose sous la dent.

Speaker 1:

Encore plus de cet enci, ça, c'était moi, le matin, quand je me réveillais. En fait, ce n'est pas mon cadran qui me réveillait, je me réveillais parce que j'avais faim. En me réveillant, la première chose, mon petit routine toilette, go, go go. Mais immédiatement j'allais à la table, c'était mes bols. Tu dis des toasts au bord de la rachide, avec des bananes dessus.

Speaker 2:

C'est tellement bon. Et la margarine, ah oui, la plus, elle n'est pas la margarine.

Speaker 1:

Oh, mon Dieu, donc ça c'était déjà un premier signaux, c'est déjà des premiers signaux Quand tu réveilles, et puis tu as faim, c'est que tu es en surcharge de ça. En fait surcharge, c'est en hippo, en hippo.

Speaker 1:

C'est parce que je la mets dans le sens content, parce que les gens comprennent que dans ta journée, ce qui fait que le lendemain matin tu es en hippo, puis que là tu as besoin, ton corps étant en Ok, il y a un manque de sucre à l'intérieur de ton corps. T'es en manque de mon corps. T'es en manque de mon corps. Il y a besoin de glucose pour être fonctionnel. En fait, il n'y a pas besoin de glucose aussi pour avoir des bons gras, mais là, à ce moment-là, il n'est pas rendu là.

Speaker 2:

Oui, oui, il y a des aliments réguliers basés sur ce qu'on connaît là des aliments par canadiennes, sur le guide alimentaire.

Speaker 1:

Oui, oui, c'est ça On a l'habitude Quand on va à l'épicerie. Je veux dire, on fait le tour des rangées, puis c'est Mis à part les fruits, les légumes et tout ce qui est La viande le bouton. La boucherie, j'allais dire la boulangerie.

Speaker 1:

Ce n'est pas ça Complètement, ce n'est pas ça. Non, la boucherie, bien là, à ce moment-là, c'est majoritairement. Tu transformes. Donc déjà, les signaux sont là au réveil, et là, tu le dis, on va prendre un premier repas, et là, on tombe dans notre période de gestion, et là, il y a en même temps un avalanche de chute d'énergie, énergétique en fait, qui se crée, ce qui fait que là, tu le dis, manque d'énergie, là, tu as besoin, tu recherches encore la part du sucre. Tu vas être un café, un muffin, une bartende. Tu n'as pas envie de manger des carottes, là, non, tu n'as pas envie de manger du cocombe là. Donc, là, au travers de tout ça, le brouillard mental, moi, brouillard mental, honnêtement, dans ma période de transition, un grand brouillard mental, quand je me retirais les sucres au niveau de mon alimentation, avec tout ça, sans entrer dans les diagnostics, parce que je ne peux pas parler de diagnostics, mais le corps, là, tu sais, je disais des mots têtes, des ballonnements, des gonflements, des problèmes intestinaux, des problèmes de digestion. Tu sais ce que je te dis, c'est tout ce que moi, j'ai vécu là.

Speaker 1:

Puis, honnêtement, tant que je n'ai pas eu de changer mon alimentation, c'était ma normalité. Oui, Pour moi, c'est normal d'être ballonnée, pour moi, c'est normal d'avoir des épisodes de ma tête. Pour moi, c'est normal d'avoir des coups de fatigue Parce que, de toute manière, quand j'écoutais autour de moi, majeurterrement les femmes, c'est ce que j'entendais, oui, c'est ce que j'entendais. Ça fait que c'était rendu une normalité. Jusqu'à temps que, là, je change mon mode de vie et je faisais oh, t'es un petit peu là.

Speaker 2:

Non seulement je me sens bien, oui, excuse-moi, je me sens super humaine. Donc, c'est pas normal. Quand, le soir t'arrive, pis tes pantalons, ils te sont mis à l'air. Pas du tout. C'est pas le gonflement normal d'une journée, pas du tout. C'est pas se poser Le cas est pas se poser de gonflée au fur et à mesure que la journée avance, pas du tout comme c'est pas se poser que même si c'était une maman que tu as.

Speaker 1:

Moi, j'ai trois enfants Aujourd'hui. Ils ont 10, 14 et 15. Mais même quand qu'ils étaient plus jeunes, pourquoi, après les bains, on entend souvent, pis, je vais dire les mamans, mais non, moi, vous voulez pas les hommes, les hommes aussi, pas importe que le parent tombe au combat devant la télévision avec ses enfants, parce que parce que tu as des enfants, c'est pas se poser. L'énergie, cette énergie-là qu'on a avec le sucre, elle est tellement d'en-de-si, elle est instable de courte durée. C'est ce qui fait qu'on veut toujours, toujours, toujours, aller chercher, agriper quelque chose au niveau de qui a un déglissé dans l'intérieur, ou même du mauvais sucre, du sirop de maïs, pour ne pas dire, c'est ce qui fait qu'on en veut toujours pour garder cette petite énergie qu'on pense retrouver au premier, parce que le premier kick de la journée, le premier beauz d'énergie qu'on a le matin, lorsqu'on va manger un repas qui est vraiment rossé en glucide, va nous amener une grande énergie, un grand ail.

Speaker 1:

Mais la chute après, elle est vraiment drastique. Puis, quand on veut retrouver ce ail-là, ça va toujours. Tu sais, ça fait un peu comme un là, je sais qu'on est en podcast les gens ne le voient pas Ou ça y'a autre chose que jamais.

Speaker 2:

vous avez besoin d'image.

Speaker 1:

Imaginez-vous là, on a un grand pic, on a un dame, on a un pic un petit peu plus bas, une chute plus basse, puis là, ça fait toujours ça, ça descend toujours. Tu retrouveras jamais le même kick d'énergie du matin versus en soirée. D'où pourquoi les gens, en soirée, se couche tôt ou tombe au combat en allant dormir les enfants. Puis je me suis endormée à huit heures en allant avec les enfants dans le lit, alors qu'aujourd'hui j'ai de l'énergie le matin, quand je me lève, et jusqu'au soir, jusqu'à temps que je mette ma tête sur le rayet.

Speaker 2:

En termes d'énergie, c'est non comparable Donc t'as choisi, à un moment donné, d'expérimenter un changement drastique, ton amoureux est d'accord, comme let's go, on l'expérimente. Et là tu t'en vas dans le radical. Oui, est-ce que c'était une expérience facile.

Speaker 1:

C'est drôle, les gens me posent cette question-là, en fait, dans ma perspective de départ, quand on a décidé de le faire, puis, c'est, ça va avec mon type de personnalité, tu sais, j'ai les cheveux rouges, j'ai de l'énergie, je suis quand même, je voudrais, assez impulsée, mais une bonne impulsion. Oui. Quand on a décidé de le faire, mon premier, ma première réflexion a été de dire à mon chum on va le faire, on va vraiment faire ça de manière drastique, parce qu'on veut voir la pleine puissance de la CETÀS. Par contre, si j'ai une troisième fesse qui me pousse, parce que là, on parle de gras, oui. Puis là, on dit Moi, j'ai toujours poussé le gras, là, je veux dire, j'en ai pas mangé, j'achet des trucs. Tu sais, sans gras, je, je mangeais pas de gras. Oui. Et là, je me dis si j'ai une troisième fesse qui me pousse, c'est sûr qu'on arrête. Sûr qu'on arrête.

Speaker 1:

Et les journées s'enchaînent, première semaine, deuxième semaine.

Speaker 1:

Mais là, tu te sens bien là, parce que là déjà, dans mon changement drastique, même si j'ai eu la période de grippe cetogène, le ketouflou, la période de transition, je sens quand même qu'il y a quelque chose qui se crée dans mon corps et, rapidement, les bons coups s'en viennent l'énergie, l'apétite stable, moi qui dois manger initialement avant cette découverte-là, dès le réveil, aux heures 30,. Moi, je mange 3 repas par jour, 4 collations, minimum éche par jour, et là je bascule à 3 repas, puis besoin de collations Parce que je prends encore 3 repas au début, le matin, ça a été quand même un enjeu pour moi de prendre un repas qui était complètement différent, avec un café gras, et là, oh, je me rends compte que finalement, mon café gras est suffisant. Donc, là, je passe à 2 repas par jour, plus de collations. Et là, je te dirais qu'aujourd'hui encore, aujourd'hui, c'est similaire 2 repas ou 1 repas en demi, parce que je vais collationner et je suis capable de prendre un bon repas. Donc, on a décidé de le faire drastiquement parce qu'on voulait le vivre pleinement.

Speaker 2:

Ce qui est comique, c'est que nous, on a nos trois enfants à l'époque Oui, c'est ma prochaine question Les enfants ont-ils embarqué tout de suite, d'emblée, ou t'as fait une première transition pour les enfants, suivis après?

Speaker 1:

Écoute, mon chum me dit Émilie, on va le faire nous. Puis on va voir avec les enfants, et moi, après trois jours, je me disais Mon Dieu, c'est moi qui prépareras pas là», là, je dois faire double repas pour eux, pour nous. Puis, du coup, ça me challengeait, parce que je me disais C'est pour moi, le fait de… pour moi, retirer les sucs Aujourd'hui, oublions le mot Keto, oublions le mot Ketosine. Si je t'ai dit, karine, de retirer les sucs, est-ce que ça fait du sens? Oui, ben, ça faisait du sens pour mes enfants. C'était logique que je devais le faire pour eux aussi, oui, et de me voir, en plus, de voir cuisiner deux fois, je trouvais ça comme un peu intige dans le split de l'enfance trois ans, sept ans, huit ans, à l'époque, là qui ont les enfants. Donc, après trois jours, j'ai regardé le jeff, je disais OK, on les embarque on les embarque là-dedans.

Speaker 1:

Puis, ce qui était comique, c'est que je me souhaiterais toujours, les premières fois que là je cuisine mes déjeuners, que là je sais pas trop quoi manger parce que moi je suis vraiment céréale toast. Là, il faut que je change ça. Je trouve une recette sur Internet que j'ai, c'est une espèce de Kripe, et là je cuise ça dans la poêle, puis mes enfants m'organent, ils vont dire Ça a pas de l'air mangeable, maman. Et là, je prends ma première bouchée, puis c'est tellement sec, plus je pars là, puis ça revole comme du biscous au dos, plus je comme Mon dieu, je sais pas comment qu'on va faire pour que les enfants puissent manger comme nous.

Speaker 1:

Parce qu'effectivement, même moi, je suis un adulte, je le fais en prise de consensus, en me disant même si c'est pas mon pain traditionnel, celui-là au moins n'amènera pas de mon tête, de ballonnement, de douleur aux ventes. Donc, pour toutes ces raisons, le plaisir en bouche, je suis prêt à faire des sacrifices en bouche pour le bien-être de mon corps. Mais là, je me dis Mon dieu, mes enfants, ils ont pas ce… Ils sont pas rendus là. Là, il n'y a pas l'intelligence émotionnelle, la maturité émotionnelle pour se dire Maman, on embarque avec toi. Donc, là, c'est là que je me suis mis vraiment à cuisiner énormément de recettes pour les mettre au goût de notre famille à nous. C'est vraiment là qu'il y a eu mon monde.

Speaker 2:

Les recherches. Oui, puis là, je rappelle le titre du livre qui est maintenant disponible partout. Vous pouvez le commander sur Internet, vous pouvez le retrouver dans toute bonne librairie ou grande surface. Cuisine Ketosène en famille, tant là déjà diffusé des recettes, entre autres sur ton site Internet. Et à chaque fois, vous pourrez regarder le nombre de fois où je fais comme Miam wow, ça a l'air donc ben bon. Puis encore là, il y a bien des gens qui disent Quoi? y a pas de sucre là-dedans? Il y a une possibilité d'avoir une super alimentation au Ketosène ou pas, comme tu le dis. Oui, c'est correct d'embrasser le Keto.

Speaker 1:

Le Ketosène, c'est le philosophy, c'est pas de vie.

Speaker 2:

Mais c'est correct aussi juste de dire Comment pouvons-nous réduire la quantité de sucre qu'on ingère dans?

Speaker 1:

une journée. Tout à fait Honnêtement, moi, je parle beaucoup de cette hausse, j'ai à cœur qu'elles les gens retouchent, goûtent à ce substrat énergétique-là qui est réellement c'est toujours le mot puissant qui me vient en tête C'est vraiment, il faut le vivre pour le comprendre. Les gens, souvent, vont me dire Oui, et c'est là pendant trois mois, six mois, vie là, puis tu vas voir, tu vas l'adopter. Mais pour le commun des mortels, juste le fait avec le livre de recettes, en passant par les recettes, simplement le fait de réduire la consommation de sucre, c'est sûr qu'il y a des bons coûts qui vont s'acheter. Les gens, ce qui vont me dire, c'est qu'ils ont beaucoup plus d'énergie, ils dorment mieux. Et évidemment, la transformation corporelle. j'ai pas le choix de le dire, et c'est drôle, là, je t'en parle, là, c'est rare. je parle de transformation. je pense qu'on n'en a même pas parlé la première fois.

Speaker 1:

On n'a jamais parlé Exactement, mais ça s'en suit également. Mais pour dire que même en réduisant les sucres, il y a déjà, tu sais, sur ton bilat de santé. Là à toi, là, je veux, tu n'as pas besoin de me dire d'où est-ce que tu pars, moi, je sais que d'où est-ce que tu pars avec le fait de réduire les sucres. C'est sûr que tu vas me dire Émilie, depuis que j'ai réduit les sucres, simplement en changeant exemple, la compousse en mon assiette le matin. Parce que le matin, je dirais que c'est là qu'il y a le défi principal pour les familles, les gens qui veulent faire ce virage-là, ce virage-là, exactement, on ne le tient, on ne les aura pas. C'est des beigulles, des croissants, des mophones, des crepes, des céréales, c'est là que le majeur partit des glucides. Puis on démarre notre journée avec une dose incroyable de glucides. Ça fait que là, ça part en vrai. Là, ça part en vrai, ça part en vrai Faites-tu que tu recommanderais.

Speaker 2:

Par exemple, là, il y a un, il y a ton livre de recette, qui est extraordinaire. Oui, puis juste vous dire on enregistre ceci alors que l'élive est en précommande seulement, mais du moment où vous entendez cet épisode-là, tout est fait. Mais il y a tellement une demande que la date de sortie est devancée, c'est tout de dire.

Speaker 1:

Ça devait être je ne sais pas si on va rentrer dans les dates, mais ça devait être le 17 mars. Finalement, c'est ramené aux 13 marches. Honnêtement, je suis épatée. J'ai même fait des tic-tocs, des posts au travers de ça pour le partager. Et là, les gens demandent vraiment le niveau de l'élive. Moi, ce qu'il faut savoir, c'est coquasse. Cet élive-là de recette, je l'ai écrit en 2018. Wow, oui, ça fait déjà depuis 2018. Moi, je l'avais sorti sur FOMA PDF parce qu'il y avait vraiment de la demande. Puis, honnêtement, quand je faisais goûter les recettes que je créais, les gens me disaient À T'impeur là», à T'impeur Milly, là, c'est quetto, ça, là, il n'y a pas de sucre. T'es en train de me dire que ça, si je prends ça, il n'y a pas de sucre. Je suis comme oui, oui, tout à fait. Mais c'est donc bien bon, mais on aime ça. Ça me donne cette espèce de propulsion-là à me dire OK, un livre de recettes.

Speaker 1:

J'ai écrit mon livre de recettes sur à peu près, je dirais, huit mois. Quand même quelque chose d'ardu. Quand tu as jamais créé de livres, tu le sais, tu as créé des livres. Quand je disais, tu n'avais pas de personnes qui m'accompagnaient, je le faisais. Selon moi, mon expérience, qui était l'expérience du jour 1 au jour final. Donc, j'ai créé ce livre en 2018. Je l'ai partagé sur les réseaux sociaux. Ça l'a fait fureur, fureur, fureur. Et là, dès le départ, je me disais un jour, il va être sur tablette, la visualisation, la manifestation. À chaque fois que j'allais, je fais, au Costco, et je le vois, je le vois souvent Là, je me l'imaginais sur les tablettes. Et là, on est rendus là, ça s'en vient.

Speaker 2:

Ou, c'est déjà là quand on nous écoute. Oui, c'est ça, on s'y est là. C'est déjà là. Oui, tout à fait, c'est vraiment extraordinaire. Fait que l'on a parlé de ton côté, strict, oui, t'embarques les enfants. Oui, on veut rendre ça à Pétissat. Fait que tu commences à cuisiner. Ça crée un livre 2018. Oui, dans les dates, là, on suit 2017. Tu découvres ça avec ton beau-frère dans une compétition de gym. Là, on est rendu en 2018. Comment ça cuisiner? Et là, tu dis ouf, me semble que c'est un peu rigide. Là, oui, là, il y a ce correct d'être intense, correct. Mais là, à un moment donné, il y a de l'espace que tu as envie de créer. C'est là que le zen apparaît.

Speaker 1:

Tout à fait. On est partis de 2017-2018, strict. Je vais faire une parenthèse parce qu'il y a peut-être des parents qui vont dire tu faisais le strict avec tes enfants. Oui, bon point. Oui, parce que le strict, on se souvient, c'est 20 g et moins par jour. Je n'ai jamais calculé, ok, jamais calculé, mais de toute manière, mon cerveau était bon à calculer, moi. Ce que je mettais dans mon corps Puis pour mes enfants, c'est que quand je parle du strict, c'est qu'au niveau de ce qui peut rentrer à la maison exemple les fruits, oui, et puis les fruits qui vont venir tâcher les gens. J'achetais encore des fruits, mais j'achetais des framboises, des fraises, des murs et des bleuets. Je restais vraiment avec les petits fruits pour avoir des indices églécimiques très bas. Puis on y allait comme ça, mais les enfants ont toujours mangé à la société. J'aimais que j'étais dans la restriction calorique. J'ai jamais dit à mes enfants Ne te resserre pas, ok, mais je prends tant de le précis pour pas que les gens fassent comme Oh, mon dieu, ça peut être le fun habiter là.

Speaker 1:

Non, non, pas du tout, pas du tout. C'est simplement que j'étais le gestionnaire, la capitaine du garde-manger. Oui, c'est complètement différent. Tu vois, les parents vont me dire oui, mais là, mes enfants ne voudront pas. Mais tu restes le capitaine du garde-manger. Moi, quand y'ont trois, sept, puis huit ans, là pis même encore aujourd'hui, y'a ont dix, quatre, quinze, c'est moi qui vais aller pister, c'est moi qui décide si j'achète ou pas les pattes d'ours. Oui, c'est un choix. Donc, on part de 2018, on est dans le modèle strict, dans le sens plus dans ce qui est permis, ou du moins ce qui est véhiculé dans la littérature. Au niveau de l'alimentation, cet ojet industrique Et le quête-o-zen arrive avec plus de légèreté, plus d'accessibilité. On change le focus au lieu de vouloir vraiment travailler avec les glucides nettes, on veut travailler avec une alimentation naturelle. Ça, ça part, et du coup, c'est dans le même air déland que nous, on s'envole pour le Mexique. Et lorsqu'on est allé au Mexique, cinq mois, juste pour les gens, les mettre en contexte.

Speaker 2:

C'est pendant la pandémie. Tu décides de décoller avec ta famille. Vous êtes partis tous les cinq. Oui, pendant cinq mois. Ça devait être un mois.

Speaker 1:

Vous aurez resté plus longtemps, oui tout à fait, ça a été un voyage de toute une vie. Ça a changé notre perspective, tant au niveau de l'assiette Ça a vraiment fait évoluer notre philosophie par rapport à l'assiette mais aussi par rapport au mode de vie, par rapport au fait de vivre.

Speaker 2:

Ralentir, ralentir, c'est ça Exactement vivre.

Speaker 1:

Donc, quand on est arrivé là, évidemment, il y a du transformé. Au Mexique, quand tu fais les allées du milieu, c'est des rangées d'huile de canola, des ramen, des chips, des biscuits. Je veux dire, ils ont le transformé, comme nous aussi. Par contre, au niveau des fruits et des légumes et de toutes les viandes, ils ont un choix exceptionnel. C'est local, c'est savoureux Et pendant cette période-là, lorsqu'on allait faire les pisceries, au niveau des légumes, moi, ce que je connaissais là, on part, là, je suis au Québec, puis on mange beaucoup de légumes verts. Beaucoup de Mon frigère est rempli de légumes. Quand on arrive au Mexique, c'est du Là, c'est l'effet inverse, c'est importé, c'est pas local. Des brocoliers, ça pousse, c'est pas un légume qui est local. On va avoir d'autres types de légumes, mais c'est plus de légumes fruits. Donc, notre alimentation a fait un virage beaucoup plus actif à les fruits.

Speaker 1:

Donc, on continue à manger les légumes, mais on n'a rien intégré, les fruits Surtout. En plus, le soleil des, le corps en a besoin, le corps en a besoin. C'est complètement différent. Je pense vraiment que, selon les saisons, où est-ce que tu habites sur le globe, il y a une différence au niveau de tes apports en Les vitamines et les nutriments. Ça reste là, mais de ce que ton corps a de besoin dans l'immédiat, selon ce que tu dépenses comme énergie.

Speaker 2:

Puis on le voit à l'hiver à l'été, on mange pas la même chose. Aussi, L'été, c'est plus des petites salades. On dirait qu'on a plus de salades, plus léger, c'est différent.

Speaker 1:

Donc, on est là et les fruits font une réapparition dans notre alimentation, et là, on est loin des fraises des framboises, des bleus et des meux.

Speaker 2:

Là on est, dans les manques.

Speaker 1:

La papaye, la mangue, la papaye la nana.

Speaker 2:

Ah, écoute là j'ai la bouche qui s'allait là. Oui, oui, oui.

Speaker 1:

Donc, lorsqu'on est revenus, évidemment, ça fait cinq mois qu'on mange des fruits. Puis, du coup aussi, je continue à suivre ce qui se fait au niveau de la nutrition. Moi, j'aime beaucoup Paul Saladino, james Dicolantonio Je pense que je le dis bien, mais en tout cas, james, sur les réseaux sociaux, je suis plein de gens sur les réseaux sociaux. J'aime voir ce qui se fait. C'est évolutif. Moi, je pense vraiment que tout est évolutif, je suis convaincu aussi. Donc, au retour, on a décidé de conserver les fruits, puis, tu vois, les légumes verts ont pris un petit peu moins de place dans notre assiette. Ah, ouais, du coup, en suivant ces médecins-là qui commencent à parler, là, c'est quelque chose que je ne savais pas parler. Mais on commence à parler des oxalates, des anti-nutriments qu'on retrouve dans les légumes verts. Ça résonne en moi, et là, je me mets à moto-analyser davantage Et là, je réalise que quand je mange certains légumes verts, pouf, je me bats la lune.

Speaker 1:

Comme tu as dit, mettons juste son exemple.

Speaker 2:

Ça ne veut pas dire que ça va vous arriver, vous, à la maison. Mets-toi, qu'est-ce que tu as?

Speaker 1:

Exemple le brocoli. Le brocoli, ou le chouquiel, ou les épinaurs, c'est entre autres. Tu vois, il y a plusieurs choses qui contiennent des anti-nutriments, des oxalates. Mais bref, j'y vais pour la cause avec ceux-là, et là, je réalise que si je ballonne pas, j'ai des inconfortes. puis, le lendemain, je vais un petit peu sur le toilette, enfin, je fais mh, t'impeur. Là, tu sais ce que j'entends. Ça fait du sens en moi. Puis là, je réalise que, puis, je ne suis pas tant inconfortable non plus, parce que je ne veux pas, que j'ai tellement un mode de vie au niveau de l'alimentation, qui est quand même, c'est quand même mais naturel, naturel, ok, naturel, c'est l'origine.

Speaker 1:

Exactement, tu sais. Je veux dire, tu vas me dire entre un brocoli et un pogo, le brocoli je veux dire 100 000 à l'heure.

Speaker 1:

Tu sais, je me retrouve sur une île déserte Et là, j'ai le choix je vais quand même prendre le brocoli avec les oxalates versus le pogo qui est transformé Absolument, Et on s'entend là-dessus. Donc, je fais comme des liens au travers de tout ça, puis défile en aiguille avec ce que j'entends, qui devient encore là une nouvelle vérité. Tu sais, moi, dans ma tête à moi, il faut, Je suis ouverte, OK, dans le sens que quand j'ai commencé, au départ, j'ai, j'ai saisi de l'information qui est devenue ma vérité, qui a été notre cheminement, qui fait qu'avec le temps, je continue à écouter, je continue à observer, à m'analyser, parce que je veux pas.

Speaker 2:

Aussi, j'avance en âge, mon corps change au travers de tout ça, père, il m'éno-pose aussi, ça mène d'autres changements, mais n'opose, c'est tout ça, Puis on en a pas parlé, hein. Ben non, je pense qu'il va falloir aller.

Speaker 1:

ça prend deux, huit épisodes ensemble, ça, ça ça, ça, ça, ça, ça, ça ça, Si on en a pas parlé. Mais moi, à 32 ans, ma mère qui me disait pour moi, t'es en prime, elle n'a pas osé me nier. J'avais des soeurs nocturnes, de l'acné, une baisse drastique de libido irritable, des cravings incroyables, jusqu'à temps que je découvre la 7-12 et que je n'ai plus rien. Encore là, silence radio.

Speaker 1:

Incolérence au glucide, il y a des impacts partout. Moi, tu sais, je le dis, les gens me disent que mais quand tu vois à l'extérieur, t'invites à souper, écoute quelqu'un qui est allergique au mort, tu ne lui serviras pas au mort. Moi, je suis allergique au sucre, et c'est dit, c'est. Je veux dire pour moi, c'est non négociable. Tu m'offres un plat de pâte, je ne le mangerais pas parce que je vais mal filer. Je veux dire pour tout ce qui va avoir comme, puis c'est pas juste, sur le cours, là, ça, c'est, ça prend plusieurs jours de récupération. Là, ça peut prendre des fois jusqu'à une semaine de récupération. Donc, pour le peu de plaisir en bouche que j'ai sur une courte durée, versus les symptômes, qui dure beaucoup trop longtemps pour moi, c'est non négociable.

Speaker 2:

Là, je pense que tout le monde m'en voudrait de terminer l'épisode ou presque. Nous restons quelques minutes si je ne parlais pas de tes enfants, qui sont un des acteurs de changement. Mais tes enfants, ils vont ailleurs. Oui, ils vont faire des dodots ailleurs. Il y a des repas ailleurs, où la maison n'est pas kétosaine, où l'alimentation est beaucoup plus traditionnelle, ça me permet l'expression. Qu'est-ce qui se passe quand tes enfants vont?

Speaker 1:

Il y a un les let-go De un il y a un les let-go je ne suis pas petit, j'envoie pas. Mes enfants couchent ailleurs avec une boîte à lunch ou un téléphone à le parent pour leur dire vous savez qu'on est kétosaine, pas du tout, pas du tout. Donc, les enfants le font. Puis, encore là, mon chum. Il est bon pour me ramener, hein, parce que dans les débuts, c'est quelque chose qui m'a, c'est dans des triggers là.

Speaker 1:

C'est comme ça, ça vient débousser tout ce qui se passe. Puis, comme il m'explique, puis il me dit je le redis parce que c'est bon. Puis, quand je le dis, les gens font comme ça fait du sens 90 % du temps, 95 % du temps, mes enfants sont à la maison, c'est moi qui fais les boîtes à lunch pour l'école. Ils mangent bien, ils mangent kétosaine à la maison. Fait que pour le 5 % à l'extérieur, ou le 10, ou le 20, si une semaine sont par, je veux dire le résultat, ils font bien. Donc, c'est dans cet esprit-là que je me suis mise au début, puis, c'est dans l'esprit que j'amène les parents aussi, puis les gens que j'accompagne, parce qu'il y a beaucoup de coups séparés aussi qui viennent me voir. Mais Émilie, qu'est-ce que je fais? J'ai 50 % du temps, mes enfants à la maison, l'autre 50 %, je n'ai aucun pouvoir, mais c'est 50 % de gagner. Il faut toujours le voir du côté positif. Donc, quand ils vont à l'extérieur, évidemment, il y a un lait-leaf go.

Speaker 1:

Mais honnêtement, quand ils reviennent, moi, dans leur énergie, dans leur physique, et je le vois, et ils me le disent, qu'ils le sentent aussi. Ma fille, exemple, tu sais, on se parle là dans un podcast à l'instant, puis, hier soir, elle avait une soirée entre amis. Ce matin, quand je suis allée la chercher, avant que j'aille la recondure à son travail, il me dit maman, je le sens, je suis fatiguée. Puis elle m'a demandé de prendre un supplément thérapeutique pour ramener rapidement l'état de cette hausse. Mais il le sent, il le voit, il y a vraiment une belle énergie. Je dirais que même eux, avec le temps, font des choix plus consciencieux.

Speaker 1:

Puis, tout ce qu'ils ont appris là aujourd'hui, tu sais, j'ai pas de boule de cristal, je sais pas ce qui va se passer dans le futur, mais assurément dans l'univers dans lequel ils baignent, c'est sûr que ça leur donne des outils. Puis ils le vivent et l'expérimentent, ce qui fait que, tôt ou tard, en sortant de la maison, s'ils veulent vivre leur vie d'adulte et aller dans les restaurants puis manger comme le commun des mortels, ils vont quand même avoir vécu le avant. Puis, j'ai, honnêtement, j'ai un feeling qui vont revenir, si jamais ils ont cet écart là, parce qu'ils l'ont goûté, cette pleine puissance à l'intérieur d'eux, mais tu parlais d'eux comme étant des agents de changement.

Speaker 2:

Est-ce qu'ils font déjà de l'éducation ou est-ce que ça? oh, c'est-à-dire qu'ils ont passé des commentaires sur la boîte à l'âne du duc, d'un copain ou d'une copine.

Speaker 1:

C'est très drôle. Quand qu'il était plus jeune, quand on allait à l'épicerie entre Otocosco, les enfants m'ont dit maman, les paniers, c'est, ils voyaient, ils remarquaient» Quand on allait à l'extérieur, des fois, dans des soupes, ils prenaient une sauce X, y, z, qu'on met dans une salade, puis ils le direaient ah, il y a du sucre en l'intérieur. Fait que déjà, ils étaient conscients. Où est-ce que là, je le vois davantage en vieillissant c'est par le biais de l'école, ou est-ce que, des fois, ils ont accès à des nutritionnistes qui viennent, durant les exemples, dans le sport, faire des cours, et là, on parle du guillet d'alimentaire?

Speaker 1:

Oui, tout à fait. Et là, mes enfants, de lever la main et de parler selon eux, leur vérité à eux, évidemment. Donc, je dis chaque vérité est vérité. Mais ça pour dire que de challenger des nutritionnistes, de challenger des enseignants, de challenger des profs, oui, on est là, là. Je dirais que mes filles, à ce moment-là, sont un petit peu plus calmes parce qu'ils sont au secondaire, les yeux un peu plus rivés sur eux. Mais du moins, je sais, entre autres, que Zach, à l'école, les gens au niveau du service de garde viennent, moi, mes enfants là, je veux dire depuis qu'ils sont au primaire, les enseignants, les gens du service de garde, les techniciens, viennent voir ce qu'il y a dans les boîtes à l'âne. Je suis inqui, mais en fait, les gens, ça apporte la curiosité. Je trouve ça génial.

Speaker 2:

Génial. C'est ça l'objectif du podcast Ouaima aujourd'hui. C'est pas de dire aux gens voici tel type d'alimentation, voici ce que vous devez faire. C'est Comment pouvons-nous être encore plus curieux et alerte aux signaux?

Speaker 1:

Oui, Oui, parce que le corps envoie des signaux, ily en envoie. Puis, là déjà, en étant conscient que ton corps te parle, est-ce que tu Moi, j'aime bien faire cet exercice-là OK, là, vous êtes à la maison, vous écoutez. Imagine-toi là, tu fermes tes yeux, tu pars de tes orteils et là, tu first scannes les genoux, les cuisses, le ventre monte au niveau de la digestion, les épaules, les articulations, j'ai le cou jusqu'au niveau de la tête. Est-ce que tu ressens des douleurs durant ta journée? Est-ce qu'il y a des signaux là, des, en faisant ce scan-là, que ça t'indique.

Speaker 1:

Puis, moi, je pense fermement que ça passe majoritairement par la CET. Oui, il y a les émotions, ça, j'en conviens, je suis vraiment branchée là-dessus aussi. Mais la CET joue une grande, grande part. Donc, en faisant ce scan-là, est-ce que tu as des indicateurs? qui fait que hum, parce que c'est pas normal d'avoir des douleurs chroniques, c'est pas normal d'avoir mal à la tête, d'être abonnée au Tylenol, comme moi je l'étais, c'est pas normal d'être ballonné, c'est pas normal que, durant la journée, qu'il y ait des grandes baisses énergétiques, puis que tu te dois prendre des red bulles, un café, une barre de chocolat.

Speaker 1:

C'est pas normal. C'est pas normal qu'il y ait des gens qui habitent de type 2 à peine à l'âge de 30 ans. C'est pas normal. Que le cognitif, qu'on ait des troubles au niveau de la cognition, que le cancer soit là comme répandu, comme c'était la peste noire, c'est pas normal. Le peuple et les gens sont malades. Puis, la réalité, c'est que le système de santé, on fait juste donner des pensements, part de supancements, sans les travailler à l'origine, à la source. Ce qui est dans votre assiette, ce qui est dans votre assiette exactement, Tu sais, je dis pas que ça va faire 100 % du travail, mais ça n'en fait 20, 40, puis tu as du tout ça, puis j'ai un frisson 70 %, pourquoi pas l'essayer? De toute manière, c'est une nécessité, manger, t'as pas le choix.

Speaker 2:

Comment on peut améliorer notre vie en choisissant ce qui va dans notre assiette Et on est tant, tellement à l'écoute de voir. Qu'est-ce que ça? qu'est-ce qui se passe dans mon corps quand je mange ceci? Oui, Si jamais vous avez eu une prise de conscience, vous avez envie d'en savoir davantage sur Emili, qui fait de l'accompagnement. Coach Ketosène, jeune conférencière, également auteur du livre. Je le rappelle, cuisine Ketosène en famille. De toute façon, vous avez tout le descriptif dans le podcast, dans ce post-là. Que vous soyez sur YouTube ou encore, peu importe la plateforme, vous avez tous les détails. Cliquez, allez voir, engagez la conversation. Venez-vous nous voir sur Instagram? Voici ce que j'ai changé, voici ce que j'ai expérimenté. On a envie d'avoir votre feedback sur votre assiette.

Speaker 1:

Tout à fait parce que vous êtes des agents de changement aussi. La personne qui le teste, qui le fait sur elle, voit des changements assez rapidement et se met en en parler autour d'elle, et c'est ce qui fait qu'il y a un impact sur le monde. Oui, moi j'adore Impacter le monde, c'est ça qu'on veut, ah, tellement.

Speaker 2:

Merci, merci, merci, emili, encore plus de toi dans mon assiette. Je sais pas si ça se dit, peut-être pas. Plus de vitalité dans notre assiette Encore plus de ton savoir, puis merci de le partager, merci de donner cette information-là, cette éducation-là, avec autant de légèreté, oui, et en permettant à tout le monde de choisir aussi qu'est-ce qui est bon pour lui.

Speaker 1:

Oui, ah, merci, c'était un grand bonheur, un grand honneur, une grande honneur, un grand honneur D'avoir été ici, honnêtement, merci, infiniment Merci. C'est plus tard que je te suis.

Speaker 2:

Mais oui, on se suit mutuellement. Tadam, ça y est, depuis le Mexique, je te suivais. Merci, oh my, on a fait, c'est magnifique. on a fait un épisode délicieux qui me donne envie de connecter encore plus à mon assiette. J'adore, merci, Merci.

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