Impacter le monde avec Karine Champagne

13. La vie épicée de Martine Charbonneau

February 16, 2024 Karine Champagne Season 1 Episode 13
13. La vie épicée de Martine Charbonneau
Impacter le monde avec Karine Champagne
More Info
Impacter le monde avec Karine Champagne
13. La vie épicée de Martine Charbonneau
Feb 16, 2024 Season 1 Episode 13
Karine Champagne

Est-ce que faire des listes d'épicerie peut nous rendre malade?

Symptômes dépressifs, cerveau usé, nausées c'est exactement ce qui est arrivée à Martine Charbonneau.

C'est en écoutant une émission animée par Mitsou, que la présidente des Savoureux a découvert qu'elle avait un trouble appelé orthorexie.

Avec beaucoup de conscience et d'éducation, elle a découvert comment ajouter plus de légèreté dans son alimentation

Aussi, Martine a acheté une entreprise d'épices 2 jours avant le début de la pandémie.

Naviguer dans le monde de l'entrepreneuriat alors que la planète est paralysé par virus a été un défi relevé avec brio par Martine qui venait tout juste de mettre la main sur l'entreprise les Savoureux.

Tu découvriras une entrepreneure créative et  persévérance qui a su s'adapter pour faire rayonner son entreprise malgré les turbulences économiques.

PS: Martine nous partage aussi la pire recette qu'elle  n'a réalisée!

PPS: Martine offre aussi des trucs anti-gaspillage.

Pour en découvrir encore plus sur Martine Charbonneau

https://www.instagram.com/lessavoureuxassaisonnements/

https://www.tiktok.com/@lessavoureux


Le site internet est ici
https://lessavoureux.com/collections/section-produits



Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
www.karinechampagne.ca/impact

Pour explorer l'univers de la question:
www.karinechampagne.ca 

Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Classé top 40 au Canada, langues anglaise/française confondue.
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

www.karinechampagne.ca
www.karinechampagne.ca/podcast
www.karinechampagne.ca/impact

Show Notes Transcript Chapter Markers

Est-ce que faire des listes d'épicerie peut nous rendre malade?

Symptômes dépressifs, cerveau usé, nausées c'est exactement ce qui est arrivée à Martine Charbonneau.

C'est en écoutant une émission animée par Mitsou, que la présidente des Savoureux a découvert qu'elle avait un trouble appelé orthorexie.

Avec beaucoup de conscience et d'éducation, elle a découvert comment ajouter plus de légèreté dans son alimentation

Aussi, Martine a acheté une entreprise d'épices 2 jours avant le début de la pandémie.

Naviguer dans le monde de l'entrepreneuriat alors que la planète est paralysé par virus a été un défi relevé avec brio par Martine qui venait tout juste de mettre la main sur l'entreprise les Savoureux.

Tu découvriras une entrepreneure créative et  persévérance qui a su s'adapter pour faire rayonner son entreprise malgré les turbulences économiques.

PS: Martine nous partage aussi la pire recette qu'elle  n'a réalisée!

PPS: Martine offre aussi des trucs anti-gaspillage.

Pour en découvrir encore plus sur Martine Charbonneau

https://www.instagram.com/lessavoureuxassaisonnements/

https://www.tiktok.com/@lessavoureux


Le site internet est ici
https://lessavoureux.com/collections/section-produits



Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
www.karinechampagne.ca/impact

Pour explorer l'univers de la question:
www.karinechampagne.ca 

Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Classé top 40 au Canada, langues anglaise/française confondue.
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication, storytelling et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

www.karinechampagne.ca
www.karinechampagne.ca/podcast
www.karinechampagne.ca/impact

Speaker 1:

Je reçois un courriel le jour lendemain. On le fait. Merci pour vos. Oh my God, que je vais faire Là? il y a mille et une question dans ma tête. Je ne peux plus me passer de mon mélange barbecue. Je vais essayer de le reproduire. Je vais acheter le zépis, je vais acheter le recette. Puis, tout d'un coup, je dis comme un flash. Je me dis pourquoi, avant, pas Là. Je descends à bas, je m'en vais voir, mon tue Attend. Je suis d'une entreprise d'épices.

Speaker 2:

Allô, bienvenue à Impact Télé Monde. Est-ce que faire des listes d'épiceries? ça peut nous rendre malade. C'est un sujet qui est vraiment très sérieux. Symptome dépressif, étourdissement, cerveau usé c'est exactement ce qui est arrivé à mon invité, mais quelques pincées d'épices plus tard, l'équilibre alimentaire est revenu. Je vous garantis un épisode délicieux et une recette en prime.

Speaker 2:

Martine Charbonneau, quelle intro? Est-ce que tu es prêt à Impact Télé Monde? Je suis prête. Est-ce que tu as vu que je suis tellement thématique aujourd'hui? Très, très, très. J'ai trouvé un chandail d'avocats. Vous ne nous voyez pas sur le podcast que vous écoutez en ce moment, mais un chandail avec des avocats. C'est justement inspiré de notre conversation avec Martine. Je suis jalouse. Je vais peut-être te le laisser Annuelle. Écoute, on va parler de plein de choses dont on entreprise des savoureux, les épices, les recettes, tout ce que tu as réussi à créer alors que tu es partie de la pandémie avec une entreprise et aucune possibilité ou presque. Mais juste avant, jean-bique, on enborde un sujet que tu as très peu souvent abordé, celui du contrôle alimentaire. Oui, on a tendance à penser à Troupe Alimentaire, on l'associe avec Anorexie Boulemie, et on a tout à fait raison de l'associer ainsi. Mais il y a autre chose aussi Et tu as été au prise avec une dépression causée par le contrôle alimentaire.

Speaker 1:

Qu'est-ce qui t'est passé, qu'est-ce que je mangeais? En fait, c'est sournoi. On s'en rend pas compte. Au début, quand les symptômes de dépression sont arrivés, je n'ai même pas associé ça à la dépression non plus. C'est vraiment quelques années plus tard où j'ai lu des articles, surtout sur l'orthorexie. C'est ça qui m'a frappé au début. J'ai vu un émission où t'étais avec Mitsou et il y a eu Sophie, qui a eu un gâtre d'eau, exactement, qui ont parlé de l'orthorexie. Et là, j'ai fait comme Oh, attends une minute, là elle parle et je me reconnais en elle». Et deux, trois jours plus tard, j'ai lu une revue de Trois-Frois-Parjaud où ils parlaient vraiment beaucoup de l'orthorexie, avec un test Et sur les 10 questions, ils disaient si vous répondez oui à 8 questions sur 10, c'est probablement que vous souffrez peut-être de l'orthorexie. Et moi, j'ai répondu à 9 questions sur 10. Et là, je me suis liquifiée.

Speaker 1:

J'étais Oh my God, c'est ça. Toutes me revenaient les symptômes dépressifs. Ok, là, j'étais étourdie. Je faisais des listes des pisceries, sans cesse. Il n'y avait jamais rien d'assez santé Pour moi. J'imprimais des recettes. Je te dis je pouvais passer une heure et demie par jour à imprimer des recettes. Je cherchais des recettes en vain. Ça allait être santé, santé pour moi.

Speaker 2:

Oui, dans ton point de vue, Trop de gras, trop de sucre trop de gusset, trop de farine, trop de tout. Mais là, quand tu parles de cerveau usé, c'est vraiment les mots que t'as employé.

Speaker 1:

En plus, t'étais exténué de faire des listes des pisceries, exténué de penser à ça dans la même vie. Non, tu te le fais dans ma tête, toujours, toujours, toujours. Ok, là, je voyais, je travaillais en ce moment-là dans un bureau. Il y avait toujours des petits plats de bonbons Et le petit plat de bonbons était, comme moi, en face de mon bureau, avec les gens passés. C'est pas qu'il y a un petit bonbon? Puis, moi, je me disais non, moi je peux pas faire ça.

Speaker 2:

Non, je peux pas faire ça.

Speaker 1:

Puis, quand arrivait la saison de la pomme, je me disais Ah, il me mette des pommes-là, je vais pouvoir la manger. Mais c'était à chaque seconde de ma vie que tout tournait à l'entour de ça. Je me pèse le matin, je me pèse le soir Et, dépendamment, il fallait que ça soit 121 le matin et puis 123 le soir, puis le lendemain. Si j'avais pas ces deux chiffres-là le lendemain, ça me disait Ok, aujourd'hui tu vas manger de la salade Parce que tu as dépassé, c'est 123. Et que c'était non stop. Tout tournait à l'entour de ça, fait que j'avais vraiment le cerveau usé.

Speaker 2:

Wow fait que ça est tourné. Oui, je comprends, il n'y a pas de diagnostic clair, c'est juste une observation après. Mais selon toi, avec ce que tu sais maintenant, est-ce que ça peut être ça qui était à la base, ou la base de la dépression?

Speaker 1:

Ben, je pense que oui, parce que C'est tout, me revenait après avoir fait le test en question. Je ne me considère pas comme une fille orthorhéxique, mais ça me parlait tellement, je me reconnaissais tellement dans les questions et d'avoir répondu 8, 9, oui, je me disais Oh my God, ok, là, j'ai vraiment». Et à l'époque, j'en avais déjà parlé à une nutritionniste qui m'avait dit Oh, c'est peut-être des comportements alimentaires un peu, c'est étrange. ben, elle n'avait pas employé étrange, mais Oui, tu sais, qui pourrait faire en sorte que».

Speaker 2:

Martine, l'alimentation a toujours fait partie de ta vie Depuis que je te connais. Tu as eu un service de traiteur. Tu as fait des études en Nutritérapie, tu as fait un virage, c'est tôt. Tu as eu des groupes Facebook sur l'alimentation. Est-ce que tu as toujours été fascinée par? la bouffe Oui.

Speaker 1:

Oui, tu sais, dès mon jeune âge, mais ça s'est développé plus tard. Tu sais, quand j'ai eu le traiteur, il me semble que j'avais plus dans 40 ans. Puis là, ça a vraiment décollé. Je me suis dit OK, là, c'est une passion que j'aime vraiment beaucoup». Puis là, je surle-fléte-tu encore aujourd'hui.

Speaker 2:

La nourritérapie. quand tu as commencé à étudier l'alimentation, est-ce que c'était aussi pour découvrir davantage ce que l'alimentation peut avoir, Quel impact que l'alimentation peut avoir sur nous? Est-ce que tu étais dans le contrôle? Est-ce que c'était aussi dirigé par l'orthorexie ou pas tant?

Speaker 1:

En fait, je me suis questionné beaucoup. Je me suis demandé, avant de m'inscrire, si je me mettais en danger parce que la dépression était passée depuis quelques années. J'avais vraiment analysé tout ça. Je savais que l'orthorexie était présent. Je me suis déculpabilisée de tout ça Et là, je me suis questionné est-ce que je me mets en danger en allant encore plus pointu dans ce que le corps a besoin? Est-ce que je vais me remettre dans le contrôle encore, être encore coupable de manger quelque chose que notre corps n'a pris sur?

Speaker 2:

Je ne sais pas quand ça aurait comme bon.

Speaker 1:

Je me suis dit mais si, au contraire, ça me donnait la possibilité de comprendre encore plus le corps, pis que ça fasse. Si je dérange un moment donné, qu'est-ce que ça peut faire de grave? On ne meurt pas à manger une poutine. De temps en temps, C'est sûr qu'on fait le choix de ne pas manger, mais on se comprend. À suite de ça, je me suis dit que je vais plus comprendre encore comment mon système digestif va fonctionner. A l'époque, j'avais une maladie auto-émune des intestins. Je voulais pas la guérir, parce qu'on ne guérait pas d'une maladie auto-émune, mais je voulais juste la mettre en dormant, de façon plus naturelle pour moi. Je voulais vraiment le tester. Ça me vraiment aidait beaucoup à me dire je vais mettre mon focus sur mes intestins sans tomber trop dans le contrôle.

Speaker 2:

C'est ça, j'aime ce que tu dis, martine. Je mets le focus sur mes intestins. C'est même plus une question de perte de poids, de contrôle alimentaire, de combien je pèse, c'est comment je peux me sentir encore mieux, exact. Je ne sais pas ce que ça va donner en bout de ligne, tant mieux si je relâche du poids, tant mieux, je me sens mieux, tant mieux j'ai plus d'énergie.

Speaker 1:

Mais l'objectif, c'est vraiment juste de faire du bien. Je serai contente de perdre du petit 15-20 h, mais malheureusement, c'est pas ça que ça donner.

Speaker 2:

C'est pas ça que ça donner, mais tu te sens, tu te commences à te sentir bien dans ton corps. Oui, très bien. Puis ça aussi. Tu sais combien de fois on pense que c'est le 15 livres de moins qui va nous permettre de nous sentir mieux, alors que c'était des intestins qui étaient moins inflammés qui permettait de te sentir mieux.

Speaker 1:

Oui, Force, vraiment, oui, vraiment. Puis, tu sais, pis, c'est un cercle. Si tu veux plus que tes intestins vont mieux, là tu dis ok, mais je suis capable de de déroger, sacs mes intestins. Parce que tu, au début, je t'étais peut-être un peu dans le contrôle, tu sais, je te donnais l'exemple que mon chum mangeait des raisins. Quand on a commencé à manger ses taux, puis que je dis, à un moment donné hey, tu te rends compte comment tu manges mal. Et puis elle me dit tu es en train de manger des raisins, fait que là, je me suis dit oh, ok, là, peut-être que je tombe un petit peu encore dans le contrôle, mais tu sais, il rappelle toi que c'est pour tes intestins, ce n'est pas. Puis, là, mes intestins vont super bien. Ok, là, maintenant, mon focus, mes intestins sont corrects. Maintenant, à partir de maintenant, comment je peux m'alimenter sans me sentir coupable, sans tomber dans les extrêmes, peu importe. Là, tu sais.

Speaker 2:

Je m'en pire ouais.

Speaker 1:

C'est ça, autant c'est une mauvaise barre sur le bon bord, Fait que là, je pense que je ne suis pas mal en équilibre, en tout cas pas toucher du bois. Mais je pense que, Mais je dis, j'ai le monde toujours un petit signe. Est-ce qu'à partir de maintenant, est-ce que cette pensée-là fait en sorte que je retomberai dans le contrôle? tu sais, Fait que ça, je suis toujours un petit peu alerte des signes, Ce que je vois, tu sais.

Speaker 2:

tu as dit des fois je ne sais pas, je suis dans le contrôle. C'est comme si, dans ma perception, ce que je capte, c'est beaucoup plus de conscience. Oui, Parce que dès que tu as une pensée, tu viens de me dire quand j'ai la pensée, je fais juste vérifier, valider, c'est quoi cette pensée-là, puis qu'est-ce qu'elle vient créer? Oui, exactement, T'es extrêmement présente à ton alimentation, puis à toi-même. Oui, vraiment, Est-ce que tu vois ton impact aussi? mais ton alimentaire, si On va l'appeler faux pas, mais tu comprends, il n'y a pas de jugement, puis il n'y a pas de culpabilité.

Speaker 1:

Quand il n'y a un faux pas, Est-ce que ça a un impact direct habituellement sur ton corps, ton énergie, ta fréquence, puis comment tu fais Sur l'énergie, mais j'ai fait le choix, consciemment que je sais que, tu sais, comme hier on avait un super avec des amis, j'ai mangé plus de sucre, plus de glucide, j'ai bu du vin. Je sais qu'aujourd'hui ma journée ne sera pas top jusqu'à la fin de la journée. Tu sais, je me suis levée quand même avec plein d'énergie, je m'en venais ici, je t'étais super excité, mais je sais que, probablement, qu'après midi, à quatre heures, la sieste va être de mise. Puis, c'est correct, parce que j'ai fait le choix, j'ai mangé sans culpabilité, on avait du fun. Fait que c'est correct, tu sais, j'ai pas.

Speaker 2:

En quelques minutes, tu m'as parlé deux fois du mot culpabilité, puis je me rappelle qu'on en est parlé aussi ensemble. La culpabilité alimentaire, là, c'est présent probablement dans 90 % des gens qui nous écoutent en ce moment. C'est bien mieux si vous ne pouvez pas partir du lot. puis la statistique en passant, elle vient juste de ma tête. c'est aucunement médical, Mais on s'en a tellement coupable de manger Tout le temps Souvent, voire tout le temps. Oui, on fait attention, on y fait attention. puis juste un point même où tu me dis la seule fois où j'ai été bien. puis je dis à mon amoureux quand tu l'as dit, c'est quand j'ai vu mon test de grossesse, je suis enceinte. ça crée un ah.

Speaker 1:

Enfin, enfin, je peux me permettre d'être grosse Dans le sens que tu es… C'est pas grave.

Speaker 2:

C'est pas grave Si je ne contrôle pas ce que je montre, c'est comme si le cerveau est fait.

Speaker 1:

C'est comme si le cerveau est fait, Tu sais. ouah, mon cerveau va pouvoir lâcher de penser à ça.

Speaker 2:

Je peux avoir des cravings, je peux me permettre ce que je ne m'autorise pas Sans culpabilité. En fait, le lien là, c'est juste la culpabilité. Elle est partie parce que je suis enceinte, puis là, c'est comme ah, c'est normal, je vais prendre du poids. Est-ce que la culpabilité doit réussir à la donter avec les années?

Speaker 1:

Oui, beaucoup plus qu'avant. j'ai encore des petites rechutes de temps en temps, oui, mais en fait, c'est parfait. Mais je me permets, en toute honnêteté, au moins une fois par semaine, je me dis ok, là, aujourd'hui, qu'est-ce que je pourrais manger, qui me ferait plaisir à moi, à mon âme, tu sais juste le plaisir de manger. et moi, on dit des fois, c'est tellement gnaiseux, un gré de chine, ça ne va pas reprendre. Oui, j'ai le goût de manger un gré de chine aujourd'hui, je vais le manger, puis je vais être contente, puis je n'aurai pas de culpabilité parce que je l'ai choisi consciemment, de manger mon gré de chine. Mais des fois, c'est comme oh non, j'ai le goût de manger un gré de chine parce qu'hier je mangeais ça, puis, là, peut-être que….

Speaker 2:

Avec ou non.

Speaker 1:

Oui.

Speaker 2:

Mais tu vois, c'est intéressant parce que je me suis posée la même question où tout le monde parle de la minopause, de la prise de poids, mais aussi, tu sais, j'aime mieux un virage locoir moins lucide, parce que je vois que ça a un impact sur moi. Puis, moindrement, que je mangeais…. On va prendre l'exemple de la poutine, parce qu'on en a parlé. Je me rends compte que, probablement, que mon stress relié à mes pensées où je mangeais la poutine, a un impact encore plus grand que la poutine en elle-même. Wow.

Speaker 1:

C'est hâte que tu te dis, est-ce que ça va?

Speaker 2:

pour toi. Oh, mes gars D'ici, je n'avais aucune pensée, aucun jugement, aucun sentiment de culbabilité, aucun, même tap sur les doigts. T'es pas correct en mangeant ceci, comment je le dégustrais.

Speaker 2:

Avec tellement plus de joie, mais tellement plus de légitimité aussi Si j'ai pas de pensée. D'après moi, la pensée est beaucoup plus ingressante que la poutine en elle-même. Ah, c'est beau. Ah, j'aime ça. Je suis pas mal certaine. En tout cas, il faudrait juste explorer comment on peut relâcher encore plus les pensées qui viennent avec les pensées, mais c'est une augmentation qu'on juge incorrecte. C'est beau, Tu cuisines beaucoup. T'es une de mes amis, j'ai la chance d'être invité chez toi le 31 décembre. Ah, c'est tellement du vain. Et t'en as fait une carrière, une business. Les savoureux, entre autres. Les savoureuxcom, si jamais ça vous tente d'aller visiter les sites internet, plus les recettes sur TikTok, sur Instagram et autres réseaux sociaux et sur Twitter. Cette business-là, c'est incroyable. L'histoire de cette business-là, Je veux qu'on prenne le temps de la raconter, parce que t'étais ambassadrice à la base et non pas propriétaire de la business.

Speaker 1:

Oui, je t'étais ambassadrice pendant un an. Tu tripais ses épices. Tellement Je tripais sur les épices, puis je les vendais. Bien, parce que j'aime ça cuisiner.

Speaker 2:

Pour moi, c'était facile de vendre ça Sans sucre bio, salet aussi dans ce que t'aimes véhiculer et ce que t'aimes être avec ta cuisine.

Speaker 1:

C'était peut-être d'un naturel de parler de ces épices-là. Il faisait partie de mon quotidien. C'était comme à moi, un petit peu avant même que ça soit à moi, C'est trop cool.

Speaker 2:

Et là tu reçois un courriel dévastateur.

Speaker 1:

Oh my God, que je t'ai détruite. Je reçois un courriel le jour au lendemain. On fait un merci pour vos. Oh my God, que je vais faire? Il y a mille et une question dans ma tête. Je ne peux plus me passer de mon mélange barbecue. Je vais essayer de le reproduire, je vais acheter le recerte Et puis, tout d'un coup, je dis comme un flash, et je dis mais pourquoi avant pas? Donc, là, je me dépêche à y écrire Mireille, est-ce que t'as pensé avant? Elle me dit tu connais ça, un acheteur? Donc moi, je dis bien, moi, tout bonnement de moi. Là, je descends à bord, je m'envoie mon chum Et je dis attends-tu, je suis d'une entreprise d'épices, je pensais que ça il faut dire minous, je vais acheter une business.

Speaker 2:

Non, voyons un courriel. C'est à peu près ça barbecue Oui oui, c'est à peu près ça.

Speaker 1:

Oui, fait que tous les deux, on était bien excité de ça. On s'est dit bah, pourquoi pas Le pique qui pourrait arriver? c'est qu'on se voit un petit pendetter, et puis ça marche pas. Mais moi, je le savais intérieurement, il se faisait un an que je les vendais, je le savais, je ne savais pas triper.

Speaker 2:

C'est comme ça que t'as devenu propriétaire. T'imagines, tu as aussi un courriel de la business, qui est un thème, qui dit on ferme. Et tu dis hein, hein, non, je rachète, et le contrat, le financement, c'est paraffé le 13 mars 2020. Deux jours après, qu'est-ce qui se passe? La pandémie.

Speaker 1:

Tout ferme, au secours, au secours. Ça a été un moment stressant parce que, d'un, l'annonce de la fermeture avait été annoncée, c'était la pandémie. Tout fermait. On ne savait pas qu'on était un service essentiel. Au début, c'était comme pas clair. Est-ce que les imprimants? on n'avait rien là? Est-ce qu'on va pouvoir acheter des épices À ce moment-là? les épices, on les achetait au Québec, mais ils provenaient des États-Unis. Les doigts ne t'aient fermé, nos sachets devenaient des États-Unis. Là, on se dit oh my God, on ne pouvait pas attendre que ça se replasse.

Speaker 2:

Parce qu'on se dit la fermeture a été annoncée, il faut wagger vite La fermeture de l'entreprise est annoncée, il n'y a personne qui a reçu un courriel comme quoi, finalement, c'est plus fermé, c'est juste vendu. Puis on a changé de propriétaire. Là, tu sais qu'il y a des gens qui veulent acheter ces épices-là, puis, tu ne veux pas qu'ils se tournent vers n'importe quel autre pot, tu veux tout de suite, comme prendre ça au vol, je n'ai rien, je n'ai pas de sou, aucune liquidité, aucune liquidité?

Speaker 2:

Aucune, même aucune connaissance dans le domaine de l'alimentation. C'est la rompaine de part À part. Oui, le service de traiteur, mais on comprend le. Vendre des produits alimentaires, c'est autre chose. Pas de liquidité, Pas de liquidité.

Speaker 1:

On se dit on est vraiment courageux, Ou?

Speaker 2:

un petit peu naïf.

Speaker 1:

Mais finalement, ça a été. On a fait une prévente. Les gens y ont été super fins. Tout ce qui me suivait dans l'alimentation, c'est tous, ce sont toutes abonnés à page, Les Savoureux. Ils ont été hyper généreux avec nous autres. Nous, on a lancé une prévente, Puis on disait aux gens on va, La livraison va être de quatre à six semaines. Ça prenait ce temps-là quand on commandait nos sachets. Ils ont été super pacients. On avait du stocke un peu moyen, dans le sens que c'était pas visuellement beau, On avait fait de faire des étiquettes qu'on collait. Mais les gens, ils ont répondu Fait qu'à partir de là, on a pu. Il y a personne qui nous a dit «Oui, j'ai pas reçu ma commande, comment ça»? Fait, que tu sais, ça a été tellement là. On s'est dit «OK, on a honte à quelque chose.

Speaker 2:

L'objectif la prévente. Si jamais vous ne vous connaissez pas peut-être le marché de l'alimentation ou encore la business, comment ça peut fonctionner quand on fait des préventes, parfois c'est pour avoir la liquidité, exact, c'est pour recevoir cet argent-là, pour être en mesure d'acheter les épices, les en sachez, mettre des étiquettes et tout le reste. Ça prend de la liquidité. Je fais juste le lien avec le lancement du lait, que vous s'est un peu attendu. Oui, j'ai fait une prévente pour pouvoir finaliser l'impression, avoir de l'argent, savoir combien de lits je pouvais acheter, c'est exactement ça. Ça veut dire que t'as un entrepreneur vulnérable qui a à cœur vraiment le succès de son entreprise, la livraison des produits, mais qu'il n'y a juste aucune ressource financière en ce moment, et ça a bien marché. Ça, c'est pas bien marché. Les anciens clients ont répondu aussi à l'appel. T'es client était là. Quand même, on est en pandémie. On est en pandémie Et là, ça prend de la créativité, comment qu'on va faire pour avoir beaucoup de visibilité.

Speaker 1:

Ça fait que là, on s'est dit ok, la stratégie, ça doit être extrêmement présente sur les réseaux sociaux, les gens sont sur les réseaux sociaux, il n'y a rien à faire. Ça fait qu'on a cuisiné, cuisiné, cuisiné en live, tout le temps, tout le temps, tout le temps.

Speaker 2:

Est-ce qu'il y a une idée du nombre de recettes que tu as pu faire?

Speaker 1:

Non, il n'y a pas Aucune idée En être même, mais je pense qu'on devait peut-être enlève, peut-être au 2 jours. Vraiment, on partage, on faisait des tirages. Ça nous a emmené beaucoup de visibilité gratuite.

Speaker 2:

Oui, tu n'as pas d'argent pour mettre de la pub Exactement. Ton objectif, c'est de devenir virale organique, que les gens partagent les recettes. C'est ça l'objectif. Oui, c'est ça l'objectif. Je ne peux pas avoir aucun autre frais.

Speaker 1:

Non, parce que tout ce qu'on avait de la prévente servait à acheter les épices. C'est tout ce qu'on avait.

Speaker 2:

Après ça, il n'y avait plus rien Et vous êtes devenu fort populaire sur les réseaux sociaux. Une belle visibilité. Franchem, qui s'appelle Jislyn, qu'on connaît bien, est devenu le trépied parlant. Il y a eu sa position aussi, puis votre interaction s'est mise à charmer les gens.

Speaker 1:

Oui Ça, on est tellement plaisir à faire ça ensemble. C'est tellement drôle, on se trouve drôle. c'est une d'autres en plus. On n'a pas de, on n'a pas de, c'est, y'a rien à cacher. C'est comment on peut avoir du fun ensemble.

Speaker 2:

Puis comment ça peut être aussi au service de la business. C'est au service de vous, mais c'est au service de la business parce que les gens se sont beaucoup attachés à vous.

Speaker 1:

Oui, je pense que oui, on le voit dans les marchés publics. Les gens viennent nous voir. Je suis contente de voir, c'est le fun. Moi, je suis toujours un peu timide. Par exemple, dans ces situations-là, ça me. Je suis sûrement que j'ai l'air d'une pincée ou je ne sais pas quoi. C'est tellement pas ça le but, mais je suis une petite timidité quand je suis en face de quelqu'un que je ne connais pas. Mais je travaille là-dessus et ça ne s'en vient pas se payer. Mais de voir les gens se déplacer, venir nous voir, tu fais comme Oh my God, ok, là on impacte le monde, c'est ça.

Speaker 1:

C'est ça qui me fait plaisir. Je me dis ok, je ne fais pas ça pour rien, c'est tellement gratifiant.

Speaker 2:

je trouve Et tu fais ton épicerie en pensant à tes clientes, tu fais des recettes en pensant à tes clientes. Tu me dis des fois tu deviens énervé, extendant Oh mon Dieu, elles vont adorer ça.

Speaker 1:

Oui, exactement. Je suis même des fois au travail en train de faire de la comptabilité, puis là, j'ai une recette qui ne me popent pas en tête. Là, je dis ok, je reviens, je m'en vais chercher, je m'en vais où je vais, je reviens après. Ou on ne met trop pas à importe, puis c'est là que ça se passe Ah, ils vont triper. Je vais pouvoir publier ça demain, et là puis, c'est sûr qu'ils vont l'aimer. Ça le donne tout le temps. J'ai toujours en tête, tout le temps, tout le temps, tout le temps.

Speaker 2:

Et qu'est-ce que je trouve fantastique? sur ton groupe Facebook aussi, qui s'appelle les savoureux ou les garocheurs, les savoureux, tirez le groupe. Le groupe, ah oui, c'est ça, les garocheurs. Toi, tu dis je te garoche une recette, ça, c'est le mot que t'emplois, vieille, je vais te garocher, ou je vais garocher des épices, d'où mon petit erreur. Mais j'aime aussi quand les gens disent oh, regardez ce que j'ai fait avec tel type d'épices, regardez ce que j'ai fait avec le bouillon de poulet. Les gens sont aussi tellement heureux de partager leur création. C'est comme une famille, c'est comme si on cuisinait. C'est une cuisine, pas une cuisine comme nos temps, mais tu sais, dans le sens où on partage ensemble. Qu'est-ce qu'on cuisine avec les produits, Qu'est-ce que je?

Speaker 1:

Oui, juste inspirer, oui, et ça inspire entre eux autres. Tu te boites ça avec nos produits. Qu'est-ce qu'il y a de plus beaux que ça dans la vie?

Speaker 2:

Que de s'inspirer mutuellement.

Speaker 1:

Ah, c'est beau, Ah oui. Ça me comble.

Speaker 2:

Est-ce qu'il y a eu des moments, depuis cette aventure-là en 2020, où tu t'es dit mais qu'est-ce que j'ai fait?

Speaker 1:

Souvent Ben, je dis souvent Pas si souvent mais ça arrive. Je te dirais qu'à la fin de l'été, cette année, on était un peu forts dans les marchés publics. Puis, quand on est revenus de Saint-Hytte c'était un jour à Saint-Hytte je me suis dit Hey, je veux tu faire ça tout le restant de mes jours.

Speaker 1:

Oh my god. Ok, là, c'était pas ma vision, l'entrepreneur. Je me suis dit Je sais que je suis pour travailler fort, mais là je m'amusais plus. Mais attends, je me suis dit Ok, là je m'amuse moins. Est-ce qu'il y a moyen de rééquilibrer l'été prochain?

Speaker 2:

Mais c'est vrai, parce que c'est le mot que je regardais l'équilibre, puis, des fois, aller dans les extrêmes et on va dire Ah, t'es extrême, mais sinon, des fois d'aller dans les extrêmes, ça nous permet aussi de revenir à notre point zéro, à notre point de balance. C'est beau, ça, quand tu choisis. Puis encore là, je vais juste le contextualiser un peu pour que les gens comprennent quand tu vas dans un marché, c'est que là tu arrives bon avec ton VR, les épices. L'objectif, c'est de faire goûter, faire sentir, explorer. Ce que tu as fait pendant l'été 2023, c'est de faire beaucoup de marchés publics, beaucoup de festivals comme Saint-Hytte, festival, western et tout le reste, pour voir où est la clientèle que tu peux le mieux servir.

Speaker 1:

Exactement exactement.

Speaker 2:

Ça veut dire qu'il y a des endroits où ça fait poit, poit, mixa, de la pluie, du vent, avec l'été qu'on a eu, oui, avec des fois. Tu es là, tu as monté ton kiosque, tu fais comme Ah, tout ça, j'ai payé, je me suis déplacé, pas de vent, très ça.

Speaker 1:

Ça nous a permis de cibler aussi qu'est-ce qu'on veut. On veut tu faire les marchés publics? s'installer pour deux heures, c'est quand même 45 minutes d'installation. Faire un deux heures, oui, peut-être que ça, c'est pas l'idéal. Ça nous a permis de plus, s'enligner aussi. Je pense que l'été prochain, on va être plus conscient aussi de notre fatigue. Il faut la respecter. notre fatigue. là, c'est pas mieux en septembre, parce que je parle beaucoup de Saint-Hytte, mais après, ça, c'est pas fini, ça va jusqu'en octobre, il reste quand même un bout à faire. Et après, il y a les marchés noèles. après ce que vous étiez, là aussi, je gagne votre compte.

Speaker 2:

Oui, et j'aime quand même que tu m'en parles. En fait, j'aime beaucoup que tu m'en parles de ce que c'est parce qu'on n'a pas idée. Quand je vois dans un marché public, je fais le tour des kiosques, puis je regarde, j'ai pas idée du travail derrière l'avenue de chacun des kiosques, qui est géré par un entrepreneur qui a peut-être embauché aussi une personne pour être là. Pour l'instant, c'est encore vous qui êtes au front. Oui, parce que vous aimez le contact avec la clientèle, vous aimez explorer, mais il y a de la job Au-delà de ce qu'on peut imaginer, oui, vraiment Toute la préparation de l'inventeur aussi.

Speaker 1:

avant ça, ça a été un ajustement pour l'équipe interne aussi, parce que, à chaque fin de semaine, faire les marchés publics, ça en prend de l'inventeur, faire ça, ça, on a eu l'impression aussi de rocher notre équipe toute l'été aussi, là, on revient, il faut faire ça, ça, ça, ça, ça, ça aussi. On va essayer d'éviter ça, on va laisser un break à nos employés.

Speaker 2:

Mais tu sais, Il s'espère que tout le monde puisse respirer. Oui, oui, c'est ça.

Speaker 1:

Fait qu'on se prépare plus d'avance.

Speaker 2:

Ça vient avec l'apprentissage d'être entrepreneur. Ton entreprise est encore jeune Oui, elle a été déjà existante avant mais elle a 4 ans d'expérience avec toi et en train de grandir. Elle a été adoptée par toi. Cette entreprise-là Fait qu'il y a encore un. Par quel bout de Je peux te ponner quel bout de bercée. Comment je peux te faire grandir encore plus?

Speaker 1:

Exactement, et c'est ça que je dis souvent. On est toujours en adaptation, mais je pense que ça va être toujours comme ça. Quand une entreprise, tu veux la faire grossir, est-ce qu'à un moment donné, tu te dis que là, elle est assez grosse, ce qu'on reste de même? Jamais je pense que tu dis ça, tu veux toujours la faire grandir. Tu dois être toujours en ajustement. On dirait que là, c'est une entreprise où je suis complètement différente d'une entreprise où on a déjà eu dans le temps, parce que je suis plus consciente, peut-être parce que j'ai d'autres objectifs, c'est plus mon domaine, parce que l'autre entreprise, c'était plus le domaine à Justeline, je ne sais pas effectif, c'est ça, d'après moi, toute ma vie d'entrepreneur, dans cette entreprise-là, je vais être en ajustement tout le temps.

Speaker 2:

Et c'est fantastique. Je pense que c'est aussi le propre de la vie. C'est la vie de couple. On est en ajustement. La vie avec nos enfants, on est en ajustement. Il grandit. S'il évolue, ouh, si on ne sait plus. La business aussi, c'est un ajustement. La business, c'est une forme de vie incroyable, c'est une énergie incroyable. C'est fou, hein. T'as fait combien de recettes, tu penses, depuis que tu t'intéresses, depuis la nourritérapie, les services de traitement? Encore là, c'est pas grave si tu ne me réponds pas, mais je suis curieuse. On parle de 1000, 2000 recettes. On doit être pas loin, hein. T'as fait des e-books, t'as fait plein d'affaires avec la bouffe. Sous-titres réalisés par la communauté d'Amaraorg.

Speaker 2:

La paix et recette d'abord, que tu as fait.

Speaker 1:

Mes enfants m'en parlent encore Une croûte d'œuf au zucchini. C'était pas mangeable, c'était épouvantable. Tu sais, quand tu dis que tu vois, dans l'extrême, je mangeais pas des pommes, donc j'ai bien remplacé ça par des zucchini mais j'avais vu passer ça Avec juste. Tu trompes, ça doit goûter un peu la pomme. Un zucchini sucré Avec du tronc, Ça devrait goûter la pomme. Non, je veux le confirme, ça ne goûte pas la pomme.

Speaker 2:

Le fait aussi d'expérimenter les recettes des produits. Il y a de la viande assaisonnée, il y a vos produits congés, il y a des granolas. Maintenant, t'es toujours en comment je peux faire les choses autrement. Qu'est-ce que je peux ajouter dans ma business qui est un plus pour le consommateur?

Speaker 1:

Tout le temps Comment je peux leur faciliter la vie. T'sais, la mission des savoureux, c'est vraiment de faciliter la vie des gens à cuisiner. On a plus le temps, on est dessoufflé, on court tout le temps. Y a-tu moyen de manger maison sans que ça prenne 30 000 ingrédients qu'on n'a jamais, qu'on va acheter pour une fois, qu'on va finir par le jeter parce que, au bout de 3 ans, il va toujours être là? Je parle du non-périssable, pas trop. Mais t'sais, c'est ça, faciliter la vie, faire des reports à pire. est-ce que je peux acheter quelque chose que je peux faire confiance aussi au producteur? Je sais que si j'agite de les savoureux, que ça va toujours être des ingrédients clean. puis ça, c'est vraiment la base. C'est sûr qu'on Y a une tendance alimentaire où il y a des agents de complément. puis, c'est sûr que j'irai jamais là-dedans, parce que je serai pas capable Pour moi, c'est pas un hâte d'avoir mes clients ou mes clients.

Speaker 1:

Je serai pas capable de mettre un agent de complément, parce que c'est plus pesant, parce que j'irai en avoir plus pour mon argent. ma mère, je serai plus grande. je ne peux pas faire ça. Je veux que le client, quand il agite chez les savoureux, qu'il y ait confiance, qu'il sait qu'il ne se fera pas crasser. C'est pas un super mot, mais Il ne faut pas avoir. C'est ça exact Oui.

Speaker 2:

Ce que je trouve aussi fantastique. Tu t'as parlé vraiment de On a parlé du prix de l'alimentation À l'effet que tu veux que les gens aient pour leur argent. Que ça soit facile. J'aimerais juste faire une parenthèse aussi, c'était d'une pro de l'optimisation du congélateur. Tu perds rien.

Speaker 1:

Non, je perds rien, Tu jetes rien, le plus possible.

Speaker 2:

Tu congèles, tu pars à place en petits cubes, tu t'assures vraiment d'être ultra optimal aucune perte, réutilisation.

Speaker 1:

J'ai pas les moyens de jeter de la bouffe. Moi, je fais qu'une poitrine de poulet. S'il n'y a personne qui à manger après deux jours, elle se mangera pas, c'est sûr, parce que j'ai observé les comportements de mes enfants, puis de moi aussi. On observe nos comportements de consommateurs. La poitrine de poulet, je vais la joindre, puis on va servir à d'autres choses. C'est correct. Vous ne voulez pas la manger, ce pas d'heure. On ouvre un pot de sauce tomate, on va prendre un demi-pot, puis après ça, on va le mettre dans le fridge d'heur pour le jeter dans deux semaines. Pourquoi faire ça, en sachant qu'on le jette? pourquoi pas le prendre suite, puis le mettre dans le congélateur? on va l'avoir pour la prochaine fois. C'est autant ça, l'optimisation du congélateur, que faire un report rapide. Je sais que je suis en sécurité. C'est ça, moi. Je pense que je suis en sécurité. Je sais que je ne me ramasserai pas En parlant. Je me le montre. Je suis en cas d'encontre, mais je pense pas que je ne me le montre.

Speaker 2:

Non dans la conscience. Non dans la conscience, c'est vrai.

Speaker 1:

Je sais que je ne me ramasserai pas en restauration rapide, parce que je suis en sécurité dans mon congélateur. La viande de déjaquille, j'ai des oignons déjà coupés. Ça va me prendre trois minutes de monter une cassera. J'ai du fromage d'erreur, pê de congélée. Merci, bonsoir, c'est prêt, c'est moi. Je ne se faut que choix, en sécurité dans ma cuisine. C'est ça pour moi, c'est important. J'essaye de montrer ça à Migos aussi. Ça, c'est plus tough.

Speaker 2:

Probablement que l'apprentissage est déjà en train de se faire. Ils vont juste sortir cette carte-là. Quand ils seront un petit peu plus vieux Et ils auront des enfants, ils vont comprendre l'ensemble de ton œuvre. Merci, père. À quel point ils ont impacté en cuisine. Puis, en même temps, on les voit cuisiner tes garçons. On est intéressés. Oui, oui, oui. D'après moi, c'est sûr que Ils se débrouillent.

Speaker 1:

Ils se débrouillent.

Speaker 2:

Ils ne feront jamais de croustarde aux Okini.

Speaker 1:

Non, jamais, C'est barré ça.

Speaker 2:

Alors, si jamais vous avez envie d'en apprendre davantage sur Martine, vous allez avoir tous les descriptifs pour la retrouver et retrouver le lien vers son site internet, lessavoureuxcom. Je vous suggère fortement d'aller aussi la chercher sur TikTok. Sur Instagram, il y a des supers recettes, mais toi, tu y vas au pif. C'est le seul endroit où moi, j'ai besoin de la structure, c'est vraiment dans la cuisine. Je t'aime pas en sécurité.

Speaker 2:

Non tu ne m'es pas en sécurité. Je suis comme à l'œil, je suis comme non, non. Mais à l'œil, ça veut dire quoi? que l'autre fois, je voulais mettre des épices. Puis là, je me disais Martin, me disais à l'œil, oui, mais à l'œil, c'est une cuillère à thé ou une cuillère à soupe, à l'œil, c'est quoi? Tout un coup, que je scrap la recette à cause que j'ai mis trop d'épices. Mais ce sont des recettes qui sont délicieuses, qui sont hyper rapides à faire. Des fois, ça va même dans le air fryer, ça va dans la casserole, ça va dans le four, c'est tout simple.

Speaker 1:

Tout est par rapport à la rapidité, tout le temps.

Speaker 2:

Rapidité, et ton cours aussi t'offre une formation sur l'optimisation du congélateur, qui est priceless. Ça veut dire ça, c'est, si vous voulez, surtout avec l'inflation, parce qu'on vit actuellement avec les coûts en alimentation. Vous vous dites en ce moment j'ai envie que ça soit autrement, j'ai pas envie d'avoir de pertes, qu'est-ce que je pourrais apprendre pour mieux consommer? Exact, il y a une formation super chouette de Martin. Merci tellement d'impacter le monde, d'impacter la cuisine, d'impacter l'alimentation, puis d'ajouter cette légèreté-là et cette bienveillance-là à chaque fourchette que je porte à ma bouche.

Speaker 1:

Oh, c'est beau.

Speaker 2:

Merci, martin Bye.

Contrôle Alimentaire Et Dépression
l'Impact De l'Alimentation Sur Le Corps
Culpabilité Alimentaire Et Liberté De Manger
Stratégie Marketing Et Visibilité Réseaux Sociaux
Rééquilibrer l'Été Prochain
Recettes Rapides Et Optimisation Du Congélateur