Impacter le monde avec Karine Champagne

14. L'art du soupir avec Fanny Gingras

February 22, 2024 Karine Champagne Season 1 Episode 14
14. L'art du soupir avec Fanny Gingras
Impacter le monde avec Karine Champagne
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Impacter le monde avec Karine Champagne
14. L'art du soupir avec Fanny Gingras
Feb 22, 2024 Season 1 Episode 14
Karine Champagne

Cet épisode est au baume sur notre vie stressée
L'art du soupir te donnera envie de t'autoriser à tout laisser sortir dès que c'est requis!

Parce qu'un  soupir , c'est comme un petit nuage de tranquillité dans une journée chargée. 

Et mettre la main sur le cœur ? Un geste extrêmement tendre envers soi-même qui nous aide à rester à flot quand tout autour semble vouloir nous engloutir.

Ces petites pauses pour respirer, même si elles sont de courtes durée, permettent de créer des petites bulles de sérénité qui réajustent notre système nerveux.

Et mon invité  Fanny Gingra, est une guide exceptionnelle en méditation et respiration consciente.  

Elle est là pour nous montrer que la méditation, c'est pas juste une histoire de posture parfaite et de silence monastique. 

Non, c'est accessible, simple et surtout, ça peut sérieusement nous aider à évacuer le stress qui s'accumule.


Un soupir peut être une bouffée d'apaisement, et placer une main sur le cœur, un acte d'une profonde bienveillance envers soi-même qui aide à naviguer dans les tumultes du quotidien.

Un pratique simple. puissante  nous aider à dissiper le stress accumulé.

Plein de douceur avec Fanny sur son instagram
https://www.instagram.com/fanny_breathworkmeditation/

Son magnifique site internet est ici
https://www.fannygingras.com/


Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
www.karinechampagne.ca/impact

Pour explorer l'univers de la question:
www.karinechampagne.ca 

Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Classé top 40 au Canada, langues anglaise/française confondue.
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

www.karinechampagne.ca
www.karinechampagne.ca/podcast
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Cet épisode est au baume sur notre vie stressée
L'art du soupir te donnera envie de t'autoriser à tout laisser sortir dès que c'est requis!

Parce qu'un  soupir , c'est comme un petit nuage de tranquillité dans une journée chargée. 

Et mettre la main sur le cœur ? Un geste extrêmement tendre envers soi-même qui nous aide à rester à flot quand tout autour semble vouloir nous engloutir.

Ces petites pauses pour respirer, même si elles sont de courtes durée, permettent de créer des petites bulles de sérénité qui réajustent notre système nerveux.

Et mon invité  Fanny Gingra, est une guide exceptionnelle en méditation et respiration consciente.  

Elle est là pour nous montrer que la méditation, c'est pas juste une histoire de posture parfaite et de silence monastique. 

Non, c'est accessible, simple et surtout, ça peut sérieusement nous aider à évacuer le stress qui s'accumule.


Un soupir peut être une bouffée d'apaisement, et placer une main sur le cœur, un acte d'une profonde bienveillance envers soi-même qui aide à naviguer dans les tumultes du quotidien.

Un pratique simple. puissante  nous aider à dissiper le stress accumulé.

Plein de douceur avec Fanny sur son instagram
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Pour explorer l'univers de la question:
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Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Classé top 40 au Canada, langues anglaise/française confondue.
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

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Speaker 1:

Tu fais que là, par exemple, je vais sentir l'arc qui entre et qui sort par mon nez sans effort. Puis ça, j'apprends, ça aussi, le sans-effort, c'est pas facile, t'sais, quand j'amène les gens à méditer sans effort, c'est quand, fanny, sans effort, je sais pas, on est tellement pas habitués, c'est comme s'il va tellement faire quelque chose. C'est fou. L'exemple que je donne aux gens pour apprendre le sans-effort. Je leur dis la prochaine fois que t'écoutes la télé ou que tu lis un livre, remarque comment tu respires.

Speaker 2:

Aujourd'hui, à Impactel Monde, on pratique l'art du soupir, un épisode vraiment tout en douceur, et si vous me voyez en vidéo, j'ai un chandail en moutons, spécialement pour l'occasion. on va connecter à notre respiration. on va découvrir aussi que la méditation, c'est encore tellement plus facile que qu'est-ce qu'on peut imaginer Et, en bonus, ça améliore le caractère. Fanny Gingra, est-tu prêt à Impactel Monde? Oui, je suis prêt. Je suis tellement heureuse que tu sois avec moi. Ça va être un épisode en douceur parce qu'on va parler de ton expertise, qui est incroyable, en respiration et en méditation. Le premier message que tu voudrais dire aux gens qui nous écoutent en ce moment, ce serait quoi à propos de la respiration et de la méditation?

Speaker 1:

C'est beaucoup plus facile qu'on pense.

Speaker 2:

De respirer et de méditer.

Speaker 1:

On a ça à l'intérieur de nous.

Speaker 2:

On n'a pas besoin d'applications, on n'a pas besoin de rendre ça compliqué.

Speaker 1:

Normalement non, mais c'est un petit plus, c'est sûr. Mais dans les faits, ce que j'aime apprendre aux gens, c'est de réaliser qu'ils ont centre dans deux, c'est-à-dire, souvent, on pense que méditer, c'est d'avoir un petit endroit parfait, puis d'avoir une position parfaite, puis d'avoir un kit parfait. Mais non, c'est méditer pour moi, ça peut juste mettre une main sur le cœur et de faire un grand soupir. Puis c'est ça, méditer, tu sais.

Speaker 2:

Mais si les gens qui nous écoutent en ce moment vivent un stress, une héritation, une résistance, de quelle façon on pourrait les apaiser tout de suite?

Speaker 1:

Prends une grande inspiration par le nez, tu retiens ton soupe. Juste quelques secondes Après ça, tu laisses aller un grand soupir par la bouche. Mais quand t'expires, tu veux ressentir les épaules qui relègent, le vent qui se relâche, parce que des fois, on va soupirer, mais on regarde le corps tout rigide. Mais c'est d'expirer, puis de ressentir que le corps s'adoucit, comme si les fibres des muscles se relâchaient. La marche, on va qu'ils relâchent, puis là, souvent, c'est comme, on devient mou pis rond un peu, puis c'est parfait. C'est ça qu'il faut. Tu sais, quand on arrive d'une grosse journée de travail, par exemple, naturellement on va se lancer sur le divan ou sur le libre, on va ah, c'est ça, c'est ça, soupirer. C'est la preuve que, naturellement, le corps va initier ça pour calmer le système nerveux. En le fond, c'est tout simplement ça Et là.

Speaker 2:

je pense à la fameuse phrase coeur qui soupire n'a pas ce qu'il désire, mais non, tellement pas.

Speaker 1:

Puis, c'est ça Quand j'apprends aux gens qui sont corrects de soupirer, c'est très occidental de penser qu'il y a un problème quand on soupire. Quand je parle de ça aux gens en plein, je leur dis là pratiquer soupir, aviser tout le monde chez vous dans les prochains jours que vous allez soupirer souvent Mais que tout est OK, parce que sinon, tout le monde t'entend soupir, soupirer, tout le monde pense qu'il y a un problème, mais au contraire, ça fait du bien.

Speaker 1:

Oui, c'est comme si, pour moi, le système nerveux, on a deux systèmes nerveux système sympathique, parasympathique. Puis c'est comme la pédale de frein et d'accélérateur d'une voiture Quand on est dans le sympathique, on accélère, on a l'expression même la pédale dans le fond, c'est ça, Puis, c'est correct, on a besoin de ça, mais on a besoin de paiser sur la pédale de frein, qui est le parasympathique, qu'on enclenche Un soupir on pèse sur la pédale de frein à chaque fois, tranquillement, ça nous permet de ramener cet équilibre-là, parce qu'on est tout le temps en déséquilibre dans la société dans laquelle on vit.

Speaker 1:

Donc, un soupir, ça permet de paiser sur le brin qu'un peu.

Speaker 2:

Dans notre discussion, je disais à quel point la respiration, le soupir, la méditation peut avoir un changement.

Speaker 1:

La méditation pour la puissance bien quand même.

Speaker 2:

Pour avoir un impact incroyable sur notre caractère. Tu m'as dit avant, jeune adolescente, tu n'étais pas approchable et t'étais d'une rigidité incroyable Et tu t'es rendu compte, en observant qui tu étais quand t'étais jeune, à quel point la respiration avait été une contribution pour toi, sans savoir que tu l'utilisais justement pour t'apaiser.

Speaker 1:

Oui, oui, oui. Mais en fait, à ça, j'ajouterais que la respiration m'a servi, sans me rendre compte, quand j'étais plus jeune, parce que j'avais des problèmes, mais je faisais beaucoup de crises de panique. C'était très handicapant dans ma classe, au secondaire Ça a commencé le secondaire 3 à peu près. Des fois, j'étais figée à mon bureau, incapable de me lever, en pensant que j'allais perdre connaissance. On part dans nos idées de crises de panique, c'est ça. C'est un peu différent pour tout le monde, mais ceux qui en souffrent savent de quoi je parle. Ça m'a suivi une bonne partie de la vingtaine aussi. Des fois, je pouvais être en souper avec des amis dans la vingtaine, au restaurant, et ça me poignait à cette affaire. Personne ne s'en rendait compte, mais je modifiais ma façon de respirer. Je pensais au travail de ma crise de panique Quand j'ai découvert le yoga des années plus tard. C'est là où j'ai reconnecté avec la respiration. J'ai vu tout le pouvoir de la respiration, beaucoup plus grand que ce que je connaissais déjà.

Speaker 2:

C'est incroyable que tu avais cette capacité de tout réguler, jeune adolescent, sans savoir. Le corps, en fait, sait quoi faire.

Speaker 1:

C'est exactement ça. C'est mon corps qui le faisait, c'est mon intuition, parce qu'en plus, chez nous ce n'était pas Il n'y avait rien de spirituel ou de méditative. C'était très loin de là. C'était très typique famille des années 80. Ce n'était pas possible. En tout cas, dans ma famille, dans mon environnement, on ne parlait pas de ça. Je pense qu'on ne savait même pas que c'était une crise de panique à ce moment-là. Je ne sais pas si c'est l'époque ou c'est juste dans mon entourage, tu t'en fais trop.

Speaker 2:

Mais voyons on fanie à s'en faire trop. C'est vrai que ce n'était pas reconnu, Je me sens bizarre, mais non t'inquiète.

Speaker 1:

Tu es un petit gai, je ne sais pas quoi. Ma mère, une fois, je me souviens, m'avait dit tu as repris de la drogue. Non, c'est sur une explication À la crise de panique. Oui, c'est ça, Mais parce que c'était trop bizarre à expliquer.

Speaker 2:

Mais ton corps avait la capacité de s'auto-réguler.

Speaker 1:

C'est incroyable ça, Mais je ne m'en rendais pas compte du tout à ce moment-là.

Speaker 2:

Mais si on fait juste s'y penser, à quel point, comme tu dis, c'est tellement plus facile qu'on peut imaginer que la respiration, la méditation, le soupir, la connexion à soi, ce sont des outils qui contribuent à l'équilibre de notre vie, qu'on utilise peu ou pas du tout dans la vie occidentale, tout à fait Tellement.

Speaker 1:

Tu sais, la respiration, karine, c'est le seul système du corps qu'on peut à la fois contrôler, qui peut être autonome.

Speaker 1:

Tu sais, le système cardio-vasculaire, le coeur respire tout seul. On ne peut pas contrôler ça. Le système digestif non plus. On ne peut pas choisir comment on va digérer aujourd'hui. Mais la respiration, le système respiratoire, c'est le seul système qu'on peut juste laisser aller et respirer 22 000 fois par jour, sans jamais qu'on s'en rende compte et qu'il va faire sa job comme ça, mais qu'on peut contrôler aussi. Et tu sais, en toi et moi, la machine humaine est bien trop bien faite pour que ce soit laissé au hasard. Cette affaire-là, ouah, j'avais jamais vu comme ça. Quand j'ai pris conscience de ça, c'est comme ok, c'est ça, c'est ce que je dis tout le temps.

Speaker 1:

La respiration, c'est notre meilleur allié, parce que ça devient inconscient, parce que moi, mon corps, par exemple, c'est aussi le yoga tout de suite, ces techniques de respiration-là. Quand je suis dans diverses situations, par exemple, mon corps va respirer d'une façon, sans que je le demande, juste pour allonger ma respiration. Parce qu'à un moment donné, plus ça devient conscient, plus le corps le fait inconsciemment, parce qu'il a pris des nouvelles façons d'être, pas d'être des nouvelles façons de respirer pour calmer mon corps, pour me donner une énergie. Je m'en ramène, puis compte.

Speaker 2:

Si il y avait quelque chose que tu voulais que les gens retiennent aussi, ou tous ces gens qui nous écoutent, peu importe la plateforme. C'est du moment où tu te mets à respirer et en prendre conscience. Tu reconnectes en quelque sorte à l'étincelle quand tu étais dans le ventre de ta mère.

Speaker 1:

Mais souvent, je ramène ça à ça parce que, pour moi, on était un petit étincelle dans le ventre de notre mère, quand on était en création. Puis, un mois donné, ça se perd. Comme je te parlais, un petit peu, tantôt, dans ma vingtaine, je t'étais rigide comme un bloc de glace, je n'étais pas approchable. Puis moi, je pensais que je t'étais une mime d'envie, parce que je me rappelais plus. Puis, un mois donné, en évoluant, en vieillissant, quand j'ai retrouvé la respiration, à nouveau là, avec le yoga, la méditation, puis tout ça, là, j'ai retrouvé qui j'étais avant. Cet épisode de ma vie. Je ne suis pas ça, mais la respiration, ça me permet de me ramener, de me reconnecter, puis de me ramener dans ce petit étincelle qui est juste là, là t'sais, puis pas main loin, finalement. Puis, je suis pas une rigide pente, puis je ne suis pas approchable, mais au contraire, j'ai pas de bulles, t'sais, ça m'a permis de retrouver qui je suis finalement t'sais, ça vient me chercher intérieurement de reconnecter, retrouver qui on était avant.

Speaker 2:

Puis, le avant, c'est avant qu'on divorce de nous-mêmes, avant qu'on Oui, c'est ça, j'aime ça, oui, ça fait du sens. Avant qu'on fit dans un moule, avant qu'on achète toutes les étiquettes, avant que Avant qu'on aille peur, Oh, Avant qu'on aille peur, t'sais.

Speaker 1:

Puis qu'on essaie, t'sais qu'on se laisse influencer, puis avant qu'on arrête d'avoir confiance en soi aussi, t'sais.

Speaker 2:

C'est naturel, on fait, on vient avec la confiance. Mais oui, pourquoi j'aurais pas confiance? Pourquoi C'est qu'on l'apprend qu'on n'a pas à avoir confiance, qu'on n'est pas à la hauteur, à la hauteur De choisir vraiment d'en faire une carrière en plus? parce qu'il y a le Breathwork, on peut parler la respiration, mais avant t'as une carrière de désinheur intérieure. T'as voyagé, beaucoup Fait que t'étais un peu à la recherche. Puis j'aime faire l'image du colibrer qui butine de fleurs en fleurs jusqu'à ce qu'il trouve son hectare qui rend sa vie délicieux.

Speaker 1:

J'avais l'impression qu'il fallait que je fit dans un moule Oui, Bureau 9 à 5, t'sais. ceci dit, je n'ai rien contre le bureau 9 à 5. Non, Pour le type de personne que je suis Et t'sais, pour moi, c'était difficile de parler. Puis, quand j'ai découvert tout ça, le yoga, la méditation, tout ça, quand je suis tombée là-dedans, j'ai été un peu au Como Bellix, qui a tombé dans le soupe finalement, mais j'ai découvert le pouvoir des mots, mais dans un sens où la communication, t'sais le pouvoir de m'exprimer. je fais comme ok, attends, j'ai quelque chose à dire. je pensais pas moi, j'ai quelque chose à dire dans la vie. t'sais, Tu quiis, moi t'sais, Mais je ne le pense plus, ça t'sais.

Speaker 1:

C'est la respiration qui est en partie responsable de ce changement de paradigme, Oui bien, tout ce processus de, on peut dire de développement personnel. Mais t'sais, On a de retour à soi. De retour à soi.

Speaker 2:

Quand on tombe là-dedans. Comme tu disais, c'est au Bellix, dans la potion magique. Je suis en train de me demander c'est lequel donc qui est tombé dedans? ils sont peut-être tous tombés dedans. On peut pas arrêter. Du moment où on goûte à notre véritable soie, on a pas envie d'arrêter. Ça devient délicieux. Puis on explore comment on peut être encore plus aligné. Je suis curieuse, quand tu es dans ton bonheur de respiration, de breathwork, pardon, et de respiration, de quelle façon tu l'impliementes dans ton quotidien. Est-ce que c'est une pratique souple? Est-ce que c'est une pratique quotidienne? Est-ce que c'est naturel? Comment ça joue.

Speaker 1:

C'est une façon que j'aborde quand les gens me demandent Ah moi, mesditez, j'aimerais ça, mais n'oublie pas, pour moi, ça, c'est moi. Mais je réalise que ça fonctionne parce que c'est comme ça que je fais avec les gens depuis plusieurs années. Mais c'est la souplesse. On est des humains. Oui, si je voudrais être un athlète olympique, je comprends que ça prend de la rigueur et tout ça, c'est normal. Mais pour apprendre à méditer, pour apprendre à se retrouver, ça ne va pas être la rigidité, c'est pas vrai. Si je veux développer une pratique de méditation, slash, respiration, pour moi, ça m'aime à faire, ça va ensemble. Si je suis rigide, ça va partir à un moment donné.

Speaker 1:

Quand j'apprends aux gens et je vais revenir à ta question qui est par rapport à moi c'est que j'ai fait ça comme ça, quand j'ai commencé à méditer, c'est un petit peu à la fois deux minutes, puis des fois, je me déjambre des heures à deux minutes. Je me dis pas c'est long, mais tu veux arrêter de méditer? quand tu t'installes pour quand ça goûte bon, c'est là que tu vas arrêter. Il faut que tu laisses cette sensation dans le corps, dans le coeur et dans la tête. C'était bon fait que oui, je vais avoir envie de dire tourner. C'est la clé de développer une pratique de méditation et de respiration.

Speaker 2:

C'est un peu comme quand on va courir, par exemple. C'est la même chose. On commence pas par 42 km, c'est ça, sort 15 minutes et revient en disant wow, fier de toi, et tout là. C'est la même chose pour la respiration. J'ai aimé beaucoup aussi au début, quand t'as dit là, pas besoin d'investir, que ça prend à la grosse roche l'encens, le kit, le coussin, le lieu sacré. On est un lieu sacré en soi.

Speaker 1:

Complètement. Combien de fois j'ai fait ça dans mon auto. Combien de fois j'ai fait ça dans mon auto. Mais la respiration, ce que ça fait, ça permet également de ramener l'équilibre du système nerveux. Comme je parlais un peu, tantôt on la pédale sur le frein, mais ça permet aussi d'éliminer des stress qui sont accumulés dans le corps durant la journée. La méditation peut faire ça, mais ça, c'est à plus long terme. Mais la respiration, c'est spontanément, ça élimine comme des résidus de chinute de la journée. T'sais, moi, je disais j'aime ça, dire que la respiration, ça nous permet d'enlever des couches de chinute qu'on accumule. T'sais Fait que t'sais, en des transitions de la journée la garderie, bon, peu importe ou à tout moment de la journée, t'sais de se trouver un moment où, par exemple, à chaque stop, à chaque lumière rouge, à chaque fois que je sors de la maison, à chaque fois que je finis de brosser mes dents, ou t'sais de trouver un moment où j'utilise ma respiration n'importe quelle façon.

Speaker 1:

Puis, des fois, quand je montre aux gens comment respirer c'est drôle à dire là, mais souvent les gens vont dire qu'est-ce que Fanny m'a dit de faire? C'est quoi? C'est pas grave, même si tu ne viens pas de ce que j'ai dit, fais juste respirer profondément, consciemment, puis la ressentir, puis de voir ce que ça a fait sur moi quand j'ai expiré La titre. C'est juste ça, ah, on n'a pas besoin. On se remet souvent dans OK, je Comment, il faut que je le fasse correctement, c'est ça. Je m'en remets à ce que Fanny, à Madonna, on dit non, t'sais, oui, quand tu es avec moi, mais après ça, là, vas-y avec ton intipi, si on vas avec ton ressenti, puis, ah, t'as le tête, puis tu ouvres les yeux, puis tu continues ton chemin, et ou tu soupires avec les yeux ouvert, en auto, évidemment, mais Oh, idéalement.

Speaker 2:

Mais je retiens surtout quand tu dis t'sais, la société a jamais été aussi stressée. Tout le monde est stressé. Maladies chroniques, problèmes de santé mentales, douleurs, douleurs chroniques. Si on respirait mieux, si on expirait, si on soupirait.

Speaker 1:

Mais avec douceur et bienveillance c'est ça qui change toute carine, parce que si je soupire, mais je tourrais pis, j'ai le les les.

Speaker 2:

Oui, oui, les rides là du lion, là.

Speaker 1:

C'est ça. C'est pas tout à fait le signal que j'envoie à mon système nerveux, à mon petit coeur. T'sais, c'est pour ça que j'amène souvent la main sur mon coeur, parce que ça, c'est un geste bienveillant. Moi, j'ai appris l'autocompation, pis c'est une formation qui a changé ma vie. T'sais, l'autocompation, juste la chaleur de ma main sur mon coeur, ça dégage quelque chose. C'est un geste bienveillant qu'on va faire à quelqu'un d'autre, mais si je me le fais à moi, en même temps que je respire, fait que oui, la respiration, tout ça, mais ça va avec la bienveillance, pis la douceur.

Speaker 2:

J'aime le mot «autocompation». Moi, je suis une femme de l'autocestionnement, du self-inquiry. Oui, oui, J'avais jamais pensé à ça pour des questions nous-mêmes, j'avais jamais pensé oops, tu vois. j'avais jamais pensé à ajouter aussi de la douceur à mon geste. Il y a beaucoup de choses auto. t'sais qu'on peut faire nous-mêmes, qu'on n'a pas besoin d'une méthode de quatre stratégies. Attends, je ne sais pas, juste Tout est là. Tout est là.

Speaker 1:

Pis, en fait, c'est que quand tu réussis à faire ça, t'sais les premières fois c'est ça le soupir. Mais plus que tu déposes en toi, plus que là t'en vois pis t'en ressens des affaires, pis là après c'est plus facile. C'est là où est-ce que ton monde émotif, spirituel, intérieur, après ça, comme tu veux, c'est là où ça s'ouvre à toi, parce que tu as commencé par te ressentir par un souper, puis là, c'est là que ça va commencer à évoluer.

Speaker 2:

Et quand on goûte à ça on l'a mentionné un petit peu plus tôt dans cet épisode quand on goûte à la puissance de l'autocompation de la respiration du questionnement, de voir ceci autrement, de se déposer. on n'a plus envie de revenir en arrière. Pour moi, c'est comme si même le chemin en arrière se défait, se dissout. Il n'y a qu'un nouveau chemin lumineux qui se présente devant nous, ou l'image que j'aime aussi, c'est le fossé Avec les années.

Speaker 1:

Il y a un fossé qui se creuse entre nos pieds, dans notre quotidien, puis, avec tout ce qui nous arrive, les angoisses, tous les trucs qui nous arrivent dans notre vie, tous les jours, on est dans une situation, puis là, on gratte, on essaie de se ressortir la tête du trou du fossé, puis là on retombe parce que, mais quand on développe ça, la respiration, l'autocompation, la connexion à soi, toute cette douceur-là, puis tous ces outils-là, qu'on entre dans nous, le fossé se remplit avec les années.

Speaker 1:

Puis, à un moment donné, quand tu tombes, tu ne tombes pas de haut. Tu sais, comme moi, par exemple, quand il m'arrive quelque chose d'envie, il m'en arrive des trucs-là, il m'en arrive des brics qui me tombent sa tête, il m'en arrive des moments de stress ou peu importe, mais je tombe pas de haut, ça ne me prend pas grand-chose. Puis je me relève, puis je passe à d'autres choses, puis, tu sais, mon chat, mais là, parce qu'on le vit ensemble, tu sais, quand je suis dans des situations, c'est pas long, je passe à d'autres choses, parce qu'il y a quelque chose qui remplit en dedans de moi, tu sais, mais ça, c'est la pratique d'autocompation, de respiration, de douceur de bienveillance que j'ai développée puis qui remplit mon fossé tu sais, c'est comme si notre fossé j'adore l'image quand t'en parlais il se remplit, mais il se remplit pas de cailloux là, il se remplit de douceur, de bienveillance, de Il se remplit de soie, Ça me donne une friston.

Speaker 1:

Il se remplit de soie, tu sais. Il se remplit pas de un peu de carriene, un peu de fanny, un peu d'aile, puis un peu de cipi, puis pas en toute. c'est de soi-même, tu sais.

Speaker 2:

Cette auto-compation-là, cet amour de l'humain, cette façon de voir la vie, tu continues à lui donner du souffle, je dirais à de l'expansion. Parce que t'es retournée à l'université, dans un domaine qui est peut-être très peu connu.

Speaker 1:

T'es-tu dit en quoi, en ce moment, En fait, je fais un bac en spiritual religion, spiritualité, intervention, pour me permettre d'être intervenante en soins spirituels.

Speaker 2:

Ça peut dire quoi? intervenante en soins spirituels. Puis un, tu sais, je suis fascinée parce que, ah, on peut suivre ça à l'université. On peut aller plus loin encore, même dans nos études de qu'est-ce qu'on peut offrir aux autres.

Speaker 1:

Oui, En fait, c'est pour me permettre de pouvoir travailler en établissement, par exemple, Je peux accompagner les gens dans la mort, par exemple, être accompagnante. On appelle ça des tannadoulas. Oui, Ça existe, Mais il y a un niveau un peu plus où on est vraiment dans l'intervention. On travaille avec une équipe multidisciplinaire à l'hôpital, tu sais où? bien là, il faut passer par le bac parce que c'est des études un peu plus poussées. Mais c'est ça, c'est ça, ça permet d'accompagner les gens dans la mort, mais aussi dans la souffrance, tout simplement, Quand la vie a plus de sens. C'est ça, Une intervénente en soins spirituels. Ça n'a rien de religieux, ça peut, hein, dépendamment de la personne. Mais c'est pour moi ma job là, ma future job, c'est d'aider la personne à retrouver du sens dans sa vie, dans l'épreuve qu'a vie.

Speaker 2:

Oui. Et quand on parle de vie qui n'a plus de sens, vous pouvez vous imaginer les pires épreuves, ce qu'on voit aux nouvelles, les décès, les meurtres, les accidents, tout ce qui fait en sorte que tu dis ben, ma vie n'a plus de sens. Puis, quand on perd ce goût de vivre, toi tu peux intervenir Exactement, entre autres auprès tu l'as fait aussi divinement auprès d'une maman qui a perdu son enfant de 19 mois dans un accident.

Speaker 1:

Oui, Mais en fait, ça c'est dans le cadre, parce que je suis aussi célébrante funéraire, Donc c'est pas tout à fait.

Speaker 1:

Mais c'est comme un autre corps dans mes arcs, parce que y'a comme plein de choses. Mais tout est interrelier, tout fait du sens. Tu sais, mais c'est dans le cadre d'une célébration funéraire que j'ai fait pour un petit bébé qui avait été criminellement décédé, si on peut dire ça comme ça. J'ai accompagné la mère dans le processus de cette préparation funéraire-là, puis j'ai fait la célébration funéraire, tu sais. Mais cette femme-là, elle a perdu tous ses repères dans vie, tu sais, même à l'autre d'enfants, mais pour elle, ça fait même plus de sens, tu sais, fait que c'est. Puis, quand on est intervenant dans la tension spirituelle, encore une fois, tu vois, ça fait du sens avec ce que je fais. Déjà, l'idée, c'est Ce ne sera pas moi qui va dire ben, il faut que tu fasses ça, puis que tu fasses ça, moi, c'est d'amener les gens à réaliser ce qu'ils ont en eux pour retrouver le sens. Tu sais.

Speaker 2:

Il y a eu un événement aussi quand t'étais plus jeune dans la vingtaine, où ton grand-père paternel est décédé Et il y avait dit quelque chose, comme j'ai peur.

Speaker 1:

Ben, c'est de là ma fascination pour aider les gens avec la mort. Je n'étais pas prête avant. C'est juste que là, dans mon parcours, ça fait 10 ans, puis il y a quelque chose qui, il y a une sagesse qui s'est instaurée, puis une certaine confiance dans mon travail qui fait que je pense que je suis en mesure de faire ça. Mais quelque part dans ma vingtaine, quand mon grand-père est décédé, il était sur son lit de mort. Il allait mourir d'une minute à longue presque. Puis je suis avec mon père, puis il avait demandé à mon père de s'approcher de lui. Donc, mon père s'est penché près de sa tâle, puis il a dit François, j'ai peur. Il y avait peur là. Quand est-ce, qu'est-ce qui va se passer dans ma prochaine respiration, où elle va juste arrêter? Il y avait peur. Puis, moi, ça m'avait toujours marqué. Je sais, j'ai toujours eu peur de la mort. Aujourd'hui, je ne pense pas que j'ai peur, j'ai peur de souffrir, comme tout le monde, mais j'ai pas peur de la mort. Mais avec le travail que j'ai fait dans les dix dernières années, je me suis dit Si je peux aider les gens, t'imagines, t'es en panique, juste avant de passer l'autre bord, ça peut-tu être plus doux, puis juste avoir un peu plus confiance, puis de reprendre. Ça m'aurait ému d'en parler. Mais c'est juste de reprendre confiance en la mort. On a confiance en la vie.

Speaker 1:

Il faut avoir confiance en la mort parce que c'est quoi? On va tous mourir, ça fait partie de nous. Puis, on cache ça, puis on a peur. On n'en perd tellement, pas beaucoup, mais non, mais ça fait partie de la vie, c'est la seule chose qu'on est sûr. Ça peut être plus doux, même si, oui, ça peut être tragique Quand t'as la chance de pouvoir te préparer. Mais c'est quoi, même là, aujourd'hui, on peut se préparer à la mort.

Speaker 2:

C'est ça l'idée, Je suis tellement d'accord parce que ça fait partie de nos discussions à la maison. Ça fait partie de la discussion que Fred et moi avons pendant nos parles en conférence ou dans le sens où Je ne sais pas comment sera notre fin et qui va partir en avant. On ne sait pas si on parle les deux en même temps, mais si jamais c'était le cas, il y en a un des deux qui doit vivre et faire confiance à la vie après le départ de l'autre. Ça fait partie des échanges de discussions qu'on a, parce qu'on trouve ça juste sain de mettre ça sur la table maintenant, d'avoir ces belles discussions-là qui nous amènent encore plus de présence un à l'autre le temps qu'on est en vie dans l'expérience terrestre. Est-ce que c'est le genre de discussion que vous avez aussi?

Speaker 1:

Oui, mais mon amoureux a beaucoup peur, beaucoup, beaucoup. tu sais, ça le rend très anxieux. Ça fait que ce n'est pas un sujet qui aime parler, mais je pense que je la prévois tranquillement à ce sujet-là. On en a parlé récemment justement.

Speaker 2:

Alors que je vais vous acheter un petit clin d'œil. Je trouve que c'est un beau cadeau à se faire. Je trouve que c'est une belle preuve d'amour aussi D'y aller selon quand on est prêt. Ce n'est pas tout le monde qui veut parler de ça. C'est une transition subite. Je suis tellement contente qu'on en est parlé plusieurs fois avant. Elle nous dit quelque chose comme. Je ne veux pas que vous pleuriez, ça va être le fun. On s'est fait des promesses avant, mais on ne savait pas que c'était pour arriver. Mais il y avait une énergie qui s'est installée où on avait décidé d'en parler encore plus ouvertement. Ça fait en sorte que le moment de son passage a été beaucoup moins déloureux. J'ai trouvé C'est sûr.

Speaker 2:

Et les gens. Est-ce que tu as accompagné des gens jusqu'a faire leur transition?

Speaker 2:

jusqu'à présent, pas encore non C'est ce que tu as à faire particulièrement, et de donner du sens aussi à ces événements de la vie qui ne font pas de sens. Et tout va commencer par un super. Ce n'est pas incroyable? Exactement, c'est vrai. C'est la respiration. On fait le fil conducteur et ça donne un frisson. C'est ça, C'est la respiration. Le souffle qu'on est dans le vent de notre mère, C'était un sel de vie. Jusqu'à ce dernier souffle, tu amènes les gens dans leur cycle complet de la vie terrestre.

Speaker 1:

Tu vois, c'est beau, karine, j'avais jamais vu ça comme ça. Mais oui, quand je fais une séance de respiration, de breathwork, c'est une autre technique. Quand je fais, souvent, j'amène ça. Quand on fait la technique de respiration, c'est une respiration qui est active. Souvent, je dis aux gens imagine que c'est ton premier souffle quand tu es sorti du vent de ta mère. Tu sais un inspiration de curiosité, puis d'ouverture, puis un soupé, une expiration de l'âge chez prise, parce que imagine, la première respiration qu'on est sorti du vent de notre mère, c'est purement ça, de l'ouverture, de la curiosité, du l'âge chez prise, de la confiance. Tout est là, parce que tu sais, tu as confiance. Puis tout est là Quand on respire, par exemple quand on fait une séance de breathwork, puis on amène cette espèce d'état-là, ça permet d'aller en quelque part encore plus profondément que de rester dans la rigidité, puis comme oh non, oui, mon premier souffle à la naissance, c'était quoi, tu sais?

Speaker 2:

Et le dernier, c'est le relâchement total, le relâchement de ce corps qui n'est qu'un costume de cet endroit, qui est un peu restreint pour notre âme.

Speaker 1:

Et de confiance aussi, puis d'abandon, puis de l'archéprise. C'est la même chose Que c'est beau, L'expiration c'est aussi ça.

Speaker 2:

Abandon l'archéprise Confiance Full.

Speaker 1:

Full.

Speaker 2:

Ouais.

Speaker 1:

Wow.

Speaker 2:

J'avais jamais vu la respiration comme ça.

Speaker 1:

C'est ce qu'on appelle la respiration spirituelle. Je n'amène pas ça souvent comme ça, mais c'est ça, dans le fond, quand tu le prends, quand tu amènes la respiration dans cette optique-là, dans cette dimension-là. Moi, c'est comme ça, je travaille la respiration pour moi. Quand je travaille avec des gens individuels, j'aborde ça un peu de cette façon-là, mais c'est pas nécessairement ce qu'on a à retenir. Ce qu'on a à retenir, c'est ce qui est le plus facile, ce qui est le plus simple.

Speaker 2:

Oui, Et je vais retenir clairement ce que peut représenter aussi l'inspiration, l'expiration. Oh puis, quand tu le fais, quand tu respires dans le micro, ça me donne des frissons. Il y a comme une sagesse dans ton souffle, il y a une énergie dans ton souffle.

Speaker 1:

Il y a une intention à chaque fois que je fais une respiration. Oui, tu sais, c'est comme Tu sais, je veux me remplir. Puis c'est un large épris. Tu sais, en dedans, là, mon corps, c'est pas arrondi, mais en dedans, c'est comme si mon corps s'arrondit, s'adoucit. En dedans, quand j'expire, oui, c'est comme oh. Oui, je suis correct, tout est okay, je suis à la bonne place. Tu sais, c'est comme, c'est comme ma petite voix qui me rassure Bien, oui, c'est okay, c'est à la bonne place, oui, okay.

Speaker 2:

Wow. Avant qu'on se quitte, j'aimerais qu'on parle de la technique care, que tu enseignes, que tu partages. On peut te retrouver en ligne, bien sûr. tout le descriptif est là, dans l'endroit où vous écoutez ou vous regardez ce podcast, cet épisode, Mais aussi on peut être à ton studio, à ton local, qui est tellement beau à Saint-Tros, et t'offre la technique care. Il y a quatre étapes. J'aimerais juste qu'on le dépose un peu dans l'univers des gens, sans nécessairement rentrer trop dans les détails, juste pour que les gens soient peut-être curieux à en apprendre davantage ou à le mettre en application, selon ce que ça résonne pour eux.

Speaker 1:

Ben en fait, je crois pas. Ben, c'est pas que je crois pas, mais pour l'avoir expérimenté avec les années, tu sais bon, là, je veux méditer, puis je m'installe, puis je médite, puis j'amène mon attention à ma respiration qui hante et qui sort. Ça marche pas. Tu sais, il y a quatre étapes. Donc, la première étape, c'est la respiration. En fait, je vais utiliser différentes techniques de respiration. Souvent, c'est une respiration précise pour calmer le système nerveux. Je ramène l'équilibre. Ensuite, j'utilise mes sens. La deuxième étape, c'est l'utiliser mes sens, pour être dans le moment présent, parce que là, je me suis calmée le pompon, j'ai ramené mon équilibre. Là, j'utilise qui est autour de moi pour me ramener dans la présence, dans mon moment présent, parce que moi, je dis ça, je dis pas, c'est le moment présent, on est dans, c'est mon moment présent, je suis là, j'utilise mes sens. Puis, après ça, je vais méditer en utilisant la pleine conscience. Par exemple, je vais sentir l'archi entre et qui sort par mon nez, sans effort. Puis, ça, j'apprends, ça aussi, le sans effort, c'est pas facile. Quand j'amène les gens à méditer sans effort, c'est quand, fanny, sans effort, je sais pas, on est tellement pas habitués, c'est comme si il va tellement faire quelque chose. C'est fou L'exemple que je donne aux gens pour apprendre le sans effort. Je leur dis la prochaine fois que t'écoutes la télé ou que tu lis un livre, c'est comme si t'écoutes un livre. La prochaine fois que t'écoutes la télé ou que tu lis un livre, remarque comment tu respires. C'est ça, le sans effort. Pas si tu regardes un film d'horreur, c'est sans effort.

Speaker 1:

Donc, là, je suis disposée à méditer sans effort, parce que j'ai calmé mon système nerveux, je me suis connectée à mon moment présent. Là, je suis disposée à être dans la pleine conscience. Puis, ensuite, dans cet état de réceptivité, j'utilise la visualisation ou l'affirmation, soit avec des phrases ou des images. C'est ça, les quatre étapes. C'est un peu de ça que je parlais tantôt, où on disait qu'il y a des recurs dans le Seoul de Tokyo, parly, il n'y a pas un temps de minute en chaque étape.

Speaker 1:

C'est aujourd'hui, là, bon, quand je suis connectée à mon moment présent, je me donne mes biens parce que je suis d'or. Puis les oiseaux qui gazouent, et tout ça, je reste là dix minutes. Tu sais, je veux, tu sais Si je suis vraiment, vraiment stressée, je vais peut-être utiliser la première étape vraiment plus longtemps. Tu sais, fait que c'est ça, le de retrouver mon pouvoir, mon besoin, comment je me sens, qu'est-ce que j'ai besoin? qu'est-ce que j'ai besoin? Personne ne va me dire c'est quoi, comment j'ai besoin. Ah oui, c'est vrai, j'ai besoin de me calmer plus aujourd'hui. Non, j'ai besoin d'écouter plus autour. Non, j'ai besoin de répéter plus mes affirmations. Tu sais, c'est un peu ça le but.

Speaker 2:

Wow, L'impact de cet enregistrement sur moi, ça a été d'être très présente à ma respiration et de voir à quel point je la contiens je la retiens. Oui, Je suis rigide. Et puis je suis comme oh my God, wow, Fait que je t'écoute. Puis, en même temps, je regarde ce qui se passe Comme oh, il va tant que tu respires la grande là.

Speaker 1:

Oui, c'est impressionnant comment on ne respire pas bien. Oui, merci tellement pour ça, mais ça me fait vraiment plaisir.

Speaker 2:

On est à un soupir du calme. On est à un soupir de transformer notre vie Exactement, complètement. On est à un soupir de la paix. C'est aussi simple que ça. Oui, est-ce que tu pourrais nous faire le soupir de la fin, s'il te plaît?

Speaker 1:

Ben certain, on ferme les yeux si ça se peut. Si on est pas dans un endroit où on est disposé, on ferme les yeux. Ça mène de l'humilité dans le cœur, si ça aussi c'est possible. Et puis, on prenait le temps au moins de sentir la chaleur de notre main sur notre cœur. Quelques secondes, prends profondes espérations par le nez, retiens quelques secondes, laissez-les un grand soupir par la bouche, sans effort. Pensez-vous, le corps qui se détend, le vent qui se relâche, les marches au air qui se desserrent, puis, si t'as envie, tu continues.

Speaker 2:

Fanny, merci infiniment d'impacter mon univers. Ça me fait plaisir, Ça a été un grand bonheur. Puis, merci pour tout ce que tu fais. Puis j'ai hâte de te retrouver déjà. Ça me fait vraiment plaisir.

Speaker 1:

Merci à toi d'impacter le monde. Merci beaucoup.

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