Impacter le monde avec Karine Champagne

10. Sortir de la prison dorée: La grande transition professionnelle avec Véronique Stevens

February 01, 2024 Karine Champagne Season 1 Episode 10
10. Sortir de la prison dorée: La grande transition professionnelle avec Véronique Stevens
Impacter le monde avec Karine Champagne
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Impacter le monde avec Karine Champagne
10. Sortir de la prison dorée: La grande transition professionnelle avec Véronique Stevens
Feb 01, 2024 Season 1 Episode 10
Karine Champagne

Combien de personnes   se sentent prisonnières d'un emploi doré, confortable en apparence mais étouffant pour l'âme?

Avez-vous déjà pleuré ou presque avant d'aller au boulot?

Avez-vous déjà ressenti l'urgence de réaligner votre vie professionnelle avec vos valeurs les plus profondes?

Avec Véronique Stevens, coach en transition professionnelle, cet épisode vous transporte au cœur des transitions professionnelles et personnelles.

L'univers nous invite parfois à des changements majeurs, et comment, en dépit des peurs, on peut y trouver l'éclosion de nouvelles opportunités.

Pour rejoindre Véronique Stevens

https://www.veroniquestevens.ca/

https://www.instagram.com/verostevens/


https://www.facebook.com/VeroniqueStevensCoach

https://www.linkedin.com/in/veronique-stevens/

+++

Karine Champagne est l'animatrice du podcast Impacter le monde
Classé top 40 au Canada, langues anglaise/française confondue.
Sa zone de génie: Mettre en lumière le message des entrepreneur.e.s
Elle donne aussi des formations en habileté de communication et en questions.
Karine est aussi l'auteure du best seller La poussière peut attendre vendu à 10 000 exemplaires.

www.karinechampagne.ca
www.karinechampagne.ca/podcast




Si tu désire co-créer un épisode de podcast avec moi
www.karinechampagne.ca/impact

Pour explorer l'univers de la question:
www.karinechampagne.ca 

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Combien de personnes   se sentent prisonnières d'un emploi doré, confortable en apparence mais étouffant pour l'âme?

Avez-vous déjà pleuré ou presque avant d'aller au boulot?

Avez-vous déjà ressenti l'urgence de réaligner votre vie professionnelle avec vos valeurs les plus profondes?

Avec Véronique Stevens, coach en transition professionnelle, cet épisode vous transporte au cœur des transitions professionnelles et personnelles.

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Speaker 1:

On s'attend à faire nos études, travailler, et là on se dit je vais avoir ce poste là un jour, avec ce titre là, avec ce salaire, là, j'avais tout ça.

Speaker 2:

Allô, allô. Je te souhaite la bienvenue au podcast Impact et le monde. Aujourd'hui, on va parler de transition, oui, de transition professionnelle, mais aussi de transition personnelle, ou encore même, comment traverser la fameuse crise de la quarantaine. Et si ça révélait encore plus de secrets puissants pour toi? Mais avant, j'ai quelques questions. Est-ce que ça t'est déjà arrivé de pleurer avant d'aller travailler Parce que le coeur et l'énergie n'y étaient pas? Je parle pas de dépression, je parle juste de cette sensation viscérale de ne plus être à la bonne place. Mais il y a la prison dorée, la belle job, le beau salaire, le fond de pension, les assurances, les vacances, le standing, et tout le monde qui dit bien, non, tu peux pas lâcher cette job. Je pourrais lever ma main tout de suite. Si vous connaissez mon histoire, vous savez que j'ai renoncé à quelque chose de gros aux yeux des autres, mais qui était rendu bien petit à l'intérieur de mes tripes. Alors, si t'es prête aujourd'hui à faire exploser la cage dans laquelle tu es, on a l'émission pour toi.

Speaker 2:

Véronique Stevens est coach en transition professionnelle. Mais encore plus que ça, véronique, est-ce que t'es prête à impacter le monde? Tout à fait, parce que toi, pleurer avant d'aller au travail, ça t'est déjà arrivé. Oh, que oui, ça m'est déjà arrivé. Alors raconte-moi ce qui se passait le village avant d'arriver à ta job.

Speaker 1:

En fait, pour aller à mon travail, j'avais environ une heure de route à faire. Donc, déjà là, on a le temps d'en réfléchir. Du stock dans une heure.

Speaker 2:

Oui.

Speaker 1:

Donc là, puis, c'était vraiment dans les chemins de campagne, donc le dernier village avant d'arriver. Souvent, c'était comme Ok, je m'envole là. Puis là, les larmes venaient. Puis je continuais ma route, puis j'arrivais un peu sur le pilote automatique. Si quelqu'un m'avait demandé, en tout cas les deux derniers mois, qu'est-ce que tu as vu sur ton chemin? Ah, c'est pas. Et pourtant, il y a plein de cheveux.

Speaker 2:

Et ce chemin-là, Puis c'est beau, puis c'est bucolic, mais je voyais juste ma tristesse Et je ne voyais plus ce beau côté de paysage là que je voyais quelques mois avant.

Speaker 1:

Je le voyais plus. Puis je suis quelqu'un qui adore les paysages, les montagnes, puis les couleurs, tout ça là.

Speaker 2:

Puis, tu sais, Véronique, on a peut-être pas de tite-à-tout, peut-être que tu en as une, mais moi je n'en ai pas par coeur. Combien de gens sont malheureux au travail.

Speaker 1:

J'en ai pas non plus, mais juste en jazé, plusieurs personnes sont malheureux dans leur travail.

Speaker 2:

C'est des grosses jommes, c'est des belles jommes, c'est des jommes où on a travaillé toute notre vie pour atteindre le standard. J'ai atévé à Montréal. On visage sur un billboard, t'es atteint à une poste de direction.

Speaker 1:

Oui, c'est ça. On fait nos études, oui, on s'attend à faire nos études, travailler. Et là, on se dit je vais avoir ce poste-là un jour, avec ce titre-là, avec ce salaire-là. J'avais tout ça, j'étais rendue à tout ça, mais j'arrivais puis, il n'y a rien, il n'y a rien là, il n'y a plus de flambes là. Oui, il y avait un projet dans cette entreprise qui me passionnait, mais le reste du travail ne me passionnait plus.

Speaker 1:

Et là tu dis que j'ai étudié, j'ai travaillé, je suis capable de faire ça. c'est ce que j'ai toujours voulu faire.

Speaker 2:

Et puis là, tu comprends pas ce qui s'est passé entre. Comment ça? c'est le rêve de ma vie si on a le même parallèle mais dans des sphères différentes. C'est le rêve de ma vie. Je suis rendue. J'aime plus ça. Je dois avoir un problème.

Speaker 1:

Oui, c'est moi qui a un problème.

Speaker 2:

C'est moi qui a un problème. Pourquoi je n'aime pas?

Speaker 1:

ça, pourquoi je ne suis pas satisfaite encore du salaire que j'ai. Je veux dire, enfin, je vais dépasser le salaire de mon chum, parce que, tu sais, parce qu'on a fait des choix familiers et c'était vraiment correct quand les enfants étaient petits. Puis là, tu sais, les enfants ont vieillis, je Tu as pris du galon, mais Je l'ai pris du galon, exact. Je voulais professionnellement aller plus loin, genre qu'il ne faut vraiment pas avoir passé du temps avec les enfants plus petits. Puis, je travaillais quand même, mais là, t'es rendu l'autre du rêve, là.

Speaker 2:

Là, là, puis ça ne me tend plus, je ne suis pas bien Ouais, et qu'on va parler de cette transition professionnelle. De quelle façon, là là, t'en prends conscience. Puis, je veux vraiment savoir si ça résonne entre à vous qui écoutez, si vous êtes en transition personnelle, professionnelle. En ce moment, on est plus, oui, ciblés sur le professionnel, mais on peut probablement faire des liens. Vous pouvez venir nous taguer sur les réseaux sociaux Instagram, facebook, youtube ou tout le reste pour nous dire je résonne à ceci, parce que la transition, j'entraîne de la vie, je l'ai vécu. Mais comment, toi, tu décides à un moment donné de dire Ok, c'est plus ça.

Speaker 1:

Ben, en fait, moi, mon élément déclencheur à moi, c'est que mon conjoint a eu des masses au cerveau en 2019. Il y a eu une récidive il y a un an. Le six mois après repense un YRM, et là, les masses ont diminué. Et là, je me dis la vie, elle est courte, la vie nous donne une autre chance dans la vie, et là, c'est le temps de vivre pour moi, pour nous, pour nous, parce que souvent, nous, on aime se dire on fait une belle équipe. Ben là, là, je fais quelque chose qui va te faire vibrer un peu, parce que là, je ne le vis pas. Puis, l'énergie base ne veut pas, ça fait que là, c'est ça qui fait que je, un matin, je lui ai fait comme Non, c'est assez là.

Speaker 1:

On prend la décision j'ai remis ma démission Et j'avais rien. J'avais rien. Là, je comprends, j'avais rien devant moi. J'avais rien non plus. Wow, j'avais rien devant moi. Ben, c'est pas vrai que j'ai rien. Mes connaissances, mes compétences sont là. Oui, c'est souvent quand on a, ben, j'ai 40, 70 ans là, mais quand, il y a plusieurs années, il fallait trouver une job avant de donner notre démission parce qu'on n'avait pas, oui, puis on est restés avec un peu cette mentalité, là, c'est un bon point.

Speaker 1:

Oui, on a gardé cette mentalité là de toujours dire faut-je-trouve avant de changer. Puis là, il n'y a pas de transition entre les deux. Oui, et là, on s'est parlé, moi, puis mon mari, puis on a dit ok, tu donnes ta démission, on a temps, on est capable de survivre, ex-moi, ex-moi, ex-teint. Puis Oui, regarde, il y aura autre chose. Et quand j'ai donné ma démission, après, il y a plein de choses qui s'est présentées devant moi, plein de choses, puis encore plein de choses qui arrivent présentement. Là, je suis là, oui, que j'ai bien fait, elma, que j'ai bien fait. Puis, on en a parlé à la maison. Non, on en a pas parlé à l'extérieur de ce que je faisais, parce que je voulais pas me faire dire de qu'est-ce que tu vas faire.

Speaker 2:

Comment ça va aller? Comment vous allez payer la maison? Les enfants vont-ils manger encore On?

Speaker 1:

a trois ados là, trois ados jeunes adudes ça mange. c'est l'école, c'est le cégep, c'est l'école.

Speaker 2:

Il y a personne qui compte, Il y a pas beaucoup de gens qui disent «Wow, courageuse décision, chapeau. tout le monde t'en va.

Speaker 1:

ses injonctions, Tout le monde t'en va à leur peur. Et là, on va dire je veux pas avoir ces peurs-là, parce que si tout le monde m'en voit à leur peur, je le ferai pas Exact. Puis je les fais, et je suis tellement contente de m'en faire. Puis, là, on parle vraiment professionnel. Mais il y a plein de transitions comme ça, puis de choix qu'on peut faire là. Mais Après ça, j'ai eu une demande pour aller faire une conférence à Paris. J'étais là, ok. Puis j'ai failli dire non, mon coucou, ah non. Et là je suis arrivé là-mêmes, et puis j'étais dans mon conjoint qui, j'ai eu ça, puis j'ai donné ma démission. Pas d'argent, ben moins d'argent, ouais, ouais ouais, ouais.

Speaker 1:

J'avais dit ben, on y va Pas, juste, tu y vas, on y va. Ok, on y va, parfait, go On. Te t'allait rester chez son frère, qui reste là-bas.

Speaker 2:

Ben, peu importe, ça se présente des opportunités, ça se présente, ça dépose devant toi, oui, oui, tout à tout le monde. Et puis, tu t'as dit quelque chose d'important, puis, à l'effet, que bon, on calcule à peu près combien d'argent on a pour vivre, pas pour survivre, sinon, je pense que des étapes de secours à faire, comme retourner sur le marché du travail. Moi, je n'avais pas dit à Fred, quand j'ai donné ma démission, il ne savait pas la journée que je l'ai donnée, il savait que je t'étais malheureuse. Mais quand j'ai envoyé ma démission, je ne l'ai pas avisé. Fred était à la maison à ce moment-là. Je suis le seul revenu. Je n'ai pas grand-chose devant moi, moi non plus, à part une conférence qui me donne 200 dollars. Puis, j'ai comme senti que c'était le moment, mais c'est plus fort que toi, là, t'sais, comme tu me disais tantôt, je me réveille un matin, puis je suis comme ok, je donne ma démission. C'est comme si tu as la perception que l'univers te pousse.

Speaker 1:

Te pousse à faire ça, puis que tu n'as pas le choix pour quelque chose d'autre qui se passe après. Exact, On dirait que c'est le moment là, Ou. Sinon tu sais que c'est ça qu'il faut que tu fasses pour qu'il y ait d'autres portes qui souffrent.

Speaker 2:

Exact, fait que moi. On était en bas. J'ai posé sur scène. J'avais écrit la lettre de démission la veille en me disant c'est impossible, c'est chat, tv Asport. Je fais de la télé, c'est impossible. Je relis la lettre, je fais comme oh, quel beau poème. C'est comme si quelqu'un avait pris littéralement ma main, puis qu'il avait posé sur scène. Fait que là, je monte les escaliers et je vais le voir. Je suis comme minou, j'ai quelque chose important à dire. J'ai donné ma démission, je t'ai jamais demandé, puis éventuellement pour refaire un podcast ensemble là-dessus. J'imagine que son univers a fait comme, mais ce qu'on était prêts, nous autres, on était prêts à tout perdre pour être heureux.

Speaker 1:

Ouais, ouais, c'est ça.

Speaker 2:

On était prêts à juste dire OK, s'il faut aller dans un 5,5 avec trois enfants, on ira. Qu'est-ce qu'on peut?

Speaker 1:

Faut pas sacrifier, c'est pas le mot là, mais Non non, non, c'est que Quelle décision on peut prendre, exact, pour être encore plus heureux, puis vivre quelque chose. La vie, elle est courte. La vie, elle est courte. On est de passage ici, sur Terre. Oui, on est de passage dans les nos entreprises.

Speaker 2:

On est en transition partout, même sur Terre. On est en transition dans les J'aime que tu dis C'est, on est de passage, on est juste transition. On transitionne peut-être pendant 20 ans, 30 ans dans une business, mais c'est qu'un passage.

Speaker 1:

C'est ça, je peux-tu être heureuse pendant ce passage-là.

Speaker 2:

Puis, on est dans un univers on en parlait avant d'aller en Onde où les emplois, en ce moment, on est en coupure, en fermeture. Ce qui était une permanence, ce qui était peut-être pour tes parents tellement importants qu'ils nous ont inculqués que c'était tellement important, ça existe plus, ça, déjà, dans la vie de mes enfants. Une permanence, je pense que ça ne m'aime pas. C'est quoi? comme le botin téléphonique, c'est comme euh, c'est vingt-hètes j'ai au bout, oui, il ne savent pas. C'est quoi. Alors, si le temps ou jamais de se renouveler, de poser des questions, pas nécessairement de faire un geste brutal, dans ce Non, il y a des choses De pas calculer. Tu sais mettre l'argent de côté ou s'assurer, mais il y a une possibilité de faire une transition professionnelle.

Speaker 1:

Il y a une possibilité, puis il y a beaucoup de façons de le faire. Oui, en fait, tu sais, moi, j'ai fait souvent la même job, j'ai fait du copier-coller, parce que l'emploi que j'avais avant, j'étais un petit peu aussi dans cette prison d'orée. Là, oui, là, je me suis dit, je vais donner ma démission-là, je vais aller me trouver une autre job, mais Similaire, similaire, absolument Similaire. Je faisais la même chose, mais dans un environnement différent. Et puis l'univers, rigole.

Speaker 2:

Il dit OK, si t'as pas compris, vas-y, Vas-y». Mais tu vas voir que tu vas pleurer, éventuellement ou pas, peut-être pas. C'est pas une conclusion non plus. C'est possible que ce que tu évites de faire profondément te suivent un peu plus Exactement, J'ai changé LCN pour TV Asport. Ben, il va faire, c'est ça.

Speaker 1:

Oui, puis, j'ai toujours aimé aussi le côté humain. Oui, derrière, le directrice finance et services administratifs, on s'entend-tu que c'est des chiffres-là?

Speaker 2:

Oui, il y a pas beaucoup d'humanité là-dedans, peut-être avec tes collègues de travail, mais pas à la hauteur de ce que tu voulais.

Speaker 1:

Pas à la hauteur de ce que je voulais. Comment je peux avoir un impact sur les gens? Comment allumer cette petite flamme-là à mes collègues de travail, à mes collègues? ça, j'y arrivais, mais comment, il y allait encore plus. Oui, et quand je suis partie de l'endroit où j'étais je veux pas le nommer parce que c'est pas de sa faute- C'est pas l'employeur.

Speaker 1:

Non, non, non. Mais quand une directrice qui est venu me voir, elle m'a dit Vero a dit tu m'as aidé à évoluer dans la vie. Yes, j'ai réussi. J'ai réussi mon passage à cet endroit-là, Wow. J'aurais pu avoir n'importe quel état financier, n'importe quel budget, n'importe quel projet.

Speaker 2:

Oui, j'ai réussi grâce à ce commentaire-là Oui, véronique, j'ai envie qu'on parle de transition professionnelle, parce que ça veut pas juste dire donner sa démission, non, ça veut pas juste dire changer de job. Dans ton accompagnement que tu offres parce que tu as, je veux pas dire spécialisé, mais c'est un accompagnement qui t'intéresse, parce que tu sais que chaque femme et chaque humain, en fait, on va aller au-delà de juste la femme, mais chaque personne a le potentiel de transitionner vers quelque chose de plus grand si ils s'autorisent. Mais j'aimerais quand même qu'on parle d'une personne. Il y a deux choses que je pense qu'il y a, deux clients avec qui t'as joué qui seraient intéressantes. Donc une qui n'a jamais donné sa démission après son accompagnement. Non, tu l'accompagnais à avoir sa job autrement, exactement, c'est aussi une transition.

Speaker 1:

C'est aussi une transition. Elle était plus bien dans sa job, mais à force de travailler avec dans l'accompagnement, de voir où elle en était rendue dans sa vie, de faire le point, elle aimait sa job. Elle aimait juste plus comment elle la faisait. Donc, elle a trouvé des façons de le faire différemment, de mettre ça à sa couleur, Et elle est restée dans son emploi Et elle est bien. Ça veut pas dire que parce qu'on est plus bien dans notre emploi, qu'il faut absolument tout changer, tout foutre en l'air. Non, des fois, c'est des ajustements. Mais quand on se connaît moins, quand on sait même pas ce qu'on sait Un moment donné, on sait plus ce qu'on veut. C'est comme un, c'est comme un mieux.

Speaker 2:

Oui, c'est une bonne affaire, ça, parce que là on se découvre, puis on fleurie, puis on s'épanouit.

Speaker 1:

Oui, Puis ce que je suis aujourd'hui, c'est pas ce que je serai demain, exact. Donc, on évolue, puis c'est d'apprendre. Moi, mon accompagnement, c'est pas de dire aujourd'hui t'es ça, puis C'est coulé dans le béton là.

Speaker 2:

Non, c'est une évolution, oui, oui, j'aime vraiment cette nuance-là, parce que quand on commence à ne plus être bien, puis le but, c'est pas que vous donniez votre démission, c'est aller voir à l'intérieur de vous, comment ça, qu'est-ce qui se passe, qu'est-ce que je peux changer à l'intérieur de moi. Puis, tu sais, la première fois que j'ai fait ma transition de TVA à TVA, mais juste en changeant, je t'étais pas prête à quitter cette job-là. Non, non, j'avais envie d'aller jusqu'au bout. Oui, j'avais fait comme un reset pour moi. Je t'étais prête à offrir encore jusqu'à ce que, là, je me rende compte que c'était plus fonctionnel. C'est ça.

Speaker 2:

C'est pas obligatoire de se rendre assez plus fonctionnel. Ça se peut qu'on soit heureux de notre vie dans la même job.

Speaker 1:

Oui oui, puis ça se peut que tu restes là. Il y en a qui restent là pendant des années, des années, et ça leur convient Parfait. Oui. Et il y en a qui vont prendre une formation, vont rester dans la même entreprise, monter les échelons. Monter les échelons ou changer de département.

Speaker 2:

Ou être encore plus heureux à la même place. C'est tout bon, exact. Il y a un accompagnement aussi intéressant, parce que je sais pas combien de fois on entend Tu sais, si tu ne travailles pas pour la réalisation de tes rêves, quelqu'un va te payer pour réaliser ses signes, le sien. Moi, ça me dérange. C'est comme si c'était pas bon de travailler pour quelqu'un alors que tu peux vraiment avoir envie. Moi, j'ai adoré travailler pour TVA, j'ai adoré réaliser le rêve peut-être de je ne sais pas trop quel patron, mais j'ai trippé à faire ceci. Je ne me sentais pas diminuer parce que je travaillais pour quelqu'un. Et il y a quelqu'un qui était entrepreneur, propriétaire d'une industrie.

Speaker 1:

Oui, dans un commerce de détails.

Speaker 2:

Commerse de détails. Oui, qui a le choisi? ton accompagnement et sa réorientation de carrière est complètement à l'opposé.

Speaker 1:

Oui, c'est quelqu'un qui avait son entreprise Commerse de détails depuis, je fais dire, au moins 30 ans. Oui, dans différents niveaux. Et elle est retournée aux études comme préposée aux bénéficiaires parce qu'elle voulait accompagner sa mère dans les derniers moments de sa vie. Et sa mère, elle est décédée et elle continue de travailler dans une résidence de personnes âgées pour accompagner les gens. Donc, toutes les transitions sont bonnes. Ça ne veut pas dire de quitter son emploi et de lancer un affaire. Non, ce n'est pas fait pour tout le monde de lancer un affaire. Ça ne veut pas dire que si tu es en affaire, c'est mauvais de retourner travailler pour quelqu'un, ou un mix des deux, un mix de deux, trois affaires. Maintenant, on a le choix. Oui, en fait aussi. Ce qui m'a donné vraiment le coup de grâce, c'est dire je dis à mes enfants choisissez ce que vous voulez faire dans les Oui vrai, on est bonnes pour ça.

Speaker 2:

On est excellentes pour dire ça.

Speaker 1:

On est bonnes. Ils sont dans leur choix de carrière, d'études pour leur.

Speaker 2:

Si tu n'aimes pas ça, ça ne va pas de grave, je change, je l'aide du go, je t'encourage.

Speaker 1:

Oui, c'est ça. Qu'est-ce que moi, je fais là. Je reste parce que je me dis j'ai besoin de salaire-là, j'ai besoin de. Voyons qu'est-ce que les gens vont penser si je laisse cette job de direction-là.

Speaker 2:

Oui, Où, ouh, ouh. Est-ce que ça t'est déjà arrivé de calculer combien de jours il restait avant ta retraite?

Speaker 1:

Ben, j'ai pas calculé, c'est précisément. Mais quand j'ai vu qu'il me restait encore une vingtaine d'années à travailler, puis que là je me disais je vais-tu faire ça encore pendant 20 ans, Oui, non, oui, non.

Speaker 2:

J'avais fait le calcul, moi. Je pense qu'il restait 19 ans, 6 mois et 34 jours et 2 heures, genre. Puis là, je me disais il reste 19 ans avant que je puisse avoir 100 jours consécutifs de congés. Parce que j'avais vu un film qui avait eu un impact sur moi, où apparaîtraient faire une promenade dans le bois du hiking pas une promenade, c'était plus que ça. Elle allait traverser le Pacifique Trail Crest, puis apparaîtrai 100 jours. Puis je me disais ok, mais comment je fais ça, moi, partir 100 jours comme non, non, j'attends pas 60 ans ou 60 ans, puis non, non, non, non, non, non.

Speaker 2:

C'est impossible pour moi d'attendre.

Speaker 1:

C'est ça un moment donné, mais je trouve que ça va aussi un peu avec la crise de la quarantaine, une crise en milieu de vie, j'aime pas trop le mot de crise. J'aime pas moi non plus, j'aime pas trop par quoi le changer.

Speaker 2:

En fait, la façon dont je le vois, la crise de la quarantaine, c'est une incapacité à se mentir encore plus longtemps.

Speaker 1:

Exactement, on dirait que là, on devient une urgence de réaliser ce qu'on n'a pas réalisé encore, puis de plus, se mentir, de dire je suis plus bien, qu'est-ce que je peux faire pour être bien? De dire j'ai goût de faire un voyage, j'ai goût de faire quelque chose, ok, go.

Speaker 2:

Puis, quand on est heureux, c'est tripant, mais quand on est malheureux, puis on fait semblant d'être heureux, puis ça, c'est toutes les sphères de la vie, C'est professionnel. Et moi, combien de fois j'ai fait comme bonjour, j'espère que vous allez bien. Aujourd'hui, Je suis comme oh, je suis plus capable de faire semblant.

Speaker 1:

Oui, ou d'avoir l'impression de mentir aux autres et à soi Oui.

Speaker 2:

À soi, ça fait mal.

Speaker 1:

Pire de dire voyons, oui, je suis capable de faire des finances et j'en fais encore. Oui, et je suis bien présentement dans le choix que j'ai fait. Oui, tu fais de la musique c'est multi-potentiel. C'est multi-potentiel.

Speaker 2:

Qu'est-ce qui me fait vibrer et travailler contre une consultante? faire des conférences, accompagner des gens dans la transition? et si on n'avait pas de choix à faire Exactement?

Speaker 1:

Oui, exactement, si on n'avait pas de choix à faire.

Speaker 2:

mais j'ai plein de choix que je peux choisir Exactement.

Speaker 1:

Il n'a pas besoin d'en prendre juste un, exactement. J'en ai plusieurs que je peux prendre. je peux mettre plusieurs chapeaux à la fois, puis m'amuser là-dedans, oui.

Speaker 2:

Puis, il y a une transition importante que j'aimerais aborder quand même rapidement. Tu as fait une transition physique aussi, oui.

Speaker 1:

Oui, il y a une grande différence si je voyais une photo de toi, de vous, de combien de temps Ben en fait, quand j'ai eu mon troisième, qui va avoir 15 ans la semaine prochaine, j'ai perdu 75 lits, j'ai éliminé 75 lits, peu importe le terme.

Speaker 2:

Là, oui, t'avais 75 lits de plus. Je connais, très probablement pas sur la photo. Non, non.

Speaker 1:

Puis, j'ai fait ce cheminement-là dans le plaisir, puis j'ai accompagné des gens en paire de poids pendant quelques années, puis j'avais vraiment du plaisir là-dedans. Oui, ça ne me parlait plus. J'ai arrêté, je suis retournée travailler en finance, en administration, mais oui, cette transition-là, pour moi, c'était une reprise de contrôle de mon corps. Je suis pas très quelqu'un qui contrôle plein d'affaires, mais ça, ça a été le plus beau cadeau que je me suis fait Et un des signes, dans les dernières années, que j'étais plus bien non plus. J'ai repris pas beaucoup de poids, là, non, mais c'est un signe. Et là, tout le monde me disait hey, c'est normal.

Speaker 2:

C'est normal. la minopause 45,. ça y est là, ça va tomber d'un an. Non, non, non, non, non. Si c'était pas ça Et si c'était pas ça.

Speaker 1:

Oui, non, non. Si l'univers m'envoyait des signes? oui, alors réveille. Donc, oui, j'ai fait cette transition.

Speaker 2:

Oui, mais c'est des transitions qui sont vraiment, je trouve, importantes à souligner. Parce que quand on parle de coach en transition, oui et bien. Pis, je sais que t'es coach, pis c'est plus que ça Puis on essaie de mettre un titre, mais en même temps qu'on essaie, c'est comme vas-us, c'est comme essayer d'attraper un gel-eau, pis on n'est pas capable vraiment de définir concrètement qu'est-ce que c'est le type d'accompagnement que tu peux faire. Tu peux offrir beaucoup d'accompagnement, mais ce que j'aime, c'est que il y a tout le temps un déclencheur. Pis, j'aimerais juste savoir le déclencheur du moment où tu choisis de dire le 75 lits, ok, j'ai eu trois enfants, je peux mettre ça sur le dos de plein d'affaires, mais là je suis plus bien C'est à quel moment où tu décides d'entamer cette transition-là vers un poids bonheur, un poids santé ou plus de légèreté dans ta vie.

Speaker 1:

En fait, le moment précis, je me rappelle, c'est qu'on s'en allait en ski à Halsone et dans ce temps-là, il fallait monter deux étages pour aller se changer. Ok, et là, moi, j'ai trois enfants, un dans la coquille, le plus jeune, et deux autres qui montrent le gros sac en arrière.

Speaker 1:

Et là, j'arrive à haut, mais brûlé, et là je dis pas vrai que j'aurais pas l'énergie de jouer avec mes enfants et d'aller avec eux faire du ski, d'être descendre. Ça fait que c'est là que j'ai fait. Non, je reprends le contrôle. Wow, et je l'ai fait sur deux ans. Oh, je l'ai pas fait en. Les recettes magiques de perte de poids-là, non, non, j'y crois pas. Non, j'y croyais pas, j'y crois pas plus. Oui, c'est quelque chose sur du long terme, c'est quelque chose qui est là, qui faut faire dans le plaisir. Moi, c'était important. Des super enthéramies, qu'est-ce qui a plus le fun qu'un super enthéramie? Tu sais pas. Privé, je me suis pas privée. Exact. Puis, je m'appréve pas encore aujourd'hui.

Speaker 2:

C'est fantastique de parler de transition comme ça, de légèreté, de voir qu'est-ce qui est disponible, qu'est-ce que je fais. Puis ces éléments déclenchent. D'ailleurs, si vous êtes à l'écoute en ce moment, s'il vous plaît encore là. Je suis une autre invitation à communiquer avec Véronique ou avec moi sur Instagram, puis on va se partager vos histoires. De quel est cet élément déclencheur? Tu veux, je te parle d'un élément déclencheur. Moi, dans ma vie, avant d'aller consulter pour la dépression, il y en a un d'élément déclencheur. Je m'étais destinée en train de participer au Champagne du monde de Triathlon. J'avais marqué Champagne Canada. Puis ça, c'était un rêve, mettons, de un an ou deux ans. Puis, quand j'avais fait le dessin, j'étais excité. Je m'étais destinée C'est un bonhomme à l'humaine.

Speaker 2:

Mais je suis allumée, là, comme. Puis je colle ça dans mon bureau Et à un moment donné, je marche, je regarde, puis je me dis t'es con de penser que c'est possible. J'utilise jamais ce mot-là dans mon vocabulaire Et je me suis surprise en m'entendant. Puis, je me disais mais qu'est-ce qui s'est passé entre l'excitation de dessiner puis le fait que je me traite de conne? Puis là, je me suis dit je pense qu'il y a quelque chose qui ne fonctionne pas Et c'est le mot conne qui a résonné dans ma tête, qui m'a incité à aller consulter le médecin.

Speaker 1:

Ça, c'est un des gros déclenches, ça là c'est quand ça te frappe, là, c'est, c'est là, c'est le moment, c'est là. Puis, on ne sait jamais qui, quoi va déclencher chez qui quelle réaction. Ça, on le sait jamais. Moi, j'ai appris ça en enseignant les premiers soins. On sait jamais quand on va figer sur une situation, ça peut faire 10 fois qu'on voit la même situation. Puis, un moment donné, on fiche, je ne sais pas. Et c'est là qu'il faut prendre action sur quelque chose. Respirez, au moins. Respirez. En parler à quelqu'un, échanger. On n'est pas tout seul. Et souvent, on a l'impression que c'est nous le problème, c'est moi. Pendant quelques mois, j'ai pensé que c'était moi le problème avant de donner mes indémissions. J'assois tout ça avec mon conjoint. C'est moi qui ai un problème. Qu'est-ce que j'ai de? J'ai la job. J'ai tout sur papier. J'ai une équipe. Oui, oui, tout sur papier. Non, les gens sont fiers de moi. Oui, je suis fière de l'entreprise pour laquelle je travaillais.

Speaker 2:

Oui, mais là de dire on sait, moi, qu'il y a un problème. Non, non, non, c'est tellement pas. Non, moi, j'encouragerais vraiment les gens, ceux qui sont intéressés à faire une transition. Oui, on peut le faire tout seul, mais des fois, d'être accompagné aussi, ça fait une différence, parce qu'il n'y a pas une implication émotionnelle. Exact, c'est quelqu'un de l'extrême, son regard externe. Toi, t'en avais parlé à ton chum, qui savait que t'étais pour donner ta démission. Moi, j'ai choisi de ne pas lui dire parce que j'avais pas envie de capter ses peurs, parce que, oui, je serais restée, parce que, mon Dieu, carine, t'es le seul salaire de la famille.

Speaker 2:

Comment on va faire pour vivre? Mais c'est, je suis dis oh, mais on va aller retourner travailler Et puis, hey, j'ai du manaire. Je pourrais être la meilleure vendeuse espadrique de la planète. Je vais toujours être capable de me reverrer de bord, il n'y a aucun problème. Mais je pense que, des fois, d'avoir C'est une suggestion entre peut-être, de contacter Vero, de voir qui est le coach qui peut vous accompagner, à juste sortir la tête de l'eau ou prendre une bouffée d'air, déposer l'émotionnel un peu avant de faire un mot.

Speaker 1:

Oui, parce que moi aussi je l'ai fait, moi aussi je l'ai fait. j'ai fait ma formation de coach et j'ai appelé mes copines de dire là à me m'en donner. ça m'a pris du temps avant là, oui, mais comment?

Speaker 2:

Je l'ai fait, j'ai dit là, j'ai besoin d'aide, de quelqu'un m'écoute de neutre, oui, pour voir quand j'en suis ou là, pose-moi des questions, respirez avec quelqu'un Se sentir appuyé, même si vous n'avez pas besoin de validation, juste de savoir que c'est pas nécessairement normal. Mais je vais employer le mot normal juste pour alléger la conversation que t'es pas la seule à te sentir comme ça. On l'a tout traversé. On s'est demandé si on n'avait pas construit un rêve qui était un château de cartes qui s'effondre. Est-ce que c'est moi qui n'ai pas correct? On prend de la médication pour retourner dans un travail, qui est rendu malade Et on retourne sans rien changer, et puis on retourne sans rien changer.

Speaker 2:

Ça, c'est pas mal un pattern qui va nous mettre probablement ou potentiellement, sur les antidépresseurs À vie. Quels sont les changements qu'on peut mettre? Si c'est pas de quitter la job intérieurement, qu'est-ce qu'on peut changer à partir de maintenant Et comment on peut voir? Il y a même d'accord. Milo, aime ça quand on parle de transition et de démission. Clairement, si tu avais un message à donner à une femme peut-être, qui nous écoupe, un homme, une femme au-delà du sexe, qu'est-ce que tu aimerais peut-être lui dire? La personne qui, en ce moment, est en transition ou qui doute S'il y avait un conseil, une idée ou une question, une énergie à lui insuffler.

Speaker 1:

Que c'est normal de vouloir changer les choses. Puis, ça n'a pas besoin d'être drastique, ça peut être en douceur. Ça ne veut pas dire qu'il faut faire un 180°. Ça peut être juste un petit réajustement Et c'est tout à fait normal de faire des réajustements dans nos vies.

Speaker 2:

Oui, Et une des choses que je retiens sur notre conversation, véronique, c'est celle que je suis aujourd'hui pourrait ne pas potentiellement ne pas être celle que je serai demain, et celle que j'étais hier n'est pas celle que je suis maintenant. Donc, c'est correct d'évoluer, c'est saint d'aimer des choses, c'est saint de ne plus aimer des choses, c'est saint de se remettre en question. Puis, c'est aussi fantastique de dire que ce que j'ai toujours aimé ne me sert plus.

Speaker 1:

Ne me sert plus aujourd'hui, mais va peut-être me reserver dans cinq ans, on est dans un studio.

Speaker 2:

J'ai renoué avec mon expérience de journaliste. lectrice monteur. qui aurait cru? en 2015, quand j'ai donné ma démission, je t'étais certaine que je retousserais Jamais à ça.

Speaker 1:

Puis tellement merci de le faire.

Speaker 2:

C'est grandit et j'ai hâte d'avoir cette conversation sur les transitions avec toi, Véronique. Merci infiniment d'avoir été là Et si vous avez envie de contacter Véronique pour avoir son expertise en transition, peu importe la transition que vous traversez en ce moment tout son descriptif, son site web, la façon de la contacter sont évidemment sous ce post ou sous ce Youtube, Instagram, Peu importe où vous êtes, vous allez avoir les liens. Vous avez encore plus de transitions magiques et magnifiques. J'espère vraiment que l'univers va t'offrir la plus grande des surprises dans un avenir proche.

Speaker 1:

Merci, j'ai su que vous aurez des belles surprises.

Speaker 2:

Merci à toi.

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