Impacter le monde avec Karine Champagne

16. Relaxer son système nerveux avec Pénélope Villeneuve

March 01, 2024 Karine Champagne Season 1 Episode 16
16. Relaxer son système nerveux avec Pénélope Villeneuve
Impacter le monde avec Karine Champagne
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Impacter le monde avec Karine Champagne
16. Relaxer son système nerveux avec Pénélope Villeneuve
Mar 01, 2024 Season 1 Episode 16
Karine Champagne

Dans notre société, l'alimentation peut rapidement devenir une obsession, nous poussant vers ce que certains appellent le "burnout alimentaire".

Aujourd'hui, nous allons plonger dans cette problématique et découvrir ensemble comment retrouver le plaisir de manger, écouter notre corps, et finalement, prendre un pas de plus vers nous-mêmes.


Le Burnout Alimentaire

Le burnout alimentaire survient quand l'alimentation, au lieu d'être source de plaisir et de santé, devient une source de stress et d'obsession. 

L'obsession de catégoriser les aliments en "bons" et "mauvais", les régimes stricts et la rigidité dans nos choix alimentaires ne font qu'accentuer ce sentiment de fatigue alimentaire. 

Reprogrammer son Cerveau

Il est essentiel de reprogrammer notre cerveau pour retrouver le plaisir dans notre assiette. 

Se déconnecter de nos préjugés et réapprendre à écouter notre corps sont les premiers pas vers une alimentation plus équilibrée et joyeuse. 

"Le corps sait ce qu'il a besoin," rappelle Pénélope Villeneuve, notre experte naturopathe. 

Après avoir incarné sa véritable vocation de naturopathe depuis deux ans, Pénélope  nous guide   vers une alimentation qui célèbre la joie et le bien-être.

La vie avant et après la ménopause,

Écouter son corps devient alors une priorité, permettant d'ajuster notre alimentation et notre mode de vie en fonction de nos besoins réels. 

Cela implique de pratiquer des exercices de respiration, de s'engager dans des activités qui nous procurent du plaisir, et de privilégier une alimentation peu transformée.


Un Nouveau Souffle

Pénélope souligne que 95% des femmes qui viennent dans son bureau ont tout essayé pour perdre du poids sans succès. La clé réside dans la priorisation du bien-être de notre système nerveux, l'adoption de pratiques de vie saines telles que se coucher plus tôt, manger de manière équilibrée, et passer du temps en extérieur. Surprenamment, elle conseille parfois d'arrêter de s'entraîner de manière intensive, de finir les douches à l'eau tiède, et même de chanter à tue-tête pour alléger le poids émotionnel.


En redéfinissant notre relation avec la nourriture, nous pouvons non seulement améliorer notre santé physique, mais aussi notre bien-être émotionnel. 

C'est le moment de se poser la question : "Manges-tu assez ?" 

Non pas seulement en termes de quantité, mais surtout de qualité et plaisir.  Retrouver son énergie passe par une alimentation qui nourrit le corps et l'âme, un pas de plus vers une vie épanouie.

Pour suivre Pénélope sur Instagram c'est ici
https://www.instagram.com/penelope_villeneuve/

Son site internet est ici

https://www.penelopevilleneuve.com/


 
Son page fb est ici

https://www.facebook.com/penelopenaturo








Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
www.karinechampagne.ca/impact

Pour explorer l'univers de la question:
www.karinechampagne.ca 

Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Classé top 40 au Canada, langues anglaise/française confondue.
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

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Dans notre société, l'alimentation peut rapidement devenir une obsession, nous poussant vers ce que certains appellent le "burnout alimentaire".

Aujourd'hui, nous allons plonger dans cette problématique et découvrir ensemble comment retrouver le plaisir de manger, écouter notre corps, et finalement, prendre un pas de plus vers nous-mêmes.


Le Burnout Alimentaire

Le burnout alimentaire survient quand l'alimentation, au lieu d'être source de plaisir et de santé, devient une source de stress et d'obsession. 

L'obsession de catégoriser les aliments en "bons" et "mauvais", les régimes stricts et la rigidité dans nos choix alimentaires ne font qu'accentuer ce sentiment de fatigue alimentaire. 

Reprogrammer son Cerveau

Il est essentiel de reprogrammer notre cerveau pour retrouver le plaisir dans notre assiette. 

Se déconnecter de nos préjugés et réapprendre à écouter notre corps sont les premiers pas vers une alimentation plus équilibrée et joyeuse. 

"Le corps sait ce qu'il a besoin," rappelle Pénélope Villeneuve, notre experte naturopathe. 

Après avoir incarné sa véritable vocation de naturopathe depuis deux ans, Pénélope  nous guide   vers une alimentation qui célèbre la joie et le bien-être.

La vie avant et après la ménopause,

Écouter son corps devient alors une priorité, permettant d'ajuster notre alimentation et notre mode de vie en fonction de nos besoins réels. 

Cela implique de pratiquer des exercices de respiration, de s'engager dans des activités qui nous procurent du plaisir, et de privilégier une alimentation peu transformée.


Un Nouveau Souffle

Pénélope souligne que 95% des femmes qui viennent dans son bureau ont tout essayé pour perdre du poids sans succès. La clé réside dans la priorisation du bien-être de notre système nerveux, l'adoption de pratiques de vie saines telles que se coucher plus tôt, manger de manière équilibrée, et passer du temps en extérieur. Surprenamment, elle conseille parfois d'arrêter de s'entraîner de manière intensive, de finir les douches à l'eau tiède, et même de chanter à tue-tête pour alléger le poids émotionnel.


En redéfinissant notre relation avec la nourriture, nous pouvons non seulement améliorer notre santé physique, mais aussi notre bien-être émotionnel. 

C'est le moment de se poser la question : "Manges-tu assez ?" 

Non pas seulement en termes de quantité, mais surtout de qualité et plaisir.  Retrouver son énergie passe par une alimentation qui nourrit le corps et l'âme, un pas de plus vers une vie épanouie.

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Speaker 1:

Et la journée où j'ai fait c'est tu quoi? Mon téléphone, je le mets à l'extérieur, et puis je vais m'acheter un cadran bien ordinaire pas de wifi blanche, les branches dedans, de meurt, qui fait bip, bip. J'ai tellement vu la différence. J'ai fait comme OK, je suis encore capable d'être super énergée que le matin, d'être concentrée, de pas avoir de focus, et tout ça, juste en changeant cette petite habitude-là, qui coûtera rien, là, tu sais.

Speaker 2:

Certains le font une fois par jour, d'autres, plus conventionnels, vont le faire trois fois par jour. Il y en a même qui vont aller jusqu'à six fois par jour, des fois avec beaucoup, beaucoup de plaisir, des fois avec énormément de culpabilité. mais de quoi parlent-on aujourd'hui? avec beaucoup de bienveillance, d'alimentation? Pénélope Villeneuve, naturopat, et tu, prêtes à impacter le monde? Je suis vraiment prête.

Speaker 1:

Quelle présentation, je me dis où est-ce qu'elle?

Speaker 2:

s'en va. Elle est probablement dans tous les spectres que j'ai nommé, de une fois par jour à six fois par jour, parce que l'alimentation, c'est au coeur de ta vie depuis très longtemps.

Speaker 1:

Oui, tout à fait, ça a commencé. En fait, l'alimentation, on n'a jamais fait, tu sais, jusqu'à je dirais, trente ans, c'était normal, tout va super bien. mais après ça, quand j'ai eu mes enfants back-à-back en 13 mois, je me suis dit hmm, moi j'ai envie de changer mon corps, puis je veux être le plus en forme. donc, je me suis dit, je m'en vais faire une compétition de fitness Et avec mon entraîneur. bien là, je me suis mis à manger six fois par jour.

Speaker 2:

Donc, Dans la rigidité, dans la culpabilité, avec la balance.

Speaker 1:

Mais en fait, je te dirais je n'étais pas dans la culpabilité à cette époque-là.

Speaker 1:

Vrai Quand j'ai commencé il n'y avait pas de culpabilité, c'était comme je t'étais vraiment all-in. Puis je voyais les résultats, puis là, je mangeais souvent, puis le gym, et tout Ça, c'était vraiment super, pas la culpabilité. La culpabilité a commencé à se pointer deux ans plus tard, après ma première compétition de fitness, quand j'ai décidé d'en faire une deuxième et que là, ça ne marchait pas, je m'entraînais, pareil, je mangeais ce que mon entraîneur me disait, puis mon corps y a fait comme ça ne marche pas par toute, et là, je me suis mis à avoir, je faisais de la bouffe. Là, je me rappelle, je faisais de la bouffe, puis j'avais tout le temps comme un petit de voix qui me disait oh non, tu devrais pas manger ça, c'est pas bon. Pourquoi tu manges ça?

Speaker 1:

Puis j'avais tout le temps l'obsession de qu'est-ce qu'on va manger. Ça va être pas la prochaine affaire. L'alimentation prenait de la place dans mon cerveau. Là, puis moi, j'ai deux petites filles. Puis je me suis dit attends, ça ne marche pas. Moi, je ne veux pas être dans un trouble alimentaire ou quoi que ce soit fait. Que Tu le voyais arriver. Oui, je l'ai vu arriver.

Speaker 2:

Oui, oui, je l'ai voyé arriver, tout à fait T'as-tu la perception que tes filles elles étaient peut-être petites ont capté quelques brils de cette rigidité que t'avais à ce moment-là?

Speaker 1:

Je pense qu'elles ont capté un peu, mais rapidement, j'ai changé les choses. Fait que je pense que ça a juste comme passé, comme dans du beurre là. Mais quand j'ai vu Si j'avais pas eu d'enfants, c'est probablement que ça aurait pris plus de temps pour changer un peu les choses, puis probablement que le trouble alimentaire aurait pris beaucoup plus de place que ça. Mais là, étant donné que les enfants étaient là, j'ai fait comme attends, ça ne marche pas là, de 0 à 30 ans, c'était bien correct. Là, l'alimentation prenait pas autant de place dans ma vie. Puis là, ça devenait tu ne peux pas manger ça, qu'est-ce que tu vas faire? puis, qu'est-ce qu'on va manger de haut-soupé au diner, tu sais, ça devenait le carreau dans ma taille. Tu pensais à la bouffe 24 heures sur 24 ou presque 24 heures sur 24, tout le temps.

Speaker 2:

Qu'est-ce qu'il était pour?

Speaker 1:

rentrer. Qu'est-ce qui est bon? est-ce que ça, c'est bon? Ah non, ça je ne peux pas le manger, ça, je peux le manger. Puis, c'est pas simple. Je me suis rendue compte après ça que je commençais à avoir une relation qui n'était pas saine avec l'alimentation. Suite à avoir suivi, après deux ans, hyper strict pour les compétitions, j'ai fait comme non, non, ça ne marche pas du tout.

Speaker 2:

Dans ton podcast récemment, j'ai trouvé qu'il y avait un sujet absolument délicieux que t'avais abordé, qui s'appelle le burnout alimentaire. On connaît le burnout de la dépression du travail. J'ai fait un burnout d'entraînement après le Ironman, le marathon. Si c'est devenu de la pression, il n'avait plus de plaisir, il y avait de la rigidité. Et il y a le burnout alimentaire, dont on parle peut-être pas assez encore. Qu'est-ce que c'est pour toi, le burnout alimentaire?

Speaker 1:

Ben, le burnout alimentaire, c'est jamais quoi, tu sais? c'est ne plus savoir quoi manger, au soupé, au diner cuisiné, tout le temps, la même affaire. Ça, foutre un petit peu des ingrédients, d'arriver à la maison, on va les faire, on va manger quelque chose, on va commander n'importe quoi, de ne plus avoir d'idées comment cuisiner, que quand, justement, l'alimentation prend toute la place et tout ça, puis qu'on n'a plus de plaisir à cuisiner. puis on est juste à nait. Pour moi, c'est ça, là, là, là, tu sais, on est comme la stude totale. puis on est à nait, là.

Speaker 2:

Le burnout alimentaire. est-ce qu'il arrive après une certaine forme de rigidité d'avoir suivi un régime, d'avoir été à l'écoute de qu'est-ce que un dit, ce que l'autre dit, ce que l'autre dit, ça fait en sorte qu'après on te fait. Ben oui, je ne sais même plus où je suis, moi, par rapport à ça.

Speaker 1:

Exactement, quand il y a eu le burnout alimentaire arrive c'est ça. quand il y a de la rigidité, comme ton burnout que tu as eu là, tu sais, t'as été tellement strict, c'est ça souvent au niveau de l'entraînement.

Speaker 2:

Oh, ouais, j'ai plus capable.

Speaker 1:

Oui, Fait que quand il y a de la rigidité au niveau de l'alimentation, qu'on est dans les régimes trop stricts, qu'on fait les choses là, tu sais comme vraiment, là, sans sans ouverture, sans légèreté, c'est clair qu'on se dirige vers là. Puis, il y a des femmes. Tu sais, quand le podcast est sorti, j'ai eu plein de messages à femmes qui disaient ah, ya, ya, ya, ça fait 10 ans moi que je me sens comme ça. Là, tu sais qu'on puis, qu'on perd complètement, complètement le plaisir, fait que de réapprendre, de reprogrammer son cerveau, de retrouver le plaisir dans son assiette, c'est hyper important pour se sortir, se sortir de ça. Mais c'est pas facile quand on a tout le temps la petite voix qui est là, puis la culpabilité aussi qui est là, mais en même temps, ça ne me tente pas de faire autre chose, fait que ouais.

Speaker 2:

Puis, quand je regarde l'industrie alimentaire, c'est une industrie qui tape le clou sur le fait qu'on n'est jamais correct, qu'on n'est jamais adéquat. Télement. Puis je me disais ah, tu sais, on enregistre ce podcast-là en février, donc bientôt. on va voir Ben ouais du livre The.

Speaker 1:

Kidney Body 20 livres pour l'été.

Speaker 2:

Mais après, c'est 20 livres pour Noël, après, c'est 20 livres pour Park, après, c'est 20 livres, fait qu'on est toujours, oui, sujet à se faire dire que le corps que nous avons actuellement n'est pas le bon. Exactement Donc beaucoup de culpabilité, puis une espèce de déconnexion du plaisir qu'on peut avoir à avoir un corps et à manger.

Speaker 1:

On devient complètement déconnecté de notre corps, de ce qu'on veut, de T'sais. Puis aussi, sur Internet, on trouve tout et son contraire. Fait qu'en tu trouves quelque chose. Tu fais comme ah, j'aime ça, cette méthode-là, ben, tu vas trouver un vidéo qui va détruire la méthode que t'es en train de faire. Fait que les gens sont complètement perdus, sont déconnectés. Ils écoutent plus leur signaux de de satiété, de fin et tout ça. Mais en même temps, là, les filles, le corps, ils sait qu'est-ce qu'il y a besoin effectif. Faut trouver qu'est-ce qui est bon pour soi T'sais. Moi, je suis là pour donner des outils aux femmes, de dire regarde, essaye ça, si ça marche, tant mieux, continue comme ça, puis c'est parfait. Si ça marche pas, c'est pas grave, on essaye, on essaye autre chose. Mais la culpabilité, la pression est vraiment là. Puis, une autre chose aussi qui est hyper importante, c'est quand on arrive dans la prémenopause, puis la menopause. Cette période-là, la vie chez la femme, c'est une, c'est une période tellement importante. C'est comme si on coupe notre vie en deux. Il y a eu la vie avant, la prémenopause, la menopause, puis il y a eu la vie après.

Speaker 1:

Donc, quand on rentre dans la, cette période-là, ce qu'on faisait avant, qui fonctionnait pour perdre du poids ou pour être en santé, ça fonctionne plus, ça marche plus, ça marche plus. Mais pourquoi ça marche plus? Parce que le contexte est différent, parce que ton identité est différente. Donc, il faut faire les, il faut essayer des affaires qui sont différentes. Puis, quand cette période-là arrive, c'est comme pour nous rappeler de prendre soin de soi et d'être bienveillante. Dans les dernières années, dans les 40, 45 dernières années, t'as donné beaucoup pour des enfants, à ta famille, ta carrière, si ça, ça. Mais là, quand t'as réveillé, dans cette période-là, il faut que tu reviennes à qui tu es fait.

Speaker 2:

C'est incroyable, parce que notre vision de la Ménopause, c'est oh mon Dieu, c'est pas drôle, c'est pas le fun, j'ai plus le corps que j'avais. Donc, il y a encore là beaucoup de jugement par rapport à cette étape-là qui en fait un pas de plus vers notre bienveillance de nous envers nous.

Speaker 1:

Mais oui, mais oui, tellement c'est tout le temps nos mondies d'hormones, nos cines, nos sommeins, les filles, il y a vraiment possibilité d'avoir cette période-là, que ce soit agréable aussi. Tu sais, fait que oui, oui, c'est hyper important, t'es naturopate.

Speaker 2:

Donc, tu parles beaucoup d'alimentation, de scènes, habitudes de vie, Oui. Puis tu l'as intégrée d'une façon où comment puis-je être une naturopate, comment puis-je vivre la naturopérapie? Je veux pas juste l'enseigner ou le parler, mais partager, je veux l'incarner. Et ça aussi, ça a changé Bien, oui.

Speaker 1:

Beaucoup de temps. T'as vu, ça fait pas longtemps là. Ça fait peut-être à peu près Ça fait longtemps que je suis naturopate, mais ça fait peut-être vraiment comme deux ans ou, ce que j'ai vraiment décidé d'incarner la naturopate en moi. Donc, j'ai décidé d'être une naturopate, puis, la différence que ça fait, c'est que dans mes gestes au quotidien, il y a toujours une conscience de Oui, la naturopatie, en fait, c'est le chemin vers la santé. Naturopate, pâte en anglais, c'est le chemin, c'est le chemin vers la santé. Donc, je me suis dit OK, là, j'ai envie d'incarner la naturopatie, la naturopate Donc, dans ma vie, au quotidien, qu'est-ce que je devrais faire?

Speaker 1:

Bien probablement, me coucher, plus de bonheur, lâcher mon cellulaire, aller jouer dehors peut-être plus souvent, faire de la lecture, et tout ça Fait que c'est plus juste d'en parler puis de le dire, mais c'est d'incarner et de faire ces actions-là, d'amener simplement plus de conscience. Puis, ça veut pas dire que je le fais 100% plus souvent, mais ça veut dire que cette conscience-là, quand j'ai pris la décision d'être une naturopate, ça fait que la conscience est juste plus présente. Puis, selon ce que j'ai envie, je vais le faire, mais cette conscience-là, elle est là. Puis, je pense que c'est important de choisir d'être, de devenir une personne.

Speaker 2:

Oui, oui, puis ça pourrait. Si on le fait avec la cinquantaine, c'est comme OK. Si j'incarner la femme de cinquantaine que je suis réellement, qu'est-ce que je ferais Bien? c'est la même chose que la naturopate, C'est la même chose. Je ferais attention à moi davantage, J'aurais plus d'or, je lâcherais mon téléphone, je réduirais mon niveau de stress, Exactement Pour pouvoir autoriser mon corps à être qui il veut être.

Speaker 1:

Exactement. Puis, quand on fait ça aussi, c'est qu'on écoute plus notre corps. Puis on se met à entendre les signaux, à entendre de dire OK, bien là, oui, peut-être qu'aujourd'hui j'ai peut-être trop été sur mon cellulaire, ou j'ai peut-être pas sorti parce que je chante, que j'ai comme un brouillard mental, ou T'sais fait que T'sais, moi, quand j'ai décidé qu'une habitude bien, bien simple, là, j'avais l'habitude de me coucher avec mon téléphone sur le bord de ma table de cheveuil, c'est ça qui me réveille, c'est mon cadran. Donc, quand je me couche, bon, je regarde l'air tout le temps, scroll un petit peu plus, je finis que je regarde mon téléphone. Mais dans 25, 45, 40 minutes, 45 minutes, une heure, là, je me couche plus tard.

Speaker 1:

Et le lendemain, bon, je me lève, je suis à ma journée, mais toujours un peu fatiguée, un peu Parfois le brouillard mental. Puis, bon, c'est vrai, après menopause, menopause, et la journée où j'ai fait c'est tu quoi? mon téléphone, je le mets à l'extérieur, puis je vais m'acheter un cadran bien ordinaire, pas de Wi-Fi blanche, les branches dans le mur qui fait bip, bip. J'ai tellement vu la différence. J'ai fait comme OK, je suis encore capable d'être super énergique le matin, d'être concentrée, de pas avoir de focus, et tout ça juste en changeant cette petite habitude-là qui n'est qu'aux rien. Là, t'sais, fait que.

Speaker 2:

Ah, j'aime le fait que t'es explorée. En fait, ce que tu nous amènes, c'est encore là. on fait juste le parallèle avec la menopause ou les hormones, comme ah, c'est à cause des hormones, c'est à cause des hormones, c'est à cause de mon âge, c'est à cause de normal, c'est normal, c'est normal. On n'est pas dans la curiosité de Je me demande qu'est-ce que je pourrais faire de différent à partir de maintenant Exactement oui, faire les choses différemment, ça change la vie en fait.

Speaker 1:

puis, souvent, c'est que ça coûte rien. c'est ça qui est le fun, t'sais fait que Fait que c'est d'essayer de faire différemment les choses. donc ça, oui.

Speaker 2:

Mais je pense qu'on a plus de contrôle qu'on peut imaginer sur notre vie, sur notre vitalité.

Speaker 1:

Mais on donne tellement le contrôle aux autres, on a tellement de tendance à écouter ce qui se dit sur Internet, ce qui se dit dans les podcasts, ce qui se dit un petit peu partout en fait. Ah oui, ça c'est bon, ça c'est bon, ça c'est bon, mais on ne écoute pas qu'est-ce qui se passe à l'intérieur de nous. Puis notre corps, il sait, lui, qu'est-ce qui est bon. Donc, c'est comme si on donnait notre pouvoir d'être en santé, d'être bien, aux autres. La journée où on décide d'incarner quelqu'un qui est en santé ou T'sais, comme, là, j'ai aussi l'objectif, éventuellement, d'écrire un livre, là je suis comme ok, ouais, j'ai écrit un livre, mais je ne veux pas juste écrire un livre, j'ai envie d'être une écrivaine. Donc, oui, est-ce que ça fait une écrivaine? Est-ce que c'est quelqu'un qui va peut-être écrire quelques pages par jour? Je ne sais pas, je n'ai aucune idée, mais tu fais un peu cette identité-là exercice-là.

Speaker 1:

Mais assez, ça Fait tout ça pour dire que de reprendre son pouvoir, t'sais de juste reprendre son pouvoir de se poser les questions, puis tu sais, moi je sais quelque chose de différent, puis ça fonctionne. Hé, vas-y, continue, Même s'il y a quelqu'un qui va dire que ce n'est pas la bonne affaire.

Speaker 2:

Vas-y, C'est vraiment important Quand les femmes qui travaillent avec toi à travers tes différents programmes arrivent dans ton univers et voient cette possibilité-là de se poser des questions, d'explorer ce qui fonctionne, qu'est-ce que ça transforme dans leur vie.

Speaker 1:

Ben, en fait, c'est que ça transforme. Ça transforme tout. Parce que, oui, les gens viennent me voir habituellement, en général, c'est souvent pour la perte de poids et tout ça, mais moi je les amène dans d'autres chemins aussi. Oui, on va parler d'alimentation, mais on va parler du système nerveux, on va parler des hormones, qui est vraiment la clé Si tu essaies de perdre du poids, de retrouver ta vitalité, et que ça fonctionne pas depuis plusieurs années. Il faut aller au-delà de l'alimentation. Ça fait que c'est pour ça que les amènes à travailler sur la confiance en elles, sur les hormones, le système nerveux, et que là, ils me disent le fait justement que là, je respire, je fais mes exercices de respiration, je vais jouer dehors. Mon Dieu, je me sens déjà mieux, j'ai plus d'énergie. Pis, ah, tiens donc, j'ai dégonflé cette semaine, mais voilà, ça change tout. Là, oui, la respiration.

Speaker 2:

Tu as juste parlé de la respiration. Je me dis ah y'a, c'est incroyable, parce qu'à chaque fois qu'on lit quelque chose sur comment perdre du livre rapidement, il n'y a pas respirer nécessairement, il y a coupé ci, coupé ça, ne pas manger ceci, ne pas manger cela. Mais on n'est pas dans un. Est-ce que tu respires?

Speaker 1:

Oui, Et quand qu'on ne respire pas, en fait, comment respire en Amérique du Nord? c'est qu'on respire du haut, en fait, des poumons. Quand on respire du haut des poumons, c'est une respiration qui est un peu comme les animaux qui sont traqués, c'est une respiration qui est vraiment juste en haut. Donc, ça fait qu'on n'oxygène pas toutes nos cellules. On oxygène à peu près nos cellules à 70% quand on respire du haut des poumons. L'affaire, c'est que si on oxygène nos cellules à 70%, bien, nos cellules, c'est des petites usines et les usines font des déchets. Donc, on élimine les déchets de nos cellules à 70%, fait qu'il reste 30% de caca qui reste dans notre corps, qui va se loger dans nos intestins, qui va se loger dans notre tête, et tout ça.

Speaker 1:

Puis on a un brouillard mental, il y a de l'inflammation qui est là juste parce qu'on ne respire pas. Bien, fait que de revenir à une respiration où ce qu'on va commencer c'est par le ventre, plus profonde, où on va vraiment expendre tous les poumons, juste ça, trois minutes par jour, l'oxygène de cellules à 100%, ça va refaire toute une différence. Et c'est des choses, effectivement, qu'on ne parle pas quand on veut perdre du poids, mais c'est important, ça va calmer le système nerveux. Quand le système nerveux là, je compartis Non mais vas-y, vas-y, c'est super intéressant.

Speaker 1:

Quand le système nerveux est stressé, comme le trois-quart des femmes que j'accompagne dans le fond, qui sont métro boulot, dodot, gogo, vite, vite, on veut perdre du poids pour hier, et tout ça ben, ça fait que le système nerveux est dans un, tout le temps, un état de stress. Quand le système nerveux est dans un état de stress, il n'est pas dans le repos, il n'est pas dans la digestion, il n'est pas dans la perte de poids. Donc, il faut calmer le système nerveux en allage au dehors, en respirant mieux, et tout ça Fait que c'est toutes des choses qui sont importantes à parler dans un processus de perdre de poids, de remise en forme, mais qu'on parle pas, on focus sur ok, casse-tu mange, vas-y, casse-tu, calcule tes calories, et tout ça. Mais non, il faut aller plus loin que ça.

Speaker 2:

C'est tellement hot parce que tu fais juste parler de respiration. Ça me permet, moi, tout de suite, de me ramener à ma respiration, un devoir. À quel point je respire du torse que je fais. Je suis, exactement comme tu disais, un animal traqué. C'est ça, oui. Puis juste de changer la respiration de plage. Je me sens apaisée, comme oh. Et ça peut avoir en plus, en bonus, un impact sur Exact Le fait de relâcher du poids plus facilement.

Speaker 1:

À toutes les fois que je fais mes accompagnements, toutes les semaines, on en a nos rencontres avec les femmes. C'est la première chose qu'on fait, c'est qu'on va juste prendre trois respirations, à notre rythme, assise sur notre chaise, bien comme il faut. Puis, juste ça, ça permet d'oublier ce qui s'est passé ce matin, ce qui s'en vient cet après-midi, puis d'être focus avec qu'est-ce qu'on, où on est présentement, et ça fait que ta digestion va être meilleure. Si ta digestion est meilleure, tu vas perdre du poids plus rapidement, tes intestins vont mieux fonctionner. Tu sais les femmes qui, tu sais le trois corps des femmes, sont constipées. Où, ils vont dire non, je prends un café, je suis correct, je suis pas constipée. Si tu as besoin d'un café pour aller à la cellule, oui, tu es constipée. Donc, des fois, juste de bien respirer, paix. Ça ramène du mouvement au niveau des intestins. Donc, on est capable d'éliminer les toxines et tu sais, fait que c'est tout un processus.

Speaker 2:

Là, ce n'est pas juste au niveau de l'alimentation, mais c'est vraiment au niveau des habitudes de vie aussi, puis aussi on en avait parlé ensemble du fait que l'objectif, quand on n'entend pas un processus avec toi ou que ce soit tout seul, c'est pas juste. Je veux perdre d'y l'ivre. C'est comment je peux me sentir encore mieux?

Speaker 1:

Oui.

Speaker 2:

Qu'il juste de changer le focus sur le fait d'avoir plus d'aisance dans notre corps, peut-être éventuellement faire une belle grand-mère ou avoir de la facilité avec nos enfants, nos petits-enfants, parce que ça change un peu aussi notre façon de penser. Je trouve, oui, quand on prend de l'âge, on fait comme oui, mais à un moment donné, attends, genre 70, 70, si je veux être encore capable de courir, qu'est-ce que je dois faire maintenant? Exactement, pour revenir à ma question, c'est la façon dont amène le processus avec tes clients, c'est pas comment on va perdre d'il l'ivre, c'est comment on peut se sentir mieux.

Speaker 1:

Ben oui, comment on peut se sentir mieux, quelle personne je peux être aujourd'hui pour, justement, prendre peut-être de meilleure décision. Mais dans toutes les sphères de ma vie, c'est vraiment important Et c'est ce qui va faire aussi une différence. Dis comme là, il y a eu la St-Valentin ou le Super Bowl, il y a les vacances, peu importe où on est dans l'année, il y a toujours quelque chose qui fait comme t'en as toujours cette espèce de or. Mais là, je peux-tu vraiment manger ça? Si je le mange, la culpabilité, elle est souvent là».

Speaker 1:

Si on regarde juste la pyramide alimentaire du régime méditerranéen, ce qui est en bas, à la base, c'est le plaisir, c'est pas l'alimentation, c'est pas les bons gras, c'est pas de faire de l'activité, c'est le plaisir d'être avec les gens qu'on aime, d'avoir du plaisir et de rire, d'avoir un bon repas, que ce soit une fondue avec du vin, du fromage, du pain, si tu as du plaisir et du riz, ça va avoir une belle meilleure digestion que si tu manches ta petite salade frustrée, parce que même si, oui, c'est une salade, c'est vraiment important qui on veut être.

Speaker 2:

Mais c'est tellement délicieux d'entendre cette pyramide-là et de la façon dont tu l'amènes. comme attends, la base, c'est même pas de la salade.

Speaker 1:

Exactement, La base, c'est le plaisir Et quand on regarde aussi dans les. je sais pas si tu as vu sur Netflix le zone bleu je pense que c'est p't'écouter, c'est un peu ça, eux autres aussi. Là, le plaisir est évois. Jouez, écoute, y'a, on s'entend et jouez jouez Au rondelle.

Speaker 2:

C'est ça au point important.

Speaker 1:

La notion de plaisir est importante. c'est souvent quelque chose qu'on a perdu dans notre société de performance. chez les femmes, beaucoup, avec les enfants, on a perdu la notion de plaisir. C'est partout, dans la siète, dans au travail, et tout ça. Donc, à un moment donné, y'a comme une espèce de tournant qui est là, qui arrive, et tout ça, vers la 40, 45, 50 ans, faut modifier un peu les choses, parce qu'on faisait avant, ça ne marche plus. Est-ce que tu?

Speaker 2:

as eu la perception un moment donné. oui, quand t'étais dans la pète restriction alimentaire pour avoir cette shape-là, eu trop musclé de fitness.

Speaker 1:

Mais Mais j'ai jamais réussi à avoir des muscles. T'as tellement compris.

Speaker 2:

Oui, c'est vrai.

Speaker 1:

Mais moi, je suis grande, donc, moi, je fais des muscles en longueur, plutôt comme ça. J'essayais d'avoir des quais, j'essayais d'avoir des abdos, ça ne marchait pas. Quand je t'ai arrivé sur le stage, je pourrais te donner des photos. c'est vraiment drôle. Quand je t'ai arrivé sur le stage, j'étais probablement la plus vieille. Je suis la seule qui avait eu des enfants. J'avais 35 ans et après moi, en fait, la plus vieille, elle avait 26. Il y avait quand même un gap. Je suis la seule qui avait des enfants. La texture de la peau n'était pas pareille. Je suis arrivée avant-dernière, mais j'ai vraiment attrapé, mais je n'avais pas de muscles. Je n'étais pas capable de faire des muscles. C'était compliqué.

Speaker 2:

Puis, est-ce que le plaisir est disparu complètement de ton assiette et de ta vie à un moment ou à un autre?

Speaker 1:

Totalement. Quand j'ai eu fini, en fait, la compétition, j'avais oui, c'est ça, 35 ans. Donc, j'ai complètement perdu le plaisir dans mon assiette. Et un an plus tard, ou deux ans plus tard, j'ai eu un diagnostic de troupes d'anxiété généralisées. Ça faisait, je sais ça, un, deux, trois ans que je n'avais plus de plaisir, que je fonctionnais sous le pilote automatique, que je t'ai go go go, je t'ai complètement déconnecté. Donc, oui, oui, j'ai complètement perdu le plaisir.

Speaker 2:

Comment tu t'es rendu compte que tu avais un troupes d'anxiété généralisé?

Speaker 1:

J'ai recommencé à faire des crises de panique.

Speaker 1:

Moi, j'ai fait des crises de panique, là, jeunes, je dirais, de 17 à 19 ans, puis des crises de panique de penser que je vais mourir, le coeur qui débat, des palpitations, des chalades, mais tous passant à l'intérieur de moi, les gens à l'extérieur ne voyaient pas. Je pouvais être dans le métro de Montréal, puis, en étant en train de mourir, dans ma tête, puis ça ne paraissait pas du tout. Puis, à un moment, à cet âge-là, à 19 ans, je me suis levé un matin, j'ai fait comme non, là, il faut que ça arrête, je ne peux pas continuer comme ça, ça doit arrêter. Il n'y avait comme pas de possibilité et les crises ont arrêté. Du jour au lendemain, je ne fais comme pas, mais des fois, ça revenait un peu. Mais comme tout bon anxieux, je disais je suis capable de décontroller, ça va bien. Et à 35 ans, c'est revenu.

Speaker 1:

J'ai recommencé à faire des crises d'anxiété, mais vraiment beaucoup. Là, être dans la nature, seul, avec les enfants, plus capables de respirer, obligés de me mettre sur l'accotement, mettre l'inclimatiser, en plein mois de janvier, parce que j'avais un chaud, j'avais l'impression que j'allais mourir, et tout ça. Là, j'ai fait comme à temps, ça ne marche pas. Là, je te dirais que ça a commencé comme ça, puis, après ça, c'est devenu plus gros que moi un matin. Puis je me suis dit là, il faut que j'aille consulter Et j'ai eu mon diagnostic à mon anniversaire, le 3 février 2014.

Speaker 1:

Puis, pour moi, ça a été très significatif parce que ça a été comme un peu une renaissance, parce que quand j'ai eu le diagnostic, il a fallu que je change tout plein d'habitude alimentaire, de vie et tout ça mais il a fallu que j'aurai appréhend à respirer. C'est la première chose qu'on m'a appris et ça m'a vraiment sauvé la vie. Mais au début, karine, je faisais juste mes exercices de respiration et je t'ai étourdi, je t'ai appris, ça prenait tout mon jus, mais ça m'a vraiment sauvé la vie. C'est pour ça que, maintenant, la respiration, c'est comme Je vais en parler à tout le monde.

Speaker 2:

Oui, encore plus. je comprends l'importance que tu as en mentionné tantôt, et tu as changé tes habitudes alimentaires aussi. à ce moment-là, ça va faire 10 ans, en fait, à se célébrer tes 10 années de renaissance.

Speaker 1:

De renaissance? oui, exactement, mais je te dirais que ça a été une période. c'est difficile. ça fait mal, tu le sais. ça fait mal physiquement, ça fait mal mentalement, mais en même temps, aujourd'hui, je suis vraiment contente de ce parcours-là parce que ça m'a permis de vraiment changer les choses, de me retrouver, de me reconnecter. Mais ça a pris un certain temps. Je te dirais que ça a pris un bon 3 ans, Mais t'sais, j'ai commencé à aller mieux, t'es avant le 3 ans. mais vraiment de dire OK, là, je pense que je m'en suis sorti. ça a pris un 3 ans, wow.

Speaker 2:

Et c'est ce qui fait aussi, peut-être, que tu sais aussi facile pour toi de contribuer à la santé des femmes, puis à leur bien-être, parce que tu as des multifacettes par rapport à l'alimentation, à la minopause et tout le reste.

Speaker 1:

Bien, en fait, c'est que je propose aux femmes ce que j'aurais aimé qu'on me propose à cette époque-là, que je ne savais pas questionner autant, quand j'ai vécu l'entraînement, l'anxiété, la minopause. Bien, moi, j'ai créé ce que j'aurais aimé qu'on me donne, t'sais des outils pour, justement, vivre ces périodes-là plus facilement.

Speaker 2:

J'ai curieux de savoir, par rapport à la spiritualité, si ça a aussi ouvert autre chose, comment la spiritualité est rentrée dans ta vie. Ah, ça c'est une belle question.

Speaker 1:

J'ai toujours été une fille très, très spirituelle, t'sais très dans l'énergie. Quand j'étais jeune, j'étais dans les roches, j'étais dans plein d'affaires, puis, à ma nez, je suis rentrée dans le marché du travail et ça, complètement, je suis comme sortie de mon corps. Puis, je suis rentrée dans ma tête De 20 ans. Là, à 35 ans, j'ai été complètement dans ma tête, déconnectée de ma spiritualité. Puis, après ça, à 35 ans, quand j'ai commencé à vivre avec l'anxiété, j'ai fait une demande, j'ai dit là, j'ai besoin de retrouver la spiritualité, cette espèce d'énergie-là et tout ça. Et c'est comme revenu. Puis maintenant, ça fait partie de ma vie. Là, t'sais, je suis beaucoup dans l'énergie, dans le ressenti, mais j'en parle pas tant à travers les. On dirait que j'ai comme une petite réserve. Puis je me disais ah, t'sais des fois un peu bon, la peur du jugement et tout ça, mais de plus en plus là à l'intérieur de mes programmes, puis, avec les femmes que j'accompagne, là, on en parle.

Speaker 2:

Oui. Puis de quelle façon on te parle, par exemple Ou qu'est-ce que ça fait le fait d'être plus spirituel encore, plus connecté à ton corps? Qu'est-ce que ça change dans l'accompagnement de toi avec toi ou de toi avec les autres?

Speaker 1:

Ben, ça fait que j'ai plus de ressenti avec moi, mais j'ai aussi, je suis capable de faire aux femmes plus de ressenti envers elles. Fait que je vais leur donner des outils, que ce soit énergétique, que ce soit de lecture ou peu importe, pour leur amener une espèce de conscience de dire Hey, t'es pas juste une femme comme ça, mais il y a aussi de l'énergie à l'intérieur de toi. À l'extérieur de toi, tu peux travailler avec cette énergie-là pour pouvoir t'aider». Fait que ça change en fait la donne, ça ouvre, en fait Moi, je suis là pour planter des graines. Fait que ça, ça ouvre des possibilités. Il y en a qui sont prêtes, il y en a qui sont pas prêtes, et c'est parfait. là, t'sais, chacun son chemin, chacun son rythme.

Speaker 2:

Est-ce qu'il y a des femmes, des fois qui arrivent devant toi ou avec toi, dans ton univers, puis qu'ils disent C'est… J'ai tout essayé, il n'y a rien qui marche 95% des femmes qui viennent me voir présentement.

Speaker 1:

C'est ça qui me dit je comprends pas. Tu peux-tu m'expliquer tout ce que j'ai essayé? ça marche plus Écoute, t'sais.

Speaker 2:

C'est incroyable, pis plein d'affaires et tout ça Là on parle de keto, de méditerranéen, de végétarien, de….

Speaker 1:

D'entrainement de plein d'affaires, sauf qu'on sait pas attarder au système nerveux. On n'a pas réappré à respirer, on n'a pas réappré à bien dormir, on n'a pas réappré à calmer le système nerveux. C'est toujours une question de système nerveux. Si le système nerveux fonctionne pas bien, ça dérègle les hormones, pis ça fait prendre du poids, pis fait que c'est ça Fait. Que moi, quand ils viennent avec moi, je suis pas en train de leur dire Ben là, tu vas manger telle affaire, pis tu vas couper ton pain, et moi, je suis en train de leur dire Ok, oui, faut aller s'occuper de ton système nerveux, première chose à faire. Pis ils sont comme Ok, ouais, ok». C'est comme quelque chose d'un peu différent.

Speaker 1:

Mais oui, ils ont toutes essayé. souvent les femmes qui… que j'accompagne?

Speaker 2:

Oui, pis, ils sont convaincus. Pis, en fait, c'est ça dans la conclusion qu'il y a…. Il y a rien à faire.

Speaker 1:

Oui, ils sont convaincus que c'est ça. Il y a rien à faire maintenant. Je suis comme ça, je suis rendu comme ça, fait que là je vais être vieille égrise.

Speaker 2:

Nga nga nga nga mais non», pis je vais prendre du poids, pis je vais prendre du livre par année, pis… Je répète relation sexuelle avec mon mari.

Speaker 1:

C'est pas, je suis finie, c'est tout en l'heure, mais non». Non, c'est ça.

Speaker 2:

C'est possible. C'est possible, ok. Autre, la respiration. Je pense que si on parlait un peu du système nerveux, je pense que c'est une bonne idée. Qu'est-ce que t'en penses?

Speaker 1:

on explorerait un peu du système nerveux.

Speaker 2:

Qu'est-ce qu'on peut faire? pour les gens qui nous écoutent en ce moment, probablement que le niveau de stress est tellement plus élevé qu'on peut imaginer dans la société. Mais il y a des gens comme toi, comme moi, qui ne s'apparaît pas tu fais semblant tu dégales, t'es en train de te liquifier littéralement à l'intérieur. Qu'est-ce qu'on peut faire autre la respiration, pour nous aider à calmer le système nerveux.

Speaker 1:

Le système nerveux, dans le fond, c'est… Je vais le dire rapidement, mais il y a le nerveur qui est un air qui part à la base du coup, qui arrête au niveau du coccyx et qui va aller énerver tout ce qui se passe ici, donc tous les organes vitaux qui sont là. Donc, si le système nerveux est hyper stimulé, ça fait que les organes qui se passent entre le base du coup et le coccyx fonctionnent pas bien, donc la respiration, les intestins, les estomac et tout ça. Ça fait qu'il faut calmer le système nerveux. Donc la respiration, mais juste le fait de se coucher plus tôt, de manger des aliments qui vont être le moins transformés possible, parce que ce qu'on mange, qui est transformé, qui contient des produits chimiques, toutes sortes de choses, est aussi un stresseur, en fait, pour notre corps. Et notre corps, il reconnaît pas quand il mange des trucs qui sont transformés ou qui ont des ajouts. Le corps ne le reconnaît pas. donc, ça devient aussi un stress. Donc, lui, il ne reconnaît pas, donc il va stocker ça sous forme de toxines à les marchés d'or.

Speaker 1:

La marche. une des premières choses que je fais avec les femmes, c'est que je les arrête toutes de s'entraîner. Je te l'arrête de t'entraîner, t'arrêtes. La seule chose que je veux que tu fasses, je veux que tu ailles marcher d'or 30 minutes par jour. Ça peut être trois fois 10 minutes, 6 fois 5 minutes, une fois 30 minutes, ça a le même effet que tu le fasses en une fois ou en six fois. Juste d'aller marcher, ça, ça va vraiment calmer le système nerveux. On peut aussi là il y a la grosse mode des bains froids Moi, je ne suggère pas un bain froids, mais de finir la douche avec une eau plutôt tiède ou un peu fraîche. ça va aussi calmer le système nerveux. Merci.

Speaker 2:

Merci de dire juste de l'eau tiède, ça fonctionne. Oui c'est un stresseur à faire ça.

Speaker 1:

Oui, bien là, c'est la grosse mode, Les gens qui ont des problèmes cardiaques, les gens qui ont vraiment trop de stress. Ça peut être trop de stress, justement, de casser la glace puis d'aller directement Chanter à tu t'aides dans l'auto, ça, ça resette le nerve-vague instantanément. Ça fait que ça pour vrai, les filles dans le char, vous mettez la musique dans le tapis, chantez à tu t'aides, ça va calmer le système nerveux.

Speaker 2:

Moi j'écoute, puis je me dis attends, c'est plein de façon de relâcher du poids potentiellement. Ça ne veut pas dire que c'est ça qui va arriver, sinon de se sentir plus légère.

Speaker 1:

Oui, tout à fait. Puis c'est gratuit, karine. Tout ce que je viens de te dire là, c'est pas merveilleux, mais on ne l'apprend pas à l'école et n'eut le pas. Donc, il faut faire des podcasts comme ça, pour en parler Tellement.

Speaker 2:

Il faut aller voir aussi ce que tu as. Écoutez ton podcast, aller voir tes programmes, c'est possible. Toutes les liens vont être disponibles si jamais Ça vous tente. T'as dit quelque chose d'important par rapport au fait de marcher et d'arrêter de t'entraîner. Oui, puis tu vois, moi j'ai qui a fait beaucoup de Ironman de longue distance, je m'entraîne plus. Mon corps, ça ne l'intéresse pas, et je me rends compte à quel point marcher dans le bois, le hiking, barboter dans l'eau pour ne pas te nager, deux kilomètres, trois kilomètres, comme j'ai pu faire Mon corps exige beaucoup plus de lenteur qu'avant.

Speaker 1:

Oui, mais pourquoi Est-ce que t'as remarqué? Pourquoi?

Speaker 2:

Mais je pense que ça me pourquoi. Je ne sais pas si je peux répondre à cette question-là, mais j'ai eu la perception que ça surcharge pas mon système nerveux, ça relâche. C'est comme si ça, le mot que j'entends c'est endorphine, ça me permet de secréter des endorphines pour me sentir mieux, alors que avant, avec l'endurance, puis pousser, pousser, là, c'est un stresseur de pousser davantage, mais est-ce que ça se peut que la notion de plaisir soit plus là?

Speaker 1:

Oui, absolument, c'est ça.

Speaker 2:

C'est ça qu'on demande, ça.

Speaker 1:

Absolument, Parce qu'il y a plus de plaisir maintenant à faire ça que de faire go-go-go et tout ça. Ça fait que encore là, c'est une notion de plaisir.

Speaker 2:

Donc c'est pour ça que tu dis aux femmes, par exemple tu arrêtes l'entraînement, oui, tu arrêtes ça complètement. Tu vas pas au gym, tu poses plus fondre. Ça ne veut pas dire de, ça ne veut pas dire de ne plus en faire.

Speaker 1:

Non, non, non, mais pendant un petit bout de temps, oui, pendant un petit bout de temps, juste pour faire un recette de ton métabolisme, et tout ça. On va arrêter de s'entraîner, on va aller marcher dehors, et puis après ça, dans deux, trois mois, là, on va ramener l'entraînement plus musculaire, qui est excellent aussi là, au niveau des hormones, et tout ça, mais pour l'instant, on arrête. Oui, récepte de métabolisme.

Speaker 2:

Ça, je suis vraiment contente que tu l'amènes sur le tapis. C'est quelque chose que j'entends souvent. Puis, on dirait que mon cerveau, il ne comprend pas. Ça veut dire quoi? Oui, ça veut dire comment je fais pour recetter mon métabolisme.

Speaker 1:

En fait, ce que je veux dire quand je dis recette, c'est juste comme de donner un nouveau souffle à notre métabolisme, qui est tellement poussé à son maximum. Puis, en plus d'être poussé à son maximum par notre système nerveux, les femmes ne mangent pas assez. Ça fait que là, c'est encore plus, c'est encore plus un stresseur. Donc, quand je dis recette, c'est que ça va calmer le métabolisme, puis il va comprendre qu'on n'est plus en mode survie, puis là, il va se remettre à fonctionner normalement. Parce qu'une autre chose aussi que je rencontre énormément, c'est que les femmes ne mangent pas assez, pas assez. C'est comme. Là, il faut augmenter, il faut que tu manges un peu plus de protéines, plus de légumes. Ça va être vraiment important. Puis, souvent, les filles disent je ne peux pas croire que je mange plus, puis que je prends du poids. C'est ça, parce que là, on ne stresse plus, ton système, ton système n'est plus en mode survie, il sait qu'il va avoir tout le temps de la nourriture qui va être là, puis qui va être disponible. Donc, c'est un peu ça, oui, c'est ça.

Speaker 2:

Je comprends, mais ça veut dire que quand je ne mange pas assez, comment est-on la dernière semaine? Bon, j'ai été malade, j'ai eu un petit virus, l'appétit m'a coupé, mais je viens de me rendre compte que le niveau de stress a augmenté en même temps. Potentiellement, c'est parce que je ne mange pas assez.

Speaker 1:

Mais en même temps, quand on est malade, c'est normal de ne pas vouloir manger ça parce que le corps est en train de se guérir. Mais oui, c'est sûr que si tu continues comme ça, à moins manger, ou à faire juste deux repas, parce que là le jeunet intermittent est à la mode et tout ça, ben oui, tu vas augmenter le niveau de stress. Puis, quand le niveau de stress est élevé, c'est-à-dire que c'est le cortisol, dans le fond, c'est le cortisol qui est élevé. L'insuline, lui, sa meilleure amie, c'est l'insuline. L'insuline, c'est elle qui va gérer le taux de sucre dans le corps. Puis, si le cortisol et l'insuline sont élevés, c'est impossible de perdre du peau. Donc, faut calmer la patente.

Speaker 2:

Calmer, calmer.

Speaker 1:

Oui, je me rappelle quand on était à l'école. ben quand, à l'école, mais au début des années 2000,. ben, à peu près, là là, ils diraient la nouvelle maladie du siècle, c'est le stress, c'est si, puis, c'est ça? ben, c'est vraiment ça, c'est vraiment ça qu'on est en train de vivre présentement, là qu'il faut refaire dans le bon sens là, puis réciter son métabolisme.

Speaker 2:

Ça, tu me permets que je te repose des questions Là-dessus. Ça me fascine De quelle façon quelqu'un qui nous écoute aujourd'hui peut réciter son métabolisme. Ça vient avec la respiration aussi.

Speaker 1:

Oui, c'est sûr La respiration, revenir. si jamais vous faisiez du deux repas par jour ou du jeune intermittent? on arrête le jeune intermittent, on va revenir à trois repas par jour. Mais là, les gens vont dire mais moi, j'ai jamais fait le matin, t'es obligé de prendre un gros déjeuner, mais amène un petit truc le matin, avec de revenir à trois fois par jour, d'aller dehors, de se coucher plus tôt, d'écouter en fait aussi ce qui se passe à l'intérieur. Si tu as faim pour une collation, prends en une. Là, c'est correct aussi. C'est ça que je vais dire par le reset.

Speaker 2:

Ben, absolument Ce que je vois et ce que je me rends compte, c'est, que ce soit pour les hormones, que ce soit pour la priménopause, que ce soit pour resetter son métabolisme les sujets sont revenus tout au long du podcast C'est la même chose, c'est la même chose, effectivement.

Speaker 1:

Oui, c'est vraiment. Commençons par ça, commençons par calmer, c'est calmer le pompon, calmer le système nerveux, et voyons qu'est-ce que ça va faire. Puis, souvent, ça fait de la belle magie, puis des beaux miracles.

Speaker 2:

Oui, Puis là, quand t'as parlé de jeune intermittent, puis de dire aux gens comme OK, là, peut-être qu'ils avaient une façon de fonctionner jusqu'à présent, là, ça va être le temps de remettre peut-être un petit repas ou deux repas supplémentaires sans culpabilité.

Speaker 1:

Exact. Parce qu'en fait, le jeune intermittent, c'est bon, c'est bon de laisser une pause à notre système digestif qui va pouvoir faire autre chose. Mais le jeune intermittent, ce n'est pas de moins manger, ce n'est pas de moins manger, c'est de manger la même quantité, mais en deux repas. Mais ce que les gens ne font pas, c'est qu'ils ne mangent deux repas, mais en mangeant en moins, c'est parce qu'ils ne font pas de la bonne façon. C'est pour ça qu'on arrête de faire du jeune intermittent. Mais encore là, on revient à trois repas par jour. Mais après ça, si on a la bonne quantité de nutriments, de vitamines, tout ça, c'est correct. Mais pour l'instant, c'est comme l'entraînement. On arrête ça pour tout de suite. On recommence là, on essaie autre chose pour repartir d'une autre façon.

Speaker 2:

C'est tellement agréable. Un, tu as une voix hyper douce. Oui, mon débat, c'est comme super rassurante. Dans Hey, ça va fonctionner, ça va bien aller, ça va bien aller, t'as pas besoin de t'inquiéter». Et ça fait en sorte. Tu sais, on est gagnante quand on décide de faire une pause de ce qu'on faisait avant qu'il fonctionne plus. On est gagnant, ben oui, de prendre un accompagnement, des fois juste pour avoir un petit coup de main, un cheerleader, tu sais, ça soulage.

Speaker 2:

Oui, tout à fait. Et ça fait en sorte qu'on est meilleure femme? Ben oui, on est mieux.

Speaker 1:

On est mieux amoureuse, meilleure amoureuse, meilleure maman. L'intimité Parce qu'on en a pas parlé. on aurait pu en parler aussi. Oui, on aurait pu en parler aussi, Parce que c'est Oui.

Speaker 2:

Il y a plein de choses qui se passent à partir de 40, 50, 60 ans Et on pense que c'est fini, que nos belles années sont derrière nous, que même au niveau de la sexualité, l'intimité, l'orgasme, c'est fini. Ben non, c'est pas fini. Ben non.

Speaker 1:

Mais on en parle pas. tu sais, Fait, qu'il faut en parler. faut en Oui.

Speaker 2:

Au lieu de rester coincé avec ça en disant C'est terminé. Aide dans la conclusion, c'est fini. On va pas juste dire Qui peut m'aider à partir de maintenant Exactement, Et quelles sont les informations que je n'ai pas en ce moment qui vont faire une grande différence dans ma vie.

Speaker 1:

Tout à fait.

Speaker 2:

Merci tellement, pénélope. Ça m'a fait plaisir, c'était super agréable. Merci, clare-yann. Merci de ton écoute.

Speaker 1:

C'est toujours bien le fun d'être avec toi.

Speaker 2:

C'est tellement le fun d'être avec toi Et surtout, merci d'être Vraiment, je tiens à le répéter aussi à la paix.

Speaker 1:

Ben, mon Dieu, merci, ça me touche, ça commentaire, merci.

Speaker 2:

Et si vous êtes à la maison, vous nous écoutez, vous êtes un peu en train de tourner en rond, puis vous dites Oh, je ne sais pas par quel bout de prendre ça, que ce soit à la quarantaine, la cinquantaine, même à la trentaine, peu importe où vous êtes au niveau de l'échelle de l'âge. Oui, il est possible de calmer son système nerveux, parler de l'alimentation autrement et reconnecter avec ce que notre corps sait. par-dessus tout, comment?

Speaker 1:

bien fonctionner.

Speaker 2:

Exactement Pénélope.

Speaker 1:

Ben merci. Merci à toi, clare-yann, merci.

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